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Coach de trading en chef et conférencier BeingTrader, plus de 8 ans d'expérience dans le trading du marché des changes, principalement XAUUSD, EUR/USD, GBP/USD, USD/JPY et pétrole brut. Un trader et analyste confiant qui vise à explorer diverses opportunités et à guider les investisseurs sur le marché. En tant qu'analyste, je cherche à améliorer l'expérience du trader en le soutenant avec suffisamment de données et de signaux.
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Risk Warning on Trading HK Stocks
Despite Hong Kong's robust legal and regulatory framework, its stock market still faces unique risks and challenges, such as currency fluctuations due to the Hong Kong dollar's peg to the US dollar and the impact of mainland China's policy changes and economic conditions on Hong Kong stocks.
HK Stock Trading Fees and Taxation
Trading costs in the Hong Kong stock market include transaction fees, stamp duty, settlement charges, and currency conversion fees for foreign investors. Additionally, taxes may apply based on local regulations.
HK Non-Essential Consumer Goods Industry
The Hong Kong stock market encompasses non-essential consumption sectors like automotive, education, tourism, catering, and apparel. Of the 643 listed companies, 35% are mainland Chinese, making up 65% of the total market capitalization. Thus, it's heavily influenced by the Chinese economy.
HK Real Estate Industry
In recent years, the real estate and construction sector's share in the Hong Kong stock index has notably decreased. Nevertheless, as of 2022, it retains around 10% market share, covering real estate development, construction engineering, investment, and property management.
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HMD Global, qui fabrique les téléphones de la marque Nokia , a déclaré s'être associé au fabricant de jouets Mattel pour lancer le HMD Barbie Phone - un téléphone à clapet rose de taille miniature au design rétro.
Le téléphone, dont le prix est de 99 livres ($131.24), est disponible à partir de mercredi. L'appareil permet aux utilisateurs de passer des appels et d'envoyer des textes, mais ne donne pas accès aux applications de médias sociaux.
Le clavier rose Barbie comporte des motifs cachés représentant des palmiers, des cœurs et des flamants roses qui s'illuminent dans l'obscurité, a indiqué l'entreprise.
Le lancement coïncide avec le 65e anniversaire de la poupée Barbie cette année (link) et fait suite au succès du film "Barbie" de l'année dernière avec Margot Robbie, qui a rapporté 1,4 milliard de dollars au box-office mondial.
"J'imagine que beaucoup de gens seront tentés de l'acheter pour s'amuser, mais en réalité, tout le monde est tellement dépendant de son smartphone qu'il sera difficile d'aller au-delà d'une journée de désintoxication", a déclaré Ben Wood, analyste en chef du cabinet d'études CCS Insight.
Le cabinet d'études CCS Insight estime que HMD pourrait vendre plus de 400 000 téléphones Barbie au Royaume-Uni, où ils seront disponibles chez Vodafone et Argos.
La société finlandaise HMD, qui est soutenue par Alphabet's Google et Qualcomm , a lancé plusieurs téléphones fonctionnels, y compris des rééditions de téléphones Nokia classiques tels que les 3210 et 3310.
(1 $ = 0,7543 livre)
Les législateurs californiens sont prêts à voter sur un projet de loi dès cette semaine qui réglementerait largement la façon dont l'intelligence artificielle est développée et déployée en Californie, même si un certain nombre de géants de la technologie ont exprimé leur opposition.
Voici quelques informations sur ce projet de loi, connu sous le nom de SB 1047, et sur les raisons pour lesquelles il a suscité des réactions négatives de la part des technologues de la Silicon Valley et de certains législateurs:
QUEL EST L'OBJET DE CE PROJET DE LOI?
Présentée par le sénateur démocrate Scott Wiener, cette proposition rendrait obligatoire la réalisation de tests de sécurité pour un grand nombre des modèles d'IA les plus avancés, dont le coût de développement est supérieur à 100 millions de dollars ou qui nécessitent une puissance de calcul définie. Les développeurs de logiciels d'IA opérant dans l'État devraient également présenter des méthodes permettant de désactiver les modèles d'IA en cas de défaillance, ce qui constituerait un véritable interrupteur d'arrêt.
