Citations
Nouvelles
Analyse
Utilisateur
24/7
Calendrier économique
Education
Données
- Des noms
- Dernier
- Précédent
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
A:--
F: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
Pas de données correspondantes
Graphiques Gratuit pour toujours
Chat F&Q avec des Experts Filtres Calendrier économique Données OutilFastBull VIP FonctionnalitésTendances du marché
Principaux indicateurs
Dernières vues
Dernières vues
Sujets d'actualité
L’argent fait tourner le monde et la monnaie est une marchandise permanente. Le marché des changes est plein de surprises et d'attentes.
Sur les marchés financiers mondiaux, la bourse sert de baromètre économique et a toujours été au centre de l'attention des investisseurs. Son ascension et sa chute ont un impact profond sur l’économie de divers pays.
Les marchés financiers restent stables mais affichent un sentiment d'anticipation nerveuse alors que la nouvelle semaine commence. Les conflits entre Israël et le Hamas continuent d’occuper le devant de la scène, avec des inquiétudes croissantes quant au risque que la violence engloutisse l’ensemble de la région.
Le marché obligataire est le marché financier le plus ancien, mature, non innovant mais indispensable, tandis que la dette est un ancien vortex commun, discret mais redoutable.
Les meilleurs chroniqueurs
Salut! Êtes-vous prêt à vous impliquer dans le monde financier ?
Les dernières nouvelles et les événements financiers mondiaux.
J'ai 5 ans d'expérience en analyse financière, notamment dans les aspects d'évolution macroéconomique et de jugement de tendances à moyen et long terme. Je me concentre principalement sur l'évolution du Moyen-Orient, des marchés émergents, du charbon, du blé et d'autres produits agricoles.
Coach de trading en chef et conférencier BeingTrader, plus de 8 ans d'expérience dans le trading du marché des changes, principalement XAUUSD, EUR/USD, GBP/USD, USD/JPY et pétrole brut. Un trader et analyste confiant qui vise à explorer diverses opportunités et à guider les investisseurs sur le marché. En tant qu'analyste, je cherche à améliorer l'expérience du trader en le soutenant avec suffisamment de données et de signaux.
Dernière mise à jour
Risk Warning on Trading HK Stocks
Despite Hong Kong's robust legal and regulatory framework, its stock market still faces unique risks and challenges, such as currency fluctuations due to the Hong Kong dollar's peg to the US dollar and the impact of mainland China's policy changes and economic conditions on Hong Kong stocks.
HK Stock Trading Fees and Taxation
Trading costs in the Hong Kong stock market include transaction fees, stamp duty, settlement charges, and currency conversion fees for foreign investors. Additionally, taxes may apply based on local regulations.
HK Non-Essential Consumer Goods Industry
The Hong Kong stock market encompasses non-essential consumption sectors like automotive, education, tourism, catering, and apparel. Of the 643 listed companies, 35% are mainland Chinese, making up 65% of the total market capitalization. Thus, it's heavily influenced by the Chinese economy.
HK Real Estate Industry
In recent years, the real estate and construction sector's share in the Hong Kong stock index has notably decreased. Nevertheless, as of 2022, it retains around 10% market share, covering real estate development, construction engineering, investment, and property management.
Hong Kong, Chine
Ho Chi Minh, Vietnam
Dubaï, Émirats arabes unis
Lagos, Nigeria
Le Caire, Égypte
Marque blanche
API de données
Plug-ins Web
Programme d'affiliation
Tout voir
Pas de données
Non connecté
Se connecter pour accéder à d'autres fonctionnalités
FastBull VIP
Pas encore
Acheter
Se connecter
S'inscrire
Hong Kong, Chine
Ho Chi Minh, Vietnam
Dubaï, Émirats arabes unis
Lagos, Nigeria
Le Caire, Égypte
Marque blanche
API de données
Plug-ins Web
Programme d'affiliation
L'inflation en Chine a encore ralenti en octobre, selon des données officielles publiées samedi qui traduisent une nouvelle fois une consommation des ménages en manque de vitalité dans la deuxième économie mondiale.
L'indice des prix à la consommation (IPC) a augmenté de 0,3% en octobre sur un an, contre +0,4% en septembre, a indiqué le Bureau national des statistiques (BNS).
Pékin multiplie les plans de relance ces derniers mois dans l'espoir de donner un coup de fouet à l'activité domestique, entre un allègement de la dette des collectivités locales dévoilé vendredi et des aides massives au secteur de l'immobilier en crise annoncées mi-octobre.
