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J'ai 5 ans d'expérience en analyse financière, notamment dans les aspects d'évolution macroéconomique et de jugement de tendances à moyen et long terme. Je me concentre principalement sur l'évolution du Moyen-Orient, des marchés émergents, du charbon, du blé et d'autres produits agricoles.
Coach de trading en chef et conférencier BeingTrader, plus de 8 ans d'expérience dans le trading du marché des changes, principalement XAUUSD, EUR/USD, GBP/USD, USD/JPY et pétrole brut. Un trader et analyste confiant qui vise à explorer diverses opportunités et à guider les investisseurs sur le marché. En tant qu'analyste, je cherche à améliorer l'expérience du trader en le soutenant avec suffisamment de données et de signaux.
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Risk Warning on Trading HK Stocks
Despite Hong Kong's robust legal and regulatory framework, its stock market still faces unique risks and challenges, such as currency fluctuations due to the Hong Kong dollar's peg to the US dollar and the impact of mainland China's policy changes and economic conditions on Hong Kong stocks.
HK Stock Trading Fees and Taxation
Trading costs in the Hong Kong stock market include transaction fees, stamp duty, settlement charges, and currency conversion fees for foreign investors. Additionally, taxes may apply based on local regulations.
HK Non-Essential Consumer Goods Industry
The Hong Kong stock market encompasses non-essential consumption sectors like automotive, education, tourism, catering, and apparel. Of the 643 listed companies, 35% are mainland Chinese, making up 65% of the total market capitalization. Thus, it's heavily influenced by the Chinese economy.
HK Real Estate Industry
In recent years, the real estate and construction sector's share in the Hong Kong stock index has notably decreased. Nevertheless, as of 2022, it retains around 10% market share, covering real estate development, construction engineering, investment, and property management.
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Les Bourses européennes ont fini dans le rouge mercredi avant l'annonce d'une baisse marquée du taux de la banque centrale américaine (Fed), qui n'a pas suffi à Wall Street, déçue par le message prudent de son président.
En Europe, la Bourse de Paris a terminé dans le rouge, lâchant 0,57%, Londres a reculé de 0,68%, Milan a cédé 0,37%, tandis que Francfort est restée stable (-0,08%).
A New York, le Dow Jones a abandonné 0,25%, l'indice Nasdaq a perdu 0,31%, et l'indice élargi S&P 500 a cédé 0,29%.
La Réserve fédérale (Fed) a baissé mercredi d'un demi-point de pourcentage son taux directeur, qui se situe désormais dans une fourchette comprise entre 4,75% et 5%.
Elle a surpris la plupart des économistes, qui plaidaient pour une réduction d'un quart de point.
Après cette communication, la fin de séance boursière a été, comme prévu, très volatile, les indices oscillant entre rouge et vert avant de finir en négatif.
Ce franc coup de rabot de la Fed était théoriquement de nature à satisfaire Wall Street, un environnement de taux plus bas profitant aux actions.
"Mais les investisseurs sont comme les enfants avec les glaces: ils en veulent toujours plus", a commenté Steve Sosnick, d'Interactive Brokers.
Or lors de sa conférence de presse, le président de la Fed, Jerome Powell, "leur a dit de ne pas s'attendre à ce que cela devienne une habitude", a poursuivi cet analyste.
Le banquier central a adopté un discours très mesuré, insistant sur le fait que l'institution allait "avancer avec prudence" et qu'elle ne s'interdisait pas de faire une pause dans son cycle d'assouplissement monétaire si les conditions le justifiaient.
"Tout va dépendre de la façon dont l'économie évolue", a affirmé Jerome Powell.
Les opérateurs ont recalibré mercredi leurs attentes et ne tablent plus que sur des baisses supplémentaires d'un demi-point au total lors des deux dernières réunions de la Fed cette année, alors qu'ils pariaient encore sur un point la veille.
Le marché obligataire a pris acte et le rendement des emprunts d'Etat américains à 2 ans s'est tendu, à 3,62% contre 3,60% la veille.
Le billet vert a également fait preuve de fermeté. Il était proche de son niveau de la veille face à la monnaie unique européenne, à 1,1118 dollar pour un euro (-0,03%)
Tupperware ferme la boîteLesté par une importante dette et pénalisé par des ventes qui s'érodent, le célèbre Tupperware, dont le nom est passé dans le langage courant, a déposé le bilan. Plus coté depuis la clôture de lundi, le titre restait suspendu.
