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Coach de trading en chef et conférencier BeingTrader, plus de 8 ans d'expérience dans le trading du marché des changes, principalement XAUUSD, EUR/USD, GBP/USD, USD/JPY et pétrole brut. Un trader et analyste confiant qui vise à explorer diverses opportunités et à guider les investisseurs sur le marché. En tant qu'analyste, je cherche à améliorer l'expérience du trader en le soutenant avec suffisamment de données et de signaux.
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Risk Warning on Trading HK Stocks
Despite Hong Kong's robust legal and regulatory framework, its stock market still faces unique risks and challenges, such as currency fluctuations due to the Hong Kong dollar's peg to the US dollar and the impact of mainland China's policy changes and economic conditions on Hong Kong stocks.
HK Stock Trading Fees and Taxation
Trading costs in the Hong Kong stock market include transaction fees, stamp duty, settlement charges, and currency conversion fees for foreign investors. Additionally, taxes may apply based on local regulations.
HK Non-Essential Consumer Goods Industry
The Hong Kong stock market encompasses non-essential consumption sectors like automotive, education, tourism, catering, and apparel. Of the 643 listed companies, 35% are mainland Chinese, making up 65% of the total market capitalization. Thus, it's heavily influenced by the Chinese economy.
HK Real Estate Industry
In recent years, the real estate and construction sector's share in the Hong Kong stock index has notably decreased. Nevertheless, as of 2022, it retains around 10% market share, covering real estate development, construction engineering, investment, and property management.
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Les Bourses occidentales ont quasiment toutes reculé mardi, timorées avant le débat présidentiel américain et des nouvelles de l'inflation aux Etats-Unis, mercredi, tandis que le pétrole a lui franchement flanché.
Le baril de Brent est descendu mardi sous 69 dollars en séance, une première depuis décembre 2021, plus personne n'osant se mettre en travers de la chute des cours, entraînée par le moindre appétit du globe pour le pétrole.
La variété de la mer du Nord, principale référence mondiale du marché du brut, pour livraison en novembre, a chuté de 3,69%, pour clôturer à 69,19 dollars, après avoir atteint 68,68 dollars en séance.
"C'est un bain de sang", a résumé Matt Smith, de Kpler. "On a l'impression d'une capitulation."
Quant aux Bourses, le ton global est à l'attentisme, mais divers facteurs ont pesé sur les indices européens.
Londres a perdu 0,78%, pénalisée par ses valeurs pétrolières. Francfort a reculé de 0,96%, plombée par un repli de plus de 11% de BMW, et le secteur bancaire a pesé sur la Bourse de Milan qui a cédé 1,12%. Paris a lâché 0,24%.
A Wall Street, le Dow Jones a cédé 0,23%, mais l'indice Nasdaq a gagné 0,84% et l'indice élargi S&P 500, 0,45%.
"Le marché se projette déjà vers le CPI (l'indice de prix à la consommation, ndlr) demain (mercredi), et le PPI (l'indice de prix à la production) jeudi", a commenté Tom Cahill, de Ventura Wealth Management.
Ces deux chiffres seront les derniers jalons marquants avant la réunion de la Réserve fédérale américaine (Fed), mardi 17 et mercredi 18 septembre.
Les économistes prévoient un ralentissement du CPI en août, à 2,6% sur un an contre 2,9% en juillet.
Quant à la Fed, les opérateurs attribuent une probabilité de 69% à une baisse d'un quart de point du taux directeur.
A la différence des actions, le marché obligataire a pris une direction claire.
Le rendement des emprunts d'Etat américains à deux ans s'est retranché jusqu'à 3,59%, au plus bas depuis près d'un an et demi, contre 3,67% la veille en clôture.
Les investisseurs se montraient aussi timorés avant le débat présidentiel de mardi soir entre l'ancien chef de l'Etat républicain Donald Trump et la vice-présidente Kamala Harris.
"Ce débat pourrait faire un peu bouger le marché, mais il ne va pas lever l'incertitude" sur l'issue du scrutin, a prévenu Tom Cahill.
