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Coach de trading en chef et conférencier BeingTrader, plus de 8 ans d'expérience dans le trading du marché des changes, principalement XAUUSD, EUR/USD, GBP/USD, USD/JPY et pétrole brut. Un trader et analyste confiant qui vise à explorer diverses opportunités et à guider les investisseurs sur le marché. En tant qu'analyste, je cherche à améliorer l'expérience du trader en le soutenant avec suffisamment de données et de signaux.
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Despite Hong Kong's robust legal and regulatory framework, its stock market still faces unique risks and challenges, such as currency fluctuations due to the Hong Kong dollar's peg to the US dollar and the impact of mainland China's policy changes and economic conditions on Hong Kong stocks.
HK Stock Trading Fees and Taxation
Trading costs in the Hong Kong stock market include transaction fees, stamp duty, settlement charges, and currency conversion fees for foreign investors. Additionally, taxes may apply based on local regulations.
HK Non-Essential Consumer Goods Industry
The Hong Kong stock market encompasses non-essential consumption sectors like automotive, education, tourism, catering, and apparel. Of the 643 listed companies, 35% are mainland Chinese, making up 65% of the total market capitalization. Thus, it's heavily influenced by the Chinese economy.
HK Real Estate Industry
In recent years, the real estate and construction sector's share in the Hong Kong stock index has notably decreased. Nevertheless, as of 2022, it retains around 10% market share, covering real estate development, construction engineering, investment, and property management.
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Moins de voitures électriques et plus de véhicules à essence que prévu: les constructeurs automobiles européens vont profiter de la nouvelle "flexibilité" accordée par la Commission européenne sur les émissions polluantes pour continuer à vendre les modèles sur lesquels ils gagnent plus d'argent.
Alors que le virage vers l'électrification devait s'accélérer, Bruxelles a présenté lundi un mécanisme permettant aux constructeurs en retard sur les objectifs de réduction des émissions de CO2 d'éviter de payer des amendes en 2025, en prenant en compte les émissions sur trois ans au lieu d'un.
Les entreprises avaient tiré la sonnette d'alarme en arguant que le marché ne s'électrifiait pas assez vite, avec 13,6% d'immatriculations électriques en 2024, et qu'elles pourraient donc difficilement remplir l'objectif fixé par la Commission européenne de 25% en 2025.
Pour l'atteindre, elles auraient dû tailler dans leurs bénéfices, en faisant d'un côté des promotions sur leurs voitures électriques, et en limitant leurs ventes de voitures thermiques, sur lesquelles elles font de meilleures marges.
La Commission "essaie de ne pas affaiblir davantage un secteur qui fait face à de multiples transitions", a commenté Guillaume Dejean, conseiller sectoriel chez Allianz Trade. "Ca permet aux constructeurs de souffler, de sécuriser des marges sous pression."
"On était dans une situation absurde, les constructeurs risquaient de payer des pénalités par rapport à une situation qui n'est pas de leur fait", a souligné auprès de l'AFP Marc Mortureux, de l'organisation représentant les grands constructeurs et équipementiers la Plateforme automobile (PFA).
La Commission européenne prévoit de lourdes amendes pour les constructeurs qui ne respectent pas leurs objectifs.
La plupart avaient déjà formé des groupements ("pools") avec des constructeurs moins polluants pour partager leurs émissions, comme Stellantis, Ford et Toyota avec Tesla.
Mais les constructeurs qui étaient en retard sur les objectifs d'électrification 2025 (Volkswagen et Renault, qui n'avaient pas encore de "pool", mais aussi Honda et Hyundai) ont ainsi plus de temps pour adapter leurs gammes. Les Européens pourront aussi se renforcer dans les modèles hybrides, dominés par Toyota.
Les investisseurs ne s'y sont pas trompés et l'action de Renault a gagné 1,4% lundi à la Bourse de Paris. "On vient desserrer les contraintes et c'est assez bien pris par le marché", note Eymane Cherfa, analyste de Myria AM interrogé par l'AFP.
