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La Bourse de New York a fini en nette hausse mardi après que la publication de données plus faibles qu'attendu sur les prix à la production aux Etats-Unis a renforcé l'hypothèse d'une baisse des taux de la Réserve fédérale (Fed) lors de la réunion de septembre de la banque centrale américaine.
L'indice Dow Jones a gagné 1,04%, ou 408,63 points, à 39.765,64 points.
Le S&P-500 , plus large, a pris 90,04 points, soit 1,68%, à 5.434,43 points.
Le Nasdaq Composite a avancé de son côté de 407,00 points (2,43%) à 17.187,61 points.
Les prix à la production aux Etats-Unis ont progressé moins qu'attendu en juillet, montrent des données officielles communiquées dans la journée, alors que la hausse du coût des matières premières a été compensée par le repli des prix des services, suggérant que l'inflation a continué de ralentir.
Les investisseurs attendent désormais la publication, mercredi, des prix à la consommation puis, jeudi, les ventes au détail aux Etats-Unis pour confirmer le scénario d'une importante baisse des taux de la Fed lors de sa réunion de politique monétaire le mois prochain.
Les prix à la production "renforcent l'idée que la Fed a réalisé un excellent travail pour maintenir l'inflation globalement sous contrôle et que le scénario le plus probable est celui d'une baisse des taux à court terme", a commenté Michael James, directeur du trading chez Wedbush Securities.
Notant que le rapport sur les prix à la consommation était attendu mercredi matin, il a ajouté que "toute donnée économique va avoir un impact démesuré sur le marché parce que les gens sont vraiment nerveux en ce moment".
D'après FedWatch Tool, les traders misent désormais à 55% sur une baisse des taux de 50 points de base en septembre, contre 50% avant la publication des prix à la production.
Ce rapport a alimenté le rebond de Wall Street après un lundi délicat et une semaine passée marquée par la volatilité des indices, entre une hausse des taux inattendue opérée par la Banque du Japon (BoJ) et des données économiques mitigées.
Dix des onze secteurs majeurs du S&P-500 ont fini la séance du jour dans le vert, au premier rang desquels les technologies de l'information . L'énergie a reculé, dans le sillage de la baisse des prix du pétrole.
Côté valeurs, Starbucks a enregistré sa plus forte hausse sur une journée, bondissant de 24,5% après avoir nommé à sa tête Brian Niccol, qui dirigeait Chipotle Mexican Grill's , dont le titre s'est replié de 7,5%.
Home Depot a fini en légère hausse en dépit d'un recul en début de séance après une prévision de baisse de son bénéfice annuel et d'une diminution plus importante qu'attendu de ses ventes.
BuzzFeed a pris 25,9% après avoir réduit sa perte nette au deuxième trimestre.
La Bourse de New York a conclu en nette hausse mardi alors qu'un premier signe rassurant sur le front de l'inflation aux Etats-Unis a aidé les investisseurs à revenir en force vers la technologie.
L'indice Dow Jones a gagné 1,04% à 39.765,64 points, le Nasdaq, à forte coloration technologique, a bondi de 2,43% à 17.187,61 points et le S&P 500 a avancé de 1,68% à 5.434,43 points.
L'indice des prix à la production (PPI), publié mardi, n'a avancé que de 0,1% en juillet contre +0,2% en juin. Cette légère hausse était conforme aux attentes du marché.
Sur les 12 derniers mois, la progression a fortement ralenti, pour atteindre 2,2%, au plus bas depuis mars dernier (2%).
Ce ralentissement des prix de gros "s'ajoute aux signes de baisse de pressions sur les prix, qui vont aider à maîtriser l'inflation au cours du second semestre 2024", a affirmé Oren Klachkin économiste pour Nationwide Financial Markets, à propos du PPI.
L'indice des prix à la consommation (CPI) pour juillet sera publié mercredi avant l'ouverture de Wall Street.
Le CPI est encore davantage suivi par le marché que celui des prix de gros.
"L'évolution de l'inflation va dans la bonne direction et celle des prix de gros est une bonne nouvelle, car l'indice PPI généralement anticipe ce qu'il va se passer ensuite avec les prix à la consommation", a indiqué Tom Cahill de Ventura Wealth Management.
