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Coach de trading en chef et conférencier BeingTrader, plus de 8 ans d'expérience dans le trading du marché des changes, principalement XAUUSD, EUR/USD, GBP/USD, USD/JPY et pétrole brut. Un trader et analyste confiant qui vise à explorer diverses opportunités et à guider les investisseurs sur le marché. En tant qu'analyste, je cherche à améliorer l'expérience du trader en le soutenant avec suffisamment de données et de signaux.
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Risk Warning on Trading HK Stocks
Despite Hong Kong's robust legal and regulatory framework, its stock market still faces unique risks and challenges, such as currency fluctuations due to the Hong Kong dollar's peg to the US dollar and the impact of mainland China's policy changes and economic conditions on Hong Kong stocks.
HK Stock Trading Fees and Taxation
Trading costs in the Hong Kong stock market include transaction fees, stamp duty, settlement charges, and currency conversion fees for foreign investors. Additionally, taxes may apply based on local regulations.
HK Non-Essential Consumer Goods Industry
The Hong Kong stock market encompasses non-essential consumption sectors like automotive, education, tourism, catering, and apparel. Of the 643 listed companies, 35% are mainland Chinese, making up 65% of the total market capitalization. Thus, it's heavily influenced by the Chinese economy.
HK Real Estate Industry
In recent years, the real estate and construction sector's share in the Hong Kong stock index has notably decreased. Nevertheless, as of 2022, it retains around 10% market share, covering real estate development, construction engineering, investment, and property management.
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Le fabriquant allemand Lilium, pionnier dans le développement d'avions-taxis électriques, évite la liquidation grâce à un repreneur trouvé in extremis après un vif débat sur la capacité de l'Allemagne à soutenir de jeunes entreprises innovantes.
C'est un consortium "expérimenté d'investisseurs européens et nord-américains", dont l'identité n'est pas dévoilée, qui vient à la rescousse de l'une des start-up les plus en vue du pays, a annoncé mardi l'entreprise fondée en 2015 en Bavière.
Mobile Uplift Corporation GmbH, l'entité repreneuse enregistrée à Munich (sud), va acquérir les actifs de Lilium pour un montant non dévoilé.
Dans un secteur aérien mis au défi de réduire ses émissions de CO2, Lilium développe des jets électriques à décollage vertical promettant de transporter quatre à six passagers sur des distances allant jusqu'à 175 kilomètres, à une vitesse de 250 km/h.
Le sort de cette jeune pousse, qui avait déposé le bilan en octobre faute de liquidités, a suscité un vif débat en Allemagne, les uns y voyant un futur champion technologique abandonné par les pouvoirs publics, les autres se montrant sceptiques sur la solution technique et industrielle proposée par Lilium.
- Promesses non tenues -Après le refus des députés allemands, cet automne, de contribuer au sauvetage de l'entreprise avec une garantie de 50 millions d'euros, la polémique s'était enflammée.
"Financer un appareil destiné aux riches avec l'argent des contribuables est une idée controversée en politique", avait commenté le journal économique Handelsblatt.
"C'est à cause d'eux que la créativité allemande se délocalise aux États-Unis, en France ou en Chine", avait tonné le chef du gouvernement régional de Bavière, Markus Söder, favorable à une aide publique.
La question est d'autant plus sensible dans une Allemagne qui doit réinventer son modèle économique et miser sur des industries d'avenir au moment où les secteurs traditionnels comme l'automobile et la chimie battent de l'aile.
Lilium était jusqu'alors financé uniquement par des investisseurs privés des États-Unis et de Chine, qui ont couvert près de 1,5 milliard de dollars de pertes cumulées à ce jour.
"Aucun programme aéronautique réussi au monde n'a jamais été mené sans un soutien public" aux côtés de fonds privés, estimait en octobre le patron de Lilium, Klaus Roewe, prenant l'exemple d'Airbus chez qui il a passé 30 ans de sa carrière.