Tesla et Volvo sont par contre parmi les grands perdants de l'annonce de la Commission, car le système des "pools" aurait pu leur rapporter quelques centaines de millions d'euros.
- Modèles abordables retardés -"Cette mesure constitue un cadeau sans précédent à l'industrie automobile européenne", a condamné lundi le cercle de réflexion Transport & Environment.
"Cela n'apportera pas grand-chose à l'industrie automobile européenne, si ce n'est de la laisser prendre encore plus de retard sur les véhicules électriques par rapport à ses concurrents chinois", a souligné le directeur exécutif de T&E, William Todds.
Cette flexibilité risque par ailleurs de "retarder l'arrivée de modèles électriques abordables pour les consommateurs", selon le Conseil international du transport propre (ICCT), alors que les Renault Twingo et consorts sont attendues pour démocratiser cette technologie.
Les émissions de CO2 supplémentaires liées à cette flexibilité pourraient atteindre 50 mégatonnes, selon l'ICCT, soit les émissions annuelles de 50 centrales électriques au charbon.
"Plutôt que d'affaiblir cet objectif pour 2025 et ralentir l'offre de véhicules électriques, l'UE devrait se concentrer sur les mesures qui visent à accélérer la demande et maintenir l'intégrité des objectifs climatiques", souligne Lucien Mathieu chez T&E.
"Si l'on commence à affaiblir certains des objectifs phares du Pacte vert européen, le signal envoyé est extrêmement dangereux. D'autres industries pourraient se manifester auprès de la Commission et demander des affaiblissements similaires", a-t-il poursuivi.
Les industries de l'acier et de la chimie ont des dialogues stratégiques similaires prévus dans les prochaines semaines avec la Commission européenne.
"L'évolution de ce lissage n'a de sens que si, en même temps, on crée les conditions pour stimuler la demande", prévient cependant Marc Mortureux de la PFA. "On veut réussir cette trajectoire à condition que tout le monde fasse sa part du travail."
Les constructeurs demandent notamment une accélération du déploiement des réseaux de recharge électrique, mais aussi des incitations à l'achat des voitures électriques.
La Commission européenne a cédé à la pression des constructeurs automobiles européens lundi en leur donnant trois ans, au lieu d'un seul, pour atteindre les nouveaux objectifs d'émissions de CO2 (link) pour leurs voitures et camionnettes.
Cette année, l'Union européenne a considérablement abaissé son plafond d'émissions de dioxyde de carbone, ce qui signifie qu'au moins un cinquième des ventes de la plupart des constructeurs automobiles doivent être des véhicules électriques (EV) afin d'éviter de lourdes amendes. L'objectif ultime est de parvenir à des émissions nulles en 2035.
La présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, a déclaré, après avoir rencontré lundi des dirigeants du secteur automobile, des syndicats et des groupes de pression, que l'exécutif européen proposerait dans le courant du mois d'autoriser la mise en conformité sur trois ans, plutôt qu'en 2025 seulement.
Pour atteindre les objectifs et éviter les amendes correspondantes, il faut vendre davantage de véhicules électriques, un segment dans lequel les constructeurs automobiles européens sont à la traîne par rapport à leurs rivaux chinois et américains.
Les actions des constructeurs automobiles européens, dont Volkswagen , Renault , BMW et Mercedes-Benz , ont augmenté de 1,5 % à 4 % après les commentaires de Mme von der Leyen.
"Les objectifs restent les mêmes. Ils doivent être atteints, mais cela signifie une plus grande marge de manœuvre pour l'industrie", a déclaré Mme von der Leyen lors d'une conférence de presse, ajoutant que la proposition devra encore être approuvée par les gouvernements de l'UE et le Parlement européen.
La conformité sera désormais basée sur les émissions moyennes d'un constructeur automobile au cours de la période 2025-2027.
Les constructeurs automobiles de l'UE, qui ont été frappés par une baisse de la demande et des fermetures d'usines, et qui se préparent maintenant à des droits de douane américains (link), avaient demandé à la Commission de les exempter d'amendes qui, selon eux, pourraient atteindre 15 milliards d'euros (15,7 milliards de dollars) en 2025.
