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J'ai 5 ans d'expérience en analyse financière, notamment dans les aspects d'évolution macroéconomique et de jugement de tendances à moyen et long terme. Je me concentre principalement sur l'évolution du Moyen-Orient, des marchés émergents, du charbon, du blé et d'autres produits agricoles.
Coach de trading en chef et conférencier BeingTrader, plus de 8 ans d'expérience dans le trading du marché des changes, principalement XAUUSD, EUR/USD, GBP/USD, USD/JPY et pétrole brut. Un trader et analyste confiant qui vise à explorer diverses opportunités et à guider les investisseurs sur le marché. En tant qu'analyste, je cherche à améliorer l'expérience du trader en le soutenant avec suffisamment de données et de signaux.
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Risk Warning on Trading HK Stocks
Despite Hong Kong's robust legal and regulatory framework, its stock market still faces unique risks and challenges, such as currency fluctuations due to the Hong Kong dollar's peg to the US dollar and the impact of mainland China's policy changes and economic conditions on Hong Kong stocks.
HK Stock Trading Fees and Taxation
Trading costs in the Hong Kong stock market include transaction fees, stamp duty, settlement charges, and currency conversion fees for foreign investors. Additionally, taxes may apply based on local regulations.
HK Non-Essential Consumer Goods Industry
The Hong Kong stock market encompasses non-essential consumption sectors like automotive, education, tourism, catering, and apparel. Of the 643 listed companies, 35% are mainland Chinese, making up 65% of the total market capitalization. Thus, it's heavily influenced by the Chinese economy.
HK Real Estate Industry
In recent years, the real estate and construction sector's share in the Hong Kong stock index has notably decreased. Nevertheless, as of 2022, it retains around 10% market share, covering real estate development, construction engineering, investment, and property management.
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Wall Street est attendue en hausse jeudi tandis que l'Europe progresse à mi-séance après la baisse de taux plus importante que prévu de la Réserve fédérale américaine (Fed).
Les futures sur indices new-yorkais suggèrent une ouverture de Wall Street dans le vert, le Dow Jones s'affichant en hausse de 1,09%, tandis que le Standard & Poor's 500 progresse de 1,51% et le Nasdaq avance de 2%.
À Paris, le CAC 40 se hisse de 1,94% à 7.588,96 points vers 10h14 GMT. Le Dax à Francfort se renforce de 1,37%, tandis que le FTSE à Londres CURRENCYCOM:UK100 progresse de 1,15%.
L'indice paneuropéen FTSEurofirst 300 (.FTEU3) prend 1,31%, l'EuroStoxx 50 gagne 1,72% et le Stoxx 600 croît de 1,3%.
Les marchés saluent la dernière décision de la Fed, préférant lire dans la baisse de 50 points de base décidée mercredi l'assurance d'un "atterrissage en douceur" de l'économie américaine plutôt qu'une inquiétude de la banque centrale sur une potentielle récession économique.
Le président de la Fed, Jerome Powell, a ainsi insisté sur la résistance du marché du travail, proche du plein emploi selon lui, et a ajouté que la Fed n'était pas en retard sur l'état de l'économie.
"Prenant acte que sa politique monétaire est beaucoup trop restrictive maintenant que la balance des risques s’est déportée de l’inflation vers le chômage, la Fed a entamé hier un cycle de baisse des taux directeurs", estime Bruno Cavalier, chef économiste d'Oddo BHF.
"La convergence vers une zone de neutralité monétaire est plus rapide qu’initialement anticipé par la Fed, ce qui contribue à écarter un scénario de récession", ajoute l'économiste.
Les marchés tablent sur 71 points de base de baisse de taux d'ici décembre, un chiffre supérieur aux projections de la Fed qui attend encore deux baisses de 25 points de base cette année.
La Banque d'Angleterre devrait maintenir ses taux inchangés jeudi, la décision de politique monétaire de l'institution étant attendue à 11h00 GMT.
La Banque du Japon annoncera sa décision sur les taux vendredi.
LES VALEURS A SUIVRE A WALL STREET
Alphabet a proposé cette année de vendre sa place de marché publicitaire AdX afin de mettre fin aux poursuites de l'Union européenne, mais le bloc a jugé cette proposition insuffisante, ont déclaré mercredi deux proches du dossier.
Dell Technologies a fait état jeudi d'un dividende trimestriel de 0,445 dollar par action ordinaire.