Le projet de loi donnerait également au procureur général de l'État le pouvoir d'intenter des poursuites si les développeurs ne se conforment pas à la loi, en particulier en cas de menace permanente (link), par exemple si l'IA prend le contrôle de systèmes gouvernementaux tels que le réseau électrique.
En outre, le projet de loi exigerait des développeurs qu'ils engagent des auditeurs tiers pour évaluer leurs pratiques en matière de sécurité et offrirait des protections supplémentaires aux dénonciateurs qui dénoncent les abus de l'IA.
QU'ONT DIT LES LÉGISLATEURS?
Le projet de loi SB 1047 a déjà été adopté par le Sénat de l'État par 32 voix contre 1. Au début du mois, il a été adopté par la commission des crédits de l'Assemblée de l'État, en vue d'un vote par l'Assemblée dans son ensemble. S'il est adopté avant la fin de la session législative, le 31 août, il sera transmis au gouverneur Gavin Newsom, qui devra le signer ou y opposer son veto avant le 30 septembre.
M. Wiener, qui représente la ville de San Francisco, où se trouvent l'OpenAI et de nombreuses start-ups qui développent ce puissant logiciel, a déclaré qu'il était nécessaire de légiférer pour protéger le public avant que les progrès de l'IA ne deviennent difficiles à gérer ou incontrôlables.
Toutefois, un groupe de démocrates du Congrès de Californie s'oppose au projet de loi, notamment Nancy Pelosi, de San Francisco, Ro Khanna, dont la circonscription couvre une grande partie de la Silicon Valley, et Zoe Lofgren, de San Jose.
Mme Pelosi a qualifié le projet de loi SB 1047 de mal informé et a déclaré qu'il pourrait faire plus de mal que de bien. Dans une lettre ouverte publiée la semaine dernière, les démocrates ont déclaré que le projet de loi pourrait inciter les développeurs à quitter l'État et menacer les modèles d'IA dits "open-source" (link), qui s'appuient sur un code librement accessible à quiconque souhaite l'utiliser ou le modifier.
QUE DISENT LES LEADERS DE LA TECHNOLOGIE?
Les entreprises technologiques qui développent l'IA - capable de répondre à des messages sous forme de texte, d'image ou de son et d'exécuter des tâches répétitives avec un minimum d'intervention - ont réclamé des garde-fous plus solides pour le déploiement de l'IA (link).
Ils ont notamment évoqué le risque que le logiciel échappe un jour à l'intervention humaine et provoque des cyberattaques. Mais ils ont aussi largement rejeté le projet de loi SB 1047.
M. Wiener a révisé le projet de loi pour apaiser les entreprises technologiques, en s'appuyant en partie sur la contribution de la startup d'IA Anthropic, soutenue par Amazon et Alphabet . Il a notamment supprimé la création d'un comité gouvernemental de surveillance de l'IA.
M. Wiener a également supprimé les sanctions pénales en cas de parjure, bien que des poursuites civiles puissent toujours être engagées.
Le projet de loi révisé a reçu le soutien de certaines entreprises et dirigeants du secteur technologique, dont le milliardaire Elon Musk et Anthropic.
La startup spécialisée dans l'IA a déclaré la semaine dernière que ses inquiétudes quant à la possibilité que le projet de loi entrave l'innovation avaient été "considérablement réduites" et que les avantages l'emportaient probablement sur les coûts (link).
Elle a néanmoins souligné que certains aspects du projet de loi semblaient préoccupants ou ambigus.
Le directeur général de Tesla, M. Musk, qui dirige une entreprise d'IA appelée xAI, a déclaré qu'il plaidait en faveur d'une réglementation de l'IA sur le site (link) et que la Californie devrait adopter le projet de loi.
D'autres entreprises s'y sont opposées.