Cette dernière mesure de l'inflation est cependant en deçà des prévisions d'économistes sondés par l'agence Bloomberg (+0,4%).
La Chine fait face à une faiblesse des prix et à un risque déflationniste, contrairement à de nombreuses économies occidentales qui ont été confrontées ces dernières années à une inflation élevée.
Fin 2023, le géant asiatique a plongé dans la déflation pendant quatre mois, enregistrant en janvier la plus forte contraction des prix à la consommation en 14 ans.
En octobre, les prix départ usine ont baissé de 2,9% sur un an en octobre, contre un recul de 2,8% en septembre, a ajouté le BNS.
Cette série déflationniste dure depuis fin 2022.
"Des mesures de relance ciblant la consommation seraient plus efficaces pour encourager la demande intérieure et éviter d'aggraver le problème de surcapacité" de l'industrie chinoise, a estimé dans une note Zhiwei Zhang, économiste en chef de Pinpoint Asset Management, faisant état d'une "pression déflationniste clairement persistante".
Le Premier ministre Li Qiang s'est dit mardi "pleinement confiant" quant à la capacité de la Chine à atteindre son objectif de croissance du PIB d'environ 5% en 2024.
Néanmoins, le pays a connu en juillet-septembre sa croissance trimestrielle la plus faible depuis un an et demi, à 4,6%.
Et la victoire mercredi à l'élection présidentielle américaine de Donald Trump, qui a promis d'imposer des droits de douane de 60% sur les produits chinois importés, accentue la pression sur Pékin.
Les Bourses mondiales ont divergé vendredi, entre des indices américains atteignant de nouveaux sommets après l'élection de Donald Trump, et des Européens inquiets de l'état de l'économie chinoise et du protectionnisme promis par le futur président américain.
A Wall Street, la Bourse de New York a poursuivi sa course aux records vendredi: le Dow Jones a progressé de 0,59%, l'indice Nasdaq de 0,09% et l'indice élargi S&P 500 de 0,38%.
Pour la première fois, en séance, le S&P 500 a dépassé les 6.000 points et le Dow Jones a franchi les 44.000 points.
La place américaine a continué à saluer vendredi la victoire de Donald Trump au scrutin présidentiel de mardi, qui "va promouvoir des taux d'imposition plus bas pour les entreprises et moins de réglementation", a commenté auprès de l'AFP Patrick O'Hare, analyste de Briefing.com.
"On assiste à la poursuite de la dynamique post-électorale (...), et les investisseurs craignent de passer à côté de gains supplémentaires", a-t-il ajouté.
Dans le même temps, Wall Street était toujours séduite par la nouvelle baisse de taux annoncée jeudi par la banque centrale américaine (Fed) et par l'image d'une bonne santé économique aux Etats-Unis.
La publication en cours de séance d'un indice de la confiance des consommateurs américains, au plus haut en novembre depuis six mois, a également porté vendredi les indices à New York.
Sur le marché obligataire américain, le taux d'intérêt des emprunts d'Etat à 10 ans est ressorti à 4,30%, contre 4,33% la veille en clôture.
Côté européen, les indices du Vieux Continent ont terminé la semaine en nette baisse: Paris a perdu 1,17%, Francfort 0,76%, tandis que Londres a reculé de 0,84%.
"Les tarifs douaniers imposés par Trump, qui se profilent à l'horizon, suscitent" au contraire "une vague d'incertitude", explique Stephen Innes, analyste chez SPI AM.
Donald Trump veut remonter de 10 à 20% les taxes à l'importation pour les produits entrant aux États-Unis, et jusque 60% pour ceux venant de Chine.
Cette augmentation des droits de douane ne devrait pas arranger la situation de la deuxième économie mondiale, atone depuis plusieurs mois, et dont dépendent de nombreuses entreprises européennes pour leurs exportations.
D'autant que de nouvelles mesures de relance annoncées vendredi par Pékin - un relèvement de 780 milliards d'euros du plafond de la dette des collectives locales- ont laissé les marchés sur leur faim.
Le luxe a par conséquent souffert particulièrement vendredi.
A Paris, Kering a dégringolé de 7,75%, LVMH de 3,33% et Hermès de 4,13%. A Londres, Burberry a plongé de 7,56%. Le Suisse Richemont reculait de 6,61%, après des résultats du deuxième trimestre déjà plombés par la faible demande chinoise.