LES VALEURS A SUIVRE EN EUROPE
Campari progresse de 7,8% après que son principal actionnaire a annoncé acheter jusqu'à 100 millions d'euros d'actions supplémentaires du groupe.
La performance du groupe soutient les autres groupes de vins et spiritueux, Pernod Ricard et Rémy Cointreau gagnant respectivement 3,81% et 5,16%.
Air France-KLM gagne 5,16% après qu'Exane BNP Paribas a relevé sa recommandation sur le groupe à "neutre".
Ocado prend 6,69% après qu'Ocado Retail, sa coentreprise avec Marks & Spencer , a relevé ses prévisions financières pour l'exercice 2023-2024.
MFE-MediaForEurope , le radiodiffuseur commercial contrôlé par la famille Berlusconi, a annoncé jeudi que ses ventes publicitaires devraient dépasser les prévisions sur les neuf premiers mois de l'année et progresse de 10,18%.
TAUX
Les rendements digèrent les dernières déclarations de la Fed, ce alors que la Banque du Japon doit statuer vendredi sur ses taux.
Le rendement du dix ans allemand (DE10YT=RR) se renforce de 1,3 pb à 2,204%, celui du taux à deux ans (DE2YT=RR) est stable à 2,257%.
Le rendement du Treasury à dix ans prend 1,7 pb à 3,7037%, tandis que le rendement du titre à deux ans (US2YT=RR) abandonne 1,1 pb à 3,5918%.
CHANGES
L'euro et la livre se renforcent face au dollar après la baisse de taux plus importante que prévu de la Fed.
Le dollar recule de 0,04% face à un panier de devises de référence , l'euro se hisse de 0,49% à 1,1173 dollar, et la livre sterling se raffermit de 0,48% à 1,3275 dollar.
PETROLE
Les cours du brut progressent à la suite de la décision de la Fed sur ses taux, susceptible de soutenir la demande aux Etats-Unis, et des tensions géopolitiques au Moyen-Orient.
Le Brent progresse de 1,06% à 74,43 dollars le baril et le brut léger américain (West Texas Intermediate, WTI) se renchérit de 0,89% à 71,54 dollars.
PRINCIPAUX INDICATEURS ÉCONOMIQUES À L'AGENDA DU 19 SEPTEMBRE:
PAYS | GMT | INDICATEUR | PÉRIODE | CONSENSUS | PRÉCÉDENT |
---|---|---|---|---|---|
USA | 12h30 | Inscriptions hebdomadaires au chômage | sem. au 14 sept. | 230.000 | 230.000 |
USA | 14h00 | Indice d'activité "Philly Fed" | sept. | -1,0 | -7,0 |
La Bourse de Paris évolue en nette hausse de 1,34% jeudi, les investisseurs se montrant optimistes après la décision de la Réserve fédérale américaine (Fed) d'abaisser son taux directeur d'un demi point.
Vers 08H00 GMT, le CAC 40 gagnait 98,83 points, à 7.541,69 points. La veille, l'indice vedette avait terminé en repli de 0,57%.
Après un cycle de onze hausses, la Fed a finalement débuté un assouplissement de sa politique monétaire, abaissant mercredi son taux directeur d'un demi point.
"Pour enclencher son cycle d'assouplissement monétaire, elle a décidé de frapper fort en abaissant son taux directeur de 50 points de base. De manière assez surprenante, la Fed semble s'être complètement alignée sur les attentes du marché", explique Christopher Dembik, conseiller en investissement chez Pictet AM.
Cette baisse des taux actée, les investisseurs vont désormais se tourner vers les performances de l'économie américaine. Si, historiquement, une baisse des taux est "positive" pour les marchés financiers, c'est "lorsque l'économie n'est pas en récession", tempère John Plassard, spécialiste en investissement pour Mirabeau.
"Désormais, les données économiques, notamment celles de l'emploi aux États-Unis, sont au centre de l'attention", indique Andres Lipkow, analyste indépendant.
Egalement à l'agenda, la décision de politique monétaire de la Banque d'Angleterre attendue jeudi sera scrutée par les investisseurs. A rebours de la Fed, l'institution britannique pourrait marquer un coup d'arrêt dans son cycle de coupe de ses taux d'intérêt, entamé en août.
