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Coach de trading en chef et conférencier BeingTrader, plus de 8 ans d'expérience dans le trading du marché des changes, principalement XAUUSD, EUR/USD, GBP/USD, USD/JPY et pétrole brut. Un trader et analyste confiant qui vise à explorer diverses opportunités et à guider les investisseurs sur le marché. En tant qu'analyste, je cherche à améliorer l'expérience du trader en le soutenant avec suffisamment de données et de signaux.
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Despite Hong Kong's robust legal and regulatory framework, its stock market still faces unique risks and challenges, such as currency fluctuations due to the Hong Kong dollar's peg to the US dollar and the impact of mainland China's policy changes and economic conditions on Hong Kong stocks.
HK Stock Trading Fees and Taxation
Trading costs in the Hong Kong stock market include transaction fees, stamp duty, settlement charges, and currency conversion fees for foreign investors. Additionally, taxes may apply based on local regulations.
HK Non-Essential Consumer Goods Industry
The Hong Kong stock market encompasses non-essential consumption sectors like automotive, education, tourism, catering, and apparel. Of the 643 listed companies, 35% are mainland Chinese, making up 65% of the total market capitalization. Thus, it's heavily influenced by the Chinese economy.
HK Real Estate Industry
In recent years, the real estate and construction sector's share in the Hong Kong stock index has notably decreased. Nevertheless, as of 2022, it retains around 10% market share, covering real estate development, construction engineering, investment, and property management.
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Malgré la chute de ses bénéfices en 2024, le géant italien des hydrocarbures Eni a promis jeudi de choyer ses actionnaires et maintenu le cap de ses objectifs en matière de transition énergétique.
Eni compte offrir à ses clients "un portefeuille croissant de produits à émissions nulles ou faibles en carbone", a assuré son PDG, Claudio Descalzi, en présentant son plan stratégique 2025-2028.
Le groupe italien se démarque ainsi de plusieurs de ses concurrents européens comme Shell, BP et Equinor, qui ralentissent leur transition énergétique pour se recentrer sur leurs activités plus rentables dans les hydrocarbures.
Eni prévoit de presque quadrupler la capacité installée de Plenitude, sa division spécialisée en énergies renouvelables, à 15 gigawatts d'ici à 2030.
Dans le même temps, le géant pétrolier maintient son projet de porter sa capacité de production de biocarburants à plus de 5 millions de tonnes d'ici à 2030.
Eni a confirmé son objectif de réduire ses émissions de gaz à effet de serre de 35% d'ici 2030 par rapport à 2018 et de 80% jusqu'à 2040, avant d'atteindre la neutralité carbone d'ici 2050.
Le groupe italien a vu son bénéfice net chuter de 45% à 2,46 milliards d'euros en 2024, plombé par la baisse des cours du gaz et du pétrole.
Ce résultat est nettement inférieur au consensus des analystes de Factset, qui tablaient sur un bénéfice de 4,56 milliards d'euros.
Le chiffre d'affaires a baissé de 5% à 88,79 milliards d'euros en 2024, un montant là aussi inférieur aux attentes des analystes.
- "Stratégie de croissance" -En dépit de ces résultats en berne, Eni s'est engagé à augmenter les dividendes et rachats d'actions.
"Nous avons renforcé notre structure financière afin de soutenir notre stratégie de croissance" et "garantir une rémunération très attractive de nos actionnaires", a fait valoir M. Descalzi.
Eni compte désormais redistribuer à ses actionnaires entre 35% et 40% du flux de trésorerie d'exploitation annuel sous forme de dividendes et de rachats d'actions, contre 30% à 35% prévus par le précédent plan stratégique.
Pour 2025, Eni prévoit un dividende à 1,05 euro par titre, en hausse de 5%, et un rachat d'actions portant sur 1,5 milliard d'euros.
Pour augmenter les revenus, Claudio Descalzi applique ce qu'il appelle une stratégie "satellitaire" visant à créer des unités indépendantes spécialisées et capables d'attirer des investisseurs de "valeur".
