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Coach de trading en chef et conférencier BeingTrader, plus de 8 ans d'expérience dans le trading du marché des changes, principalement XAUUSD, EUR/USD, GBP/USD, USD/JPY et pétrole brut. Un trader et analyste confiant qui vise à explorer diverses opportunités et à guider les investisseurs sur le marché. En tant qu'analyste, je cherche à améliorer l'expérience du trader en le soutenant avec suffisamment de données et de signaux.
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HK Stock Trading Fees and Taxation
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HK Non-Essential Consumer Goods Industry
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HK Real Estate Industry
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Les marchés mondiaux ont évolué en ordre dispersé mercredi, l'Europe restant pessimiste sur une résolution du conflit ukrainien tandis que Wall Street a été poussée par la publication du compte rendu de la dernière réunion de politique monétaire de la banque centrale américaine (Fed).
Sur la place américaine, le Dow Jones a gagné 0,16% et l'indice Nasdaq a grappillé 0,07%, tandis que l'indice élargi S&P 500 a avancé de 0,24%, établissant un deuxième record de suite en clôture, à 6.144,15 points.
Après une ouverture en baisse, "le marché s'est négocié à la hausse" en seconde moitié de séance suite au compte rendu (minutes) de la réunion de janvier du comité de politique monétaire de la Fed (FOMC), qui s'est avéré globalement "conforme aux attentes, c'est-à-dire prudent", a expliqué à l'AFP Karl Haeling, analyste de LBBW.
"Mais il y a eu une petite surprise dans la mesure où il a été question de la possibilité de mettre fin à la réduction de bilan, autrement appelée resserrement quantitatif, plus tôt qu'il n'avait été envisagé", a relevé l'analyste.
La Fed est engagée dans un programme dit de resserrement quantitatif, ce qui signifie qu'elle cherche à réduire la taille de son portefeuille, notamment de bons du Trésor, jugé trop volumineux.
En retardant ses ventes de bons du Trésor, "cela ajoute de la liquidité au système bancaire", a souligné M. Haeling, ce qui stimule une économie tournant déjà à plein régime.
En conséquence, les taux obligataires se sont légèrement détendus, le rendement des emprunts d'Etat américains à dix ans s'établissant à 4,53% contre 4,55% la veille.
"Et cela a suffi à pousser le marché d'actions américain", relève Karl Haeling.
Sur le Vieux Continent, en revanche, la Bourse de Paris a terminé en baisse de 1,17%, Francfort de 1,80%, Londres de 0,62% et Milan de 0,53%.
La situation en Ukraine accapare l'attention des investisseurs et "le moins que l'on puisse dire, c'est qu'un accord de paix commence à être plus compliqué à atteindre", souligne Christopher Dembik, conseiller en stratégie d'investissement chez Pictet AM.
Les Etats-Unis ont entamé des pourparlers directs avec Moscou, les chefs de la diplomatie des deux puissances s'étant rencontrés mardi pour la première fois depuis le début de la guerre, en Arabie Saoudite.
Ils ont convenus de négocier sur l'Ukraine, sans inviter Kiev ni les Européens, qui craignent désormais un accord dans leur dos et contre leurs intérêts.
Volodymyr Zelensky a indiqué qu'il devait rencontrer jeudi l'envoyé spécial américain Keith Kellogg, espérant un travail "constructif" en dépit des très vives critiques lancées par Donald Trump, mais soulignant qu'il appartenait même aux plus puissants de choisir "d'être avec Poutine ou d'être avec la paix".
Le président ukrainien a jugé mercredi que son homologue américain vivait "dans un espace de désinformation" russe, au lendemain de critiques acerbes de Donald Trump reprenant la rhétorique du Kremlin.
Trump a répliqué en qualifiant M. Zelensky de "dictateur sans élections" sur sa plateforme Truth Social.
Dans ce contexte, les taux d'emprunts allemand à 10 ans, référence en Europe, grimpaient mercredi, atteignant 2,55% vers 22H15 GMT, contre 2,49% mardi en clôture.
Le secteur auto patineL'annonce d'importants droits de douane sur les voitures importées aux Etats-Unis a entraîné une vive réaction des constructeurs automobiles allemands mais aussi européens au sens large, directement menacés, qui y voient une "provocation".
A Francfort, Daimler a perdu 3,64%, Porsche -2,76%, Volkswagen -2,83% et BMW -2,28%.
