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Coach de trading en chef et conférencier BeingTrader, plus de 8 ans d'expérience dans le trading du marché des changes, principalement XAUUSD, EUR/USD, GBP/USD, USD/JPY et pétrole brut. Un trader et analyste confiant qui vise à explorer diverses opportunités et à guider les investisseurs sur le marché. En tant qu'analyste, je cherche à améliorer l'expérience du trader en le soutenant avec suffisamment de données et de signaux.
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Risk Warning on Trading HK Stocks
Despite Hong Kong's robust legal and regulatory framework, its stock market still faces unique risks and challenges, such as currency fluctuations due to the Hong Kong dollar's peg to the US dollar and the impact of mainland China's policy changes and economic conditions on Hong Kong stocks.
HK Stock Trading Fees and Taxation
Trading costs in the Hong Kong stock market include transaction fees, stamp duty, settlement charges, and currency conversion fees for foreign investors. Additionally, taxes may apply based on local regulations.
HK Non-Essential Consumer Goods Industry
The Hong Kong stock market encompasses non-essential consumption sectors like automotive, education, tourism, catering, and apparel. Of the 643 listed companies, 35% are mainland Chinese, making up 65% of the total market capitalization. Thus, it's heavily influenced by the Chinese economy.
HK Real Estate Industry
In recent years, the real estate and construction sector's share in the Hong Kong stock index has notably decreased. Nevertheless, as of 2022, it retains around 10% market share, covering real estate development, construction engineering, investment, and property management.
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Le Beyfortus, traitement destiné à immuniser les bébés contre le principal virus à l'origine de la bronchiolite, n'est pas assez remboursé, poussant de nombreux parents à y renoncer, ont regretté mercredi les principales organisations de pédiatres français.
"Cette décision de limiter le remboursement apparaît incompréhensible et irrecevable", estiment dans un communiqué commun plusieurs organisations, dont la Société française de pédiatrie (SFP) et l'Association française de pédiatrie ambulatoire (AFPA).
Le Beyfortus fait partie d'une série de traitements novateurs qui visent à empêcher ou limiter l'infection au virus respiratoire syncytial (VRS), principal responsable de la bronchiolite.
Celle-ci touche notamment les nourrissons, chez qui elle provoque une épidémie annuelle.
L'épidémie a déjà commencé cette année en métropole, touchant pour l'heure la région parisienne et les Hauts-de-France selon un bilan hebdomadaire publié mercredi par l'agence de santé publique, même si elle reste d'ampleur modérée par rapport aux précédentes années.
Le Beyfortus (des laboratoires AstraZeneca et Sanofi) avait déjà été proposé l'an dernier à de nombreux nourrissons. A l'époque, les coûts avaient été pris en charge par l'Etat qui avait directement acheté des doses aux laboratoires.
Mais cette année, le traitement passe à un remboursement plus traditionnel, via l'Assurance Maladie. Et celle-ci ne le rembourse qu'à hauteur de 30%, le reste étant à charge des mutuelles.
Or, "de nombreuses familles, incapables de payer le ticket modérateur qui leur reste à charge, environ 300 euros, (rapportent) que plusieurs mutuelles ne remboursent pas ou partiellement", soulignent les pédiatres.
A titre de comparaison, de nombreux vaccins pour les enfants sont remboursés à 65% et celui contre la rougeole l'est intégralement.
Le remboursement plus faible du Beyfortus découle d'une évaluation par la Haute autorité de santé (HAS) qui a qualifié son service médical rendu comme "modéré".
La HAS, qui a actualisé mercredi son avis, a pris en compte les données enregistrées la saison dernière, témoignant d'une nette baisse des hospitalisations grâce au Beyfortus. Mais elle constate aussi un manque de données probantes sur les conséquences les plus lourdes à gérer pour les hôpitaux, en particulier les passages en soins intensifs.
Par ailleurs, malgré les inquiétudes des pédiatres, Sanofi avait estimé fin octobre qu'un bébé éligible sur deux avait déjà reçu le Beyfortus.