"Si Trump ou Harris brille vraiment, c'est susceptible de jouer sur certains secteurs, par exemple l'énergie renouvelable ou les infrastructures", détaille l'analyste.
Jeudi, les investisseurs tourneront leur regard vers l'Europe, avec la décision de politique monétaire de la Banque centrale européenne (BCE), qui devrait baisser ses taux de 0,25 point de pourcentage, selon les prévisions des économistes.
BMW révise ses objectifsLe constructeur automobile allemand BMW (-11,15%) a annoncé réviser à la baisse une partie de ses objectifs financiers pour l'année en cours après des problèmes techniques liés au système de freinage, fourni par le sous-traitant Continental, qui affecte 1,5 million de véhicules, selon un communiqué du groupe publié mardi.
Ce problème entraînera pour le groupe des frais de "plusieurs centaines de millions d'euros au troisième trimestre", prévient-il, alors qu'en parallèle, "la demande toujours faible en Chine continue d'affecter les volumes de vente".
Banques en rougeLe secteur bancaire souffre après des commentaires de patrons de banques américaines.
Goldman Sachs s'est replié (-4,39%) après que son directeur général, David Solomon, a prévenu lundi d'un ralentissement des résultats de la banque au troisième trimestre, en partie lié au hoquet des marchés début août.
JPMorgan Chase a aussi souffert (-5,19%) après des commentaires prudents sur les prévisions des analystes concernant les revenus du groupe américain, de la part de son directeur d'exploitation Daniel Pinto et rapportés par Bloomberg.
Citigroup a également perdu 2,67% à New York. En Europe, Intesa Sanpaolo a cédé 1,01%, UBS 1,39%, Barclays 3,26%, Deutsche Bank 4,91% et Société Générale 1,11%.
La Bourse de New York a fini mardi sur une note contrastée, les investisseurs se montrant hésitants avant la publication de nouveaux indicateurs d'inflation, mercredi et jeudi.
Le Dow Jones a cédé 0,23%, l'indice Nasdaq a gagné 0,84% et l'indice élargi S&P 500, 0,45%.
"Le marché se projette déjà vers le CPI (l'indice de prix à la consommation, ndlr) demain (mercredi), et le PPI (l'indice de prix à la production) jeudi", a commenté Tom Cahill, de Ventura Wealth Management.
Ces deux chiffres seront les derniers jalons marquants avant la réunion de la Réserve fédérale américaine (Fed), mardi et mercredi.
Les économistes prévoient un ralentissement du CPI en août, à 2,6% sur un an contre 2,9% en juillet.
Quant à la Fed, les opérateurs attribuent une probabilité de 69% à une baisse d'un quart de point du taux directeur.
A la différence des actions, le marché obligataire a pris une direction claire.
Le rendement des emprunts d'Etat américains à deux ans s'est retranché jusqu'à 3,59%, au plus bas depuis près d'un an et demi, contre 3,67% la veille en clôture.
Pour Marc Chandler, de Bannockburn Global Forex, ce décrochage est lié au dérapage des cours du pétrole. Mardi, le Brent, principale référence mondiale de l'or noir, est tombé sous 69 dollars, une première depuis décembre 2021.
Cette dégringolade va peser sur les anticipations d'inflation, c'est-à-dire ce que les ménages imaginent de la trajectoire des prix dans les mois et les années à venir.
Le prix de l'essence aux Etats-Unis est déjà inférieur de 15% au tarif d'il y a un an à la même époque.
La chute des cours de l'énergie renforce l'idée que l'inflation va se normaliser, ce qui fait pression sur les taux obligataires, explique Marc Chandler.
Les investisseurs se montraient aussi timorés avant le débat présidentiel de mardi soir entre l'ancien chef de l'Etat républicain Donald Trump et la vice-présidente Kamala Harris.
"Ce débat pourrait faire un peu bouger le marché, mais il ne va pas lever l'incertitude" sur l'issue du scrutin, a prévenu Tom Cahill.