BASF en ébullitionLe nouveau patron du groupe de chimie en crise BASF (+2,37% à Francfort), Markus Kamieth, pourrait annoncer des mesures visant à donner plus d'indépendance aux divisions des produits chimiques agricoles et revêtements lors des journées investisseurs les 26 et 27 septembre, selon l'agence financière Bloomberg.
Commerzbank en vueBerlin n'a pas encore décidé si la participation de l'État allemand dans Commerzbank (+1,45% à Francfort) doit encore baisser, après avoir vendu un premier lot d'actions à la banque italienne Unicredit, qui entrevoit désormais un rachat du deuxième groupe bancaire allemand, a assuré une porte-parole du ministère allemand des Finances. Barclays a par ailleurs rehaussé sa recommandation sur le titre à "pondérer".
Campari, mauvaise surpriseLe PDG du groupe italien de spiritueux Campari, Matteo Fantacchiotti, a démissionné "pour raisons personnelles", cinq mois à peine après avoir pris ses fonctions, a annoncé la société. Cette annonce surprise a fait chuter le titre de près de 7,5% à Milan.
Le pétrole limite ses pertesLe pétrole a limité ses pertes après avoir évolué pendant quasiment toute la séance dans le rouge, aidé par la décision de la Fed de tailler nettement son taux.
Le prix du baril de Brent de la mer du Nord, pour livraison en novembre, s'est effrité de 0,07%, pour clôturer à 73,65 dollars.
Celui du baril de West Texas Intermediate (WTI) américain, avec échéance en octobre, a lui cédé 0,39%, à 70,91 dollars.
La Bourse de New York a fini en baisse mercredi, malgré une réduction marquée du taux de la banque centrale américaine (Fed), une partie des investisseurs regrettant le ton mesuré de son président quant aux prochaines réunions de l'institution.
Le Dow Jones a abandonné 0,25%, l'indice Nasdaq a perdu 0,31%, et l'indice élargi S&P 500 a cédé 0,29%.
La Réserve fédérale (Fed) a baissé mercredi d'un demi-point de pourcentage son taux directeur, qui se situe désormais dans une fourchette comprise entre 4,75% et 5%.
Elle a surpris la plupart des économistes, qui plaidaient pour une réduction d'un quart de point.
Après cette communication, la fin de séance boursière a été, comme prévu, très volatile, les indices oscillant entre rouge et vert avant de finir en négatif.
Ce franc coup de rabot de la Fed était théoriquement de nature à satisfaire Wall Street, un environnement de taux plus bas profitant aux actions.
"Mais les investisseurs sont comme les enfants avec les glaces: ils en veulent toujours plus", a commenté Steve Sosnick, d'Interactive Brokers.
Or lors de sa conférence de presse, le président de la Fed Jerome Powell "leur a dit de ne pas s'attendre à ce que cela devienne une habitude", a poursuivi cet analyste.
Le banquier central a adopté un discours très mesuré, insistant sur le fait que l'institution allait "avancer avec prudence" et qu'elle ne s'interdisait pas de faire une pause dans son cycle d'assouplissement monétaire si les conditions le justifiaient.
"Tout va dépendre de la façon dont l'économie évolue", a affirmé Jerome Powell.
Les opérateurs ont recalibré mercredi leurs attentes et ne tablent plus que sur des baisses supplémentaires d'un demi-point au total lors des deux dernières réunions de la Fed cette année, alors qu'ils pariaient encore sur un point la veille.
Le marché obligataire a pris acte et le rendement des emprunts d'Etat américains à 2 ans s'est tendu, à 3,62% contre 3,60% la veille.
Au-delà de la Fed, "je ne suis pas vraiment surpris par la petite vague de ventes" sur le marché actions, a expliqué Steve Sosnick, rappelant que le S&P 500 restait sur sept séances consécutives de gains.
La décision de la banque centrale américaine a déclenché une vague de prises de bénéfices.
Les grands noms des semi-conducteurs ont été particulièrement touchés, qu'il s'agisse de Nvidia (-1,92%), AMD (-1,68%) ou Intel (-3,26%).
A l'inverse, Apple, en difficulté depuis une semaine, a fini par rebondir (+1,80%).
Le groupe aérospatial Intuitive Machines a été mis en orbite (+38,33%) par l'annonce d'un contrat de cinq ans et 4,8 milliards de dollars avec la Nasa, portant sur la mise en place d'infrastructures permettant des voyages fréquents sur la Lune.
En début d'année, l'entreprise était parvenue à poser sur l'astre son module Odysseus, première sonde privée à atterrir sur la Lune.
Grâce à des résultats supérieurs aux attentes et à la confirmation de ses prévisions, le groupe agroalimentaire General Mills a gagné 0,68%.
