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J'ai 5 ans d'expérience en analyse financière, notamment dans les aspects d'évolution macroéconomique et de jugement de tendances à moyen et long terme. Je me concentre principalement sur l'évolution du Moyen-Orient, des marchés émergents, du charbon, du blé et d'autres produits agricoles.
Coach de trading en chef et conférencier BeingTrader, plus de 8 ans d'expérience dans le trading du marché des changes, principalement XAUUSD, EUR/USD, GBP/USD, USD/JPY et pétrole brut. Un trader et analyste confiant qui vise à explorer diverses opportunités et à guider les investisseurs sur le marché. En tant qu'analyste, je cherche à améliorer l'expérience du trader en le soutenant avec suffisamment de données et de signaux.
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Despite Hong Kong's robust legal and regulatory framework, its stock market still faces unique risks and challenges, such as currency fluctuations due to the Hong Kong dollar's peg to the US dollar and the impact of mainland China's policy changes and economic conditions on Hong Kong stocks.
HK Stock Trading Fees and Taxation
Trading costs in the Hong Kong stock market include transaction fees, stamp duty, settlement charges, and currency conversion fees for foreign investors. Additionally, taxes may apply based on local regulations.
HK Non-Essential Consumer Goods Industry
The Hong Kong stock market encompasses non-essential consumption sectors like automotive, education, tourism, catering, and apparel. Of the 643 listed companies, 35% are mainland Chinese, making up 65% of the total market capitalization. Thus, it's heavily influenced by the Chinese economy.
HK Real Estate Industry
In recent years, the real estate and construction sector's share in the Hong Kong stock index has notably decreased. Nevertheless, as of 2022, it retains around 10% market share, covering real estate development, construction engineering, investment, and property management.
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Plus grand événement politique de l'année en Chine, les réunions parlementaires ont débuté mardi à Pékin, avec pour objectif de répondre aux derniers droits de douane de Donald Trump, qui visent une économie chinoise déjà affaiblie.
Les travaux ont débuté à 15H00 (07H00 GMT) avec l'ouverture de la Conférence consultative politique du peuple chinois (CCPPC), en présence du président chinois Xi Jinping, a constaté une journaliste de l'AFP.
Des milliers de délégués participent dans la capitale chinoise aux "Deux Sessions" qui se tiennent en parallèle - celle du Parlement proprement dit et celle d'une assemblée consultative.
Si ces réunions donnent lieu à des votes à la quasi-unanimité de textes pré-approuvés par le Parti communiste chinois (PCC), elles offrent également un rare aperçu des priorités chinoises.
L'ouverture des "Deux sessions" coïncide avec l'entrée en vigueur de nouveaux droits de douane américains supplémentaires visant les produits chinois. Pékin a annoncé des contre-mesures.
Nombre d'observateurs s'attendent ces prochains jours à l'annonce de mesures de relance pour stimuler la demande intérieure, nécessaires pour compenser une possible baisse des exportations frappées par ces taxes américaines.
Lors d'une conférence de presse mardi, Lou Qinjian, le porte-parole de la session annuelle de l'Assemblée nationale populaire (ANP), le Parlement chinois, a reconnu que l'économie nationale était confrontée à "de nombreuses difficultés et défis".
"L'incertitude économique et politique au niveau mondial s'accroît (...), la demande intérieure est insuffisante et certaines entreprises sont confrontées à des difficultés en matière de production et d'exploitation", a-t-il souligné.
Mais il a assuré que la Chine avait "une forte résilience et un grand potentiel".
- "Propagande" -Organe consultatif, la CCPPC qui s'est ouverte mardi n'a qu'un poids relatif par rapport à l'ANP, qui elle débutera mercredi et verra le Premier ministre Li Qiang dévoiler les ambitions économiques chinoises pour 2025.
Des analystes sondés par l'AFP s'attendent à ce que Pékin se fixe un objectif de croissance d'environ 5% -- comme l'an passé.
Beaucoup d'analystes sont dans l'attente d'annonces et de mesures de la part de la Chine pour relancer la consommation des ménages, toujours atone, qui alimente une spirale déflationniste.