Mais le financement n'est pas seul en cause, jugent les plus critiques : Lilium "ne s'est pas effondré à cause de l'absence d'une intervention étatique, mais en raison de l'incapacité à fournir des résultats concrets après des années de financement", observe le quotidien Süddeutsche Zeitung.
Alors qu'il y a trois ans, au moment de son entrée en Bourse, Lilium promettait un lancement commercial de ses avions en 2024, celui-ci est désormais annoncé pour 2026 avec un premier vol habité au début de l'année 2025.
- Ignorer le nouveau Tesla -Le repreneur présenté mardi constitue "une avancée majeure", assure Klaus Roewe dans un communiqué.
La finalisation de la transaction début janvier devrait permettre la reprise des activités et des quelque 800 salariés renvoyés vendredi dernier.
Lilium revendique une centaine de commandes fermes, dont 50 en provenance de la compagnie aérienne publique saoudienne Saudia, et environ 700 pré-commandes dans le monde.
En parallèle, l'entreprise avait annoncé au printemps un investissement en France pour une usine d'assemblage et de fabrication de batteries.
Dans le même secteur, Volocopter, un autre acteur majeur de la mobilité aérienne en Allemagne, fait face aussi à des difficultés.
Son patron, Dirk Hoke, estime que le débat sur le développement de cette industrie est une "erreur", alors que la Chine a fait de ce secteur une priorité nationale et que d'autres pays, comme les États-Unis, développent déjà les infrastructures nécessaires.
Même constat pour Daniel Wiegand, un des fondateurs de Lilium : "il est fondamentalement faux de dire : prouvez-moi d'abord que toute la technologie est là, et ensuite j'investirai. C'est exactement l'erreur que nous commettons trop souvent ici en Allemagne (...) On ne peut pas investir seulement lorsque le risque est nul", disait-il dans une interview cet automne.
Ajoutant : "les critiques bruyants d'aujourd'hui sont les mêmes qui ne croyaient pas au succès de SpaceX ou Tesla il y a 20 ans".
Les flux de fonds des investisseurs individuels américains vers Novo Nordisk ont été multipliés par 32 vendredi, les données plus faibles que prévu sur le médicament contre l'obésité du fabricant danois offrant une rare opportunité d'achat, selon Vanda Research.
Les flux nets quotidiens ont grimpé à 15,6 millions de dollars, contre 0,49 million de dollars un jour plus tôt, après que les données très attendues (link) ont montré que le médicament expérimental de Novo , CagriSema, a aidé les patients à réduire leur poids de 22,7 %, soit moins que les 25 % prévus.
Novo est en concurrence avec son rival américain Eli Lilly sur le marché florissant des traitements amaigrissants, dont les recettes devraient dépasser 150 milliards de dollars au cours de la prochaine décennie.
"Les investisseurs particuliers aiment acheter des baisses, en particulier dans les actions populaires, et le font jusqu'à ce que cela ne fonctionne plus", a déclaré Marco Iachini, vice-président senior de la recherche chez Vanda.
Les actions de Novo Nordisk ont chuté de 27 % vendredi, effaçant plus de 100 milliards de dollars de valeur de marché. Ses actions cotées en bourse aux États-Unis ont chuté de 21 % pour atteindre 81,50 dollars, leur niveau le plus bas depuis août 2023.
"À l'heure actuelle, Novo a seulement plongé en dessous de la performance du S&P 500 pour la première fois en deux ans, il est donc probablement trop tôt pour les voir (. Les investisseurs particuliers) abandonnent leur parti pris d'achat à la baisse", a-t-il déclaré. Les flux de détail de vendredi ont probablement permis aux investisseurs institutionnels de se retirer.
Les fonds provenant des investisseurs particuliers ont atteint un sommet de 23,5 millions de dollars le 7 mars, selon les données de Vanda, après qu'une étude sur (link), le médicament à base d'amycrétine de Novo, ait aidé des patients obèses à perdre 13 % de leur poids.
Le succès du Wegovy de Novo et du Zepbound de Lilly, deux médicaments amaigrissants, a ravivé l'intérêt des détaillants pour le secteur de la santé.