"Cela suggère que la Fed va très probablement baisser les taux", a ajouté l'analyste interrogé par l'AFP.
La trajectoire des prix à la production confirme l'hypothèse d'une baisse des taux d'au moins 25 points de base lors de la prochaine réunion du Comité monétaire de la banque centrale américaine (Fed) le 18 septembre.
Les rendements obligataires réagissaient à la baisse, glissant à 3,93% contre 4,01% la veille pour ceux à deux ans et à 3,84% contre 3,90% lundi pour ceux à dix ans.
A la cote Starbucks a signé la meilleure séance boursière de son histoire, grimpant de 24,50% à 95,90 dollars.
Dans une décision coup de théâtre, l'actuel Pdg Laxman Narasimhan, arrivé en mars 2023 pour remplacer le dirigeant historique de la chaîne de cafés Howard Schultz, quitte abruptement le groupe.
L'enseigne subit depuis plusieurs mois une baisse d'activité dans un contexte de hausse des prix et de pressions d'actionnaires.
Un nouveau dirigeant, Brian Niccol, le patron de la chaîne de restauration rapide mexicaine Chipotle, prendra ses fonctions dès septembre.
L'action de la société, un des titres les plus dynamiques du marché depuis un an, a accusé le coup, chutant de 7,50% à 51,68 dollars.
La chaîne de bricolage Home Depot a annoncé des ventes trimestrielles plus faibles que prévu mais un bénéfice plus important.
L'action a grimpé de 1,23% à 350 dollars car la perspective de baisses des taux de la Fed pourrait doper le pouvoir d'achat et les ventes de la chaîne qui prévoit un chiffre d'affaires annuel en hausse. Son concurrent plus haut de gamme Lowe's a aussi gagné 2,21%.
Sur le Nasdaq, à nouveau, les mégacapitalisations ont mené la course en tête comme Nvidia (+6,53% à 116,14 dollars), Apple (+1,72%) ou Tesla (+5,24%), dont le patron Elon Musk a fait parler de lui la veille en se faisant l'hôte, sur son média X, d'une conversation à bâtons rompus avec le candidat républicain à la présidentielle Donald Trump.
LES INVESTISSEURS PARIENT SUR UNE BAISSE DES TAUX D'INTÉRÊT ET LES GRANDES ENTREPRISES TECHNOLOGIQUES SE REDRESSENT
Wall Street a terminé en forte hausse mardi, avec des gains importants dans le secteur des grandes technologies, après que les données sur les prix à la production, plus faibles que prévu, ont alimenté les paris sur une forte baisse des taux d'intérêt de la Fed en septembre.
Le fabricant de puces électroniques Nvidia a fait un bond de 6,5% et a fait grimper l'indice PHLX des semi-conducteurs de 4,2%.
Starbucks a grimpé de 24,5 % après que le géant du café ait nommé Brian Niccol à la tête de Chipotle Mexican Grill ((link)) en tant que président-directeur général. Chipotle a chuté de 7,5%.
Les prix à la production américains ont augmenté (link) moins que prévu en juillet, indiquant que l'inflation a continué à se modérer alors que les investisseurs parient que la Réserve fédérale est prête à réduire les taux d'intérêt pour éviter une récession.
Les investisseurs attendent maintenant les données sur les prix à la consommation de juillet, mercredi, et les ventes au détail, jeudi.
Selon l'outil FedWatch du CME, les traders considèrent désormais qu'il y a 55 % de chances que la banque centrale américaine réduise ses taux de 50 points de base, contre moins de 50 % avant la publication du rapport.
Avec le gain de mardi, le S&P 500 a récupéré environ 5 % par rapport à son plus bas niveau de clôture du 5 août, et il reste en baisse de 4 % par rapport à son plus haut niveau de clôture du 16 juillet.
Voici le dernier ENQUÊTE du marché américain:
(Noel Randewich)
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Le géant américain du café Starbucks, qui subit depuis plusieurs mois une baisse d'activité dans un contexte de hausse des prix et de pressions d'actionnaires, a annoncé mardi le départ à effet immédiat de son patron Laxman Narasimhan, en poste depuis seize mois.
