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J'ai 5 ans d'expérience en analyse financière, notamment dans les aspects d'évolution macroéconomique et de jugement de tendances à moyen et long terme. Je me concentre principalement sur l'évolution du Moyen-Orient, des marchés émergents, du charbon, du blé et d'autres produits agricoles.
Coach de trading en chef et conférencier BeingTrader, plus de 8 ans d'expérience dans le trading du marché des changes, principalement XAUUSD, EUR/USD, GBP/USD, USD/JPY et pétrole brut. Un trader et analyste confiant qui vise à explorer diverses opportunités et à guider les investisseurs sur le marché. En tant qu'analyste, je cherche à améliorer l'expérience du trader en le soutenant avec suffisamment de données et de signaux.
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Risk Warning on Trading HK Stocks
Despite Hong Kong's robust legal and regulatory framework, its stock market still faces unique risks and challenges, such as currency fluctuations due to the Hong Kong dollar's peg to the US dollar and the impact of mainland China's policy changes and economic conditions on Hong Kong stocks.
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The Hong Kong stock market encompasses non-essential consumption sectors like automotive, education, tourism, catering, and apparel. Of the 643 listed companies, 35% are mainland Chinese, making up 65% of the total market capitalization. Thus, it's heavily influenced by the Chinese economy.
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In recent years, the real estate and construction sector's share in the Hong Kong stock index has notably decreased. Nevertheless, as of 2022, it retains around 10% market share, covering real estate development, construction engineering, investment, and property management.
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** Le S&P 500 met fin à une série de quatre semaines de pertes, rebondissant de 0,5 %
** Le Dow Jones gagne environ 1 %, termine en hausse pour la première fois en trois semaines, tandis que l'indice composite Nasdaq enregistre une légère hausse de 0,2 % pour sa première progression en cinq semaines
** En tout état de cause, le changement de saison pourrait-il déclencher un nouveau départ ?
** Et malgré une semaine agitée pour le SPX et l'IXIC, qui a connu de fortes baisses, les plus bas de la semaine dernière restent intacts
** En effet, dans un contexte de refroidissement des corrélations (.COR3M), les actions ont fait un retour en force par rapport aux creux de la mi-mars
** Le rendement des bons du Trésor américain à 10 ans , qui se situe désormais autour de 4,25 %, a toujours la tête dans les nuages
** Au final, cependant, seule une minorité de secteurs se démarque; l'énergie et la finance sont en plein essor, tandis que les valeurs défensives sont en baisse
** L'énergie progresse de 3,2 %. Le secteur augmente en raison de la hausse des prix du brut après la promesse des États-Unis de continuer à attaquer les Houthis au Yémen, les nouvelles sanctions contre l'Iran et le resserrement attendu de l'offre
* * Finance en hausse de 1,9 %. Berkshire Hathaway augmente ses participations dans des maisons de commerce japonaises; les actions atteignent un niveau record
** Santé en hausse de 1,1 %. Bien qu'Incyte baisse après que le médicament expérimental contre une maladie de la peau ait atteint l'objectif principal de deux essais distincts de phase avancée, il a toutefois significativement sous-performé par rapport aux études précédentes d'
** Industrials en hausse de 0,8 %. Boeing grimpe après avoir remporté le contrat de l'avion de chasse américain , tandis que son concurrent Lockheed Martin chute
À l'inverse, FedEx chute après avoir revu à la baisse ses prévisions de chiffre d'affaires pour l'année, en raison des perspectives incertaines de l'économie américaine