En France, les marchés gardent un oeil sur la situation budgétaire, que le nouveau Premier ministre Michel Barnier, en pleine composition de son gouvernement, a qualifiée de "très grave" mercredi.
Le taux d'intérêt d'emprunt français à dix ans s'établissait à 2,93% vers 08H00 GMT, contre 2,91% la veille. Le rendement allemand était à 2,20%, contre 2,19% mercredi.
Le luxe en forceLes entreprises du luxe portaient en partie la bonne forme du CAC 40 jeudi matin. LVMH prenait 2,52% à 610,90 euros vers 8H10 GMT, Hermès suivait la même tendance, en hausse de 2,62% à 1.960 euros.
Airbus, problème moteurLe problème de moteur de l'Airbus A350 qui a entraîné l'annulation de dizaines de vols de Cathay Pacific début septembre aurait pu provoquer "des dégâts importants", selon une enquête des autorités de Hong Kong publiée jeudi.
La compagnie hongkongaise a immobilisé brièvement sa flotte d'A350 le temps de faire des inspections et des réparations après qu'un avion de ce modèle à destination de Zurich a été contraint de faire demi-tour vers Hong Kong le 2 septembre.
A 08H10 GMT, l'avionneur prenait toutefois 1,82%.
Les marchés mondiaux évoluent dans vert au lendemain de la décision de la Réserve fédérale américaine (Fed) de baisser son taux directeur d'un demi-point de pourcentage, entamant ainsi un assouplissement monétaire attendu depuis des mois par les marchés.
Les Bourses européennes évoluaient en nette hausse, les investisseurs étant optimistes après l'abaissement du taux directeur de la Fed. A 7H35 GMT, Paris rebondissait de 1,10%, Londres gagnait 0,64%, Francfort suivait la même tendance (+0,56%), tout comme Milan (+0,86%).
Mercredi, encore dans l'attente de l'annonce de la Fed, les places parisiennes avaient terminé dans le rouge.
La Bourse de Tokyo a clôturé en hausse jeudi, portée par un affaiblissement du yen, après la baisse d'un demi-point de pourcentage du taux de la banque centrale américaine (Fed).
L'indice vedette Nikkei a gagné 2,13% à 37.155,33 points et l'indice élargi Topix a pris 2,01% à 2.616,87 points.
La Bourse de New York a quant à elle fini en baisse mercredi, une partie des investisseurs regrettant le ton mesuré du président de la Fed Jerome Powell quant aux prochaines réunions de l'institution.
Le Dow Jones a abandonné 0,25%, l'indice Nasdaq a perdu 0,31%, et l'indice élargi S&P 500 a cédé 0,29% à l'issue de la séance, après que les indices ont oscillé entre rouge et vert.
Mercredi, Jerome Powell a adopté un discours très mesuré, insistant sur le fait que l'institution allait "avancer avec prudence" et qu'elle ne s'interdisait pas de faire une pause dans son cycle d'assouplissement monétaire si les conditions le justifiaient.
"Tout va dépendre de la façon dont l'économie évolue", a affirmé le président de la Fed.
"Au-delà de la baisse des taux elle-même", le discours de Jerome Powell a mis l'accent "sur le marché du travail", pointe Stephen Innes, analyste de SPI Asset Management, pour qui "la Fed tente de trouver un meilleur équilibre entre l'emploi et l'inflation".
"La question à long terme est de savoir comment le marché va interpréter cette première baisse", affirme Christopher Dembik, conseiller en investissement chez Pictet AM, qui table sur une "volatilité" qui devrait "rester très élevée sur les actions à court terme", dans "un contexte de faiblesse de la liquidité".
Historiquement, une baisse des taux est "positive" pour les marchés financiers, "lorsque l'économie n'est pas en récession", indique John Plassard, spécialiste en investissements pour Mirabeau.
Dans ce contexte, le taux de l'emprunt américain sur deux ans s'établissait à 7H30 GMT à 3,59%, contre 3,62% la veille. Sur dix ans, le taux d'emprunt américain était de 3,70%.
La devise américaine était en hausse par rapport à l'euro (+0,22%), à 1,1144 dollar pour un euro.
Les investisseurs scruteront jeudi la décision de politique monétaire de la Banque d'Angleterre.
Suivra celle de la Banque du Japon (BoJ) vendredi, sur fond de divergence de plus en plus importante de sa politique monétaire avec celles de ses homologues.
