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J'ai 5 ans d'expérience en analyse financière, notamment dans les aspects d'évolution macroéconomique et de jugement de tendances à moyen et long terme. Je me concentre principalement sur l'évolution du Moyen-Orient, des marchés émergents, du charbon, du blé et d'autres produits agricoles.
Coach de trading en chef et conférencier BeingTrader, plus de 8 ans d'expérience dans le trading du marché des changes, principalement XAUUSD, EUR/USD, GBP/USD, USD/JPY et pétrole brut. Un trader et analyste confiant qui vise à explorer diverses opportunités et à guider les investisseurs sur le marché. En tant qu'analyste, je cherche à améliorer l'expérience du trader en le soutenant avec suffisamment de données et de signaux.
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Risk Warning on Trading HK Stocks
Despite Hong Kong's robust legal and regulatory framework, its stock market still faces unique risks and challenges, such as currency fluctuations due to the Hong Kong dollar's peg to the US dollar and the impact of mainland China's policy changes and economic conditions on Hong Kong stocks.
HK Stock Trading Fees and Taxation
Trading costs in the Hong Kong stock market include transaction fees, stamp duty, settlement charges, and currency conversion fees for foreign investors. Additionally, taxes may apply based on local regulations.
HK Non-Essential Consumer Goods Industry
The Hong Kong stock market encompasses non-essential consumption sectors like automotive, education, tourism, catering, and apparel. Of the 643 listed companies, 35% are mainland Chinese, making up 65% of the total market capitalization. Thus, it's heavily influenced by the Chinese economy.
HK Real Estate Industry
In recent years, the real estate and construction sector's share in the Hong Kong stock index has notably decreased. Nevertheless, as of 2022, it retains around 10% market share, covering real estate development, construction engineering, investment, and property management.
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Les Bourses européennes ont fini dans le rouge mercredi avant l'annonce d'une baisse marquée du taux de la banque centrale américaine (Fed), qui n'a pas suffi à Wall Street, déçue par le message prudent de son président.
En Europe, la Bourse de Paris a terminé dans le rouge, lâchant 0,57%, Londres a reculé de 0,68%, Milan a cédé 0,37%, tandis que Francfort est restée stable (-0,08%).
A New York, le Dow Jones a abandonné 0,25%, l'indice Nasdaq a perdu 0,31%, et l'indice élargi S&P 500 a cédé 0,29%.
La Réserve fédérale (Fed) a baissé mercredi d'un demi-point de pourcentage son taux directeur, qui se situe désormais dans une fourchette comprise entre 4,75% et 5%.
Elle a surpris la plupart des économistes, qui plaidaient pour une réduction d'un quart de point.
Après cette communication, la fin de séance boursière a été, comme prévu, très volatile, les indices oscillant entre rouge et vert avant de finir en négatif.
Ce franc coup de rabot de la Fed était théoriquement de nature à satisfaire Wall Street, un environnement de taux plus bas profitant aux actions.
"Mais les investisseurs sont comme les enfants avec les glaces: ils en veulent toujours plus", a commenté Steve Sosnick, d'Interactive Brokers.
Or lors de sa conférence de presse, le président de la Fed, Jerome Powell, "leur a dit de ne pas s'attendre à ce que cela devienne une habitude", a poursuivi cet analyste.
Le banquier central a adopté un discours très mesuré, insistant sur le fait que l'institution allait "avancer avec prudence" et qu'elle ne s'interdisait pas de faire une pause dans son cycle d'assouplissement monétaire si les conditions le justifiaient.
"Tout va dépendre de la façon dont l'économie évolue", a affirmé Jerome Powell.
Les opérateurs ont recalibré mercredi leurs attentes et ne tablent plus que sur des baisses supplémentaires d'un demi-point au total lors des deux dernières réunions de la Fed cette année, alors qu'ils pariaient encore sur un point la veille.