** Les biens de consommation discrétionnaire sont essentiellement stables. Bien que Nike chute après des prévisions de chiffre d'affaires s sombres
Tesla augmente Weds après une chute de près de 10 % au cours des deux dernières séances, et rebondit vendredi après que Musk ait recommandé aux employés d' de conserver leurs actions. Néanmoins, TSLA termine en baisse pour la neuvième semaine consécutive
** Tech baisse de 0,1 %. Nvidia chute après l' du directeur général lors de la conférence annuelle des développeurs de logiciels de la société; les préoccupations concernant les coûts de l'IA pèsent
Le fabricant de puces mémoire Micron chute en raison de prévisions prudentes de marge brute d'
L'indice des semi-conducteurs chute de 0,9 %
Accenture s'effondre en raison des contrats de conseil en retardés et annulés, la nouvelle administration américaine limitant les dépenses
** Les services de communication en baisse de 0,1 %. Alphabet chute après l'accord de 32 milliards de dollars de Google pour racheter l'entreprise de sécurité cloud Wiz
Les actions Meta Platforms , propriétaire de Facebook, sont en baisse pour la première fois en 2025
** Matériaux en baisse de 0,3 %. Le sidérurgiste Nucor chute après une prévision de bénéfices trimestriels pessimiste d'
* * Les biens de consommation de base en baisse de 0,3 %. General Mills chute après avoir réduit ses prévisions de ventes et de bénéfices annuels en raison du ralentissement de la demande de snacks
** Pendant ce temps, les baisses individuelles des investisseurs flottent, les hausses languissent
** Performance du SPX depuis le début de l'année:
Énergie | 7.3 % |
Santé | 6.2 % |
Services publics | 3.2 % |
Services financiers | 2.0 % |
Matériaux | 1.6 % |
Immobilier | 1.4 % |
Agrafes | 1.2 % |
Industriels | 0.1 % |
Services aux collectivités | -3,5 % |
SPX | -3,6 % |
Technologie | -9,5 % |
Discretionnaire | -13,9 % |
La Bourse de New York a terminé en hausse vendredi après un rebond de dernière minute, les inquiétudes commerciales continuant toutefois de peser sur le marché, alors même que Donald Trump a évoqué une éventuelle "flexibilité" des droits de douane.
Le Dow Jones (+0,08%) et l'indice élargi S&P 500 (+0,08%) ont tous les deux terminé proche de l'équilibre, tandis que l'indice Nasdaq a gagné 0,52%.
"Il y a assurément une certaine hésitation sur le marché, car il y a encore beaucoup d'incertitudes commerciales", commente auprès de l'AFP Angelo Kourkafas, d'Edward Jones.
Les derniers commentaires de Donald Trump sur les droits de douane ont pris les marchés par surprise.
Concernant les surtaxes douanières, "je ne change rien, mais le mot flexibilité est un mot important (...) il y aura de la flexibilité, mais en principe, c'est réciproque", a déclaré le président américain vendredi devant des journalistes dans le Bureau ovale.
La veille, la porte-parole de la Maison Blanche, Karoline Leavitt, avait annoncé lors d'un point-presse que les droits de douane dits "réciproques" seraient bien effectifs à compter du 2 avril.
Les droits de douane "réciproques" consistent à appliquer aux produits entrant aux Etats-Unis depuis un pays le même niveau de taxation que celui appliqué par ledit pays sur les produits américains entrant sur son territoire.
"Il est difficile de savoir" quelle direction prendre, "étant donné que les informations changent constamment", estime M. Kourkafas.
"Il semble que les détails du plan sont encore en cours d'élaboration, mais nous en saurons plus dans les jours et les semaines à venir", ajoute l'analyste, tout en estimant que cela pourrait "maintenir un niveau de volatilité élevé" sur le marché.
La séance de ce vendredi marquait aussi l'expiration trimestrielle pour plusieurs catégories d'options et contrats à terme, ce qui se traduit "par un volume [d'échanges] important", que ce soit à la hausse ou à la baisse, selon Patrick O'Hare, de Briefing.com.
Sur le marché obligataire, le rendement des emprunts d'Etat américains à dix ans s'est très légèrement tendu à 4,25% contre 4,24% la veille en clôture.
Côté entreprise, une partie de la faiblesse du début de séance était liée à des résultats d'entreprises jugés décevants dont ceux de FedEx et de Nike.
