Citations
Nouvelles
Analyse
Utilisateur
24/7
Calendrier économique
Education
Données
- Des noms
- Dernier
- Précédent
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
A:--
F: --
A:--
F: --
A:--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
Pas de données correspondantes
Graphiques Gratuit pour toujours
Chat Questions et réponses avec des experts Filtres Calendrier économique Données outilFastBull VIP FonctionnalitésTendances du marché
Principaux indicateurs
Dernières vues
Dernières vues
Sujets d'actualité
Dans le monde de l’humanité, il n’y aura pas de déclaration sans position, ni de remarque sans but.
Sur les marchés financiers mondiaux, la bourse sert de baromètre économique et a toujours été au centre de l'attention des investisseurs. Son ascension et sa chute ont un impact profond sur l’économie de divers pays.
L’argent fait tourner le monde et la monnaie est une marchandise permanente. Le marché des changes est plein de surprises et d'attentes.
Les marchés financiers restent stables mais affichent un sentiment d'anticipation nerveuse alors que la nouvelle semaine commence. Les conflits entre Israël et le Hamas continuent d’occuper le devant de la scène, avec des inquiétudes croissantes quant au risque que la violence engloutisse l’ensemble de la région.
Les meilleurs chroniqueurs
Salut! Êtes-vous prêt à vous impliquer dans le monde financier ?
Les dernières nouvelles et les événements financiers mondiaux.
J'ai 5 ans d'expérience en analyse financière, notamment dans les aspects d'évolution macroéconomique et de jugement de tendances à moyen et long terme. Je me concentre principalement sur l'évolution du Moyen-Orient, des marchés émergents, du charbon, du blé et d'autres produits agricoles.
Coach de trading en chef et conférencier BeingTrader, plus de 8 ans d'expérience dans le trading du marché des changes, principalement XAUUSD, EUR/USD, GBP/USD, USD/JPY et pétrole brut. Un trader et analyste confiant qui vise à explorer diverses opportunités et à guider les investisseurs sur le marché. En tant qu'analyste, je cherche à améliorer l'expérience du trader en le soutenant avec suffisamment de données et de signaux.
Dernière mise à jour
Risk Warning on Trading HK Stocks
Despite Hong Kong's robust legal and regulatory framework, its stock market still faces unique risks and challenges, such as currency fluctuations due to the Hong Kong dollar's peg to the US dollar and the impact of mainland China's policy changes and economic conditions on Hong Kong stocks.
HK Stock Trading Fees and Taxation
Trading costs in the Hong Kong stock market include transaction fees, stamp duty, settlement charges, and currency conversion fees for foreign investors. Additionally, taxes may apply based on local regulations.
HK Non-Essential Consumer Goods Industry
The Hong Kong stock market encompasses non-essential consumption sectors like automotive, education, tourism, catering, and apparel. Of the 643 listed companies, 35% are mainland Chinese, making up 65% of the total market capitalization. Thus, it's heavily influenced by the Chinese economy.
HK Real Estate Industry
In recent years, the real estate and construction sector's share in the Hong Kong stock index has notably decreased. Nevertheless, as of 2022, it retains around 10% market share, covering real estate development, construction engineering, investment, and property management.
Hong Kong, Chine
Ho Chi Minh, Vietnam
Dubaï, Émirats arabes unis
Lagos, Nigeria
Le Caire, Égypte
Marque blanche
API de données
Plug-ins Web
Programme d'affiliation
Tout voir
Pas de données
Non connecté
Se connecter pour accéder à d'autres fonctionnalités
FastBull VIP
Pas encore
Acheter
Se connecter
S'inscrire
Hong Kong, Chine
Ho Chi Minh, Vietnam
Dubaï, Émirats arabes unis
Lagos, Nigeria
Le Caire, Égypte
Marque blanche
API de données
Plug-ins Web
Programme d'affiliation
Le groupe publicitaire britannique M&C Saatchi a affiché mercredi une hausse de 26% de son bénéfice au premier semestre et prévoit des résultats annuels conformes aux prévisions du marché, grâce à l'augmentation des dépenses publicitaires des clients, à des mesures de réduction des coûts et à des ventes d'actifs.
L'activité de la base de clients existante est restée forte, environ 75 % des clients de l'année dernière ayant choisi de dépenser au cours du premier semestre de l'année, a déclaré la société, ajoutant qu'elle compte désormais des clients de premier plan tels que McDonald's , Ford , IKEA et Sony Pictures dans sa liste de valeurs sûres.
