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Coach de trading en chef et conférencier BeingTrader, plus de 8 ans d'expérience dans le trading du marché des changes, principalement XAUUSD, EUR/USD, GBP/USD, USD/JPY et pétrole brut. Un trader et analyste confiant qui vise à explorer diverses opportunités et à guider les investisseurs sur le marché. En tant qu'analyste, je cherche à améliorer l'expérience du trader en le soutenant avec suffisamment de données et de signaux.
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Les marchés boursiers mondiaux ont évolué dans des directions opposées lundi, l'Europe a été catapultée par un secteur de la défense qui s'attend à des augmentations des dépenses militaires sur le continent, tandis que Wall Street a souffert des dernières annonces de Donald Trump sur les surtaxes douanières.
Le président américain a prévenu que le Canada et le Mexique n'avaient "plus de marge de manoeuvre" pour éviter l'entrée en vigueur dans la nuit de lundi à mardi des droits de douane de 25% sur la plupart de leurs produits importés aux Etats-Unis.
Il a par ailleurs signé lundi le décret imposant désormais 20% de droits de douane supplémentaires sur les produits chinois entrant aux Etats-Unis, contre 10% additionnels depuis début février.
Washington, Ottawa et Mexico négocient toujours afin d'interrompre durablement le flux vers les Etats-Unis de fentanyl, un puissant opioïde responsable de la mort de dizaines de milliers de personnes dans ce pays.
Donald Trump reproche au Canada, au Mexique et à la Chine de ne pas lutter assez efficacement contre ce trafic.
Le Dow Jones a reculé de 1,48%, l'indice Nasdaq a chuté de 2,64% et l'indice élargi S&P 500 a lâché 1,76%, sa plus grosse perte depuis décembre.
"A la veille de l'entrée en vigueur des droits de douane imposés par Trump au Canada, à la Chine et au Mexique, les investisseurs (ont vendu) les actions américaines au profit des actions européennes", a relevé dans une note Jose Torres, d'Interactive Brokers.
Lundi, les indices européens ont profité d'"une nouvelle frénésie pour les valeurs de la défense", a commenté Eymane Cherfa, analyste de Myria AM interrogé par l'AFP.
Elle fait suite au sommet à Londres dimanche, où les dirigeants européens ont resserré les rangs pour soutenir Kiev. Ils se sont engagés à dépenser davantage pour la sécurité et à constituer une coalition pour défendre toute trêve en Ukraine.
Cette "démonstration de coopération entre les dirigeants" européens a "renforcé les attentes selon lesquelles les budgets militaires augmenteront dans une nouvelle ère de collaboration pour contrer la menace russe", a souligné Susannah Streeter, analyste chez Hargreaves Lansdown.
Ce sommet précédait un sommet européen extraordinaire consacré à l'Ukraine prévu le 6 mars à Bruxelles.
La Bourse de Francfort a atteint un nouveau record en séance à 23.307,97 points, et en clôture à 23.147,02 points, terminant en hausse de 2,64%. Londres (+0,70%) a également enregistré un nouveau record en séance à 8.908,82 points, comme à la clôture, à 8.871,31 points.
L'indice vedette de la Bourse de Paris, le CAC 40, a terminé en hausse de 1,09% après avoir frôlé son niveau record en séance comme en clôture.
La défense en grande formeLondres a annoncé dimanche soir un accord pour fournir à Kiev plus de 5.000 missiles de défense aérienne fabriqués par l'usine de Thales à Belfast, en Irlande du Nord, pour un montant de 1,6 milliard de livres (1,94 milliard d'euros).
A Paris, Thales a bondi de 16,04% et Dassault Aviation de 14,77%. A Londres, BAE Systems a terminé en hausse de 14,58%.
A Francfort, Rheinmetall s'est envolé de 13,71% et Hensoldt de 22,25%, Saab de 11,56% à Stockholm et Leonardo de 16,13% à Milan.
Les rendements européens flambent, pas les américains"Sur le plan budgétaire, l'augmentation des dépenses signifie également une augmentation des emprunts", note Ipek Ozkardeskaya, analyste pour Swissquote Bank, ce qui pousse les rendements européens.
Sur le marché obligataire, le rendement à 10 ans de l'Allemagne était à 2,49% contre 2,41% vendredi, le britannique à 4,55% contre 4,48%. L'équivalent français évoluait à 3,21%, contre 3,14% à la dernière clôture.
