Actions espagnoles - Facteurs à surveiller le 10 décembre

La Bourse de New York a terminé en baisse lundi, lestée par quelques grandes capitalisations technologiques et alors que les investisseurs attendent de nouvelles données sur l'inflation américaine.

Le Dow Jones a perdu 0,54%, l'indice Nasdaq a lâché 0,62% et l'indice élargi S&P 500 a cédé 0,61%.

La place américaine attend mercredi l'indice CPI des prix à la consommation pour le mois de novembre, puis l'indice PPI des prix à la production jeudi, guettant une nouvelle hausse de l'inflation.

"Nous observons une certaine volatilité (sur le marché) avant que l'indice CPI ne soit publié mercredi", a commenté Victoria Fernandez, de Crossmark Global Investments.

L'indice VIX - dit "indice de la peur" - qui mesure la nervosité des investisseurs, remontait de 10,96%.

Sur un an, les analystes tablent sur une hausse de 2,7% des prix à la consommation, selon le consensus publié par MarketWatch.

"Tant que les résultats seront proches des attentes, ils ne feront probablement pas beaucoup bouger le marché", selon Mme. Fernandez.

Ces données sur l'inflation américaine seront publiées avant la prochaine réunion de la banque centrale américaine (Fed), qui aura lieu les 17 et 18 décembre et une nouvelle baisse d'un quart de point est attendue par les acteurs du marché, selon l'outil de CME Group.

Sur le marché obligataire, le rendement des emprunts d'État américains à 10 ans s'est établi à 4,19%, contre 4,15% vendredi en clôture.

Lundi, "les principaux indices ont souffert d'un manque d'intérêt pour les achats au cours de la séance (...) et d'une faiblesse relative" de certaines grandes capitalisations, a observé dans une note Patrick O'Hare, de Briefing.com.

En tête de gondole: le géant américain des semi-conducteurs Nvidia a reculé (-2,55%), lesté par une enquête lancé par la Chine pour violation présumée des lois antimonopole, a annoncé la télévision d'Etat CCTV.

La procédure contre le champion des semi-conducteurs a été initiée par les services publics de régulation des marchés, selon CCTV.

"Lorsque l'on apprend qu'une société comme Nvidia pourrait être mise en cause en Chine, les répercussions se font sentir dans l'ensemble du secteur technologique", a soutenu Mme. Fernandez.

D'autres grands noms de la tech ont ainsi terminé en berne, à l'image de Meta (-1,64%), Netflix (-2,25%), Broadcom (-0,33%), Salesforce (-2,88%), Intel (-0,53%) ou Adobe (-0,91%).

Le temps s'est également couvert pour AMD (-5,57%), autre concepteur de semi-conducteurs, après que le groupe a été rétrogradé par Bank of America qui craint une concurrence plus accrue dans le domaine de l'intelligence artificielle (IA).

Le géant des services informatiques Oracle a glissé (-0,65%) avant la publication de ses résultats trimestriels après la clôture de Wall Street.

Ailleurs à la cote, le spécialiste des chocolats Hershey s'est envolé (+10,85%) après des informations de presse selon lesquelles le groupe agroalimentaire Mondelez (Oreo, Milka, Toblerone notamment) étudierait une possible offre d'achat de Hershey.

Aidées par l'engagement de Pékin à poursuivre la relance du pays, les valeurs chinoises cotées à la Bourse de New York ont tiré leur épingle du jeu, à l'image des géants du commerce en ligne PDD (+10,45%), Alibaba (+7,44%) et JD.com (+11,00%).

Les membres du Bureau politique du Comité central du Parti communiste chinois, organe de décision clé, ont annoncé vouloir poursuivre la relance du pays et adopter "une politique monétaire légèrement assouplie", ouvrant la porte à un changement très attendu par les investisseurs.

Les procureurs italiens ont clos une enquête sur une fraude fiscale présumée de 887,6 millions d'euros (937,93 millions de dollars) par la société mère de Facebook, Meta , impliquant deux cadres de son unité irlandaise, a déclaré le bureau du procureur de Milan lundi.

La clôture de l'enquête est l'étape formelle avant que les procureurs ne déposent une demande de procès, à moins que les suspects n'aient d'abord prouvé leur innocence.

