Abordabilité des systèmes de soins de longue durée en période de vieillissement rapide de la population
Résumé:Cette chronique compare l’impact de diverses mesures de protection sociale dans 32 pays de l’OCDE et de l’UE sur les taux de pauvreté et les dépenses personnelles des personnes âgées ayant besoin de soins.
Le vieillissement de la population s'accélère rapidement. Dans les pays de l'OCDE, la part des personnes âgées de 65 ans et plus a doublé, passant de moins de 9 % en 1960 à 18 % en 2021 (OCDE 2023) et devrait atteindre 27 % d'ici 2050, ce qui accroît la demande de services de soins de longue durée (Kotschy et Bloom 2022). Dans le même temps, la pression publique s'accroît pour réduire la charge de soins pesant sur les familles et les individus au profit du financement public et de la fourniture de soins de longue durée (Ilinca et Simmons 2022). Combinées à l'augmentation des coûts des soins (OCDE 2023), ces tendances accentuent la pression sur la viabilité budgétaire des systèmes publics de soins de longue durée. Afin de garantir la comparabilité entre pays des coûts et des avantages des régimes publics de soins de longue durée dans 32 pays de l'OCDE et de l'UE, un nouveau rapport de l'OCDE compare les coûts actuels des soins de longue durée entre les pays et présente des données probantes sur l'efficacité des dépenses publiques pour alléger la charge financière qui pèse sur les bénéficiaires de soins.
Malgré le soutien public, les soins de longue durée restent inabordables pour de nombreuses personnes âgées
Sans un soutien public suffisant, les services de soins de longue durée sont inabordables pour la plupart des personnes âgées. Le coût moyen des soins de longue durée pour les personnes ayant de faibles besoins de soins, qui représente déjà 42 % du revenu médian des personnes âgées (sans soutien public), pourrait atteindre 259 % pour celles ayant des besoins de soins sévères. Même si tous les pays de l'OCDE inclus dans le rapport couvrent au moins une partie des coûts par le biais de régimes de prestations, les dépenses personnelles des particuliers restent substantielles, en particulier pour les personnes âgées ayant des besoins sévères (voir figure 1). En moyenne, ces coûts représentent plus de 70 % du revenu médian des personnes âgées dans les pays de l’OCDE, même en tenant compte de la protection sociale publique. On observe toutefois des variations importantes entre les pays analysés. Français Dans les pays nordiques comme la Finlande, l'Islande et le Danemark, les frais à la charge des patients restent inférieurs à 5 % du revenu médian, tandis qu'en Italie et en Estonie, ces frais dépassent 150 %, ce qui pousse les personnes âgées dans la pauvreté ou les laisse avec des besoins de soins non satisfaits.
Les dépenses élevées à la charge des patients pour les soins de longue durée augmentent considérablement le risque de pauvreté chez les personnes âgées (voir la figure 2). En moyenne, les taux de pauvreté des personnes âgées ayant des besoins de soins de longue durée sont 31 points de pourcentage plus élevés que pour la population âgée en général. Les systèmes de soins de longue durée des pays scandinaves, du Luxembourg et des Pays-Bas sont parmi les plus efficaces pour réduire les risques de pauvreté liés aux dépenses de soins.le risque de pauvreté parmi les bénéficiaires de soins de longue durée en Italie et en Espagne est beaucoup plus élevé – plus de 60 points de pourcentage – par rapport à l’ensemble de la population âgée (65 ans et plus).
Options politiques pour faire face à la demande croissante de services de soins de longue durée
La hausse des coûts, la demande croissante et les faibles gains de productivité exercent une pression financière considérable sur les systèmes publics de soins de longue durée. Le rapport de l’OCDE analyse comment cette pression financière pourrait avoir un impact sur les dépenses futures en soins de longue durée dans différents scénarios (voir Figure 3). Dans le premier scénario (le « scénario de vieillissement ») – dans lequel les pays maintiennent le niveau actuel de soutien et la part existante de personnes âgées ayant des besoins recevant des soins de longue durée – les dépenses devraient augmenter en moyenne de 91 % d’ici 2050. Dans le deuxième scénario (le « scénario de couverture élevée »), qui suppose une augmentation à 60 % de la part de personnes âgées ayant des besoins de soins, les dépenses augmenteraient de 144 %. Enfin, dans le scénario « sans co-paiement », les dépenses à la charge du patient sont totalement éliminées et les dépenses liées aux soins de longue durée augmentent de plus de 300 %.