Les rendements américains se détendaient de leur côté nettement, après les annonces sur la politique commerciale américaine, le dix ans évoluant autour de 4,16% contre 4,21% à la clôture vendredi.
L'euro gagne du terrainCôté changes, l'euro profite également de l'ambition affichée de renforcer les dépenses liées à la défense, les cambistes anticipant des politiques budgétaires plus souples qui injecteront de l'argent dans l'économie.
Vers 22H20 GMT, la monnaie unique prenait 1,09% face au dollar, à 1,0488 dollar pour un euro.
Le pétrole a reculé, le Brent de la mer du Nord glissant de 2,13% à 71,62 dollars le baril et le WTI américain a perdu 1,99% à 68,37 dollars.
La Bourse de New York a terminé en forte baisse lundi, minée par les dernières annonces de Donald Trump sur l'entrée en vigueur de surtaxes visant le Canada, le Mexique et la Chine.
Le Dow Jones a reculé de 1,48%, l'indice Nasdaq a chuté de 2,64% et l'indice élargi S&P 500 a lâché 1,76%, sa plus grosse perte depuis décembre.
La place américaine était déjà orientée à la baisse en début de journée, après la publication d'un indice de production industrielle montrant des inquiétudes grandissantes vis-à-vis des prix et de la demande.
Les industries américaines sont en train d'affronter "le premier choc opérationnel" résultant de la mise en place de nouvelles taxes sur les importations, selon cette enquête de la fédération professionnelle ISM.
"Les hausses de prix se sont accélérées en raison des droits de douane, ce qui a entraîné des retards dans la passation de nouvelles commandes, des arrêts de livraison de la part des fournisseurs et des répercussions sur les inventaires", a décrit le responsable de l'enquête, Timothy Fiore.
Mais les principaux indices boursiers américains ont surtout chuté en fin de séance, après une conférence de presse de Donald Trump.
Le président américain a notamment prévenu que le Canada et le Mexique n'avaient "plus de marge de manoeuvre" pour éviter l'entrée en vigueur dans la nuit de lundi à mardi des droits de douane sur l'ensemble de leurs produits aux Etats-Unis.
Il a par ailleurs signé lundi le décret imposant désormais 20% de droits de douane sur les produits chinois entrant aux Etats-Unis, contre 10% jusqu'ici.
Washington, Ottawa et Mexico négocient toujours afin d'interrompre durablement le flux vers les Etats-Unis de fentanyl, un puissant opioïde responsable de la mort de dizaines de milliers de personnes dans ce pays.
Donald Trump reproche au Canada, au Mexique et à la Chine de ne pas lutter assez efficacement contre ce trafic.
Afin de les forcer à agir, il avait imposé début février 25% de droits de douane sur l'ensemble des produits canadiens et mexicains, pourtant théoriquement protégés par un accord de libre-échange signé durant son premier mandat, avant de les suspendre pour un mois, satisfait des premiers gestes consentis par Ottawa et Mexico.
Dans le même temps, la Chine s'était vu imposer 10% de droits de douane supplémentaires, venant s'ajouter aux 10% déjà existants, une augmentation entrée en vigueur lundi.
L'indice VIX - dit "indice de la peur" - qui mesure la nervosité des investisseurs, a évolué en nette hausse, à son plus haut niveau depuis décembre.
Toutefois, pour Angelo Kourkafas, d'Edward Jones, "la toile de fond reste favorable", la place américaine restant relativement proche de ses records.
"Nous allons d'abord obtenir les effets négatifs de la politique de la nouvelle administration avant de passer aux conséquences positives sur la croissance" aux Etats-Unis, estime l'analyste.
Dans ce contexte, sur le marché obligataire, le rendement des emprunts d'Etat américains à dix ans se détendait nettement à 4,16% contre 4,21% à la clôture vendredi. Son équivalent à deux ans suivait la même dynamique, à 3,95% contre 3,99% à la clôture précédente.
Au tableau des valeurs, le géant des semi-conducteurs Nvidia a chuté de 8,69% après que Singapour a annoncé enquêter sur un possible acheminement de ses puces sophistiquées vers des pays sous sanctions américaines par des intermédiaires.