A Paris, Renault a perdu 2,40% et Stellantis -1,61%, tout comme les équipementiers, Forvia terminant en baisse de 3,50% et OPMobility de -5,68%.
Philips dans le rougeLe fabricant néerlandais d'équipements médicaux Philips a accusé une perte nette plus importante que prévu en 2024, citant dans un communiqué mercredi une augmentation des charges et des frais de restructuration.
Le titre Philips a terminé en baisse de plus de 11% à la Bourse d'Amsterdam tout comme à New York.
Le pétrole en hausseLes cours de l'or noir ont évolué en légère hausse mercredi alors que les attaques ukrainiennes sur les infrastructures énergétiques russes pourraient participer à une réduction de l'offre de brut disponible dans la durée.
Le prix du baril de Brent de la mer du Nord, pour livraison en avril, a gagné 0,26% à 76,04 dollars.
Le cours de son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate, pour livraison en mars, a avancé de 0,56% à 72,25 dollars.
La Bourse de New York a clôturé en petite hausse mercredi, tirée par la légère détente des rendements obligataires américains après la publication du compte-rendu de la dernière réunion du comité monétaire de la banque centrale américaine (FOMC).
Le Dow Jones a gagné 0,16% et l'indice Nasdaq a grappillé 0,07%, tandis que l'indice élargi S&P 500 a avancé de 0,24%, établissant un deuxième record de suite en clôture, à 6.144,15 points.
Après une ouverture en baisse, "le marché s'est négocié à la hausse" en seconde moitié de séance "suite au compte-rendu du FOMC", a expliqué à l'AFP Karl Haeling, analyste de LBBW.
Selon ce compte-rendu (minutes) de la réunion de janvier du comité de politique monétaire de la Fed (FOMC), publié mercredi, "l'équilibre relatif du marché de l'emploi" ne devrait pas peser sur les prix, mais "d'autres facteurs ont été cités comme pouvant peser sur le processus de désinflation", notamment "les politiques commerciales et migratoires".
Ces incertitudes ont fait dire à certains des responsables de la Réserve fédérale (Fed) qu'il sera, "dans la période à venir, particulièrement difficile de faire une distinction entre des changements relativement persistants de l'inflation et ceux plus temporaires qui pourraient être associés à la mise en place de nouvelles politiques".
"Ce compte-rendu a été, dans l'ensemble, conforme aux attentes, c'est-à-dire prudent", a jugé M. Haeling.
"Mais il y a eu une petite surprise dans la mesure où il a été question de la possibilité de mettre fin à la réduction de bilan, autrement appelée resserrement quantitatif, plus tôt qu'il n'avait été envisagé", a relevé l'analyste.
La Fed est engagée dans un programme dit de resserrement quantitatif, ce qui signifie qu'elle cherche à réduire la taille de son portefeuille, notamment de bons du Trésor, jugé trop volumineux.
En retardant ses ventes de bons du Trésor, "cela ajoute de la liquidité au système bancaire", a souligné M. Haeling, ce qui stimule une économie tournant déjà à plein régime.
Cependant, cette mesure devrait être temporaire, le temps que le plafond de la dette soit relevé et le resserrement quantitatif devrait reprendre par la suite, a estimé M. Haeling.
En conséquence, les taux obligataires se sont légèrement détendus, le rendement des emprunts d'Etat américains à dix ans s'établissant à 4,53% contre 4,55% la veille.
Au tableau des valeurs, le fabricant américain de montres connectées et de systèmes de navigation par GPS Garmin s'est envolé (12,64%), après avoir publié des résultats dépassant les attentes au quatrième trimestre 2024. L'entreprise a notamment réalisé un bénéfice net par action de 2,25 dollars, contre 2,05 dollars attendu par les analystes interrogés par FactSet.
Le constructeur de camions électriques Nikola, en difficulté financière, a plongé de près de 40% après avoir annoncé son dépôt de bilan, l'entreprise n'étant pas parvenue à lever des fonds nécessaires pour le maintien de ses opérations.
Le fabricant néerlandais d'équipements médicaux Philips a accusé une perte nette plus importante que prévu en 2024, citant dans un communiqué mercredi une augmentation des charges et des frais de restructuration. Le cours des actions cotées à New York de l'entreprise a reculé de plus de 11%.
L'application de rencontres Bumble a dégringolé de 30,31% après avoir publié des prévisions jugées décevantes, et en deçà des attentes des analystes.
Le site de création et de commerce électronique Etsy a lui lâché 10,05% après avoir annoncé des résultats en dessous des attentes pour le quatrième trimestre, miné par des ventes moins importantes qu'attendu lors de saison des fêtes.
