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J'ai 5 ans d'expérience en analyse financière, notamment dans les aspects d'évolution macroéconomique et de jugement de tendances à moyen et long terme. Je me concentre principalement sur l'évolution du Moyen-Orient, des marchés émergents, du charbon, du blé et d'autres produits agricoles.
Coach de trading en chef et conférencier BeingTrader, plus de 8 ans d'expérience dans le trading du marché des changes, principalement XAUUSD, EUR/USD, GBP/USD, USD/JPY et pétrole brut. Un trader et analyste confiant qui vise à explorer diverses opportunités et à guider les investisseurs sur le marché. En tant qu'analyste, je cherche à améliorer l'expérience du trader en le soutenant avec suffisamment de données et de signaux.
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Risk Warning on Trading HK Stocks
Despite Hong Kong's robust legal and regulatory framework, its stock market still faces unique risks and challenges, such as currency fluctuations due to the Hong Kong dollar's peg to the US dollar and the impact of mainland China's policy changes and economic conditions on Hong Kong stocks.
HK Stock Trading Fees and Taxation
Trading costs in the Hong Kong stock market include transaction fees, stamp duty, settlement charges, and currency conversion fees for foreign investors. Additionally, taxes may apply based on local regulations.
HK Non-Essential Consumer Goods Industry
The Hong Kong stock market encompasses non-essential consumption sectors like automotive, education, tourism, catering, and apparel. Of the 643 listed companies, 35% are mainland Chinese, making up 65% of the total market capitalization. Thus, it's heavily influenced by the Chinese economy.
HK Real Estate Industry
In recent years, the real estate and construction sector's share in the Hong Kong stock index has notably decreased. Nevertheless, as of 2022, it retains around 10% market share, covering real estate development, construction engineering, investment, and property management.
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La Bourse de New York a terminé en hausse mercredi, inversant la tendance après une réaction initialement négative à un indicateur d'inflation mitigé, grâce notamment à une chasse aux bonnes affaires.
Le Dow Jones a glané 0,31%, le Nasdaq 2,17% et l'indice élargi S&P 500 a pris 1,07%.
La place new-yorkaise était pourtant partie du mauvais pied, prise à rebrousse-poil par un rapport contrasté sur l'inflation.
Il a montré que les prix à la consommation n'avaient progressé que de 2,5% sur un an en août aux Etats-Unis, selon l'indice CPI, soit moins que les 2,6% annoncés par les économistes et en dessous des 2,9% de juillet.
Mais la publication a aussi fait ressortir une accélération de l'indice de base, hors alimentation et énergie, à 0,3% sur un mois contre 0,2% anticipé, en grande partie du fait des dépenses de logement et de transport.
"Ces données sont encourageantes dans l'ensemble, mais elles incitent à la prudence quant à la trajectoire des prix", a réagi, dans une note, José Torres, analyste d'Interactive Brokers.
Pour Lydia Boussour, analyste d'EY, "le CPI d'août a renforcé la thèse d'une baisse de taux d'un quart de point (...) plutôt qu'un demi-point" par la banque centrale américaine (Fed) à l'issue de sa prochaine réunion, les 17 et 18 septembre.
Les opérateurs n'attribuent plus à l'hypothèse d'un coup de rabot d'un demi-point qu'une probabilité de 15%, contre 60% vendredi.
Le marché obligataire a acté ce recalibrage et le rendement des emprunts d'Etat américains à 2 ans est remonté à 3,64% contre 3,60% la veille en clôture.
"Il y a eu une surréaction au CPI", qui s'est estompée "après réflexion", a constaté Art Hogan, analyste de B. Riley Wealth Management.
Dès lors, le marché a fait "une pause après une série de ventes, en particulier sur les semi-conducteurs", a-t-il poursuivi.
Le champion des puces dédiées à l'intelligence artificielle (IA) Nvidia s'est envolé de 8,15%, suivi par ses concurrents AMD (+4,91%) et Broadcom (+6,79%).
Ont aussi profité d'achats à bon compte Starbucks (+5,21%), la plateforme de livraison de repas DoorDash (+3,35%) ou l'équipementier sportif Lululemon Athletica (+3,24%).
Art Hogan n'a pas vu dans les échanges de mercredi un impact significatif du débat pour la campagne présidentielle de mardi soir, durant lequel, de l'avis général, la candidate démocrate Kamala Harris a pris l'ascendant sur son rival républicain Donald Trump.