"Avec leur produit GLP-1 sur le marché et Eli Lilly qui fait beaucoup parler de lui... beaucoup d'investisseurs particuliers connaissent Lilly", a déclaré Sel Hardy, vice-présidente de la recherche sur les actions chez CFRA.
Elle a suggéré qu'une liquidation, comme la chute des actions de Lilly en octobre (link) et à la mi-novembre (link), pourrait constituer "un point d'entrée intéressant" pour les investisseurs individuels
Selon Vanda, les flux nets des particuliers vers Lilly ont dépassé ceux de Novo au cours du second semestre 2024.
Pour Lilly, les achats nets au détail ont atteint un sommet en août après que les ventes de médicaments pour la perte de poids aient dépassé 1 milliard de dollars pour le trimestre, entraînant une augmentation des prévisions de 3 milliards de dollars.
Toutefois, l'activité de vente au détail de ces actions est inférieure à celle des géants de la technologie tels que Nvidia et Tesla , où l'activité atteint souvent les dix-huit heures.
Les Bourses mondiales s'orientent calmement à la hausse mardi, tout près de la fermeture de Noël, dans une séance où les volumes de transactions sont faibles.
Les places boursières du Vieux Continent, Paris (+0,14%) et Londres (+0,42%) ont fermé en légère hausse, clôturant une séance écourtée pour les fêtes de Noël.
La Bourse de Francfort, elle, est fermée. Les trois places ouvriront à nouveau vendredi.
A 14H00 GMT, les contrats à terme à Wall Street permettaient d'envisager une ouverture en timide hausse pour le Nasdaq (+0,28%) et l'indice élargi S&P 500 (+0,14%), quand le Dow Jones lorgnait sur l'équilibre à -0,04%, juste avant une séance également tronquée.
La période des fêtes de fin d'année est "habituellement une période très calme" sur les marchés, indique Alexandre Baradez, responsable de l'analyse marchés chez IG France.
Et cette journée ne semble pas déroger à la règle, caractérisée notamment par un faible volume de transactions.
La séance est orientée à la hausse, les investisseurs commençant "à faire fi des mauvaises nouvelles de la semaine dernière", observe Ipek Ozkardeskaya, analyste pour Swissquote Bank.
Les places boursières mondiales reprennent pied après avoir été plombées par le ralentissement souhaité mercredi par la Réserve fédérale américaine des baisses de ses taux directeurs. L'institution monétaire table désormais sur deux baisses plutôt que quatre en 2025.
Mais la publication vendredi d'un indicateur d'inflation américain très suivi par la Fed a rassuré les investisseurs, suscitant l'espoir de davantage de baisse de taux.
Sur la même lancée, d'autres données publiées lundi "montrent que les commandes de biens durables ont chuté plus que prévu en novembre" et que "la confiance des consommateurs a chuté de manière inattendue en décembre" aux États-Unis, rapporte Ipek Ozkardeskaya.
Aux yeux des investisseurs, "cet ensemble de mauvaises nouvelles a contribué à tempérer le dernier virage" pris par la Fed, complète-t-elle.
Cependant, "je ne vois pas M. Powell (le président de la Fed, NDLR) changer de message d'une réunion à l'autre", tempère Alexandre Baradez, responsable de l'analyse marchés chez IG France.
Selon lui, le "marché a lâché et tente de rebondir", un rebond qui "peut durer quelques jours" avant que le marché ne subisse une prochaine "vague".
D'où la prudence perceptible sur les marchés européens et américains mardi.
Signe de reprise plus franche, la plupart des marchés asiatiques ont fini en nette hausse : Shanghai à +1,26%, Shenzhen +1,27% et Hong Kong +1,08%.
La Bourse de Tokyo a, elle, dénoté en finissant en légère baisse de 0,32%.
Le pétrole remonteLes prix du pétrole remontent légèrement mardi, emportés eux aussi par un léger optimisme précédant les fêtes de Noël, période d'échanges réduits sur les marchés.
Vers 13H50 GMT, le prix du baril de Brent de la mer du Nord prend 0,85% à 73,25 dollars.