L'IA rappelée à l'ordre par l'ONULe développement de l'intelligence artificielle et les risques associés ne peuvent être abandonnés "aux caprices" du marché, mettent en garde jeudi des experts de l'ONU qui plaident pour des outils de coopération internationale sans aller toutefois jusqu'à une entité mondiale de gouvernance.
Mercredi, Nvidia a reculé de 1,92%.
Les constructeurs européens en rogneLa plupart des constructeurs automobiles européens ont demandé officiellement jeudi à Bruxelles "des mesures d'aide urgentes" pour affronter le durcissement en 2025 des normes d'émissions de CO2 qu'ils s'estiment incapables de respecter, en particulier à cause de l'érosion des ventes de voitures électriques.
A 7H30 GMT, Renault prenait 0,72%, à 39,82 euros, Stellantis montait de 2,72% à 14,06 euros. Volkswagen avançait de 2,03%.
Le pétrole repart à la hausseLes cours du pétrole remontaient jeudi à 7H40 GMT. Le prix du baril de Brent de la mer du Nord augmentait de 0,91%, à 74,32 dollars. Le baril de West Texas Intermediate (WTI) américain prenait quant à lui 0,83%, à 71,50 dollars.
Le bitcoin a bondi (+3%), à 62.042 dollars.
Les principales Bourses européennes sont en hausse mercredi en matinée après les décisions de la Réserve fédérale américaine (Fed) qui ont renforcé l'hypothèse d'un atterrissage en douceur de l'économie américaine et une accélération des baisses des taux directeurs des autres banques centrales, alors que la Banque d'Angleterre (BoE) doit se prononcer sur le sujet à la mi-journée.
À Paris, le CAC 40 prend 1,15% à 7.530,7 points vers 08h00 GMT. À Londres, le FTSE 100 CURRENCYCOM:UK100 avance de 0,67% et à Francfort, le Dax s'octroie 0,60%.
L'indice EuroStoxx 50 progresse de 0,97%, le FTSEurofirst 300 (.FTEU3) de 0,79% et le Stoxx 600 de 0,82%.
Les contrats à terme à Wall Street préfigurent une hausse de 0,69% pour le Dow Jones , de 1,14% pour le Standard & Poor's 500 et de 1,73% pour le Nasdaq au lendemain d'une séance record pour les deux premiers indices.
Les marchés financiers, qui ont réagi dans un premier temps négativement à la décision de la Fed d'abaisser de 50 points de base ses taux directeurs, digèrent désormais positivement ce premier pas dans l'assouplissement monétaire de la banque.
Les traders expliquent que la crainte d'une récession aux Etats-Unis a laissé place à l'espoir d'un atterrissage en douceur de l'économie, le président de la Fed, Jerome Powell, ayant lui-même laissé entendre mercredi que la forte baisse des taux n'avait pas été prise sous l'effet de la panique.
Pour le patron de la Fed, cette détente monétaire vise surtout à montrer l'engagement des responsables de la banque centrale à maintenir un faible taux de chômage aux Etats-Unis, l'inflation ayant désormais nettement ralenti.
"Nous pensons que la Fed sera poussée à procéder à des réductions (de taux) plus importantes", écrivent jeudi les économistes de Bank of America, qui tablent désormais sur une nouvelle baisse de 75 points de base des coûts d'emprunt aux Etats-Unis d'ici la fin de l'année.
La baisse des taux de la Fed favorise les valeurs de croissance en Europe, avec notamment le secteur des nouvelles technologies (.SX8P) qui prend 1,46% et celui du luxe (.STXLUXP) qui avance de 1,28%. Pratiquement tous les grands compartiments du Stoxx 600 sont dans le vert, excepté celui des télécoms (.SXKP) qui recule de 0,68%.
Les décisions d'une autre grande banque centrale, celle de la Banque d'Angleterre, sont attendues à 11h00 GMT.
Dans l'actualité du jour des entreprises, Next gagne de 2,5%, le distributeur britannique de vêtements étant en passe de réaliser un bénéfice annuel de près d'un milliard de livres après avoir relevé ses perspectives pour la deuxième fois en deux mois. Ocado Group bondit de près de 9%, sa coentreprise avec Marks & Spencer (+1,25%) ayant relevé ses prévisions financières pour l'exercice 2023-2024.
Unibail-Rodamco-Westfield (-0,9%) est dans le rouge après l'annonce du report de l'ouverture de Westfield Hamburg-Überseequartier au premier trimestre 2025.