Seule exception notable, les investisseurs s'en sont pris à l'action du groupe de médias de l'ancien président, Trump Media and Technology Group (TMTG), qui a plongé de 10,47%.
Le titre est au plus bas depuis la fusion de TMTG avec un véhicule coté, le 26 mars. Depuis son sommet de ce jour-là, il a fondu de près de 80%.
Ailleurs à la cote, le club anglais de football de Manchester United, coté à New York, a été sanctionné (-4,57%) pour une nouvelle perte annuelle, quadruplée par rapport au précédent millésime.
C'est le cinquième exercice déficitaire consécutif pour le club mancunien, qui a pourtant enregistré un chiffre d'affaires record.
La chaîne de magasins de jeux vidéo GameStop a dévissé (-11,98%) après avoir annoncé un fort repli de son chiffre d'affaires et une nouvelle émission d'actions importante.
Bank of America (-0,71%) a pâti d'une nouvelle cession d'un bloc de titres par Berkshire Hathaway, la holding de Warren Buffett, actionnaire majeur de l'établissement.
Mais plusieurs banques concurrentes, malmenées mardi, ont été soutenues par la chasse aux bonnes affaires, en particulier JPMorgan Chase (+0,81%) et Goldman Sachs (+0,86%).
Mardi soir, tard dans la nuit, les soupçons des investisseurs grandissaient. Les efforts du gouvernement allemand pour vendre les actions de la Commerzbank dans le cadre d'un placement de marché, à première vue une tâche simple, s'enlisaient.
Ils s'attendaient à ce que l'opération soit conclue rapidement après que JPMorgan et Goldman Sachs aient commencé à prendre des ordres plus tôt dans l'après-midi, selon une source familière avec la transaction et les mises à jour envoyées par courriel par les banques aux investisseurs, dont Reuters a pris connaissance. Les sources ont requis l'anonymat car les détails de la vente sont confidentiels.
Mais ce n'est qu'aux premières heures de mercredi que la nouvelle est tombée.
À la surprise générale - et chose rare - toutes les actions, d'une valeur d'environ 700 millions d'euros (771,3 millions de dollars), avaient été attribuées à un seul acheteur, et Goldman n'était plus impliqué dans la vente.
Le groupe italien UniCredit , dirigé par le directeur général Andrea Orcel, avait raflé (link) l'intégralité des 4,5 % de parts en surenchérissant sur les autres.
De plus, le banque a discrètement acheté 4,5 % supplémentaires sur le marché libre, faisant d'UniCredit l'un des plus gros actionnaires et ouvrant la porte à un accord potentiel avec Commerzbank, qui avait précipité Goldman en tant que conseiller en matière de défense.
Certains responsables du gouvernement allemand ( ) ont déclaré avoir été pris de court par la décision d'Orcel. Mais il est depuis longtemps question que la banque italienne, qui dispose d'un capital excédentaire et possède déjà le banque allemand HVB, soit intéressée par la Commerzbank si l'occasion se présentait. De plus, les régulateurs européens ont depuis longtemps favorisé la consolidation dans un secteur en proie à une faible rentabilité.
L'annonce par Berlin, la semaine dernière, de sa volonté de vendre une partie des 16 % de Commerzbank qu'elle détient depuis la crise semble avoir donné cette chance à Orcel, banquier consommé des fusions et acquisitions.
"Il est peu probable qu'UniCredit soit tombé dans le piège de la manière dont le marché l'a dépeint, il est probable que l'opération soit beaucoup mieux coordonnée qu'à première vue et qu'une stratégie sous-jacente complexe à long terme soit en jeu", a déclaré Mark Kelly, directeur général de MKP Advisors.
UniCredit a refusé de commenter cet article. Les représentants de JPMorgan et de Goldman Sachs ont refusé de commenter leur rôle dans la transaction.
UniCredit a payé une prime de 4,8 % par rapport au cours de clôture de mardi, dépensant environ 700 millions d'euros pour la participation du gouvernement, selon une feuille de conditions.
JPMorgan a été obligée d'accepter la meilleure offre dans l'intérêt d'un processus équitable et transparent, a déclaré une autre personne qui n'était pas autorisée à s'exprimer publiquement.