En outre, un autre traitement préventif est disponible, l'Abrysvo de Pfizer, donné lui directement à la femme enceinte et intégralement remboursé dans le cadre de la prise en charge de la grossesse.
Le constructeur américain Ford a annoncé mercredi 4.000 nouvelles suppressions d'emplois en Europe d'ici fin 2027, principalement en Allemagne et au Royaume-Uni, une nouvelle illustration des difficultés du secteur automobile.
"L'entreprise a subi des pertes importantes ces dernières années et le passage de l'industrie aux véhicules électriques et à une nouvelle concurrence a été très préjudiciable", a déclaré le groupe dans un communiqué.
Les ventes de voitures électriques ralentissent depuis un an en Europe tandis que les plans sociaux se multiplient chez les constructeurs et les équipementiers automobiles, également touchés par la concurrence chinoise accrue.
Le plan annoncé par Ford représente 14% des effectifs du groupe en Europe. Parmi ces suppressions, 2.900 doivent toucher l'Allemagne, 800 les Royaume-Uni et 300 le reste de l'Europe, a indiqué à l'AFP un porte-parole de Ford, qui emploie 174.000 personnes dans le monde, dont 28.000 en Europe.
Cette annonce vient s'ajouter aux coupes de 3.800 postes annoncées l'an dernier sur le Vieux continent.
Le constructeur, qui était un des piliers de l'industrie automobile européenne, a vu ses parts de marché s'effondrer au cours des vingt dernières années et représentait 4,4% des ventes de voitures neuves en 2023 dans le monde, loin derrière Volkswagen (6%) et Toyota (10,7%).
Ford a déclaré s'être adressé au gouvernement allemand pour demander des investissements publics dans les infrastructures de recharge ainsi que des "incitations significatives pour aider les consommateurs à passer aux véhicules électrique", alors que l'Allemagne a mis fin l'an dernier aux bonus environnemental pour l'achat de voitures électriques.
L'économie allemande, dont l'industrie automobile est l'un des piliers, est particulièrement touchée par les difficultés du secteur. Volkswagen, fleuron national et plus gros constructeur européen, traverse une crise inédite et négocie actuellement un plan d'économies d'ampleur qui pourrait conduite à des milliers de licenciements, voire des fermetures d'usines.
Pfizer a nommé Chris Boshoff, un vétéran de la société qui a dirigé la recherche sur le cancer et le marketing du fabricant de médicaments pendant plus d'un an, au poste de directeur de la recherche et du développement, a rapporté le WSJ mercredi.
Boshoff assumera le rôle de directeur scientifique à partir du 1er janvier, ajoute le rapport.
Dans ses nouvelles fonctions, M. Boshoff sera chargé de faire progresser une série de vaccins et de médicaments expérimentaux contre le cancer, les maladies immunitaires et d'autres maladies, sur lesquels Pfizer compte pour redresser sa situation, selon le rapport.
Pfizer n'a pas répondu immédiatement à une demande de commentaire de Reuters.
Principales valeurs à suivre mercredi à Wall Street, où les contrats à terme sur les principaux indices suggèrent une ouverture en hausse de 0,28% pour le Dow Jones , de 0,20% pour le Standard & Poor's 500 et de 0,18% pour le Nasdaq :
* APPLE a accusé cette année une baisse de ses ventes lors de la "Journée des célibataires" en Chine sous la pression d'un nombre "anormalement élevé" d'appareils lancés par la concurrence lors de cet évènement de plusieurs semaines marqué par une forte consommation dans le pays, selon des données publiées mercredi par Counterpoint Research.
* COMCAST va bien se séparer de ses réseaux de télévision câblée NBCUniversal, y compris MSNBC et CNBC, selon des sources. Cette activité, victime de l'essor du "streaming vidéo", constituait jadis une partie du coeur du groupe. L'action Comcast prend 3% en avant-Bourse.
* QUALCOMM a annoncé mardi être "positif" sur la nouvelle administration du président élu Donald Trump et que le groupe n'était pas préoccupé par son projet de relèvement des droits de douane sur les importations en provenance de Chine, pays représentant près de la moitié du chiffre d'affaires du fabricant de semi-conducteurs.