"Si Trump ou Harris brille vraiment, c'est susceptible de jouer sur certains secteurs, par exemple l'énergie renouvelable ou les infrastructures", détaille l'analyste.
A la cote, Boeing (-1,74%) a pâti de déclarations du président de l'antenne du syndicat IAMAW dont dépend le constructeur. Jon Holden a dit s'attendre à ce qu'une majorité de ses membres rejette le projet de nouvel accord d'entreprise dévoilé dimanche.
Wall Street a plébiscité Oracle (+11,44%), auteur de résultats supérieurs aux attentes, avec une mention spéciale à la croissance de ses activités d'informatique à distance (cloud computing). Les prévisions du groupe pour le trimestre en cours sont conformes aux projections des analystes.
Apple a reculé (-0,36%), encaissant la confirmation par la Cour de justice de l'Union européenne (CJUE), plus haute juridiction européenne, d'une décision imposant à Apple de régler quelque 13 milliards d'euros d'arriérés fiscaux à l'Irlande.
Le groupe a indiqué prévoir de passer, dans les comptes du trimestre en cours, une charge exceptionnelle de 10 milliards de dollars consécutive à cette décision.
Des déclarations du nouveau patron Brian Niccol, arrivé aux commandes lundi, ont profité à Starbucks (+1,23%). Le dirigeant entend concentrer ses efforts sur le marché américain durant les prochains mois.
Goldman Sachs s'est replié (-4,39%) après que son directeur général, David Solomon, a prévenu lundi d'un ralentissement des résultats de la banque au troisième trimestre, en partie lié au hoquet des marchés début août.
Le dirigeant a aussi indiqué que l'établissement devrait passer une provision pour dépréciation de 400 millions de dollars relative à sa sortie de plusieurs activités de banque de détail.
Les installations énergétiques situées le long de la côte américaine du Golfe du Mexique ont commencé à réduire leurs activités et à évacuer certains sites de production alors que la tempête tropicale Francine balayait cette région riche en énergie et était prête à se renforcer pour devenir un ouragan plus tard dans la journée de mardi.
Francine se dirige vers le golfe du Mexique et devrait devenir le quatrième ouragan de la saison atlantique, qui s'achève le 30 novembre. Francine pourrait s'intensifier et devenir un ouragan de catégorie 2 (link), avant de toucher terre le long de la côte de la Louisiane mercredi soir, selon le National Hurricane Center.
La production offshore dans le golfe du Mexique, qui représente environ 1,8 (link) million de barils par jour, soit environ 15 % de la production totale de brut du pays, pourrait être perturbée à mesure que la tempête progresse. De telles interruptions pourraient affecter l'approvisionnement en pétrole des États-Unis, entraînant une pression à la hausse sur les prix du pétrole domestique et des qualités de brut offshore.
Le port de Brownsville (link), près de la frontière avec le Mexique, et d'autres terminaux plus petits au Texas sont restés fermés mardi, tandis que d'autres ports, notamment Houston, Galveston, Corpus Christi, Texas City et Freeport, fonctionnaient avec des restrictions.
"Alors que Francine se déplace vers le nord à travers le golfe du Mexique, nous continuerons à travailler en étroite collaboration avec nos partenaires de l'industrie maritime pour rouvrir complètement les ports touchés dès qu'il sera possible de le faire en toute sécurité", ont déclaré les gardes-côtes américains.
