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J'ai 5 ans d'expérience en analyse financière, notamment dans les aspects d'évolution macroéconomique et de jugement de tendances à moyen et long terme. Je me concentre principalement sur l'évolution du Moyen-Orient, des marchés émergents, du charbon, du blé et d'autres produits agricoles.
Coach de trading en chef et conférencier BeingTrader, plus de 8 ans d'expérience dans le trading du marché des changes, principalement XAUUSD, EUR/USD, GBP/USD, USD/JPY et pétrole brut. Un trader et analyste confiant qui vise à explorer diverses opportunités et à guider les investisseurs sur le marché. En tant qu'analyste, je cherche à améliorer l'expérience du trader en le soutenant avec suffisamment de données et de signaux.
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Despite Hong Kong's robust legal and regulatory framework, its stock market still faces unique risks and challenges, such as currency fluctuations due to the Hong Kong dollar's peg to the US dollar and the impact of mainland China's policy changes and economic conditions on Hong Kong stocks.
HK Stock Trading Fees and Taxation
Trading costs in the Hong Kong stock market include transaction fees, stamp duty, settlement charges, and currency conversion fees for foreign investors. Additionally, taxes may apply based on local regulations.
HK Non-Essential Consumer Goods Industry
The Hong Kong stock market encompasses non-essential consumption sectors like automotive, education, tourism, catering, and apparel. Of the 643 listed companies, 35% are mainland Chinese, making up 65% of the total market capitalization. Thus, it's heavily influenced by the Chinese economy.
HK Real Estate Industry
In recent years, the real estate and construction sector's share in the Hong Kong stock index has notably decreased. Nevertheless, as of 2022, it retains around 10% market share, covering real estate development, construction engineering, investment, and property management.
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** Le S&P 500 augmente pour la troisième semaine consécutive, avec une hausse de seulement 0,2%, alors que le rapport très attendu de Nvidia domine les gros titres
** En fin de compte, la grande majorité des secteurs sont restés calmes: Les valeurs financières sont stables, tandis que les valeurs technologiques sont prises au dépourvu
** Les valeurs financières progressent de 2,9%. Le conglomérat de Warren Buffett, Berkshire Hathaway , atteint pour la première fois une valeur de marché de 1 000 milliards de dollars (link)
** Les valeurs de consommation de base progressent de 0,8%. Cependant, Dollar General plonge de 33%, l'intensification de la concurrence (link) pour les consommateurs soucieux de leur budget alimentant les prévisions de baisse
** La consommation discrétionnaire baisse de 0,2%. Bath & Body Works s'effondre après avoir réduit ses prévisions de ventes annuelles (link), et Ulta Beauty s'effondre après avoir réduit ses prévisions pour 2024 (link) en raison du ralentissement de la demande de cosmétiques et de parfums à prix élevés
En revanche, Best Buy bondit de 14% après que le distributeur de produits électroniques ait revu à la hausse ses prévisions de bénéfices (link), les contrôles de coûts ayant porté leurs fruits
** Les services de communication reculent de 0,7%. Paramount Global recule, Edgar Bronfman ayant abandonné l'offre (link) de rachat de la société de médias
** Tech perd 1,5%. Le fleuron des puces d'IA, NVDA, chute car ses prévisions ne répondent pas aux (link) attentes élevées des investisseurs
En revanche, Intel progresse sur le rapport (link) d'évaluation des options, y compris la scission de la fonderie, pour endiguer les pertes
L'indice des semi-conducteurs perd tout de même plus de 1 % sur la semaine
Super Micro Computer chute de 29 % après que le fabricant de serveurs a retardé le dépôt de son rapport annuel (link) suite à la divulgation de la position courte de Hindenburg (link)
Mais CrowdStrike gagne du terrain, le chiffre d'affaires de l'entreprise de cybersécurité pour le 2ème trimestre (link) dépassant les prévisions réduites à la suite de la panne mondiale de Windows en juillet (link)
** Pendant ce temps, le déluge de dette du Trésor capitalise sur les perspectives d'assouplissement de la Fed (link)
** La performance du SPX depuis le début de l'année:
Tech | 26.5% |
Comm Svcs | 22.3% |
Finance | 21.2% |
Utils | 19.8% |
SPX | 18.4% |
Staples | 15.8% |
Industrie | 15.1% |
Soins de santé | 15.1% |
Matériaux | 10.0% |
Énergie | 8.7% |
Immobilier | 8.5% |
Discrétionnaire | 5.8% |
Les Bourses européennes ont fini sans direction vendredi, digérant une série d'indicateurs d'inflation aux Etats-Unis et en Europe, tandis que Wall Street a clôturé le mois d'août sur une note positive.