Par ailleurs, l'autre teneur de livre de la vente, Goldman, a dû se retirer de la transaction ((link)) en raison du conflit potentiel, a ajouté une troisième personne. Goldman est désormais à la tête de la défense de Commerzbank.
Lorsque la nouvelle est tombée mercredi, Orcel a approché la direction de Commerzbank en vue d'explorer des discussions potentielles sur une fusion, a déclaré à Reuters une autre source au fait de la situation.
UniCredit a déclaré qu'elle cherchait à obtenir l'autorisation d'acheter plus de 9,9% de Commerzbank si elle le souhaitait.
"A partir de là, la balle est dans le camp d'UniCredit, et tous les regards se porteront sur la question de savoir s'il procède à l'augmentation de sa participation dans Commerzbank au-delà de 9,9%", a déclaré Filippo Alloatti, responsable de l'activité financière (Credit) chez Federated Hermes.
D'autres banques européennes pourraient également étudier leurs options stratégiques, notamment la Deutsche Bank, qui s'est refusée à tout commentaire mercredi.
La Commerzbank n'a pas perdu de temps. Elle a convoqué à la hâte une réunion de son conseil d'administration mercredi, au cours de laquelle elle a discuté de la manière de maintenir l'indépendance du banque allemand, en explorant des stratégies de défense pour résister à une offre potentielle d'UniCredit, a déclaré une source, qui a demandé à rester anonyme parce que les discussions étaient privées.
L'Allemagne devrait faire une pause dans ses ventes d'actions après avoir été prise au dépourvu, a déclaré une source gouvernementale, ajoutant que la banque et le gouvernement devaient évaluer ce qui est désormais une nouvelle situation. Les syndicalistes, qui craignent de lourdes pertes d'emplois, s'opposent également à un rapprochement.
Les actions de la Commerzbank ont clôturé en hausse de 16,6 % à 14,69 euros à Francfort, tandis que celles d'UniCredit ont clôturé en hausse de 0,2 % à Milan.
(1 dollar = 0,9075 euro)
La Bourse de New York s'est redressée en cours de séance et a terminé dans le vert mercredi grâce aux valeurs technologiques, notamment Nvidia, après avoir mal accueilli dans un premier temps les derniers chiffres de l'inflation aux Etats-Unis, qui amenuisent l'espoir d'une baisse franche des taux d'intérêt de la part de la Réserve fédérale.
Le débat télévisé en vue de l'élection présidentielle américaine, globalement considéré comme remporté par Kamala Harris face à l'ancien président Donald Trump, a aussi influencé la tendance avec la perspective d'un alourdissement de l'impôt sur les sociétés en cas de victoire de la candidate démocrate le 5 novembre.
L'indice Dow Jones a gagné 0,31%, ou 124,75 points, à 40.861,71 points.
Le S&P-500 , plus large, a pris 58,6 points, soit 1,07%, à 5.554,12 points.
Le Nasdaq Composite a avancé de son côté de 369,65 points (2,17%) à 17.395,53 points.
Si l'indice des prix à la consommation a progressé de 0,2% comme prévu le mois dernier aux Etats-Unis, l'inflation sous-jacente, excluant les éléments volatils que sont l'alimentation et l'énergie, a pour sa part été un peu plus vigoureuse que ne l'anticipaient les économistes, à 0,3%.
Cette dynamique pourrait dissuader la Fed de baisser ses taux directeurs de 0,5 point la semaine prochaine et l'inciter à se contenter d'une réduction d'un quart de point.
Sur le plan politique, le débat présidentiel de mardi soir n'a guère permis d'en savoir plus sur les programmes économiques des deux candidats à la Maison blanche mais Kamala Harris, qui propose d'alourdir la fiscalité des entreprises, a été jugée plus percutante que Donald Trump, souvent contraint à des postures défensives.
Ces deux éléments ont contribué à une première partie de séance dans le rouge, même si l'hypothèse d'une élection de Kamala Harris a profité aux spécialistes de l'énergie solaire tels que First Solar (+15,2%), Sunrun (+11,5%) ou SolarEdge Technologies (+8,5%).
Le rebond est cependant venu des valeurs technologiques, avec en fer de lance Nvidia (+8,03%), géant des puces pour intelligence artificielle, qui, selon la publication spécialisée Semafor, pourrait être autorisé par les autorités américaines à exporter ses produits en Arabie saoudite.