Du côté de l'automobile aussi, Volkswagen (-1,91%), BMW (-3,21%) et Mercedes (-2,62%) ont reculé nettement en Allemagne. En France, Stellantis a perdu 3,70%.
Vistry fondLe promoteur immobilier britannique Vistry Group a perdu 15,51% vers 17H00 GMT à la Bourse de Londres après avoir encore tranché dans ses prévisions de résultat annuel, plombé par un coût sous-estimé de certains projets de construction.
Paramount reculeLes investisseurs se sont détournés du groupe de médias Paramount Global (-3,99%), qui a fait état de résultats inférieurs aux projections de Wall Street, plombés par le ralentissement de la télévision traditionnelle et du cinéma.
Le dollar profite aussi de "l'effet Trump"Le dollar est reparti au galop vendredi, toujours inspiré par la perspective d'une nouvelle présidence Trump qui devrait inciter la banque centrale américaine (Fed) à ne pas baisser ses taux autant que prévu.
Le "greenback", l'un des surnoms de la devise des Etats-Unis, profite de la victoire électorale de Donald Trump, que les investisseurs associent à une augmentation future du déficit, une croissance américaine soutenue et des perturbations majeures du commerce international.
Vers 20H30 GMT, le billet vert s'octroyait 0,86% face à la monnaie unique européenne, à 1,0714 dollar pour un euro.
Vers 22H20 GMT, le bitcoin montait à 76.521 dollars, après avoir frôlé jeudi la barre des 77.000 dollars, porté par les promesses de Trump en matière de dérégulation des cryptomonnaies.
Le pétrole flancheLes cours du pétrole se sont repliés vendredi, dans un marché déçu par de nouvelles mesures chinoises de soutien à l'économie et en panne de catalyseur pour se relancer.
Le prix du baril de Brent de la mer du Nord, pour livraison en janvier, a cédé 2,33%, pour clôturer à 73,87 dollars.
Celui du baril de West Texas Intermediate (WTI) américaine, avec échéance en janvier, a lui reculé de 2,73%, à 70,38 dollars.
Trois jours après l'élection de Donald Trump à la présidence des Etats-Unis, l'euphorie a encore régné vendredi à la Bourse de New York, où l'indice S&P-500 a franchi pour la première fois en séance la barre des 6.000 points et enregistré avec le Dow Jones sa plus forte hausse hebdomadaire depuis un an.
Au "come-back" spectaculaire de l'homme d'affaires à la Maison blanche s'est ajoutée la perspective de voir les républicains conserver leur majorité à la Chambre des représentants, après s'être emparés du Sénat.
Ce "Red Sweep" (raz-de-marée rouge, de la couleur du Parti républicain) faciliterait la mise en oeuvre du vaste programme de baisse d'impôts et de dérégulation favorable aux entreprises annoncé par Donald Trump.
Le moral des ménages américains s'est amélioré davantage que prévu depuis le début du mois de novembre, ont montré vendredi les premiers résultats de l'enquête mensuelle de l'Université du Michigan, les perspectives sur l'économie étant jugées meilleures parmi les républicains.
La baisse d'un quart de point de pourcentage des taux de la Réserve fédérale jeudi a également continué de favoriser la tendance.
Le rendement du bon du Trésor à dix ans (.YS10YT=RR) est toutefois resté proche de son plus haut niveau depuis quatre ans, les marchés ayant revu à la baisse le rythme de réduction des taux de la Fed en 2025 par crainte que les projets de taxes douanières de Donald Trump ne relancent l'inflation.
L'indice Dow Jones a progressé de 259,65 points (+0,59%) à 43.988,99, le S&P 500 a gagné 22,44 points (+0,38%) à 5.995,54, son 50e record de clôture cette année, et le Nasdaq Composite a avancé de 17,32 points (+0,09%), à 19.286,78.
Sur la semaine écoulée, le S&P a pris 4,66%, le Dow 4,61% et le Nasdaq 5,74%.
Le Dow Jones a passé en séance le cap des 44.000 points pour la première fois, en partie grâce à Salesforce , qui a pris 3,59% après une information de Bloomberg selon laquelle le fabricant de logiciels prévoyait de recruter un millier d'employés pour sa division d'intelligence artificielle.
Airbnb a chuté de plus de 8% après avoir publié un bénéfice au titre du troisième trimestre inférieur aux attentes. L'action du réseau social Pinterest a dégringolé de 14% après des perspectives de chiffre d'affaires jugées décevantes.