Le groupe américain de livraison de plis et colis FedEx (-6,46%) a pâti d'un abaissement de ses prévisions annuelles face à la "faiblesse de l'économie américaine" et aux "incertitudes".
De son côté, le fabricant américain de vêtements et d'équipements sportifs Nike (-5,46%) a publié des résultats en baisse sur un an.
Son directeur financier, Matthew Friend, s'attend à un chiffre d'affaires en recul d'environ 15% au trimestre en cours. Il a souligné l'"incertitude" liée à l'environnement opérationnel, au niveau géopolitique, avec les nouveaux droits de douane, "des taux de change et des réglementations fiscales volatils" ainsi que d'autres facteurs macroéconomiques pesant sur la confiance des consommateurs.
Boeing a été recherché (+3,06%) après que Donald Trump a annoncé vendredi la signature d'un contrat avec le groupe pour une nouvelle génération d'avions de combat furtifs, baptisée F-47.
Ce contrat est une aubaine pour Boeing, qui traverse une crise profonde depuis plusieurs années en raison notamment de problèmes de qualité de sa production et d'une grève de plus de cinquante jours qui a paralysé ses deux principales usines en 2024.
Le groupe de défense américain Lockheed Martin, en concurrence avec Boeing pour ce contrat, a quant à lui chuté de 5,79%.
Dans les semiconducteurs, Micron Technology a plongé de 8,04% malgré la publication de résultats et prévisions supérieurs aux attentes des analystes, notamment un chiffre d'affaires de 8,8 milliards de dollars pour le trimestre en cours.
La Bourse de New York a fini en légère hausse vendredi après avoir passé l'essentiel de la séance dans le rouge, après des propos jugés accommodants de Donald Trump sur la politique commerciale des Etats-Unis.
L'indice Dow Jones a gagné 0,08%, ou 32,03 points, à 41.985,35 points.
Le S&P-500 , plus large, a pris 4,67 points, soit lui aussi 0,08%, à 5.667,56 points, après avoir cédé plus de 1% en cours de séance.
Le Nasdaq Composite a avancé de son côté de 92,43 points (0,52%) à 17.784,051 points.
Sur la semaine, le Dow a pris 1,2%, le S&P-500 0,5% et le Nasdaq 0,17%. Pour ce dernier, il s'agit de justesse de la première progression hebdomadaire après quatre semaines consécutives de repli.
Alors que Wall Street souffre depuis des semaines des incertitudes créées par les annonces parfois contradictoires de Donald Trump sur les droits de douane américains et leur calendrier de mise en oeuvre, le président des Etats-Unis a un peu rassuré les investisseurs vendredi en promettant de faire preuve de souplesse et en évoquant un entretien la semaine prochaine entre Jamieson Greer, représentant américain au Commerce, et son homologue chinois.
A l'approche de la saison des résultats trimestriels le mois prochain, de nombreuses entreprises américaines revoient néanmoins leurs perspectives à la baisse.
FedEx a ainsi chuté de 6,45% après avoir abaissé ses prévisions de bénéfice et de chiffre d'affaires pour l'exercice en cours en raison de ses doutes quant à l'évolution du secteur industriel américain.
Son concurrent UPS a lâché 1,61%. Ces spécialistes du transport et de la livraison sont généralement considérés comme de bons baromètres de l'économie mondiale en raison de leurs liens avec de nombreux secteurs d'activité.
Nike a pour sa part cédé 5,46% après avoir averti jeudi que ses ventes pourraient baisser plus que prévu au quatrième trimestre de son exercice décalé.
Boeing a gagné 3,06%. Le constructeur aéronautique, en difficulté avec son activité dans l'aviation commerciale, a décroché le contrat pour la construction du F-47, futur avion de chasse de l'armée américaine. Lockheed Martin , qui équipe pour l'instant l'US Air Force avec des F-22 appelés à être remplacés par le F-47, a en revanche perdu 5,79%.