LE SECTEUR AUTOMOBILE SAUVÉ OU LAISSÉ POUR COMPTE?
L'Italie et la République tchèque, qui avaient fait pression pour un assouplissement des sanctions, ont accueilli favorablement la proposition. Le ministre italien de l'industrie, Adolfo Urso, a déclaré que cela signifiait que l'industrie automobile européenne avait été sauvée, bien que le ministre tchèque des transports, Martin Kupka, ait déclaré que son pays ferait pression pour une extension de cinq ans.
Renault a déclaré que l'approche flexible de la Commission permettrait aux constructeurs automobiles de l'UE de réduire les émissions et de rester compétitifs alors que le marché des véhicules électriques se développe.
Sigrid de Vries, directrice générale de l'Association des constructeurs européens d'automobiles (ACEA), a déclaré que la proposition était positive, mais qu'il serait très difficile d'atteindre les objectifs. Matthias Zink, président de l'association européenne des fournisseurs automobiles CLEPA, a déclaré que la proposition offrait un "soulagement limité".
L'ACEA, qui avait demandé une prolongation plus longue, a déclaré que l'industrie était confrontée à des alternatives désagréables, notamment des baisses de prix importantes, une réduction de la production ou l'achat de crédits auprès du fabricant américain de voitures électriques Tesla et des fabricants chinois de véhicules électriques.
Volvo Cars, qui est détenu majoritairement par le fabricant chinois de véhicules électriques Geely (GEELY.UL), a déclaré que les entreprises qui avaient fait leurs devoirs pour être prêtes pour 2025 ne devraient pas être désavantagées par des changements de dernière minute.
Le groupe de recherche et de campagne sur les transports T&E a décrit la proposition comme un cadeau sans précédent à l'industrie automobile qui laisserait l'Europe encore plus loin derrière la Chine.
" Laclé de la compétitivité est d'être capable de produire des véhicules électriques à un prix que les consommateurs de masse désirent. C'est ce que les Chinois ont fait", a déclaré le directeur exécutif de T&E, William Todts. "Reporter cela en Europe ne vous rendra pas plus compétitif
L'exécutif européen a l'intention de publier son plan d'action pour l'automobile mercredi afin de garantir que les constructeurs automobiles de l'UE puissent électrifier leurs flottes et rivaliser avec des concurrents plus avancés.
(1 dollar = 0,9559 euro)
Hermès sous-performe le marché en ce début de semaine avec une action qui grignote 0,4% à 2.749 euros. L'actualité autour du groupe de luxe est marquée par une note d'AlphaValue qui a rehaussé à 'réduire' sa recommandation sur le dossier. L'analyste affirme que l'entreprise a un horizon de croissance clair. La propre capacité de production d'Hermes et la disponibilité limitée des matières premières rares restent les seuls facteurs limitant sa croissance...
La Commission européenne a cédé à la pression des constructeurs automobiles européens lundi en leur donnant trois ans, au lieu d'un seul, pour atteindre les nouveaux objectifs d'émissions de CO2 (link) pour leurs voitures et camionnettes.
Cette année, l'Union européenne a considérablement abaissé son plafond d'émissions de dioxyde de carbone, ce qui signifie qu'au moins un cinquième des ventes de la plupart des constructeurs automobiles doivent être des véhicules électriques (EV) afin d'éviter de lourdes amendes. L'objectif ultime est de parvenir à des émissions nulles en 2035.
La présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, a déclaré, après avoir rencontré lundi des dirigeants du secteur automobile, des syndicats et des groupes de pression, que l'exécutif européen proposerait dans le courant du mois d'autoriser la mise en conformité sur trois ans, plutôt qu'en 2025.
Pour atteindre les objectifs et éviter les amendes correspondantes, il faut vendre davantage de véhicules électriques, un segment dans lequel les constructeurs automobiles européens sont à la traîne par rapport à leurs rivaux chinois et américains.
Les actions des constructeurs automobiles européens, dont Volkswagen , Renault , BMW et Mercedes-Benz , ont augmenté de 2 à 6 % après les commentaires de Mme von der Leyen.