Google (Alphabet) et Meta ont exprimé leurs inquiétudes dans des lettres adressées à M. Wiener. Meta a déclaré que le projet de loi menaçait de rendre l'État défavorable au développement et au déploiement de l'IA. Le scientifique en chef de la société mère Facebook, Yann LeCun, a déclaré dans un billet X de juillet que le projet de loi pourrait nuire aux efforts de recherche.
OpenAI, dont le ChatGPT a accéléré la frénésie autour de l'IA (link) depuis sa sortie fin 2022, a déclaré que l'IA devrait être réglementée par le gouvernement fédéral , mais que le SB 1047 créait un environnement juridique incertain.
Dans une lettre adressée à M. Wiener, OpenAI a déclaré qu'elle s'opposait à la loi SB 1047 parce qu'elle constitue une menace pour la croissance de l'IA et pourrait inciter les entrepreneurs et les ingénieurs à quitter l'État.
La possibilité que le projet de loi s'applique aux modèles d'IA à code source ouvert est particulièrement préoccupante. De nombreux technologues estiment que les modèles open-source sont importants pour créer plus rapidement des applications d'IA moins risquées, mais Meta et d'autres ont craint d'être tenus responsables de la surveillance des modèles open-source si le projet de loi est adopté. M. Wiener a déclaré qu'il soutenait les modèles open-source et l'un des récents amendements au projet de loi a relevé le niveau des modèles open-source couverts par ses dispositions.
Le projet de loi a également des partisans dans le secteur technologique. Geoffrey Hinton, largement considéré comme le "parrain de l'IA", Daniel Kokotajlo, ancien employé d'OpenAI, et le chercheur Yoshua Bengio ont déclaré qu'ils soutenaient le projet de loi.
La Bourse de New York a fini en hausse, mardi, optimiste avant la publication mercredi, des résultats très attendus de Nvidia, nouvelle référence de Wall Street.
Le Dow Jones a grappillé 0,02%, une progression suffisante pour inscrire un nouveau record en clôture, tandis que Nasdaq et S&P 500 ont engrangé 0,16% chacun.
La séance avait démarré en baisse sur un marché indécis, la faiblesse des volumes augmentant la volatilité des cours.
Beaucoup d'intervenants sont ainsi aux abonnés absents, lors d'une semaine marquée par le dernier grand rendez-vous de l'été, le week-end de Labor Day (lundi sera férié).
Mais la tendance s'est inversée en milieu de journée, après la publication de l'indice de l'organisation professionnelle Conference Board, qui a montré une forte hausse de la confiance des consommateurs en août, à 103,3 points contre 100,7 attendu par les économistes.
En outre, ces consommateurs ont revu leurs prévisions d'inflation en baisse, à leur plus niveau depuis le début de la pandémie de coronavirus.
"L'économie (américaine) n'est pas parfaite, mais elle va assez bien pour que le Dow Jones continue à monter", a réagi Kim Forrest, de Bokeh Capital Partners.
Influencé par la perspective de prochaines baisses de taux et une émission réussie de bons du Trésor par le gouvernement américain, les taux obligataires se sont détendus.
Le rendement des emprunts d'Etat américains à 2 ans s'afffichait à 3,90%, contre 3,93% lundi en clôture.
La place new-yorkaise retient son souffle avant la publication, mercredi après Bourse, des résultats du champion des semi-conducteurs Nvidia.
"Cela va avoir un impact énorme", prévient Rusty Vanneman, responsable des investissements chez Orion Advisor Solutions. "Pas seulement pour cette action, mais sur le marché tout entier."
Grand vainqueur de la révolution de l'IA (intelligence artificielle) générative, Nvidia pulvérise, trimestre après trimestre, les attentes des analystes grâce à l'attractivité de ses cartes graphiques, des puces aux capacités de calcul démultipliées.
La séance de mardi a mis à mal le scénario, avancé par beaucoup, d'une rotation en cours à New York, des géants de la tech vers d'autres industries et des valeurs plus modestes.