Lesté par une importante dette et pénalisé par des ventes qui s'érodent, le célèbre Tupperware, dont le nom est passé dans le langage courant, a déposé le bilan. Plus coté depuis la clôture de lundi, le titre est resté suspendu mercredi.
US Steel a progressé (+1,52%) après que la décision du gouvernement américain sur le rachat de l'aciériste par son concurrent japonais Nippon Steel a été renvoyée après l'élection présidentielle.
Le président Joe Biden ainsi que les deux principaux candidats en lice, Donald Trump et Kamala Harris, ont manifesté publiquement leur hostilité à cette transaction.
Tupperware est un nom qui évoque la nostalgie pour beaucoup.
Autrefois un aliment de base dans chaque foyer, connu pour ses contenants hermétiques aux couleurs vives, l’entreprise a connu des décennies de succès.
Fondée en 1946 par Earl Tupper, Tupperware a révolutionné le rangement en cuisine et est devenue emblématique grâce à son modèle innovant de vente directe, qui a vu des millions de femmes participer à des « soirées Tupperware ».
Ces rassemblements ne se limitaient pas à vendre des produits en plastique ; ils visaient également à bâtir des communautés et à offrir une voie vers l’indépendance financière, en particulier pour les femmes au foyer.
Mais aujourd’hui, cet héritage semble bien lointain.
Le 17 septembre, Tupperware Brands Corporation a déposé une demande de protection contre la faillite en vertu du chapitre 11 aux États-Unis.
La dette de l’entreprise avait grimpé à plus de 700 millions de dollars et les ventes étaient en baisse constante.
Ce dépôt de plainte marque un contraste frappant avec les années d’or de Tupperware, lorsque ce dernier était un symbole de l’ingéniosité et de l’esprit d’entreprise américains.
Le dépôt de bilan de Tupperware : était-ce inévitable ?
Le dépôt de bilan de Tupperware n’était pas totalement inattendu.
En avril 2023, Tupperware a révélé dans un dossier réglementaire que son avenir était en danger, avertissant qu’elle pourrait ne pas disposer des fonds nécessaires pour maintenir ses opérations sans obtenir de capitaux supplémentaires.
En août, Tupperware a réussi à obtenir un soulagement temporaire lorsque la société a conclu un accord avec ses créanciers qui a réduit ses obligations de paiement d’intérêts de 150 millions de dollars et a apporté 21 millions de dollars de nouveau financement.
De plus, Tupperware a obtenu une prolongation de son délai pour rembourser environ 348 millions de dollars de dette et a réussi à réduire son endettement total de 55 millions de dollars.
Malgré ces efforts, la situation financière de Tupperware a continué à se détériorer.
Depuis le début de l’année 2024, l’action de la société a chuté de plus de 50 %.
Dans le cadre de ses mesures de réduction des coûts, la société a fermé sa seule usine de fabrication américaine en Caroline du Sud plus tôt cette année, entraînant 148 suppressions d’emplois, selon un dossier déposé en vertu de la loi sur l’ajustement et la reconversion des travailleurs (WARN).
Les dirigeants de l’entreprise ont reconnu qu’ils manquaient de temps pour lever des capitaux ou trouver un acheteur et qu’ils n’avaient pas réussi à s’adapter aux nouvelles tendances de consommation.
Qu’est-ce qui a conduit à cela
L’effondrement de Tupperware est emblématique des difficultés auxquelles sont confrontées de nombreuses marques traditionnelles à une époque de changement technologique rapide et d’évolution des habitudes de consommation.
L’entreprise s’appuyait depuis longtemps sur son modèle de vente directe, où des consultants indépendants vendaient des produits lors de démonstrations à domicile.
Cette méthode était révolutionnaire dans les années 1950 et 1960, permettant à l’entreprise de puiser dans une armée de représentants commerciaux, en majorité des femmes, et de leur donner les moyens d’entrer dans le secteur de la vente.
À son apogée dans les années 1970, Tupperware était un phénomène culturel, touchant des millions de foyers à travers le monde.
Cependant, l’essor du commerce électronique au 21e siècle a laissé Tupperware derrière lui.
Alors que d’autres marques se sont rapidement adaptées aux achats en ligne et ont élargi leur portée commerciale, Tupperware est resté trop longtemps fidèle à son modèle de vente en groupe.
Cette réticence à innover s’est avérée coûteuse, en particulier lorsque les jeunes consommateurs se sont tournés vers des plateformes numériques comme Amazon et Etsy pour acheter leurs articles ménagers.
Une autre erreur de Tupperware a été son incapacité à répondre de manière adéquate aux préoccupations environnementales.
