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Coach de trading en chef et conférencier BeingTrader, plus de 8 ans d'expérience dans le trading du marché des changes, principalement XAUUSD, EUR/USD, GBP/USD, USD/JPY et pétrole brut. Un trader et analyste confiant qui vise à explorer diverses opportunités et à guider les investisseurs sur le marché. En tant qu'analyste, je cherche à améliorer l'expérience du trader en le soutenant avec suffisamment de données et de signaux.
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Risk Warning on Trading HK Stocks
Despite Hong Kong's robust legal and regulatory framework, its stock market still faces unique risks and challenges, such as currency fluctuations due to the Hong Kong dollar's peg to the US dollar and the impact of mainland China's policy changes and economic conditions on Hong Kong stocks.
HK Stock Trading Fees and Taxation
Trading costs in the Hong Kong stock market include transaction fees, stamp duty, settlement charges, and currency conversion fees for foreign investors. Additionally, taxes may apply based on local regulations.
HK Non-Essential Consumer Goods Industry
The Hong Kong stock market encompasses non-essential consumption sectors like automotive, education, tourism, catering, and apparel. Of the 643 listed companies, 35% are mainland Chinese, making up 65% of the total market capitalization. Thus, it's heavily influenced by the Chinese economy.
HK Real Estate Industry
In recent years, the real estate and construction sector's share in the Hong Kong stock index has notably decreased. Nevertheless, as of 2022, it retains around 10% market share, covering real estate development, construction engineering, investment, and property management.
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La pop star Miley Cyrus a copié le tube "When I Was Your Man" de son compatriote Bruno Mars dans son single numéro un "Flowers", selon une plainte pour violation des droits d'auteur déposée devant un tribunal fédéral de Californie.
La plainte, déposée lundi (link) par le propriétaire des droits musicaux Tempo Music Investments, affirme que "Flowers" reproduit "de nombreux éléments mélodiques, harmoniques et lyriques" de la chanson de Mars, qui s'est hissée en tête du Billboard Hot 100 en 2013.
Les porte-parole du label de Cyrus, Sony Music , et les avocats et porte-parole de Tempo n'ont pas immédiatement répondu à une demande de commentaire sur le procès mardi.
Mars n'est pas partie au procès et les porte-parole de son label, Warner Music Group's Atlantic Records, se sont refusés à tout commentaire. Tempo a déclaré dans la plainte qu'il avait acheté sa part de "When I Was Your Man" au coauteur de la chanson, Philip Lawrence, en 2020.
La plainte accuse également les propriétaires de services de streaming, dont Apple et Amazon , et les détaillants, dont Target et Walmart , d'avoir violé les droits d'auteur de Tempo en distribuant la chanson de Cyrus. Les porte-parole de ces entreprises n'ont pas répondu immédiatement aux demandes de commentaires.
Cyrus a publié "Flowers" sur son album "Endless Summer Vacation" en 2023 "Flowers a été écoutée plus d'un milliard de fois sur Spotify et a remporté le Grammy Award de la chanson de l'année en 2024.
L'action en justice de Tempo indique que "Flowers" présente des "similitudes frappantes" avec "When I Was Your Man", notamment au niveau des mélodies, des lignes de basse, des progressions d'accords et des éléments lyriques. Elle cite également un article de Billboard datant de 2023, selon lequel "n'importe quel auditeur peut détecter que [la chanson de Mars] possède un refrain qui est l'inverse de ce que Cyrus chante sur 'Flowers'"
Tempo a demandé au tribunal un montant non spécifié de dommages-intérêts et une ordonnance bloquant la contrefaçon présumée.
Le fabricant allemand de câbles automobiles Leoni, récemment restructuré sur fond de virage du secteur vers l'électrique, a annoncé mardi son rachat par le groupe chinois Luxshare, spécialisé dans les connecteurs électroniques.
L'entrepreneur autrichien Stefan Pierer, unique propriétaire de Leoni, et le groupe chinois Luxshare sont convenus du rachat de 50,1% de l'entreprise de Nuremberg, en Bavière, par Luxshare, selon un communiqué.
Le montant de la transaction s'élève à 320 millions d'euros, selon des données de Luxshare datant de vendredi.
Leoni fait partie d'un vaste réseau de fournisseurs de l'industrie automobile allemande, dominé par des géants comme Bosch, ZF et Continental.
Le secteur traverse une période difficile, devant s'adapter à la transition vers l'électrique tout en faisant face à une concurrence acharnée des industriels chinois.
Dans le cadre de cette opération, Time Interconnect Singapore, filiale de Luxshare, va racheter l'intégralité de la division de fils d'acier revêtus d'aluminium (ACS) de Léoni, qui continuera à fournir le secteur automobile, selon le communiqué.