L'indice S&P 500 a brièvement touché la barre psychologiquement importante des 6 000 points pour la première fois vendredi, profitant d'une forte hausse après que Donald Trump (link) a remporté un second mandat en tant que président des États-Unis.
Les trois principaux indices ont atteint des niveaux record (link) le 6 novembre après les résultats de l'élection, car les analystes s'attendent à ce que les entreprises profitent des plans de M. Trump pour réduire les impôts et les réglementations.
Les contrats à terme sur le S&P 500 (ESCV1) ont franchi la barre des 6 000 points le 7 novembre.
L'indice de référence a progressé de plus de 25 % cette année, en hausse constante depuis la fin du précédent marché baissier en octobre 2022.
Le S&P 500 était en hausse de 0,43 % à 5 998,50.
Les fortes hausses enregistrées en 2024 ont été largement alimentées par une forte augmentation des actions de croissance des mégacapitalisations sensibles aux taux, dans l'espoir d'une baisse des coûts d'emprunt et d'un atterrissage en douceur de l'économie américaine.
La Réserve fédérale a réduit ses taux pour la première fois en quatre ans en septembre, puis de 25 points de base en novembre. Les opérateurs tablent sur une nouvelle réduction cette année, selon CME FedWatch.
Les valeurs des technologies de l'information ont alimenté la hausse de l'indice S&P 500, grâce à des entreprises telles que Nvidia , leader dans le domaine de l'intelligence artificielle.
Il n'a fallu qu'environ neuf mois à l'indice pour ajouter 1 000 points après avoir atteint la barre des 5 000 points au début du mois de février. En revanche, il a fallu près de trois ans à l'indice S&P 500 pour passer de 4 000 points en avril 2021 à 5 000 points.
La hausse des actions a toutefois entraîné une augmentation des valorisations, le S&P 500 se négociant à 22,3 fois les bénéfices prévisionnels, soit le niveau le plus élevé depuis deux ans, alors que la moyenne à long terme est de 16 fois.
La plupart des grandes maisons de courtage (link) s'attendent à ce que l'indice de référence termine l'année sous la barre des 6 000, bien qu'Evercore ISI le voie clôturer à ce niveau.
L'indice S&P 500 a franchi pour la première fois la barre psychologiquement importante des 6.000 points vendredi, profitant d'une forte hausse après que Donald Trump (link) a remporté un second mandat en tant que président des États-Unis.
Les trois principaux indices ont atteint des niveaux record (link) le 6 novembre après les résultats de l'élection, car les analystes s'attendent à ce que les entreprises bénéficient des plans de M. Trump pour réduire les impôts et les réglementations.
Les contrats à terme sur le S&P 500 (ESCV1) ont franchi la barre des 6 000 points le 7 novembre.
L'indice de référence a progressé de plus de 25 % cette année, en hausse constante depuis la fin du précédent marché baissier en octobre 2022.
Les fortes hausses enregistrées en 2024 ont été largement alimentées par une forte augmentation des actions de croissance des mégacapitalisations sensibles aux taux d'intérêt, dans l'espoir d'une baisse des coûts d'emprunt et d'un atterrissage en douceur de l'économie américaine.
La Réserve fédérale a réduit ses taux pour la première fois en quatre ans en septembre, puis de 25 points de base en novembre. Les opérateurs tablent sur une nouvelle réduction cette année, selon CME FedWatch.
Les valeurs des technologies de l'information ont alimenté la hausse de l'indice S&P 500, grâce à des entreprises telles que Nvidia , leader dans le domaine de l'intelligence artificielle.
Il n'a fallu qu'environ neuf mois à l'indice pour ajouter 1 000 points après avoir atteint la barre des 5 000 points au début du mois de février. En revanche, il a fallu près de trois ans à l'indice S&P 500 pour passer de 4 000 points en avril 2021 à 5 000 points.
La hausse des actions a toutefois entraîné une augmentation des valorisations, le S&P 500 se négociant à 22,3 fois les bénéfices prévisionnels, soit le niveau le plus élevé depuis deux ans, alors que la moyenne à long terme est de 16.
La plupart des grandes maisons de courtage (link) s'attendent à ce que l'indice de référence termine l'année sous la barre des 6 000, bien qu'Evercore ISI le voie clôturer à ce niveau.
La Bourse de Paris a fini en net recul vendredi, plombée par ses poids lourds du luxe qui font les frais des inquiétudes sur la faiblesse de l'économie chinoise et le protectionnisme promis par Donald Trump.
