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Salut! Êtes-vous prêt à vous impliquer dans le monde financier ?
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J'ai 5 ans d'expérience en analyse financière, notamment dans les aspects d'évolution macroéconomique et de jugement de tendances à moyen et long terme. Je me concentre principalement sur l'évolution du Moyen-Orient, des marchés émergents, du charbon, du blé et d'autres produits agricoles.
Coach de trading en chef et conférencier BeingTrader, plus de 8 ans d'expérience dans le trading du marché des changes, principalement XAUUSD, EUR/USD, GBP/USD, USD/JPY et pétrole brut. Un trader et analyste confiant qui vise à explorer diverses opportunités et à guider les investisseurs sur le marché. En tant qu'analyste, je cherche à améliorer l'expérience du trader en le soutenant avec suffisamment de données et de signaux.
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Risk Warning on Trading HK Stocks
Despite Hong Kong's robust legal and regulatory framework, its stock market still faces unique risks and challenges, such as currency fluctuations due to the Hong Kong dollar's peg to the US dollar and the impact of mainland China's policy changes and economic conditions on Hong Kong stocks.
HK Stock Trading Fees and Taxation
Trading costs in the Hong Kong stock market include transaction fees, stamp duty, settlement charges, and currency conversion fees for foreign investors. Additionally, taxes may apply based on local regulations.
HK Non-Essential Consumer Goods Industry
The Hong Kong stock market encompasses non-essential consumption sectors like automotive, education, tourism, catering, and apparel. Of the 643 listed companies, 35% are mainland Chinese, making up 65% of the total market capitalization. Thus, it's heavily influenced by the Chinese economy.
HK Real Estate Industry
In recent years, the real estate and construction sector's share in the Hong Kong stock index has notably decreased. Nevertheless, as of 2022, it retains around 10% market share, covering real estate development, construction engineering, investment, and property management.
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La Bourse de New York a terminé en ordre dispersé, lundi, digérant ses récentes avancées, mais le Dow Jones a tout de même réussi à atteindre un nouveau record en clôture.
L'indice vedette de Wall Street a grignoté 0,16%, tandis que l'indice Nasdaq lâchait 0,85% et l'indice élargi S&P 500 rendait 0,32%.
Le précédent sommet historique du Dow Jones datait de mi-juillet.
"Après que le président de la Fed (banque centrale américaine Jerome) Powell a dit ce que tout le monde avait envie d'entendre, le marché a accéléré, vendredi", a rappelé Sam Stovall, de CFRA.
"Et avec l'indice (de prix) PCE et les résultats (du géant des semi-conducteurs) Nvidia à venir cette semaine, les gens en ont profité pour prendre quelques bénéfices", a expliqué l'analyste.
"Les valorisations sont un peu excessives", a estimé Kurt Spieler, responsable des investissements chez FNBO.
Le secteur des semi-conducteurs a notamment souffert, à l'image de Nvidia (-2,25%), AMD (-3,22%) ou Broadcom (-4,05%).
Le Dow Jones a tiré son épingle du jeu grâce à la reprise de la rotation des investisseurs vers des valeurs relativement délaissées jusqu'ici.
C'est le cas notamment des actions dites défensives, c'est-à-dire moins sensibles à la conjoncture. Coca-Cola (+1,50%), le groupe de pétrochimie Dow (+0,93%) ou l'assureur Travelers (+0,43%) ont ainsi été recherchés.
L'indice Russell 2000, qui ne comprend que des PME, s'en est aussi mieux sorti que le S&P 500 et le Nasdaq, terminant quasiment stable (-0,04%).
Pour Sam Stovall, cette rotation pourrait permettre à la place new-yorkaise de rester ferme en septembre et octobre, deux mois traditionnellement difficiles.
Par ailleurs, l'analyste souligne que dans les six mois suivant une première baisse de taux, les actions tendent à progresser beaucoup plus lentement que lors de la période qui précède.
La semaine s'annonce calme sur le plan macroéconomique, même si l'indice de prix PCE pour les Etats-Unis est attendu vendredi, de même que l'enquête de l'université du Michigan sur le moral des consommateurs.