À une époque où la durabilité est devenue un facteur clé dans les décisions d’achat, la dépendance de Tupperware aux produits en plastique l’a rendu vulnérable aux critiques.
L’entreprise a tenté de changer de cap en lançant des produits fabriqués à partir de matériaux plus durables, mais ces efforts sont arrivés trop tard pour inverser son déclin.
Un leadership médiocre et une dette croissante
Les difficultés financières de Tupperware n’étaient pas seulement liées à l’évolution des marchés et des habitudes de consommation ; elles résultaient également de mauvaises décisions de gestion.
Après plusieurs changements de direction, l’entreprise a tenté de réorganiser ses opérations.
Elle a fermé les installations peu performantes, réduit ses effectifs et élargi sa gamme de produits.
Cependant, ces changements n’ont pas été suffisants.
La pandémie de Covid-19 a encore exacerbé ses difficultés.
Alors que de nombreuses marques ont vu leurs ventes en ligne exploser pendant la pandémie, les ventes de Tupperware ont chuté de 18 % en 2022, signalant des problèmes plus profonds.
À mesure que la dette de l’entreprise augmentait, elle n’a pas réussi à obtenir un financement adéquat ni à attirer de nouveaux investisseurs.
En 2024, l’entreprise était à court d’argent, son passif dépassant largement ses actifs.
Le dépôt de bilan en vertu du chapitre 11 donne à Tupperware une chance de se restructurer et de se débarrasser d’une partie de sa dette, mais il met également en évidence la bataille difficile à laquelle l’entreprise est confrontée.
L’entreprise recherche de nouveaux propriétaires ou partenaires qui peuvent injecter le capital dont elle a tant besoin et l’aider à moderniser ses opérations.
Mais dans un marché hautement concurrentiel, il n’est pas certain que Tupperware puisse se réinventer à temps pour éviter la liquidation.
Tupperware peut-il changer de marque et survivre ?
Malgré ses difficultés actuelles, Tupperware, la marque d’ustensiles de cuisine vieille de 78 ans, n’est pas sans espoir.
La marque bénéficie toujours d’une forte notoriété et d’une clientèle fidèle, notamment parmi les consommateurs plus âgés qui ont grandi avec ses produits.
L’entreprise présente également un potentiel sur les marchés internationaux, notamment dans les économies émergentes où le modèle de vente directe de Tupperware pourrait encore être intéressant.
Pour que Tupperware fasse son retour, il faut cependant plus qu’une simple bouée de sauvetage financière.
Cela nécessite une transformation complète.
Tout d’abord, l’entreprise doit s’adapter à l’ère du numérique. Cela signifie investir dans une stratégie de commerce électronique solide et exploiter les médias sociaux pour atteindre une clientèle plus jeune.
Les concurrents de Tupperware ont montré que la création d’une communauté en ligne peut être tout aussi efficace que des démonstrations en personne, voire plus. Des entreprises comme Pampered Chef, par exemple, ont réussi à transférer leurs ventes vers des plateformes virtuelles, en utilisant des diffusions en direct et les médias sociaux pour stimuler l’engagement et les ventes.
De plus, Tupperware doit redoubler d’efforts en matière de durabilité.
L’histoire de la marque avec le plastique est une arme à double tranchant : même si ses produits sont durables et réutilisables, l’entreprise devra innover pour répondre à la demande croissante de solutions respectueuses de l’environnement.
L’introduction de matériaux biodégradables ou recyclés pourrait aider à repositionner Tupperware comme une marque avant-gardiste et responsable.
De plus, Tupperware peut exploiter le pouvoir de la nostalgie, une tendance qui a fonctionné pour d’autres marques traditionnelles.
En réintroduisant des produits classiques avec une touche moderne, l’entreprise pourrait attirer non seulement les consommateurs plus âgés, mais aussi les clients plus jeunes attirés par l’esthétique rétro.
Enfin, les dirigeants de Tupperware doivent se concentrer sur la reconquête de la confiance des consommateurs et sur l’expansion sur des marchés qui correspondent à ses atouts fondamentaux.
Les pays où les modèles de vente directe sont encore dominants, comme l’Inde et certaines régions d’Amérique latine, pourraient constituer un terrain fertile pour la croissance, tandis que les collaborations avec des influenceurs et les partenariats avec d’autres entreprises pourraient aider Tupperware à reconstruire sa réputation sur les marchés occidentaux.
La faillite de Tupperware marque la fin d’une époque, mais elle ne doit pas nécessairement être synonyme de fin pour l’entreprise. Avec les bons investissements et une stratégie claire, Tupperware pourrait faire un retour remarquable.
