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J'ai 5 ans d'expérience en analyse financière, notamment dans les aspects d'évolution macroéconomique et de jugement de tendances à moyen et long terme. Je me concentre principalement sur l'évolution du Moyen-Orient, des marchés émergents, du charbon, du blé et d'autres produits agricoles.
Coach de trading en chef et conférencier BeingTrader, plus de 8 ans d'expérience dans le trading du marché des changes, principalement XAUUSD, EUR/USD, GBP/USD, USD/JPY et pétrole brut. Un trader et analyste confiant qui vise à explorer diverses opportunités et à guider les investisseurs sur le marché. En tant qu'analyste, je cherche à améliorer l'expérience du trader en le soutenant avec suffisamment de données et de signaux.
Dernière mise à jour
Risk Warning on Trading HK Stocks
Despite Hong Kong's robust legal and regulatory framework, its stock market still faces unique risks and challenges, such as currency fluctuations due to the Hong Kong dollar's peg to the US dollar and the impact of mainland China's policy changes and economic conditions on Hong Kong stocks.
HK Stock Trading Fees and Taxation
Trading costs in the Hong Kong stock market include transaction fees, stamp duty, settlement charges, and currency conversion fees for foreign investors. Additionally, taxes may apply based on local regulations.
HK Non-Essential Consumer Goods Industry
The Hong Kong stock market encompasses non-essential consumption sectors like automotive, education, tourism, catering, and apparel. Of the 643 listed companies, 35% are mainland Chinese, making up 65% of the total market capitalization. Thus, it's heavily influenced by the Chinese economy.
HK Real Estate Industry
In recent years, the real estate and construction sector's share in the Hong Kong stock index has notably decreased. Nevertheless, as of 2022, it retains around 10% market share, covering real estate development, construction engineering, investment, and property management.
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** Les actions des entreprises de biens de consommation emballés chutent après la première baisse des taux d'intérêt de la Fed en quatre ans
** Les actions de Proctor & Gamble en baisse de 1,4 %, Clorox en baisse de 1,2 %, et Colgate-Palmolive en baisse de 1,7 %
** L'indice S&P 500 des biens de consommation de base a baissé de 0,4%; il a augmenté de près de 17% depuis le début de l'année, à la dernière clôture
** Mercredi, la Réserve fédérale américaine a réduit les taux d'intérêt (link) de 50 points de base, ce qui est supérieur aux estimations
Le conglomérat Berkshire Hathaway, dont l'entrepreneur américain Warren Buffett a fait un géant de l'économie américaine, a franchi mercredi les mille milliards de dollars de capitalisation boursière.
Le groupe est devenu le huitième membre d'un club très fermé qui comprend six entreprises technologiques et le pétrolier Saudi Aramco.
Le coup de rein qui a permis à Berkshire Hathaway de franchir le seuil symbolique des 1.000 milliards mercredi a été encouragé par l'annonce de la cession par le groupe d'environ un milliard de dollars de titres de Bank of America.
Le titre de l'entreprise a fini en hausse de 0,86% pour une valorisation de 1.001 milliards de dollars.
Grâce à quoi la fortune de Warren Buffett a augmenté de 1,1 milliard de dollars sur la seule journée de mercredi, pour atteindre 146 milliards.
Cela en fait la sixième personne la plus riche du monde, selon un classement en temps réel établi par le site du magazine Forbes.
C'est une nouvelle étape de l'ascension irrésistible de Berkshire Hathaway, une ancienne PME textile dont Warren Buffett a pris le contrôle en 1965 alors qu'elle souffrait de la délocalisation de l'industrie.
Au fil des années, il a bâti, à coups d'acquisitions, un conglomérat gigantesque, qui possède aujourd'hui notamment l'assureur Geico, la compagnie ferroviaire Burlington Northern Santa Fe (BNSF), la marque de prêt-à-porter Fruit of the Loom ou les piles Duracell.