Luxshare, basé à Shenzhen, fabrique, entre autres, des câbles pour ordinateurs et produit également des composants pour Apple.
Avec cette alliance, Leoni pourra proposer davantage de solutions intégrées, en particulier les faisceaux de câbles qui sont un composant important dans l'automobile électrique.
Le groupe chinois est le "partenaire parfait", résume Stefan Pierer, la présence de Leoni en Europe de l'Est, en Amérique et en Afrique du Nord devant être combinée aux capacités de production de Luxshare en Chine et au Vietnam.
Après l'échec de la vente de sa division câbles en 2022, Leoni, lourdement endettée, a dû lancer une lourde restructuration passant par son retrait de la Bourse.
Sous pression de constructeurs pour réduire leurs coûts, les équipementiers compriment leurs effectifs et multiplient les fermetures d'usine. Le groupe ZF (électrification, châssis, systèmes de sécurité) a annoncé en juillet vouloir supprimer jusqu'à un quart de ses effectifs en Allemagne, soit 14.000 postes.
** Les actions de la société de soins de santé comportementale Talkspace augmentent de 23,82 % pour atteindre 2,36 $
** La société annonce (link) un partenariat avec Amazon Health Services pour accroître la notoriété et la découverte de ses services de soins de santé mentale sur Amazon.com .
** Talkspace améliore l'accès aux services de santé mentale pour plus de 150 millions de membres éligibles
** L'action TALK a baissé de 6,5 % depuis le début de l'année
La Bourse de New York a ouvert en hausse lundi, séduite par deux indicateurs qui témoignent de la résilience de l'économie américaine, même s'ils éloignent la perspective d'une baisse de taux marquée mercredi.
Vers 14H05, le Dow Jones grignotait 0,25%, l'indice Nasdaq prenait 0,75% et l'indice élargi S&P 500, 0,47%.
Lundi, le Dow Jones avait enregistré un record en clôture. Dans les premiers échanges mardi, le S&P 500 a approché, lui, de son plus haut historique en séance.
Wall Street a bien accueilli les données macroéconomiques du jour, qui lui ont même donné un élan supplémentaire.
Les ventes de détail ont augmenté de 0,1% en août sur un mois en août, alors que les économistes annonçaient, en moyenne, un repli de 0,2%.
Parmi les secteurs dynamiques, le commerce en ligne, ce qui bénéficiait à Amazon (+2,13%) et Shopify (+1,13%).
L'autre indicateur du jour a montré que la production industrielle avait progressé de 0,8% sur un mois en août, son rythme le plus rapide depuis février, sensiblement au-dessus des 0,2% anticipés.
Le cabinet High Frequency Economics "ne voit pas d'urgence ou de nécessité d'un assouplissement monétaire massif à la lumière des données d'aujourd'hui", a-t-il commenté, dans une note.
"L'économie continue à croître, elle crée des emplois, et l'inflation est toujours supérieure à 2%, donc je ne vois pas de raison pour la Fed (banque centrale américaine) de baisser d'un demi-point" son taux directeur a abondé Adam Sarhan, de 50 Park Investments.
La Fed se réunit mardi et mercredi pour décider de l'orientation de sa politique monétaire, la place new-yorkaise étant partagée entre les hypothèses d'une baisse d'un quart et d'un demi-point de pourcentage.
Dans la foulée des publications macroéconomiques, les taux obligataires se sont tendus. Le rendement des emprunts d'Etat américains à 2 ans s'inscrivait à 3,61%, contre 3,55% la veille en clôture.
"A la veille de la décision, les ventes de détail et la production industrielle n'aident pas du tout les partisans d'une baisse d'un demi-point", a insisté Kit Juckes, de Société Générale.
Mais certains refusent d'abdiquer et les opérateurs attribuaient encore, en moyenne, une probabilité de 65% au scénario d'une coupe d'un demi-point.
Pour Adam Button de ForexLive, ce phénomène pourrait relever d'une stratégie de couverture au cas où la Fed opterait pour un demi-point, davantage que d'un geste de conviction.
Même si la Réserve fédérale choisissait de ne raboter son taux que d'un quart de point, "je ne serais pas surpris qu'on ait une accélération (des indices) demain", prévient Adam Sarhan.
Les investisseurs s'intéressent ainsi davantage, selon Kit Juckes, au taux final auquel la Fed aboutira au terme de son cycle de baisse, plutôt qu'à une décision ponctuelle.
A la cote, ordinairement à la traîne de ses concurrents à Wall Street, Intel faisait des étincelles (+3,11%) après une série d'annonces lundi, après Bourse.
Le groupe de Santa Clara (Californie) a notamment repoussé de deux ans ses projets d'usine en Allemagne et en Pologne. Il va aussi loger ses activités de fabrication de puces pour d'autres sociétés dans une filiale dédiée.