OPÉRATEUR | INSTALLATION | CAPACITÉ | DATE | DÉTAILS |
Plate-forme offshore Hoover | - | Sept. 09 | Arrêt de la production (link) et évacuation du personnel | |
Installations dans le golfe du Mexique Plate-forme Anchor, plate-forme pétrolière de Tahiti | - | Sept. 09 | Évacuation (link) du personnel non essentiel de quatre plates-formes offshore, arrêt de la production de pétrole et de gaz sur deux plates-formes de production offshore | |
Plate-forme pétrolière Perdido, plate-forme Whale, actifs Auger et Enchailada/Salsa | 125 000 barils équivalent pétrole par jour (boe/d) pour la plate-forme pétrolière Perdido; 100 000 boe/d pour la plate-forme Whale | 10 septembre | Évacuation (link) du personnel non essentiel de trois plates-formes pétrolières offshore, interruption des opérations de forage sur la plate-forme Whale, arrêt de la production sur trois sites. | |
Freeport (LNG) | Usine d'exportation de GNL au Texas | 2.1 milliard de pieds cubes par jour | Sept. 09 | Début des préparatifs en cas de tempête à l'usine du Texas (link) |
Cameron (LNG) | Usine d'exportation de GNL en Louisiane | - | 10 septembre | Baisse de la quantité de gaz naturel (link) acheminée vers l'usine d'exportation |
Île South Marsh 76, Ship Shoal 207, 332 plateformes | - | 10 septembre | Retrait de (link) employés de plusieurs plates-formes offshore du golfe du Mexique aux États-Unis | |
Terminal maritime à Myrtle Grove, Louisiane | - | 10 septembre | Fermeture (link) de son terminal maritime international à Myrtle Grove, Louisiane | |
Citgo [RIC:RIC:PDVSAC.UL] | Raffinerie de Lake Charles, Louisiane | 463 000 barils de pétrole par jour | 10 septembre | Ajustement des opérations (link) en fonction des besoins |
Offshore américain, opérations côtières en Louisiane | - | 10 septembre | - Partiellement (link) évacuation du personnel de son installation de production de pétrole de Shenzi -Evacuation complète du personnel de sa base côtière et de ses installations d'entreposage en Louisiane | |
Terminal GNL de Sabine Pass, Louisiane | 4.7 milliards de pieds cubes par jour | 10 septembre | La production de GNL à Sabine Pass reste ininterrompue (link) |
Darren Woods, directeur général d' Exxon, a mis en garde mardi les actionnaires activistes désireux d'imiter ceux qui ont déposé une proposition d'actionnaire liée au climat (link) au sein de la plus grande compagnie pétrolière américaine.
Exxon a poursuivi les investisseurs en justice au début de l'année et M. Woods a indiqué que la société était prête à répéter l'exercice contre d'autres actionnaires qui, selon lui, pourraient "abuser" du processus de proposition par procuration.
"Nous espérons ne pas avoir à recourir à cette action à l'avenir. Mais si nous constatons que des personnes continuent d'abuser de la procédure, nous les obligerons à respecter les règles", a déclaré M. Woods.
M. Woods s'est exprimé par liaison vidéo lors d'une réunion du Conseil des investisseurs institutionnels à New York, qui représente les fonds de pension et d'autres investisseurs institutionnels.
Exxon avait poursuivi les activistes Follow This et Arjuna Capital en janvier après qu'ils eurent déposé une résolution sur le climat pour l'assemblée annuelle de la société en mai. Un juge a finalement rejeté la plainte (link) en juin, mais seulement après que les défendeurs eurent retiré leur résolution et promis de ne pas en présenter une autre similaire ou d'aider d'autres personnes à le faire.
L'action en justice a suscité des inquiétudes quant à la diminution de l'influence des actionnaires. Selon M. Woods, les investisseurs ont toujours la possibilité de faire des suggestions aux entreprises.
Mais le système de procuration, même s'il est bien intentionné, peut être utilisé de manière abusive dans le cadre des orientations actuelles des régulateurs (link), a déclaré M. Woods. Selon lui, les protocoles établis, y compris le recours aux tribunaux, doivent être respectés.
"Nous ne sommes pas opposés au processus de proposition des actionnaires", a déclaré M. Woods, mais il a ajouté: "Nous insisterons pour qu'il soit utilisé de manière appropriée"
M. Woods a été confronté à des sceptiques dans l'auditoire, notamment des gestionnaires de fonds qui, en raison du procès, avaient voté contre lui et d'autres administrateurs d'Exxon lors de l'assemblée générale annuelle de la société en mai. Néanmoins, Woods et d'autres administrateurs d'Exxon ont été réélus sans problème (link) avec le soutien des grands investisseurs BlackRock et Vanguard, comme l'ont montré des documents récents.