Eni avait signé ainsi la semaine dernière un accord sur la cession au fonds d'investissement américain KKR d'une participation supplémentaire de 5% dans Enilive, sa filiale spécialisée dans le bioraffinage, pour 587,5 millions d'euros.
KKR est monté à 30% du capital d'Enilive, dont il avait acquis en octobre une part de 25% pour 2,9 milliards d'euros. La transaction valorise l'ensemble de la filiale à 11,75 milliards d'euros.
- Pas de retour au gaz russe -Le nouveau plan d'Eni confirme des investissements de 27 milliards d'euros sur la période 2025-2028. Pour cette année, le groupe table sur des investissements de 6,5 à 7 milliards d'euros.
Eni avait annoncé en octobre son intention d'investir 2 milliards d'euros sur cinq ans dans sa filiale chimique Versalis afin de réduire ses émissions de C02 et redresser ses comptes.
Interrogé sur un éventuel retour à l'approvisionnement en gaz russe en cas de fin de la guerre en Ukraine, M. Descalzi a écarté ce scénario.
"Le gaz russe a été remplacé, le marché est le marché et il n'est pas facile maintenant de changer. Si quelqu'un est absent, il est remplacé", a-t-il déclaré lors d'une conférence avec des analystes.
Le cours de référence du gaz naturel a baissé de 14% à 36 euros le mégawattheure (MWh) en 2024, selon Eni.
Dans le même temps, le cours du baril de Brent de la mer du Nord a reculé de 2% à 80,76 dollars en moyenne. Pour 2025, Eni prévoit un prix réduit à 75 dollars.
bh/eb
Les marchés boursiers européens cèdent du terrain jeudi au lendemain de l'annonce du président américain, Donald Trump, d'appliquer 25% de droits de douane sur les produits européens.
Vers 13H00 GMT, Paris perdait 0,28%, Francfort 0,92% et Londres 0,20%. A Wall Street, les contrats à terme des trois principaux indices laissaient présager d'une ouverture dispersée: le Nasdaq gagnait 0,26%, le Dow Jones lâchait 0,43%, le S&P 500 était stable (+0,01%).
Le président américain Donald Trump a annoncé mercredi, à l'occasion de la première réunion de son cabinet à la Maison Blanche, que les produits européens feraient l'objet d'une hausse des droits de douane.
"Nous avons pris la décision, et nous l'annoncerons prochainement, ce sera 25%", a-t-il assuré, soit le niveau auquel les produits canadiens et mexicains devraient également être taxés à partir de début avril.
"Bien entendu, ces menaces pèsent sur le sentiment du marché dans le monde", commente Ipek Ozkardeskaya, analyste de Swissquote Bank, les investisseurs craignant que la hausse des droits de douane alimente une inflation "qui donne déjà des signes de réchauffement".
Ces annonces accroissent l'incertitude: "On ne sait pas encore exactement contre quels secteurs et produits les États-Unis vont prendre des mesures", estime Andreas Lipkow, analyste indépendant.
Les entreprises automobiles allemandes, pour lesquelles le marché américain est particulièrement important, reculaient: à Francfort, Volkswagen perdait 1,60%, Mercedes 1,71% et BMW 3,13%.
Ailleurs en Europe, Stellantis cédait 3,07% et Volvo 3,28%.
Autre point d'attention des investisseurs: les résultats de Nvidia (+2,99% dans les échanges avant l'ouverture du marché), champion américain des microprocesseurs, deuxième capitalisation boursière mondiale et baromètre de l'intelligence artificielle, publiés mercredi soir.
Le groupe a fait mieux qu'attendu au quatrième trimestre de son exercice décalé, avec un bénéfice net de 22,1 milliards de dollars, et s'est montré encourageant quant à la demande de semi-conducteurs.
Toutefois, les marchés "espéraient un résultat encore plus important", estime Jacob Falkencrone, de Saxo Banque.