Bien qu'il s'agisse d'une somme modeste pour une entreprise qui a réalisé un chiffre d'affaires de plus de 32 milliards de dollars l'année dernière, l'affaire (link) pourrait avoir des ramifications beaucoup plus larges pour le secteur, car elle dépend de la manière dont Meta fournit l'accès à des services tels que Facebook et Instagram.

Meta a déclaré qu'elle prenait ses obligations fiscales au sérieux, qu'elle avait payé tous les impôts requis dans les pays où elle opérait et qu'elle coopérerait pleinement avec les autorités italiennes.

NÉGOCIATIONS EN COURS ENTRE META ET L'AGENCE FISCALE

Le parquet de Milan menait une enquête criminelle sur les deux dirigeants de la société Meta Platforms Ireland Ltd, une filiale du groupe américain, immatriculée en Irlande.

Mais le principal problème, qui pourrait affecter l'ensemble du secteur, se joue entre Meta et l'Agence italienne du revenu, et il est loin d'être résolu.

L'année dernière, la police fiscale italienne a affirmé que les enregistrements des utilisateurs de Meta pouvaient être considérés comme une transaction imposable, car ils impliquaient l'échange non monétaire d'un compte de membre en échange des données personnelles de l'utilisateur.

À la mi-novembre, l'agence fiscale italienne a envoyé à Meta un "schéma d'acte" (ou "schema d'atto" en italien), une liste de ses propres observations, approuvant totalement les conclusions d'une enquête de la police de la Guardia di Finanza, ont déclaré lundi à Reuters deux sources ayant connaissance de l'affaire.

Sur cette base, les procureurs et la police fiscale de Milan affirment que Meta aurait omis de déclarer un revenu imposable de près de 4 milliards d'euros de 2015 à 2021, ce qui correspond à une fraude à la TVA de plus de 887 millions d'euros.

Les sources ont indiqué que Meta dispose de 60 jours pour répondre aux observations de l'administration fiscale, après quoi elle pourra soit accepter cette approche et payer un montant convenu, soit entamer un véritable contentieux fiscal.

"Nous ne sommes pas du tout d'accord avec l'idée que l'accès des utilisateurs aux plateformes en ligne soit soumis à la TVA", a déclaré lundi un porte-parole de Meta.

En raison de la sensibilité et de la nature sans précédent du litige, l'Agence fiscale italienne, par l'intermédiaire du ministère des finances du pays, a envoyé une demande (link) pour une évaluation technique au Comité de la TVA de la Commission européenne en décembre dernier.

L'avis demandé concernait le traitement TVA des services en ligne fournis par le réseau social en échange de la fourniture des données personnelles de ses utilisateurs.

Selon les deux sources, l'agence n'a pas encore reçu de réponse du comité de la Commission.

(1 dollar = 0,9463 euro)

** Le S&P 500 prolonge sa série de gains à trois semaines, ajoutant 1%

** Le Nasdaq Composite progresse également pour la troisième semaine consécutive, tandis que le Dow met fin à une série de gains de deux semaines

** En effet, le S&P 500 s'appuie sur une année record, mais un obstacle de taille se profile à l'horizon (link), alors que le Nasdaq pourrait devenir (link) trop chaud pour être géré

** Le rendement du Trésor américain à 10 ans , à environ 4,15 %, est sur le point de connaître sa troisième baisse hebdomadaire consécutive; les traders envisagent les niveaux (link)

** En fin de compte, seuls les secteurs de la consommation discrétionnaire, des services de communication et de la technologie progressent, tandis que les secteurs des services publics et de l'énergie baissent le plus

** La consommation discrétionnaire bondit de 5,9%. Lululemon bondit de 25% sur la semaine après avoir relevé ses prévisions annuelles (link) grâce à une forte demande pendant les fêtes, et Ulta Beauty bondit de ~11% après avoir relevé ses prévisions de bénéfices annuels (link)

Tesla en baisse le lundi après que le juge a rejeté (link), une fois de plus, la demande de rétablissement de la rémunération de Musk, mais en hausse le jeudi alors que les analystes augmentent les PTs (link) sur l'optimisme de la croissance en 2025

** Les services de communication augmentent de 4,1%. Meta , propriétaire de Facebook, atteint un record historique après que la cour d'appel américaine a confirmé l'interdiction de TikTok (link)

AT&T atteint son plus haut niveau en 3 ans et demi après des plans d'expansion (link) et des prévisions revues à la hausse