L'économie chinoise, confrontée à une crise prolongée du secteur immobilier et à un taux de chômage élevé chez les jeunes, peine à pleinement retrouver son élan depuis la pandémie.
Les investisseurs suivront également de près tout signe de soutien supplémentaire au secteur privé, après une rare réunion mi-février entre le président chinois Xi Jinping et des grands patrons de la tech chinoise.
Les dirigeants chinois tenteront de transmettre le message selon lequel le pays "se porte encore bien", déclare Alfred Wu, professeur à l'Ecole de politique publique Lee Kuan Yew, à Singapour.
Selon lui, aucune mesure spécifique ne devrait toutefois être annoncée durant les "Deux Sessions" et l'influence sur les marchés boursiers devrait donc être "limitée".
- Budget militaire -"Dans le passé, la réunion de l'ANP, c'était une manière de définir les priorités politiques (des prochains mois). Dorénavant, elle consiste davantage à envoyer un message et à faire de la propagande", estime M. Wu.
Les "Deux Sessions" donnent en tout cas l'occasion à Pékin d'afficher sa position face à Washington, qui a défini la Chine comme un rival stratégique.
De retour à la Maison Blanche depuis janvier, Donald Trump chamboule déjà l'ordre international.
"Les gens observent comment Xi va réagir face aux incertitudes et à l'imprévisibilité générées par l'administration Trump", estime Chong Ja Ian, professeur à l'Université nationale de Singapour.
Selon des analystes, la pression américaine pourrait inciter Pékin à intensifier ses mesures de soutien à l'économie, déjà observées l'an passé: réduction de taux d'intérêt, allègement de la pression sur la dette des collectivités locales ou encore subventions sur les biens de consommation pour aider les ménages.
La Chine doit également annoncer mercredi son budget militaire pour 2025. Il devrait augmenter, comme c'est le cas depuis plusieurs décennies.
Les observateurs de la vie politique chinoise vont également "scruter qui est susceptible de monter en grade au sein du PCC, étant donné que la direction actuelle vieillit", note M. Chong.
Enfin, le ministre chinois des Affaires étrangères, Wang Yi, doit tenir une conférence de presse cette semaine.
Très chorégraphiées mais riches en annonces économiques et diplomatiques, les réunions parlementaires, plus grand événement politique de l'année en Chine, débutent mardi à Pékin, dans l'ombre des droits de douane de Donald Trump.
Des milliers de délégués ont convergé vers la capitale chinoise pour participer aux "Deux Sessions" qui se tiennent en parallèle - celle du Parlement proprement dit et celle d'une assemblée consultative.
Si ces réunions donnent lieu à des votes à la quasi-unanimité de textes pré-approuvés par le Parti communiste chinois (PCC), elles offriront un rare aperçu des priorités chinoises, notamment face à des Etats-Unis devenus imprévisibles.
Les travaux débutent mardi à 15H00 (07H00 GMT) avec l'ouverture de la Conférence consultative politique du peuple chinois (CCPPC).
Organe consultatif, la CCPPC n'a qu'un poids relatif par rapport à la session annuelle du Parlement, l'Assemblée nationale populaire (ANP), qui elle débutera mercredi et verra le Premier ministre Li Qiang prononcer un discours.
Il dévoilera les ambitions économiques pour 2025, dans un contexte de croissance qui tourne au ralenti et de guerre commerciale croissante avec Washington.
Des analystes sondés par l'AFP s'attendent à ce que Pékin se fixe un objectif de croissance du PIB d'environ 5% -- comme l'an passé.
Beaucoup d'analystes sont dans l'attente d'annonces et de mesures de la part de la Chine pour relancer la consommation des ménages, toujours atone, qui alimente une spirale déflationniste et pèse sur la deuxième économie mondiale.
- "Propagande" -L'économie chinoise, confrontée à une crise prolongée du secteur immobilier et à un taux de chômage élevé chez les jeunes, peine à pleinement retrouver son élan depuis la pandémie.
La Chine doit aussi affronter la menace de nouveaux droits de douane américains, qui pourraient affecter des échanges commerciaux bilatéraux représentant plusieurs centaines de milliards de dollars.