Les grands acteurs des microprocesseurs, Nvidia (+1,46%), Broadcom (+1,11%) et Qualcomm (+2,62%), ont ainsi mené la charge.
Ailleurs à la cote, le spécialiste des infrastructures d'informatique à distance (cloud computing) Super Micro Computer a souffert (-2,64%).
Le fonds spéculatif Hindenburg Research, connu pour avoir destabilisé, à lui seul, le conglomérat indien Adani Group, en janvier 2023, a accusé, mardi Super Micro de manipulations comptables.
Eli Lilly s'est distingué (+0,42%) après que le laboratoire a lancé une version de son traitement anti-obésité Zepbound à moitié prix, qui nécessite l'utilisation d'une seringue séparée.
Ce tarif ne sera disponible qu'en ligne sur la plateforme d'Eli Lilly. Son concurrent Pfizer (-0,35%) a lancé mardi un site similaire qui lui permet de vendre directement ses médicaments.
Ces développements ont pénalisé Walgreens Boots Alliance (-8,96%), qui contrôle les chaînes de pharmaciens Walgreens et Duane Read.
Paramount a chuté (-7,15%) après que l'homme d'affaires Edgar Bronfman Jr a renoncé à son offre de rachat du groupe de médias.
Dans la foulée, le comité ad hoc désigné par le conseil d'administration a acté la fin de la recherche d'autres acquéreurs potentiels, donnant ainsi sa bénédiction à la proposition soumise par le studio Skydance Media.
Philip Morris International a progressé (+0,96%). Le cigarettier a révélé mardi un nouvel investissement de 232 millions de dollars dans son site d'Owensboro (Kentucky), qui produit des sachets de nicotine sous la marque Zyn.
Le groupe entend ainsi "répondre à la demande croissante des consommateurs majeurs" qui renoncent aux cigarettes ou à d'autres produits à base de tabac pour adopter Zyn.
La Bourse de New York a fini en hausse mardi, le Dow Jones s'étant établi à un record de clôture à l'issue d'une séance en dents de scie, à la veille de la publication des résultats trimestriels très attendus de Nvidia et avant un rapport en fin de semaine sur la consommation aux Etats-Unis.
L'indice Dow Jones a gagné 0,02% à 41.250,50 points.
Le S&P-500 , plus large, a pris 0,16% à 5.625,80 points.
Le Nasdaq Composite a avancé de son côté de 0,16% à 17.754,82 points.
Nvidia , poids lourd de l'intelligence artificielle (IA), a pris 1,5% avant la publication mercredi de résultats trimestriels qui auront un impact sur les valeurs technologiques et, plus largement, sur les marchés, après les inquiétudes liées aux investissements supplémentaires dans l'IA annoncés par Microsoft , Alphabet et d'autres géants technologiques.
Considéré comme le principal bénéficiaire de l'engouement pour l'IA, Nvidia, qui a servi de catalyseur aux gains de Wall Street depuis des mois, a progressé de 159% cette année.
"Il y a une barre très, très élevée à dépasser, non seulement pour les résultats et prévisions de Nvidia, mais aussi pour ce que cela dira de la situation autour de l'IA", a commenté Ross Mayfield, analyste chez Baird.
Des données publiées dans la journée montrent que la confiance du consommateur américain a progressé en août à un pic de six mois, en dépit d'inquiétudes accrues à propos du marché du travail avec la hausse du taux de chômage en juillet.
Sur le front économique, les investisseurs attendent désormais la publication vendredi du rapport mensuel sur la consommation personnelle aux Etats-Unis, un élément clé dans la perspective de baisses des taux d'intérêt.
Les traders s'accordent sur le fait que la Fed baissera les taux en septembre, avec pour incertitude l'ampleur de cet assouplissement monétaire - 25 ou 50 points de base.
Par ailleurs, UBS Global Wealth Management a relevé de 20% à 25% le risque d'une récession de l'économie américaine, citant la fragilité du marché du travail.
Sur les onze secteurs majeurs du S&P-500, six ont progressé, au premier rang desquels les technologies de l'information .