Il y a une "prise de respiration" des marchés "après une belle performance en août", commente Nicolas Forest, directeur des investissements de Candriam.
En Europe, la Bourse de Paris a conclu la séance en léger repli de 0,13%, tandis que Londres a terminé stable (-0,04%).
Francfort a touché un nouveau plus haut historique en séance à 18.970,71 points avant de finalement céder du terrain et de conclure proche de l'équilibre (-0,03%).
L'indice paneuropéen Stoxx 600 a terminé en très légère hausse de 0,09%, après avoir lui aussi établi un nouveau record en séance, à 526,66 points.
La séance a été plus favorable à New York, où le Dow Jones (+0,55%) en a profité pour inscrire un nouveau record, le quatrième cette semaine, tandis que l'indice Nasdaq et l'indice élargi S&P 500 ont pris respectivement 1,13% et 1,01%.
New York a connu une séance volatile, typique d'une fin de mois, avec une ouverture dans le vert, un passage dans le rouge et une remontée dans les dernières minutes.
"Les volumes étaient faibles aujourd'hui, ce qui est logique avant un week-end de trois jours, mais il y avait un biais haussier encouragé par de bonnes publications et des indicateurs positifs", a commenté Patrick O'Hare, de Briefing.com.
Wall Street sera fermé lundi, jour férié de Labor Day.
L'indice de prix PCE, considéré comme le plus pertinent par la banque centrale américaine (Fed), est ressorti à 2,5% sur un an en juillet, inchangé par rapport à juin et conforme aux attentes.
Hors énergie et alimentation, il s'est fixé à 2,6%, soit moins qu'annoncé par les économistes (2,7%).
"La mesure d'inflation préférée de la Fed est suffisamment proche de 2% (son objectif de long terme) pour qu'elle commence à réduire ses taux", a estimé Bill Adams, de Comerica Bank.
Le tableau est quasiment idyllique, car dans le même temps, la consommation a davantage progressé qu'en juin.
"Ce n'est pas une économie en récession", en a conclu Bill Adams.
En Europe, des indicateurs de prix ont aussi soulagé les investisseurs.
L'inflation en zone euro a nettement ralenti en août, retombant à 2,2% sur un an, son niveau le plus bas depuis juillet 2021. L'inflation sous-jacente n'a cependant baissé que faiblement, à 2,8%, après 2,9% en juillet.
Vendredi, le gouverneur de la Banque de France François Villeroy de Galhau a estimé dans une interview au magazine Le Point qu'une nouvelle baisse des taux de la Banque centrale européenne (BCE) en septembre, après celle de juin, serait "juste et sage".
Sur le marché obligataire, le rendement des emprunts de l'Etat allemand à dix ans montait à 2,30%, contre 2,27% à la clôture jeudi. Le taux américain de même échéance s'établissait à 3,90% contre 3,86%.
Du côté des changes, le billet vert se renforçait face à l'euro (+0,25%) à 1,1050 dollar.
Le pétrole miné par l'OpepLes cours du pétrole ont nettement fléchi, sapés par des informations selon lesquelles la hausse de production annoncée en juin par des membres du cartel Opep+ devrait bien intervenir à partir d'octobre.
Le prix du baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en octobre, dont c'était le dernier jour de cotation, a lâché 1,42%, pour clôturer à 78,80 dollars.
Son équivalent américain, le West Texas Intermediate (WTI) américain de même échéance a lui reflué de 3,11%, à 73,55 dollars.
Sur les marchés d'actions, les valeurs pétrolières étaient tirées vers le bas. A Paris, TotalEnergies a reculé de 0,83%, à Londres, BP a cédé 1,23% et Shell 1,11%, à Oslo, Equinor a abandonné 1,21%, à Milan, Eni a reculé de 0,89%.
Outre Atlantique, ConocoPhillips a perdu 0,51% et Exxon Mobil 0,16%.