La Bourse de New York a clôturé en petite hausse mercredi, tirée par la légère détente des rendements obligataires américains après la publication du compte rendu de la dernière réunion du comité monétaire de la banque centrale américaine (FOMC).
Le Dow Jones a gagné 0,16% et l'indice Nasdaq a grappillé 0,07%, tandis que l'indice élargi S&P 500 a avancé de 0,24%, établissant un deuxième record de suite en clôture, à 6.144,15 points.
Les Bourses mondiales évoluent dans le rouge mercredi, pâtissant de l'affaiblissement des espoirs de résolution du conflit ukrainien et des nouvelles annonces douanières de Donald Trump.
A Wall Street, vers 16H45 GMT, le Dow Jones reculait de 0,27%, l'indice Nasdaq lâchait 0,12% et l'indice élargi S&P 500 perdait 0,03%.
En Europe, la Bourse de Paris a terminé en baisse de 1,17%, Francfort de 1,80%, Londres de 0,62% et Milan de 0,53%.
Donald Trump a continué sa vaste offensive contre les partenaires commerciaux des Etats-Unis en annonçant qu'il pourrait établir dès avril des droits de douane de près de 25% sur les automobiles et d'au moins autant sur les semi-conducteurs, ainsi que sur le secteur pharmaceutique.
La politique commerciale de Trump est aussi vue par le marché comme une mesure inflationniste qui peut convaincre la Réserve fédérale américaine (Fed) de conserver des taux élevés. De quoi soutenir le dollar.
Vers 16H45 GMT, la monnaie unique perdait 0,34% face au billet vert, à 1,0410 dollar pour un euro,
En parallèle, la situation en Ukraine accapare l'attention des investisseurs.
Les Etats-Unis ont entamé des pourparlers directs avec Moscou, les chefs de la diplomatie des deux puissances s'étant rencontrés mardi pour la première fois depuis le début de la guerre, en Arabie Saoudite.
Ils y sont notamment convenus de négocier sur l'Ukraine, sans convier Kiev ni les Européens, qui craignent désormais un accord dans leur dos et contre leurs intérêts.
Sur le dossier ukrainien, désormais, "l'optimisme prudent concernant une possible résolution de la guerre en Ukraine (est) atténué par l'absence notable de responsables ukrainiens et européens lors des discussions entre les États-Unis et la Russie", explique Fawad Razaqzada, analyste chez City Index.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a jugé mercredi que son homologue américain vivait "dans un espace de désinformation" russe, au lendemain de critiques acerbes de Donald Trump reprenant la rhétorique du Kremlin.
Trump a répliqué mercredi en qualifiant M. Zelensky de "dictateur sans élections" sur sa plateforme Truth Social.
"Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'un accord de paix commence à être plus compliqué à atteindre", souligne Christopher Dembik, conseiller en stratégie d'investissement chez Pictet AM.
Dans ce contexte, les taux d'emprunts allemand à 10 ans, référence en Europe, grimpaient mercredi, atteignant 2,55% vers 16H45 GMT, contre 2,49% mardi en clôture.
Côté agenda économique, les investisseurs attendent mercredi la publication à 20H00 GMT du compte-rendu de la dernière réunion de la Réserve fédérale américaine (Fed).
Le secteur auto patineL'annonce d'importants droits de douane sur les voitures importées aux Etats-Unis a entrainé une vive réaction des constructeurs automobiles allemands mais aussi européens au sens large, directement menacés, qui y voient une "provocation".
A Francfort, Daimler a perdu 3,64%, Porsche -2,76%, Volkswagen -2,83% et BMW -2,28%.
A Paris, Renault a perdu 2,40% et Stellantis -1,61%, tout comme les équipementiers, Forvia terminant en baisse de 3,50% et OPMobility de -5,68%.
Philips dans le rougeLe fabricant néerlandais d'équipements médicaux Philips a accusé une perte nette plus importante que prévu en 2024, citant dans un communiqué mercredi une augmentation des charges et des frais de restructuration.
Le titre Philips a terminé en baisse de plus de 11% à la Bourse d'Amsterdam.
L'or bat de nouveaux recordsL'or a battu un nouveau record mercredi, à 2.947,01 dollars, dans un contexte de nouvelles menaces de droits de douane de Donald Trump et d'incertitudes sur les évolutions diplomatiques entre Washington et Moscou sur l'Ukraine.