L'indice vedette CAC 40 a perdu 1,17%, à 7.338,67 points, soit une baisse de 86,93 points à la clôture. Jeudi, il avait terminé en hausse de 0,76%, à 7.425,60 points.
Il est tombé vendredi à son plus bas niveau depuis le 14 août, après avoir reculé, sur l'ensemble de la semaine, de 0,95%.
La place parisienne a particulièrement été tirée vers le bas par le fort recul des valeurs du luxe, qui pèsent lourd dans sa cote. Kering a dégringolé de 7,75%, LVMH a perdu 3,33% et Hermès 4,13%.
Celles-ci ont pâti des inquiétudes des investisseurs à l'égard de la faiblesse de la croissance économique en Chine, l'un de leurs principaux marchés, où elles sont en difficulté depuis plusieurs mois.
De nouvelles mesures de relance annoncées vendredi par Pékin - un relèvement de 780 milliards d'euros du plafond de la dette des collectivités locales - ont déçu. Et le géant suisse du secteur du luxe, Richemont, a publié vendredi un deuxième trimestre décevant, justement plombé par la faible demande chinoise.
"Les investisseurs s'impatientent et attendent de vraies mesures de stimulus budgétaire de la part des autorités" chinoises, a expliqué à l'AFP Eymane Cherfa, analyste de Myria AM.
A cela s'ajoutent les craintes de tensions commerciales accrues avec l'élection de Donald Trump à la présidence des États-Unis.
"Il est indéniable que la politique américaine pèsera sur les pays européens et sur la Chine", a souligné Vincent Guenzi, directeur des investissements chez Cholet Dupont Oudart.
Le républicain veut notamment remonter les taxes à l'importation entre 10 et 20% pour les produits entrant aux États-Unis, et jusque 60% pour ceux venant de Chine.
"On entre dans un jeu non coopératif avec des droits de douane et un rapport de force qui ne sera plus du tout le même qu'avec les démocrates", a résumé M. Cherfa.
Autre sujet d'inquiétudes en Europe: la crise politique à la tête du gouvernement en Allemagne, première économie du continent.
Le chancelier Olaf Scholz subit une pression croissante de l'opposition et des milieux économiques pour quitter le pouvoir rapidement, après l'éclatement de sa fragile coalition cette semaine.
Selon un sondage publié vendredi, les deux tiers des Allemands aspirent à de nouvelles élections sans délai, confortant l'opposition qui multiplie les appels en ce sens.
"Cette situation crée un vide dans la politique européenne, alors que Donald Trump s'apprête à prendre le pouvoir outre-Atlantique", ont noté Sebastian Paris Horvitz et Xavier Chapard, experts de LBP AM.
JCDecaux dévisseLe géant de l'affichage publicitaire JCDecaux a plongé de 12,01%, à 14,80 euros, après avoir enregistré au troisième trimestre une croissance de ses ventes de plus de 10%. Mais pour le quatrième trimestre, le groupe prévoit une croissance "modérée à un chiffre", en raison "des incertitudes macroéconomiques telles que les débats budgétaires en cours en France et au Royaume-Uni".
Les Bourses européennes ont terminé en baisse vendredi, à l'issue d'une semaine marquée par l'annonce d'un nouveau plan de relance chinois, l'élection de Donald Trump à la tête des Etats-Unis et la poursuite du cycle d'assouplissement de la Réserve fédérale (Fed).
À Paris, le CAC 40 a abandonné 1,2% à 7.336,74 points, tandis que le Dax allemand s'est replié de 0,81% et le Footsie britannique CURRENCYCOM:UK100a décliné de 0,95%.
L'indice EuroStoxx 50 a terminé la séance sur une baisse de 1,08%, tandis que le FTSEurofirst 300 (.FTEU3) inscrivait une perte de 0,7% et que le Stoxx 600 reculait de 0,66%.
Sur une semaine, le CAC 40 perd 0,95% et le Stoxx 600 0,85%.
Le plan de relance chinois annoncé vendredi doit permettre de limiter les risques de stabilité financière en permettant aux gouvernements locaux de se débarrasser de leurs importants volumes de dette hors bilan.
Pour autant, les marchés s'attendaient à un plan d'une ampleur plus vaste, et l'annonce a donc déçu les investisseurs espérant que la victoire de Donald Trump inciterait Pékin à faire davantage pour relancer son économie.