Certains des votes les plus importants sont venus du California Public Employees' Retirement System, le plus grand fonds de pension américain. Son directeur général, Marcie Frost, a déclaré par courrier électronique après l'événement: "Nous espérons que la question sera réglée. CalPERS estime que tous les actionnaires ont le droit d'être entendus, qu'ils soient d'accord ou non avec les actions des dirigeants d'une entreprise"
Sanford Lewis, un avocat qui a représenté Arjuna et d'autres actionnaires activistes, a déclaré que le procès d'Exxon pourrait avoir un effet durable sur les futures campagnes de vote par procuration.
"Les petits actionnaires vont réfléchir à deux fois avant de déposer des résolutions, a déclaré M. Lewis après l'intervention de M. Woods.
Jessica Wirth Strine, associée directrice de Jasper Street, une société de conseil en gouvernance d'entreprise, a déclaré que même si M. Woods avait adopté une position ferme, son ton général était plus conciliant que lors de l'assemblée annuelle d'Exxon, où M. Woods s'était fait un point d'honneur de critiquer la nécessité des résolutions figurant sur la procuration de l'entreprise.
"Lors de la réunion annuelle, il a pris plus de coups. Aujourd'hui, il a semblé plus conciliant", a-t-elle déclaré.
Avant d'aborder le procès, M. Woods a également parlé des perspectives d'Exxon en matière de climat. Selon lui, le monde doit trouver un équilibre entre ses préoccupations en matière d'émissions et les besoins d'une population mondiale croissante, dont des milliards de personnes s'efforcent encore de sortir de la pauvreté.
L'idée que le monde doit se débarrasser du pétrole et du gaz passe à côté du "vrai problème", a-t-il déclaré, à savoir que le monde doit se débarrasser des émissions de carbone.
Un système de comptabilisation des émissions de carbone serait d'une grande aide, a-t-il ajouté.
Mardi en fin d'après-midi, les organisateurs de la conférence ont déclaré que le personnel et la sécurité avaient empêché huit manifestants d'entrer dans la salle de bal pendant l'intervention de M. Woods.
Au cours de l'altercation, un membre du personnel du Conseil a été renversé "alors que les perturbateurs tentaient de se frayer un chemin au-delà de la zone d'inscription. La police et notre personnel de sécurité ont bloqué leur entrée dans la salle de bal et ils ont été expulsés des lieux. Notre collaborateur n'a pas été blessé au cours de l'incident", ont indiqué les organisateurs par courrier électronique.
Lors de la conférence de lundi, des manifestants pour le climat étaient montés sur scène et avaient brièvement interrompu les propos du contrôleur de la ville de New York, Brad Lander.
La Bourse de New York a fini en ordre dispersé mardi avant la publication des chiffres de l'inflation américaine dans la semaine qui pourrait donner des indications sur une baisse des taux d'intérêt par la Fed et le débat présidentiel attendu dans la nuit entre Donald Trump et Kamala Harris.
L'indice Dow Jones a cédé 0,23%, ou 92,63 points, à 40.736,96 points.
Le Standard & Poor's 500 , plus large, a pris 24,47 points, soit 0,45% à 5.495,52 points.
Le Nasdaq Composite a avancé de son côté de 141,28 points, soit 0,84% à 17.025,88 points.
Les investisseurs attendent le débat télévisé entre Kamala Harris et Donald Trump, prévu à 01h00 GMT, en vue de l'élection présidentielle américaine du 5 novembre. Une victoire de l'un ou l'autre dans la course à la Maison blanche pourrait avoir d'importantes implications en matière d'inflation, de réglementation et de droits douaniers.
Les titres du secteur bancaires ont fini en baisse après que le directeur général de Goldman Sachs a rapporté lundi que les revenus issus des activités de marchés allaient probablement baisser de 10% au troisième trimestre.