Son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate (WTI) monte de 0,91% à 69,87 dollars.
Le dollar restait à peine dans le vert mardi, encore soutenu par les perspectives de moindres baisses de taux de la Réserve fédérale (Fed), en cette période d'échanges limités avant les jours fériés de Noël.
Vers 13H50 GMT, le billet vert s'accordait tout juste 0,03% par rapport à la monnaie européenne, à 1,0403 dollar, et perdait 0,23% face à la devise britannique, à 1,2564 dollar.
Le bitcoin s'établissait à 95.425 dollars.
Honda roule des mécaniques, Renault profiteHonda voyait son titre s'envoler de plus de 16% vers 02H30 GMT à la Bourse de Tokyo, après avoir annoncé qu'il allait massivement racheter ses propres actions. Le géant japonais de l'automobile a terminé à +12,22%.
La veille, le groupe a ouvert des négociations avec son rival en difficulté Nissan (+6,00%) en vue de fusionner et de donner naissance au numéro trois mondial du secteur, dont la cotation débuterait en août 2026.
Le français Renault, qui détient encore 17% de Nissan en direct et 18,6% via une fiducie, pour un total de plus de 35%, a enregistré une hausse de 1,77% .
La Bourse de Paris a terminé en légère hausse mardi dans une séance écourtée, les investisseurs se montrant plus optimistes et calmes à la veille de deux jours de fermeture pour les congés de Noël.
Le CAC 40 a fini à 0,14%, à 7.282,69 points.
La veille, l'indice vedette de la place parisienne avait terminé stable (-0,03%) à 7.272,32 points.
La Bourse de Paris restera close toute la journée mercredi et jeudi.
La séance s'est orientée à la hausse, les investisseurs commençant "à faire fi des mauvaises nouvelles de la semaine dernière", observe Ipek Ozkardeskaya, analyste pour Swissquote Bank.
La Fed, puissante institution monétaire américaine a fait savoir mercredi qu'elle ne prévoit plus quatre mais deux baisses de ses taux directeurs en 2025.
La nouvelle a plombé les marchés.
Toutefois, plusieurs indicateurs macroéconomiques américains publiés vendredi puis lundi ont constitué "un ensemble de mauvaises nouvelles" pour l'économie, mais ont d'autre part rassuré les investisseurs et ainsi "contribué à tempérer le dernier virage" de la Fed, complète Ipek Ozkardeskaya.
Ainsi, le marché parisien donne des signes d'optimisme, tout en restant "méfiant", observe Alexandre Baradez, responsable de l'analyse marchés chez IG France.
Le marché ne semble pas avoir spécialement donné de crédit à la présentation du nouveau gouvernement par le Premier ministre François Bayrou lundi soir.
"Maintenant, ce sont les actes qui comptent pour les marchés", indique-t-il.
Les valeurs technologiques aux avant-postesLes valeurs technologiques ont évolué en hausse à Paris, STMicroelectronics a pris 1,07%, Dassault Systèmes 1,12%, ou encore Teleperformance 0,12%, dans le sillage de la Bourse de New York, où les fleurons des semi-conducteurs Broadcom (+5,52%) et Nvidia (+3,69%) ou encore Tesla (+2,27%) ont été aux avant-postes lundi.
Carmat rachète des actionsLa société Carmat (+1,15%), qui produit et commercialise un coeur artificiel, a annoncé lundi avoir racheté pour un euro symbolique deux millions de ses propres actions auprès du groupe Airbus (-0,13%), l'un de ses actionnaires de longue date, pour réduire sa dette. Le rachat à Matra-Défense (groupe Airbus) pour un euro symbolique concerne "2 millions d'actions" sur un total de 2,67 millions de titres encore détenus.
Les Bourses européennes avancent en légère hausse mardi, renouant avec l'optimisme avant la trêve de Noël et suivant des marchés asiatiques plutôt atones, dans une séance caractérisée par un volume d'échanges faible.