Selon des informations de presse, des serveurs de Dell (-7,01%) et Super Micro Computer (-13,00%) contenant ces puces auraient été envoyées en Malaisie depuis Singapour, et les enquêteurs cherchent désormais à savoir si elles ont ensuite été acheminées vers d'autres pays, comme la Chine.
La Bourse de New York évolue en baisse lundi, après une ouverture dans le vert, la publication d'un indice de production industrielle aux Etats-Unis renforçant les inquiétudes sur la politique commerciale américaine et ses conséquences.
Vers 15H40 GMT, le Dow Jones reculait de 0,03%, l'indice Nasdaq lâchait 0,31% et l'indice élargi S&P 500 perdait 0,08%.
Les industries américaines sont en train d'affronter "le premier choc opérationnel" résultant de la mise en place de nouvelles taxes sur les importations, selon un indice publié lundi quelques minutes après l'ouverture de Wall Street et montrant des inquiétudes grandissantes vis-à-vis des prix et de la demande.
L'activité manufacturière a continué à progresser en février aux Etats-Unis (50,3%), mais à un rythme moins élevé que le mois précédent (50,9%), selon un indice de la fédération professionnelle ISM.
Ces deux mois marquent un changement de tendance après "26 mois consécutifs de contraction" de cet indice, selon le communiqué.
L'horizon s'est pourtant obscurci dans le même temps, les secteurs industriels rapportant un surcroît de difficultés et d'inquiétudes.
"La demande a diminué, la production s'est stabilisée et la réduction des effectifs s'est poursuivie alors que les entreprises sondées subissent le premier choc opérationnel de la politique en matière de droits de douane" du nouveau gouvernement Trump, relève le responsable de l'enquête, Timothy Fiore, cité dans le communiqué.
Le secrétaire au Commerce américain Howard Lutnick a confirmé dimanche à la télévision américaine que les droits de douane visant le Mexique et le Canada entreront en vigueur mardi, tout en laissant "au président et à son équipe le soin de négocier la nature exacte de ces droits".
Donald Trump avait annoncé une hausse à partir du 4 février de 25% des droits de douane sur les produits provenant du Canada et du Mexique, avant de repousser l'échéance au 4 mars.
Le président américain a déjà relevé de 10% les droits de douane sur les produits chinois et promis d'imposer des surtaxes supplémentaires de 10% dès mardi.
"Les droits de douane ont pesé sur l'esprit des investisseurs depuis l'élection" de Donald Trump en novembre, et "aujourd'hui, il semble que nous marchions à nouveau sur la corde raide : ces mesures seront-elles annulées" à la veille de leur entrée en vigueur ou bien confirmées ? "C'est là toute l'inconnue", a souligné auprès de l'AFP Art Hogan, de B. Riley Wealth Management.
Dans ce contexte, sur le marché obligataire, le rendement des emprunts d'Etat américains à dix ans était pratiquement stable par rapport à la clôture vendredi, à 4,19% vers 15H40.
A l'agenda cette semaine, sont attendus plusieurs résultats de géants du secteur de la vente et de la distribution, avec notamment Costco, Kroger, Target et Macy's
Au tableau des valeurs, les actions des entreprises associées aux cryptomonnaies étaient globalement en hausse lundi, comme Coinbase (+2,03%), Riot Platforms (+3,77%) et MicroStrategy (+5,12%), après que Donald Trump a identifié dimanche cinq cryptomonnaies à l'étude pour une nouvelle "réserve stratégique" américaine, faisant bondir leur cours sur les marchés.
Sur son réseau Truth Social, le président américain a déclaré qu'un groupe de travail qu'il avait mis en place peu de temps après son entrée en fonction allait de l'avant s'agissant de cette réserve, qui comprendra le Bitcoin et l'Ethereum ainsi que trois cryptomonnaies plus petites: XRP, Solana et Cardano.
Le constructeur automobile américain Ford était recherché (+2,19%) malgré la publication de ventes en baisse de près de 9% en février. Son concurrent Tesla reprenait 1,45% après sa lourde chute de la semaine passée.