En réponse à la pression exercée par les coupes budgétaires des clients du secteur technologique l'année dernière, M&C Saatchi, sous la direction de son nouveau directeur général Zaid Al-Qassab, a procédé à des désinvestissements stratégiques afin d'améliorer ses marges et sa rentabilité.
Le groupe publicitaire, qui compte parmi ses clients Amazon et le japonais Rakuten , a enregistré un bénéfice avant impôts à périmètre constant de 14,2 millions de livres (18,71 millions de dollars) pour le semestre clos le 30 juin, contre 11,3 millions de livres l'année précédente.
(1 $ = 0,7591 livre)
La Bourse de Tokyo a clôturé en légère hausse mercredi, dans un climat de prudence quelques heures avant la décision de la banque centrale américaine (Fed).
L'indice vedette Nikkei a avancé de 0,49% à 36.380,17 points et l'indice élargi Topix a pris 0,38% à 2.565,37 points.
Sur les marchés japonais, "il y a plus de questions que de réponses sur une réduction de 25 ou 50 points du taux directeur" avant l'annonce de la décision de politique monétaire de la banque centrale américaine (Fed), a commenté Vishnu Varathan, responsable économie et stratégie chez Mizuho Bank à Singapour, auprès de l'agence Bloomberg.
Mardi, une nouvelle salve d'indicateurs aux Etats-Unis avait incité nombre d'économistes à plaider pour une baisse d'un quart de point de pourcentage du taux directeur de la Fed.
Outre la banque centrale américaine, les membres de la Banque du Japon (BoJ) doivent également se réunir jeudi et vendredi, laissant les investisseurs dans l'expectative.
Selon les analystes, la BoJ devrait maintenir le taux d'intérêt inchangé vendredi, après l'avoir relevé fin juillet.
Sur le marché des changes, la journée a été mouvementée alors que le yen s'est renforcé, après avoir chuté mardi à New York de plus de 1% par rapport au billet vert.
La devise nippone valait 141,46 yens pour un dollar, contre 142,41 yens mardi à 21H00 GMT.
"Les actions japonaises restent sensibles aux taux de change, l'accent étant mis sur l'évolution du dollar américain par rapport au yen en fonction de la balance commerciale et des écarts de taux d'intérêt entre les États-Unis et le Japon", selon l'analyste Ryotaro Sawada du Tokai Tokyo Intelligence Lab.
A la cote, les actions liées à l'exportation sont passées dans le vert, portées par l'affaiblissement de la monnaie japonaise. Le secteur automobile a retrouvé des couleurs avec: Toyota (+3,28%), Honda (+2,50%) ou encore Nissan (+1,85%).
Les valeurs japonaises liées au secteur des semi-conducteurs ont également reçu la faveur des investisseurs: Disco Corp (+ 3,32%) et Advantest (+1,81%).
Sur le marché des devises, l'euro a reculé à 157,49 yens contre 158,27 yens la veille, et s'est négocié à 1,1124 dollar au lieu de 1,1114 dollar mardi.
Sur le marché du pétrole, le prix du baril de WTI américain a perdu 0,66% à 70,72 dollars et celui de Brent de la mer du Nord a reculé de 0,62% à 73,24 dollars à 06H10 GMT.
Qui sera le prochain directeur artistique de Chanel ? Où ira Pierpaolo Piccioli après son départ de Valentino en mars? De New York à Londres, aujourd'hui à Milan, demain à Paris, ces questions alimentent le grand feuilleton du "fashion game" mondial.
C'est que, dans un contexte de récession des grandes maisons, le mercato des directeurs artistiques n'a jamais été aussi mouvementé, jusqu'à prendre des allures de "Game Of Thrones", alors que la Fashion week de Milan bat son plein.
Cette année, pas un mois ne s'est passé sans son lot d'annonces de démissions ou nominations: Pierpaolo Piccioli a quitté Valentino en mars et dans la foulée, la maison romaine a nommé à sa direction créative Alessandro Michele, dont le défilé prévu le 29 septembre à Paris est un des plus attendus.
Chez Chanel, Virginie Viard, qui avait naturellement succédé à Karl Lagerfeld après sa mort en 2019, a annoncé en juin son départ, laissant un poste clé vacant. Les rumeurs vont bon train et le nom de Simon Porte Jacquemus est évoqué pour reprendre la maison de Coco.