Berkshire Hathaway est aussi un investisseur majeur, qui contrôle 21% du capital d'American Express, 13% de Bank of America (à fin juin) et 9% de Coca-Cola.
Le groupe a accumulé des réserves de liquidités qui atteignaient, fin juin, quelque 277 milliards de dollars.
Inspiré par son complice Charlie Munger, qui l'a accompagné de 1978 jusqu'à son décès, en novembre 2023, Warren Buffett a adopté une approche rationnelle et dépassionnée pour investir, souvent basée sur une stratégie de long terme, à contre-courant du court-termisme de nombre d'acteurs du marché.
Leur philosophie d'investissement a fait école, au point que Warren Buffet est aujourd'hui considéré comme l'un des gourous du capitalisme moderne.
Chaque année, des milliers de personnes viennent l'écouter tirer le bilan de l'exercice écoulé et faire part de ses réflexions à l'occasion de l'assemblée générale de Berkshire Hathaway, à Omaha (Nebraska), sa ville d'origine où il réside toujours.
Entre 1965 et 2023, l'action Berkshire Hathaway a gagné 19,8% par an en moyenne et quasiment 4.400% au total.
A bientôt 94 ans (il les fêtera vendredi), Warren Buffett est toujours directeur général de Berkshire Hathaway.
En 2021, il a néanmoins désigné un successeur, en la personne de Greg Abel, 62 ans, aujourd'hui vice-président du groupe.
Le conglomérat Berkshire Hathaway, dont l'entrepreneur américain Warren Buffett a fait un géant de l'économie américaine, a franchi mercredi les mille milliards de dollars de capitalisation boursière.
Le groupe est devenu le huitième membre d'un club très fermé qui comprend six entreprises technologiques et le pétrolier Saudi Aramco.
Le coup de rein qui a permis à Berkshire Hathaway de franchir le seuil symbolique des 1.000 milliards mercredi a été encouragé par l'annonce de la cession par le groupe d'environ un milliard de dollars de titres de Bank of America.
Vers 16H05 GMT, le titre de l'entreprise était en hausse de 0,84% pour une valorisation de 1.001 milliards de dollars.
C'est une nouvelle étape de l'ascension irrésistible de Berkshire Hathaway, une ancienne PME textile dont Warren Buffett a pris le contrôle en 1965 alors qu'elle souffrait de la délocalisation de l'industrie.
Au fil des années, il a bâti, à coups d'acquisition, un conglomérat gigantesque, qui possède aujourd'hui notamment l'assureur Geico, la compagnie ferroviaire Burlington Northern Santa Fe (BNSF), la marque de prêt-à-porter Fruit of the Loom ou les piles Duracell.
Berkshire Hathaway est aussi un investisseur majeur, qui contrôle 21% du capital d'American Express, 13% de Bank of America (à fin juin) et 9% de Coca-Cola.
Le groupe a accumulé des réserves de liquidités qui atteignaient, fin juin, quelque 277 milliards de dollars.
Inspiré par son complice Charlie Munger, qui l'a accompagné de 1978 jusqu'à son décès, en novembre 2023, Warren Buffett a adopté une approche rationnelle et dépassionnée pour investir, souvent basée sur une stratégie de long terme, à contre-courant du court-termisme de nombre d'acteurs du marché.
Leur philosophie d'investissement a fait école, au point que Warren Buffet est aujourd'hui considéré comme l'un des gourous du capitalisme moderne.
Chaque année, des milliers de personnes viennent l'écouter tirer le bilan de l'exercice écoulé et faire part de ses réflexions à l'occasion de l'assemblée générale de Berkshire Hathaway, à Omaha (Nebraska), sa ville d'origine où il réside toujours.
Entre 1965 et 2023, l'action Berkshire Hathaway a gagné 19,8% par an en moyenne et quasiment 4.400% au total.
A bientôt 94 ans (il les fêtera vendredi), Warren Buffett est toujours directeur général de Berkshire Hathaway.