La Bourse de Paris a terminé dans le rouge, rattrapée par les inquiétudes croissantes des marchés face à l'impact à venir de la politique commerciale de Donald Trump.
Le CAC 40 a cédé 0,63%, à 8.042,95 points, soit un recul de 51,25 points. Sur l'ensemble de la semaine, l'indice vedette parisien est toutefois en légère hausse de 0,18%.
Les hausses de taxes à l'importation imposées ou attendues dans les prochaines semaines aux États-Unis inquiètent de plus en plus les marchés.
La date du 2 avril est dans tous les esprits: c'est à cette échéance que les droits de douane dits "réciproques" voulus par Donald Trump doivent être mis en place.
"Cette politique commence à faire peur. On craint que cela ne provoque une stagflation aux États-Unis, soit un ralentissement économique cumulé à une hausse de l'inflation", explique à l'AFP Guillaume Chaloin, directeur de la gestion actions de Delubac AM.
Cette semaine, trois banques centrales - celles de Suisse, d'Angleterre et de Suède - ont mis l'accent sur l'incertitude que faisait peser la politique commerciale de Donald Trump sur leurs prévisions de croissance et d'inflation dans leurs zones respectives.
"Trois banques, trois décisions, mais une même ligne directrice: prudence et gestion du risque face à une économie sous tension", résume John Plassard, spécialiste de l'investissement chez Mirabaud.
La séance de ce vendredi marquait aussi l'expiration trimestrielle pour plusieurs catégories d'options et contrats à terme, ce qui se traduit "par un volume (d'échanges) important", que ce soit à la hausse ou à la baisse, selon Patrick O'Hare, de Briefing.com.
Autre point d'attention des marchés: le plan géant d'investissements du futur chancelier Friedrich Merz visant à réarmer et moderniser le pays, que le Parlement allemand a définitivement adopté vendredi.
Ces annonces d'afflux de capitaux ont ravi les marchés ces dernières semaines. Mais l'entrain semble ralentir: "on attend désormais de voir ce qui va réellement être investi, que les annonces deviennent réalité", explique Guillaume Chaloin.
"De nombreux investisseurs considèrent aujourd'hui que la plupart des dépenses européennes à venir en matière d'infrastructures et de défense ont déjà été prises en compte" sur les cours, abonde Ipek Ozkardeskaya, analyste de Swissquote Bank.
Côté obligataire, le taux d'intérêt de l'emprunt à dix ans français a atteint 3,46%, contre 3,48% la veille.
Ubisoft repart à la baisseLe géant français du jeu vidéo Ubisoft a perdu à Paris 7,15% à 12,15 euros, les investisseurs réévaluant leur optimisme après action une hausse de 3,85% jeudi, jour de sortie du très attendu nouvel opus de la série Assassin's Creed, qui a reçu un accueil plutôt favorable de la critique. Sur la semaine, l'action d'Ubisoft est en baisse de 7,36%.
Beneteau prend l'eauLe constructeur français de bateaux Beneteau a présenté jeudi soir un bénéfice net en chute de 37% en 2024 par rapport à 2023 à 92,9 millions d'euros en raison d'un recul des ventes sur quasiment tous les segments de bateaux.
Son action a perdu 11,66% à 8,94 euros.
Les marchés boursiers évoluent dans le rouge vendredi, rattrapés par leurs inquiétudes croissantes face à l'impact à venir de la politique protectionniste de Donald Trump.
En Europe, Paris a terminé en recul de 0,63%, Francfort 0,47% et Londres 0,63%. Milan a cédé 0,39%.
A Wall Street, le Dow Jones perdait, vers 16H50 GMT, 0,21%, l'indice élargi S&P 500 0,21% et le Nasdaq restait stable (+0,03%).
Les hausses de taxes à l'importation imposées ou attendues au cours des prochaines semaines aux États-Unis inquiètent de plus en plus les marchés.
La date du 2 avril est dans tous les esprits: c'est à cette échéance que les droits de douane dits "réciproques" voulus par Donald Trump doivent être mis en place.