Si le vieillissement de la population est inévitable, les pays peuvent aider les populations âgées à adopter des modes de vie plus sains et introduire des mesures préventives pour réduire la dépendance et les problèmes de santé le plus longtemps possible. Des programmes comme les visites à domicile dans les pays scandinaves se sont avérés rentables en augmentant le nombre d'années actives et en bonne santé (Kronborg et al. 2006). De telles politiques pourraient réduire les dépenses futures en soins de longue durée de 13 % par rapport au scénario de base de couverture élevée (voir scénario de vieillissement en bonne santé, figure 3).
Bien que la croissance de la productivité du travail dans le secteur des soins de longue durée reste faible, voire négative (OCDE 2023), les technologies émergentes pourraient être mieux utilisées pour contribuer à réduire les coûts globaux des soins. Les simulations de l'OCDE suggèrent que si la croissance de la productivité dans les soins de longue durée atteignait ne serait-ce que la moitié de la croissance moyenne de la productivité de l'économie globale, les dépenses en soins de longue durée pourraient être inférieures de 13 % d'ici 2050 à celles du scénario de base de couverture élevée (voir scénario de croissance de la productivité, figure 3). De nouveaux outils d'assistance centrés sur l'utilisateur, tels que des capteurs environnementaux et portables, peuvent aider les prestataires de soins de longue durée à surveiller, positionner,et reconnaître les mouvements physiques (Bibbò et al. 2022). Les soignants virtuels jouent également un rôle de plus en plus important, en aidant à la fois les bénéficiaires et les prestataires de soins à gérer des pathologies telles que le diabète, la dépression et l'insuffisance cardiaque (Bin Sawad et al. 2022).
Si les impôts sont la source la plus courante de financement des soins de longue durée, certains pays ont mis en place une assurance publique pour les soins de longue durée afin de mieux partager les risques et de relever les défis en matière de transparence. Par exemple, la Slovénie a mis en place un régime d'assurance pour les soins de longue durée en 2023, dans le but de créer un système plus complet, d'améliorer la transparence du financement et d'éviter d'augmenter la dette du secteur public.
Avec des ressources publiques limitées, les pays peuvent donner la priorité au soutien des personnes qui en ont le plus besoin : celles qui ont de faibles revenus et celles qui ont de graves besoins en soins de longue durée. Un exemple d'une telle politique consisterait à plafonner les dépenses personnelles à 60 %, 40 % et 20 % des coûts de soins pour les personnes âgées ayant des besoins faibles, modérés et graves, respectivement. Notre simulation révèle qu’une telle approche fondée sur les besoins pourrait être une option intéressante pour des pays comme la Lettonie, Malte et la Hongrie. Dans ces cas, la simulation indique que cette stratégie pourrait réduire les dépenses publiques globales en matière de soins de longue durée sans augmenter de manière significative le risque de pauvreté parmi les bénéficiaires (OCDE 2024).
En outre, un partage des coûts plus progressif sur l’ensemble de la distribution des revenus peut aider à gérer les budgets de soins de longue durée et à limiter la pauvreté parmi les bénéficiaires de soins. Près de 90 % des pays de l’OCDE et de l’UE analysés dans le rapport appliquent une forme ou une autre de test de revenu pour définir les niveaux de soutien, mais les personnes à faibles revenus sont toujours confrontées à un risque de pauvreté nettement plus élevé. L’optimisation des tests de revenu pour se concentrer sur les populations vulnérables peut encore améliorer les résultats. Dans environ un tiers des pays de l’OCDE analysés, cette approche conduit à une baisse des dépenses de soins de longue durée et à une réduction de la pauvreté parmi les bénéficiaires de soins, ou du moins à une limitation des dépenses sans augmentation des taux de pauvreté (OCDE 2024).
Conclusion
Parvenir à un accès équitable aux soins de longue durée et à la viabilité budgétaire des systèmes publics dans un contexte de vieillissement de la population est un défi pour les décideurs politiques. L’analyse de l’OCDE révèle que les systèmes existants sont souvent inabordables et mal ciblés : il existe une marge d’amélioration et de réforme considérable. La promotion du vieillissement en bonne santé, l’utilisation proactive des nouvelles technologies pour accroître la productivité du secteur des soins, la révision des règles d’éligibilité pour permettre une couverture plus ciblée et plus inclusive, la diversification des sources de financement et l’optimisation des tests de revenus sont autant d’options politiques viables. Chacune d’entre elles mérite d’être explorée dans la recherche de systèmes de soins de longue durée résilients capables de résister aux changements démographiques et à l’évolution des besoins sociétaux.
Français Les aidants virtuels jouent également un rôle de plus en plus important, en aidant à la fois les bénéficiaires et les prestataires de soins à gérer des pathologies telles que le diabète, la dépression et l'insuffisance cardiaque (Bin Sawad et al. 2022).