En 2021, il a néanmoins désigné un successeur, en la personne de Greg Abel, 62 ans, aujourd'hui vice-président du groupe.
Les analystes financiers de Wall Street ont révisé mercredi leurs notations et leurs objectifs de prix sur plusieurs sociétés cotées en bourse aux États-Unis, dont Alamo Group, Cognizant et Moderna.
FAITS MARQUANTS
* Alamo Group Inc : D.A. Davidson relève son objectif de cours de 209 à 219 dollars
* Cognizant : Jefferies rétablit la couverture avec une note d'achat; objectif de cours de 90 $
* Sonic Automotive : CFRA relève le titre de "vendre" à "conserver"; augmente le prix cible de 45 $ à 65 $
* Ulta Beauty Inc : JP Morgan réduit le prix cible de 544 $ à 450 $
Voici un résumé des actions de recherche sur les sociétés américaines rapportées par Reuters mercredi. Les actions sont classées par ordre alphabétique.
* Abbvie : Leerink Partners relève l'objectif de cours de 196 à 206 dollars
* Alamo Group Inc : D.A. Davidson relève l'objectif de cours de 209 à 219 $
* Ambarella Inc : Stifel relève le cours cible de 75 à 80 dollars
* Ambarella Inc : TD Cowen relève le cours cible de 65 à 75 dollars
* Ambarella Inc : Craig-Hallum relève le cours cible de 80 $ à 85 $
* APA Corporation : Citigroup réduit le cours cible à 32 $ contre 33 $
* Bill Holdings Inc : Mizuho abaisse le cours cible à 52 $, contre 60 $ auparavant
* Bionano Genomics Inc : La Banque Scotia réduit le prix cible de 6 $ à 1 $
* Bionano Genomics Inc : La Banque Scotia réduit le rendement du secteur de "surperformance" à "performance"
* Box Inc : Raymond James relève l'objectif de cours à 37 $, contre 32 $ auparavant
* Bristol-Myers Squibb Co : Jefferies relève l'objectif de cours à 51 $ contre 49 $
* BXP Inc : Truist Securities relève l'objectif de cours de 67 $ à 77 $
* Chesapeake Energy Corp : Citigroup ramène l'objectif de cours à 90 $ contre 96 $
* Citi Trends Inc : Craig-Hallum réduit l'objectif de cours à 14$ contre 25
* Clorox : Citigroup augmente le prix cible de 145 $ à 165 $
* Cognizant : Jefferies rétablit la couverture avec une note d'achat; objectif de prix de 90 $
* Comstock Resources Inc : Citigroup relève le cours cible de 10 $ à 12 $
* Coterra Energy Inc : Citigroup réduit le prix cible de 31 $ à 30 $
* Crossfirst Bankshares Inc : Piper Sandler augmente le prix cible à 19 $ contre 17 $
* Delek Logistics Partners LP : Citigroup relève le prix cible de neutre à achat
* Delek Logistics Partners LP : Citigroup relève le prix cible de 44 $ à 45 $
* Devon Energy Corp : Citigroup réduit le prix cible à 55 $ contre 58 $
* Dick's Sporting Goods Inc : Wedbush relève le prix cible de 230 à 250 dollars
* Diversified Energy Company : KeyBanc initie une couverture avec une note de surpondération
* Diversified Energy Company : KeyBanc initie une couverture avec PT $18
* Eli Lilly : Jefferies relève le prix cible de 1 050 $ à 1 113 $
* Elme Communities : Truist Securities relève l'objectif de cours à 18 $ contre 16 $
* EOG Resources Inc : Citigroup augmente le prix cible à 133$ de 130
* Equifax Inc : Needham relève le cours cible de 320 à 350 dollars
* ESS Tech Inc G: Deutsche Bank augmente le prix cible de 0,9 $ à 9 $
* Eve Holding Inc : JP Morgan réduit le prix cible de 9 $ à 5,50 $