"Cette politique commence à faire peur. On craint que cela ne provoque une stagflation aux États-Unis, soit un ralentissement économique cumulé à une hausse de l'inflation", explique à l'AFP Guillaume Chaloin, directeur de la gestion actions de Delubac AM.
Cette semaine, trois banques centrales - celles de Suisse, d'Angleterre et de Suède - ont mis l'accent sur l'incertitude que faisait peser la politique commerciale de Donald Trump sur leurs prévisions de croissance et d'inflation.
"Trois banques, trois décisions, mais une même ligne directrice: prudence et gestion du risque face à une économie sous tension", résume John Plassard, spécialiste de l'investissement chez Mirabaud.
A Wall Street, plusieurs résultats d'entreprises publiés jeudi soir ont renforcé ces craintes.
Le groupe américain de livraison de plis et colis FedEx (-10,38%), véritable baromètre de la consommation pour les investisseurs, a abaissé à nouveau ses prévisions annuelles face à la "faiblesse de l'économie américaine" et aux "incertitudes".
Le fabricant américain de vêtements et d'équipements sportifs Nike (-7,10%) a, lui, publié des résultats en baisse sur un an.
La séance de ce vendredi marquait aussi l'expiration trimestrielle pour plusieurs catégories d'options et contrats à terme, ce qui se traduit "par un volume [d'échanges] important", que ce soit à la hausse ou à la baisse, selon Patrick O'Hare, de Briefing.com.
Autre point d'attention des marchés: le plan géant d'investissements du futur chancelier Friedrich Merz visant à réarmer et moderniser le pays, que le Parlement allemand a définitivement adopté vendredi.
Ces annonces d'afflux de capitaux ont ravi les marchés ces dernières semaines, mais l'entrain semble ralentir: "on attend désormais de voir ce qui va réellement être investi, que les annonces deviennent réalité", explique Guillaume Chaloin.
"De nombreux investisseurs considèrent aujourd'hui que la plupart des dépenses européennes à venir en matière d'infrastructures et de défense ont déjà été prises en compte" dans les cours, abonde Ipek Ozkardeskaya, analyste de Swissquote Bank.
Côté devise, l'euro reculait de 0,34% vers 16H50 GMT face au dollar, à 1,0819 dollar pour un euro.
Le taux d'intérêt de l'emprunt à dix ans allemand, référence sur le continent européen, atteignait 2,76% dans les derniers échanges de la séance obligataire, contre 2,78% jeudi soir.
Leur équivalent américain restait stable, à 4,24%, au même niveau que la veille.
Pour qui sonne DouglasLes actions de la chaîne de parfumerie allemande Douglas a dévissé de 22,46% sur la Bourse de Francfort, après une réduction drastique des prévisions en raison de la baisse de la consommation. Le cours a perdu près de la moitié de sa valeur depuis le début de l'année et se situe loin du prix d'introduction en Bourse il y a un an à 26 euros.
Le pétrole stableLes cours du pétrole sont globalement stables vendredi, l'attention se portant sur la hausse prochaine de production de l'Opep+ et l'intensification de la guerre commerciale.
Vers 16H50 GMT, le baril de WTI américain prenait 0,11% à 68,15 dollars et celui de Brent de la mer du Nord faisait du surplace (-0,01%) à 71,99 dollars.
Le bitcoin perdait 4,14%, à 83.839 dollars.
Les salaires mensuels de base (SMB) dans le secteur privé en France ont augmenté de 2,8% en 2024, soit une hausse du pouvoir d'achat de 1,6% une fois retranchée l'inflation de 1,2%, a rapporté vendredi le ministère du Travail.
L'indice du salaire horaire de base des ouvriers et des employés (SHBOE) a lui progressé de 2,9%, soit 1,7 point de plus que l'inflation, précise la Dares (direction des études du ministère) dans un communiqué.
L'Insee avait de son côté rapporté mardi que le SMB avait augmenté de 2,9% en 2024, ajoutant que les salariés avaient regagné du pouvoir d'achat l'an dernier après deux années de baisse.