Le même mois, Dries Van Noten, le couturier culte d'Anvers, a tiré sa révérence pour son dernier défilé à la direction de sa propre maison éponyme.
La semaine dernière, le suspense concernant Givenchy, orpheline depuis le départ en janvier de Matthew Williams, s'est achevé avec l'annonce de l'arrivée de Sarah Burton, transfuge de la maison anglaise Alexander McQueen dont elle s'occupait depuis plus de 13 ans.
- "Au suivant!" -Pour les marques qui défilent d'habitude à Milan, le jeu est le même et explique leur absence des podiums cette saison: Blumarine vient de nommer le Géorgien David Koma à sa tête, Tom Ford, après le départ de Peter Hawkings en juillet après un an à son poste, a nommé début septembre Haider Ackermann, le chouchou des stars Timothée Chalamet et Kylie Jenner.
Les directeurs artistiques remerciés par les maisons de mode sont souvent soumis à des accords de non-concurrence de un à deux ans les empêchant de reprendre tout de suite les rênes d'une maison.
Ces périodes sont généreusement indemnisées mais rien n'empêche leur nouvel employeur de prendre en charge ce coût pour abréger leur délai de prise de fonction.
Dans ce contexte, les rumeurs vont bon train. Combien de temps encore Kim Jones restera-t-il à la tête du design de Fendi ? Quid de John Galliano dont le contrat chez Maison Margiela touche à sa fin et que certains voient chez Dior ou Fendi ?
"Derrière ces annonces, il y a des humains, il y a des destins. Il y a la vie de personnes qui donnent leur intelligence, leur vision, leur temps, leur passion à des maisons sous pression du marché, qui veulent des résultats immédiats, dans des temps records. Les directeurs artistiques doivent faire les chiffres en une saison, deux maximum, et si les résultats ne sont pas là, au suivant !" observe Alessia Pellarini, consultante créative pour les marques et fondatrice de The AP Archive, un fonds d'archives de pièces phare de l'histoire de la mode.
- "Homme blanc européen" -"Il faut bien être conscient que ce travail demande du temps, demande de comprendre la marque, son héritage, son histoire, pour proposer certes quelque chose de nouveau mais sans tout chambouler. Cette vision à court terme pour répondre aux exigences du marché ne fait que baisser la qualité culturelle de l'offre", déplore-t-elle.
Elle-même a quitté en 2023 la direction du bureau de style de Fendi, un poste qu'elle a occupé pendant onze ans, travaillant au coude à coude avec Karl Lagerfeld puis Kim Jones.
Est-elle pour autant légitime pour reprendre la direction artistique d'une grande maison? "Oui sauf que je suis une femme ! J'ai beau avoir toutes les qualités et le CV parfaits, dans ce jeu de chaises musicales, on est quand même obligé de constater que le profil type continue d'être un homme blanc européen !"
La contre-attaque semble arriver là où ne l'attendait pas avec des grands couturiers qui se tournent vers les marques plus grand public. Clare Waight Keller, ex-Chloé puis Givenchy, vient de prendre la direction artistique du géant japonais Uniqlo. Et Zara a annoncé une collection capsule début octobre créée par Stefano Pilati, ancien directeur artistique de Saint Laurent puis de Zegna.
La Bourse de Tokyo a ouvert en hausse mercredi matin, portée par un affaiblissement du yen dans un climat de prudence quelques heures avant la décision de la banque centrale américaine (Fed), tandis que les places chinoises ont ouvert en ordre dispersé.
L'indice vedette Nikkei avançait de 0,84% à 36.507,79 points vers 00H47 GMT, et l'indice élargi Topix prenait 0,62% à 2.571,54 points.
Sur les marchés japonais, "l'attentisme devrait prévaloir avant la publication des résultats par le Comité de politique monétaire (FOMC)" sur la décision de politique monétaire de la banque centrale américaine (Fed), a commenté l'analyste Ryotaro Sawada du Tokai Tokyo Intelligence Lab.
Mardi, une nouvelle salve d'indicateurs aux Etats-Unis a incité nombre d'économistes à plaider pour une baisse d'un quart de point de pourcentage du taux directeur de la Fed.
Outre la banque centrale américaine, les membres de la Banque du Japon (BoJ) doivent également se réunir jeudi et vendredi, laissant les investisseurs dans l'expectative.