Meta avançait (+1,04%) après avoir dévoilé une nouvelle version d'Instagram pour les adolescents, qui comporte de nombreuses restrictions visant à protéger les jeunes utilisateurs de contenus nocifs ou de contacts non désirés.
Hewlett Packard Enterprise (HPE) était favorisé par un relèvement de recommandation des analystes de Bank of America, qui entrevoient des synergies importantes avec l'équipementier en télécommunications Juniper Networks, en cours de rachat.
Apple restait en retrait (-0,25%), avec un cours désormais inférieur à celui précédant le lancement de sa nouvelle gamme de produits, dont l'iPhone 16, il y a une semaine. Microsoft (+1,76%) menace de lui souffler de nouveau le titre de première capitalisation mondiale.
Le géant des logiciels et de l'informatique à distance capitalisait, pour ce faire, sur l'annonce d'un dividende en hausse et d'un nouveau programme de rachat d'actions à hauteur de 60 milliards de dollars.
Les actions d'Intel ont bondi de près de 4 % dans les premiers échanges mardi, alors qu'un accord de fabrication de puces avec l'activité cloud d'Amazon a donné un coup de pouce majeur à son activité de fabrication en sous-traitance qui perd de l'argent .
Après une chute de près de 60 % des actions d'Intel cette année, l 'accord offre un peu de répit aux investisseurs, alors que le fabricant de puces, autrefois leader, mise son avenir sur un redressement coûteux (link) , qui repose sur son unité de fonderie.
Intel construira des puces IA personnalisées pour Amazon Web Services (AWS) dans le cadre de l'accord de plusieurs milliards de dollars (link), élargissant un partenariat de plusieurs années entre les entreprises.
"L'accord apporte à Intel une certaine crédibilité alors qu'il cherche à gagner du terrain auprès de nouveaux clients externes. En outre, il aidera Intel à se vendre en tant que fournisseur de puces d'intelligence artificielle personnalisées", a déclaré Angelo Zino, analyste principal des actions chez CFRA Research.
Intel est en passe d'ajouter plus de 3 milliards de dollars à sa valeur de marché, si les gains se maintiennent. Cette année, elle est passée sous la barre des 100 milliards de dollars pour la première fois en trois décennies.
Le fait que la société ait manqué la demande liée à l'IA est en partie responsable du retard pris par l'action par rapport à des concurrents tels que Nvidia et TSMC (TSM.O), le plus grand fabricant de puces en sous-traitance au monde.
AWS est l'un des premiers grands clients avec lesquels Intel a annoncé un accord définitif. En février, elle a déclaré que Microsoft (link) utiliserait ses services pour fabriquer une puce informatique personnalisée.
Bien qu'il s'agisse d'une avancée significative (link), cet accord ne suffira pas à lui seul à sortir Intel de son marasme, selon les analystes. Selon Hans Mosesmann, analyste chez Rosenblatt Securities, Intel devrait fabriquer des puces pour des sociétés telles que Nvidia et AMD , toutes deux clientes de TSMC, afin de s'établir pleinement.
Intel va également suspendre ses projets de fabrication en Pologne et en Allemagne pendant environ deux ans, ce qui soulève des doutes (link) sur les subventions de près de 10 milliards d'euros (11,14 milliards de dollars) accordées par l'Allemagne pour ses deux usines dans le pays.
"Cette décision devrait contribuer à augmenter le flux de trésorerie, même si l'accent mis sur les usines américaines ne sera probablement pas bien perçu dans l'UE. Il ne fait aucun doute qu'elle sera applaudie à Washington et qu'elle aidera Intel à préserver des relations importantes", a déclaré Russ Mould, directeur des investissements chez AJ Bell.
(1 dollar = 0,8978 euro)
Les actions d'Intel ont bondi de 7% avant la cloche mardi, car un accord de fabrication de puces avec l'activité cloud d'Amazon a fourni un sceau d'approbation majeur pour son activité de fabrication en sous-traitance en difficulté.
Le fabricant de puces construira des puces d'IA personnalisées pour Amazon Web Services (AWS) dans le cadre d'un accord de plusieurs milliards de dollars. L'opération élargit un partenariat de plusieurs années entre les deux entreprises, dans le cadre duquel Intel conçoit plusieurs puces utilisées dans les centres de données d'Amazon.
"L'accord confère à Intel une certaine crédibilité alors qu'elle cherche à gagner du terrain auprès de nouveaux clients externes. En outre, il aidera Intel à se vendre en tant que fournisseur de puces d'intelligence artificielle personnalisées", a déclaré Angelo Zino, analyste principal des actions chez CFRA Research.
L'action d'Intel a plongé de près de 60 % cette année et est restée à la traîne des fabricants de puces, notamment Nvidia et TSMC (TSM.O), car elle n'a pas su profiter de l'explosion de la demande de puces liée à l'IA.