Si les impôts sont la source la plus courante de financement des soins de longue durée, certains pays ont mis en place une assurance publique pour les soins de longue durée afin de mieux partager les risques et de relever les défis en matière de transparence. Par exemple, la Slovénie a mis en place un régime d'assurance pour les soins de longue durée en 2023, dans le but de créer un système plus complet, d'améliorer la transparence du financement et d'éviter d'augmenter la dette du secteur public.
Avec des ressources publiques limitées, les pays peuvent donner la priorité au soutien des personnes qui en ont le plus besoin : celles qui ont de faibles revenus et celles qui ont de graves besoins en soins de longue durée. Un exemple d'une telle politique consisterait à plafonner les dépenses personnelles à 60 %, 40 % et 20 % des coûts de soins pour les personnes âgées ayant des besoins faibles, modérés et graves, respectivement. Notre simulation révèle qu’une telle approche fondée sur les besoins pourrait être une option intéressante pour des pays comme la Lettonie, Malte et la Hongrie. Dans ces cas, la simulation indique que cette stratégie pourrait réduire les dépenses publiques globales en matière de soins de longue durée sans augmenter de manière significative le risque de pauvreté parmi les bénéficiaires (OCDE 2024).
En outre, un partage des coûts plus progressif sur l’ensemble de la distribution des revenus peut aider à gérer les budgets de soins de longue durée et à limiter la pauvreté parmi les bénéficiaires de soins. Près de 90 % des pays de l’OCDE et de l’UE analysés dans le rapport appliquent une forme ou une autre de test de revenu pour définir les niveaux de soutien, mais les personnes à faibles revenus sont toujours confrontées à un risque de pauvreté nettement plus élevé. L’optimisation des tests de revenu pour se concentrer sur les populations vulnérables peut encore améliorer les résultats. Dans environ un tiers des pays de l’OCDE analysés, cette approche conduit à une baisse des dépenses de soins de longue durée et à une réduction de la pauvreté parmi les bénéficiaires de soins, ou du moins à une limitation des dépenses sans augmentation des taux de pauvreté (OCDE 2024).
Conclusion
Parvenir à un accès équitable aux soins de longue durée et à la viabilité budgétaire des systèmes publics dans un contexte de vieillissement de la population est un défi pour les décideurs politiques. L’analyse de l’OCDE révèle que les systèmes existants sont souvent inabordables et mal ciblés : il existe une marge d’amélioration et de réforme considérable. La promotion du vieillissement en bonne santé, l’utilisation proactive des nouvelles technologies pour accroître la productivité du secteur des soins, la révision des règles d’éligibilité pour permettre une couverture plus ciblée et plus inclusive, la diversification des sources de financement et l’optimisation des tests de revenus sont autant d’options politiques viables. Chacune d’entre elles mérite d’être explorée dans la recherche de systèmes de soins de longue durée résilients capables de résister aux changements démographiques et à l’évolution des besoins sociétaux.
Français Les aidants virtuels jouent également un rôle de plus en plus important, en aidant à la fois les bénéficiaires et les prestataires de soins à gérer des pathologies telles que le diabète, la dépression et l'insuffisance cardiaque (Bin Sawad et al. 2022).
Si les impôts sont la source la plus courante de financement des soins de longue durée, certains pays ont mis en place une assurance publique pour les soins de longue durée afin de mieux partager les risques et de relever les défis en matière de transparence. Par exemple, la Slovénie a mis en place un régime d'assurance pour les soins de longue durée en 2023, dans le but de créer un système plus complet, d'améliorer la transparence du financement et d'éviter d'augmenter la dette du secteur public.
Avec des ressources publiques limitées, les pays peuvent donner la priorité au soutien des personnes qui en ont le plus besoin : celles qui ont de faibles revenus et celles qui ont de graves besoins en soins de longue durée. Un exemple d'une telle politique consisterait à plafonner les dépenses personnelles à 60 %, 40 % et 20 % des coûts de soins pour les personnes âgées ayant des besoins faibles, modérés et graves, respectivement. Notre simulation révèle qu’une telle approche fondée sur les besoins pourrait être une option intéressante pour des pays comme la Lettonie, Malte et la Hongrie. Dans ces cas, la simulation indique que cette stratégie pourrait réduire les dépenses publiques globales en matière de soins de longue durée sans augmenter de manière significative le risque de pauvreté parmi les bénéficiaires (OCDE 2024).