La publication était attendue au tournant, dans un contexte de doutes ces dernières semaines sur les perspectives de croissance réelle des secteurs liés au développement de l'intelligence artificielle.
Ce sentiment s'est accru depuis que le chinois DeepSeek a revendiqué le développement d'un modèle aussi performant que ses concurrents américains, avec beaucoup moins de ressources, rendant "les marchés de plus en plus difficiles à impressionner", explique Ipek Ozkardeskaya.
SwissRe recherchéLe géant suisse de la réassurance Swiss Re (+2,35% à Zurich) a fait état jeudi d'un bénéfice net de 3,2 milliards de dollars pour 2024, en hausse de 3% en dépit de l'augmentation de ses réserves dans l'assurance dommages aux Etats-Unis.
L'assureur Axa (-1,75% à Paris) a connu une année 2024 record, avec une forte hausse de son bénéfice net et de son chiffre d'affaires due au maintien de sa "discipline tarifaire" et à l'accélération de la "croissance des volumes".
Rolls-Royce décolleLe groupe industriel britannique Rolls-Royce gagnait 17,84% à Londres après avoir annoncé un bénéfice en hausse de presque 5% sur un an, à 2,5 milliards de livres (3 milliards d'euros).
Le géant de la publicité WPP dévissait de près de 16%, plombé par des résultats moins bons qu'attendu en 2024 et des perspectives moroses pour l'année en cours.
Engie saluéL'énergéticien français Engie s'envolait de 6,57% à Paris après avoir revu à la hausse ses perspectives 2025 après une année marquée par une activité "record" dans les renouvelables et une forte performance opérationnelle et financière, dans un contexte de baisse des prix de l'énergie.
Le pétrole grimpeLe pétrole est poussé par l'annulation de la licence d'exploitation de pétrole du Venezuela accordée à l'entreprise américaine Chevron, créant une tension sur l'offre du marché pétrolier.
Vers 12H55 GMT, le prix du baril de Brent de la mer du Nord, prenait 1,16% à 73,37 dollars. Son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate, gagnait 1,15% à 69,41 dollars.
Sur le marché des changes, la monnaie unique reste quasiment atone (+0,04%) par rapport à la devise américaine, à 1,0480 dollar.
Le bitcoin reculait de 3,32% 86.404 dollars.
Le groupe énergétique polonais Orlen a annoncé jeudi une hausse de 73,8% de son bénéfice d'exploitation au quatrième trimestre, dépassant légèrement les estimations des analystes, grâce aux bonnes performances de ses activités de production de pétrole et de gaz.
La société a généré un bénéfice avant intérêts, impôts, dépréciation et amortissement de 11,48 milliards de zlotys (2,9 milliards de dollars), a indiqué la société dans un communiqué, par rapport aux prévisions des analystes (link) de 11,11 milliards de zlotys.
Elle a réalisé un bénéfice net de 4,66 milliards de zlotys, manquant ainsi l'estimation de 5,04 milliards.
Les actions de la société ont augmenté de 4 % à 9h00 GMT, les investisseurs ayant salué les résultats de base et Orlen ayant déclaré qu'elle recommanderait un dividende de 6 zlotys par action pour 2024, en hausse par rapport aux 4,15 versés pour 2023.
Le montant du dividende se compose d'un dividende progressif garanti de 4,50 zlotys par action et d'une prime supplémentaire de 1,50 zlotys par action, qui dépend des résultats financiers et de la situation de la société.
"Nous avons obtenu d'excellents résultats opérationnels. Nous avons achevé la mise en œuvre d'une stratégie qui a été très bien accueillie par le marché", a déclaré Ireneusz Fafara, directeur général, dans un communiqué.
"Nous avons généré une grande quantité de liquidités, ce qui nous permet d'offrir aux actionnaires un dividende record."