Ourtre les résultats de Nvidia, les opérateurs suivront plusieurs publications dans la grande distribution.
Elles donneront un aperçu de la santé du consommateur américain, entre la chaîne d'équipement sportif Foot Locker ou les enseignes de prêt-à-porter Gap et Abercrombie & Fitch.
A la cote, Boeing a reculé (-0,85%), après l'annonce, samedi, que les deux astronautes acheminés jusqu'à la Station spatiale internationale (ISS) par le vaisseau Starliner du constructeur aéronautique rentreraient finalement avec un appareil de son concurrent, SpaceX.
C'est un camouflet pour Boeing, qui comptait sur ce vol inaugural avec équipage pour redorer le blason du Starliner, retardé de plusieurs années. Mais des problèmes sur le système de propulsion ont incité Boeing et la Nasa à faire revenir le module de l'ISS sans équipage.
Les pétroliers ExxonMobil (+2,14%), Chevron (+0,60%) et ConocoPhillips (+1,94%) ont surfé sur la brusque remontée des cours de l'or noir, sur fond de crise en Libye.
Le groupe chinois de commerce en ligne PDD, coté à New York et actionnaire majoritaire du site de prêt-à-porter à bas prix Temu, dévissait (-28,51%) après avoir fait état d'un chiffre d'affaires inférieur aux attentes.
Il a prévenu que sa croissance et sa rentabilité allaient souffrir de la concurrence féroce dans ce secteur, sur fond d'essoufflement de la consommation.
La Bourse de New York a terminé en ordre dispersé, lundi, digérant ses récentes avancées, mais le Dow Jones a tout de même réussi à atteindre un nouveau record en clôture.
L'indice vedette de Wall Street a grignoté 0,16%, tandis que l'indice Nasdaq lâchait 0,85% et l'indice élargi S&P 500 rendait 0,32%.
Le précédent sommet historique du Dow Jones datait de mi-juillet.
"Après que le président de la Fed (banque centrale américaine Jerome) Powell a dit ce que tout le monde avait envie d'entendre, le marché a accéléré, vendredi", a rappelé Sam Stovall, de CFRA.
"Et avec l'indice (de prix) PCE et les résultats (du géant des semi-conducteurs) Nvidia à venir cette semaine, les gens en ont profité pour prendre quelques bénéfices", a expliqué l'analyste.
"Les valorisations sont un peu excessives", a estimé Kurt Spieler, responsable des investissements chez FNBO.
Le secteur des semi-conducteurs a notamment souffert, à l'image de Nvidia (-2,25%), AMD (-3,22%) ou Broadcom (-4,05%).
Le Dow Jones a tiré son épingle du jeu grâce à la reprise de la rotation des investisseurs vers des valeurs relativement délaissées jusqu'ici.
C'est le cas notamment des actions dites défensives, c'est-à-dire moins sensibles à la conjoncture. Coca-Cola (+1,50%), le groupe de pétrochimie Dow (+0,93%) ou l'assureur Travelers (+0,43%) ont ainsi été recherchés.
L'indice Russell 2000, qui ne comprend que des PME, s'en est aussi mieux sorti que le S&P 500 et le Nasdaq, terminant quasiment stable (-0,04%).
Pour Sam Stovall, cette rotation pourrait permettre à la place new-yorkaise de rester ferme en septembre et octobre, deux mois traditionnellement difficiles.
Par ailleurs, l'analyste souligne que dans les six mois suivant une première baisse de taux, les actions tendent à progresser beaucoup plus lentement que lors de la période qui précède.
La semaine s'annonce calme sur le plan macroéconomique, même si l'indice de prix PCE pour les Etats-Unis est attendu vendredi, de même que l'enquête de l'université du Michigan sur le moral des consommateurs.
Ourtre les résultats de Nvidia, les opérateurs suivront plusieurs publications dans la grande distribution.
Elles donneront un aperçu de la santé du consommateur américain, entre la chaîne d'équipement sportif Foot Locker ou les enseignes de prêt-à-porter Gap et Abercrombie & Fitch.