Mardi, JPMorgan Chase a tempéré les attentes concernant les revenus provenant des paiements d'intérêts alors que le directeur financier de Ally Financial a déclaré que les problèmes liés au crédit se sont intensifiés ce trimestre, faisant chuter le titre de 17,6%.
Le recul des banques a fait de l'ombre à la décision de la Fed d'assouplir une proposition antérieure visant à augmenter le capital des grandes banques.
"Une grande partie de l'actualité est motivée par la crainte que les banques ne réduisent leurs prévisions de bénéfices pour le trimestre en cours", a déclaré Lindsey Bell, stratégiste en chef chez 248 Ventures à Charlotte, en Caroline du Nord. "Les nouvelles de JPMorgan, Goldman Sachs et Ally ont volé la vedette car elles indiquent que leur activité ralentit fondamentalement".
Le secteur de l'énergie a aussi chuté après que l'OPEC+ a fait état de demandes en baisse pour 2024 et 2025.
Les investisseurs s'inquiètent des conséquences économiques d'une demande énergétique plus faible, en plus de l'incertitude entourant la décision de la Fed sur les taux d'intérêt la semaine prochaine.
Aux valeurs, les grandes capitalisations de la tech et Google ont fini en baisse.
La Cour de justice de l'Union européenne (CJUE) a confirmé mardi qu'Apple avait bénéficié d'une aide illégale accordée par l'Irlande en matière fiscale que le pays devra recouvrer. Par ailleurs, l'entreprise chinoise Huawei [RIC:RIC:RIC:HWT.UL] a dévoilé mardi un nouveau smartphone pliant à 2.800 dollars quelques heures après qu'Apple a présenté un nouvel iPhone.
La Cour de justice de l'Union européenne (CJUE) a confirmé mardi l'amende de 2,4 milliards d'euros infligée à Google, filiale d'Alphabet, pour abus de position dominante avec son service de comparaison de produits.
L'action de Oracle a grimpé de 11,4% après avoir annoncé lundi dépasser les attentes en matière de résultats trimestriels et a annoncé prévoir une croissance de son chiffre d'affaires pour le trimestre en cours supérieure aux estimations, stimulée par la demande croissante pour ses offres d'informatique dématérialisée.
Goldman Sachs est sur le point de finaliser un accord pour transférer son activité de cartes de crédit de General Motors à Barclays , a déclaré mardi une source au fait du dossier.
L'abandon du partenariat commercial avec GM, qui représente environ 2 milliards de dollars d'encours, s'inscrit dans le cadre de la volonté de Goldman Sachs de se recentrer sur les services aux consommateurs .
Les entreprises sont encore en train de mener les négociations finales, a déclaré la source, qui a demandé à ne pas être identifiée parce que les discussions sont privées.
Goldman Sachs et Barclays se sont refusés à tout commentaire.
La banque de Wall Street devrait subir une perte sur cette activité au troisième trimestre.
Le directeur général de Goldman Sachs, David Solomon, a déclaré lundi lors d'une conférence que la vente de prêts aux petites et moyennes entreprises de vente au détail et son projet de se retirer du partenariat avec GM pour les cartes de crédit entraîneraient probablement une charge avant impôts.
"La combinaison de ces éléments ce trimestre aura probablement un impact avant impôt d'environ 400 millions de dollars, qui se répercutera en grande partie sur les revenus", a déclaré M. Solomon.
Goldman Sachs avait prévu de supprimer ses cartes de crédit cobrandées avec GM en novembre dernier. Le programme de cartes de crédit, émis par Mastercard par l'intermédiaire de Goldman Sachs, a été lancé en 2022 pour permettre aux clients de gagner plus de points à utiliser pour l'achat ou la location de Buicks, Cadillacs et autres voitures GM.
JPMorgan Chase a connu un revers important aujourd’hui, le cours de l’action de la société ayant chuté de 7,5 % suite aux remarques du président Daniel Pinto qui ont atténué les attentes du marché.