"Les objectifs restent les mêmes. Ils doivent être atteints, mais cela signifie une plus grande marge de manœuvre pour l'industrie", a déclaré Mme von der Leyen lors d'une conférence de presse, ajoutant que la proposition devra encore être approuvée par les gouvernements de l'UE et le Parlement européen.
La conformité sera désormais basée sur les émissions moyennes d'un constructeur automobile au cours de la période 2025-2027.
Les constructeurs automobiles de l'UE, qui ont été frappés par des fermetures d'usines et qui s'apprêtent à subir les droits de douane américains (link), ont demandé à la Commission de les exempter des amendes qui, selon eux, pourraient atteindre 15 milliards d'euros (15,7 milliards de dollars) si leurs parcs automobiles ne respectaient pas les limites en 2025.
L'association des constructeurs automobiles européens (ACEA) a déclaré que l'industrie était confrontée à des alternatives désagréables, notamment des baisses de prix importantes, une réduction de la production ou l'achat de crédits auprès du fabricant américain de voitures électriques Tesla et des fabricants chinois de véhicules électriques.
Volvo Cars, qui est détenu majoritairement par le fabricant chinois de véhicules électriques Geely , a déclaré la semaine dernière que les entreprises qui avaient lourdement investi pour être prêtes pour 2025 ne devraient pas être désavantagées par d'éventuels changements.
"Ces objectifs ont été fixés il y a plusieurs années, ce qui donne à l'industrie le temps nécessaire pour se préparer, avec plusieurs mécanismes pour soutenir la conformité", a déclaré le directeur général Jim Rowans.
Le groupe de recherche et de campagne sur les transports T&E a décrit la proposition comme un cadeau sans précédent à l'industrie automobile, sans aucun engagement.
L'exécutif européen a l'intention de publier son plan d'action pour l'automobile mercredi afin de garantir que les constructeurs automobiles de l'UE puissent électrifier leurs flottes et rivaliser avec des concurrents plus avancés tels que Tesla et les producteurs chinois.
(1 dollar = 0,9559 euro)
Seven & i, propriétaire des supérettes 7-Eleven, a bondi lundi à la Bourse de Tokyo à la suite d'informations de presse évoquant le départ de son directeur exécutif, alors que le géant nippon affronte une offensive de son rival canadien Couche-Tard.
L'action du mastodonte nippon de la distribution s'est envolée de 4,6% durant les échanges avant d'effacer une partie de ses gains. Elle a finalement clôturé en hausse de 2,37% à 2.195 yens.
A l'origine de cet accès de fièvre, un article du média financier Nikkei, assurant que Seven & i s'apprête à remplacer son PDG Ryuichi Isaka et que la décision restait à entériner formellement.
A sa place, selon le Nikkei qui cite des sources proches, l'entreprise entend nommer Stephen Dacus, 64 ans, actuellement principal administrateur indépendant au conseil d'administration, dont il est membre depuis 2022. Il serait le premier dirigeant non-japonais du groupe.
"Cette information n'a pas été annoncée par l'entreprise. Aucune décision n'a été prise pour le moment", a cependant réagi Seven & i dans un communiqué.
Ces vingt dernières années, M. Dacus a occupé des fonctions exécutives au sommet du géant japonais de l'habillement Fast Retailing (Uniqlo) puis dirigé la branche japonaise du mastodonte américain de la distribution Walmart.
Il a ensuite été PDG de Seiyu, chaîne de supermarchés japonaise qui faisait alors partie du groupe Walmart.
Si sa nomination est confirmée, Stephen Dacus prendrait la tête d'un groupe sous pression.
Seven & i avait rejeté en septembre une proposition de rachat par Alimentation Couche-Tard (ACT), qu'il jugeait sous-évaluée. Mais le poids lourd canadien avait ensuite présenté une offre améliorée valorisant le groupe japonais à 47 milliards de dollars.
L'enjeu est de taille: avec 85.000 magasins dans une vingtaine de pays, 7-Eleven est la plus grande chaîne de magasins de proximité au monde.