A la cote, Boeing a reculé (-0,85%), après l'annonce, samedi, que les deux astronautes acheminés jusqu'à la Station spatiale internationale (ISS) par le vaisseau Starliner du constructeur aéronautique rentreraient finalement avec un appareil de son concurrent, SpaceX.
C'est un camouflet pour Boeing, qui comptait sur ce vol inaugural avec équipage pour redorer le blason du Starliner, retardé de plusieurs années. Mais des problèmes sur le système de propulsion ont incité Boeing et la Nasa à faire revenir le module de l'ISS sans équipage.
Les pétroliers ExxonMobil (+2,14%), Chevron (+0,60%) et ConocoPhillips (+1,94%) ont surfé sur la brusque remontée des cours de l'or noir, sur fond de crise en Libye.
Le groupe chinois de commerce en ligne PDD, coté à New York et actionnaire majoritaire du site de prêt-à-porter à bas prix Temu, dévissait (-28,51%) après avoir fait état d'un chiffre d'affaires inférieur aux attentes.
Il a prévenu que sa croissance et sa rentabilité allaient souffrir de la concurrence féroce dans ce secteur, sur fond d'essoufflement de la consommation.
Les principaux indices de la Bourse de New York, hormis le Dow Jones, ont terminé en baisse lundi alors que les investisseurs attendent des indicateurs économiques clés, qui pourraient donner des indices sur les réduction des taux de la Fed, ainsi que les résultats du géant technologique Nvidia.
L'indice Dow Jones a gagné 0,16%, ou 65,44 points, à 41.240,52 points.
Le Standard & Poor's 500 , plus large, a perdu 17,77 points, soit 0,32% à 5.616,84 points.
Le Nasdaq Composite a reculé de son côté de 152,03 points, soit 0,85% à 17.725,765 points.
Nvidia , la valeur phare de l'intelligence artificielle dont les résultats seront connus mercredi à la clôture de Wall Street, a reculé de 2,25%.
Certains investisseurs craignent que les résultats de la deuxième capitalisation de la Bourse de New York, s'ils ne s'avéraient pas excellents, pèsent sur le rallye que Wall Street connaît grâce aux entreprises liées à l'IA, comme Microsoft , Alphabet et Meta Platforms .
"Nvidia pourrait décevoir. Je pense que lorsque vous arrivez au point où la majorité ne soupçonne même pas qu'il pourrait y avoir une mauvaise nouvelle, c'est généralement là qu'elle se produit", a averti Jake Dollarhide, directeur général de Longbow Asset Management à Tulsa, dans l'Oklahoma.
Le Dow Jones a terminé en légère hausse grâce à Caterpillar et American Express .
L'action cotée à Wall Street du chinois PDD Holdings a chuté de 28,50% après des résultats au deuxième trimestre en deçà des attentes.
Le constructeur automobile Tesla a cédé 3,22% après que le Canada a annoncé qu'il imposerait des droits de douane de 100% sur les importations de véhicules électriques chinois.
Le compartiment des valeurs de l'énergie a grimpé en raison des tensions au Moyen-Orient et de l'annonce d'un arrêt de la production en Libye.
Le S&P 500 a approché de records après que le président de la Fed, Jerome Powell, a déclaré jeudi que le moment était venu de réduire les taux d'intérêts.
Les analystes estiment à 70% la probabilité d'une réduction des taux d'intérêt de 25 points de base et à 30% une baisse de 50 points de base en septembre, selon l'outil FedWatch du Groupe CME.
Les données très attendues de l'indice des prix PCE aux Etats-Unis pour le mois de juillet, qui seront publiées vendredi, pourraient fournir plus d'informations sur la trajectoire d'assouplissement de la politique monétaire.
Les résultats de Dell , Salesforce , Dollar General et Gap sont attendus cette semaine.
Le S&P 500 a terminé en baisse lundi, le poids lourd de l'intelligence artificielle Nvidia ayant chuté avant la publication de son rapport trimestriel cette semaine, tandis que les investisseurs attendaient les données sur l'inflation pour obtenir des indices sur la trajectoire des réductions de taux d'intérêt par la Réserve fédérale.