Il doit être remplacé à partir du 9 septembre par le patron de la chaîne de restauration rapide mexicaine Chipotle, Brian Niccol.
"Brian apporte énormément d'expérience et un bilan reconnu quand il s'agit d'innovation et de croissance", a indiqué Mellody Hobson, présidente du conseil d'administration, citée dans un communiqué.
"Il peut être un dirigeant transformateur pour notre entreprise", a-t-elle ajouté, reconnaissant les "vents contraires difficiles" que M. Narasimhan a dû affronter.
Vers 17H20 GMT, l'action Starbucks s'envolait de 20,67% à la Bourse de New York.
M. Niccol, également cité dans le communiqué, s'est dit "ravi de rejoindre Starbucks et reconnaissant d'avoir l'opportunité de guider cette entreprise incroyable" au "potentiel formidable de croissance".
Il dirigeait Chipotle depuis mars 2018 et, deux ans plus tard, avait obtenu le rôle supplémentaire de président du conseil d'administration. Il était auparavant patron de la chaîne de restauration rapide Taco Bell, filiale de Yum! Brands (Pizza Hut, KFC, etc), et avait aussi passé dix ans chez Procter and Gamble.
Plusieurs sociétés d'investissement activistes ont récemment pris des participations dans le capital de Starbucks, réclamant des changements de stratégie, selon des médias américains.
La chaîne a annoncé le 30 juillet un chiffre d'affaires au troisième trimestre de son exercice décalé inférieur aux attentes.
-"Insatisfaction"-A nombre comparable de boutiques, il a subi une baisse de 3%, plombé par une chute de 5% des transactions qui n'a été que partiellement compensée par une progression de 2% du ticket moyen.
Ce changement de patron "est le résultat d'une insatisfaction croissante, en particulier de la part d'investisseurs militants, sur la façon dont la chaîne était dirigée", a relevé Neil Saunders, directeur de GlobalData.
"Le sentiment est que Starbucks est sur la défensive depuis bien trop longtemps et a perdu de vue les fondements. Cela a entraîné de mauvaises performances, en particulier aux Etats-Unis", a-t-il souligné.
Selon lui, une partie du ralentissement de l'activité est attribuable au consommateur resserrant les cordons de la bourse, mais "la majorité est quand même le résultat d'une expérience en magasin qui a empiré et du manque d'innovation sur certains aspects, comme l'alimentaire".
Mais, d'après lui, "étant donnée l'ampleur des défis, il serait déraisonnable de s'attendre à ce qu'un changement de gouvernance produise des résultats immédiats".
Les analystes de Wedbush se montraient également circonspects, estimant que "l'euphorie des actionnaires (au vu du cours mardi matin) est prématurée".
Selon eux, la confiance envers Brian Niccol "est compréhensible, mais Starbucks n'est pas Chipotle".
"Starbucks est une entreprise mondiale avec des années d'innovation en matière de produits, de positionnement de la marque, d'initiatives, d'innovations numériques, etc", ont-ils mis en avant. "Son défi est de créer une connexion avec un nouveau consommateur".
Les Etats-Unis et la Chine, avec respectivement 16.730 et 7.306 boutiques, cumulaient à fin juin 61% du nombre de cafés Starbucks dans le monde.
M. Niccol va également devoir gérer les relations sociales.
Des négociations se déroulent depuis des mois avec le syndicat Workers United, pour élaborer une convention collective. Ce serait une première pour le groupe aux Etats-Unis en cas de ratification. Les deux parties ont annoncé le 31 mai un accord de principe.
"Nous avons hâte de continuer à travailler avec Starbucks pour résoudre les importants litiges en cours et pour parvenir à des accords collectifs équitables" pour les plus de 10.000 employés syndiqués aux Etats-Unis, a réagi Lynne Fox, présidente du syndicat.
"La relation constructive que nous continuons de bâtir avec Starbucks est importante", a-t-elle poursuivi, considérant que les différents partenaires avaient "un rôle à jouer pour aider l'entreprise à retrouver son chemin".