"Cette hausse reste limitée par un optimisme modéré selon lequel la rhétorique de l'administration Trump sur les droits de douane est principalement une stratégie de négociation", tempère-t-il.
L'once d'or atteignait vers 16H45 GMT 2.924,65 dollars.
Le pétrole en hausseLes cours du pétrole sont aussi en hausse mercredi, soutenus par des dégâts infligés par des drones ukrainiens sur des infrastructures pétrolières russes qui devraient prendre des mois à être réparées.
Le baril de WTI américain montait de 1,08% à 72,63 dollars, et celui de Brent de la mer du Nord prenait 0,84% à 76,48 dollars vers 16H45 GMT.
Le bitcoin reculait de 0,47% à 96.252 dollars.
Les Bourses européennes ont terminé en forte baisse mercredi, les investisseurs digérant les derniers propos de Donald Trump sur les droits de douane et l'Ukraine.
À Paris, le CAC 40 a abandonné 1,27% à 8.102,09 points, tandis que le Dax allemand s'est replié de 1,71% et le Footsie britannique CURRENCYCOM:UK100 a décliné de 0,69%.
L'indice EuroStoxx 50 a terminé la séance sur une baisse de 1,36%, tandis que le FTSEurofirst 300 (.FTEU3) inscrivait une perte de 0,89% et que le Stoxx 600 reculait de 0,95%, sa plus forte baisse depuis le début de l'année.
Donald Trump a jeté un nouveau froid sur les Bourses européennes mercredi en évoquant mardi de nouveaux droits de douane sur les automobiles, d'environ 25%, mais aussi les produits pharmaceutiques et les semi-conducteurs.
Les conséquences des politiques de l'administration Trump sont toujours incertaines et continuent de nourrir les inquiétudes notamment concernant les conséquences sur les anticipations d'inflation et donc les politiques de taux des banques centrales.
Les investisseurs chercheront ainsi dans le compte-rendu de la Réserve fédérale américaine publié à 19h00 GMT, les "minutes de la Fed", tout commentaire sur le sujet.
Le 47e président américain continue également de mettre la pression sur l'Ukraine et les pays européens concernant les négociations de paix avec la Russie, estimant que Volodimir Zelensky, le président ukrainien, ferait "mieux d'agir vite" sous peine de ne plus avoir de pays et qu'il a effectué un travail "horrible".
Preuve des incertitudes pesant actuellement sur les marchés européens, l'indicateur de volatilité de l'EuroStoxx 50 (.V2TX) a fortement augmenté au cours de la séance et a évolué à un plus haut de deux semaines autour de 17,9 points.
VALEURS
Philips a chuté de 11,48% après avoir publié mercredi un chiffre d'affaires au quatrième trimestre 2024 inférieur au consensus.
Nexans a progressé de 10,4% après avoir dit mercredi tabler sur une amélioration de son Ebitda en 2025.
A WALL STREET
A l'heure de la clôture en Europe, les échanges à la Bourse de New York indiquaient un repli de 0,27% pour le Dow Jones , contre 0,04% pour le Standard & Poor's 500 , et 0,14% pour le Nasdaq Composite .
La société de produits chimiques spécialisés Celanese perd 21,7% après avoir fait état mardi d'une perte trimestrielle, pénalisée par le déstockage sur les marchés automobile et industriel.
Le fabricant de puces Analog Devices gagne 6,8% après avoir indiqué prévoir des résultats supérieurs aux attentes au premier trimestre.
LES INDICATEURS DU JOUR
En Grande-Bretagne, l'inflation a rebondi plus que prévu en janvier, s'établissant à 3% sur un an selon les données publiées mercredi pour l'Office national de la statistique (ONS) contre une prévision du consensus de 2,8% et après 2,5% en décembre.
CHANGES
Le dollar est plutôt stable mercredi dans un contexte d'incertitudes multiples et dans l'attente de catalyseurs clairs.
Le dollar gagne 0,15% face à un panier de devises de référence , l'euro s'érode de 0,37% à 1,0406 dollar, et la livre sterling perd 0,32% à 1,2571 dollar.
TAUX
Les rendements des obligations sont restés plutôt stables mercredi les discussions entre pays européens concernant les négociations de paix en Ukraine et d'éventuelle émissions de dette pour soutenir les dépenses de défense.