Les investisseurs suivront également de près tout signe de soutien supplémentaire au secteur privé, après une rare réunion mi-février entre le président chinois Xi Jinping et des grands patrons de la tech chinoise.
Les dirigeants chinois tenteront de transmettre le message selon lequel le pays "se porte encore bien", déclare Alfred Wu, professeur à l'Ecole de politique publique Lee Kuan Yew, à Singapour.
Selon lui, aucune mesure spécifique ne devrait toutefois être annoncée durant les "Deux Sessions" et l'influence sur les marchés boursiers devrait donc être "limitée".
"Dans le passé, la réunion de l'ANP, c'était une manière de définir les priorités politiques (des prochains mois). Dorénavant, elle consiste davantage à envoyer un message et à faire de la propagande", estime M. Wu.
Les "Deux Sessions" donnent en tout cas l'occasion à Pékin d'afficher sa position face à Washington, qui a défini la Chine comme un rival stratégique.
De retour à la Maison-Blanche depuis janvier, Donald Trump chamboule déjà l'ordre international.
- Budget militaire -"Les gens observent comment Xi va réagir face aux incertitudes et à l'imprévisibilité générées par l'administration Trump", estime Chong Ja Ian, professeur à l'Université nationale de Singapour.
Donald Trump impose déjà des droits de douane supplémentaires de 10% sur les produits importés de Chine. De nouvelles taxes douanières, également de 10%, doivent entrer en vigueur ce mardi.
La Chine a prévenu mardi qu'elle répliquerait à cette nouvelle hausse par des "contre-mesures".
Mais, jusqu'à présent, Pékin a été plutôt mesuré dans sa réaction, déclare M. Chong.
"Toute réponse de la Chine aura pour but de montrer sa détermination, mais en évitant une escalade. Car c'est toujours difficile de savoir comment contrôler une escalade", ajoute-t-il.
Selon des analystes, la pression américaine pourrait inciter Pékin à intensifier ses mesures de soutien à l'économie, déjà observées l'an passé: réduction de taux d'intérêts, allègement de la pression sur la dette des collectivités locales ou encore subventions sur les biens de consommation pour aider les ménages.
La Chine doit également annoncer mercredi son budget militaire pour 2025. Selon tout probabilité il devrait augmenter, comme c'est le cas depuis plusieurs décennies.
Les observateurs de la vie politique chinoise vont également "scruter qui est susceptible de monter en grade au sein du PCC, étant donné que la direction actuelle vieillit", note M. Chong. Xi Jinping a 71 ans et Li Qiang est âgé de 65 ans.
Enfin, le ministre chinois des Affaires étrangères, Wang Yi, devrait tenir une conférence de presse cette semaine.
Très chorégraphiées mais riches en annonces économiques et diplomatiques, les réunions parlementaires, plus grand événement politique de l'année en Chine, débutent mardi à Pékin, dans l'ombre des droits de douane de Donald Trump.
Des milliers de délégués ont convergé vers la capitale chinoise pour participer aux "Deux Sessions" qui se tiennent en parallèle - celle du Parlement proprement dit et celle d'une assemblée consultative.
Si ces réunions donnent lieu à des votes à la quasi-unanimité de textes pré-approuvés par le Parti communiste chinois (PCC), elles offriront un rare aperçu des priorités chinoises, notamment face à des Etats-Unis devenus imprévisibles.
Les travaux débutent mardi à 15H00 (07H00 GMT) avec l'ouverture de la Conférence consultative politique du peuple chinois (CCPPC).
Organe consultatif, la CCPPC n'a qu'un poids relatif par rapport à la session annuelle du Parlement, l'Assemblée nationale populaire (ANP), qui elle débutera mercredi et verra le Premier ministre Li Qiang prononcer un discours.
Il dévoilera les ambitions économiques pour 2025, dans un contexte de croissance qui tourne au ralenti et de guerre commerciale croissante avec Washington.
Des analystes sondés par l'AFP s'attendent à ce que Pékin se fixe un objectif de croissance du PIB d'environ 5% -- comme l'an passé.