Laxman Narasimhan, 57 ans, avait été sélectionné en septembre 2022 pour être directeur général et avait travaillé pendant six mois avec Howard Schultz, le patron historique.
Ce dernier avait repris temporairement les rênes du groupe - quatre ans après son départ - lorsque son successeur, Kevin Johnson, était parti en retraite.
M. Schultz a transmis la direction générale en mars 2023 et a abandonné, en septembre, son siège d'administrateur. Il reste président émérite.
Avant d'entrer chez Starbucks, M. Narasimhan, était directeur général du groupe britannique de produits d'hygiène et de santé Reckitt Benckiser et avait auparavant occupé plusieurs postes de direction chez PepsiCo.
Starbucks a engagé mardi Brian Niccol, directeur de Chipotle Mexican Grill (link), pour diriger le géant du café connu pour ses cafés lattes coûteux, sous la pression d'investisseurs activistes et en raison de la baisse des ventes aux États-Unis et en Chine.
Voici quelques informations sur le nouveau directeur général de Starbucks.
Qui est Brian Niccol?
Brian Niccol est directeur général de Chipotle depuis mars 2018 et a pris le rôle supplémentaire de président du conseil d'administration à partir de mars 2020.
Il a été directeur général de Taco Bell, une division de Yum Brands , de 2015 à début 2018 et avait auparavant occupé des postes chez Pizza Hut, une autre enseigne de Yum.
Avant son passage chez Yum, Niccol a passé 10 ans chez le géant des biens de consommation Procter & Gamble .
Il siège actuellement au conseil d'administration du distributeur à grande surface Walmart et a précédemment siégé aux conseils d'administration du constructeur de maisons KB Home et du fabricant de motos Harley-Davidson .
M. Niccol est diplômé de l'université de Miami et titulaire d'un MBA de la Booth School of Business de l'université de Chicago.
Comment M. Niccol a-t-il redressé Chipotle Mexican Grill?
Pendant le mandat de M. Niccol, les ventes de Chipotle ont doublé pour atteindre environ 10 milliards de dollars au cours de l'exercice 2023, tandis que la valeur de l'action de la chaîne de burritos a plus que triplé au cours des cinq dernières années.
Il a également été responsable du redressement de la réputation de Chipotle après une série de défaillances en matière de sécurité alimentaire en 2018 (link), avec des mesures telles que le recyclage des employés des restaurants sur les protocoles de sécurité et de bien-être pendant les heures de travail.
Sous sa direction, le fabricant de burritos et de rice bowls a ajouté près de 1 000 nouveaux magasins à l'échelle mondiale. L'entreprise a également commencé à utiliser des processeurs d'avocats automatisés qui réduisent le temps de préparation du guacamole de 50 % et des grils robotisés à double face pour accélérer la cuisson.
M. Niccol, qui s'est attaché à moderniser les plateformes de commande numérique et mobile de la chaîne de burritos, a notamment introduit des couloirs numériques de retrait des commandes, appelés Chipotlanes.
Sur les 271 nouveaux restaurants ouverts par l'entreprise à la fin de l'année dernière, 238 disposaient d'un Chipotlane.
Comment Wall Street a-t-elle réagi à la nomination de M. Niccol?
Les actions de la chaîne de cafés ont bondi de 23,7 %, tandis que celles de Chipotle Mexican Grill ont chuté de 14 %.
David Palmer, analyste chez Evercore ISI:
"Brian est probablement le seul dirigeant du secteur de la restauration qui a la gravité nécessaire pour s'attaquer au problème de la 'surcharge' du fondateur Howard Schultz
Andrew Charles, analyste chez TD Cowen:
"Starbucks s'offre un directeur général de restaurant de renom, et sa nomination... suggère qu'une nouvelle ère est en cours. Nous voyons des similitudes entre le redressement de Chipotle en 2018 pour une marque haut de gamme, et ce dont Starbucks a besoin en 2024 pour améliorer le trafic."