Selon les analystes, la BoJ devrait maintenir le taux d'intérêt inchangé vendredi, après l'avoir relevé fin juillet.
- Recul du yen -Sur le marché des changes, le yen s'est affaibli mardi de plus de 1% par rapport au billet vert, après avoir grimpé ces derniers jours.
La devise nippone valait 141,87 yens pour un dollar, contre 142,41 yens mardi à 21H00 GMT.
"Les actions japonaises restent sensibles aux taux de change, l'accent étant mis sur l'évolution du dollar américain par rapport au yen en fonction de la balance commerciale et des écarts de taux d'intérêt entre les États-Unis et le Japon", a ajouté M.Sawada.
Ainsi, les valeurs liées à l'exportation passaient dans le vert, portées par l'affaiblissement de la monnaie japonaise. Le secteur automobile retrouvait des couleurs avec: Toyota (+3,09%), Honda (+1,75%) ou encore Nissan (+1,64%) vers 00H52 GMT.
Les valeurs japonaises liées au secteur des semi-conducteurs avaient également reçu la faveur des investisseurs: Disco Corp prenait 1,54% et Advantest augmentait de 1,44%.
La Bourse de Hong Kong était fermée en raison d'un jour férié mercredi. La veille, l'indice Hang Seng a clôturé en hausse de 1,37% à 17.660,02 points, et l'action du fabricant chinois d'électroménager Midea a fini sur un bond de près de 8% pour son premier jour de cotation à la Bourse de Hong Kong, la plus importante introduction sur cette place financière en trois ans.
Les places continentales chinoises ont rouvert après quatre jours de suspension. L'indice composite de Shanghai figurait à l'équilibre à 2704,02 points vers 03H00 GMT, et celui de Shenzhen chutait de 0,92% à 1462,74 points.
Sur le marché des devises, l'euro reculait à 157,63 yens contre 158,27 yens la veille, et se négociait pour 1,1128 dollar au lieu de 1,1114 dollar mardi.
Sur le marché du pétrole, le prix du baril de WTI américain perdait 0,17% à 71,07 dollars et celui de Brent de la mer du Nord reculait de 0,07% à 73,65 dollars vers 00H45 GMT.
Les cours du pétrole avaient conclu leur séance sur une nouvelle progression mardi à New-York, entraînés par un regain de tension au Moyen-Orient suite à l'explosion de centaines de bipeurs de membres du mouvement libanais pro-iranien Hezbollah.
La Bourse de Tokyo a ouvert en hausse mercredi matin, portée par un affaiblissement du yen dans un climat de prudence quelques heures avant la décision de la banque centrale américaine (Fed).
L'indice vedette Nikkei avançait de 0,84% à 36.507,79 points vers 00H47 GMT, et l'indice élargi Topix prenait 0,62% à 2.571,54 points.
Sur les marchés japonais, "l'attentisme devrait prévaloir avant la publication des résultats par le Comité de politique monétaire (FOMC)" sur la décision de politique monétaire de la banque centrale américaine (Fed), a commenté l'analyste Ryotaro Sawada du Tokai Tokyo Intelligence Lab.
Mardi, une nouvelle salve d'indicateurs aux Etats-Unis a incité nombre d'économistes à plaider pour une baisse d'un quart de point de pourcentage du taux directeur de la Fed.
Outre la banque centrale américaine, les membres de la Banque du Japon (BoJ) doivent également se réunir jeudi et vendredi, laissant les investisseurs dans l'expectative.
Selon les analystes, la BoJ devrait maintenir le taux d'intérêt inchangé vendredi, après l'avoir relevé fin juillet.
- Recul du yen -Sur le marché des changes, le yen s'est affaibli mardi de plus de 1% par rapport au billet vert, après avoir grimpé ces derniers jours.
La devise nippone valait 141,87 yens pour un dollar, contre 142,41 yens mardi à 21H00 GMT.
"Les actions japonaises restent sensibles aux taux de change, l'accent étant mis sur l'évolution du dollar américain par rapport au yen en fonction de la balance commerciale et des écarts de taux d'intérêt entre les États-Unis et le Japon", a ajouté M.Sawada.
Ainsi, les valeurs liées à l'exportation passaient dans le vert, portées par l'affaiblissement de la monnaie japonaise. Le secteur automobile retrouvait des couleurs avec: Toyota (+3,09%), Honda (+1,75%) ou encore Nissan (+1,64%) vers 00H52 GMT.