Le secteur bancaire a en revanche une nouvelle fois souffert, comme la veille, des avertissements lancés par plusieurs dirigeants de grandes banques sur la lenteur du redressement des activités de banque d'investissement et sur l'impact des baisses attendues des taux sur les revenus nets d'interêts. Bank of America a perdu 0,7%, Citigroup 1,12% et Wells Fargo 0,4%.
GameStop a quant à lui chuté de 12%, le distributeur de jeux vidéo ayant annoncé un recul de son chiffre d'affaires trimestriel et l'émission de 20 millions d'actions.
Les offres, fusions, acquisitions et cessions suivantes ont été signalées avant 1955 GMT mercredi:
** Angel Studios a déclaré mercredi qu'il entrerait en bourse aux États-Unis par le biais d'une fusion avec la société Southport Acquisition Corp dans le cadre d'une transaction évaluée à 1,6 milliard de dollars.
** L'entreprise de forage offshore Seadrill cherche à acheter plus d'actifs ou à créer un acteur plus important en fusionnant avec des pairs, a déclaré le directeur général de l'entreprise mercredi.
** La société de capital-investissement EQT étudie la possibilité de vendre sa participation majoritaire dans Banking Circle, dans l'espoir qu'un éventuel accord valorise l'entreprise de traitement des paiements à plus de 2 milliards de dollars, dette comprise, ont déclaré plusieurs personnes au fait de la question.
** La société logistique danoise DSV a remporté la course à l'achat de Schenker, la branche logistique ferroviaire de la Deutsche Bahn, ont déclaré des sources au sein de la société ferroviaire et du gouvernement allemand.
** RTX est ouvert à l'élagage et à l'appariement de ses activités existantes plutôt qu'à la poursuite de fusions et d'acquisitions "transformatrices", a déclaré mercredi le directeur général du géant de l'aérospatiale.
** Un haut responsable de Nippon Steel et le directeur général de U.S. Steel rencontrent mercredi de hauts responsables américains pour tenter de sauver l'offre de 14,9 milliards de dollars de Nippon Steel sur U.S. Steel , a indiqué une personne au fait de l'affaire.
** Le fournisseur de carburants marins Peninsula a transformé ses activités de transport maritime en une entité distincte appelée Hercules Tanker Management (HTM), a indiqué un communiqué de presse de Peninsula mercredi, cherchant à se développer dans le secteur du fret des navires-citernes.
** Un fonds géré par BlackRock a acheté une participation minoritaire dans un pipeline reliant l'Arabie Saoudite et Bahreïn à la société pétrolière publique de Bahreïn, Bapco Energies, ont déclaré les deux sociétés, alors que le petit État du Golfe tente d'extraire de la valeur de ses actifs énergétiques.
** Le directeur général d'UniCredit a approché Commerzbank pour discuter d'une fusion mercredi, selon une source au courant de l'affaire, après que la deuxième banque italienne a acheté une participation de 9% dans le banque allemand et a signalé qu'elle était ouverte à en acheter d'autres.
** La direction de Commerzbank a discuté de la manière de maintenir l'indépendance du banque allemand, en explorant des stratégies de défense pour résister à une offre potentielle d'UniCredit , a déclaré mercredi une personne au fait des discussions.
** Le conglomérat sud-coréen Hanhwa Grsoup a proposé d'acquérir le reste des actions qu'il ne possède pas dans Dyna-Mac Holdings de Singapour, évaluant l'entrepreneur multidisciplinaire mondial à S$ 669,2 millions ($513,90 millions).
** Abu Dhabi National Oil Company (ADNOC) devrait faire une offre formelle pour acquérir Covestro pour environ 14,4 milliards d'euros (15,90 milliards de dollars) y compris la dette, a rapporté le Financial Times.
** Une société contrôlée par le fonds d'investissement Advent International a placé une participation d'environ 4 % dans la société d'entreposage de colis InPost pour 340 millions d'euros (375,56 millions de dollars) auprès d'investisseurs institutionnels, a déclaré un teneur de livre.
** Le plus grand portail immobilier britannique Rightmove a rejeté la proposition de rachat en espèces et en actions de 5,6 milliards de livres (7,32 milliards de dollars) du groupe australien REA , déclarant que l'offre sous-évaluait ses perspectives.