Les Bourses mondiales sont orientées à la baisse mercredi à quelques heures d'une annonce de la banque centrale américaine (Fed) qui fixera les marchés sur l'ampleur de sa très attendue première baisse des taux.
En Europe, la Bourse de Paris a terminé dans le rouge, lâchant 0,57%, Londres a reculé de 0,68%, Milan a cédé 0,37%, tandis que Francfort est restée stable (-0,08%).
A Wall Street vers 13H50 GMT, les indices boursiers évoluaient en baisse: le S&P 500 lâchait 0,20%, le Nasdaq 0,31% et le Dow Jones 0,14%.
"Tout le monde s'attend à une baisse des taux d'intérêt" de la Fed mercredi et "c'est l'élément marquant de la semaine", souligne Frédéric Ruf, expert en investissements financiers de Milleis Banque.
Feuilleton à suspense, c'est surtout l'ampleur de cette première baisse des taux qui fait débat depuis de nombreuses séances, avec un niveau d'incertitude par ailleurs assez inhabituel sur les marchés.
Ils tablaient mercredi sur une probabilité de "59% en faveur d'une première baisse de 50 points de base, contre seulement 14% la semaine dernière", détaille Frédéric Ruf.
"Ces anticipations ont nettement évolué après les derniers chiffres de l'inflation américaine publiés la semaine dernière, montrant qu'elle se rapproche de l'objectif cible des 2%" que s'est fixé la Fed, a-t-il ajouté.
La Fed lèvera le voile sur sa décision à 18H00 GMT avec la publication d'un communiqué, qui sera suivi trente minutes plus tard par la conférence de presse du président de la puissante institution monétaire américaine, Jerome Powell.
"Ce discours sera scruté, à la recherche d'indications sur la trajectoire monétaire à venir", explique Frédéric Ruf.
Les responsables de la Fed actualiseront également leurs prévisions pour l'économie américaine, en matière d'inflation, de PIB et de chômage.
Il s'agira de leur dernière réunion avant l'élection américaine du 5 novembre, qui opposera l'ancien président républicain Donald Trump à la vice-présidente démocrate Kamala Harris.
La suivante aura lieu immédiatement après le scrutin, les 6 et 7 novembre, de quoi "ajouter un degré de difficulté supplémentaire" dans la capacité des marchés à anticiper cette prochaine décision, ajoute Frédéric Ruf.
Sur le marché obligataire, le taux de l'emprunt américain à échéance dix ans s'établissait à 3,69% vers 15H45 GMT, contre 3,64% la veille. Sur deux ans, il était à 3,66%, contre 3,60%.
Du côté des devises, le billet vert était stable face à l'euro (-0,01%) à 1,1115 dollar pour un euro.
Tupperware ferme la boîteLesté par une importante dette et pénalisé par des ventes qui s'érodent, le célèbre Tupperware, dont le nom est passé dans le langage courant, a déposé le bilan. Plus coté depuis la clôture de lundi, le titre restait suspendu.
BASF en ébullitionLe nouveau patron du groupe de chimie en crise BASF (+2,37% à Francfort), Markus Kamieth, pourrait annoncer des mesures visant à donner plus d'indépendance aux divisions des produits chimiques agricoles et revêtements lors des journées investisseurs les 26 et 27 septembre, selon l'agence financière Bloomberg.
Commerzbank en vueBerlin n'a pas encore décidé si la participation de l'État dans Commerzbank (+1,45% à Francfort) doit encore baisser, après avoir vendu un premier lot d'actions à l'italienne Unicredit, qui entrevoit désormais un rachat de la deuxième banque allemande, a assuré une source gouvernementale. Barclays a par ailleurs rehaussé sa recommandation sur le titre à "pondérer".
Campari, mauvaise surpriseLe PDG du groupe italien de spiritueux Campari, Matteo Fantacchiotti, a démissionné "pour raisons personnelles", cinq mois à peine après avoir pris ses fonctions, a annoncé la société. L'annonce surprise a fait chuter le titre de près de 7,5% à Milan.
Le pétrole en repliVers 15H45 GMT, le prix du baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en novembre perdait 0,60%, à 73,26 dollars. Le baril de West Texas Intermediate (WTI) américain avec échéance en octobre reculait de 0,55%, à 70,80 dollars.
Ailleurs, le bitcoin perdait 1,25% à 59.383 dollars.
Est-ce le clap de fin pour les réunions Tupperware? Le groupe américain, fabricant des légendaires boîtes alimentaires en plastique, a lancé mardi une procédure de faillite après des années de difficultés, sur fond de désamour des consommateurs.