Les commentaires de Pinto, comparés au tristement célèbre tweet d’Elon Musk sur Tesla en 2020, laissent entendre que Wall Street est peut-être trop optimiste quant aux performances à court terme de la banque.
L’avertissement inattendu a effrayé les investisseurs, entraînant la plus forte baisse quotidienne du cours de l’action de JPMorgan depuis juin 2020.
Dans une déclaration qui a ébranlé la confiance, Pinto a averti :
Les attentes du NII sont un peu trop élevées. L’année prochaine sera un peu plus difficile.
Le NII, ou revenu net d’intérêt, représente les revenus de la banque provenant des prêts moins les intérêts qu’elle verse aux déposants.
Cette révélation suggère que les performances financières jusqu’alors solides de la banque pourraient ralentir, déclenchant une vente immédiate.
Les remarques de Pinto font écho au tweet d’Elon Musk de 2020, dans lequel le PDG de Tesla affirmait que les actions de sa société étaient « trop élevées », entraînant une chute de 11 %.
Les vendeurs à découvert, qui avaient lutté contre la montée en flèche du cours de l’action Tesla, y ont vu une opportunité en or.
De même, l’évaluation honnête de Pinto a provoqué un choc similaire chez les investisseurs de JPMorgan, les prenant au dépourvu, tout comme le tweet de Musk.
La Fed fait chuter les actions bancaires
La baisse du marché n’a pas été uniquement provoquée par les propos de Pinto.
JPMorgan, comme l’ensemble du secteur bancaire, a été touché par l’annonce d’une refonte réglementaire de la Réserve fédérale.
Le projet actualisé de règles de capital de la Fed, qui exigeait initialement que les prêteurs américains augmentent leur capital de 19 %, a été révisé à la baisse à 9 %.
Toutefois, même ce chiffre réduit est inférieur aux attentes du marché, ce qui exacerbe les inquiétudes des investisseurs.
En tant que l’une des plus grandes banques des États-Unis, JPMorgan a été particulièrement touchée par ces nouvelles réglementations.
La combinaison de la mise en garde de Pinto et des pressions réglementaires a créé une tempête parfaite qui a conduit à la chute spectaculaire du cours de l’action.
Prévisions de JPMorgan pour l’année prochaine
L’avertissement de Pinto est particulièrement significatif car il remet directement en cause les perspectives financières antérieures de JPMorgan.
Il y a quatre mois, la banque avait prévu 91 milliards de dollars de revenu net d’intérêts pour l’année, un chiffre qui semble désormais trop ambitieux selon le président.
Bien que la banque n’ait pas fourni de chiffre révisé, la simple suggestion d’un NII inférieur aux attentes a ébranlé les actionnaires.
De plus, bien que JPMorgan s’attende à une hausse de 15 % des frais de banque d’investissement pour le troisième trimestre et à une hausse de 2 % des revenus du marché, ces chiffres restent inférieurs aux attentes des analystes.
Par exemple, le PDG de Goldman Sachs, David Solomon, a prévu une baisse de 10 % des revenus de trading, ce qui dresse un tableau sombre pour l’ensemble du secteur.
Même si les performances de JPMorgan pourraient encore dépasser celles de ses concurrents, il semble qu’elles ne seront pas suffisantes pour satisfaire aux normes élevées de Wall Street.
Les investisseurs devraient prêter une attention particulière aux commentaires de Pinto, car il est largement considéré comme le successeur probable de l’actuel PDG Jamie Dimon.
Sa vision réaliste des performances de JPMorgan pourrait signaler un changement dans l’approche de la direction alors que la banque évolue dans un paysage financier de plus en plus complexe.
Alors que JPMorgan se prépare à un éventuel cycle d’assouplissement de la part de la Réserve fédérale, qui ralentirait la croissance des revenus d’intérêts, les investisseurs se demandent si la banque peut répondre ou dépasser les attentes au cours de l’année à venir.
Les propos francs de Pinto servent d’avertissement et appellent à la prudence sur un marché devenu de plus en plus incertain.
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