** La banque espagnole Banco Santander a vendu 5,3 millions d'actions de son unité polonaise, Santander Bank Polska , pour environ 2,46 milliards de zlotys bruts (635,43 millions de dollars), a indiqué la banque mardi en fin de journée.
** La société australienne Namoi Cotton N a recommandé à ses actionnaires de voter en faveur de l'offre de rachat de 138 millions de dollars australiens (91,81 millions de dollars) de la société néerlandaise Louis Dreyfus Company (LDC) et de rejeter l'offre plus élevée d'Olam Agri (IPO-OLAA.SI).
** Goldman Sachs est sur le point de finaliser un accord pour transférer son activité de cartes de crédit de General Motors à Barclays , a déclaré mardi une source au fait du dossier.
** Les actions de Starbucks gagnent 4,2 % à 97,34 $ dans les échanges de l'après-midi
** Mardi, le directeur général Brian Niccol a présenté ses plans (link) pour la chaîne de cafés dans une lettre ouverte après son premier jour à la tête de l'entreprise
** Il se concentrera d'abord sur l'amélioration du service et de la culture des cafés dans les magasins aux Etats-Unis - Niccol
** Il passera du temps dans les magasins, rencontrera les fournisseurs et les partenaires afin d'améliorer la chaîne d'approvisionnement, l'application et la plateforme de commande mobile de SBUX - Niccol
** En ce qui concerne les activités de SBUX en Chine, M. Niccol a déclaré "avoir besoin de comprendre la voie potentielle pour capter la croissance"
** Le groupe est convaincu que Niccol se concentre sur les bons moteurs pour améliorer le trafic et qu'il agit avec un sens de l'urgence. Niccol apporte son expérience en matière de redressement opérationnel depuis son passage chez Chipotle Mexican Grill - TD Cowen
** Interpréter le commentaire (sur les activités en Chine) comme un engagement à explorer une nouvelle structure de propriété par le biais d'une coentreprise ou d'une refranchisation - TD Cowen
** Depuis le début de l'année, SBUX a baissé de 2,8 % à la dernière clôture; l'action a augmenté d'environ 21 % depuis que Niccol a été nommé directeur général (link) le mois dernier, à la surprise générale
Les principaux indices de Wall Street ont chuté mercredi après que les derniers chiffres de l'inflation aient mis à mal les attentes d'une plus grande réduction des taux d'intérêt par la Réserve fédérale, tandis que les chances de la démocrate Kamala Harris de remporter la présidence des Etats-Unis ont augmenté à la suite d'un débat télévisé.
A 14:04 ET, le Dow Jones Industrial Average était en baisse de 0,3% à 40,628.2. Le S&P 500 était en hausse de 0,26% à 5 509,68 et le Nasdaq Composite était en hausse de 1,17% à 17 225,631.
Les trois premiers gains en pourcentage du S&P 500 (.PG.INX):
** First Solar , en hausse de 12,1%
** Albemarle , en hausse de 11%
** The AES Corporation , en hausse de 7,1%
Les trois premiers perdants du S&P 500 (.PL.INX) en pourcentage:
** Humana Inc , en baisse de 5,2%
** Conagra Brands , en baisse de 4,5%
** American Airlines Group , en baisse de 4%
Les deux principales hausses du NYSE (.PG.N):
** Mesabi Trust , en hausse de 22,2%
** Oscar Health , en hausse de 17%
Les deux principaux perdants du NYSE (.PL.N):
** Torrid Holdings , en baisse de 23,4%
** Rentokil Initial , en baisse de 20,6%
Les trois plus fortes hausses du Nasdaq (.PG.O):
** Children's Place , + 104,5 %
** PureCycle Technologies , + 38,4 %
** Petco Health and Wellness Company , + 34,2 %
Les trois premiers perdants du Nasdaq (.PL.O):
** Laser Photonics Corp , en baisse de 41,1%
** Synaptogenix , en baisse de 17,5%
** Relay Therapeutics , en baisse de 17,4%
** GameStop Corp : baisse de 15,5%
BUZZ - Baisse du chiffre d'affaires au T2, dépôt d'une offre d'actions de 20 mln
** Trump Media & Technology Group Corp : -12,8%
BUZZ - Baisse de la probabilité d'une victoire de Trump après le débat
** Bank of America Corp : baisse de 1,7%
BUZZ - Le Berkshire de Buffett continue de vendre
** Albemarle Corp : hausse de 11,0
*arcadium Lithium PLC : hausse de 14,2% * Piedmont Lithium Inc