Le marché obligataire a pris acte et le rendement des emprunts d'Etat américains à 2 ans s'est tendu, à 3,62% contre 3,60% la veille.
Le billet vert a également fait preuve de fermeté. Il était proche de son niveau de la veille face à la monnaie unique européenne, à 1,1118 dollar pour un euro (-0,03%)
Tupperware ferme la boîteLesté par une importante dette et pénalisé par des ventes qui s'érodent, le célèbre Tupperware, dont le nom est passé dans le langage courant, a déposé le bilan. Plus coté depuis la clôture de lundi, le titre restait suspendu.
BASF en ébullitionLe nouveau patron du groupe de chimie en crise BASF (+2,37% à Francfort), Markus Kamieth, pourrait annoncer des mesures visant à donner plus d'indépendance aux divisions des produits chimiques agricoles et revêtements lors des journées investisseurs les 26 et 27 septembre, selon l'agence financière Bloomberg.
Commerzbank en vueBerlin n'a pas encore décidé si la participation de l'État allemand dans Commerzbank (+1,45% à Francfort) doit encore baisser, après avoir vendu un premier lot d'actions à la banque italienne Unicredit, qui entrevoit désormais un rachat du deuxième groupe bancaire allemand, a assuré une porte-parole du ministère allemand des Finances. Barclays a par ailleurs rehaussé sa recommandation sur le titre à "pondérer".
Campari, mauvaise surpriseLe PDG du groupe italien de spiritueux Campari, Matteo Fantacchiotti, a démissionné "pour raisons personnelles", cinq mois à peine après avoir pris ses fonctions, a annoncé la société. Cette annonce surprise a fait chuter le titre de près de 7,5% à Milan.
Le pétrole limite ses pertesLe pétrole a limité ses pertes après avoir évolué pendant quasiment toute la séance dans le rouge, aidé par la décision de la Fed de tailler nettement son taux.
Le prix du baril de Brent de la mer du Nord, pour livraison en novembre, s'est effrité de 0,07%, pour clôturer à 73,65 dollars.
Celui du baril de West Texas Intermediate (WTI) américain, avec échéance en octobre, a lui cédé 0,39%, à 70,91 dollars.
La Bourse de New York a fini en baisse mercredi, malgré une réduction marquée du taux de la banque centrale américaine (Fed), une partie des investisseurs regrettant le ton mesuré de son président quant aux prochaines réunions de l'institution.
Le Dow Jones a abandonné 0,25%, l'indice Nasdaq a perdu 0,31%, et l'indice élargi S&P 500 a cédé 0,29%.
La Réserve fédérale (Fed) a baissé mercredi d'un demi-point de pourcentage son taux directeur, qui se situe désormais dans une fourchette comprise entre 4,75% et 5%.
Elle a surpris la plupart des économistes, qui plaidaient pour une réduction d'un quart de point.
Après cette communication, la fin de séance boursière a été, comme prévu, très volatile, les indices oscillant entre rouge et vert avant de finir en négatif.
Ce franc coup de rabot de la Fed était théoriquement de nature à satisfaire Wall Street, un environnement de taux plus bas profitant aux actions.
"Mais les investisseurs sont comme les enfants avec les glaces: ils en veulent toujours plus", a commenté Steve Sosnick, d'Interactive Brokers.
Or lors de sa conférence de presse, le président de la Fed Jerome Powell "leur a dit de ne pas s'attendre à ce que cela devienne une habitude", a poursuivi cet analyste.
Le banquier central a adopté un discours très mesuré, insistant sur le fait que l'institution allait "avancer avec prudence" et qu'elle ne s'interdisait pas de faire une pause dans son cycle d'assouplissement monétaire si les conditions le justifiaient.
"Tout va dépendre de la façon dont l'économie évolue", a affirmé Jerome Powell.
Les opérateurs ont recalibré mercredi leurs attentes et ne tablent plus que sur des baisses supplémentaires d'un demi-point au total lors des deux dernières réunions de la Fed cette année, alors qu'ils pariaient encore sur un point la veille.