Côté valeurs, parmi les mouvements à noter, Paramount Global s'est replié de plus de 7% après qu'Edgar Bronfman Jr. a retiré son offre pour le rachat du groupe, laissant le champ libre à Skydance Media.
Tesla a perdu 1,9% après que le Canada a annoncé qu'il allait imposer des droits de douane de 100% sur les véhicules électriques en provenance de Chine, dont ceux produits dans le pays par le constructeur américain.
Le cabinet d'études IDC a relevé mardi ses prévisions pour les livraisons mondiales de smartphones sur l'ensemble de l'année, citant une forte croissance au premier semestre, alors que la demande d'électronique grand public se redresse et que les fonctions d'intelligence artificielle attirent les acheteurs.
IDC s'attend à ce que les livraisons augmentent de 5,8 % pour atteindre 1,23 milliard d'unités en 2024, contre une prévision précédente de 4 % pour 1,21 milliard d'unités.
POURQUOI C'EST IMPORTANT
Dans une économie incertaine où les consommateurs sensibles au prix hésitent généralement à faire des achats importants, la hausse des prévisions suggère que les nouvelles fonctions d'intelligence artificielle pourraient stimuler la demande sur des marchés clés tels que les États-Unis et la Chine, qui se rétablit après un ralentissement prolongé.
CITATION CLÉ
"Bien que les smartphones GenAI soient relativement nouveaux sur le marché, les smartphones haut de gamme continueront d'adopter des fonctions GenAI pour se démarquer du reste du marché", a déclaré Anthony Scarsella, directeur de recherche chez IDC's Worldwide Quarterly Mobile Phone Tracker.
CONTEXTE
Apple s'apprête à tenir son événement d'automne le 9 septembre à son siège de Cupertino, en Californie, où elle devrait dévoiler de nouveaux iPhones (link), alors qu'elle cherche à inverser un ralentissement des ventes au niveau mondial, en particulier en Chine.
Lors de sa conférence des développeurs en juin, Apple a dévoilé une série de fonctions d'IA pour son système d'exploitation sous le nom d'"Apple Intelligence".
Au début du mois, Google, la société d'Alphabet, a également annoncé sa nouvelle gamme de smartphones Pixel (link) avec une intégration poussée de l'IA.
PAR LES CHIFFRES
IDC prévoit que les smartphones GenAI feront un bond de 344 %, s'emparant de 18 % du marché d'ici à la fin de 2024 , à mesure que de plus en plus d'appareils phares adopteront des fonctions d'IA générative intégrées pour une utilisation quotidienne.
Le cabinet prévoit que la trajectoire de croissance de l'iOS d'Apple s'améliorera en 2025 avec une croissance de 4 % d'une année sur l'autre, grâce à l'intelligence d'Apple.
Perplexity, un moteur de recherche basé sur l’IA présenté comme une menace pour l’activité de moteur de recherche de Google, cherche à commencer à proposer des publicités sur sa plateforme pour générer des revenus.
Bien que cette évolution soit positive pour l’entreprise, elle soulève des questions importantes quant à sa position sur le marché des moteurs de recherche.
Ce changement de stratégie pourrait être bénéfique pour l’entreprise à court terme. Il s’agit toutefois de la même stratégie que Google a perfectionnée au cours des deux dernières décennies.
Alors, Perplexity sera-t-il en mesure de vaincre le géant de la recherche en copiant simplement son modèle économique ?
Copier Google, mais avec une approche moins rentable
La décision de Perplexity de proposer des publicités sur ses plateformes reflète le même modèle commercial que celui utilisé par Google.
Perplexity s’était initialement présenté comme une alternative sans publicité, générant des revenus grâce aux abonnements.
Cependant, comme le nombre de requêtes mensuelles sur les plateformes continue d’augmenter, l’entreprise se rend compte que les publicités sont la voie à suivre.
C’est du moins ce que montre le dernier pitch deck de l’entreprise.