* Evolent Health Inc : Stephens augmente le prix cible de 32 $ à 38 $
* First Busey Corp : D.A. Davidson relève le cours cible à 29 $, contre 28 $ auparavant
* First Busey Corp : Raymond James réduit le prix cible à 31 $ contre 32 $
* Fiserv Inc : BTIG initie une couverture avec une note d'achat; prix cible de 200
* General Mills : Jefferies relève le cours cible de 66 à 69 dollars
* Gilead : Jefferies relève l'objectif de cours de 90 $ à 95 $
* Glaukos Corp : BTIG relève le cours cible de 131 à 139 dollars
* Globus Medical Inc : BTIG augmente le prix cible de 75 $ à 77 $
* Hain Celestial Group Inc : Jefferies augmente le prix cible de 9 $ à 9,35 $
* Hain Celestial Group Inc : JP Morgan augmente le prix cible de 8 à 9 $
* Hain Celestial Group Inc : Stifel relève l'objectif de cours de 8 à 9 dollars
* HEICO Corp : Truist Securities relève le cours cible de 248 $ à 264 $
* Integra Lifesciences Holdings Corp : BTIG réduit le prix cible de 22 $ à 20 $
* Intuitive Surgical Inc : BTIG augmente le prix cible de 469 $ à 494 $
* Merit Medical Systems Inc : Needham relève l'objectif de cours à 105 $ contre 94 $
* Micron Technology Inc : Mizuho réduit le prix cible à 140 $ contre 145 $
* Moderna : HSBC relève l'objectif de cours à "conserver" contre "réduire" auparavant
* Nanobiotix SA : Guggenheim initie une couverture avec une note d'achat et un objectif de cours de 12 $
* Newamsterdam pharma Company NV : Needham initie une couverture avec une note d'achat; PT 36 $
* Nordstrom Inc : Citigroup relève le prix cible de 20 $ à 22 $
* Nordstrom Inc : Jefferies relève l'objectif de cours à 20 $ contre 18 $ auparavant
* Nordstrom Inc : JP Morgan relève l'objectif de cours à 20 $ contre 19 $ auparavant
* Nordstrom Inc : TD Cowen relève le cours cible de 24 $ à 25 $
* Occidental Petroleum Corp : Citigroup réduit le cours cible à 62 $ contre 65 $
* Old Second Bancorp Inc : Piper Sandler augmente le prix cible de 19,50 $ à 22,50 $
* Pacific Biosciences of California Inc : La Banque Scotia abaisse le PT de 8 $ à 7 $
* Penumbra Inc : BTIG augmente le prix cible de 187 $ à 224 $
* Plymouth Industrial REIT Inc : BMO réduit le prix cible à 25 $ de 26
* Plymouth Industrial REIT Inc : Truist Securities augmente le prix cible de 26 $ à 27 $
* Prestige Consumer Healthcare Inc : D.A. Davidson relève le PT à 95 $ contre 93 $
* PVH Corp : Evercore ISI réduit le prix cible à 125 $ de 145
* PVH Corp : Guggenheim réduit le prix cible à 120 $ contre 140 $
* Range Resources Corp : Citigroup réduit le prix cible à 33 $ de 35
* Realty Income Corp : Stifel augmente le prix cible de 67,50 $ à 70,25 $
* Rithm Capital Corp : Wedbush ajoute le titre à sa liste des meilleures idées
* Semtech Corp : Stifel relève son objectif de cours à 50$ contre 45
* Sentinelone : Deutsche Bank relève l'objectif de cours à 25$ contre 21
* Sentinelone Inc : Bernstein ramène l'objectif de cours à 32 $ contre 37 $ auparavant
* Sentinelone Inc : BTIG augmente son objectif de cours à 30$ contre 28
* Sentinelone Inc : Citigroup relève l'objectif de cours de 20 à 25 dollars
* Sentinelone Inc : D.A. Davidson relève le prix cible à 25 $ contre 20 $ auparavant: D.A. Davidson augmente le prix cible de 18,50 $ à 23 $