Le marché obligataire a pris acte et le rendement des emprunts d'Etat américains à 2 ans s'est tendu, à 3,62% contre 3,60% la veille.
Au-delà de la Fed, "je ne suis pas vraiment surpris par la petite vague de ventes" sur le marché actions, a expliqué Steve Sosnick, rappelant que le S&P 500 restait sur sept séances consécutives de gains.
La décision de la banque centrale américaine a déclenché une vague de prises de bénéfices.
Les grands noms des semi-conducteurs ont été particulièrement touchés, qu'il s'agisse de Nvidia (-1,92%), AMD (-1,68%) ou Intel (-3,26%).
A l'inverse, Apple, en difficulté depuis une semaine, a fini par rebondir (+1,80%).
Le groupe aérospatial Intuitive Machines a été mis en orbite (+38,33%) par l'annonce d'un contrat de cinq ans et 4,8 milliards de dollars avec la Nasa, portant sur la mise en place d'infrastructures permettant des voyages fréquents sur la Lune.
En début d'année, l'entreprise était parvenue à poser sur l'astre son module Odysseus, première sonde privée à atterrir sur la Lune.
Grâce à des résultats supérieurs aux attentes et à la confirmation de ses prévisions, le groupe agroalimentaire General Mills a gagné 0,68%.
Lesté par une importante dette et pénalisé par des ventes qui s'érodent, le célèbre Tupperware, dont le nom est passé dans le langage courant, a déposé le bilan. Plus coté depuis la clôture de lundi, le titre est resté suspendu mercredi.
US Steel a progressé (+1,52%) après que la décision du gouvernement américain sur le rachat de l'aciériste par son concurrent japonais Nippon Steel a été renvoyée après l'élection présidentielle.
Le président Joe Biden ainsi que les deux principaux candidats en lice, Donald Trump et Kamala Harris, ont manifesté publiquement leur hostilité à cette transaction.
Principales valeurs à suivre mercredi à Wall Street :
* ALPHABET - Le Tribunal de l'Union européenne a annulé mercredi la décision de la Commission européenne d'infliger à Google, filiale d'Alphabet, une amende de 1,49 milliard d'euros pour avoir entravé la concurrence dans le domaine de la publicité pour les recherches en ligne.
* BLACKROCK , MICROSOFT - Le groupe de gestion d'actifs se prépare à lancer un fonds d'investissement dans l'intelligence artificielle (IA) de plus de 30 milliards de dollars avec l'éditeur de Windows pour bâtir des centres de données et des projets énergétiques afin de répondre à la forte demande dans le secteur de l'IA, a rapporté mardi le Financial Times, citant des sources informées du dossier.
* BOEING et le syndicat International Association of Machinists and Aerospace Workers vont reprendre les négociations ce mercredi en présence de médiateurs fédéraux pour tenter de mettre fin à une grève en cours depuis vendredi.
* SOUTHWEST AIRLINES - L'investisseur activiste Elliott Investment Management a annoncé au syndicat Aircraft Mechanics Fraternal Association, qu'il souhaitait toujours remplacer le directeur général Robert Jordan, selon une note interne du syndicat consulté par Reuters, même si le transporteur s'est engagé à remanier son conseil d'administration.
* TUPPERWARE BRANDS et certaines de ses filiales se sont placées mardi sous la protection du chapitre 11 de la loi sur les faillites, dans un contexte de baisse de la demande pour ses contenants de conservation des aliments et de pertes financières croissantes.
* AMAZON a promu mercredi Samir Kumar, qui a rejoint le géant du commerce électronique en 2013, à la tête de sa filiale en Inde, au moment il est confronté à une concurrence intense et à des pressions réglementaires dans le pays.