"Depuis quelques années, la situation financière de l'entreprise a été sévèrement affectée par un environnement macroéconomique difficile", a fait valoir mercredi Laurie Ann Goldman, la directrice générale, citée dans un communiqué.
Dans ce contexte, se placer sous la loi de protection sur les faillites était "la meilleure issue", a expliqué la responsable de l'entreprise qui fabrique des boîtes en plastique et autres gadgets pour la cuisine.
L'annonce était dans les tuyaux depuis plusieurs semaines.
Le groupe d'Orlando (sud-est) avait expliqué continuer de faire "face à des problèmes de liquidités importants" et avoir "des doutes quant à sa capacité à poursuivre son activité".
Dans les documents déposés devant le tribunal américain des faillites du Delaware (est), Tupperware évalue ses actifs entre 500 millions et un milliard de dollars, et son passif (capitaux et dettes) entre un et dix milliards de dollars. Il répertorie entre 50.000 et 100.000 créanciers.
Tupperware avait restructuré ses engagements financiers en 2020. Puis, mi-2023, il était parvenu à remanier plus d'un demi-milliard de dollars de sa dette.
"En concluant plusieurs accords sur sa dette, Tupperware avait obtenu un peu de répit et une bouffée d'oxygène. Malheureusement, ce temps est écoulé et l'entreprise n'est toujours pas dans une position pérenne", a relevé Neil Saunders, directeur de GlobalData.
La cotation de l'action Tupperware a été suspendue dès mardi à la Bourse de New York. Le titre avait clôturé lundi à 0,5 dollar, contre 2,55 dollars en décembre 2023.
- Le plastique, pas "fantastique" -Le groupe, emblématique de la vente à domicile, a été fragilisé par l'émergence du commerce en ligne, l'essor de la livraison de repas et, dans son sillage, du plastique à usage unique, qui ont remis en cause son modèle.
Il a aussi été victime de la volonté des consommateurs d'accéder à des solutions plus environnementales.
"La fête est finie depuis quelques temps pour Tupperware", commente ainsi Susannah Streeter, analyste chez Hargreaves Lansdown.
"Les changements de comportement des acheteurs ont rendu ses contenants démodés, alors que les consommateurs ont commencé à se sevrer de leur dépendance au plastique et à trouver des moyens plus respectueux de l'environnement pour conserver les aliments".
L'entreprise a tenté de s'adapter aux changements des modes de consommation en développant ses ventes sur internet et en passant des accords de distribution avec des chaînes de magasins, mais sans parvenir à enrayer sa glissade.
Selon Neil Saunders, elle a pâti de la baisse du nombre de représentants, de l'intensification de la concurrence et des alternatives moins chères mais également du manque d'innovation qui avait fait son succès.
"Il est très difficile de voir comment la marque va pouvoir retrouver ses jours de gloire", a-t-il noté.
Lancé en 1946, Tupperware est devenu un phénomène de société, entrant dans des millions de foyers à travers le monde, grâce à l'efficacité de son réseau de représentants.
Originellement lancées en magasins, ses boîtes en plastique avec couvercle hermétique pour conserver la nourriture plus longtemps ne se vendaient pas bien.
L'entreprise avait alors imaginé le principe des "réunions Tupperware", des démonstrations effectuées au domicile d'un ou d'une représentante pour un groupe d'acheteurs potentiels.
Ces dernières années, Tupperware avait multiplié les éditions spéciales et les collections colorées, à la recherche de nouveaux clients.
En 2017, la société fondée par l'inventeur américain Earl Tupper comptait encore plus de trois millions de représentants dans le monde.
Elle a connu une période faste durant la pandémie de Covid-19, avant de voir ses ventes s'éroder: les derniers comptes annuels publiés par le groupe, ceux de 2022, faisaient état d'un chiffre d'affaires de 1,3 milliard de dollars, soit 42% de moins que cinq ans plus tôt.
"Il y a encore une chance de trouver un acheteur pour l'entreprise, mais le plastique étant loin d'être fantastique, parmi les consommateurs soucieux de l'environnement, revitaliser la marque sera un combat difficile", a estimé Susannah Streeter.
Les Bourses mondiales sont hésitantes mercredi à l'approche d'une annonce de la banque centrale américaine (Fed) qui fixera les marchés sur l'ampleur de sa première baisse des taux dans quelques heures.
A Wall Street, les trois principaux indices évoluaient en ordre dispersé vers 13H50 GMT: le Nasdaq grappillait 0,14%, le Dow Jones cédait 0,23%, tandis que le S&P 500 restait stable (-0,01%).