En outre, un partage des coûts plus progressif sur l’ensemble de la distribution des revenus peut aider à gérer les budgets de soins de longue durée et à limiter la pauvreté parmi les bénéficiaires de soins. Près de 90 % des pays de l’OCDE et de l’UE analysés dans le rapport appliquent une forme ou une autre de test de revenu pour définir les niveaux de soutien, mais les personnes à faibles revenus sont toujours confrontées à un risque de pauvreté nettement plus élevé. L’optimisation des tests de revenu pour se concentrer sur les populations vulnérables peut encore améliorer les résultats. Dans environ un tiers des pays de l’OCDE analysés, cette approche conduit à une baisse des dépenses de soins de longue durée et à une réduction de la pauvreté parmi les bénéficiaires de soins, ou du moins à une limitation des dépenses sans augmentation des taux de pauvreté (OCDE 2024).
Conclusion
Parvenir à un accès équitable aux soins de longue durée et à la viabilité budgétaire des systèmes publics dans un contexte de vieillissement de la population est un défi pour les décideurs politiques. L’analyse de l’OCDE révèle que les systèmes existants sont souvent inabordables et mal ciblés : il existe une marge d’amélioration et de réforme considérable. La promotion du vieillissement en bonne santé, l’utilisation proactive des nouvelles technologies pour accroître la productivité du secteur des soins, la révision des règles d’éligibilité pour permettre une couverture plus ciblée et plus inclusive, la diversification des sources de financement et l’optimisation des tests de revenus sont autant d’options politiques viables. Chacune d’entre elles mérite d’être explorée dans la recherche de systèmes de soins de longue durée résilients capables de résister aux changements démographiques et à l’évolution des besoins sociétaux.
aider à la fois les bénéficiaires et les prestataires de soins à gérer des pathologies telles que le diabète, la dépression et l’insuffisance cardiaque (Bin Sawad et al. 2022).
Si les impôts constituent la source la plus courante de financement des soins de longue durée, certains pays ont mis en place une assurance publique pour les soins de longue durée afin de mieux partager les risques et de relever les défis en matière de transparence. Par exemple, la Slovénie a mis en place un régime d’assurance pour les soins de longue durée en 2023, dans le but de créer un système plus complet, d’améliorer la transparence du financement et d’éviter d’augmenter la dette du secteur public.
Avec des ressources publiques limitées, les pays peuvent donner la priorité au soutien des personnes qui en ont le plus besoin : celles qui ont de faibles revenus et celles qui ont de graves besoins en soins de longue durée. Un exemple d’une telle politique consisterait à plafonner les dépenses personnelles à 60 %, 40 % et 20 % des coûts de soins pour les personnes âgées ayant des besoins faibles, modérés et graves, respectivement. Notre simulation révèle qu’une telle approche de test des besoins pourrait être une option intéressante pour des pays comme la Lettonie, Malte et la Hongrie. Français Dans ces cas, la simulation indique que cette stratégie pourrait réduire les dépenses publiques globales en matière de soins de longue durée sans augmenter significativement le risque de pauvreté parmi les bénéficiaires (OCDE 2024).
En outre, un partage des coûts plus progressif sur l'ensemble de la distribution des revenus peut aider à gérer les budgets de soins de longue durée et à limiter la pauvreté parmi les bénéficiaires de soins. Près de 90 % des pays de l'OCDE et de l'UE analysés dans le rapport appliquent une forme ou une autre de test de revenu pour définir les niveaux de soutien, mais les personnes à faibles revenus sont toujours confrontées à un risque de pauvreté nettement plus élevé. L'optimisation des tests de revenu pour se concentrer sur les populations vulnérables peut encore améliorer les résultats. Dans environ un tiers des pays de l'OCDE analysés, cette approche conduit à une baisse des dépenses en matière de soins de longue durée et à une réduction de la pauvreté parmi les bénéficiaires de soins, ou du moins à une limitation des dépenses sans augmenter les taux de pauvreté (OCDE 2024).
Conclusion
Parvenir à un accès équitable aux soins de longue durée et à la viabilité budgétaire des systèmes publics dans un contexte de vieillissement de la population est un défi pour les décideurs politiques. L’analyse de l’OCDE révèle que les systèmes existants sont souvent inabordables et mal ciblés : il existe une marge d’amélioration et de réforme considérable. La promotion du vieillissement en bonne santé, l’utilisation proactive des nouvelles technologies pour accroître la productivité du secteur des soins, la révision des règles d’éligibilité pour permettre une couverture plus ciblée et plus inclusive, la diversification des sources de financement et l’optimisation des critères de ressources sont autant d’options politiques viables. Chacune d’entre elles mérite d’être explorée dans la recherche de systèmes de soins de longue durée résilients, capables de résister aux changements démographiques et à l’évolution des besoins sociétaux.aider à la fois les bénéficiaires et les prestataires de soins à gérer des pathologies telles que le diabète, la dépression et l’insuffisance cardiaque (Bin Sawad et al. 2022).