** Tech bondit de 3,3%. Super Micro s'envole de ~35% après que le fabricant de serveurs AI ait déclaré qu'un groupe d'experts n'a trouvé aucune preuve de fraude (link) concernant les pratiques comptables, et Hewlett Packard Enterprise s'envole pour atteindre un record grâce à des résultats solides (link)

Salesforce bondit après que le chiffre d'affaires du 3ème trimestre ait battu (link) et augmenté en raison de la forte demande en matière de cloud

Intel a d'abord bondi après le départ à la retraite de son directeur général Pat Gelsinger (link), mais a ensuite reculé, son départ suscitant des doutes (link) sur les efforts de redressement du fabricant de puces. INTC perd 13 % et connaît sa pire semaine depuis trois mois

Cependant, l'indice des semi-conducteurs progresse de 2,7% sur la semaine

** Le secteur de la santé perd 2%. UnitedHealth chute après des prévisions de bénéfices largement conformes à (link) 2025, et les actions des assureurs prolongent leurs baisses (link) après l'assassinat du directeur général d'UNH

Bien qu'Eli Lilly progresse grâce à la supériorité de son médicament amaigrissant Zepbound (link) par rapport au Wegovy de son rival Novo Nordisk lors d'un essai clinique

** Les services publics baissent de 3,8%. PG&E chute sur 2,4 milliards de dollars de capitaux propres (link) haul

** Energie chute de 4,5%. Le secteur chute alors que l'excédent de l'offre de pétrole pour 2025 (link) éclipse la décision de l'OPEP+ de retarder les hausses de production

** Pendant ce temps, le Bitcoin dépasse les 100 000 $ (link) alors que Trump 2.0 alimente l'euphorie cryptographique. Ceci en tant qu'investisseur individuel (link) Les haussiers foncent, les baissiers se recroquevillent, avec les perspectives de bénéfices américains en ligne de mire dans un contexte de valorisations élevées (link)

** La performance du SPX depuis le début de l'année:

Les Bourses occidentales ont fini en hausse vendredi, avec plusieurs records à la clef, après la publication de chiffres d'emploi de bonne tenue aux Etats-Unis, qui ne devraient pas empêcher néanmoins la banque centrale américaine (Fed) de baisser ses taux.

A New York, l'indice Nasdaq (+0,81%) et l'indice élargi S&P 500 (+0,25%) ont enregistré de nouveaux records, tandis que le Dow Jones s'est effrité de 0,28%.

Le rapport mensuel du ministère américain du Travail, très attendu, a donné le ton de la séance.

La première économie du monde a créé 227.000 postes en novembre, soit légèrement plus que les 214.000 attendus par les économistes.

Ce chiffre marque un rebond après les 36.000 créations d'octobre (révisées en hausse vendredi contre 12.000 annoncées initialement), mois qui avait été affecté par les perturbations liées aux ouragans Milton et Hélène.

Le taux de chômage est néanmoins un peu remonté, à 4,2% contre 4,1% en octobre.

"C'est un rapport idéal", a commenté Tom Cahill, de Ventura Wealth Management, dans la mesure où il confirme la santé de l'économie américaine mais est assez mitigé pour ouvrir la voie à une baisse de taux de la Fed.

L'Europe a suivi la même tendance. Francfort a fini en hausse de 0,13%, battant un nouveau record en clôture, pour la quatrième séance consécutive.

Milan a gagné 0,29% et Paris 1,31%, une de ses meilleures progressions des douze derniers mois.

Sur la semaine écoulée, l'indice phare du CAC 40 a pris 2,65%.

"Les marchés avaient anticipé ce qui s'est passé cette semaine en France avec le vote de la motion de censure et la chute du gouvernement Barnier," estime Valérie Rizk.

Les investisseurs ont par ailleurs été rassurés par les déclarations du Premier secrétaire du Parti socialiste Olivier Faure vendredi, prêt à discuter avec les macronistes et la droite sur la base "de concessions réciproques", pour former un nouveau gouvernement qui aurait un "contrat à durée déterminée".

Le taux d'emprunt français à 10 ans reculé à 2,87%, contre 2,89% la veille en clôture.

L'écart avec son équivalent allemand se rétrécissait, à 0,76 point de pourcentage, après avoir frôlé 0,90 point en début de semaine.

"Le CAC rebondit fortement principalement car, après sa forte baisse depuis juin, de nombreux investisseurs font le pari que, compte tenu des éléments connus à ce stade, il n'y a pas de raison que cela se détériore encore," analyse Valérie Rizk.