Les places boursières du Vieux Continent, Paris (+0,38%) et Londres (+0,33%) enregistraient une légère hausse à 09H00 GMT.
La séance sera écourtée pour ces deux places qui fermeront vers 13H00 GMT. La Bourse de Francfort, elle, garde le rideau baissé toute la journée, inaugurant la pause de Noël pour les marchés.
Les investisseurs commencent "à faire fi des mauvaises nouvelles de la semaine dernière", observe Ipek Ozkardeskaya, analyste pour Swissquote Bank.
Les places boursières mondiales reprennent progressivement pied après avoir été plombées par de nouvelles perspectives monétaires de la Réserve fédérale américaine (Fed) livrées mercredi.
Compte tenu de la résilience de l'économie américaine, elle ne prévoit plus que deux baisses de ses taux directeurs en 2025 contre quatre auparavant, a informé la semaine dernière le président de la puissante institution monétaire.
Mais la publication vendredi d'un indicateur d'inflation américain très suivi par la Fed et moins élevé que prévu a rassuré les investisseurs, suscitant l'espoir de davantage de baisse de taux.
Sur la même lancée, d'autres données publiées lundi "montrent que les commandes de biens durables ont chuté plus que prévu en novembre, que les ventes de logements neufs ont rebondi un peu moins que prévu et que la confiance des consommateurs a chuté de manière inattendue en décembre" aux États-Unis, rapporte Ipek Ozkardeskaya.
Aux yeux des investisseurs, "cet ensemble de mauvaises nouvelles a contribué à tempérer le dernier virage" pris par la Fed, complète-t-elle.
Les marchés européens suivent ainsi la dynamique asiatique qui ont fini en nette hausse pour la plupart.
L'indice composite à Shanghai a gagné 1,26%, et celui de Shenzhen 1,27%. La Bourse de Hong Kong a interrompu ses échanges à mi-séance, terminant à +1,08%.
La Bourse de Tokyo, elle, évoluait dans une fourchette étroite et dénote en finissant en légère baisse de 0,32%.
"C'est la période de l'année où il y a beaucoup d'agitation (en termes d'informations) mais peu ou pas de signaux orientant les prix", observe Kyle Rodda, analyste de Capital.com cité par Bloomberg.
Il décrit "une journée plutôt calme" en Asie comme ailleurs, avant "un reste de la semaine sans histoire, car une grande partie des marchés se déconnectent pour les fêtes de fin d'année".
Les valeurs technologiques aux avant-postesDans le sillage de la Bourse de New York, où les fleurons des semi-conducteurs Broadcom (+5,52%) et Nvidia (+3,69%) ou encore Tesla (+2,27%) ont été aux avant-postes lundi, les valeurs technologiques se portent bien en Europe. A Paris, à 08H55 GMT, STMicroelectronics prenait 1,84%, Dassault Systèmes 1,03%, ou encore Teleperformance 1,02%.
Honda roule des mécaniquesHonda voyait son titre s'envoler de plus de 16% vers 02H30 GMT à la Bourse de Tokyo, après avoir annoncé qu'il allait massivement racheter ses propres actions. Le géant japonais de l'automobile a terminé à +12,22%.
Le constructeur va racheter, à partir de début janvier, jusqu'à 23,7% des actions précédemment émises par le groupe pour un montant maximal de 1.100 milliards de yens (6,72 milliards d'euros).
Cette annonce intervient alors que le groupe a ouvert lundi des négociations avec son rival en difficulté Nissan (+6,00%) en vue de fusionner et de donner naissance au numéro trois mondial du secteur, dont la cotation débuterait en août 2026.
Le français Renault, qui détient encore 17% de Nissan en direct et 18,6% via une fiducie, pour un total de plus de 35%, enregistrait une hausse de 1,62% à 08H50 GMT.
Le pétrole remonteLe cours du pétrole remontent mardi après avoir trébuché la veille. Le prix du baril de Brent de la mer du Nord, pour livraison en février, a rebondi de 0,69% à 73,13 dollars à 08H40 GMT.