Cette approche ne pose aucun problème en soi. Cependant, faire la même chose que Google, mais de manière moins rentable, ne fait pas de lui un concurrent.
Certes, la qualité des résultats est meilleure dans certains cas. Mais rien ne garantit que Google ne rattrapera pas son retard prochainement.
Selon certaines sources non divulguées au sein de l’entreprise, Perplexity envisage des prix CPM supérieurs à 50 $.
C’est bien plus que la moyenne du secteur, qui est de 2,5 $.
La raison pour laquelle Perplexity peut facturer une telle prime est que ses utilisateurs appartiennent à certaines catégories de niche et sont généralement plus instruits et enclins aux études universitaires.
Même si cela aide l’entreprise à améliorer sa rentabilité, des interrogations subsistent quant à sa capacité à atteindre ces objectifs.
La dynamique de création de contenu favorise Google
Perplexity permettra aux annonceurs de placer des annonces dans la section des requêtes associées. Les annonceurs pourront également sponsoriser certaines questions associées sous les réponses générées par l’IA.
À long terme, cela signifierait que les créateurs de contenu commenceront à créer du contenu pour figurer dans la section des questions associées.
Cela signifierait générer du contenu dans le seul but d’être bien classé dans les requêtes de recherche Perplexity.
Cela vous semble familier ? Oui, c’est exactement de cette manière que Google a dominé le monde d’Internet et est devenu un monopole.
La question qui se pose alors à Perplexity est de savoir pourquoi elle pense pouvoir forcer les gens à créer du contenu adapté à ses besoins alors que Google peut offrir aux gens la même approche, avec une infrastructure massive déjà en place.
Perplexity n’a aucune chance de battre Google à son propre jeu. Cela revient au même : vous ne pouvez pas battre vos concurrents en copiant leur modèle économique.
Réponses directes de Google et intention de l’utilisateur
Google donne actuellement aux utilisateurs des réponses directes à leurs questions en prédisant leur intention de recherche.
Il utilise également l’IA pour générer des réponses, même si elles ne sont pas d’aussi haute qualité que Perplexity.
On pourrait soutenir que ce manque de qualité est intentionnel, car Google ne veut pas tuer sa propre activité de publicité sur les moteurs de recherche.
Cependant, si Perplexity devient une menace, Google sera éventuellement contraint de proposer des réponses générées par l’IA de haute qualité.
Personne ne peut remettre en question la capacité de Google à le faire.
Cela nous ramène au problème initial. Si Google peut faire la même chose que Perplexity, pourquoi Perplexity deviendrait-il un jour un produit grand public ?
Google contrôle toujours plus de 90 % du marché de la recherche. Cette domination n’est pas près de s’arrêter.
En conclusion, la décision de Perplexity d’intégrer des publicités à sa plateforme joue en faveur de Google. Perplexity sera désormais obligé de suivre le même chemin que Google il y a vingt ans. Il ne pourra peut-être jamais rattraper Google aujourd’hui, car son argument de vente unique n’existe plus.
Les niveaux élevés d'inflation et l'impact de la guerre en Ukraine ont contraint les entreprises européennes à geler les embauches ou à supprimer des emplois.
Voici quelques-uns des licenciements annoncés depuis le début du mois d'avril:
BANQUES
* TSB: La banque britannique détenue par l'espagnol Sabadell cherche à supprimer 250 emplois, a déclaré son porte-parole et le syndicat des employés le 8 mai.
INDUSTRIE ET INGÉNIERIE
* PKP CARGO : La plus grande société de fret polonaise prévoit de licencier 30% de son personnel, a-t-elle déclaré le 3 juillet (link).
* THYSSENKRUPP : Le groupe allemand spécialisé dans la fabrication de sous-marins et d'acier a déclaré le 24 avril (link) qu'il allait licencier 450 personnes dans sa division "commerce des matériaux".
* UMICORE : Le groupe belge de recyclage de métaux prévoit de supprimer 14% des postes de son activité allemande de catalyseurs automobiles d'ici 2027, a-t-il déclaré le 19 juin (link).