L'élection du candidat républicain a par ailleurs ravivé l'appétit pour le risque, la levée des incertitudes profitant initialement aux actifs risqués.
Les investisseurs réfléchissent désormais aux implications du programme et des déclarations de Donald Trump.
"Compte tenu de la personnalité particulièrement versatile de Donald Trump, il faut s’attendre à de nombreuses surprises entraînant de la volatilité sur les marchés", relève Vincent Guenzi, directeur de la stratégie d’investissement chez Cholet Dupont Oudart.
La baisse des taux de la Fed s'est par ailleurs accompagnée d'une posture jugée plus prudente de la banque centrale, les opérateurs revoyant à la baisse leurs anticipations d'assouplissement monétaire.
VALEURS
JCDecaux a reculé de 12%, les perspectives du groupe au quatrième trimestre étant jugées décevantes.
Atos a annoncé vendredi le lancement d'une augmentation de capital avec maintien du droit préférentiel de souscription pour un montant d'environ 233 millions d'euros, ce qui a fait progresser le titre de 2,9%.
Richemont a décliné de 6,1% après la publication vendredi de ses résultats, qui ont fait pression sur le reste du secteur du Luxe. LVMH s'est érodé de 3,3%, Hermès de 4,1% et Kering de 8%.
IAG a bondi de 6,9% après la publication de résultats supérieurs aux attentes.
Grifols a déclaré jeudi être en bonne voie pour atteindre ses objectifs pour l'année et a avancé de 4,5%.
A WALL STREET
Wall Street hésite après une semaine riche en évènements, les investisseurs digérant l'élection de Donald Trump, la décision de la Fed et les annonces chinoises.
A l'heure de la clôture en Europe, les échanges à la Bourse de New York indiquaient une progression de 0,69% pour le Dow Jones , contre 0,4% pour le Standard & Poor's 500 , et un recul de 0,07% pour le Nasdaq Composite .
CHANGES
Le dollar rebondit, les investisseurs estimant qu'une victoire de Donald Trump soutiendra l'économie américaine, et donc le billet vert.
Le dollar gagne 0,29% face à un panier de devises de référence , l'euro s'érode de 0,69% à 1,0729 dollar, et la livre sterling perd 0,46% à 1,2926 dollar.
TAUX
Les rendements longs américains reculent après la dernière décision de politique monétaire de la Fed.
A l'heure de la clôture en Europe, le rendement du Treasury à dix ans décline de 3,9 pb à 4,3043%, tandis que le rendement du titre à deux ans (US2YT=RR) progresse de 1,1 pb à 4,2309%.
Le rendement du dix ans allemand (DE10YT=RR) a perdu 7,6 pb à 2,365%, celui du taux à deux ans (DE2YT=RR) a cédé 2,8 pb à 2,187%.
PÉTROLE
Le baril s'affiche en net repli, l'ouragan Rafael commençant à s'affaiblir et laissant présager d'une reprise de la production dans le Golfe du Mexique.
Le Brent recule de 2,37% à 73,84 dollars le baril, le brut léger américain (West Texas Intermediate, WTI) s'affaiblit de 2,71% à 70,4 dollars.
A SUIVRE LUNDI :
Marque blanche
API de données
Plug-ins Web
Créateur d'affiches
Programme d'affiliation
Le risque de perte dans la négociation d'instruments financiers tels que les actions, les devises, les matières premières, les contrats à terme, les obligations, les ETF et les crypto-monnaies peut être substantiel. Vous pouvez subir une perte totale des fonds que vous déposez auprès de votre courtier. Par conséquent, vous devez examiner attentivement si ce type de négociation vous convient, compte tenu de votre situation et de vos ressources financières.
Aucune décision d'investissement ne doit être prise sans avoir procédé soi-même à une vérification préalable approfondie ou sans avoir consulté ses conseillers financiers. Le contenu de notre site peut ne pas vous convenir car nous ne connaissons pas votre situation financière et vos besoins en matière d'investissement. Nos informations financières peuvent avoir un temps de latence ou contenir des inexactitudes, de sorte que vous devez être entièrement responsable de vos décisions en matière de négociation et d'investissement. La société ne sera pas responsable de vos pertes en capital.
Sans l'autorisation du site web, vous n'êtes pas autorisé à copier les graphiques, les textes ou les marques du site web. Les droits de propriété intellectuelle sur le contenu ou les données incorporées dans ce site web appartiennent à ses fournisseurs et marchands d'échange.