* PFIZER - Un juge fédéral aux Etats-Unis a rejeté mardi la demande du laboratoire visant à récupérer environ 75,2 millions de dollars restants d'un accord entre la Securities and Exchange Commission (SEC), le gendarme boursier américain, et l'ancien fonds spéculatif du milliardaire Steven A. Cohen, SAC Capital Management.
* SPIRIT AEROSYSTEMS - Le patron d'Airbus , Guillaume Faury, a déclaré à Reuters que les négociations visant à finaliser le rachat d'une partie du fournisseur américain d'aérostructures se déroulaient sans heurts, mais que l'intégration de ce dernier dans l'avionneur européen ne serait "pas une promenade de santé".
* DT MIDSTREAM a annoncé mardi son intention d'acquérir trois gazoducs auprès d'ONEOK pour 1,2 milliard de dollars en numéraire, renforçant ainsi sa présence dans le Midwest dans un contexte de consolidation du secteur.
Face aux difficultés rencontrées pour s'assurer, de plus en plus d'entreprises françaises ont recours à l'auto-assurance en France, une solution facilitée par la loi depuis l'an dernier et qui permet de mettre de côté une partie des bénéfices pour indemniser de futurs sinistres.
Le contingent, désormais proche de la vingtaine d'entreprises, a doublé depuis l'été dernier: des sociétés comme La Poste, les Chantiers de l'Atlantique ou Orange sont venues rejoindre Dassault (défense), Veolia (environnement) ou encore L'Oréal (cosmétiques).
Cet arrangement comptable passe par la création d'une filiale dédiée, nommée une "captive" de réassurance.
Les entreprises concernées ont même formé un club, la Fédération française des captives d'entreprise (FFCE), qui célèbre mardi son premier anniversaire.
Les captives de réassurance sont la "pierre angulaire de la gestion globale des risques et de leur financement", a vanté mardi la présidente de la FFCE Brigitte Bouquot. "L'essor de la création des captives en France est là, sous nos yeux", selon elle.
"On est encore assez modestes en France pour ce qui est des captives", a tempéré le vice-président de l'Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR), Jean-Paul Faugère.
Le représentant du superviseur des banques et des compagnies d'assurance, chargé d'homologuer ces groupes un peu particuliers, a évoqué "quelques dossiers en cours" d'étude, en plus des 17 d'ores et déjà agrées, et la publication la semaine dernière d'un guide d'information dédié.
- "Nombreux avantages" -Les captives de réassurance présentent un intérêt particulier pour certains secteurs comme la logistique, les transports, la filière bois, le spatial ou encore l'agroalimentaire, qui ont vu leurs primes d'assurance flamber ces dernières années, voire leurs assureurs historiques se retirer.
"La captive nous offre une flexibilité et une réactivité que les solutions d'assurance traditionnelles ne peuvent égaler", a déclaré mardi le secrétaire général de Veolia Helman le Pas de Sécheval.
"Elle nous permet d'adapter rapidement notre couverture en fonction de l'évolution de nos besoins et de notre profil de risque", a-t-il poursuivi, et de "développer un expertise interne précieuse qui profite à l'ensemble du groupe".
Parmi les "nombreux avantages" offerts aux entreprises qui s'auto-assurent, le cabinet de conseil Mazars met en avant sur son site un "cadre fiscal avantageux", "la possibilité de couvrir des risques difficilement ou non-assurables sur le marché" et "la réduction du coût des assurances".
La minimum de capital requis par le régulateur, de 1,3 million d'euros, peut cependant freiner les plus petits candidats.
Les entreprises ayant recours à des captives sont mieux vues des assureurs, qui leur font davantage confiance sur la mise en place de programmes de prévention, à même de réduire la fréquence des sinistres.
Certains comme le géant Axa en ont même créé une offre d'accompagnement dédiée, depuis la création d'une captive à sa gestion.