L'homme d'affaires franco-israélien Beny Steinmetz a demandé l'annulation de sa condamnation en Suisse en 2023, affirmant qu'un des procureurs qui s'est chargé de l'affaire a violé la procédure pénale, a annoncé jeudi sa défense.
La Chambre d'appel genevoise l'avait condamné en avril 2023 à trois ans de prison dont 18 mois fermes, pour corruption d'agents publics étrangers, en lien avec des droits miniers en Guinée.
Sa peine avait été suspendue car il avait immédiatement saisi le Tribunal fédéral, la plus haute instance juridique suisse.
Sa défense a cette fois demandé l'annulation de sa condamnation, affirmant dans un communiqué que "des documents inédits provenant d'enquêtes israéliennes dans lesquelles apparaissent des échanges de courriels avec les autorités suisses révèlent que le procureur genevois Claudio Mascotto", en charge du dossier à ses débuts, "a illégalement accordé l'immunité à un témoin en échange de son témoignage contre Beny Steinmetz".
"Il a également violé la procédure pénale en étant en contact avec l'avocat du témoin en dehors des canaux officiels et en dissimulant ces actions au lieu de les divulguer loyalement aux parties", poursuit le communiqué.
Selon la défense, il devient "évident que Beny Steinmetz a été privé de son droit à un procès équitable".
"Sur la base de ces nouveaux éléments, il demande l'annulation de sa condamnation et l'ouverture d'une nouvelle procédure impartiale au cours de laquelle il pourra prouver son innocence", conclut le communiqué.
La demande d'annulation a été déposée le 12 septembre auprès de la justice genevoise, selon un document obtenu par l'AFP.
"En raison de la somme des indices signalant une instruction inadéquate, nous étions pratiquement certains que le procureur avait franchi la limite de la légalité. Grâce à ces documents, il est désormais possible de le prouver", a affirmé Daniel Kinzer, avocat de Beny Steinmetz, dans le communiqué.
Selon la Chambre d'appel genevoise, M. Steinmetz, 68 ans, a influencé le processus d'attribution de droits miniers dans le Simandou, en République de Guinée. Cette région difficile d'accès abrite l'un des plus importants gisements de minerai de fer de la planète.
Il avait écopé en première instance en janvier 2021 de cinq ans de prison ferme. Ce premier procès était l'aboutissement d'une longue enquête internationale ouverte en 2013 portant sur des permis miniers octroyés en Guinée en échange de pots-de-vin versés à de hauts dignitaires guinéens au Beny Steinmetz Group Resources (BSGR), dans lequel M. Steinmetz avait le titre de conseiller.
La Chambre d'appel genevoise l'avait en revanche acquitté de l'infraction de faux dans les titres, qui avait été retenue en première instance.
La Bourse de Paris est attendue en nette hausse jeudi, au lendemain de l'annonce tant attendue de la baisse des taux de la banque centrale américaine (Fed), dans une séance qui devrait rester volatile.
Le contrat à terme du CAC 40 était en hausse de 1,01%, une quarantaine de minutes avant l'ouverture de la séance. Mercredi, il a terminé en repli de 0,57%, à 7.444,90 points.
"Les indices européens devraient ouvrir en nette hausse ce matin dans le sillage de la première baisse des taux de la Fed depuis 2020", explique John Plassard, spécialiste en investissements pour Mirabeau.
Après un cycle de onze hausses, la Fed a entamé mercredi un assouplissement de sa politique monétaire, alors que ses taux se situaient depuis juillet 2023 au plus haut depuis deux décennies.
Le président de la Fed Jérome Powell a annoncé une baisse d'un demi-point du taux directeur, désormais situé dans une fourchette comprise entre 4,75% et 5%.
Historiquement, une baisse des taux est "positive" pour les marchés financiers, "lorsque l'économie n'est pas en récession", indique John Plassard.
Mercredi, à Wall Street, les Bourses sont restées sur leur faim malgré l'annonce de Jerome Powell, déçues par la prudence de son message, dans une séance très volatile.
Le Dow Jones a abandonné 0,25%, l'indice Nasdaq a perdu 0,31%, et l'indice élargi S&P 500 a cédé 0,29%.