C'est dans l'industrie que les salaires ont le plus augmenté avec 3,3%, devant le tertiaire avec 2,7% et la construction avec 2,5%, détaille la Dares.
Par catégorie socio-professionnelle, la hausse du SMB a atteint 3,1% pour les ouvriers, 2,7% pour les employés et 2,6% pour les cadres.
Toutes catégories confondues, le SMB a augmenté de 0,4% au cours du quatrième trimestre 2024, comme au trimestre précédent.
Selon les prévisions de l'Insee, il progresserait de 0,5% au premier trimestre, soit "un rythme bien inférieur à celui des premiers trimestres de 2023 et 2024", en raison de l'anticipation de la hausse du Smic au 1er novembre, au lieu du 1er janvier.
"Au deuxième trimestre 2025, les salaires nominaux continueraient de ralentir (+0,4% sur le trimestre pour le SMB comme pour le SMPT, salaire moyen par tête) pour atteindre un rythme annuel d'à peine 2,0%", anticipe encore l'Institut.
Les actions américaines ont suivi la tendance baissière de leurs homologues européennes et le dollar s'est renforcé vendredi, avec peu de catalyseurs pour attiser l'appétit des investisseurs pour le risque, dans un contexte d'incertitudes économiques persistantes et de tensions géopolitiques.
Les trois principaux indices boursiers américains étaient en baisse en début de séance, avec une faiblesse des valeurs sensibles à l'économie, telles que les transports , le logement (.HGT) et les matériaux sous-performant.
L'or a fortement baissé, reculant par rapport à son plus haut niveau historique, mais restant au-dessus du seuil de 3 000 dollars l'once, qu'il a franchi pour la première fois la semaine dernière.
Le président de la Réserve fédérale de Chicago, Austan Goolsbee , a déclaré vendredi qu'il était difficile de savoir si les mesures tarifaires prises par le président américain Trump entraîneraient une inflation persistante et que la Fed avait besoin de plus de temps pour « comprendre » les conséquences de ces mesures.
Une série de réunions de politique monétaire des banques centrales a retenu l'attention des investisseurs pendant une grande partie de la semaine, la Réserve fédérale américaine , la Banque du Japon et la Banque d'Angleterre ayant toutes maintenu leurs taux inchangés.
La prudence semble avoir été le thème commun parmi les responsables de la politique monétaire, dont la plupart ont adopté une attitude attentiste face à l'approche erratique de Trump en matière de droits de douane et de commerce, qui a favorisé ce que le président de la Fed, Jerome Powell, a qualifié d'incertitude « inhabituellement élevée ».
« Cette semaine, nous avons vu la Fed suivre généralement le consommateur avec des prévisions d'inflation plus élevée et de croissance plus faible », a déclaré Mike Dickson, responsable de la gestion de portefeuille chez Horizon Investments à Charlotte, en Caroline du Nord. « Cela pèse certainement sur les choses. »
Les marchés attendent des éclaircissements sur les détails des droits de douane réciproques de Trump qui devraient entrer en vigueur le 2 avril.
Les frappes aériennes israéliennes sur Gaza (link) et l'énorme explosion provoquée par une attaque de drones ukrainiens sur un aérodrome militaire russe ont également contribué à freiner l'appétit pour le risque et à renforcer l'attrait des valeurs refuges.
Ces tensions géopolitiques « exercent au minimum une pression à la hausse sur l'incertitude qui règne déjà sur la scène internationale avec les droits de douane », a ajouté Dickson.
L' , à l'aéroport d'Heathrow, en Grande-Bretagne, a été fermée en raison d'un énorme incendie dans une sous-station électrique voisine, ce qui a ajouté à l'agitation. Il y a également eu les ramifications de la détention du président turc Tayyip Erdogan, principal rival politique d' , et le plan de relance budgétaire massif de l'Allemagne, qui devrait être adopté vendredi par la chambre haute du parlement, le Bundesrat.