** Le S&P 500 augmente pour la troisième semaine consécutive, avec une hausse de seulement 0,2%, alors que le rapport très attendu de Nvidia domine les gros titres
** En fin de compte, la grande majorité des secteurs sont restés calmes: Les valeurs financières sont stables, tandis que les valeurs technologiques sont prises au dépourvu
** Les valeurs financières progressent de 2,9%. Le conglomérat de Warren Buffett, Berkshire Hathaway , atteint pour la première fois une valeur de marché de 1 000 milliards de dollars (link)
** Les valeurs de consommation de base progressent de 0,8%. Cependant, Dollar General plonge de 33%, l'intensification de la concurrence (link) pour les consommateurs soucieux de leur budget alimentant les prévisions de baisse
** La consommation discrétionnaire baisse de 0,2%. Bath & Body Works s'effondre après avoir réduit ses prévisions de ventes annuelles (link), et Ulta Beauty s'effondre après avoir réduit ses prévisions pour 2024 (link) en raison du ralentissement de la demande de cosmétiques et de parfums à prix élevés
En revanche, Best Buy bondit de 14% après que le distributeur de produits électroniques ait revu à la hausse ses prévisions de bénéfices (link), les contrôles de coûts ayant porté leurs fruits
** Les services de communication reculent de 0,7%. Paramount Global recule, Edgar Bronfman ayant abandonné l'offre (link) de rachat de la société de médias
** Tech perd 1,5%. Le fleuron des puces d'IA, NVDA, chute car ses prévisions ne répondent pas aux (link) attentes élevées des investisseurs
En revanche, Intel progresse sur le rapport (link) d'évaluation des options, y compris la scission de la fonderie, pour endiguer les pertes
L'indice des semi-conducteurs perd tout de même plus de 1 % sur la semaine
Super Micro Computer chute de 29 % après que le fabricant de serveurs a retardé le dépôt de son rapport annuel (link) suite à la divulgation de la position courte de Hindenburg (link)
Mais CrowdStrike gagne du terrain, le chiffre d'affaires de l'entreprise de cybersécurité pour le 2ème trimestre (link) dépassant les prévisions réduites à la suite de la panne mondiale de Windows en juillet (link)
** Pendant ce temps, le déluge de dette du Trésor capitalise sur les perspectives d'assouplissement de la Fed (link)
** La performance du SPX depuis le début de l'année:
Tech | 26.5% |
Comm Svcs | 22.3% |
Finance | 21.2% |
Utils | 19.8% |
SPX | 18.4% |
Staples | 15.8% |
Industrie | 15.1% |
Soins de santé | 15.1% |
Matériaux | 10.0% |
Énergie | 8.7% |
Immobilier | 8.5% |
Discrétionnaire | 5.8% |
La Bourse de New York a fini en hausse vendredi, satisfaite par des nouvelles rassurantes de l'inflation et par une série de résultats de bonne facture.
Le Dow Jones (+0,55%) en a profité pour inscrire un nouveau record, le quatrième cette semaine, tandis que l'indice Nasdaq et l'indice élargi S&P 500 ont pris respectivement 1,13% et 1,01%.
New York a connu une séance volatile, typique d'une fin de mois, avec une ouverture dans le vert, un passage dans le rouge et une remontée dans les dernières minutes.
"Les volumes étaient faibles aujourd'hui, ce qui est logique avant un week-end de trois jours, mais il y avait un biais haussier encouragé par de bonnes publications et des indicateurs positifs", a commenté Patrick O'Hare, de Briefing.com.
Wall Street sera fermé lundi, jour férié de Labor Day.
L'indice de prix PCE, considéré comme le plus pertinent par la banque centrale américaine (Fed), est ressorti à 2,5% sur un an en juillet, inchangé par rapport à juin et conforme aux attentes.
Hors énergie et alimentation, il s'est fixé à 2,6%, soit moins qu'annoncé par les économistes (2,7%).
"La mesure d'inflation préférée de la Fed est suffisamment proche de 2% (son objectif de long terme) pour qu'elle commence à réduire ses taux", a estimé Bill Adams, de Comerica Bank.
Le tableau est quasiment idyllique, car dans le même temps, la consommation a davantage progressé qu'en juin.
"Ce n'est pas une économie en récession", en a conclu Bill Adams.