Le bénéfice net total pour 2024 s'élève toutefois à 7,98 milliards de zlotys, soit plus de la moitié des 20,92 milliards de zlotys enregistrés en 2023, qui avaient bénéficié de prix de l'énergie records.
M. Fafara a ensuite déclaré lors d'une conférence de presse que l'exportateur américain Venture Global V - qui fait l'objet d'une procédure d'arbitrage intentée par la société polonaise pour n'avoir pas fourni les cargaisons prévues au contrat - livrerait sa première cargaison de gaz naturel liquéfié le 23 avril.
Il a ajouté qu'Orlen s'attendait à ce que la procédure d'arbitrage commence à la fin de l'année.
D'autres grandes compagnies pétrolières, dont Shell et BP , ont également engagé des procédures d'arbitrage contre Venture Global l'année dernière. Venture Global a rejeté les plaintes déposées dans ces affaires.
Orlen est l'un des plus grands groupes énergétiques d'Europe centrale et orientale. Son principal fournisseur de brut est Saudi Aramco, tandis qu'il importe du gaz par gazoduc de Norvège et du GNL des États-Unis et du Qatar.
(1 $ = 3,9524 zlotys)
Le groupe énergétique italien Eni a annoncé jeudi une baisse de 46% de son bénéfice net ajusté au quatrième trimestre, touché par la baisse des prix de l'énergie et la faiblesse de ses divisions raffinage, biocarburants et chimie.
Le bénéfice net ajusté pour octobre et décembre a totalisé 892 millions d'euros (934 millions de dollars), en dessous du consensus des analystes de 960 millions d'euros compilé par la société et en baisse par rapport à 1,66 milliard d'euros au quatrième trimestre de 2023.
Eni a déclaré que son effet de levier pro-forma, qui mesure la dette totale par rapport aux capitaux propres en tenant compte également des cessions convenues qui n'ont pas encore été achevées, est tombé à 15 % à la fin de l'année dernière.
"Nos actions sur le portefeuille signifient que notre levier pro-forma est maintenant à un niveau historiquement bas de 15 %, ce qui nous permet de continuer à investir dans l'entreprise et de récompenser nos actionnaires tout au long du cycle", a déclaré le directeur général Claudio Descalzi dans un communiqué.
Les actions d'Eni étaient en baisse de 2,2 % dans les premiers échanges, sous-performant la baisse de 1,5 % de l'indice des valeurs sûres de Milan.
Claudio Descalzi a développé une stratégie basée sur des unités dédiées - ou satellites - qui visent à accéder de manière indépendante aux marchés des capitaux pour financer leur croissance.
En 2024, le groupe a ouvert le capital de son unité renouvelable et de vente au détail Plenitude et de sa société de biocarburants Enilive, ce qui a suscité des investissements de la part du gestionnaire d'actifs suisse Energy Infrastructure Partners et de la société américaine KKR respectivement.
Le cash-flow opérationnel sous-jacent (CFFO) au quatrième trimestre a dépassé les prévisions du consensus, s'élevant à 2,89 milliards d'euros.
Les dépenses d'investissement se sont élevées à 2,7 milliards d'euros, pour un total annuel de 8,8 milliards d'euros, inférieur aux prévisions de la société.
La production de pétrole et de gaz sur l'ensemble de l'année a été supérieure aux prévisions, avec une augmentation de 3 %, , grâce à l'acquisition de Neptune Energy.
Le bénéfice ajusté pro forma avant intérêts et impôts (Ebit) de la division exploration et production d'Eni (E&P) a chuté de 17 % par rapport à l'année précédente pour atteindre 2,78 milliards d'euros au quatrième trimestre.
Les unités à faible émission de carbone Enilive et Plenitude ont affiché un Ebit ajusté pro forma total de 133 millions d'euros au quatrième trimestre, en baisse de 17 % par rapport à 2023.
Le raffinage et la chimie ont enregistré une perte d'exploitation de 275 millions d'euros, nettement supérieure à celle de l'année précédente.