L'entreprise a essayé de regagner l'avantage de fabrication qu'elle a perdu face à TSMC en développant son unité de fonderie, qui a été la pièce maîtresse de la stratégie de redressement du directeur général Pat Gelsinger.
AWS est l'un des premiers clients importants avec lesquels Intel a annoncé un accord définitif. En février, Intel avait déclaré que Microsoft utiliserait ses services pour fabriquer une puce informatique personnalisée.
Mais les revenus "significatifs" de l'unité de fonderie à forte intensité de capital ne sont pas attendus avant 2027 (link), alors que des investissements coûteux sapent le flux de trésorerie et suscitent l'ire des investisseurs.
Pour alléger la pression, Intel a déclaré qu'elle suspendrait ses projets d'usines de puces en Pologne et en Allemagne pendant environ deux ans, ce qui soulève des doutes quant aux subventions de près de 10 milliards d'euros (11,14 milliards de dollars) accordées par l'Allemagne pour ses deux usines dans le pays.
"Cette décision devrait contribuer à augmenter le flux de trésorerie, même si l'accent mis sur les usines américaines ne sera probablement pas bien perçu dans l'UE. Il ne fait aucun doute qu'elle sera applaudie à Washington et qu'elle aidera Intel à préserver des relations importantes", a déclaré Russ Mould, directeur des investissements chez AJ Bell.
(1 dollar = 0,8978 euro)
Teresa Ribera devra affronter les grandes entreprises technologiques, les banques et les compagnies aériennes si elle est confirmée dans ses fonctions de responsable de la lutte concurrence en Europe, tout en jonglant avec les appels en faveur d'un assouplissement des règles pour aider à créer des champions européens.
Nommée mardi par la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, à ce poste concurrence très en vue, Mme Ribera est ministre espagnole de la Transition écologique depuis 2018.
La socialiste espagnole de 55 ans, l'une des responsables politiques les plus ambitieuses d'Europe en matière de changement climatique, devra obtenir l'approbation du Parlement européen avant de prendre ses fonctions.
En tant que commissaire à la concurrence, elle sera en mesure d'approuver ou d'opposer son veto à des fusions de plusieurs milliards d'euros ou d'infliger de lourdes amendes à des entreprises cherchant à renforcer leur pouvoir de marché en étranglant de plus petits rivaux ou en s'associant illégalement pour fixer les prix.
L'un de ses principaux défis sera de veiller à ce qu'Amazon , Apple , Alphabet's Google, Microsoft et Meta se conforment à des règles historiques visant à limiter leur pouvoir et à donner plus de choix aux consommateurs.
Apple, Google et Meta sont dans le collimateur de Margrethe Vestager, la commissaire européenne à la concurrence sortante, (link), pour ne pas avoir respecté la loi sur les marchés numériques.
Un autre défi consistera à gérer la popularité croissante de l'intelligence artificielle, alors que (link) s'inquiète de voir les grandes entreprises technologiques tirer parti de leur position dominante.
M. Ribera pourrait intensifier la répression des subventions publiques non européennes entamée par Mme Vestager afin d'empêcher les entreprises étrangères d'acquérir des entreprises de l'UE ou de participer à des appels d'offres publics de l'UE en bénéficiant d'aides publiques déloyales.
Les récents arrêts (link) de la plus haute juridiction européenne, qui ont soutenu l'injonction fiscale de 13 milliards d'euros adressée par la Commission à Apple et l'amende concurrence de 2,42 milliards d'euros infligée à Google, pourraient inciter Mme Ribera à adopter une ligne dure à l'égard des violations de la législation concurrence.
Cela signifierait qu'elle ne serait pas pressée d'assouplir (link) les règles concurrence, malgré l'appel de Mario Draghi à stimuler les champions industriels de l'UE afin qu'ils soient en mesure de rivaliser avec les concurrents américains et chinois.
Mme Ribera a également été nommée mardi vice-présidente exécutive chargée de la transition vers une énergie propre, juste et compétitive, avec pour mission de veiller à ce que l'Europe atteigne ses objectifs en matière d'écologie.
Elle est chargée de veiller à ce que l'Europe atteigne ses objectifs écologiques. Elle a notamment négocié des accords entre les pays de l'UE sur les limites d'émissions pour les camions et sur une révision controversée des règles du marché de l'électricité de l'UE l'année dernière.
Le Premier ministre espagnol Pedro Sanchez a déclaré que la nomination de Mme Ribera était une victoire pour le pays.
"Avec votre nomination, l'Espagne atteint le plus haut niveau d'influence qu'elle ait jamais eu à Bruxelles, et l'UE gagne un leader exceptionnel", a-t-il déclaré sur les médias sociaux.
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