* JP MORGAN CHASE - Le directeur général du groupe, Jamie Dimon, prévoit de se rendre en Afrique à la mi-octobre dans le cadre d'une initiative visant à se développer sur le continent africain, ont rapporté à Reuters quatre sources proches du dossier. Il s'agit du premier voyage en Afrique depuis sept ans du patron de la plus grande banque américaine.
* GENERAL MILLS doit publier ses résultats trimestriels avant l'ouverture de la séance à New York.
* ARKO - Le distributeur envisage de céder ses activités de magasins de proximité dans le cadre d'une transaction qui pourrait être évaluée à environ deux milliards de dollars, ont rapporté à Reuters des sources informées du dossier. Le groupe souhaite renoncer à sa stratégie d'expansion dans un contexte de ralentissement des ventes dans le secteur des magasins.
* INTUITIVE MACHINES a remporté auprès de la Nasa un contrat d'une valeur pouvant atteindre 4,82 milliards de dollars pour des services de communication et de navigation destinés à des missions dans l'espace.
* VF CORP - Barclays relève sa recommandation de "pondération en ligne" à "surpondérer".
Voici les principaux articles parus dans le Wall Street Journal. Reuters n'a pas vérifié ces articles et ne se porte pas garant de leur exactitude.
- Tupperware Brands a déclaré que la société et certaines filiales ont volontairement entamé (link) la procédure du chapitre 11 devant le tribunal américain des faillites du Delaware.
- Le directeur général de SpaceX, Elon Musk, a déclaré que la société poursuivrait (link) la Federal Aviation Administration après que les régulateurs de la sécurité aérienne ont allégué que la société a violé les règlements de lancement de fusées au cours de deux vols, et a proposé des amendes.
- Intuitive Machines a déclaré avoir obtenu (link) un contrat de la Nasa d'une valeur maximale de 4,82 milliards de dollars pour des services de communication et de navigation destinés à des missions dans l'espace proche, qui s'étend de la surface de la Terre jusqu'au-delà de la Lune.
- BlackRock , Microsoft et l'investisseur MGX, soutenu par l'État des Émirats arabes unis, s'associent à (link) pour créer un nouveau fonds d'infrastructure d'intelligence artificielle qui vise à lever 30 milliards de dollars pour investir dans les centres de données et l'infrastructure énergétique connexe.
- Salesforce et Nvidia vont collaborer (link) pour développer des capacités avancées d'intelligence artificielle destinées à permettre de nouvelles connaissances et à améliorer la productivité des équipes qui utilisent la plateforme de Salesforce.
- (link) Le syndicat United Auto Workers s'en prend à nouveau au constructeur de Jeep Stellantis en menaçant de se mettre en grève dans les usines américaines de l'entreprise en raison de retards dans la réouverture d'une usine à l'arrêt dans l'Illinois et d'autres points de discorde.
Les Bourses européennes ont fini dans le vert mardi mais Wall Street s'est montrée plus timorée avant une décision très attendue de la banque centrale américaine (Fed), mercredi.
En Europe, la Bourse de Paris a terminé en hausse de 0,51%. La place boursière de Londres a pris 0,38% et celle de Francfort 0,50%.
A Wall Street, le Dow Jones (-0,04%) et l'indice élargi S&P 500 (+0,03%) ont fini proches de l'équilibre, tandis que l'indice Nasdaq a pris 0,20%.
La séance aura été volatile, les grands indices démarrant nettement dans le vert, avant de prendre la direction opposée, puis de revenir autour de leur niveau de la veille.
La place new-yorkaise a fermé les écoutilles avant la journée de mercredi, qui verra la Fed annoncer sa décision de politique monétaire.
Une nouvelle salve d'indicateurs a incité nombre d'économistes à plaider pour une baisse d'un quart de point de pourcentage du taux directeur de la Réserve fédérale.
Les ventes de détail ont augmenté de 0,1% sur un mois en août aux Etats-Unis, alors qu'une contraction de 0,2% était anticipée.