A la cote, le Nasdaq a profité de la belle journée de Meta (+2,44%), que les intervenants ont recherché après le rejet, par la justice américaine, de l'appel du réseau social TikTok pour empêcher sa vente forcée.

La plateforme contrôlée par le chinois ByteDance va saisir la Cour suprême, mais le temps lui est compté, car le Congrès a fixé au 19 janvier la date limite pour une cession.

Le titre du studio de jeux vidéo français Ubisoft a fini en hausse de 13,07% à Paris vendredi, propulsé par des informations de presse évoquant un rachat par le géant chinois Tencent.

Jointe par l'AFP, Ubisoft indique que "l'entreprise examine toutes ses options stratégiques".

Les cours du pétrole se sont encore repliés, ne trouvant aucun soutien dans les annonces de l'alliance Opep+ pour ménager le marché, tandis que les spéculateurs se positionnent à la baisse.

Le prix du baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en février a lâché 1,35%, à 71,12 dollars.

Le baril de West Texas Intermediate (WTI) américain avec échéance en janvier a lui cédé 1,61%, à 67,20 dollars.

Le bitcoin est repassé au-dessus du seuil des 100.000 dollars, après une première incursion jeudi. Il prenait 1,89%, à 100.912 dollars.

La Bourse de New York a terminé en ordre dispersé vendredi, plutôt optimiste après la publication de chiffres d'emploi de bonne tenue, qui ne devraient pas empêcher néanmoins la banque centrale américaine (Fed) de baisser ses taux.

L'indice Nasdaq (+0,81%) et l'indice élargi S&P 500 (+0,25%) ont enregistré de nouveaux records, tandis que le Dow Jones s'est effrité de 0,28%.

Le rapport mensuel du ministère américain du Travail, très attendu, a donné le ton de la séance.

La première économie du monde a créé 227.000 postes en novembre, soit légèrement plus que les 214.000 attendus par les économistes.

Ce chiffre marque un rebond après les 36.000 créations d'octobre (révisées en hausse vendredi contre 12.000 annoncées initialement), mois qui avait été affecté par les perturbations liées aux ouragans Milton et Hélène.

Le taux de chômage est néanmoins un peu remonté, à 4,2% contre 4,1% en octobre.

"C'est un rapport idéal", a commenté Tom Cahill, de Ventura Wealth Management, dans la mesure où il confirme la santé de l'économie américaine mais est assez mitigé pour ouvrir la voie à une baisse de taux de la Fed.

"Ce rapport nous dit clairement que nous ne sommes pas en train d'entrer en récession", a commenté Gina Bolvin, de Bolvin Wealth Management Group. "Le marché du travail reste en bonne santé et résilient."

Dans le même temps, "l'augmentation du taux de chômage offre l'occasion à la Fed de baisser ses taux en décembre", selon Jeffrey Roach, de LPL Financial.

Les opérateurs attribuent désormais une probabilité de 85% à ce scénario, contre 71% seulement la veille.

Sur le marché obligataire, le rendement des emprunts d'Etat à 2 ans, le plus représentatif des anticipations de la place en matière de politique monétaire, s'est détendu à 4,09%, contre 4,15% jeudi en clôture.

"Le marché du travail décélère, mais il est encore vigoureux, la Réserve fédérale va probablement réduire ses taux et les résultats de sociétés progressent à bonne allure. Tout est en place" pour favoriser les actions, résume Tom Cahill.

"Mais le marché a déjà tellement monté que je ne sais pas s'il peut faire mieux qu'aller un petit peu plus haut d'ici la fin de l'année", prévient l'analyste.

A la cote, le Nasdaq a profité de la belle journée de Meta (+2,44%), que les intervenants ont recherché après le rejet, par la justice américaine, de l'appel du réseau social TikTok pour empêcher sa vente forcée.

La plateforme contrôlée par le chinois ByteDance va saisir la Cour suprême, mais le temps lui est compté, car le Congrès a fixé au 19 janvier la date limite pour une cession.

Tesla a poursuivi son ascension (+5,34%), au lendemain de la visite d'Elon Musk au Congrès pour évoquer avec les élus le travail de la commission ad hoc, le Department of Government Efficiency (DOGE), dont il a été nommé co-responsable.

Elle aura pour mission de rationaliser le fonctionnement du gouvernement et de réaliser, au passage, des économies budgétaires.