Le géant des semi-conducteurs Nvidia chutait (-4,48%) après que Singapour a annoncé enquêter sur un possible acheminement de ses puces sophistiquées vers des pays sous sanctions américaines par des intermédiaires. Selon des informations de presse, des serveurs de Dell (-3,08%) et Super Micro Computer (-3,59%) contenant ces puces auraient été envoyées en Malaisie depuis Singapour, et les enquêteurs cherchent désormais à savoir si elles ont ensuite été acheminées vers d'autres pays, comme la Chine.
Les marchés boursiers mondiaux ont gardé le regard rivé sur les déclarations politiques et commerciales du président américain Donald Trump vendredi, à l'issue d'une semaine rythmée par de multiples annonces sur la politique douanière américaine.
"Les préoccupations géopolitiques sont au premier plan" et subsistent de "nombreuses incertitudes", souligne Adam Sarhan, de 50 Park Investments.
Donald Trump a relevé de 10% les droits de douane sur les produits chinois, promis 25% pour ceux en provenance du Canada et du Mexique, cible aussi des blocs comme l'Union européenne (UE) et des secteurs spécifiques comme l'acier, l'aluminium, les automobiles, ou les médicaments.
Jeudi, il a annoncé que les taxes sur les importations chinoises seraient encore plus élevées à compter du 4 mars, et que les droits de douane promis au Canada et au Mexique entreraient également en vigueur à cette date.
Le président américain a annoncé le même jour que les Etats-Unis et le Royaume-Uni allaient conclure un "très bon accord commercial", lors d'une visite du Premier ministre britannique Keir Starmer à la Maison Blanche.
Vendredi, après la clôture des places européennes, la rencontre entre M. Trump et Volodymyr Zelensky a tourné à l'affrontement, le président américain menaçant son invité, en haussant la voix, de "laisser tomber" l'Ukraine s'il ne faisait pas de concession à la Russie.
M. Zelensky a quitté prématurément la Maison Blanche après cette joute verbale inédite dans le Bureau ovale. "Il pourra revenir quand il sera prêt à la paix", a assené, dans un message sur son réseau social le président des Etats-Unis un peu avant ce départ précipité.
Cet épisode a brièvement fait tanguer la place américaine. Mais Wall Street a quand même terminé en hausse, profitant d'un rebond technique après plusieurs jours consécutifs de baisse qui ont "effacé tous les gains réalisés" après l'élection de Donald Trump en novembre, souligne Adam Sarhan.
L'indice Dow Jones a grimpé de 1,39%, le Nasdaq a gagné 1,63% et l'indice élargi S&P 500 a avancé de 1,59%.
En Europe, seule la Bourse de Londres a véritablement gagné du terrain vendredi (+0,61%). Francfort a terminé parfaitement stable (+0,00%) après avoir passé toute la séance en territoire négatif, tout comme Paris, qui affichait +0,11% à la clôture.
Autre source d'inquiétude des investisseurs, l'inflation américaine s'est révélée conforme aux attentes en janvier, selon l'indice PCE, préféré par la banque centrale américaine (Fed). Les acteurs du marché ont toutefois relevé que les dépenses des ménages ont reculé sur un mois, alors même que leurs revenus ont progressé.
La semaine prochaine, "le discours du président américain Trump au Congrès, ainsi que le début potentiel des droits de douane proposés sur les produits chinois, canadiens et mexicains mardi seront les principaux événements à suivre", ont écrit les économistes de Deutsche Bank.
Microsoft ferme SkypeMicrosoft a gagné 1,14% à Wall Street après avoir annoncé qu'elle allait fermer, en mai, la plateforme Skype, pionnière des appels par internet au début des années 2000, aujourd'hui dépassée par la généralisation de cette technologie et l'émergence d'autres services tels Zoom, selon un message posté sur X (ex-Twitter).
Fondée par des entrepreneurs scandinaves, Skype avait été rachetée en 2011 par le géant américain des logiciels pour 8,5 milliards de dollars.
Le bitcoin a perdu 25% depuis son recordCôté pétrole, le prix du baril de WTI américain a reculé de 0,84% à 69,76 dollars et celui de Brent de la mer du Nord a perdu 1,16% à 73,18 dollars.
Si les tarifs douaniers et les sanctions peuvent soutenir les prix du pétrole à court terme, "lorsqu'ils freinent la croissance, ils affectent également la demande de pétrole" et donc les prix, explique Arne Lohmann Rasmussen, analyste de Global Risk Management, dans une note.