Pour tenter d'échapper à toute tentative de prise de contrôle hostile, la famille Ito - celle du fondateur de Seven & i - avait entamé à l'automne des discussions avec la société d'investissement Itochu en vue de financer le rachat de l'ensemble des titres du groupe et de le sortir entièrement de la Bourse.
Mais le projet a échoué la semaine dernière, Itochu ayant mis fin aux discussions et privant ainsi la famille Ito d'un soutien financier indispensable. Cette annonce avait fait dévisser de 12% l'action Seven & i jeudi.
Couche-Tard avait alors indiqué être toujours intéressé à "travailler de manière constructive" avec l'entreprise nippone "pour parvenir à un accord amical".
Couche-Tard possède quelque 16.700 magasins dans 31 pays, qui incluent l'enseigne Circle K: en y ajoutant le réseau des 7-Eleven à travers l'Asie et l'Amérique du Nord, un mariage donnerait naissance à un mastodonte international de la distribution.
Au risque, selon des experts, de susciter des réticences de la part des autorités de régulation anti-monopole des Etats-Unis, où Couche-Tard comme Seven & i sont massivement implantés.
Seven & i, propriétaire des supérettes 7-Eleven, a bondi de 4,6% lundi à la Bourse de Tokyo à la suite d'informations de presse évoquant le départ de son directeur exécutif, alors que le géant nippon affronte une offensive de son rival canadien Couche-Tard.
L'action du mastodonte nippon de la distribution s'est envolée de 4,6% à 2.243 yens avant d'effacer ses gains. Vers 02H15 GMT, il ne gagnait plus que 0,16%.
A l'origine de cet éphémère accès de fièvre, un article du média financier Nikkei, assurant que Seven & i s'apprête à remplacer son président et directeur général Ryuichi Isaka, en poste depuis 2016.
A sa place, selon le Nikkei qui cite des sources proches, l'entreprise entend nommer Stephen Hayes Dacus, 64 ans, actuellement principal administrateur indépendant au conseil d'administration, dont il est membre depuis 2022. Il serait le premier dirigeant non-japonais du groupe.
Ces vingt dernières années, M. Dacus a occupé des fonctions exécutives au sommet du géant japonais de l'habillement Fast Retailing (Uniqlo) puis a dirigé la branche japonaise du mastodonte américain de la distribution Walmart.
Il a ensuite été PDG de Seiyu, chaîne de supermarchés japonaise qui faisait alors partie du groupe Walmart.
"Nous vérifions ces informations sur le sujet", a indiqué à l'AFP un porte-parole de Seven & i.
Si sa nomination est confirmée, Stephen Dacus prendrait la tête d'un groupe sous pression.
Seven & i avait rejeté en septembre une proposition de rachat par Alimentation Couche-Tard (ACT), qu'il jugeait sous-évaluée. Mais le poids-lourd canadien avait ensuite présenté une offre améliorée valorisant le groupe japonais à 47 milliards de dollars.
L'enjeu est de taille: avec 85.000 magasins dans une vingtaine de pays, 7-Eleven est la plus grande chaîne de magasins de proximité au monde.
Pour tenter d'échapper à toute tentative de prise de contrôle hostile de Couche-Tard, la famille Ito --celle du fondateur de Seven & i-- avait entamé à l'automne des discussions avec la société d'investissement Itochu, dans l'idée de financer ensemble le rachat de l'ensemble des titres du groupe et le sortir entièrement de la Bourse.
Mais le projet a finalement échoué la semaine dernière, Itochu ayant mis fin aux discussions et privant ainsi la famille Ito d'un soutien financier indispensable.
Cette annonce avait fait dévisser de quelque 12% l'action Seven & i jeudi.
De son côté, Couche-Tard a indiqué être toujours intéressé à "travailler de manière constructive" avec Seven & i "pour parvenir à un accord amical" et "une transaction mutuellement acceptable".