Le rendement du dix ans allemand (DE10YT=RR) a pris 0,5 pb à 2,555%, celui du taux à deux ans (DE2YT=RR) a gagné 0,6 pb à 2,18%. Le rendement du Treasury à dix ans prend 0,8 pb à 4,5522%, tandis que le rendement du titre à deux ans (US2YT=RR) abandonne 0,6 pb à 4,2909%.
Le rendement du Treasury à dix ans prend 1 pb à 4,5542%, tandis que le rendement du titre à deux ans (US2YT=RR) abandonne 0,6 pb à 4,2909%.
PÉTROLE
Le baril est à la hausse mercredi sur fond d'inquiétudes concernant les perturbations de l'approvisionnement en Russie et aux États-Unis et alors que le marché attend des clarifications sur les sanctions et les négociations de paix en Ukraine.
Le Brent progresse de 0,58% à 76,28 dollars le baril, le brut léger américain (West Texas Intermediate, WTI) se renchérit de 0,85% à 72,46 dollars.
A SUIVRE JEUDI 20 FÉVRIER :
La Bourse de New York a ouvert en baisse mercredi, digérant une nouvelle offensive de Donald Trump sur les droits de douane, et attentiste avant la publication du compte rendu de la dernière réunion du comité monétaire de la banque centrale américaine (FOMC).
Vers 15H00 GMT, le Dow Jones reculait de 0,32%, l'indice Nasdaq perdait 0,29% et l'indice élargi S&P 500 lâchait 0,21%.
Après un nouveau record du S&P 500 la veille, "le marché marque une pause pour le moment (...) près de ses sommets historiques", a résumé auprès de l'AFP Adam Sarhan, analyste de 50 Park Investments.
La place américaine accueille avec prudence les nouvelles annonces de Donald Trump concernant les droits de douane, le républicain continuant sa vaste offensive contre les partenaires commerciaux des Etats-Unis.
Le président américain a annoncé mardi qu'il pourrait établir dès avril d'importants droits de douane sur les voitures importées, mais aussi les semi-conducteurs et le secteur pharmaceutique.
Selon M. Sarhan, ces nouvelles annonces touchant trois secteurs stratégiques "préoccupent" le marché d'actions américain.
Depuis son investiture fin janvier, le président des Etats-Unis a fait des droits de douane le principal outil de sa politique de réduction de l'important déficit commercial américain, en les imposant à tous ses partenaires sur l'acier et l'aluminium importé et en annonçant la mise en place de droits de douane réciproques.
"Jusqu'à présent, il y a eu beaucoup de paroles et peu d'actions, mais si les choses changent, cela peut avoir un impact considérable sur le marché", a ajouté Adam Sarhan.
Côté indicateurs, les mises en chantier de logements sont tombées en janvier à 1,366 million en rythme annuel contre 1,515 million en décembre. Les demandes de permis de construire sont en légère hausse par rapport au mois dernier.
Wall Street reste par ailleurs attentiste avant la publication mercredi, en début d'après-midi, du compte rendu ("minutes") de la dernière réunion du comité monétaire de la banque centrale américaine (FOMC), qui pourrait donner des indications sur le cap privilégié par la Réserve fédérale (Fed).
"La politique monétaire est extrêmement importante, et tout indice sur ce que la Fed fera à l'avenir sera crucial", a noté M. Sarhan.
Le 29 janvier dernier, la Fed a maintenu ses taux inchangés, dans une fourchette comprise entre 4,25% et 4,50%.
Sur le marché obligataire, le rendement des emprunts d'Etat américains à dix ans restait stable par rapport à la veille, à 4,55%.
Ailleurs, à la cote, le constructeur de camions électriques Nikola, en difficulté financière, a annoncé son dépôt de bilan, l'entreprise n'étant pas parvenue à lever des fonds nécessaires pour le maintien de ses opérations.
Nikola a déposé le bilan dans le cadre de la loi américaine sur les faillites (dite Chapter 11). Le titre plongeait de près de 40% après l'ouverture.
L'application de rencontres Bumble dégringolait de 22,10% après avoir annoncé des prévisions jugées décevantes, et en deçà des attentes des analystes.
Le site de création et de commerce électronique Etsy était boudé (-9,88%) après avoir publié des résultats en dessous des attentes pour le quatrième trimestre, miné par des ventes moins importantes qu'attendu lors de saison des fêtes.
Les Bourses mondiales évoluent dans le rouge mercredi, lestées par les nouvelles annonces douanières de Donald Trump et la baisse de l'optimisme quant à la résolution du conflit ukrainien.
Vers 14H40 GMT, en Europe, Paris cédait 1,05%, Francfort 1,35%, Londres 0,69% et Milan perdait 0,24%.