La chute du bitcoin se poursuivait, à 84.512 dollars (-2,85%). La plus capitalisée des cryptomonnaies a perdu plus de 25% depuis son dernier record, quand elle avait tutoyé les 110.000 dollars quelques heures avant l'investiture de M. Trump le 20 janvier.
La Bourse de New York a ouvert en ordre dispersé vendredi, les investisseurs accueillant avec soulagement un indicateur d'inflation clé conforme aux attentes, tandis que le secteur de la "tech" restait quelque peu à la peine.
Vers 15H00 GMT, l'indice Dow Jones prenait 0,50%, le Nasdaq reculait de 0,10% et l'indice élargi S&P 500 prenait 0,25%.
La place américaine accueillait vendredi la publication de l'indice des prix PCE, privilégié par la banque centrale américaine (Fed), qui a été plutôt "neutre" et qui n'a pas réservé de "surprises", selon Sam Stovall, de CFRA.
L'inflation a ralenti en janvier aux États-Unis, à +2,5% sur un an contre 2,6% un mois plus tôt, dans la lignée des attentes et après plusieurs accélérations consécutives.
Sur un mois, la hausse des prix est restée inchangée, à +0,3%, selon cet indice publié par le ministère du Commerce.
Ce ralentissement - sur un an et sur un mois - était attendu par les analystes, d'après le consensus publié par MarketWatch.com.
Sur le marché obligataire, le rendement des emprunts d'Etat américains à dix ans s'est détendu, à 4,23% contre 4,26% la veille en clôture.
"Les investisseurs poussent un soupir de soulagement parce qu'ils ne voulaient pas finir la semaine sur une mauvaise nouvelle, après en avoir absorbé un certain nombre", commente auprès de l'AFP M. Stovall.
Le marché a connu une semaine riche en rebondissements, au rythme des revirements sur les droits de douane de l'administration Trump.
Le président américain a annoncé jeudi soir que les États-Unis imposeraient des droits de douane supplémentaires de 10% sur les produits chinois à compter du 4 mars.
M. Trump a également assuré que des taxes de 25% visant le Canada et le Mexique entreraient en vigueur le même jour.
"Wall Street a conclu que les discussions sur les taxes douanières relevaient plus de la rhétorique que de la réalité", explique M. Stovall. "Et si elles sont adoptées, elles le seront probablement pour des périodes à très court terme", anticipe l'analyste.
En revanche, "ce que nous ne savons pas, c'est le type de mesures commerciales réciproques qui seront mises en place par d'autres pays", ajoute-t-il.
Côté entreprises, une partie de la "tech" américaine continuait d'évoluer dans le rouge après la lourde chute de l'indice Nasdaq - à forte coloration technologique - la veille.
Après avoir perdu plus de 8% jeudi en clôture, miné par des résultats au-dessus des attentes mais qui ont laissé les investisseurs sur leur faim, Nvidia lâchait 1,34% vendredi.
Le groupe de Santa Clara (Californie) a dégagé un bénéfice net de 22,1 milliards de dollars, pour les trois mois allant de novembre à janvier, en hausse de 80%. Il s'est aussi montré encourageant quant à la demande de semi-conducteurs.
"Les investisseurs espéraient un succès beaucoup plus important, qui ne s'est pas concrétisé", estime M. Stovall.
Le secteur des semiconducteurs évoluait en ordre dispersé, à l'instar de Broadcom (-1,07%), Qualcomm (+0,60%), AMD (+0,55%), ou Micron (-0,27%).
Le fabricant d'ordinateurs et serveurs Dell plongeait de 5,70%, après avoir publié des résultats mitigés. Son concurrent HP (-6,64%) a également été boudé après performances jugées décevantes.
Microsoft lâchait 0,55% après avoir annoncé qu'elle allait fermer, en mai, la plateforme Skype, pionnière des appels par internet au début des années 2000, aujourd'hui dépassée par la généralisation de cette technologie et l'émergence d'autres services tels Zoom, selon un message posté sur X (ex-Twitter).
Fondée par des entrepreneurs scandinaves, Skype avait été racheté en 2011 par le géant américain des logiciels pour 8,5 milliards de dollars.
Les marchés mondiaux ont terminé globalement en baisse jeudi, Wall Street marquant particulièrement le pas, minés par les incertitudes sur la politique commerciale américaine et déçus des résultats du géant Nvidia.