Par ailleurs, la production industrielle a augmenté de 0,8% sur un mois, en août également, son rythme le plus rapide depuis février, sensiblement au-dessus des 0,2% anticipés.
"Ce rapport ne donne aucune raison à la Fed de baisser son taux d'un demi-point", a réagi High Frequency Economics au sujet de la production industrielle.
Le marché obligataire semble en avoir tiré les mêmes conclusions, car le rendement des emprunts d'Etat américains à 2 ans est remonté jusqu'à 3,61%, contre 3,55% lundi en clôture.
Une partie des opérateurs refusaient cependant de rendre les armes et, sur le marché à terme, la probabilité attribuée à l'hypothèse d'une baisse d'un demi-point l'emportait toujours nettement (63%).
Pour autant, Jack Ablin, de Cresset Capital a vu dans la stabilisation de fin de séance un signe.
"Les investisseurs commencent à revoir leurs projections", affirme-t-il. "Je pense qu'il y a eu un peu trop d'optimisme autour d'une importante baisse de taux" dès mercredi, ce qui pourrait limiter la réaction du marché à la décision de la Fed, mercredi, selon lui.
Autres temps forts de la semaine, les décisions de politique monétaire de la Banque d'Angleterre (BoE), jeudi, et de la Banque du Japon (BoJ), vendredi, seront aussi attendues avec intérêt par les marchés.
La devise américaine était en petite hausse face à l'euro (+0,13%) à 1,1117 dollar pour un euro, après avoir lâché un peu de lest la veille.
Intel en hausseA la cote, ordinairement à la traîne de ses concurrents à Wall Street, le fabricant de semi-conducteurs a brillé (+2,68%) après une série d'annonces lundi, après Bourse.
Le groupe de Santa Clara (Californie) a notamment repoussé de deux ans ses projets d'usine en Allemagne et en Pologne. Il va aussi loger ses activités de fabrication de puces pour d'autres sociétés dans une filiale dédiée.
Barry Callebaut brilleA Zurich, le numéro un mondial du cacao Barry Callebaut a bondi de 7,21%, porté par la publication d'une note d'analystes de Barclays, désormais plus positifs sur le titre en raison de "la normalisation du prix du cacao, grâce à des perspectives de récolte plus favorables".
Kingfisher s'envole à LondresLe groupe britannique de magasins de bricolage Kingfisher, propriétaire en France de Castorama et Brico Dépôt, s'est envolé de 11,23% à Londres, signant la meilleure performance de l'indice paneuropéen Stoxx 600, après avoir légèrement relevé ses objectifs annuels et publié un bénéfice net quasi stable au premier semestre.
Le pétrole se reprendLes cours du pétrole ont conclu leur séance sur une nouvelle progression, entraînés par un regain de tension au Moyen-Orient suite à l'explosion de centaines de bipeurs de membres du mouvement libanais pro-iranien Hezbollah.
Le prix du baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en novembre a gagné 1,30%, pour clôturer à 73,70 dollars.
Le baril de West Texas Intermediate (WTI) américain avec échéance en octobre a lui pris 1,56%, à 71,19 dollars.
La Bourse de New York a terminé en ordre dispersé et proche de l'équilibre mardi, les investisseurs faisant preuve de prudence avant la décision encore incertaine de la banque centrale américaine (Fed), mercredi.
Le Dow Jones (-0,04%) et l'indice élargi S&P 500 (+0,03%) ont fini proches de l'équilibre, tandis que l'indice Nasdaq a pris 0,20%.
La séance aura été volatile, les grands indices démarrant nettement dans le vert, avant de prendre la direction opposée, puis de revenir autour de leur niveau de la veille.
La place new-yorkaise a fermé les écoutilles avant la journée de mercredi, qui verra la Fed annoncer sa décision de politique monétaire.
Une nouvelle salve d'indicateurs a incité nombre d'économistes à plaider pour une baisse d'un quart de point de pourcentage du taux directeur de la Réserve fédérale.