Son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate (WTI), pour livraison le même mois, a regagné 0,69% également, à 69,72 dollars.
Du côté des devises, le dollar gagnait 0,96% par rapport à l'euro, à 1,0404 dollar pour un euro.
Vers 08H40 GMT, le bitcoin s'établissait à 94.222 dollars.
Les principales Bourses européennes sont attendues en hausse mardi à l'ouverture avant la trêve des confiseurs et pour une demi-séance sur Euronext.
Les contrats à terme suggèrent une ouverture en progression de 0,4% pour le CAC 40 parisien , contre une hausse de 0,5% pour le FTSE à Londres CURRENCYCOM:UK100, un déclin de 0,2% pour le Dax à Francfort , et une revalorisation de 0,04% pour l'EuroStoxx 50 .
Les investisseurs profitent de derniers catalyseurs lors d'une demi-séance qui s'annonce très calme en raison des fêtes de Noël et sera marquée par peu de volumes d'échanges sur les principales Bourses européennes.
Les marchés profitent toutefois de la clôture positive à Wall Street hier, tirée par les méga-capitalisations, après une séance marquée lundi par de faibles pertes et les commentaires de Christine Lagarde, présidente de la Banque centrale européenne (BCE), selon laquelle l'institution est "très proche" d'atteindre son objectif d'inflation à moyen terme.
Les investisseurs devraient aussi bien accueillir la composition du gouvernement Bayrou annoncée lundi soir, avec notamment la nomination d'Eric Lombard, jusqu'ici directeur général de la Caisse des dépôts et consignations (CDC), au poste de ministre de l'Economie et des Finances.
Ailleurs dans le monde, après un calendrier chargé en termes de publications de données et de prises de parole de responsables de politique monétaire, les prochaines séances s'annoncent calmes outre-Atlantique.
C'est du côté de la Chine que les investisseurs européens devraient trouver des signaux positifs, le ministre des Finances ayant déclaré mardi que Pékin voulait augmenter son déficit budgétaire et ses dépenses fiscales et globales en 2025 pour stabiliser la croissance.
LES VALEURS A SUIVRE :
A WALL STREET
La Bourse de New York a fini en hausse lundi, portée par les Sept Magnifiques du secteur de la tech, dans une semaine raccourcie par les fêtes de fin d'année.
L'indice Dow Jones a gagné 0,16%, ou 66,69 points, à 42.906,95 points.
Le Standard & Poor's 500 , plus large, a pris 43,22 points, soit 0,73% à 5.974,07 points.
Le Nasdaq Composite a avancé de son côté de 192,29 points, soit 0,98% à 19.764,885 points.
Meta Platforms , Nvidia , Tesla et Alphabet (GOOGLE.O), la maison mère de Google, ont tous terminé en hausse, entre 2,3% et 3,7%.
EN ASIE
La Bourse de Tokyo a terminé en baisse après plusieurs séances de gains tandis que les actions chinoises sont portées par les valeurs bancaires.
La Bourse de Tokyo a terminé en baisse de 0,32%.
L'indice hongkongais Hang Seng progresse de 1,08%, le SSE Composite de Shanghai se renforce de 0,81%, le CSI 300 3 inscrit une hausse de 0,84%.
TAUX
Les rendements obligataires américains sont légèrement à la baisse mardi, les investisseurs digérant les perspectives monétaires après les dernières déclarations de responsables et dernières données.
Le rendement du Treasury à dix ans décline de 0,6 pb à 4,5927%, tandis que le rendement du titre à deux ans (US2YT=RR) abandonne 0,7 pb à 4,3427%.
CHANGES
Le billet vert se maintient à près d'un plus haut de deux ans aidé par les rendements élevés du Trésor américain, les investisseurs se préparant à moins de réductions de taux de la Réserve fédérale en 2025.
Le dollar gagne 0,07% face à un panier de devises de référence , l'euro s'érode de 0,13% à 1,0391 dollar, et la livre sterling est stable à 1,2533 dollar.