En Europe, la Bourse de Paris a baissé de 0,51%, Francfort a fortement reculé de 1,07% et Milan de 1,53%. Seule Londres a avancé de 0,28%.
A Wall Street, le Dow Jones a perdu 0,45%, l'indice Nasdaq a plongé de 2,78% et l'indice élargi S&P 500 a reculé de 1,59%.
Le champion américain des microprocesseurs Nvidia a lâché 8,48% et a perdu plus de 250 milliards de capitalisation boursière au lendemain de la publication de ses résultats, tirant le Nasdaq vers le bas.
"Les résultats de Nvidia étaient très attendus hier (...) et ils étaient solides", a commenté auprès de l'AFP Victoria Fernandez, de Crossmark Global Investments.
"Mais ce n'était pas un rapport +fantastique+, les investisseurs ont peut-être placé leurs attentes un peu trop haut", selon l'analyste.
Le groupe de Santa Clara (Californie) a dégagé un bénéfice net de 22,1 milliards de dollars, pour les trois mois allant de novembre à janvier, en hausse de 80%. Il s'est aussi montré encourageant quant à la demande de semi-conducteurs.
Toutefois, "dans un environnement (...) où il y a beaucoup d'incertitudes, je ne suis pas surprise de voir le marché réagir comme il l'a fait", a souligné Victoria Fernandez.
Les investisseurs et les entreprises "veulent pouvoir prendre des décisions en sachant ce qui les attend afin de se positionner au mieux, mais ils ne peuvent pas le faire pour le moment", a ajouté l'analyste, notamment face aux nombreux rebondissements sur les droits de douane.
Dans un énième revirement, le président américain Donald Trump a annoncé jeudi que les Etats-Unis imposeraient des droits de douane supplémentaires de 10% sur les produits chinois à compter du 4 mars, et affirmé que les surtaxes visant le Canada et le Mexique entreraient également en vigueur à cette date.
La veille, à l'occasion de la première réunion de son cabinet à la Maison Blanche, M. Trump a aussi annoncé que les produits européens feraient l'objet de 25% de droits de douane supplémentaires, soit le niveau auquel les produits canadiens et mexicains devraient également être taxés à partir de début mars.
L'Union européenne "fera de même", a assuré le ministre français de l'Economie Eric Lombard dans un entretien à l'AFP au lendemain des annonces de Donald Trump.
"Les actions européennes ont bien performé depuis le début de l'année. Aujourd'hui, le sentiment de marché est un peu plus mitigé parce qu'on rentre dans le dur d'une guerre commerciale avec les Etats-Unis", commente Nicolas Budin, responsable de la gestion actions chez Myria AM.
"La hausse des droits de douane a des conséquences directes sur plusieurs industries", à commencer par le secteur automobile, explique M. Budin.
"C'est une industrie manufacturière, difficilement délocalisable" au gré des tensions diplomatiques, poursuit-il.
Les entreprises automobiles allemandes, pour lesquelles le marché américain est particulièrement important, ont nettement reculé jeudi.
A Francfort, Volkswagen a perdu 1,84%, Mercedes 2,59% et BMW 3,96%. Ailleurs en Europe, Stellantis a cédé 5,21% et Volvo 4,71%.
WWP plonge et entraîne PublicisLe géant britannique de la publicité WPP a dévissé de 15,66% à Londres, plombé par des résultats moins bons qu'attendu en 2024 et des perspectives moroses pour l'année en cours.
Dans son sillage, son concurrent français Publicis, spécialiste de la communication, a chuté de 4,45% à Paris.
Le pétrole et le dollar décollentLes cours du pétrole ont nettement grimpé jeudi grâce à un rebond technique, également poussés par l'annulation de la licence d'exploitation de pétrole du Venezuela accordée à l'entreprise américaine Chevron.
Le prix du baril de Brent de la mer du Nord a progressé de 2,08% à 74,04 dollars et le baril de West Texas Intermediate, pour livraison le même mois, s'est envolé de 2,52% à 70,35 dollars.
Le dollar a bondi jeudi, entraîné par les nouvelles annonces sur les droits de douane: vers 19H40 GMT, le billet vert bondissait de 0,76% par rapport à la monnaie unique européenne, à 1,0404 dollar.