S'ils voient bien un coup de rabot de la Fed le mois prochain, les investisseurs ne croient, en revanche, plus beaucoup à l'hypothèse d'une baisse d'un demi-point, lui préférant un quart de point.
Cette évolution a donné un petit coup de pouce au dollar et tendu les taux obligataires. Le rendement des emprunts d'Etat américains à 10 ans s'établissait à 3,91%, contre 3,86% la veille en clôture.
Outre les nouvelles macroéconomiques, Wall Street a bien accueilli plusieurs résultats de sociétés.
Parmi eux le concepteur de puces informatiques Marvell Technology (+9,16%), moins connu que les grands noms des semi-conducteurs: ses résultats ont surpassé les projections du marché, grâce à la demande pour l'intelligence artificielle (IA).
Dell (+4,33%) a aussi fait état de chiffres supérieurs aux prévisions des analystes, et a relevé ses objectifs annuels.
Initialement connu pour ses ordinateurs personnels, le groupe de Round Rock (Texas) s'est transformé ces dernières années au point de devenir aujourd'hui un grand fournisseur de serveurs calibrés pour l'IA.
Autre bonne surprise, celle de l'enseigne de prêt-à-porter sportif Lululemon, forte d'un bénéfice net meilleur que prévu et de marges renforcées (+0,18%).
A la cote, outre Nvidia (+1,51%), au rebond, et Marvell, les vedettes des semi-conducteurs ont eu le vent en poupe, qu'il s'agisse de Broadcom (+3,75%), AMD (+2,11%) ou Qualcomm (+3,43%).
Intel a fait encore mieux (+9,49%), stimulé par une information de l'agence Bloomberg selon laquelle le groupe de Santa Clara envisage la scission de ses activités de conception de microprocesseurs et de ses opérations de fabrication.
Après avoir lourdement chuté début août suite à un mouvement brutal du yen, la place new-yorkaise a bien négocié la fin du mois d'août et recoupé ses pertes.
Si septembre est traditionnellement un mauvais mois pour les actions, l'élan pourrait néanmoins se poursuivre, selon Patrick O'Hare.
"En ce moment, le marché prend les séances les unes après les autres et il voit que l'économie continue à croître, que les résultats de sociétés tiennent bons et que les taux vont descendre", fait-il valoir.
La Bourse de New York a fini en hausse vendredi, la publication des chiffres de l'inflation PCE, les plus regardés par la Réserve fédérale (Fed), ayant conforté les attentes des investisseurs sur une réduction des taux d'intérêt en septembre.
L'indice Dow Jones a gagné 0,6%, ou 228,03 points, à 41.563,08 points.
Le S&P-500 , plus large, a pris 56,44 points, soit 1% à 5.648,40 points.
Le Nasdaq Composite a avancé de son côté de 197,194 points, soit 1,1% à 17.713,624 points.
L'indice des dépenses de consommation personnelle (PCE) a augmenté de 2,5% en juillet sur un an, montrent les données publiées vendredi par le département du Commerce.
"Les investisseurs observent un autre signe semblant indiquer un atterrissage en douceur", a déclaré Cameron Dawson directrice des investissements chez NewEdge Wealth. "C'est un autre de ces rapports de type Boucles d'or (...). Le marché obtient précisément ce qu'il voulait."
Un environnement économique est dit "Boucles d'or" lorsqu'il démontre une croissance régulière sans toutefois qu'elle n'alimente une inflation excessive.
Les traders s'attendent à voir la Fed réduire ses taux de 25 points de base en septembre, selon l'outil FedWatch du groupe CME.
Cette séance clôture un mois tumultueux à Wall Street, alors que les chiffres sur le marché du travail aux Etats-Unis, publiés au début du mois, avaient alimenté les craintes de voir l'économie américaine entrer en récession.
Le marché a depuis rebondi, le S&P 500 s'approchant de ses niveaux records.
Aux valeurs, Amazon.com et Tesla ont progressé, tout comme Broadcom .
Marvell Technology a bondi après avoir dit prévoir des résultats supérieurs aux estimations pour son troisième trimestre.
Nvidia était également à la hausse, regagnant du terrain après avoir terminé en baisse la veille.
Ulta Beauty a reculé après avoir abaissé sa prévision de résultats annuels en raison du ralentissement de la demande.