Sur le front économique, en l'absence d'indicateurs américains majeurs vendredi, les investisseurs se tournent vers la semaine à venir, qui comprendra des données sur le logement et l'industrie, et qui devrait culminer jeudi avec la troisième et dernière estimation du PIB du quatrième trimestre par le département du Commerce et ses dépenses de consommation personnelle très variées attendues vendredi.
GAINS DU DOLLAR
L'indice Dow Jones des valeurs industrielles a chuté de 223,38 points, soit 0,52 %, à 41 733,07, l'indice S&P 500 a chuté de 23,48 points, soit 0,41 %, à 5 639,41 et le Nasdaq Composite a chuté de 51,15 points, soit 0,28 %, à 17 641,63.
Les actions européennes ont reculé dans le sillage des déclarations des banques centrales, qui ont fait part de leur prudence face aux incertitudes économiques mondiales.
Malgré cela, l'indice STOXX Euro 600 a maintenu le cap pour une hausse hebdomadaire, poursuivant ainsi sa surperformance depuis le début de l'année.
L'indice MSCI des actions mondiales EURONEXT:IACWI a perdu 4,08 points, soit 0,48 %, à 839,39.
L'indice paneuropéen STOXX 600 a chuté de 0,62 %, tandis que l'indice européen FTSEurofirst 300 a perdu 13,36 points, soit 0,61 %.
Les actions des marchés émergents CBOE:EFS ont chuté de 10,24 points, soit 0,90 %, à 1 130,45. L'indice MSCI le plus large des actions de la région Asie-Pacifique hors Japon (.MIAPJ0000PUS) a clôturé en baisse de 0,83 %, à 588,44, tandis que le Nikkei japonais a perdu 74,82 points, soit 0,20 %, à 37 677,06.
L' e du dollar a gagné du terrain par rapport à l'euro, et était en passe de réaliser sa première hausse hebdomadaire ce mois-ci, l'approche de la date limite des droits de douane incitant à la prudence.
L'indice du dollar , qui mesure le billet vert par rapport à un panier de devises comprenant le yen et l'euro, a augmenté de 0,19 % pour atteindre 103,99, tandis que l'euro a baissé de 0,22 % à 1,0827 $.
Par rapport au yen japonais , le dollar s'est renforcé de 0,06 % à 148,86.
Les s des bons du Trésor américain à 10 ans ont chuté mais sont restées dans une fourchette étroite, les investisseurs jonglant entre l'impact possible des droits de douane et la probabilité que la Fed laisse son taux directeur inchangé pour le moment.
Le rendement des bons du Trésor américain à 10 ans de référence a augmenté de 0,6 point de base, passant de 4,233 % jeudi soir à 4,239 %.
Le rendement de l'obligation à 30 ans (US30YT=RR) a augmenté de 2,2 points de base pour atteindre 4,5784 %, contre 4,556 % jeudi soir.
Le rendement des bons du Trésor à 2 ans, qui évolue généralement en fonction des anticipations de taux d'intérêt de la Réserve fédérale, a chuté de 2,6 points de base à 3,931 %, contre 3,957 % jeudi soir.
Les prix du pétrole brut ont légèrement augmenté et semblent prêts à enregistrer une deuxième hausse hebdomadaire consécutive, les nouvelles sanctions américaines contre l'Iran et le dernier plan de production de l'OPEP+ ayant accru les attentes d'un resserrement de l'offre.
Le brut américain a augmenté de 0,32 % pour atteindre 68,29 $ le baril et le Brent a augmenté pour atteindre 72,07 $ le baril, soit une hausse de 0,1 % sur la journée.
L' e de l'or a marqué une pause après une hausse record alimentée par la demande de valeurs refuges.
L'or au comptant a chuté de 0,94 % à 3 015,75 $ l'once. Les contrats à terme sur l'or américain (GCc1) ont chuté de 1,29 % à 3 000,90 $ l'once.
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