Si les impôts constituent la source la plus courante de financement des soins de longue durée, certains pays ont mis en place une assurance publique pour les soins de longue durée afin de mieux partager les risques et de relever les défis en matière de transparence. Par exemple, la Slovénie a mis en place un régime d’assurance pour les soins de longue durée en 2023, dans le but de créer un système plus complet, d’améliorer la transparence du financement et d’éviter d’augmenter la dette du secteur public.
Avec des ressources publiques limitées, les pays peuvent donner la priorité au soutien des personnes qui en ont le plus besoin : celles qui ont de faibles revenus et celles qui ont de graves besoins en soins de longue durée. Un exemple d’une telle politique consisterait à plafonner les dépenses personnelles à 60 %, 40 % et 20 % des coûts de soins pour les personnes âgées ayant des besoins faibles, modérés et graves, respectivement. Notre simulation révèle qu’une telle approche de test des besoins pourrait être une option intéressante pour des pays comme la Lettonie, Malte et la Hongrie. Français Dans ces cas, la simulation indique que cette stratégie pourrait réduire les dépenses publiques globales en matière de soins de longue durée sans augmenter significativement le risque de pauvreté parmi les bénéficiaires (OCDE 2024).
En outre, un partage des coûts plus progressif sur l'ensemble de la distribution des revenus peut aider à gérer les budgets de soins de longue durée et à limiter la pauvreté parmi les bénéficiaires de soins. Près de 90 % des pays de l'OCDE et de l'UE analysés dans le rapport appliquent une forme ou une autre de test de revenu pour définir les niveaux de soutien, mais les personnes à faibles revenus sont toujours confrontées à un risque de pauvreté nettement plus élevé. L'optimisation des tests de revenu pour se concentrer sur les populations vulnérables peut encore améliorer les résultats. Dans environ un tiers des pays de l'OCDE analysés, cette approche conduit à une baisse des dépenses en matière de soins de longue durée et à une réduction de la pauvreté parmi les bénéficiaires de soins, ou du moins à une limitation des dépenses sans augmenter les taux de pauvreté (OCDE 2024).
Conclusion
Parvenir à un accès équitable aux soins de longue durée et à la viabilité budgétaire des systèmes publics dans un contexte de vieillissement de la population est un défi pour les décideurs politiques. L’analyse de l’OCDE révèle que les systèmes existants sont souvent inabordables et mal ciblés : il existe une marge d’amélioration et de réforme considérable. La promotion du vieillissement en bonne santé, l’utilisation proactive des nouvelles technologies pour accroître la productivité du secteur des soins, la révision des règles d’éligibilité pour permettre une couverture plus ciblée et plus inclusive, la diversification des sources de financement et l’optimisation des critères de ressources sont autant d’options politiques viables. Chacune d’entre elles mérite d’être explorée dans la recherche de systèmes de soins de longue durée résilients, capables de résister aux changements démographiques et à l’évolution des besoins sociétaux.
Si les impôts constituent la source la plus courante de financement des soins de longue durée, certains pays ont mis en place une assurance publique pour les soins de longue durée afin de mieux partager les risques et de relever les défis en matière de transparence. Par exemple, la Slovénie a mis en place un régime d’assurance pour les soins de longue durée en 2023, dans le but de créer un système plus complet, d’améliorer la transparence du financement et d’éviter d’augmenter la dette du secteur public.
Avec des ressources publiques limitées, les pays peuvent donner la priorité au soutien des personnes qui en ont le plus besoin : celles qui ont de faibles revenus et celles qui ont de graves besoins en matière de soins de longue durée. Un exemple d’une telle politique consisterait à plafonner les dépenses personnelles à 60 %, 40 % et 20 % des coûts de soins pour les personnes âgées ayant des besoins faibles, modérés et graves, respectivement. Notre simulation révèle qu’une telle approche de test des besoins pourrait être une option intéressante pour des pays comme la Lettonie, Malte et la Hongrie. Français Dans ces cas, la simulation indique que cette stratégie pourrait réduire les dépenses publiques globales en matière de soins de longue durée sans augmenter significativement le risque de pauvreté parmi les bénéficiaires (OCDE 2024).
En outre, un partage des coûts plus progressif sur l'ensemble de la distribution des revenus peut aider à gérer les budgets de soins de longue durée et à limiter la pauvreté parmi les bénéficiaires de soins. Près de 90 % des pays de l'OCDE et de l'UE analysés dans le rapport appliquent une forme ou une autre de test de revenu pour définir les niveaux de soutien, mais les personnes à faibles revenus sont toujours confrontées à un risque de pauvreté nettement plus élevé. L'optimisation des tests de revenu pour se concentrer sur les populations vulnérables peut encore améliorer les résultats. Dans environ un tiers des pays de l'OCDE analysés, cette approche conduit à une baisse des dépenses en matière de soins de longue durée et à une réduction de la pauvreté parmi les bénéficiaires de soins, ou du moins à une limitation des dépenses sans augmenter les taux de pauvreté (OCDE 2024).