Les valeurs japonaises liées au secteur des semi-conducteurs avaient également reçu la faveur des investisseurs: Disco Corp prenait 1,54% et Advantest augmentait de 1,44%.
Sur le marché des devises, l'euro reculait à 157,63 yens contre 158,27 yens la veille, et se négociait pour 1,1128 dollar au lieu de 1,1114 dollar mardi.
Sur le marché du pétrole, le prix du baril de WTI américain perdait 0,17% à 71,07 dollars et celui de Brent de la mer du Nord reculait de 0,07% à 73,65 dollars vers 00H45 GMT.
Les cours du pétrole avaient conclu leur séance sur une nouvelle progression mardi à New-York, entraînés par un regain de tension au Moyen-Orient suite à l'explosion de centaines de bipeurs de membres du mouvement libanais pro-iranien Hezbollah.
L'éditeur de jeux vidéo Electronic Arts a déclaré qu'il s'attendait à atteindre le haut de sa prévision de chiffre d'affaires annuel et a dévoilé le prochain volet de son jeu de tir multijoueurs "Battlefield" lors de sa conférence de la journée des investisseurs mardi.
Le nouveau titre marquera un retour à l'époque moderne, après trois jeux consécutifs se déroulant à des époques différentes, en concurrence avec la franchise à succès "Call of Duty" d'Activision Blizzard.
Le pari d'EA sur cette franchise vieille de plus de deux décennies intervient alors que les consommateurs ont réduit leurs dépenses discrétionnaires au cours de l'année écoulée, choisissant plutôt de s'en tenir à des jeux populaires alors qu'une inflation tenace pèse sur les budgets.
En juillet, EA a annoncé qu'elle prévoyait pour l'exercice 2025 un chiffre d'affaires compris entre 7,30 et 7,70 milliards de dollars.
Les titres de footballaméricain d'EA enregistreront un chiffre d'affaires net d'un milliard de dollars au cours de l'exercice 2025, a déclaré le directeur financier Stuart Canfield lors de la présentation.
La société a également annoncé la création d'une application "EA Sports" afin de capitaliser sur les audiences fidèles de ses titres sportifs tels que "EA FC", "Madden NFL" et le tout nouveau "College Football". L'application servira de plateforme sociale combinant contenu sportif, messagerie et jeux, le tout centré sur le football mondial.
En outre, EA a annoncé un partenariat avec les studios MGM d'Amazon pour produire un film basé sur son jeu de rôle "Les Sims", ajoutant qu'elle s'attend à doubler ses réservations annuelles pour le jeu au cours des cinq prochaines années.
Le succès mondial de la série télévisée "The Last of Us" de Sony l'année dernière a incité les studios hollywoodiens et les éditeurs de jeux à donner le feu vert à des adaptations cinématographiques et télévisuelles de propriétés intellectuelles de jeux vidéo populaires.
Le succès de ces adaptations n'est pas toujours garanti, comme en témoigne la récente déception au box-office du film basé sur "Borderlands" de Take-Two Interactive, dont la sortie a été mal accueillie par la critique le mois dernier.
Le film a rapporté plus de 32 millions de dollars au box-office mondial pour un budget estimé à environ 115 millions de dollars, selon les données du site web IMDb.
La Bourse de New York a terminé en ordre dispersé et proche de l'équilibre mardi, les investisseurs faisant preuve de prudence avant la décision encore incertaine de la banque centrale américaine (Fed), mercredi.
Le Dow Jones (-0,04%) et l'indice élargi S&P 500 (+0,03%) ont fini proches de l'équilibre, tandis que l'indice Nasdaq a pris 0,20%.
La séance aura été volatile, les grands indices démarrant nettement dans le vert, avant de prendre la direction opposée, puis de revenir autour de leur niveau de la veille.
La place new-yorkaise a fermé les écoutilles avant la journée de mercredi, qui verra la Fed annoncer sa décision de politique monétaire.
Une nouvelle salve d'indicateurs a incité nombre d'économistes à plaider pour une baisse d'un quart de point de pourcentage du taux directeur de la Réserve fédérale.
Les ventes de détail ont augmenté de 0,1% sur un mois en août aux Etats-Unis, alors qu'une contraction de 0,2% était anticipée.