Les ventes de détail ont augmenté de 0,1% sur un mois en août aux Etats-Unis, alors qu'une contraction de 0,2% était anticipée.
Par ailleurs, la production industrielle a augmenté de 0,8% sur un mois, en août également, son rythme le plus rapide depuis février, sensiblement au-dessus des 0,2% anticipés.
"Ce rapport ne donne aucune raison à la Fed de baisser son taux d'un demi-point", a réagi High Frequency Economics au sujet de la production industrielle.
Le marché obligataire semble en avoir tiré les mêmes conclusions, car le rendement des emprunts d'Etat américains à 2 ans est remonté jusqu'à 3,61%, contre 3,55% lundi en clôture.
Une partie des opérateurs refusaient cependant de rendre les armes et, sur le marché à terme, la probabilité attribuée à l'hypothèse d'une baisse d'un demi-point l'emportait toujours nettement (63%).
Pour autant, Jack Ablin, de Cresset Capital a vu dans la stabilisation de fin de séance un signe.
"Les investisseurs commencent à revoir leurs projections", affirme-t-il. "Je pense qu'il y a eu un peu trop d'optimisme autour d'une importante baisse de taux" dès mercredi, ce qui pourrait limiter la réaction du marché à la décision de la Fed, mercredi, selon lui.
A la cote, ordinairement à la traîne de ses concurrents à Wall Street, Intel a brillé (+2,68%) après une série d'annonces lundi, après Bourse.
Le groupe de Santa Clara (Californie) a notamment repoussé de deux ans ses projets d'usine en Allemagne et en Pologne. Il va aussi loger ses activités de fabrication de puces pour d'autres sociétés dans une filiale dédiée.
Outre Intel, le Nasdaq a pu compter sur Microsoft (+0,88%) qui a dévoilé un dividende en hausse et un nouveau programme de rachat d'actions à hauteur de 60 milliards de dollars.
Le géant des logiciels et de l'informatique à distance menace désormais de détrôner une nouvelle fois Apple (+0,22%) au sommet des capitalisations boursières mondiales.
Amazon a aussi été recherché (+1,08%), le rapport sur les ventes de détail mettant en évidence le dynamisme du commerce en ligne.
Meta a avancé (+0,57%) après avoir présenté une nouvelle version d'Instagram pour les adolescents, qui comporte de nombreuses restrictions visant à protéger les jeunes utilisateurs de contenus nocifs ou de contacts non désirés.
Hewlett Packard Enterprise (HPE) a été favorisé (+5,63%) par un relèvement de recommandation des analystes de Bank of America, qui entrevoient des synergies importantes avec l'équipementier en télécommunications Juniper Networks, en cours de rachat.
En difficulté depuis des années, le fabricant américain des célèbres conteneurs alimentaires en plastique Tupperware a vu le cours de son action suspendu mardi, après que l'agence Bloomberg a fait état d'un possible dépôt de bilan.
Lundi, le titre avait perdu 57,51% en une séance après la publication de cette information, selon laquelle le groupe d'Orlando (Floride) pourrait se déclarer en cessation de paiement dès cette semaine.
Le ministère américain des Transports a donné mardi son feu vert sous condition au rachat de la compagnie Hawaiian Airlines (+3,93%) par sa concurrente Alaska Airlines (-0,87%), pour 1,9 milliard de dollars.
Les Bourses mondiales sont orientées à la hausse mardi, poussées par la perspective d'une importante baisse des taux de la banque centrale américaine (Fed) mercredi.
En Europe, la Bourse de Paris a terminé en hausse de 0,51%. La place boursière de Londres a pris 0,38% et celle de Francfort 0,50%.
A Wall Street, les indices évoluaient également à la hausse: vers 16H00 GMT, le S&P prenait 0,39%, le Nasdaq 0,76% et le Dow Jones gagnait 0,23%.