L'Ebit ajusté pro forma de l'activité gaz et GNL (GGP) a diminué de plus de moitié pour atteindre 279 millions d'euros.
"Au niveau de l'Ebit, une partie de la faiblesse est due aux résultats plus faibles de Plenitude et d'Enilive. Les résultats de GGP n'ont pas non plus connu une augmentation saisonnière aussi importante que prévu", a déclaré Biraj Borkhataria, analyste à la Royal Bank of Canada.
Eni présentera sa stratégie actualisée et dévoilera sa politique de distribution lors d'une journée virtuelle des marchés de capitaux qui débutera à 13h00 GMT.
Le groupe italien a également déclaré qu'il avait signé un protocole d'accord avec l'entreprise publique malaisienne d'énergie (link) Petroliam Nasional Bhd (Petronas) pour créer une coentreprise afin de superviser certains actifs en amont en Indonésie et en Malaisie.
(1 $ = 0,9551 euro)
Le géant italien des hydrocarbures Eni a vu son bénéfice net chuter de 45% à 2,46 milliards d'euros en 2024, sous l'effet de la baisse des cours du gaz et du pétrole.
Ce résultat, publié jeudi, est nettement inférieur au consensus des analystes du fournisseur d'informations financières Factset, qui tablait sur un bénéfice de 4,56 milliards d'euros.
Le bénéfice net ajusté, qui exclut les éléments exceptionnels, a baissé de 37% à 5,26 milliards d'euros, un montant légèrement inférieur aux 5,49 milliards attendus par les analystes.
"2024 a été une année exceptionnelle de croissance et de création de valeur pour Eni, soutenue par notre structure financière et notre discipline en matière de coûts", a cependant estimé son patron, Claudio Descalzi, cité dans un communiqué.
L'indicateur phare d'Eni, le bénéfice opérationnel (Ebit) ajusté pro forma, a chuté de 20% à 14,3 milliards d'euros. En octobre, Eni avait baissé à 14 milliards d'euros son objectif pour cet indicateur, contre 15 milliards auparavant.
Ces résultats ont été fraîchement accueillis à la Bourse de Milan, où le titre baissait de 2,16% à 13,97 euros peu avant 10h00 (09h00 GMT), dans un marché en recul de 1,45%.
Au quatrième trimestre, le bénéfice net a augmenté de 43% à 247 millions d'euros, grâce notamment au rebond des cours du gaz.
Sur l'ensemble de l'année, le cours de référence du gaz naturel a baissé de 14% à 36 euros le mégawattheure (MWh).
Le prix du baril de Brent de la mer du Nord a reculé de 2% à 80,76 dollars en moyenne en 2024. Eni avait tablé sur un prix du baril de 83 dollars pour l'année, dans un contexte de fortes tensions au Moyen-Orient.
Accusant le coup du recul des cours des hydrocarbures, le chiffre d'affaires a baissé de 5% à 88,79 milliards d'euros en 2024, un montant là aussi inférieur aux attentes des analystes.
La production d'hydrocarbures d'Eni a augmenté de 3% à 1,7 million de barils par jour en 2024, conformément aux objectifs du groupe.
- Coentreprise avec Petronas -Eni avait signé la semaine dernière un accord sur la cession au fonds d'investissement américain KKR d'une participation supplémentaire de 5% dans Enilive, sa filiale spécialisée dans le bioraffinage, pour 587,5 millions d'euros.
KKR monte ainsi à 30% du capital d'Enilive, dont il avait acquis en octobre une participation de 25% pour 2,9 milliards d'euros. La transaction valorise l'ensemble de la filiale à 11,75 milliards d'euros.
Claudio Descalzi applique ainsi ce qu'il appelle une stratégie "satellitaire" visant à créer des unités indépendantes spécialisées et capables d'attirer des investisseurs de "valeur" et financer ainsi la croissance du groupe.
Eni a annoncé jeudi avoir signé un protocole d'accord avec le groupe public malaisien d'énergie Petronas en vue de la création d'une coentreprise chargée de gérer certains actifs du secteur "upstream" (la production et l'exploration) en Indonésie et Malaisie.