Donald Trump a continué sa vaste offensive contre les partenaires commerciaux des Etats-Unis en annonçant qu'il pourrait établir dès avril des droits de douane de près de 25% sur les automobiles et d'au moins autant sur les semi-conducteurs ainsi que sur le secteur pharmaceutique.
"Les marchés européens ont renoncé à leurs gains antérieurs" à la suite de ces déclarations, commente Fawad Razaqzada, analyste chez City Index.
Le secteur automobile était dans le rouge en Europe, à l'image des constructeurs allemands BMW (-2,40%), Volkswagen (-2,43%) et Mercedes (-1,90%). En France, Renault (-1,98%) et Stellantis (-0,96%) cédaient du terrain, tout comme les équipementiers Forvia (-3,59%) et OPMobility (-4,24%). A Stockholm, Volvo chutait de 2,17% vers 14H40 GMT.
Dans ce contexte, la monnaie unique perdait 0,15% face au billet vert, à 1,0430 dollar pour un euro, l'"optimisme prudent concernant une possible résolution de la guerre en Ukraine" ne suffisant pas à pousser l'euro, selon M. Razaqzada
Et la politique commerciale de Trump est vue par le marché comme une mesure inflationniste qui peut convaincre la Réserve fédérale américaine (Fed) de conserver des taux élevés.
Sur le dossier ukrainien, Russes et Américains se sont entendus sur la table des négociations, mais sans Kiev ni les Européens.
Les chefs de la diplomatie russe et américaine se sont rencontrés mardi pour la première fois depuis le début de la guerre, en Arabie Saoudite. Lors de ces pourparlers, Russes et Américains ont posé les jalons du rétablissement de leurs relations, convenant d'établir un "mécanisme de consultation" pour surmonter leurs contentieux et de nommer des négociateurs pour l'Ukraine.
A Wall Street, vers 14H40 GMT, le Dow Jones reculait de 0,40%, l'indice Nasdaq perdait 0,14% et l'indice élargi S&P 500 lâchait 0,20%.
Les investisseurs scruteront aussi la publication à 20H00 GMT du compte rendu de la dernière réunion de la Réserve fédérale américaine (Fed).
Côté obligataire, les taux d'emprunt américains à 10 ans restaient stable à 4,55% vers 16H40 GMT, comme la veille. Leur équivalent allemand, référence en Europe, atteignait 2,55%, contre 2,49% mardi en clôture.
Glencore envisage de quitter LondresLe géant du négoce des matières premières Glencore envisage de quitter la Bourse de Londres pour transférer sa cotation principale ailleurs, a annoncé mercredi son patron lors de la publication des résultats annuels, plombés par la chute des cours du charbon.
En 2011, le groupe avait choisi la Bourse de Londres pour faire son entrée en Bourse, considérée comme la place de référence pour les grandes entreprises minières.
Le groupe basé à Baar, dans le canton suisse de Zoug, prendra en considération plusieurs marchés mais songe aux Etats-Unis pour déplacer sa cotation principale, a précisé Gary Nagle, le directeur général du groupe.
Vers 14H40 GMT, l'action chutait de 6,34% à la Bourse de Londres.
L'or bat de nouveaux recordsL'or a battu un nouveau record mercredi matin, à 2.947,01 dollars, dans un contexte de nouvelles menaces de droits de douane de Donald Trump, et dans l'incertitude sur les évolutions diplomatiques entre Washington et Moscou sur l'Ukraine.
"L'anxiété croissante liée à l'agenda protectionniste de l'administration Trump et de ses conséquences potentielles sur la croissance économique mondiale (renforcent) l'attrait des valeurs refuges comme l'or", explique Ricardo Evangelista, analyste pour ActivTrades.
"Cette hausse reste limitée par un optimisme modéré selon lequel la rhétorique de l'administration Trump sur les droits de douane est principalement une stratégie de négociation", tempère-t-il.
L'once d'or atteignait vers 14H40 GMT 2.934,69 dollars.
Le pétrole en hausseLes cours du pétrole sont aussi en hausse mercredi, soutenus par des dégâts infligés par des drones ukrainiens sur des infrastructures pétrolières russes qui devraient prendre des mois à être réparées.
Le baril de WTI américain montait de 1,48% à 72,92 dollars, et celui de Brent de la mer du Nord prenait 1,16% à 76,72 dollars.
Le bitcoin reculait de 0,30% à 96.422 dollars.
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