* Sentinelone Inc : Jefferies augmente le prix cible à 27$ de 24
* Sentinelone Inc : JP Morgan relève son objectif de cours à 30$ contre 27
* Sentinelone Inc : La Banque Scotia relève l'objectif de cours à 25 $, contre 18 $ auparavant
* Sonic Automotive : CFRA relève le cours de l'action de "vendre" à "conserver"; augmente le prix cible de 45 $ à 65 $
* Southwestern Energy Co : Citigroup réduit le prix cible de 8,33 $ à 7,80 $
* Spire Global Inc : Raymond James réduit l'objectif de cours de "surperformance" à "performance du marché"
* Starwood Property Trust Inc : Raymond James augmente le PT de 23 $ à 25 $
* Stryker Corp : BTIG augmente le prix cible de 360 $ à 374 $
* Toll Brothers Inc : JP Morgan relève l'objectif de cours à 153 $ contre 131 $ auparavant
* TransUnion : Needham ramène le cours de l'action de "buy" à "hold"
* Ulta Beauty : Deutsche Bank réduit l'objectif de cours à 448 $ contre 552 $
* Ulta Beauty Inc : JP Morgan réduit l'objectif de cours à 450 $ contre 544 $
* Veeva Systems Inc : Citigroup augmente le prix cible à 273 $ contre 256 $
* Veracyte Inc : Needham relève l'objectif de cours à 37 $ contre 31 $ auparavant
* Vornado Realty Trust : Truist Securities relève l'objectif de cours de 26 à 31 $
Le S&P 500 et le Nasdaq ont chuté dans des échanges agités ce lundi, pesant sur le favori de l'IA Nvidia avant ses résultats plus tard dans la semaine, tandis que les marchés attendaient un rapportclé sur l'inflation et cimentaient les paris sur une réduction imminente des taux d'intérêt par la Réserve fédérale.
Nvidia a chuté de 2,3 %, menant les baisses parmi les stocks de puces et envoyant l'indice Philadelphia SE Semiconductor en baisse de 2,5 % avant les résultats très attendus du concepteur de puces mercredi. Le secteur plus large de la technologie a également perdu plus de 1%.
Les marchés ont été moins indulgents ce trimestre à l'égard des grandes capitalisations boursières, qui ont été le fer de lance de l'enthousiasme suscité par l'intelligence artificielle.
Les bénéfices de Nvidia (link) seront examinés de près pour justifier le bond de plus de 160 % de l'action depuis le début de l'année, ce qui a propulsé sa capitalisation boursière au deuxième rang, juste derrière Apple O>, à la clôture de vendredi.
"Nvidia est sur la sellette. Les gens retirent un peu d'argent de la table, en se disant qu'ils ont gagné de l'argent", a déclaré Kim Forrest, directeur des investissements chez Bokeh Capital Partners. "Leurs prévisions pour les six prochains mois sont probablement les données les plus importantes que nous recevrons cette semaine
D'autres noms de croissance tels que Tesla ont perdu 3 %, tandis que Meta a chuté de 1,4 % et Apple a perdu 0,8 %.
À 11:47 a.m. ET, le Dow Jones Industrial Average était en hausse de 10,14 points, ou 0,02%, à 41 185,22, le S&P 500 était en baisse de 22,99 points, ou 0,41%, à 5 611,62, et le Nasdaq Composite était en baisse de 168,87 points, ou 0,94%, à 17 708,93.
Le secteur de l'énergie s'est démarqué de la tendance en augmentant de 0,6%, les rapports sur les perturbations de l'approvisionnement en pétrole dans le cadre du conflit géopolitique au Moyen-Orient ayant fait grimper les prix du brut (link) .