Les deux groupes estiment que cette coentreprise "créera d'importantes opportunités de croissance" et "devrait générer des synergies substantielles".
La coentreprise "se concentrera sur l'investissement dans de nouveaux projets de développement gazier" pour soutenir "la demande croissante de gaz dans la région".
Les principales Bourses européennes sont orientées à la baisse jeudi en matinée après de très nombreuses publications d'entreprises contrastées en Europe alors que le sentiment du marché est à la prudence après les dernières déclarations de Donald Trump sur les droits de douane.
À Paris, le CAC 40 perd 0,62% à 8.093,88 points vers 07h25 GMT. À Londres, le FTSE 100 CURRENCYCOM:UK100 abandonne 0,23% et à Francfort, le Dax cède 0,97%.
L'indice EuroStoxx 50 recule de 0,89% et le FTSEurofirst 300 (.FTEU3) de 0,68%. Le Stoxx 600 , qui a inscrit mercredi un record avec la perspective d'un cessez-le-feu en Ukraine et de solides résultats d'entreprises, décline jeudi de 0,66%.
Les contrats à terme à Wall Street préfigurent une hausse, de 0,20% pour le Dow Jones , de 0,37% pour le Standard & Poor's 500 et de 0,34% pour le Nasdaq au lendemain d'une séance en ordre dispersée marquée par l'attentisme.
Le président américain, Donald Trump, a annoncé que son administration imposerait très bientôt des surtaxes de 25% sur les importations en provenance de l'Union européenne (UE) et a alimenté le flou concernant le sort du Canada et du Mexique, avec des droits de douane qui pourraient entrer en vigueur le 2 avril, sans que la date butoir du 2 mars ne soit exclue.
La séance du jour sera en outre marquée par la publication de la deuxième estimation de produit intérieur brut (PIB) des Etats-Unis pour le quatrième trimestre alors que de récentes données ont fait craindre une stagnation de l'économie.
Côté entreprises, le compartiment technologique en Europe (.SX8P) recule de 1,32% au lendemain de la publication des comptes trimestriels de Nvidia , qui ont certes dépassé les attentes mais ne suffisent pas à convaincre les investisseurs. Le titre Nvidia abandonne 1,5% dans les transactions hors séance à Wall Street.
Les constructeurs automobiles comme Stellantis (-2,32%), Volkswagen (-2,88%) et Porsche (-2,79%) sont affectés par l'annonce de Donald Trump sur les droits de douane.
Dans les résultats du jour en Europe, Axa cède 2,58% malgré un résultat net annuel supérieur aux attentes. Le secteur de l'assurances (.SXIP) abandonne 0,75%. Aviva (+0,34%) et Swiss Re (+1,94%) sont cependant bien orientés après leurs publications respectives.
Engie bondit de 5,11% malgré une baisse de son bénéfice avant intérêts et impôts (Ebit) hors nucléaire en 2024.
WPP plonge de 17,45% après l'annonce d'une baisse organique de son chiffre d'affaires sur l'ensemble de l'année 2024.
Rolls-Royce grimpe de 14,86% après avoir revu à la hausse ses objectifs à moyen terme.
Eni perd 1,3%, le groupe énergétique italien ayant fait état jeudi d'une baisse de 46% de son bénéfice net ajusté au quatrième trimestre.
Les marchés boursiers européens cèdent du terrain jeudi, après la publication fraîchement accueillie des résultats du mastodonte des puces électroniques Nvidia et de nouvelles menaces douanières de Donald Trump contre l'Union européenne.
Vers 08H20 GMT, Paris perdait 0,57%, Francfort 0,92%, Milan 1,28% et Londres 0,20%.
Les investisseurs décortiquent les résultats de Nvidia, champion américain des microprocesseurs, deuxième capitalisation mondiale et baromètre de l'intelligence artificielle, publiés mercredi soir.