En Europe, la Bourse de Paris rendait 0,46%, Londres 0,61%, Milan 0,31%, quand Francfort restait stable (-0,04%).
"C'est jour de Fed" pour les marchés financiers, écrit Neil Wilson, analyste de Finalto, et cela accapare toute leur attention.
Mercredi à 18H00 GMT, la puissante institution monétaire américaine indiquera avec quelle ampleur elle commencera à abaisser ses taux directeurs, puis Jerome Powell, son président, tiendra une conférence de presse trente minutes plus tard.
La Fed a commencé à augmenter ses taux directeurs en mars 2022 et les a portés jusqu'à la fourchette de 5,25%-5,50% par plusieurs hausses progressives jusqu'en juillet 2023. Ils sont depuis restés perchés à leur plus haut niveau en plus de deux décennies.
L'ampleur de cette première baisse est au coeur des préoccupations des marchés, qui hésitent entre une baisse de 0,25% et une de 0,50%, attribuant à chacun des scénarios des significations différentes sur l'état de santé de l'économie américaine.
Les responsables de la Fed pourraient jouer la prudence, afin d'éviter de faire repartir l'inflation, et opter pour une modeste baisse d'un quart de point (25 points de base).
Ou, inquiets à l'idée d'une dégradation rapide du marché de l'emploi et de l'économie américaine, ils pourraient frapper plus fort, et couper directement d'un demi-point (50 points de base).
Mais "ce qui compte le plus lors de cette réunion, c'est que les baisses de taux commencent enfin", commente Lauren Saidel-Baker, économiste pour le cabinet de conseil ITR Economics, dans une note.
Les responsables de la Fed actualiseront également leurs prévisions pour l'économie américaine, en matière d'inflation, de PIB et de chômage. Ils diront aussi jusqu'où ils pensent abaisser les taux dans le futur.
Il s'agira de leur dernière réunion avant l'élection américaine du 5 novembre, qui opposera l'ancien président républicain Donald Trump à la vice-présidente démocrate Kamala Harris. La suivante aura lieu immédiatement après le scrutin, les 6 et 7 novembre.
Dans ce contexte d'incertitude, les taux de l'emprunt américain sur dix ans s'établissaient à 3,68% vers 13H45 GMT, contre 3,64% la veille. Sur deux ans, ils étaient à 3,63%, contre 3,60%.
Du côté des devises, le billet vert était en baisse face à l'euro (-0,22%) à 1,1138 dollar pour un euro.
Campari trinqueLe PDG du groupe italien de spiritueux Campari, Matteo Fantacchiotti, a démissionné "pour raisons personnelles", cinq mois à peine après avoir pris ses fonctions, a annoncé la société.
Cette annonce surprise a immédiatement fait chuter le cours de l'action de 6,21% à Milan vers 13h45 GMT.
Meyer Burger supprime 200 postesLe fabricant suisse de panneaux solaires Meyer Burger (-10,05% à Zurich) a annoncé la suppression de 200 postes dans le cadre d'un projet de restructuration ainsi que le départ de son directeur général et de son directeur financier.
Le pétrole reculeLes cours du pétrole refluaient mercredi, tirés vers le bas par des données préliminaires indiquant une hausse inattendue des réserves américaines, le regain de tensions au Moyen-Orient n'ayant constitué qu'un soutien temporaire aux prix.
Vers 13H45 GMT, le prix du baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en novembre perdait 0,85%, à 73,07 dollars. Le baril de West Texas Intermediate (WTI) américain avec échéance en octobre reculait de 0,94%, à 70,52 dollars.
Le bitcoin perdait 0,74% à 59.693 dollars.
Tupperware Brands a demandé la protection de la loi sur les faillites (link) mardi, après des années de lutte contre la faible demande pour ses contenants de conservation des aliments et des pertes financières croissantes.
Voici un ENQUÊTE des moments clés de l'histoire de la marque qui était autrefois le pilier des cuisines américaines:
1940's
La société porte le nom du chimiste Earl Tupper, qui a inventé les récipients en plastique à partir des scories de polyéthylène générées par le processus de raffinage du pétrole à l'usine DuPont.
Produites en masse dans une myriade de couleurs après la Grande Dépression pour aider les familles fatiguées par la guerre à économiser de l'argent sur le gaspillage alimentaire, ces créations ne se vendent pas dans les grands magasins.
Brownie Wise, chroniqueuse-conseil, collabore avec Tupper pour passer à une stratégie de marketing de type "party plan" en organisant des "Patio Parties" au cours desquelles elle recrute des femmes pour vendre pour elle, selon le Smithsonian Magazine.