Conclusion
Parvenir à un accès équitable aux soins de longue durée et à la viabilité budgétaire des systèmes publics dans un contexte de vieillissement de la population est un défi pour les décideurs politiques. L’analyse de l’OCDE révèle que les systèmes existants sont souvent inabordables et mal ciblés : il existe une marge d’amélioration et de réforme considérable. La promotion du vieillissement en bonne santé, l’utilisation proactive des nouvelles technologies pour accroître la productivité du secteur des soins, la révision des règles d’éligibilité pour permettre une couverture plus ciblée et plus inclusive, la diversification des sources de financement et l’optimisation des critères de ressources sont autant d’options politiques viables. Chacune d’entre elles mérite d’être explorée dans la recherche de systèmes de soins de longue durée résilients, capables de résister aux changements démographiques et à l’évolution des besoins sociétaux.
Si les impôts constituent la source la plus courante de financement des soins de longue durée, certains pays ont mis en place une assurance publique pour les soins de longue durée afin de mieux partager les risques et de relever les défis en matière de transparence. Par exemple, la Slovénie a mis en place un régime d’assurance pour les soins de longue durée en 2023, dans le but de créer un système plus complet, d’améliorer la transparence du financement et d’éviter d’augmenter la dette du secteur public.
Avec des ressources publiques limitées, les pays peuvent donner la priorité au soutien des personnes qui en ont le plus besoin : celles qui ont de faibles revenus et celles qui ont de graves besoins en matière de soins de longue durée. Un exemple d’une telle politique consisterait à plafonner les dépenses personnelles à 60 %, 40 % et 20 % des coûts de soins pour les personnes âgées ayant des besoins faibles, modérés et graves, respectivement. Notre simulation révèle qu’une telle approche de test des besoins pourrait être une option intéressante pour des pays comme la Lettonie, Malte et la Hongrie. Français Dans ces cas, la simulation indique que cette stratégie pourrait réduire les dépenses publiques globales en matière de soins de longue durée sans augmenter significativement le risque de pauvreté parmi les bénéficiaires (OCDE 2024).
En outre, un partage des coûts plus progressif sur l'ensemble de la distribution des revenus peut aider à gérer les budgets de soins de longue durée et à limiter la pauvreté parmi les bénéficiaires de soins. Près de 90 % des pays de l'OCDE et de l'UE analysés dans le rapport appliquent une forme ou une autre de test de revenu pour définir les niveaux de soutien, mais les personnes à faibles revenus sont toujours confrontées à un risque de pauvreté nettement plus élevé. L'optimisation des tests de revenu pour se concentrer sur les populations vulnérables peut encore améliorer les résultats. Dans environ un tiers des pays de l'OCDE analysés, cette approche conduit à une baisse des dépenses en matière de soins de longue durée et à une réduction de la pauvreté parmi les bénéficiaires de soins, ou du moins à une limitation des dépenses sans augmenter les taux de pauvreté (OCDE 2024).
Conclusion
Parvenir à un accès équitable aux soins de longue durée et à la viabilité budgétaire des systèmes publics dans un contexte de vieillissement de la population est un défi pour les décideurs politiques. L’analyse de l’OCDE révèle que les systèmes existants sont souvent inabordables et mal ciblés : il existe une marge d’amélioration et de réforme considérable. La promotion du vieillissement en bonne santé, l’utilisation proactive des nouvelles technologies pour accroître la productivité du secteur des soins, la révision des règles d’éligibilité pour permettre une couverture plus ciblée et plus inclusive, la diversification des sources de financement et l’optimisation des critères de ressources sont autant d’options politiques viables. Chacune d’entre elles mérite d’être explorée dans la recherche de systèmes de soins de longue durée résilients, capables de résister aux changements démographiques et à l’évolution des besoins sociétaux.améliorer la transparence du financement et éviter d'augmenter la dette du secteur public.
Avec des ressources publiques limitées, les pays peuvent donner la priorité au soutien des personnes qui en ont le plus besoin : celles qui ont de faibles revenus et celles qui ont de graves besoins en soins de longue durée. Un exemple d'une telle politique consisterait à plafonner les dépenses personnelles à 60 %, 40 % et 20 % des coûts de soins pour les personnes âgées ayant des besoins faibles, modérés et sévères, respectivement. Notre simulation révèle qu'une telle approche de test des besoins pourrait être une option intéressante pour des pays comme la Lettonie, Malte et la Hongrie. Dans ces cas, la simulation indique que cette stratégie pourrait réduire les dépenses publiques globales en soins de longue durée sans augmenter de manière significative le risque de pauvreté parmi les bénéficiaires (OCDE 2024).