En Asie, le yen recule de 0,11% à 156,99 yens pour un dollar, le dollar australien cède 0,14% à 0,6237 dollar.
PÉTROLE
Le pétrole évolue en hausse mardi matin soutenu par les perspectives plutôt positives aux Etats-Unis après de récentes données jugées rassurantes.
Le Brent progresse de 0,45% à 72,96 dollars le baril, le brut léger américain (West Texas Intermediate, WTI) se renchérit de 0,42% à 69,53 dollars.
PAS D'INDICATEURS MAJEURS A L'AGENDA DU 24 DÉCEMBRE
La Bourse de New York a terminé dans le vert lundi, arrimée à quelques valeurs phares du secteur technologique mais sans enthousiasme, au début d'une semaine de fêtes qui s'annonce calme.
Le Dow Jones a emmagasiné 0,16%, l'indice Nasdaq 0,98% et l'indice élargi S&P 500 0,73%.
Après avoir démarré dans le rouge, le marché s'est repris progressivement au fil de la journée.
"Je ne tirerais pas de conclusion" de cette séance, a prévenu Steve Sosnick, d'Interactive Brokers, notamment parce qu'elle a été marquée par un volume d'échanges faible.
Nombre d'intervenants ont déjà déserté le marché, avant une séance de mardi qui sera amputée de trois heures et un jour férié, Noël, mercredi.
"On cherchait une direction au départ, puis les valeurs technologiques ont pris la main", a expliqué Steve Sosnick.
Les fleurons des semi-conducteurs Broadcom (+5,52%) et Nvidia (+3,69%) ont ainsi été aux avant-postes, de même que Tesla (+2,27%).
Pour Steve Sosnick, le fait que ces trois titres aient été particulièrement recherchés tient au fait que leur poids a été revu en baisse au sein de l'indice Nasdaq 100, un ajustement technique consécutif à la forte appréciation de leur valeur.
La place new-yorkaise est montée malgré un nouveau coup de chaud des taux obligataires. Le rendement des emprunts d'Etat américains à 10 ans a grimpé jusqu'à 4,60%, une première depuis près de sept mois, contre 4,52% vendredi soir en clôture.
Les investisseurs ont aussi ignoré les deux indicateurs du jour, à savoir la baisse plus nette que prévu des commandes de biens durables en novembre et le repli inattendu de l'indice de confiance des consommateurs de l'association professionnelle Conference Board.
"On dit souvent qu'il ne faut pas parier contre un marché sans entrain, donc personne n'est allé contre", a fait valoir Steve Sosnick.
Le Dow Jones n'a dû de finir en positif qu'à quelques-uns de ses membres, notamment, outre Nvidia, les financières comme Goldman Sachs (+0,83%) et JPMorgan Chase (+0,33%).
Les banques étaient stimulées par l'environnement de taux élevés ainsi que par une annonce de la banque centrale américaine (Fed), qui a présenté lundi des aménagements dans ses tests de résistance (stress tests), destinés à mesurer leur capacité à surmonter une crise financière.
Toujours au rebond après la très mauvaise passe qui a suivi le meurtre du patron de sa branche d'assurance santé, Unitedhealth Group (+1,24%) a aussi donné un coup de main.
Au rayon semi-conducteur, Qualcomm a aussi été de la fête (+3,50%), soutenu par la décision d'un jury fédéral du Delaware, qui a donné raison à la société de San Diego (Californie) dans son contentieux avec le concepteur de puces informatiques Arm (-4,00%).
La plateforme de vidéos en ligne Rumble, prisée des conservateurs, s'est envolée (+81,22%) après que iFinex, la société qui contrôle le "stablecoin" Tether (monnaie numérique arrimée à une devise classique en l'occurence le dollar), s'est engagée à investir 775 millions de dollars dans la start-up.
L'enseigne de grands magasins Nordstrom se repliait (-1,47%) après l'annonce de son retrait de la cote par les héritiers de la famille fondatrice associés au groupe mexicain de distribution El Puerto de Liverpool.
L'offre des deux partenaires valorise le groupe 6,25 milliards de dollars.
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