COMMERCE DE DÉTAIL ET BIENS DE CONSOMMATION
* CASINO : La chaîne de supermarchés française a déclaré le 24 avril (link) qu'elle supprimerait 1 293 à 3 267 postes pour améliorer sa situation financière.
* DYSON: Le fabricant d'aspirateurs va supprimer (link) environ 1 000 emplois en Grande-Bretagne dans le cadre d'une restructuration mondiale.
* UNILEVER : Le géant des biens de consommation prévoit (link) de supprimer un tiers des emplois de bureau en Europe d'ici à la fin de 2025.
TELECOMS
* VODAFONE ESPAGNE: L'ancienne unité de Vodafone récemment acquise par Zegona Communications prévoit de supprimer jusqu'à 1200 emplois, soit un peu plus d'un tiers des effectifs, a déclaré le 12 juin (link).
PHARMA
* BAYER : Un haut responsable de l'industrie pharmaceutique de Bayer a déclaré le 26 juin (link) que le groupe continuerait à supprimer des emplois de cadres cette année dans le cadre d'une réorganisation interne.
* INDIVIOR : Le fabricant de médicaments a déclaré le 9 juillet (link) qu'il supprimerait environ 130 emplois à la suite de l'arrêt des ventes de son médicament contre la schizophrénie Perseris.
* NOVARTIS : Le fabricant suisse de médicaments va supprimer jusqu'à 680 emplois dans son organisation de développement, a-t-il déclaré le 9 avril (link).
AUTRES
* BASF : L'entreprise allemande de produits chimiques a déclaré le 11 avril (link) qu'elle envisageait des licenciements sur son site de Harjavalta en Finlande.
* BP : La compagnie pétrolière a supprimé plus d'un dixième de ses effectifs - plus de 100 emplois - dans son activité de recharge de véhicules électriques, ont indiqué des sources de la compagnie sur (link) le 15 avril. BP n'a pas commenté le nombre exact de suppressions d'emplois.
* DEUTSCHE BAHN: L'opérateur ferroviaire allemand a déclaré le 25 juillet (link) qu'il prévoyait de supprimer 30 000 emplois, soit environ 9% du personnel.
* INFINEON : Le fabricant allemand de puces va supprimer 1 400 emplois dans le monde et délocaliser 1 400 postes supplémentaires dans des pays où le coût de la main-d'œuvre est moins élevé, a déclaré son directeur général sur (link) le 5 août.
* MANCHESTER UNITED : Le club de Premier League anglaise propose de supprimer environ 250 emplois dans le cadre d'un plan social à l'échelle du club, a déclaré une source proche de l'entreprise à Reuters le 3 juillet (link).
* SIEMENS GAMESA: La division éolienne de Siemens Energy prévoit de supprimer 4 100 emplois, soit environ 15% des effectifs, a déclaré le directeur général de l'unité dans une lettre interne au personnel vue par Reuters le 28 mai (link).
* TAMEDIA (TXGN): L'entreprise suisse de médias a déclaré le 29 août (link) qu'elle allait fermer deux imprimeries et licencier près de 300 personnes dans le cadre d'une nouvelle série de mesures de réduction des coûts.
* UPM : Le groupe forestier finlandais a annoncé le 21 août (link) la fermeture d'une usine de papier journal et d'une machine à papier fin en Allemagne, affectant 338 emplois. Il fermera également son activité de biocomposites d'ici la fin de 2024, ce qui affectera 59 emplois en Finlande et en Allemagne, a-t-il déclaré le 26 août (link).
Source: Documents réglementaires, articles de Reuters et sites web des entreprises
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Le risque de perte dans la négociation d'instruments financiers tels que les actions, les devises, les matières premières, les contrats à terme, les obligations, les ETF et les crypto-monnaies peut être substantiel. Vous pouvez subir une perte totale des fonds que vous déposez auprès de votre courtier. Par conséquent, vous devez examiner attentivement si ce type de négociation vous convient, compte tenu de votre situation et de vos ressources financières.
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