Beaucoup d'analystes sont dans l'attente d'annonces et de mesures de la part de la Chine pour relancer la consommation des ménages, toujours atone, qui alimente une spirale déflationniste et pèse sur la deuxième économie mondiale.
- "Propagande" -L'économie chinoise, confrontée à une crise prolongée du secteur immobilier et à un taux de chômage élevé chez les jeunes, peine à pleinement retrouver son élan depuis la pandémie.
La Chine doit aussi affronter la menace de nouveaux droits de douane américains, qui pourraient affecter des échanges commerciaux bilatéraux représentant plusieurs centaines de milliards de dollars.
Les investisseurs suivront également de près tout signe de soutien supplémentaire au secteur privé, après une rare réunion mi-février entre le président chinois Xi Jinping et des grands patrons de la tech chinoise.
Les dirigeants chinois tenteront de transmettre le message selon lequel le pays "se porte encore bien", déclare Alfred Wu, professeur à l'Ecole de politique publique Lee Kuan Yew, à Singapour.
Selon lui, aucune mesure spécifique ne devrait toutefois être annoncée durant les "Deux Sessions" et l'influence sur les marchés boursiers devrait donc être "limitée".
"Dans le passé, la réunion de l'ANP, c'était une manière de définir les priorités politiques (des prochains mois). Dorénavant, elle consiste davantage à envoyer un message et à faire de la propagande", estime M. Wu.
Les "Deux Sessions" donnent en tout cas l'occasion à Pékin d'afficher sa position face à Washington, qui a défini la Chine comme un rival stratégique.
De retour à la Maison-Blanche depuis janvier, Donald Trump chamboule déjà l'ordre international.
- Budget militaire -"Les gens observent comment Xi va réagir face aux incertitudes et à l'imprévisibilité générées par l'administration Trump", estime Chong Ja Ian, professeur à l'Université nationale de Singapour.
Donald Trump impose déjà des droits de douane supplémentaires de 10% sur les produits importés de Chine. De nouvelles taxes douanières, également de 10%, doivent entrer en vigueur ce mardi.
Jusqu'à présent, Pékin a été plutôt mesuré dans sa réaction, déclare M. Chong.
"Toute réponse de la Chine aura pour but de montrer sa détermination, mais en évitant une escalade. Car c'est toujours difficile de savoir comment contrôler une escalade", ajoute-t-il.
Selon des analystes, la pression américaine pourrait inciter Pékin à intensifier ses mesures de soutien à l'économie, déjà observées l'an passé: réduction de taux d'intérêts, allègement de la pression sur la dette des collectivités locales ou encore subventions sur les biens de consommation pour aider les ménages.
La Chine doit également annoncer mercredi son budget militaire pour 2025. Selon tout probabilité il devrait augmenter, comme c'est le cas depuis plusieurs décennies.
Les observateurs de la vie politique chinoise vont également "scruter qui est susceptible de monter en grade au sein du PCC, étant donné que la direction actuelle vieillit", note M. Chong. Xi Jinping a 71 ans et Li Qiang est âgé de 65 ans.
Enfin, le ministre chinois des Affaires étrangères, Wang Yi, devrait tenir une conférence de presse cette semaine.
Une simple poignée de main entre Xi Jinping et l'entrepreneur Jack Ma, longtemps en disgrâce, a fait bondir en Bourse les entreprises technologiques de Chine, dans le sillage du succès inattendu du champion local de l'IA DeepSeek --essor qui devrait cependant rester étroitement encadré par Pékin.
L'ambiance semble avoir radicalement changé: en 2020, Pékin lançait une campagne réglementaire pour renforcer son contrôle sur la tech, faisant s'effondrer les actions des groupes concernés et s'évaporer des centaines de milliards de dollars de valorisation.
Jack Ma, emblématique fondateur du géant de l'e-commerce Alibaba, avait disparu de la vie publique après avoir émis des réserves sur ce durcissement réglementaire.
Or, alors que la deuxième économie mondiale reste plombée par une crise immobilière et une consommation atone, sous la menace d'une guerre commerciale avec les États-Unis, Pékin s'attache à nouveau à cajoler ses entrepreneurs.