D'autres secteurs du marché, notamment les valeurs financières telles qu'American Express et les biens de consommation de base tels que Proctor & Gamble , ont également enregistré des gains, limitant les baisses sur le Dow Jones, qui a atteint un record intrajournalier plus tôt dans la journée.
Les principaux indices ont progressé de plus de 1 %vendredi, l'indice de référence S&P 500 approchant des records après que le président de la Réserve fédérale américaine Jerome Powell (link) a déclaré que "le moment était venu" de réduire les coûts d'emprunt à la lumière de la diminution du risque d'inflation et de la modération de la demande de main-d'œuvre.
Les traders parient désormais sur une baisse des taux de 25 points de base ou de 50 points de base en septembre. Les chances de la première sont de 67,5 %, tandis que les chances d'une réduction de 50 points de base sont de 34,5 %, selon l'outil FedWatch du CME Group.
Les données très attendues sur les dépenses de consommation personnelle pour le mois de juillet, l'indicateur d'inflation préféré de la banque centrale, pourraient fournir plus d'informations sur la trajectoire d'assouplissement de la politique monétaire.
Les résultats de Dell , Salesforce , Dollar General et Gap G sont également attendus au cours de la semaine.
Entre autres, les actions cotées en bourse de PDD Holdings ont chuté de 29,8% après que le propriétaire de Temu a manqué les attentes du marché (link) pour le revenu du deuxième trimestre.
Boeing a glissé de 1,4 % après que la Nasa a choisi SpaceX (link) plutôt que le Starliner du constructeur pour ramener ses astronautes de l'espace l'année prochaine.
Les valeurs en hausse ont été plus nombreuses que les valeurs en baisse dans un rapport de 1,41 contre 1 sur le NYSE et de 1,19 contre 1 sur le Nasdaq.
L'indice S&P a enregistré 91 nouveaux plus hauts sur 52 semaines et aucun nouveau plus bas, tandis que le Nasdaq a enregistré 127 nouveaux plus hauts et 26 nouveaux plus bas.
Le niveau des dons politiques des grandes entreprises alimentaires acceptés par les législateurs démocrates a augmenté au cours de ce cycle électoral, alors même que de nombreux démocrates ont accusé les principales chaînes d'alimentation américaines et leurs fournisseurs de faire monter les prix aux dépens des consommateurs, selon une analyse de Reuters des données de la Commission électorale fédérale (Federal Election Commission).
Les démocrates ont des raisons de se concentrer sur les prix des denrées alimentaires (link), qui ont augmenté de (link) 25 % entre 2019 et 2023. Les sondages Reuters/Ipsos (link) montrent que l'économie est la principale préoccupation des électeurs et qu'ils font davantage confiance aux républicains pour la gérer.
Des dizaines de démocrates ont intensifié leurs appels depuis que Kroger , le plus grand épicier du pays en termes de chiffre d'affaires, a proposé une fusion de 24,6 milliards de dollars (link) avec son rival plus petit Albertsons . La Federal Trade Commission (Commission fédérale du commerce) conteste l'opération, qu'elle juge néfaste pour les consommateurs et les travailleurs, et la procédure est en cours devant un tribunal fédéral de l'Oregon à partir de lundi.
Le PAC d'Albertsons a jusqu'à présent versé 291 500 dollars, soit plus du triple de ses 90 000 dollars jusqu'à la fin du cycle électoral 2021-2022. Le PAC de Kroger est également en avance sur son rythme, ayant donné 141 000 dollars jusqu'à présent, contre 140 500 dollars pour l'ensemble du cycle 2021-2022.
Au moins 154 législateurs démocrates ou leurs organisations de collecte de fonds ont accepté des contributions d'une poignée de grandes entreprises alimentaires au cours du cycle de campagne actuel. Parmi eux, 51 démocrates du Congrès - soit un sur cinq - l'ont fait tout en dénonçant publiquement la cupidité des entreprises de l'industrie alimentaire.