La Bourse de New York a terminé en forte baisse jeudi, les résultats du géant Nvidia laissant les investisseurs sur leur faim, alors que les incertitudes sur la politique commerciale américaine continuent de miner le marché.
Le Dow Jones a perdu 0,45%, l'indice Nasdaq a plongé de 2,78% et l'indice élargi S&P 500 a reculé de 1,59%.
La deuxième capitalisation boursière mondiale Nvidia a lâché 8,48% et a perdu plus de 250 milliards de capitalisation boursière au lendemain de la publication de ses résultats, tirant le Nasdaq vers le bas.
"Les résultats de Nvidia étaient très attendus hier (...) et ils étaient solides", a commenté auprès de l'AFP Victoria Fernandez, de Crossmark Global Investments.
"Mais ce n'était pas un rapport +fantastique+, les investisseurs ont peut-être placé leurs attentes un peu trop haut", selon l'analyste.
Le groupe de Santa Clara (Californie) a dégagé un bénéfice net de 22,1 milliards de dollars, pour les trois mois allant de novembre à janvier, en hausse de 80%. Il s'est aussi montré encourageant quant à la demande de semi-conducteurs.
Mais Wall Street s'inquiète ces dernières semaines des perspectives de croissance des secteurs liés au développement de l'intelligence artificielle (IA).
Ces craintes se sont accentuées avec le lancement, fin janvier, de l'interface d'IA générative de la start-up chinoise DeepSeek, développée sans le microprocesseur vedette de Nvidia, le H100, et uniquement avec des puces moins performantes.
Dans le sillage de Nvidia, l'ensemble du secteur des semiconducteurs a terminé dans le rouge, à l'instar de Broadcom (-7,11%), Qualcomm (-4,73%), AMD (-4,96%), Micron (-6,03%) ou Intel (-1,83%).
Les capitalisations géantes du secteur technologique ont aussi reculé, comme Apple (-1,19%), Microsoft (-1,80%) ou Alphabet (-2,57%).
"Dans un environnement comme celui-ci, où (les acteurs du marché) sont très inquiets au sujet de la croissance, des droits de douane (...) et où il y a beaucoup d'incertitude, je ne suis pas surprise de voir le marché réagir comme il l'a fait", a souligné Victoria Fernandez.
Les investisseurs et les entreprises "veulent pouvoir prendre des décisions en sachant ce qui les attend afin de se positionner au mieux, mais ils ne peuvent pas le faire pour le moment", a ajouté l'analyste, notamment face aux nombreux rebondissements sur les droits de douane.
Dans un énième revirement, le président américain Donald Trump a annoncé jeudi que les Etats-Unis imposeraient des droits de douane supplémentaires de 10% sur les produits chinois à compter du 4 mars, et affirmé que les surtaxes visant le Canada et le Mexique entreraient également en vigueur à cette date.
Côté indicateurs, les investisseurs ont en ligne de mire la publication vendredi de l'indice des prix PCE, privilégié par la banque centrale américaine (Fed).
L'indice PCE "sera un élément clé et (...) le marché réagira probablement si nous obtenons un chiffre très éloigné du consensus", a observé Mme Fernandez.
Cet indice sera d'autant plus scruté que les investisseurs s'inquiètent de la croissance américaine.
L'indice de confiance du Conference Board de février a fortement reculé mardi, tandis que vendredi déjà, une autre publication de l'université du Michigan témoignait également de l'inquiétude accrue des consommateurs américains.
Sur le marché obligataire, le rendement des emprunts d'Etat américains à dix ans est resté stable par rapport à la veille, à 4,26%.
Ailleurs, à la cote, le groupe de médias Warner Bros Discovery a gagné 4,76% après avoir annoncé le gain de 6,4 millions d'abonnés au quatrième trimestre, un nombre supérieur aux attentes. Le groupe dispose d'une base d'abonnés de plus de 116 millions et a prévu de franchir la barre des 150 millions en 2026.
Le site de ventes en ligne eBay a plongé (-8,19%), malgré des résultats supérieurs aux attentes, car ses prévisions ne convainquent pas les investisseurs. Pour le trimestre en cours, l'entreprise table sur un chiffre d'affaires de 2,54 milliards de dollars, contre 2,59 milliards attendus par le consensus réalisé par FactSet.
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