La volatilité "devrait rester très élevée", selon Christopher Dembik, conseiller en investissement chez Pictet AM, étant donné le contexte "de faiblesse de la liquidité qui devrait favoriser des mouvements erratiques sur les cours".
Du côté des indicateurs, les investisseurs scruteront jeudi la décision de politique monétaire de la Banque d'Angleterre.
A rebours de la Fed, l'institution britannique pourrait marquer un coup d'arrêt dans son cycle de coupe de ses taux d'intérêt, entamé en août.
Les valeurs à suivreAirbus: Le problème du moteur de l'Airbus A350 qui a entraîné l'annulation de dizaines de vols de Cathay Pacific début septembre aurait pu provoquer "des dégâts importants", selon une enquête des autorités de Hong Kong publiée jeudi. La compagnie hongkongaise a immobilisé brièvement sa flotte d'A350 le temps de faire des inspections et des réparations après qu'un avion de ce modèle à destination de Zurich a été contraint de faire demi-tour vers Hong Kong le 2 septembre.
Constructeurs automobiles: la plupart des constructeurs automobiles européens ont demandé officiellement jeudi à Bruxelles "des mesures d'aide urgentes" pour affronter le durcissement en 2025 des normes d'émissions de CO2 qu'ils s'estiment incapables de respecter, en particulier à cause de l'érosion des ventes de voitures électriques.
La Bourse de Tokyo a clôturé en hausse jeudi, portée par un affaiblissement du yen, après la baisse d'un demi-point de pourcentage du taux de la banque centrale américaine (Fed).
L'indice vedette Nikkei a gagné 2,13% à 37.155,33 points et l'indice élargi Topix a pris 2,01% à 2.616,87 points.
Mercredi, la Fed a baissé d'un demi-point de pourcentage son taux directeur - pour la première fois depuis 2020 - qui se situe désormais dans une fourchette comprise entre 4,75% et 5%.
Un franc coup de rabot qui a surpris la plupart des économistes, qui plaidaient pour une réduction d'un quart de point.
"La réduction massive des taux de la Fed montre une intention claire de soutenir l'économie américaine et viser un atterrissage en douceur", a commenté Ayako Sera, stratégiste des marchés pour Sumitomo Mitsui Trust Bank Ltd Tokyo, auprès de l'agence Bloomberg.
Néanmoins, la Banque du Japon (BoJ) a commencé sa réunion de deux jours, laissant les investisseurs dans l'expectative avant l'annonce de ses décisions de politique monétaire vendredi.
"Il sera difficile de se lancer dans des opérations agressives", pendant ces deux jours, selon Yuta Okamoto, analyste du Tokai Tokyo Intelligence Lab.
Selon les analystes, la BoJ devrait maintenir son taux d'intérêt inchangé vendredi, après l'avoir relevé fin juillet.
Sur le marché des changes, le yen a poursuivi sa chute par rapport au billet vert avant de se reprendre légèrement en fin de séance, incitant les investisseurs à évaluer les perspectives d'écarts de rendement entre le Japon et les Etats-Unis.
La devise nippone valait 142,58 yens pour un dollar vers 06H07 GMT, contre 142,29 yens mercredi à 21H00 GMT.
"Le yen a pris un coup aujourd'hui (...) toutefois, la tendance générale reste claire, (la paire) dollar-yen devrait baisser à court et moyen terme, car les politiques de la BoJ et de la Fed divergent, ce qui constitue un indicateur solide pour les traders à l'avenir", a estimé Stephen Innes, analyste de SPI Asset Management.
Ainsi, les valeurs liées à l'exportation ont continué dans le vert, grâce à la faiblesse de la monnaie japonaise. Le secteur automobile a notamment été avantagé: Toyota (+5,05%), Honda (+3,34%) ou encore Nissan (+3,15%).
Les actions liées aux semi-conducteurs ont aussi été favorisées, malgré le recul de Nvidia aux Etats-Unis la veille: Tokyo Electron a avancé de 2,47%, Disco Corp de 1,78% et Advantest de 1,48%.
Sur le marché des devises, l'euro était en légère hausse à 158,79 yens contre 158,21 yens la veille, et se négociait pour 1,1133 dollar au lieu de 1,1119 dollar mercredi.
Sur le marché du pétrole, le prix du baril de WTI américain prenait 0,10% à 70,98 dollars et celui de Brent de la mer du Nord gagnait 0,29% à 73,86 dollars vers 05H55 GMT.
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