Certains des démocrates les plus vulnérables du Sénat (link) - Sherrod Brown (Ohio), Bob Casey (Pennsylvanie) et Tammy Baldwin (Wisconsin) - font partie de ceux qui ont à la fois critiqué les tactiques des entreprises agroalimentaires et accepté leurs dons.
Soixante-cinq démocrates du Congrès et leurs comités de collecte de fonds affiliés ont reçu 94 contributions des comités d'action politique de Kroger et d'Albertsons pour un total de 185 000 dollars, selon les données de la FEC jusqu'en juin 2024.
Les dons des deux entreprises sont éclipsés par Walmart , dont le PAC a versé au moins 441 500 dollars aux démocrates lors de cette élection.
Les PAC d'entreprise sont légalement autorisés à donner jusqu'à 10 000 dollars aux campagnes et font généralement des dons aux deux partis. Dans l'ensemble, 58 % des dons combinés de Kroger et d'Albertsons ont été versés à des campagnes républicaines au Congrès au cours de ce cycle.
Selon l'association End Citizens United, 68 membres actuels du Congrès ont juré de ne plus accepter de fonds provenant de PAC d'entreprises, contre 59 il y a deux ans. Les militants affirment que les législateurs doivent se rendre compte que cet argent peut être assorti de conditions.
"Les grandes entreprises de ce type ne se contentent pas de donner de l'argent aux élus pour leur santé, elles le font dans l'attente d'un certain type de retour", a déclaré Morgan Harper, directeur politique de Fight Corporate Monopolies (Combattre les monopoles des entreprises). "Ce retour peut souvent consister à essayer d'empêcher les rouages du gouvernement de se mettre en marche pour faire appliquer la loi à leur encontre"
La vice-présidente Kamala Harris (link) a également fait de la lutte contre les prix abusifs (link) un thème central de son premier grand discours économique de la campagne présidentielle.
LA "GREEDFLATION" À L'ASSAUT DE L'ÉCONOMIE
M. Casey, qui est confronté à une rude bataille pour sa réélection en Pennsylvanie, a déclaré que Mondelez International avait alimenté la "cupéflation" en réduisant la taille de ses crackers Wheat Thins et de ses Oreos Double Stuf, et a critiqué Procter & Gamble pour ses prix sur le papier toilette, le savon à vaisselle et le dentifrice.
Sa campagne a accepté des dons de 1 000 dollars de la part de PAC de ces deux sociétés, qui fournissent des détaillants tels que Kroger et Albertsons.
La campagne de M. Casey a déclaré que le fait de critiquer les donateurs démontrait son indépendance.
"Bob Casey est un combattant indépendant qui défendra toujours les travailleurs contre la cupidité des entreprises et les sociétés qui arnaquent les Pennsylvaniens", a déclaré un porte-parole de la campagne.
Un porte-parole de Mondelez a déclaré que l'entreprise prenait en compte "divers critères, notamment les positions sur des questions de politique publique importantes pour nos activités, la présence de nos employés ou de nos installations dans le district ou l'État d'un candidat, ainsi que l'appartenance à des comités clés ou des postes de direction" lorsqu'elle faisait des dons à la campagne.
M. Brown, dont la réélection dans l'Ohio est considérée comme l'une des plus difficiles pour les démocrates qui cherchent à défendre leur majorité sénatoriale de 51-49, a reçu l'année dernière 2 500 dollars du PAC de la société Kroger, basée à Cincinnati, et 5 000 dollars du PAC de la société Albertsons. M. Brown a également été le seul législateur à recevoir des contributions de la part des directeur général des deux chaînes de supermarchés, qui ont tous deux versé la somme maximale de 6 600 dollars.
Il a largement accusé les dépenses des entreprises pour les rachats d'actions et les primes des dirigeants d'être à l'origine de la hausse des prix des produits alimentaires. Il soutient l'accord Kroger-Albertsons parce que les entreprises sont syndiquées.