Le groupe a fait mieux qu'attendu au quatrième trimestre de son exercice décalé, avec un bénéfice net de 22,1 milliards de dollars, et s'est montré encourageant quant à la demande de semi-conducteurs.
Mais les marchés "espéraient un résultat encore plus important", estime Jacob Falkencrone, de Saxo Banque.
La publication était attendue au tournant, dans un contexte de doutes ces dernières semaines sur les perspectives de croissance réelle des secteurs liés au développement de l'intelligence artificielle.
Ce sentiment s'est accru depuis que le chinois DeepSeek a revendiqué le développement d'un modèle aussi performant que ses concurrents américains, avec beaucoup moins de ressources.
Dans ce contexte, "les marchés sont de plus en plus difficiles à impressionner", explique Ipek Ozkardeskaya, analyste pour Swissquote Bank.
Autre point d'attention en Europe: les nouvelles menaces douanières de Donald Trump.
Le président américain a annoncé mercredi, à l'occasion de la première réunion de son cabinet à la Maison Blanche, que les produits européens feraient l'objet "prochainement" de 25% de droits de douane.
Dans ce contexte, le dollar gagnait 0,10% face à la monnaie unique européenne, à 1,0477 dollar pour un euro.
Les entreprises automobiles allemandes, pour lesquelles le marché américain est particulièrement important, reculaient: à Francfort, Volkswagen perdait 2,31%, Mercedes 2,05% et BMW 2,19%.
Les marchés scruteront aussi la publication à 9H00 GMT des "minutes", compte-rendu de la dernière réunion de la Banque centrale européenne (BCE).
Dans ce contexte, l'emprunt à dix ans allemand, référence en Europe, restait stable par rapport à la veille, à 2,43%.
En Asie, le Bourse de Hong Kong s'est hissée jeudi à un sommet en trois ans, porté par la "tech", avant de trébucher sur fond de prises de bénéfices. Dans les derniers échanges, l'indice reculait de 0,34%.
Ailleurs en Chine, Shenzhen reculait de 0,26%. A la Bourse de Tokyo, l'indice Nikkei a terminé en hausse de 0,30%.
Pluie de résultats à ParisLa saison des résultats bat son plein à Paris.
L'énergéticien Engie bondissait de 5,08% vers 8H20 GMT après avoir revu à la hausse ses perspectives 2025 suite à une année marquée par une activité "record" dans les renouvelables et une forte performance opérationnelle et financière".
Le chimiste Arkema cédait 5,87% après un bénéfice net ayant reculé de 15,3% à 354 millions d'euros, pénalisé par des amortissements et des dépréciations en hausse.
Le groupe d'électroménager SEB dévissait lui de 11,72%. L'entreprise a dégagé un bénéfice net en forte baisse pour 2024, en raison d'une provision liée à une amende de l'Autorité de la concurrence.
Rolls-Royce décolleLe groupe industriel britannique Rolls-Royce gagnait 15,12% vers 8H20 GMT à Londres. L'entreprise, spécialisée dans les moteurs d'avion, a annoncé jeudi un bénéfice en hausse de presque 5% sur un an, à 2,5 milliards de livres (3 milliards d'euros).
Eni reculeLe géant italien des hydrocarbures Eni (-1,84% à Milan) a vu son bénéfice net chuter de 45% à 2,46 milliards d'euros en 2024, sous l'effet de la baisse des cours du gaz et du pétrole.
Le pétrole avance après la décision de Trump sur ChevronLes perspectives de tensions sur l'offre mondiale de brut ont été ravivées par la décision de Donald Trump d'annuler une licence d'exploitation de pétrole au Venezuela accordée à l'américain Chevron.
Vers 09H20 GMT, le baril de WTI américain gagnait 0,39% à 68,89 dollars et celui de Brent de la mer du Nord 0,34% à 72,78 dollars.
Le bitcoin reculait de 3,50% à 86.171 dollars.
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