Une poignée de patrons de la tech, dont Jack Ma, ont été conviés en grande pompe mi-février par le président chinois Xi Jinping, qui les a assurés du soutien gouvernemental.
Un symbole, dans la foulée du coup d'éclat fin janvier de la start-up privée chinoise DeepSeek, qui a dévoilé un robot conversationnel égalant à moindre coût les performances des géants américains de l'intelligence artificielle (IA). Ce succès inattendu a provoqué une folle envolée des valeurs tech à la Bourse de Hong Kong.
"Pékin ne peut pas concrétiser ses ambitions d'indépendance technologique vis-à-vis des États-Unis et de domination des technologies de pointe sans le secteur privé", indique à l'AFP Shehzad Qazi, directeur de l'institut China Beige Book.
Cette réunion où Xi Jinping a chaleureusement salué Jack Ma mais également le discret patron de DeepSeek "est le dernier signe en date que la Chine souhaite voir ses entreprises privées s'aligner plus fermement sur les ambitions économiques et de sécurité nationale fixées par le Parti (communiste)", insiste M. Qazi.
-Pari sur l'IA-Cependant, "Pékin n'entend pas les aider à engranger des bénéfices record ou des capitalisations boursières colossales", avertit-il, estimant que "les perspectives du secteur privé ne sont pas aussi brillantes que ne le suggère l'engouement récent du marché".
De fait, les observateurs scruteront dans les prochains jours la grande session législative annuelle chinoise en quête de mesures concrètes en faveur des entrepreneurs.
Un assouplissement réglementaire est déjà à l'oeuvre depuis 2023 pour le secteur technologique, en vue de raviver la confiance émoussée des entreprises sur fond de conjoncture assombrie --et Pékin voit dans l'IA une nouvelle martingale.
"En théorie, l'IA peut aider la Chine à sortir de la stagnation et de la déflation", tout en contribuant à résoudre la future pénurie de main-d'oeuvre causée par le vieillissement de sa population, jugent les analystes d'ANZ.
Pour eux, la réunion d'entrepreneurs mi-février augure d'un soutien politique renforcé pour accélérer le déploiement de l'IA. Des dirigeants locaux chinois appellent déjà à utiliser tous azimuts des applications comme DeepSeek.
"Le succès de DeepSeek a ravivé les espoirs des investisseurs pour une adoption plus large de l'IA et une demande accrue des entreprises chinoises", abondent les experts d'UBS.
Le "phénomène" DeepSeek aiguise aussi les rivalités: des start-ups cherchent à en profiter pour attirer de nouveaux financements, et le géant tech Tencent a lancé jeudi son robot conversationnel avancé Hunyuan Turbo-S.
-"Protection juridique"?-Dans un autre effort pour rassurer le monde des affaires, le journal officiel Global Times faisait état en janvier d'un projet de loi censé "renforcer la protection juridique" des entreprises.
Mais de l'avis des analystes, le secteur privé ne pourra s'épanouir que tant qu'il s'alignera sur les objectifs stratégiques du gouvernement.
Durant les années 2010, les géants technologiques avaient été autorisés à croître rapidement, avant d'être rattrapés par la défiance du Parti communiste face à expansion incontrôlée du secteur privé.
En 2018, Xi Jinping assurait à des patrons qu'il était là pour "renforcer (leur) confiance", mais deux ans plus tard, Pékin déclenchait une vague d'enquêtes antimonopole et anticoncurrence contre les entreprises.
"Les investisseurs semblent avoir interprété (la récente rencontre entre Xi et Ma) comme un signal que le virage vers une plus grande liberté accordée au secteur privé, en cours depuis 2023, allait se poursuivre", observe James Reilly, de Capital Economics.
Mais, avertit-il, "l'absence de freins et de contrepoids en Chine signifie que ce changement d'attitude pourra s'inverser à tout moment".
International Paper a annoncé vendredi que Lance Loeffler deviendrait son directeur financier, en remplacement de Tim Nicholls, qui dirigera la société DS Smith, récemment acquise par l'entreprise.