Le Nasdaq et le S&P 500 ont progressé dans un marché agité vendredi avant le long week-end, après que des signes de modération des pressions sur les prix aient renforcé les paris pour une réduction des taux d'intérêt lors de la prochaine réunion de la Réserve fédérale en septembre.
L' indice des dépenses de consommation des ménages (link) , l'indicateur d'inflation privilégié par la banque centrale, a augmenté de 2,5% en juillet en rythme annuel, contre une estimation de 2,6%, selon les économistes interrogés par Reuters. Sur une base mensuelle, il a augmenté de 0,2 %, comme prévu.
Parmi les grandes capitalisations sensibles aux taux d'intérêt, Amazon.com et Microsoft ont progressé respectivementde 1,8 % et de 0,4 %. Les titres de puces ont également augmenté, Broadcom grimpant de 2,3% et Advanced Micro Devices gagnant 0,5%, aidant l'indice Philadelphia SE Semiconductor à augmenter de 1,5%.
Le rapport PCE de vendredi est le dernier avant la réunion de septembre de la Fed et fait suite aux commentaires du président Jerome Powell (link) la semaine dernière, lorsqu'il a exprimé son soutien à un ajustement imminent de la politique.
Les chances d'une réduction de 25 points de base s'élevaient à 67,5 %, selon l'outil FedWatch du CME Group, tandis que celles d'une réduction de 50 points de base s'élevaient à 32,5 %.
"Les données confirment que le cycle de réduction des taux va commencer", a déclaré Thomas Martin, gestionnaire principal de portefeuille chez GLOBALT Investments.
Selon M. Martin, les investisseurs restent concentrés sur le marché du travail, avec une série de rapports sur l'emploi prévus pour la semaine à venir.
Les marchés mondiaux approchent de la fin d'un mois tumultueux pour les actifs à risque, après que les signes d'une modération soudaine du marché du travail aient déclenché des craintes de récession aux États-Unis au début du mois d'août. L'influence des opérations de portage sur le yen japonais (JPY=>) a aggravé la déroute.
La prise de risque s'est améliorée depuis lors, le Dow oscillant près de ses records, les données ultérieures, y compris la révision à la hausse de jeudi (link) de la croissance économique, ayant apaisé les nerfs des investisseurs.
A 11:42 a.m. ET, le Dow Jones Industrial Average était en baisse de 86,41 points, ou 0,21%, à 41 248,64, le S&P 500 était en hausse de 6,36 points, ou 0,11%, à 5 598,32, et le Nasdaq Composite était en hausse de 49,01 points, ou 0,28%, à 17 565,44.
Laplupart des 11 secteurs du S&P 500 sont restés stables, mais le secteur de la consommation discrétionnaire s'est démarqué de la tendance en progressant de 0,7%. Le secteur de l'énergie a été le plus à la traîne avec une baisse de 0,6%, en raison de la baisse des prix du pétrole.
Le Nasdaq et le S&P 500 ont clôturé en baisse jeudi après que Nvidia n'ait pas réussi à répondre aux (link) attentes élevées des investisseurs , malgré des résultats positifs et des prévisions globalement en ligne. La puce de l'intelligence artificielle était en hausse de 0,4 % après une chute de 6,4 % lors de la séance précédente.
Les indices de référence S&P 500 et Dow sont en passe de réaliser des gains mensuels, tandis que le Nasdaq est en passe de terminer le mois d'août en baisse, si les pertes se maintiennent.
Parmi les autres valeurs, Marvell Technology a bondi de 7,9 % après avoir annoncé des résultats pour le troisième trimestre (link) supérieurs aux estimations.
Ulta (link) Beauty a glissé de 3,0% après avoir réduit ses prévisions de résultats annuels, tandis qu'Intel a augmenté de 9,2% à la suite d'un rapport (link) explorant des options qui pourraient inclure une fusion ou une scission.
Dell Technologies a progressé de 3,4% après avoir revu à la hausse ses prévisions de revenus et de bénéfices annuels (link).
Les volumes de transactions devraient se réduire à l'approche du week-end prolongé en raison de la fête du travail.
Les valeurs en baisse ont été plus nombreuses que les valeurs en hausse dans un rapport de 1,06 contre 1 sur le NYSE etde 1,16 contre 1 sur le Nasdaq.