Le Nasdaq, à forte composante technologique, a également baissé, mais le Dow Jones Industrial Average a été soutenu par des gains d'environ 1% chacun pour Caterpillar et American Express et a terminé en légère hausse.
Nvidia a chuté de 2,25% avant la publication de son rapport mercredi, qui devrait être l'événement le plus suivi de la semaine sur le marché boursier américain.
Certains investisseurs s'inquiètent du fait que tout ce qui n'est pas une prévision stellaire (link) de Nvidia pourrait briser le rallye de Wall Street dans les sociétés liées à l'IA, y compris Microsoft , Alphabet et Meta Platforms .
"Nvidia pourrait décevoir. Je pense que lorsque vous arrivez au point où la majorité ne soupçonne même pas qu'il pourrait y avoir une mauvaise nouvelle, c'est typiquement là que vous l'avez", a averti Jake Dollarhide, directeur général de Longbow Asset Management à Tulsa, dans l'Oklahoma.
Les actions cotées en bourse de PDD Holdings ont chuté de près de 29 % après que le propriétaire de Temu a manqué les attentes du marché (link) pour les revenus du deuxième trimestre.
Tesla a perdu 3,2 % après que le Canada, à l'instar des États-Unis et de l'Union européenne, a déclaré qu'il imposerait des droits de douane de 100 % sur les importations de véhicules électriques chinois.
Le S&P 500 a reculé de 0,32 % pour terminer la séance à 5 616,84 points.
Le Nasdaq a reculé de 0,85 % à 17 725,77 points, tandis que le Dow Jones Industrial Average a progressé de 0,16 % à 41 240,52 points.
Sur les 11 indices sectoriels du S&P 500, six ont reculé, menés par les technologies de l'information , en baisse de 1,12%, suivis par une perte de 0,81% pour la consommation discrétionnaire .
L 'indice du secteur de l'énergie a bondi de 1,11% après que des rapports sur des perturbations de l'approvisionnement en pétrole dans le cadre du conflit géopolitique au Moyen-Orient aient fait grimper les prix du brut (link).
Boeing a glissé de 0,85% après que la Nasa a choisi SpaceX (link) plutôt que le Starliner du constructeur pour ramener ses astronautes de l'espace l'année prochaine.
Wall Street s'est redressée vendredi, le S&P 500 approchant des records après que le président de la Fed, Jerome Powell (link), a déclaré que "le moment était venu" de réduire les coûts d'emprunt à la lumière d'une diminution du risque d'inflation et d'une modération de la demande de main-d'œuvre.
Les marchés monétaires suggèrent que les traders voient 70 % de chances d'une réduction des taux d'intérêt de 25 points de base et 30 % de chances d'une réduction de 50 points de base en septembre, selon l'outil FedWatch du CME Group.
Les données très attendues sur les dépenses de consommation personnelle pour le mois de juillet, l'indicateur d'inflation préféré de la banque centrale, pourraient fournir plus d'informations sur la trajectoire d'assouplissement de la politique.
Les résultats de Dell , Salesforce , Dollar General et Gap sont attendus cette semaine.
Les valeurs en hausse ont été plus nombreuses que les valeurs en baisse au sein de l'indice S&P 500 (.AD.SPX) dans une proportion de 1,1 pour 1.
Sur le marché boursier américain (.AD.US), les titres en baisse ont été plus nombreux que les titres en hausse dans une proportion de 1,2 pour 1.
Le volume des échanges sur les bourses américaines a été relativement faible, avec 9,5 milliards d'actions échangées, contre une moyenne de 11,9 milliards d'actions sur les 20 séances précédentes.
Les autorités de Benghazi ont annoncé lundi la fermeture de tous les gisements de pétrole de l'Est libyen et l'interruption de la production et des exportations, après un regain de tension autour de la banque centrale nationale.