*piedmont Lithium Inc : hausse de 6,1% * Lithium Americas Corp
** Lithium Americas Corp : plus 6,3%
BUZZ - Les mineurs de lithium gagnent après que la société chinoise CATL ait dit qu'elle ajusterait sa production
** Relay Therapeutics Inc : en baisse de 17,4%
BUZZ - Baisse suite à une offre d'actions de 200 millions de dollars avec un rabais important
** Cantaloupe Inc : baisse de 4,1%
BUZZ - baisse suite aux résultats médiocres du 4ème trimestre
** Dave & Buster's Entertainment Inc : +2,3 %
BUZZ - Remontée après la publication d'un bénéfice supérieur à celui du 2ème trimestre
** Maxeon Solar Technologies Ltd : hausse de 11,0
*jinkosolar Holding Co Ltd : hausse de 2,0% * Enphase Energy Inc
** Enphase Energy Inc : hausse de 3,7
** Canadian Solar Inc : plus 9,5%
BUZZ - Les actions solaires gagnent en probabilité de victoire de Harris après le débat présidentiel
** Designer Brands Inc : baisse de 13,9%
BUZZ - baisse suite à la réduction des prévisions de bénéfices annuels
** Orion Group Holdings Inc : baisse de 9,3%
BUZZ - baisse suite à la fixation du prix de l'offre d'actions
** GEO Group Inc : baisse de 7,5
BUZZ - Chute après le débat Harris-Trump
** Manchester United PLC : baisse de 5,9%
BUZZ - Chute après l'annonce d'une perte nette annuelle plus importante
** BridgeBio Pharma Inc : -2,7%
BUZZ - Arrêt du développement d'une thérapie contre les maladies génétiques, les actions chutent
** Children's Place Inc : en hausse de 104,5%
BUZZ - La baisse des dépenses fait grimper le bénéfice du 2ème trimestre
** Centrus Energy Corp : +10,0%
BUZZ - En hausse suite à la signature d'un contrat d'approvisionnement avec une société coréenne
** Viking Therapeutics Inc : +9,3%
BUZZ - Hausse après la note 'overweight' de JPM
** Petco Health and Wellness Company Inc : + 34,2 %
BUZZ - Retournement de tendance après le relèvement du PT par les courtiers
** Vera Bradley Inc : baisse de 7,2%
BUZZ - Baisse des prévisions annuelles et des ventes au T2
** Williams-Sonoma Inc : +2,4%
BUZZ - Augmentation après que Jefferies ait relevé le titre à "buy"
** Applied DNA Sciences Inc : + 27,3 %
BUZZ - Hausse après l'extension du service de test mpox
** Uranium Energy Corp : hausse de 9,9% ** Energy Fuels Inc : + 7,7% ** Ur-Energy Inc : hausse de 6,8 ** NexGen Energy Ltd : +4,4%
BUZZ - Les mineurs d'uranium progressent après que Poutine ait déclaré que la Russie devrait limiter ses exportations
** UnitedHealth Group Inc : baisse de 1,6%
** CVS Health Corp : baisse de 2,4
** Humana Inc : en baisse de 5,2%
BUZZ - Les assureurs santé chutent après les paris sur la victoire de Harris qui augmentent après le débat
** Torrid Holdings Inc : baisse de 23,4%
BUZZ - Les actions sont frigides alors que le sponsor PE et le directeur général réduisent leurs participations
** BurgerFi International Inc : baisse de 19,0%
BUZZ - Baisse après que la société se soit placée sous la protection de la loi sur les faillites
** AES Corp : en hausse de 7,1%
BUZZ - En hausse après que Jefferies ait initié une couverture avec la note 'buy'
** Phillips 66 : baisse de 1,5%
BUZZ - TD Cowen voit une faiblesse dans les revenus des carburants renouvelables pour Phillips 66 au troisième trimestre; baisse les prévisions
Les 11 principaux secteurs du S&P 500
Services de communication | en hausse de 0,32 | |
Consommation discrétionnaire | en hausse de 0,14 | |
Consommation de base | en baisse de 1,23 | |
Energie | en baisse de 1,10 | |
Finance | en baisse de 1,03 | |
Santé | en baisse de 0,56 | |
Industrie | en baisse de 0,35 | |
Technologies de l'information | en hausse de 1,95 | |
Matériaux | en baisse de 0,61 | |
Immobilier | en baisse de 0,49 | |
Services publics | en baisse de 0,11 |
Les dirigeants de certaines grandes banques américaines ont mis en garde contre des projections de bénéfices trop optimistes et ont averti que l'environnement des transactions était à la traîne, assombrissant les perspectives d'un secteur sous tension depuis l'année dernière.