Au cours de ses 25 années de carrière, Lance Loeffler a occupé des postes de direction financière et commerciale chez UBS , Deutsche Bank et Halliburton .
Il a été directeur financier de Halliburton pendant quatre ans et, plus récemment, vice-président principal de la région Moyen-Orient et Afrique du Nord. Il a quitté son poste en décembre, selon son profil LinkedIn.
Nicholls, directeur financier d'International Paper depuis 2018, sera désormais vice-président exécutif et président de DS Smith, quela société a acquis (link) pour environ 7,20 milliards de dollars le mois dernier.
International Paper a rationalisé ses activités aux États-Unis alors que la hausse des prix a frappé les volumes de vente. Au début du mois (link), elle a annoncé la fermeture de quatre usines et le licenciement d'environ 1 % de sa main-d'œuvre mondiale, ce qui concerne 674 employés.
L'entreprise n'a pas précisé quand les dirigeants prendraient leurs nouvelles fonctions.
Le cours du gaz européen recule mercredi, au plus bas depuis plus de deux mois, car les inquiétudes sur le remplissage des réserves de l'Europe s'estompent et les négociations pour un règlement du conflit en Ukraine progressent.
Après avoir atteint son plus haut niveau depuis deux ans plus tôt en février, le prix du gaz européen chute fortement depuis l'appel téléphonique de Donald Trump et du président russe Vladimir Poutine, qui a ouvert les discussions autour une résolution de la guerre en Ukraine.
Vers 15H10 GMT (16H10 à Paris), le contrat à terme du TTF néerlandais, considéré comme la référence européenne du gaz naturel, baisse de 3,37%, à 42,80 euros le mégawattheure (MWh), après avoir touché 42,20 euros, un niveau auquel il n'était pas tombé depuis le 19 décembre.
La Russie est le second producteur mondial de pétrole, et "l'espoir d'un cessez-le-feu en Ukraine et l'attente d'une reprise de certaines exportations de gaz russe" fait baisser les prix en Europe, explique à l'AFP Giovanni Staunovo d'UBS.
L'analyste souligne également "des températures un peu plus douces" qui ont permis de ralentir l'épuisement des réserves européennes.
En effet, les stocks de gaz européens ont commencé à chuter au dernier trimestre de 2024, "avec un temps plus froid et sans vent", privant le vieux continent d'une partie de l'énergie éolienne, rappelle Mike Fulwood, chercheur à l'Oxford Institute for Energy Studies (OIES).
Une tendance renforcée par l'arrêt des flux russes via l'Ukraine à partir du 1er janvier.
Mais les entreprises allemandes du secteur "font pression pour réduire l'objectif de stockage (fixé par l'Union européenne, ndlr) de gaz du pays pour l'hiver prochain" de 90% à 80% "afin d'apaiser les tensions sur le marché", expliquent les analystes de DNB.
Coté pétrole, la politique de Donald Trump rend "les perspectives économiques et pétrolières de plus en plus incertaines", explique John Evans, analyste chez PVM, et c'est pourquoi la confiance des consommateurs américains "s'est rapidement détériorée ce mois-ci".
Les Etats-Unis étant le premier consommateur mondial d'or noir, cette dynamique pèse sur les prix du baril.
Mais "la préoccupation croissante concernant la demande souligne la probabilité que l'Organisation des pays exportateurs de pétrole et ses alliés (Opep+) reporte son plan d'augmentation de l'offre de pétrole sur le marché pour la quatrième fois", souligne Arne Lohmann Rasmussen, analyste chez Global Risk Management.
Selon le plan actuel, 2,2 millions de barils quotidiens doivent être graduellement remis sur le marché à partir d'avril par le cartel, à hauteur de 120.000 barils par jour en plus, chaque mois pendant 18 mois.
Mercredi, le prix du baril de Brent de la mer du Nord, pour livraison en avril, perd 0,05% à 72,98 dollars. Son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate, pour livraison le même mois, gagne 0,12% à 69,01 dollars.