Le gouvernement d'union nationale (GNA) de Tripoli, internationalement reconnu, n'a pas commenté cette initiative. De même que la compagnie nationale libyenne National Oil Corp (NOC), qui gère les ressources pétrolières du pays.
La Waha Oil Company, filiale de la NOC, a toutefois annoncé qu'elle prévoyait de réduire progressivement sa production et a mis en garde contre un arrêt complet de la production en raison des "protestations et des pressions".
Une autre filiale de la NOC, Sirte Oil Company, entend également réduire sa production, appelant les autorités à "intervenir pour maintenir les niveaux de production".
La quasi-totalité des champs pétrolifères libyens se trouvent dans l'est du pays, qui est sous le contrôle de Khalifa Haftar, le chef de l'Armée nationale libyenne (NLA).
Si la production devait s'arrêter dans l'Est, El Feel (sud-ouest) serait le seul champ pétrolier actif en Libye, avec une capacité de 130.000 barils par jour.
En juillet, la production nationale s'élevait à environ 1,18 million de barils par jour, selon l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), qui cite des sources indirectes.
Le gouvernement de Benghazi n'a pas précisé la durée de la fermeture des champs pétroliers.
Bien que le gouvernement basé à Tripoli n'ait pas confirmé l'information, son Premier ministre Abdulhamid al-Dbeibah a déclaré dans un communiqué que les champs pétroliers ne pouvaient pas être fermés "sous des prétextes fallacieux".
Deux ingénieurs à Messla et à Abu Attifel ont déclaré à Reuters lundi, sous condition d'anonymat, que la production se poursuivait et qu'il n'y avait pas eu d'ordre d'arrêt de la production.
LUTTE POUR LE POUVOIR
Depuis la guerre civile de 2011, les revenus pétroliers du pays font l'objet de tensions grandissantes entre les deux factions rivales de l'ouest et de l'est du pays.
Les dernières crispations en date sont apparues à la suite des efforts déployés par les factions politiques pour évincer le directeur de la Banque centrale de Libye (BCL), Sadiq al-Kabir.
La BCL, basée à Tripoli, a déclaré lundi qu'elle suspendait ses opérations dans le pays et à l'étranger "en raison de perturbations exceptionnelles".
La banque centrale est le seul dépositaire internationalement reconnu des recettes pétrolières libyennes, qui constituent un revenu vital pour le pays.
"La Banque centrale de Libye espère que les efforts qu'elle déploie actuellement en coopération avec toutes les autorités compétentes lui permettront de reprendre ses activités normales sans plus tarder", a-t-elle déclaré dans un communiqué.
La semaine dernière, la banque centrale avait temporairement interrompu ses opérations après l'enlèvement d'un haut responsable de la banque, mais elle a repris ses activités le lendemain, dès sa libération.
Waha, qui exploite une coentreprise avec TotalEnergies et ConocoPhillips , a une capacité de production d'environ 300.000 barils par jour (bpj). Ces barils sont exportés via le port de Sidra, dans l'est du pays.
Elle exploite cinq champs principaux dans le Sud-Est, dont Waha, qui produit plus de 100.000 bpj, ainsi que Gallo, Al-Fargh, Al-Samah et Al-Dhahra.
TotalEnergies et ConocoPhillips n'avaient pas répondu dans l'immédiat à une demande de commentaire.
Le S&P 500 et le Nasdaq ont chuté dans des échanges agités ce lundi, pesant sur le favori de l'IA Nvidia avant ses résultats plus tard dans la semaine, tandis que les marchés attendaient un rapportclé sur l'inflation et cimentaient les paris sur une réduction imminente des taux d'intérêt par la Réserve fédérale.
Nvidia a chuté de 2,3 %, menant les baisses parmi les stocks de puces et envoyant l'indice Philadelphia SE Semiconductor en baisse de 2,5 % avant les résultats très attendus du concepteur de puces mercredi. Le secteur plus large de la technologie a également perdu plus de 1%.
Les marchés ont été moins indulgents ce trimestre à l'égard des grandes capitalisations boursières, qui ont été le fer de lance de l'enthousiasme suscité par l'intelligence artificielle.