- A quand les transferts? -Le nombre de captives pourrait décoller si les groupes français qui en possèdent une à l'étranger - la majorité du SBF 120, selon la FFCE - choisissent de les rapatrier en France.
Plus avantageux depuis l'an dernier, notamment en matière fiscale, le système français n'a désormais "rien à envier à des systèmes qui peuvent exister à l'étranger", a souligné M. Faugère, "et qui ont fait la fortune de certaines places" comme le Luxembourg, l'Irlande, Malte ou encore les Bermudes.
"C'est quand même assez paradoxal de voir que les captives qui existent sont pour l'essentiel aujourd'hui fabriquées, constituées (...) en dehors de notre territoire national", a-t-il souligné.
Les projets de transferts de ces groupes "sont attendus avec intérêt et je dirais même un peu d'impatience parce que n'aimons pas trop du point de vue du superviseur ces gestions +foreign+ (à l'étranger, NDLR) en quelque sorte", a-t-il repris.
Le courtier Diot-Siaci assure accompagner "plusieurs dizaines de clients" dans ce questionnement-là.
L'avenir des captives risque aussi d'être secoué par la sortie l'an prochain d'un rapport évaluant le coût et le bénéfice pour la société de l'avantage fiscal, via un différé d'impôt, qui accompagne le dispositif.
** Barclays prévoit des perspectives difficiles en 2025 pour l'industrie pharmaceutique de l'UE, citant une rotation macro-économique au détriment des noms défensifs
** La récente baisse du sentiment dans les sociétés pharmaceutiques à grande capitalisation et l'amélioration des perspectives du marché en dehors du secteur des soins de santé suggèrent que l'industrie pharmaceutique de l'UE ne surperformera pas le marché en 2025, ajoute l'étude
** En 2025, le secteur se concentrera sur les catalyseurs cliniques, les fusions et acquisitions et l'incertitude politique actuelle, comme la nomination possible de Robert F. Kennedy Jr. au poste de secrétaire à la santé des États-Unis
** Mais il reste positif sur les perspectives à moyen et long terme, compte tenu également d'une augmentation des catalyseurs cliniques , de l'inélasticité de la demande de produits et d'une plus grande concentration des revenus aux États-Unis.
** Le courtier préfère Novo Nordisk et AstraZeneca , conservant sa "surpondération" sur les deux
** Il indique que la croissance d'AstraZeneca aux États-Unis devrait être supérieure à celle de la Chine et qu'il considère que sa valorisation est attrayante, malgré les enquêtes en Chine qui pèsent toujours sur elle
** Il s'attend à des résultats positifs pour le médicament CagriSema de Novo Nordisk en décembre , tandis qu'il estime qu'il y a plus de chances que l'accord avec Catalent soit conclu après les élections américaines
** Les actions des fabricants de vaccins prolongent leurs baisses avant la mise sur le marché
** Les actions cotées aux États-Unis de BioNTech , en baisse de 2,05% à 101,44 $, Moderna chute de 2,21% à 38,89 $, Novavax en baisse de 1,94% à 7,08 $, tandis que Pfizer en baisse marginale
** Les actions ont chuté de (link) jeudi après que le président élu Donald Trump a choisi Robert F. Kennedy Jr pour diriger le Département de la santé et des services sociaux, la principale agence de santé des États-Unis
** Kennedy (link) a souvent parlé de s'attaquer à ce qu'il appelle "l'épidémie de maladies chroniques" et est connu pour avoir diffusé des informations erronées sur les vaccins
** Les actions des entreprises du secteur de la santé chutent également (link) en Europe
** Il est difficile d'évaluer l'impact exact que cette nomination pourrait avoir sur l'industrie jusqu'à ce qu'il y ait plus d'informations sur les propositions politiques spécifiques et les priorités de l'administration entrante sur les soins de santé et l'industrie pharmaceutique - Courtage J.P.Morgan
** Jusqu'à la dernière clôture, MRNA a baissé de ~60%, PFE de ~10%, tandis que NVAX a augmenté de 50% depuis le début de l'année
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