En outre, un partage des coûts plus progressif dans l'ensemble de la distribution des revenus peut aider à gérer les budgets de soins de longue durée et à limiter la pauvreté parmi les bénéficiaires de soins. Près de 90 % des pays de l’OCDE et de l’UE analysés dans le rapport appliquent une forme ou une autre de test de revenu pour définir les niveaux de soutien, mais les personnes à faibles revenus sont toujours confrontées à un risque de pauvreté nettement plus élevé. L’optimisation des tests de revenu pour se concentrer sur les populations vulnérables peut encore améliorer les résultats. Dans environ un tiers des pays de l’OCDE analysés, cette approche conduit à une baisse des dépenses de soins de longue durée et à une réduction de la pauvreté parmi les bénéficiaires de soins, ou du moins à une limitation des dépenses sans augmenter les taux de pauvreté (OCDE 2024).
Conclusion
Parvenir à un accès équitable aux soins de longue durée et à la viabilité budgétaire des systèmes publics dans un contexte de vieillissement de la population est un défi pour les décideurs politiques. L’analyse de l’OCDE révèle que les systèmes existants sont souvent inabordables et mal ciblés : il existe une marge considérable d’amélioration et de réformes. La promotion du vieillissement en bonne santé, l’utilisation proactive des nouvelles technologies pour accroître la productivité du secteur des soins, la révision des règles d’éligibilité pour permettre une couverture plus ciblée et plus inclusive, la diversification des sources de financement et l’optimisation des tests de revenus sont autant d’options politiques viables. Chacune d’entre elles mérite d’être explorée dans la recherche de systèmes de soins de longue durée résilients, capables de résister aux changements démographiques et à l’évolution des besoins sociétaux.améliorer la transparence du financement et éviter d'augmenter la dette du secteur public.
Avec des ressources publiques limitées, les pays peuvent donner la priorité au soutien des personnes qui en ont le plus besoin : celles qui ont de faibles revenus et celles qui ont de graves besoins en soins de longue durée. Un exemple d'une telle politique consisterait à plafonner les dépenses personnelles à 60 %, 40 % et 20 % des coûts de soins pour les personnes âgées ayant des besoins faibles, modérés et sévères, respectivement. Notre simulation révèle qu'une telle approche de test des besoins pourrait être une option intéressante pour des pays comme la Lettonie, Malte et la Hongrie. Dans ces cas, la simulation indique que cette stratégie pourrait réduire les dépenses publiques globales en soins de longue durée sans augmenter de manière significative le risque de pauvreté parmi les bénéficiaires (OCDE 2024).
En outre, un partage des coûts plus progressif dans l'ensemble de la distribution des revenus peut aider à gérer les budgets de soins de longue durée et à limiter la pauvreté parmi les bénéficiaires de soins. Près de 90 % des pays de l’OCDE et de l’UE analysés dans le rapport appliquent une forme ou une autre de test de revenu pour définir les niveaux de soutien, mais les personnes à faibles revenus sont toujours confrontées à un risque de pauvreté nettement plus élevé. L’optimisation des tests de revenu pour se concentrer sur les populations vulnérables peut encore améliorer les résultats. Dans environ un tiers des pays de l’OCDE analysés, cette approche conduit à une baisse des dépenses de soins de longue durée et à une réduction de la pauvreté parmi les bénéficiaires de soins, ou du moins à une limitation des dépenses sans augmenter les taux de pauvreté (OCDE 2024).
Conclusion
Parvenir à un accès équitable aux soins de longue durée et à la viabilité budgétaire des systèmes publics dans un contexte de vieillissement de la population est un défi pour les décideurs politiques. L’analyse de l’OCDE révèle que les systèmes existants sont souvent inabordables et mal ciblés : il existe une marge considérable d’amélioration et de réformes. La promotion du vieillissement en bonne santé, l’utilisation proactive des nouvelles technologies pour accroître la productivité du secteur des soins, la révision des règles d’éligibilité pour permettre une couverture plus ciblée et plus inclusive, la diversification des sources de financement et l’optimisation des tests de revenus sont autant d’options politiques viables. Chacune d’entre elles mérite d’être explorée dans la recherche de systèmes de soins de longue durée résilients, capables de résister aux changements démographiques et à l’évolution des besoins sociétaux.la simulation indique que cette stratégie pourrait réduire les dépenses publiques globales en matière de soins de longue durée sans augmenter significativement le risque de pauvreté parmi les bénéficiaires (OCDE 2024).