Ces commentaires, formulés lors d'une conférence de la Barclays à New York, ont éclipsé les concessions (link) (link) faites par les régulateurs sur les propositions de "Bâle Endgame" - un ensemble de règles très controversées qui obligeraient les banques à détenir plus de capital.
Voici ce que les principaux dirigeants avaient à dire:
"Les attentes en matière de NII sont un peu trop élevées. L'année prochaine, ce sera un peu plus difficile", a déclaré Daniel Pinto, directeur de l'exploitation de (link).
"L'économie américaine, même si nous constatons un certain ralentissement, se porte toujours bien, et le consommateur est le principal moteur de cette croissance."
Les commissions de banque d'investissement au troisième trimestre pourraient augmenter de 15 %, a-t-il ajouté, tandis que la croissance des revenus des marchés serait "plate à légèrement positive"
M. Pinto a également mis en garde contre les difficultés du secteur de l'immobilier commercial, affirmant que "nous n'avons probablement pas encore vu le fond du problème"
"En ce qui concerne le troisième trimestre (), nous prévoyons une augmentation des frais de banque d'investissement d'environ 20 % par rapport à l'année précédente", a déclaré Mark Mason, directeur financier, à l'adresse (link).
Le revenu net d'intérêts annuel (NII) - la différence entre ce que la banque gagne sur les prêts et ce qu'elle paie sur les dépôts - sera "légèrement" inférieur à celui de l'année dernière, a-t-il déclaré.
"Toute la croissance des dépenses provient de nos clients les plus aisés. Il y a une dichotomie, si vous voulez, entre les clients qui ont un score FICO plus élevé et ceux qui ont un score FICO plus bas", a ajouté M. Mason.
Le chiffre d'affaires des marchés pour le trimestre pourrait être en baisse d'environ 4 %, a-t-il déclaré.
Les revenus de la banque d'investissement au troisième trimestre devraient être peu différents de ceux de l'année dernière, a déclaré le directeur général Brian Moynihan à l'adresse (link). Mais la banque d'investissement sur le marché intermédiaire - impliquant des transactions inférieures à 1 milliard de dollars - a connu une croissance à deux chiffres.
"Les dépenses globales sont bloquées à un bon niveau. L'emploi est relativement stable. Je m'inquiète davantage du fait que si la Fed ne commence pas à répondre aux attentes exprimées dans les journaux, elle pourrait en fait décourager le consommateur", a-t-il déclaré.
La banque a maintenu ses prévisions annuelles de bénéfice net d'exploitation, mais a mis en garde contre la pression exercée sur les clients à faible revenu.
le directeur financier Michael Santomassimo a déclaré: " Vous commencez à voir des impayés plus importants dans cette cohorte ".
Il a également déclaré que Wells Fargo était à l'aise avec la provision qu'elle avait pour son portefeuille de prêts de bureau. La banque pourrait procéder à davantage de rachats d'actions au second semestre, "bien qu'à un rythme plus lent", a-t-il ajouté.
"Les marchés des fusions et acquisitions et des introductions en bourse sont toujours inférieurs à ce qui était prévu. Cela ne va pas changer au troisième trimestre", a déclaré Dan Simkowitz, co-président de (link).
La banque continue de s'attendre à une "légère baisse" du NII au troisième trimestre, mais les activités de marché se maintiennent pour l'instant, a-t-il ajouté.
L'environnement économique difficile, en particulier au mois d'août, pourrait entraîner une baisse de 10 % des revenus de l'activité de trading au troisième trimestre, a déclaré le directeur général David Solomon à l'adresse (link).
Néanmoins, l'activité de banque d'investissement s'est améliorée et l'activité est "nettement meilleure", a-t-il déclaré.
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