Renault estime avoir trouvé la "potion magique" entre sa nouvelle gamme de voitures et ses réductions de coûts, parvenant à un niveau record de profitabilité en 2024 dans un secteur automobile au ralenti avant d'ouvrir une nouvelle page de sa stratégie.
Le groupe français a confirmé jeudi la réussite de sa nouvelle gamme de voitures, de la Renault 5 au nouveau Dacia Duster.
Son chiffre d'affaires a augmenté de 7,4% en 2024, à 56,2 milliards d'euros, pour 2,3 millions de véhicules vendus dans le monde. Sa marge atteint 7,6% du chiffre d'affaires, un chiffre supérieur à ce qu'attendaient les analystes.
Après avoir frôlé la catastrophe en 2020, "on a trouvé la potion magique, comme dans Astérix et Obélix", s'est félicité le patron de Renault Luca de Meo lors d'une conférence devant les analystes financiers. "Aucun autre constructeur ne peut prétendre aujourd'hui être aussi flexible que Renault pour affronter ce qui arrive."
Ces résultats sont "rassurants" dans la mesure où "la plupart des autres constructeurs européens avaient revu leurs prévisions à la baisse fin 2024", ont commenté les analystes d'UBS.
- Retard électrique -La "potion" de Boulogne-Billancourt allie une rafale inédite de nouveaux véhicules, la vente de moins de voitures mais pour plus cher, et la réduction des coûts de conception et de production, détaillée dans le plan stratégique "Renaulution" qui s'achève en 2025.
Les nouveaux véhicules (Renault Scenic, Rafale, Dacia Duster) ont représenté 24% des ventes au dernier trimestre, ce qui laisse augurer une nouvelle amélioration des ventes début 2025, a souligné le directeur financier de Renault Thierry Piéton.
La Renault 5 électrique, symbole du virage électrique de la "Renaulution", enregistre des prises de commande "meilleures" que prévues dans les pays d'Europe où elle a été lancée pour le moment, s'est félicité M. Piéton.
Les modèles électriques ne représentent cependant encore que 9% des ventes en Europe, portées plutôt par les hybrides, où Renault est deuxième derrière Toyota.
Le groupe a par ailleurs vu son bénéfice net chuter à 800 millions d'euros, freiné notamment par une moins-value de 1,5 milliard d'euros sur la cession de ses actions Nissan, a précisé le groupe dans un communiqué. Sans Nissan, ce bénéfice aurait été de 2,8 milliards d'euros (+21% sur un an).
L'action Renault baissait de 3,36% à 49,48 euros à la Bourse de Paris à 16H45, sur un marché stable.
- "Futurama" -Le groupe compte sur de nombreux lancements supplémentaires, dont la familiale Dacia Bigster et la Renault 4 électrique, pour stabiliser sa marge opérationnelle au-dessus de 7% en 2025.
Cependant, le durcissement des normes européennes sur le CO2 pourrait lui coûter environ 550 millions d'euros sur l'année, via des baisses de prix sur ses voitures électriques, pour que Renault atteigne ses objectifs de vente et ne paie pas d'amendes.
Luca de Meo, qui vient de quitter la présidence du lobby automobile européen, voudrait que l'UE soit "flexible" sur ces normes CO2 et travaille sur la compétitivité de son tissu industriel, a-t-il précisé lors d'une conférence de presse. Les constructeurs pourraient ainsi "donner un coup de fouet à la demande" avec de nouvelles gammes de voitures électriques moins chères.
Dacia va par ailleurs lancer rapidement une petite voiture électrique développée en grande partie en Chine mais fabriquée en Europe, sur la base de la Renault Twingo, et annoncée à moins de 18.000 euros.
Pour faire suite à la "Renaulution", le groupe compte ouvrir un nouveau chapitre appelé "Futurama", a annoncé M. de Meo. Renault compte notamment "réinvestir" dans le groupe l'argent gagné ces dernières années, dans l'innovation technologique en particulier.
Le groupe va aussi tenter d'"élargir son champ d'action" pour trouver des marchés au-delà de l'automobile classique, dans l'énergie (comme il l'a déjà fait dans les bornes de recharge en Italie), la finance ou les logiciels.
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