Les bénéfices de Nvidia (link) seront examinés de près pour justifier le bond de plus de 160 % de l'action depuis le début de l'année, ce qui a propulsé sa capitalisation boursière au deuxième rang, juste derrière Apple O>, à la clôture de vendredi.
"Nvidia est sur la sellette. Les gens retirent un peu d'argent de la table, en se disant qu'ils ont gagné de l'argent", a déclaré Kim Forrest, directeur des investissements chez Bokeh Capital Partners. "Leurs prévisions pour les six prochains mois sont probablement les données les plus importantes que nous recevrons cette semaine
D'autres noms de croissance tels que Tesla ont perdu 3 %, tandis que Meta a chuté de 1,4 % et Apple a perdu 0,8 %.
À 11:47 a.m. ET, le Dow Jones Industrial Average était en hausse de 10,14 points, ou 0,02%, à 41 185,22, le S&P 500 était en baisse de 22,99 points, ou 0,41%, à 5 611,62, et le Nasdaq Composite était en baisse de 168,87 points, ou 0,94%, à 17 708,93.
Le secteur de l'énergie s'est démarqué de la tendance en augmentant de 0,6%, les rapports sur les perturbations de l'approvisionnement en pétrole dans le cadre du conflit géopolitique au Moyen-Orient ayant fait grimper les prix du brut (link) .
D'autres secteurs du marché, notamment les valeurs financières telles qu'American Express et les biens de consommation de base tels que Proctor & Gamble , ont également enregistré des gains, limitant les baisses sur le Dow Jones, qui a atteint un record intrajournalier plus tôt dans la journée.
Les principaux indices ont progressé de plus de 1 %vendredi, l'indice de référence S&P 500 approchant des records après que le président de la Réserve fédérale américaine Jerome Powell (link) a déclaré que "le moment était venu" de réduire les coûts d'emprunt à la lumière de la diminution du risque d'inflation et de la modération de la demande de main-d'œuvre.
Les traders parient désormais sur une baisse des taux de 25 points de base ou de 50 points de base en septembre. Les chances de la première sont de 67,5 %, tandis que les chances d'une réduction de 50 points de base sont de 34,5 %, selon l'outil FedWatch du CME Group.
Les données très attendues sur les dépenses de consommation personnelle pour le mois de juillet, l'indicateur d'inflation préféré de la banque centrale, pourraient fournir plus d'informations sur la trajectoire d'assouplissement de la politique monétaire.
Les résultats de Dell , Salesforce , Dollar General et Gap G sont également attendus au cours de la semaine.
Entre autres, les actions cotées en bourse de PDD Holdings ont chuté de 29,8% après que le propriétaire de Temu a manqué les attentes du marché (link) pour le revenu du deuxième trimestre.
Boeing a glissé de 1,4 % après que la Nasa a choisi SpaceX (link) plutôt que le Starliner du constructeur pour ramener ses astronautes de l'espace l'année prochaine.
Les valeurs en hausse ont été plus nombreuses que les valeurs en baisse dans un rapport de 1,41 contre 1 sur le NYSE et de 1,19 contre 1 sur le Nasdaq.
L'indice S&P a enregistré 91 nouveaux plus hauts sur 52 semaines et aucun nouveau plus bas, tandis que le Nasdaq a enregistré 127 nouveaux plus hauts et 26 nouveaux plus bas.
Les principales Bourses européennes, hormis Paris, ont terminé en repli lundi, et à Wall Street deux des trois principaux indices étaient dans le rouge à mi-parcours dans une séance prudente, à l'entame d'une semaine qui sera marquée par de nombreux indicateurs de conjoncture et d'inflation ainsi que les résultats de Nvidia.
À Paris, le CAC 40 a fini sur un gain de 0,18% à 7.590,37 points, porté par Unibail Rodamco-Westfield et TotalEnergies , avec la montée des compartiments européens de l'immobilier et de l'énergie. Le Dax allemand a reflué de 0,06%. La Bourse de Londres est restée fermée pour un jour férié.