L'indice S&P a enregistré 57 nouveaux plus hauts sur 52 semaines etun nouveau plus bas, tandis que le Nasdaq a enregistré 63 nouveaux plus hauts et 51 nouveaux plus bas.
Les Bourses mondiales évoluaient en ordre dispersé vendredi, digérant une série d'indicateurs d'inflation aux Etats-Unis en Europe, et jaugeant la trajectoire future des politiques monétaires des institutions monétaires.
Il y a une "prise de respiration" des marchés "après une belle performance en août", commente Nicolas Forest, directeur des investissements de Candriam.
Vers 15H55 GMT à New York, l'indice élargi S&P 500 avançait de 0,18% et le Nasdaq, à forte coloration technologique, de 0,37%. Seul le Dow Jones, le plus vieil indice de Wall Street, reculait de 0,17%.
En Europe, la Bourse de Paris a conclu la séance en léger repli de 0,13%, tandis que Londres a terminé stable (-0,04%). Francfort a touché un nouveau plus haut historique en séance à 18.970,71 points avant de finalement céder du terrain et de conclure proche de l'équilibre (-0,03%).
L'indice paneuropéen Stoxx 600 a terminé en très légère hausse de 0,09%, après avoir lui aussi établi un nouveau record en séance, à 526,66 points.
"Cela a été une semaine importante, une semaine de clarification" pour les marchés quant à la trajectoire de la politique monétaire de la banque centrale américaine (Fed) "après la réunion des banquiers centraux à Jackson Hole, et avec aujourd'hui des données d'inflation et de consommation" aux Etats-Unis et en Europe, commente Nicolas Forest.
Aux Etats-Unis, la mesure d'inflation préférée de la Fed est restée stable sur un an en juillet, à 2,5%, mais a continué à accélérer sur un mois, à 0,2% contre 0,1%, selon l'indice PCE publié par le département du Commerce, une évolution conforme aux attentes des analystes.
"Ce 2,5% est un chiffre qui permet à la Fed d'entamer son cycle de baisse des taux dès septembre, après un resserrement monétaire record", commente Nicolas Forest.
"Ces données rassurent, mais en même temps, le marché anticipe aujourd'hui huit baisses des taux sur un an, et pour qu'il continue de progresser, il faudra des nouvelles rassurantes sur le plan de la croissance, de l'emploi et des entreprises aux Etats-Unis", détaille le directeur des investissements.
En Europe, des indicateurs d'inflation ont aussi soulagé les investisseurs. L'inflation en zone euro a nettement ralenti en août, retombant à 2,2% sur un an, son niveau le plus bas depuis juillet 2021. L'inflation sous-jacente n'a cependant que faiblement baissé, à 2,8%, après 2,9% en juillet.
Vendredi, le gouverneur de la Banque de France François Villeroy de Galhau a estimé dans une interview au magazine Le Point qu'une nouvelle baisse des taux de la Banque centrale européenne (BCE) en septembre, après celle de juin, serait "juste et sage".
Sur le marché obligataire, le rendement des emprunts de l'Etat allemand à dix ans montait à 2,29% vers 15H50 GMT, contre 2,27% à la clôture jeudi. L'américain à même échéance s'établissait à 3,87% contre 3,86%.
Du côté des changes, le dollar se renforçait face à l'euro (+0,21%) à 1,1055 dollar.
Pétrole: le secteur s'inclineStables en début de séance, les cours du pétrole se sont brusquement inclinés face à la perspective que l'Organisation des pays exportateurs de pétrole et leurs alliés réunis dans l'Opep+ procède à une augmentation de la production de pétrole planifiée à partir d'octobre, ce qu'assurent six sources du groupe de producteurs jointes par l'agence Reuters, dans un article publié vendredi.
Vers 15H55 GMT, le prix du baril de Brent de la mer du Nord perdait 1,38% à 78,84 dollars et son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate (WTI) baissait de 2,58%, à 73,95 dollars.
Sur les marchés d'actions, les valeurs pétrolières étaient tirées vers le bas. A Paris, TotalEnergies a reculé de 0,83%, à Londres, BP a cédé 1,23% et Shell 1,11%, à Oslo, Equinor a abandonné 1,21%, à Milan, Eni a reculé de 0,89%.
Outre Atlantique, ConocoPhillips perdait 1,54%, Exxon Mobil 0,99% et Chevron 0,67%.
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