Les marchés sont surtout portés par les attentes d'une baisse des taux de la Réserve fédérale (Fed) et "anticipent une baisse de 50 points de base" (0,5 point de pourcentage) mercredi, à l'issue de la réunion de politique monétaire de l'institution, a noté Alexandre Baradez, responsable marché chez IG France.
Pourtant, la publication d'indicateurs économiques aux Etats-Unis témoignant de la résistance de l'économie américaine aurait pu amener les marchés à revoir en baisse l'ampleur de cette première diminution des taux de la Fed depuis 2020, très attendue.
Si "l'hypothèse d'une baisse de 25 points de base reste vivace", le marché a décidé de "voir le verre à moitié plein", a ajouté Alexandre Baradez.
Dans le détail, l'indice mesurant la consommation des ménages américains a enregistré une très légère hausse en août par rapport à juillet, à rebours des prévisions des analystes, qui tablaient sur un léger recul, selon le consensus de Market Watch.
La production industrielle a aussi progressé de 0,8% sur un mois en août, son rythme le plus rapide depuis février, au-dessus des 0,2% anticipés.
La question de l'ampleur de la baisse des taux de la Fed restera sur la table "jusqu'à mercredi", a relevé M. Baradez, d'autant que "les probabilités peuvent changer très vite".
Après un cycle de 11 hausses de taux, la Fed devrait baisser mercredi pour la première fois depuis mars 2020 ses taux directeurs, qui se situent depuis juillet 2023 dans la fourchette de 5,25% à 5,50%, au plus haut depuis deux décennies.
"Il ne faudrait en revanche pas que la Fed donne l'impression de surréagir au ralentissement économique" des Etats-Unis, ce qui pourrait inquiéter les marchés, a souligné Thomas Giudici, analyste pour Auris Gestion.
Le discours du président de la Fed, Jérôme Powell, prévu à l'issue de cette réunion sera, à ce titre, particulièrement scruté.
Autres temps forts de la semaine, les décisions de politique monétaire de la Banque d'Angleterre (BoE), jeudi, et de la Banque du Japon (BoJ), vendredi, seront aussi attendues avec intérêt par les marchés.
Sur le marché obligataire, le rendement de l'emprunt d'État américain à deux ans, le plus sensible aux évolutions de politique monétaire, s'établissait à 3,61% vers 15H50 GMT contre 3,55% lundi.
La devise américaine était en petite hausse face à l'euro (+0,13%) à 1,1117 dollar pour un euro, après avoir lâché un peu de lest la veille.
Intel en hausseA Wall Street, Intel faisait des étincelles (+5,48%) après une série d'annonces lundi, après Bourse.
Le groupe de Santa Clara (Californie) a notamment repoussé de deux ans ses projets d'usine en Allemagne et en Pologne. Il va aussi loger ses activités de fabrication de puces pour d'autres sociétés dans une filiale dédiée.
Barry Callebaut brilleA Zurich, le numéro un mondial du cacao Barry Callebaut a bondi de 7,21%, porté par la publication d'une note d'analystes de Barclays, désormais plus positifs sur le titre en raison de "la normalisation du prix du cacao, grâce à des perspectives de récolte plus favorables".
Kingfisher s'envole à LondresLe groupe britannique de magasins de bricolage Kingfisher, propriétaire en France de Castorama et Brico Dépôt, s'est envolé de 11,23% à Londres, signant la meilleure performance de l'indice paneuropéen Stoxx 600, après avoir légèrement relevé ses objectifs annuels et publié un bénéfice net quasi stable au premier semestre.
Le pétrole se reprendLes cours du pétrole remontaient vers 15H50 GMT: le baril de Brent de la mer du Nord prenait 1,15% à 73,59 dollars et celui de West Texas Intermediate (WTI) américain gagnait 1,61%, à 71,22 dollars.
Le bitcoin grimpait de 5,52% à 60.857,70 dollars.
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