Nancy Tengler, directeur général de Laffer Tengler Investments, qui possède des actions des deux entreprises:
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La décision de Starbucks de nommer Brian Niccol, un dirigeant de fast-food à succès, à sa tête a fait grimper l'action de 20% mardi, en passe d'ajouter près de 18 milliards de dollars à sa valeur de marché.
Ce bond record en pourcentage sur une journée fera passer la valeur de marché de la plus grande chaîne de cafés du monde, qui a été confrontée à un ralentissement des ventes aux États-Unis et en Chine, au-dessus de la barre des 100 milliards de dollars pour la première fois depuis le mois d'avril, selon LSEG Datastream.
L'euphorie des actions après la nomination de Niccol rappelle l'envolée des actions de Chipotle après son recrutement en 2018, alors que la chaîne de burritos était aux prises avec des scandales de sécurité alimentaire qui écrasaient sa marque.
Chipotle a ajouté 1 milliard de dollars à sa valeur de marché le jour où Niccol a été nommé son directeur général, le 14 février 2018. Depuis, sa capitalisation boursière a bondi de plus de 900 % pour atteindre 76 milliards de dollars jusqu'au dernier cours de clôture.
Avant Chipotle, Niccol a mené un redressement chez Taco Bell, où il a été largement crédité de la maîtrise de la commande mobile et de l'introduction d'options alimentaires telles que les tacos Doritos et les frites Nacho, qui ont connu un grand succès auprès des clients.
(Medha Singh)
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Starbucks a nommé mardi sur (link) Brian Niccol, de Chipotle Mexican Grill , comme nouveau directeur général, en remplacement de Laxman Narasimhan, qui était aux commandes depuis près d'un an et demi, la période la plus courte pour un dirigeant de la chaîne mondiale de cafés.
M. Niccol ne sera que le sixième directeur général de l'entreprise au cours de ses plus de 50 ans d'histoire, le fondateur Howard Schultz ayant dirigé l'entreprise pendant 23 ans, à trois reprises, et contribué à la création d'un mastodonte dans le secteur de la restauration rapide.
Voici une chronologie des directeur général de l'entreprise au fil des ans:
directeur général | Durée du mandat | |
Howard Schultz | de 1987 à 2000 | Howard Schultz a introduit la société en bourse en 1992. |
Orin Smith | de 2000 à 2005 | Orin a été engagé comme directeur financier en 1990 et a été nommé directeur général en 2000. Sous sa direction, Starbucks est passé de 45 magasins à plus de 10 000 dans 33 pays. L'action a grimpé de plus de 130 % pendant son mandat. |
Jim Donald | De mars 2005 à janvier 2008 | Jim Donald a été président de la division nord-américaine de l'entreprise pendant trois ans avant d'être nommé directeur général. Il a été évincé en 2008. L'action a baissé de près de 29 % pendant son mandat. |
Howard Schultz | De janvier 2008 à avril 2017 | Howard Schultz est revenu à la tête de l'entreprise pour la deuxième fois (link) avec pour mission de consolider les activités aux États-Unis. |
Kevin Johnson | Avril 2017 à avril 2022 | Kevin Johnson, qui siégeait au conseil d'administration de Starbucks depuis 2009 et a été nommé directeur de l'exploitation en mars 2015, a dirigé la chaîne de cafés pendant cinq ans. Il a dirigé l'entreprise pendant la pandémie avant de prendre sa retraite en 2022. Pendant son mandat (link), l'action a gagné 56 %. |
Howard Schultz | D'avril 2022 à avril 2023 | Howard Schultz est revenu (link) pour diriger l'entreprise pour la troisième fois, en prenant la direction par intérim et en se concentrant sur la gestion de la syndicalisation croissante dans les cafés américains. |
Laxman Narasimhan | D'avril 2023 à août 2024 | Starbucks a engagé (link) Narasimhan, du fabricant de désinfectants Lysol, pour entreprendre une "réinvention". L'action a baissé de plus de 26 % pendant son mandat. |
Brian Niccol | Septembre 2024 | Le directeur de Chipotle Mexican Grill, Brian Niccol, est nommé (link) nouveau directeur général dans le cadre d'un remaniement de la direction, chargeant un cadre connu pour avoir relancé la chaîne de burritos de conduire un redressement. |
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