"Si cette fusion est réalisée correctement et si Kroger veille à ce que les travailleurs aient un siège à la table, l'entreprise a le potentiel de devenir l'une des plus grandes entreprises syndiquées dans un secteur de plus en plus dominé par des géants non syndiqués", a déclaré Kevin Donohoe, porte-parole de M. Brown.
L'Union internationale des travailleurs de l'alimentation et du commerce, qui représente les travailleurs des deux chaînes, s'oppose à la fusion.
Mme Baldwin, du Wisconsin, a accusé General Mills de pratiquer des prix "trompeurs" en réduisant la taille des boîtes de céréales Cocoa Puffs de 1,2 once tout en les facturant au même prix. Depuis lors, la campagne de M. Baldwin a reçu un total de 7 500 dollars de la part du PAC de General Mills.
La campagne de Mme Baldwin n'a pas répondu aux demandes de commentaires.
Les démocrates du Congrès ont également dénoncé la hausse des prix dans l'industrie de la viande, mais ont tout de même accepté au moins 286 000 dollars de dons de campagne de la part de JBS USA, Tyson Foods et Cargill.
Albertsons a refusé de commenter. Les autres entreprises mentionnées n'ont pas répondu aux demandes de commentaires.
La sociétéaméricaine de services pétroliers Halliburton a été victime mercredi d'une cyberattaque, selon une personne au fait du dossier.
Halliburton a déclaré être au courant d'un problème affectant certains systèmes de l'entreprise et s'efforcer d'en déterminer la cause et l'impact. La société travaille également avec des "experts externes de premier plan" pour résoudre le problème, a déclaré un porte-parole dans un communiqué envoyé par courriel.
L'attaque semble avoir eu un impact sur les opérations commerciales du campus nord de Houston de la société, ainsi que sur certains réseaux de connectivité mondiaux, a déclaré cette personne, qui a refusé d'être identifiée car elle n'était pas autorisée à s'exprimer en public.
La société a demandé à certains membres de son personnel de ne pas se connecter aux réseaux internes.
Halliburton , dont le siège est à Houston, au Texas, est l'une des plus grandes sociétés de services pétroliers au monde, fournissant des services et des équipements de forage aux principaux producteurs d'énergie de la planète. À la fin de l'année dernière, elle employait près de 48 000 personnes et opérait dans plus de 70 pays.
Les cyberattaques sont un véritable casse-tête pour le secteur de l'énergie. En 2021, des pirates informatiques ont attaqué Colonial Pipeline à l'aide d'un ransomware, provoquant une fermeture de plusieurs jours de la principale ligne d'approvisionnement en carburant.
Cette intrusion, attribuée par le FBI à un gang appelé DarkSide, a entraîné une flambée des prix de l'essence, des achats de panique et des pénuries de carburant localisées.
Plusieurs grandes entreprises américaines ont subi des attaques par ransomware ces dernières années, notamment UnitedHealth Group , les géants du jeu MGM Resorts International , Caesars Entertainment CZR.O et le fabricant de biens de consommation Clorox .
Bien que l'on ne sache pas exactement ce qui se passe chez Halliburton, les rançongiciels fonctionnent en cryptant les données des victimes. Généralement, les pirates offrent à la victime une clé en échange d'un paiement en crypto-monnaie qui peut atteindre des centaines de milliers, voire des millions de dollars.
Si la victime résiste, les pirates menacent parfois de divulguer des données confidentielles pour faire monter la pression.
Le groupe de ransomware DarkSide, soupçonné par les autorités américaines d'être à l'origine de l'attaque de Colonial Pipeline, a par exemple déclaré qu'il voulait gagner de l'argent. Le directeur général de Colonial Pipeline a déclaré que son entreprise avait payé une rançon de 4,4 millions de dollars, car les dirigeants ne savaient pas à quel point ses systèmes avaient été violés ni combien de temps il faudrait pour rétablir le pipeline.
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