Par ailleurs, la production industrielle a augmenté de 0,8% sur un mois, en août également, son rythme le plus rapide depuis février, sensiblement au-dessus des 0,2% anticipés.
"Ce rapport ne donne aucune raison à la Fed de baisser son taux d'un demi-point", a réagi High Frequency Economics au sujet de la production industrielle.
Le marché obligataire semble en avoir tiré les mêmes conclusions, car le rendement des emprunts d'Etat américains à 2 ans est remonté jusqu'à 3,61%, contre 3,55% lundi en clôture.
Une partie des opérateurs refusaient cependant de rendre les armes et, sur le marché à terme, la probabilité attribuée à l'hypothèse d'une baisse d'un demi-point l'emportait toujours nettement (63%).
Pour autant, Jack Ablin, de Cresset Capital a vu dans la stabilisation de fin de séance un signe.
"Les investisseurs commencent à revoir leurs projections", affirme-t-il. "Je pense qu'il y a eu un peu trop d'optimisme autour d'une importante baisse de taux" dès mercredi, ce qui pourrait limiter la réaction du marché à la décision de la Fed, mercredi, selon lui.
A la cote, ordinairement à la traîne de ses concurrents à Wall Street, Intel a brillé (+2,68%) après une série d'annonces lundi, après Bourse.
Le groupe de Santa Clara (Californie) a notamment repoussé de deux ans ses projets d'usine en Allemagne et en Pologne. Il va aussi loger ses activités de fabrication de puces pour d'autres sociétés dans une filiale dédiée.
Outre Intel, le Nasdaq a pu compter sur Microsoft (+0,88%) qui a dévoilé un dividende en hausse et un nouveau programme de rachat d'actions à hauteur de 60 milliards de dollars.
Le géant des logiciels et de l'informatique à distance menace désormais de détrôner une nouvelle fois Apple (+0,22%) au sommet des capitalisations boursières mondiales.
Amazon a aussi été recherché (+1,08%), le rapport sur les ventes de détail mettant en évidence le dynamisme du commerce en ligne.
Meta a avancé (+0,57%) après avoir présenté une nouvelle version d'Instagram pour les adolescents, qui comporte de nombreuses restrictions visant à protéger les jeunes utilisateurs de contenus nocifs ou de contacts non désirés.
Hewlett Packard Enterprise (HPE) a été favorisé (+5,63%) par un relèvement de recommandation des analystes de Bank of America, qui entrevoient des synergies importantes avec l'équipementier en télécommunications Juniper Networks, en cours de rachat.
En difficulté depuis des années, le fabricant américain des célèbres conteneurs alimentaires en plastique Tupperware a vu le cours de son action suspendu mardi, après que l'agence Bloomberg a fait état d'un possible dépôt de bilan.
Lundi, le titre avait perdu 57,51% en une séance après la publication de cette information, selon laquelle le groupe d'Orlando (Floride) pourrait se déclarer en cessation de paiement dès cette semaine.
Le ministère américain des Transports a donné mardi son feu vert sous condition au rachat de la compagnie Hawaiian Airlines (+3,93%) par sa concurrente Alaska Airlines (-0,87%), pour 1,9 milliard de dollars.
Marque blanche
API de données
Plug-ins Web
Créateur d'affiches
Programme d'affiliation
Le risque de perte dans la négociation d'instruments financiers tels que les actions, les devises, les matières premières, les contrats à terme, les obligations, les ETF et les crypto-monnaies peut être substantiel. Vous pouvez subir une perte totale des fonds que vous déposez auprès de votre courtier. Par conséquent, vous devez examiner attentivement si ce type de négociation vous convient, compte tenu de votre situation et de vos ressources financières.
Aucune décision d'investissement ne doit être prise sans avoir procédé soi-même à une vérification préalable approfondie ou sans avoir consulté ses conseillers financiers. Le contenu de notre site peut ne pas vous convenir car nous ne connaissons pas votre situation financière et vos besoins en matière d'investissement. Nos informations financières peuvent avoir un temps de latence ou contenir des inexactitudes, de sorte que vous devez être entièrement responsable de vos décisions en matière de négociation et d'investissement. La société ne sera pas responsable de vos pertes en capital.
Sans l'autorisation du site web, vous n'êtes pas autorisé à copier les graphiques, les textes ou les marques du site web. Les droits de propriété intellectuelle sur le contenu ou les données incorporées dans ce site web appartiennent à ses fournisseurs et marchands d'échange.