La stratégie de Mme Wise stimule la popularité de Tupperware. Une femme qu'elle a recrutée vend 56 bols en une semaine, selon le magazine.
1950's
Wise, la créatrice de la fête Tupperware, est nommée vice-présidente du marketing de Tupperware Parties Inc.
Tupper fait breveter le "Tupper Seal", qui fait référence à la nature hermétique et étanche des couvercles de ses récipients qui conservent la fraîcheur des restes de nourriture.
Cependant, en 1958, après avoir connu le succès, Tupper décide de vendre l'entreprise à Rexall Drugs, aujourd'hui Dart Industries, pour 16 millions de dollars et licencie Wise.
1960's
Le nouveau propriétaire de Tupperware étend l'entreprise à l'Europe, à l'Amérique centrale et à l'Amérique du Sud, ce qui accélère rapidement son expansion à l'étranger, souvent grâce à des techniques de vente en personne telles que les fêtes Tupperware.
1970s
L'entreprise se diversifie en fabriquant d'autres récipients et entre également sur le marché des jouets.
Tupperware est surtout connu pour le jouet Shape-O, une boule en plastique brillant dont les découpes correspondent à des formes en plastique jaune. Ce jouet coloré est toujours vendu, selon le blog culinaire (link) Chowhound.
Les ventes ont dépassé le demi-milliard en 1976, selon le site web de l'encyclopédie (link).
1980s
Le fondateur Tupper meurt en 1983 et plusieurs des brevets de Tupperware expirent.
Plusieurs rivaux, des récipients en plastique pour le stockage des aliments sans marque aux grands acteurs comme Rubbermade et Glad, entrent sur le marché avec des alternatives moins chères que Tupperware.
Les ventes et les bénéfices de Tupperware commencent à diminuer, notamment en raison d'un problème de main-d'œuvre dû à l'arrivée des femmes sur le marché du travail, ce qui limite le temps dont elles disposent pour participer à des fêtes.
En 1986, Dart Industries et Kraft Inc. se séparent, annulant leur fusion de 1980, et Tupperware devient partie intégrante d'une nouvelle société, Premark International. La société rafraîchit ses produits en y ajoutant les ensembles Sandwich Keeper et Lunch 'N Bags.
1990s
Les ventes aux États-Unis diminuent alors que les activités internationales se développent. Rick Goings, cadre chez Avon, leader de la vente directe, prend la présidence en 1992.
L'entreprise se lance dans le publipostage et envoie des catalogues non sollicités en 1992 afin de réduire les coûts et d'intensifier les efforts de recrutement pour la vente.
Les bénéfices s'améliorent jusqu'au milieu des années 1990, en partie grâce à une innovation massive des produits entre 1994 et 1996, selon le site web de l'encyclopédie (link).
En mai 1996, Premark se sépare de Tupperware, qui est alors cotée à la bourse de New York en tant qu'entreprise publique indépendante.
2000s
Les affaires ralentissent et l'entreprise conclut un accord avec Target Corp, permettant à la chaîne de distribution de vendre ses contenants en plastique dans ses magasins américains en 2002.
2020s
Tupperware connaît un regain de ventes et de popularité pendant la pandémie, car de plus en plus d'Américains recommencent à cuisiner à la maison en raison des restrictions imposées aux voyages.
Mais lorsque les restrictions s'atténuent, les marges de l'entreprise sont affectées par une hausse des coûts liés aux matières premières, à la main-d'œuvre et au fret.
La prolifération des boîtes gratuites à emporter dans les restaurants, après les commandes de plats à emporter de l'ère pandémique, et l'augmentation de la concurrence de Newell Brands, qui fabrique les pots en verre Rubbermaid, FoodSaver et Ball, ainsi que GladWare de Clorox, ont également porté un coup à l'activité de l'entreprise ((link)).
L'action de l'entreprise s'effondre en 2023, car elle émet des doutes sur la continuité de l'exploitation, retarde son rapport annuel et manque à ses obligations de crédit.
L'action est prise dans la frénésie du "mème stock" (link), où les investisseurs particuliers se coordonnent sur les médias sociaux et concentrent leurs paris sur des entreprises en difficulté ayant un intérêt élevé pour la vente à découvert.
En septembre, Bloomberg News rapporte (link) s que la société se prépare à déposer le bilan. Un jour plus tard, elle se place sous la protection de la loi sur les faillites ((link)), tout en déclarant qu'elle continuera à vendre des produits pendant la procédure.
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