Couche-Tard possède quelque 16.700 magasins dans 31 pays, qui incluent l'enseigne Circle K: en y ajoutant le réseau des 7-Eleven à travers l'Asie et l'Amérique du Nord, un mariage donnerait naissance à un mastodonte international de la distribution
Les ventes de Tesla ont poursuivi leur baisse en France au mois de février, potentiellement freinées par le comportement de son patron Elon Musk mais aussi par la modernisation de sa gamme.
Le constructeur américain de voitures électriques a vu ses ventes baisser de 26% sur un an, avec 2.395 véhicules immatriculés en février, selon les chiffres publiés samedi par la Plateforme automobile (PFA).
Le marché automobile est pourtant resté stable (-0,72%) sur un an dans le pays, tout comme les ventes de voitures électriques, qui se maintiennent à 18% du marché en février.
La Renault 5 et la Citroën C3, lancées fin 2024, ont notamment récupéré des parts de marché du constructeur américain.
- Tesla patine -"Il y a eu une redistribution importante en un an, plutôt au bénéfice des constructeurs européens", a souligné Marc Mortureux de la PFA, qui représente les constructeurs et les grands équipementiers.
Au niveau européen, les ventes de Tesla avaient déjà été presque divisées par deux en janvier. Les prises de position d'Elon Musk aux côtés de Donald Trump freinent des acheteurs de Tesla, et des appels au boycott ont été lancés.
A l'arrière des Tesla sont apparus des autocollants "I bought this before Elon went crazy" (Je l'ai achetée avant qu'Elon ne devienne fou), comme aux Etats-Unis.
Mais il reste difficile d'évaluer à quel point le milliardaire et son soutien à l'extrême-droite européenne effraient de potentiels clients.
Au niveau mondial, le constructeur avait annoncé fin janvier une baisse de 1% de ses livraisons en 2024, le premier recul de son histoire, alors qu'il anticipait "une légère augmentation".
Tesla avait été affecté par des fermetures temporaires de sites, notamment en Allemagne après un incendie volontaire et une grève, mais aussi au Texas et en Chine pour des travaux de modernisation.
Toujours leader mondial de la voiture électrique avec ses modèles chargés de technologie et affichés à des tarifs agressifs, Tesla patine notamment à cause d'un changement de gamme, avec le déploiement en cours de la nouvelle version de son SUV star, le Model Y.
La marque, qui affronte aussi une avalanche de modèles électriques de la part de ses concurrents, assure qu'elle va se relancer avec l'arrivée en cours d'année 2025 de modèles à bas coût puis de son robotaxi.
- Entreprises électriques -Depuis le début de l'année 2025, les droits de douane européens commencent aussi à faire leur effet sur les importations de voitures électriques chinoises.
La marque MG, propriété du géant chinois SAIC, a laissé de côté son offensive électrique pour se repositionner sur les modèles hybrides, moins taxés.
Les immatriculations de voitures électriques ont par ailleurs été soutenues par des achats massifs de la part des flottes d'entreprises. Les ventes aux particuliers ont quant à elles baissé de 29%, souffrant de la comparaison avec le mois de février 2024 qui avait vu le leasing social doper les immatriculations d'électriques.
Le marché automobile français est globalement resté atone au mois de février, avec 141.568 immatriculations, toujours loin des chiffres d'avant l'épidémie de Covid.
Les modèles hybrides ont pris le contrôle du marché et représentent 44,3% des immatriculations sur les deux premiers mois de l'année, face à 25,4% de modèles essence et une poignée de diesel (4,6%) et 17,7% pour les modèles électriques.
Du côté des groupes automobiles, le groupe Stellantis reste en forte baisse mais a limité la casse par rapport aux mois précédents (-10,66% sur un an), avec toujours des baisses chez Citroën ou Opel, mais une stabilisation chez Peugeot.
Le groupe Renault est en forte progression (+17,62%) et vient talonner Stellantis avec 26,75% de parts de marché, grâce à sa Renault Clio numéro 1 des ventes, une marque Dacia en forme (+9,28) mais aussi Alpine qui écoule ses dernières berlinettes A110 avant un passage annoncé à l'électrique.
Le groupe Volkswagen (+13,31%) profite de bonnes ventes sous sa marque principale mais aussi chez Skoda et Cupra.
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