L'indice EuroStoxx 50 a reculé de 0,25%, le FTSEurofirst 300 (.FTEU3) a abandonné 0,05% et le Stoxx 600 a cédé 0,02%.
Au moment de la clôture en Europe, le Dow Jones avance de 0,09%, tandis le Standard & Poor's 500 se replie de 0,30% et le Nasdaq décline de 0,80%.
Les marchés actions consolident lundi alors que le S&P 500 est proche de son record et que l'indice paneuropéen Stoxx 600 a touché vendredi un plus haut de trois semaines après trois gains hebdomadaires d'affilée.
Les investisseurs, qui ont salué vendredi l'annonce par Jerome Powell, le président de la Réserve fédérale américaine, d'une baisse imminente des coûts d'emprunt, attendent désormais les chiffres de l'inflation des deux côtés de l'Atlantique, le produit intérieur brut (PIB) américain et les résultats de Nvidia (-1,87%).
Ces rendez-vous clés, prévus cette semaine, alimentent une certaine volatilité avec le VIX à Wall Street, surnommé l'indice de la peur, qui remonte lundi de 3,3% à 16,4 points.
VALEURS
Le secteur européen du pétrole et gaz (.SXEP) a fini sur un gain de 0,73% alors que les autorités contrôlant l'est de la Libye ont annoncé lundi la fermeture de tous les gisements pétroliers et la suspension de la production et des exportations. A Paris, TotalEnergies a avancé de 1,12% et à Milan, Eni a pris 1,05%.
Telecom Italia a progressé de 2,23% après une information selon laquelle le banquier italien Claudio Costamagna travaille sur un plan visant à réunir un groupe d'investisseurs susceptibles d'être intéressés par le rachat de la part de Vivendi (+0,70%) dans le groupe de télécoms italien.
LES INDICATEURS DU JOUR
Le moral des entrepreneurs allemands s'est érodé moins fortement que prévu en août, avec un indice à 86,6 après 87,0, montre une enquête de l'institut Ifo.
Les nouvelles commandes "core" de biens d'équipement fabriqués aux Etats-Unis ont reculé de manière inattendue en juillet, de 0,1%, et les données du mois précédent ont été revues à la baisse, suggérant une perte de dynamisme des dépenses des entreprises, montrent les données du département du Commerce.
CHANGES
Le dollar s'affermit légèrement lundi, d'environ 0,5%, face à un panier de devises de référence , après avoir touché à la fin de la semaine dernière un creux de 13 mois, à 100,6 points.
L'euro cède 0,19% à 1,1169 dollar, alors que Philip Lane, le chef économiste de la Banque centrale européenne (BCE), a noté au cours du week-end que l'inflation en zone euro avait fait de "bons progrès" mais que l'objectif de 2% n'était pas encore assuré. La prochaine décision de politique monétaire de la BCE est attendue le 12 septembre.
TAUX
Le rendement des bons du Trésor américain à dix ans est stable, à 3,803%, après un recul d'environ six points vendredi.
Celui du Bund allemand de même échéance (DE10YT=RR) a fini sur une hausse d'environ deux points, à 2,248%, tandis que son équivalent français (FR10YT=RR) est ressorti à 2,955%, en hausse également d'environ deux points.
L'écart de rendement (spread) (DE10FR10=RR) entre ces deux échéances est toujours d'environ 70 points de base alors que le Rassemblement National(RN) s'est catégoriquement opposé lundi à l'hypothèse de la nomination d'un gouvernement en France issu de l'alliance de gauche Nouveau Front populaire (NFP) dans le cadre des consultations menées par Emmanuel Macron.
PÉTROLE
Le marché pétrolier grimpe fortement en raison des tensions au Moyen-Orient et de l'annonce d'un arrêt de la production en Libye alors qu'aucun accord sur un cessez-le-feu dans la bande de Gaza n'a été obtenu lors du cycle de négociations indirectes entre Israël et le Hamas bouclé dimanche au Caire.
Le Brent bondit de 2,80% à 81,24 dollars le baril et le brut léger américain (West Texas Intermediate, WTI) de 3,19% à 77,22 dollars .
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