En outre, un partage des coûts plus progressif sur l'ensemble de la distribution des revenus peut aider à gérer les budgets de soins de longue durée et à limiter la pauvreté parmi les bénéficiaires de soins. Près de 90 % des pays de l'OCDE et de l'UE analysés dans le rapport appliquent une forme ou une autre de test de revenu pour définir les niveaux de soutien, mais les personnes à faibles revenus sont toujours confrontées à un risque de pauvreté nettement plus élevé. L'optimisation des tests de revenu pour se concentrer sur les populations vulnérables peut encore améliorer les résultats. Dans environ un tiers des pays de l'OCDE analysés, cette approche conduit à une baisse des dépenses en soins de longue durée et à une réduction de la pauvreté parmi les bénéficiaires de soins, ou du moins à une limitation des dépenses sans augmenter les taux de pauvreté (OCDE 2024).
Conclusion
Parvenir à un accès équitable aux soins de longue durée et à la viabilité budgétaire des systèmes publics dans un contexte de vieillissement de la population est un défi pour les décideurs politiques. L’analyse de l’OCDE révèle que les systèmes existants sont souvent inabordables et mal ciblés : il existe une marge d’amélioration et de réforme considérable. La promotion du vieillissement en bonne santé, l’utilisation proactive des nouvelles technologies pour accroître la productivité du secteur des soins, la révision des règles d’éligibilité pour permettre une couverture plus ciblée et plus inclusive, la diversification des sources de financement et l’optimisation des critères de ressources sont autant d’options politiques viables. Chacune d’entre elles mérite d’être explorée dans la recherche de systèmes de soins de longue durée résilients, capables de résister aux changements démographiques et à l’évolution des besoins sociétaux.la simulation indique que cette stratégie pourrait réduire les dépenses publiques globales en matière de soins de longue durée sans augmenter significativement le risque de pauvreté parmi les bénéficiaires (OCDE 2024).
En outre, un partage des coûts plus progressif sur l'ensemble de la distribution des revenus peut aider à gérer les budgets de soins de longue durée et à limiter la pauvreté parmi les bénéficiaires de soins. Près de 90 % des pays de l'OCDE et de l'UE analysés dans le rapport appliquent une forme ou une autre de test de revenu pour définir les niveaux de soutien, mais les personnes à faibles revenus sont toujours confrontées à un risque de pauvreté nettement plus élevé. L'optimisation des tests de revenu pour se concentrer sur les populations vulnérables peut encore améliorer les résultats. Dans environ un tiers des pays de l'OCDE analysés, cette approche conduit à une baisse des dépenses en soins de longue durée et à une réduction de la pauvreté parmi les bénéficiaires de soins, ou du moins à une limitation des dépenses sans augmenter les taux de pauvreté (OCDE 2024).
Conclusion
Parvenir à un accès équitable aux soins de longue durée et à la viabilité budgétaire des systèmes publics dans un contexte de vieillissement de la population est un défi pour les décideurs politiques. L’analyse de l’OCDE révèle que les systèmes existants sont souvent inabordables et mal ciblés : il existe une marge d’amélioration et de réforme considérable. La promotion du vieillissement en bonne santé, l’utilisation proactive des nouvelles technologies pour accroître la productivité du secteur des soins, la révision des règles d’éligibilité pour permettre une couverture plus ciblée et plus inclusive, la diversification des sources de financement et l’optimisation des critères de ressources sont autant d’options politiques viables. Chacune d’entre elles mérite d’être explorée dans la recherche de systèmes de soins de longue durée résilients, capables de résister aux changements démographiques et à l’évolution des besoins sociétaux.L’utilisation proactive des nouvelles technologies pour accroître la productivité du secteur des soins, la révision des règles d’éligibilité pour permettre une couverture plus ciblée et plus inclusive, la diversification des sources de financement et l’optimisation des tests de revenus sont autant d’options politiques viables. Chacune d’entre elles mérite d’être explorée dans la recherche de systèmes de soins de longue durée résilients, capables de résister aux changements démographiques et à l’évolution des besoins sociétaux.L’utilisation proactive des nouvelles technologies pour accroître la productivité du secteur des soins, la révision des règles d’éligibilité pour permettre une couverture plus ciblée et plus inclusive, la diversification des sources de financement et l’optimisation des tests de revenus sont autant d’options politiques viables. Chacune d’entre elles mérite d’être explorée dans la recherche de systèmes de soins de longue durée résilients, capables de résister aux changements démographiques et à l’évolution des besoins sociétaux.
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