Côté Dow Jones, le vénérable indice a été plombé par Chevron (2,57%), qui a annoncé jeudi une réduction de voilure de ses plans d'investissement.

Cette décision intervient sur fond de déséquilibre prévu sur le marché du pétrole en 2025, entre une offre abondante et une demande incertaine

Egalement au sein du Dow Jones, UnitedHealth est resté dans le rouge (-5,07%), toujours affecté par le meurtre, mercredi, du patron de sa branche d'assurance santé, Brian Thompson.

Le décrochage du titre, qui a perdu 10% depuis mercredi, a entraîné la rétrogradation de ce géant de la santé, qui n'est désormais plus que la deuxième pondération du Dow Jones, derrière Goldman Sachs, après avoir longtemps occupé le sommet.

** Le S&P 500 étend sa série de gains à trois semaines, ajoutant 1%

** Le Nasdaq Composite augmente également pour la troisième semaine consécutive, tandis que le Dow met fin à une série de gains de deux semaines

** En effet, le S&P 500 s'appuie sur une année record, mais un obstacle de taille se profile à l'horizon (link), alors que le Nasdaq pourrait devenir (link) trop chaud pour être géré

** Le rendement du Trésor américain à 10 ans , à environ 4,15 %, est sur le point de connaître sa troisième baisse hebdomadaire consécutive; les traders envisagent les niveaux (link)

** En fin de compte, seuls les secteurs de la consommation discrétionnaire, des services de communication et de la technologie progressent, tandis que les secteurs des services publics et de l'énergie baissent le plus

** La consommation discrétionnaire bondit de 5,9%. Lululemon bondit de 25% sur la semaine après avoir relevé ses prévisions annuelles (link) grâce à une forte demande pendant les fêtes, et Ulta Beauty bondit de ~11% après avoir relevé ses prévisions de bénéfices annuels (link)

Tesla en baisse le lundi après que le juge a rejeté (link), une fois de plus, la demande de rétablissement de la rémunération de Musk, mais en hausse le jeudi alors que les analystes augmentent les PTs (link) sur l'optimisme de la croissance en 2025

** Les services de communication augmentent de 4,1%. Meta , propriétaire de Facebook, atteint un record historique après que la cour d'appel américaine a confirmé l'interdiction de TikTok (link)

AT&T atteint son plus haut niveau en 3 ans et demi après des plans d'expansion (link) et des prévisions revues à la hausse

** Tech bondit de 3,3%. Super Micro s'envole de ~35% après que le fabricant de serveurs AI ait déclaré qu'un groupe d'experts n'a trouvé aucune preuve de fraude (link) concernant les pratiques comptables, et Hewlett Packard Enterprise s'envole pour atteindre un record grâce à des résultats solides (link)

Salesforce bondit après que le chiffre d'affaires du 3ème trimestre ait battu (link) et augmenté en raison de la forte demande en matière de cloud

Intel a d'abord bondi après le départ à la retraite de son directeur général Pat Gelsinger (link), mais a ensuite reculé, son départ suscitant des doutes (link) sur les efforts de redressement du fabricant de puces. INTC perd 13 % et connaît sa pire semaine depuis trois mois

Cependant, l'indice des semi-conducteurs progresse de 2,7% sur la semaine

** Le secteur de la santé perd 2%. UnitedHealth chute après des prévisions de bénéfices largement conformes à (link) 2025, et les actions des assureurs prolongent leurs baisses (link) après l'assassinat du directeur général d'UNH

Bien qu'Eli Lilly progresse grâce à la supériorité de son médicament amaigrissant Zepbound (link) par rapport au Wegovy de son rival Novo Nordisk lors d'un essai

** Les services publics baissent de 3,8%. PG&E chute sur 2,4 milliards de dollars de capitaux propres (link) haul

** Energie chute de 4,5%. Le secteur chute alors que l'excédent de l'offre de pétrole pour 2025 (link) éclipse la décision de l'OPEP+ de retarder les hausses de production

** Pendant ce temps, le Bitcoin dépasse les 100 000 $ (link) alors que Trump 2.0 alimente l'euphorie cryptographique. Ceci en tant qu'investisseur individuel (link) Les haussiers foncent, les baissiers se recroquevillent, avec les perspectives de bénéfices américains en ligne de mire dans un contexte de valorisations élevées (link)

** Performance du SPX depuis le début de l'année: