Citations
Nouvelles
Analyse
Utilisateur
24/7
Calendrier économique
Education
Données
- Des noms
- Dernier
- Précédent
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
A:--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
Pas de données correspondantes
Graphiques Gratuit pour toujours
Chat F&Q avec des Experts Filtres Calendrier économique Données OutilFastBull VIP FonctionnalitésTendances du marché
Principaux indicateurs
Dernières vues
Dernières vues
Sujets d'actualité
L’argent fait tourner le monde et la monnaie est une marchandise permanente. Le marché des changes est plein de surprises et d'attentes.
Sur les marchés financiers mondiaux, la bourse sert de baromètre économique et a toujours été au centre de l'attention des investisseurs. Son ascension et sa chute ont un impact profond sur l’économie de divers pays.
Les marchés financiers restent stables mais affichent un sentiment d'anticipation nerveuse alors que la nouvelle semaine commence. Les conflits entre Israël et le Hamas continuent d’occuper le devant de la scène, avec des inquiétudes croissantes quant au risque que la violence engloutisse l’ensemble de la région.
Le marché obligataire est le marché financier le plus ancien, mature, non innovant mais indispensable, tandis que la dette est un ancien vortex commun, discret mais redoutable.
Les meilleurs chroniqueurs
Salut! Êtes-vous prêt à vous impliquer dans le monde financier ?
Les dernières nouvelles et les événements financiers mondiaux.
J'ai 5 ans d'expérience en analyse financière, notamment dans les aspects d'évolution macroéconomique et de jugement de tendances à moyen et long terme. Je me concentre principalement sur l'évolution du Moyen-Orient, des marchés émergents, du charbon, du blé et d'autres produits agricoles.
Coach de trading en chef et conférencier BeingTrader, plus de 8 ans d'expérience dans le trading du marché des changes, principalement XAUUSD, EUR/USD, GBP/USD, USD/JPY et pétrole brut. Un trader et analyste confiant qui vise à explorer diverses opportunités et à guider les investisseurs sur le marché. En tant qu'analyste, je cherche à améliorer l'expérience du trader en le soutenant avec suffisamment de données et de signaux.
Dernière mise à jour
Risk Warning on Trading HK Stocks
Despite Hong Kong's robust legal and regulatory framework, its stock market still faces unique risks and challenges, such as currency fluctuations due to the Hong Kong dollar's peg to the US dollar and the impact of mainland China's policy changes and economic conditions on Hong Kong stocks.
HK Stock Trading Fees and Taxation
Trading costs in the Hong Kong stock market include transaction fees, stamp duty, settlement charges, and currency conversion fees for foreign investors. Additionally, taxes may apply based on local regulations.
HK Non-Essential Consumer Goods Industry
The Hong Kong stock market encompasses non-essential consumption sectors like automotive, education, tourism, catering, and apparel. Of the 643 listed companies, 35% are mainland Chinese, making up 65% of the total market capitalization. Thus, it's heavily influenced by the Chinese economy.
HK Real Estate Industry
In recent years, the real estate and construction sector's share in the Hong Kong stock index has notably decreased. Nevertheless, as of 2022, it retains around 10% market share, covering real estate development, construction engineering, investment, and property management.
Hong Kong, Chine
Ho Chi Minh, Vietnam
Dubaï, Émirats arabes unis
Lagos, Nigeria
Le Caire, Égypte
Marque blanche
API de données
Plug-ins Web
Programme d'affiliation
Tout voir
Pas de données
Non connecté
Se connecter pour accéder à d'autres fonctionnalités
FastBull VIP
Pas encore
Acheter
Se connecter
S'inscrire
Hong Kong, Chine
Ho Chi Minh, Vietnam
Dubaï, Émirats arabes unis
Lagos, Nigeria
Le Caire, Égypte
Marque blanche
API de données
Plug-ins Web
Programme d'affiliation
** J.P. Morgan augmente le prix de vente du gestionnaire d'actifs alternatifs Brookfield Corp de 61 $ à 66 $, citant l'accélération des flux d'assurance et la force de la collecte de fonds
** Le nouveau PT représente une hausse de plus de 8,52 % par rapport à la dernière clôture de l'action
** La société de courtage affirme que le secteur de l'assurance pourrait être un moteur de croissance clé à l'avenir
** La société a récemment fait des progrès substantiels dans le domaine de l'assurance, tant sur le plan organique qu'inorganique
** La société a réalisé des progrès considérables sur le front de l'assurance, tant sur le plan organique qu'organique
** Deux des trois courtiers évaluent l'action à "acheter" ou plus, et un à "conserver"; le prix médian est de 64 $ - données compilées par LSEG
** L'action est en hausse de près de 7 % depuis le début de l'année, après avoir grimpé de plus de 43 % en 2024
L'investisseur milliardaire William Ackman a augmenté sa participation dans la société de vêtements de sport Nike de 15% et a réduit son investissement dans la chaîne de restauration rapide Chipotle Mexican Grill de 14%, au cours du quatrième trimestre, selon un dépôt réglementaire effectué vendredi.
La société d'Ackman, Pershing Square Capital Management, détenait 18,8 millions d'actions de Nike et 24,7 millions d'actions de Chipotle, un nom que sa société possède depuis 2016.
Autrefois l'un des agitateurs les plus volubiles de Wall Street, qui poussait à des changements dans des entreprises allant du chemin de fer Canadien Pacifique Kansas City au fabricant de gaz industriels Air Products and Chemicals , Ackman a adopté un style d'investissement plus discret il y a quelques années, mais ses choix sont toujours suivis de près.
La société a régulièrement réduit son investissement dans Chipotle, l'un de ses grands gagnants de ces dernières années. Le 30 juin, Pershing Square détenait 28,8 millions d'actions Chipotle.
La déclaration, connue sous le nom de déclaration 13F, montre ce que les gestionnaires de fonds possédaient à la fin du trimestre précédent.
La société a également réduit sa participation dans Hilton Worldwide Holdings de 26 %, à 5,4 millions d'actions.
Sa plus grande participation était la société d'investissement Brookfield avec environ 35 millions d'actions.
Le Britannique Fluidstack, les Américains Amazon et Appolo et le Suédois Evroc figurent au nombre des groupes impliqués dans l'enveloppe de €109 milliards d'investissements dans l'intelligence artificielle (IA) dont va bénéficier la France, ont annoncé lundi l'Elysée et Emmanuel Macron.
"Aujourd'hui et demain, 109 milliards d'euros vont être confirmés pour la France pour les années à venir", a déclaré le président français en anglais au soir du premier jour du Sommet sur l'action pour l'intelligence artificielle organisé au Grand Palais, à Paris.
Emmanuel Macron a évoqué "35 sites disponibles" dans le pays pour accueillir des entreprises liées à l'IA, technologie dans laquelle les Etats-Unis et la Chine ont une longueur d'avance.
Pour le chef de l'Etat, les investissements annoncés sont le fruit d'années d'efforts visant à améliorer l'attractivité de la France où la formation des personnels et l'accès à une énergie décarbonée sont des atouts.
"Ici, c'est plug ("branche") baby plug", a-t-il dit en référence à l'expression "drill baby drill" utilisée par le président américain Donald Trump pour intensifier les forages.
"La France est définitivement dans la course et ce n'est que le début de l'aventure", a commenté l'Elysée, qui a détaillé les investissements pour les "trois à cinq années à venir".
L'enveloppe de 109 milliards inclut un accord cadre avec les Émirats arabes unis représentant des investissements pouvant atteindre 50 milliards d'euros impliquant le fonds MGX, basé à Abu Dhabi.
Il prévoit la création en France d'un campus IA, qui serait le plus grand d'Europe, comprenant un centre de données d'une capacité de calcul pouvant atteindre un gigawatt. Le lieu d'implantation doit être annoncé lors du prochain sommet Choose France, en mai.
Une enveloppe de 20 milliards d'euros est engagée par le canadien Brookfield. Le groupe annoncé à Cambrai (Nord) injecte 15 milliards dans le développement de centres de données et cinq milliards dans des infrastructures liées au transfert de données, aux puces de stockage et à l'énergie.
"SUPER CALCULATEUR"
Le Britannique Fluidstack met pour sa part 10 milliards sur la table pour la construction d'un "super calculateur" de 10 mégawatts.
"Avec un lancement prévu pour 2026, ce super calculateur accélérera l’innovation, renforcera la souveraineté numérique de la France et générera des milliers d’emplois qualifiés en région", précise l'Elysée dans un dossier de presse.
Amazon doit investir six milliards d'euros pour des centres de données et des infrastructures 'cloud' d'ici 2031.
Le fonds américain Appolo s'implique pour sa part à hauteur de cinq milliards de dollars pour des projets de connectivité énergétique.
Une autre société américaine, Digital Realty, investit plus de cinq milliards dans des centres de données appelés à être déployés à Marseille et en région parisienne.
"Le groupe envisage un investissement supplémentaire d'un milliard d'euros pour un autre 'data center' à Paris, ce qui représenterait 25 'data centers' construits en France depuis 1999", précise l'Elysée.
L'Américain Prologis prévoit pour sa part un investissement de plus de 3,5 milliards d'euros.
La société suédoise Evroc va investir jusqu'à quatre milliards d'euros pour des projets incluant la construction d'une usine d'IA à Mougins (Alpes-Maritimes).
Le montant investi s'élève à 400 millions d'euros pour le groupe japonais Telehouse pour des projets dans le Sud et en Ile-de France.
Plusieurs groupes français sont aussi de la partie, dont Mistral AI, Sesterce et Iliad, qui s'engage à hauteur de trois milliards d'euros.
Eclairon poursuit aussi son expansion. Après la livraison à Bruyères-le-Châtel (Essonne) d'une plateforme vouée à l’hébergement de "super calculateurs" pour l’IA et le calcul scientifique, le groupe met en chantier un second site à Bessé-sur-Braye (Sarthe).
L'Union européenne (UE) annoncera mardi sa stratégie en matière d'intelligence artificielle (IA) qui inclura des efforts de simplification pour favoriser les investissements et l'innovation, a déclaré lundi Emmanuel Macron à l'occasion d'un Sommet pour l'action sur l'IA.
Dirigeants politiques et entrepreneurs du monde entier se réunissent lundi et mardi à Paris dans le cadre de ce sommet, qui est l'occasion de dévoiler de nouveaux investissements et de discuter d'une régulation a minima d'une révolution technologique qui suscite convoitise et méfiance.
La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, présentera mardi une stratégie de l'UE qui "sera une occasion formidable pour l'Europe d'accélérer, de simplifier notre réglementation, de renforcer et approfondir le marché unique et d'investir également dans nos capacités de calcul", a dit Emmanuel Macron lors d'un discours prononcé à la fin de la première journée.
"Nous devons fournir ou offrir un plus grand marché domestique à toutes les start-up qui se lancent en Europe (...). Nous avons déjà des avantages compétitifs par rapport aux Etats-Unis et nous en profiterons", a-t-il ajouté.
Henna Virkkunen, la commissaire européenne chargée de la "souveraineté technologique, la sécurité et la démocratie", s'est pour sa part engagée à "mettre en oeuvre une régulation qui soit favorable" à l'investissement et aux innovations.
Après avoir annoncé dimanche que la France bénéficierait de 109 milliards d'euros d'investissements dans l'IA au cours des prochaines années, Emmanuel Macron a estimé lundi que le pays était "définitivement dans la course".
"Ici, c'est plug ('branche') baby plug", a-t-il dit en référence à l'expression "drill baby drill" utilisée par le président américain Donald Trump pour intensifier les forages.
Le Britannique Fluidstack, les Américains Amazon et Appolo et le Suédois Evroc , figurent parmi les groupes inclus dans l'enveloppe de 109 milliards, qui comprend un accord cadre avec les Émirats arabes unis représentant jusqu'à 50 milliards, ainsi que 20 milliards du canadien Brookfield.
"IL NE FAUT PAS AVOIR PEUR DE L'INNOVATION"
Organisé au Grand Palais et à l'Elysée, le sommet sur l'IA s'inscrit dans le sillage des réunions de Bletchley Park et Séoul qui ont commencé à prendre la mesure des défis, à la fois technologiques et humains, posés par l'irruption d'outils comme ChatGPT (lancé par les Etats-Unis en 2022).
L'empressement des pays à freiner l'IA a toutefois depuis été tempéré.
Donald Trump a annulé les restrictions imposées à l'IA par son prédécesseur Joe Biden, et son administration n'envoie à Paris aucun représentant de l'Institut américain de sécurité.
Il a en outre lancé le projet "Stargate", auquel participera OpenAI, destiné à développer l'IA d'ici 2029 avec des investissements à hauteur de 500 milliards de dollars.
Emmanuel Macron a pour sa part vanté lundi l'avantage compétitif que représente le nucléaire pour la France, tandis qu'EDF annonçait le lancement d'un appel à manifestations d'intérêt auprès des entreprises du numérique afin de leur proposer des sites adaptés à leurs projets de développement de centre de données dans le pays.
Autre annonce lors du sommet, le lancement de Current AI, regroupant des pays tels que la France et l'Allemagne et des acteurs du secteur comme Google et Salesforce.
Doté d'un investissement initial de 400 millions de dollars, le partenariat mènera des projets d'intérêt public tels que la mise à disposition de données de haute qualité pour l'IA et l'investissement dans des outils "open source". Il ambitionne de lever jusqu'à 2,5 milliards de dollars dans les cinq ans.
Alors que l'Europe cherche à tirer son épingle du jeu, la France plaide pour une application de la réglementation européenne suffisamment souple pour ne pas freiner les ambitions de ses champions technologiques nationaux.
"Il y a un risque que certains décident de ne pas avoir de règles et c'est dangereux. Mais il y a aussi le risque inverse, si l'Europe se donne trop de règles", a fait valoir Emmanuel Macron lors d'un entretien à la presse quotidienne régionale la semaine dernière. "Il ne faut pas avoir peur de l'innovation."
"UNE VOIE SUPPLÉMENTAIRE"
Fin janvier, le groupe chinois DeepSeek a suscité un émoi mondial en présentant une IA générative d'une puissance équivalente à celle de ChatGPT mais moins chère et beaucoup moins gourmande en énergie, mettant au défi ses concurrents d'accélérer le rythme en termes d'innovation.
Le sommet de Paris est "l'occasion pour l'intelligence artificielle en Europe et puis pour l'industrie en Europe de montrer ce qu'elle sait faire", a déclaré lundi Arthur Mensch, président et cofondateur de Mistral AI, sur France Inter.
"C'est aussi l'occasion de montrer qu'il n'y a pas que les Etats-Unis, que la Chine, qu'il y a une voie supplémentaire", a plaidé le dirigeant du champion français de l'IA.
Les discussions lors du sommet devraient aussi porter sur les énormes besoins énergétiques engendrés par l'IA, à l'heure de la lutte contre le changement climatique.
Un communiqué non contraignant est en cours d'élaboration mais son contenu et les pays signataires restent à ce stade incertains.
D'après une version en date du 30 janvier et que Reuters a pu consulter, le communiqué appelle à une "approche inclusive" de l'IA, qui soit multipartite, fondée sur les droits de l’homme et en soutien aux pays en développement.
Le projet de déclaration énumère des priorités, notamment "éviter la concentration du marché" et "rendre l'IA durable pour les personnes et la planète".
RISQUE SUR L'EMPLOI ?
Une régulation a minima de cette nouvelle technologie ne fait toutefois pas l'unanimité, d'autant que les implications sociales de l'IA restent incertaines.
L'IA peut créer de nouveaux emplois mais pousser d'autres personnes vers de nouvelles professions, a estimé Gilbert F. Houngbo, directeur général de l'Organisation internationale du travail (OIT).
"Est-ce que je vais perdre mon job à cause de l'IA ? La réponse est 'non' mais par contre je risque d'être remplacé par quelqu'un qui sait utiliser l'IA", a estimé lundi pour sa part Xavier Niel, fondateur du groupe Iliad et investisseur dans Mistral AI, sur France Inter.
Parmi les dirigeants très attendus à Paris, se trouvent le vice-président américain JD Vance qui prononcera mardi un discours, ainsi que le vice-Premier ministre chinois Zhang Guoqing.
Côté entreprises, le PDG d'Alphabet , Sundar Pichai, et le directeur général d'OpenAI, Sam Altman, sont aussi présents à Paris.
Emmanuel Macron co-présidera mardi avec le Premier ministre indien Narendra Modi une session plénière organisée au Grand Palais. Pour les entreprises, un Business Day est organisé mardi à Station F.
Dirigeants politiques et entrepreneurs du monde entier se retrouvent ce lundi à Paris pour un Sommet pour l'action sur l'intelligence artificielle (IA) destiné à prendre la mesure de cette révolution appelée à être balisée, à défaut d'être réglementée.
Organisé jusqu'à mardi au Grand Palais et à l'Elysée, ce rendez-vous s'inscrit dans le sillage des réunions de Bletchley Park et Séoul qui ont commencé à prendre la mesure des défis, à la fois technologiques et humains, représentés par l'irruption d'outils comme ChatGPT (lancé par les Etats-Unis en 2022).
L'empressement des pays à freiner l'IA a toutefois ralenti depuis.
Le président américain Donald Trump a annulé les restrictions imposées à l'IA par son prédécesseur Joe Biden, et son administration n'envoie à Paris aucun représentant de l'Institut américain de sécurité.
Donald Trump a en outre lancé le projet "Stargate", auquel participera OpenAI, destiné à développer à l'IA d'ici 2029 avec des investissements à hauteur de 500 milliards de dollars.
Au sommet de Paris, la France doit annoncer pour sa part des investissements dans l'AI à hauteur de 109 milliards d'euros, a déclaré dimanche soir le président Emmanuel Macron.
Fin janvier, le groupe chinois DeepSeek a étonné le monde en présentant une IA générative d'une puissance équivalente à celle de ChatGPT mais moins chère et beaucoup moins gourmande en énergie, mettant au défi ses concurrents d'accélérer le rythme en terme d'innovation.
C'est dans ce contexte que le vice-président américain JD Vance et le vice-Premier ministre chinois Zhang Guoqing se retrouvent à Paris pour des discussions lors desquelles il devrait aussi être question des énormes besoins énergétiques engendrés par l'IA, à l'heure de la lutte contre le changement climatique.
Un communiqué non contraignant est en cours d'élaboration.
Alors que l'Europe cherche à tirer son épingle du jeu, la France plaide pour une application de la réglementation européenne suffisamment souple pour ne pas freiner les ambitions de ses champions technologiques nationaux.
"L'IA NE PEUT PAS ÊTRE LE FAR WEST"
"Il s'agit d'installer des règles du jeu. L'IA ne peut pas être le Far West", a dit Emmanuel Macron dans un entretien à la presse quotidienne régionale la semaine dernière.
"Il y a un risque que certains décident de ne pas avoir de règles et c'est dangereux. Mais il y a aussi le risque inverse, si l'Europe se donne trop de règles", a-t-il fait valoir. "Il ne faut pas avoir peur de l'innovation".
Le sommet de Paris est précédé de journées scientifiques réunissant chercheurs et économistes, d'évènements culturels et de rendez-vous politiques.
Emmanuel Macron a annoncé dimanche sur France 2 un total de 109 milliards d'investissements dans le domaine de l'AI en France "dans les prochaines années", une enveloppe qui inclut un investissement des Émirats arabes unis pouvant atteindre 50 milliards et 20 milliards du canadien Brookfield .
Le président français a dîné dimanche avec le Premier ministre canadien Justin Trudeau, dont le pays est engagé, comme une quarantaine d'autres, dans le Partenariat mondial pour l'IA.
"L'important, c'est comment on met l'intelligence artificielle au service des citoyens, comment la classe moyenne, les petits entrepreneurs peuvent se sentir engagés et plus puissants", a dit Justin Trudeau.
"On veut innover et aller vite, on veut tous être dans la course", a dit Emmanuel Macron au côté du dirigeant canadien, rappelant l'importance d'"y voir clair" dans l'utilisation de cet outil.
Le président français s'entretiendra lundi avec Zhang Guoqing, puis mardi avec JD Vance, selon l'agenda présidentiel.
Côté entreprises, le PDG d'Alphabet , Sundar Pichai, et le directeur général d'OpenAI, Sam Altman, sont annoncés à Paris.
Un dîner est prévu lundi à l'Elysée, à la veille de la session plénière au Grand Palais co-présidée par Emmanuel Macron et le Premier ministre indien Narendra Modi. Pour les entreprises, un Business Day est organisé mardi à Station F.
Arthur Mensch, directeur général de la start-up française Mistral, a déclaré à Reuters que le sommet aiderait à montrer à montrer au grand public les avantages de l'AI au quotidien.
"Les Français et le monde entier se rendent compte que les acteurs européens comptent et qu'ils apportent une technologie de pointe", a-t-il déclaré.
La société d'investissement mondiale Brookfield , va investir 20 milliards d'euros (20,65 milliards de dollars) pour développer des projets liés à l'intelligence artificielle en France, a rapporté dimanche le journal français Tribune.
Il ajoute que Brookfield affectera 15 milliards d'euros aux centres de données qui seront construits dans toute la France et consacrera 5 milliards supplémentaires aux infrastructures de transfert de données, aux puces de stockage et à la production d'énergie renouvelable.
Ces projets sont prévus pour durer jusqu'en 2030, a également indiqué la Tribune.
Lundi, la France accueillera le Sommet d'action sur l'intelligence artificielle, qui réunira à Paris des chefs d'État et de gouvernement, des dirigeants d'organisations internationales, des directeur général de petites et grandes entreprises, des représentants du monde universitaire, des organisations non gouvernementales, des artistes et des membres de la société civile.
(1 $ = 0,9683 euros)
Le canadien Brookfield va investir 20 milliards d'euros pour développer de nouveaux projets liés à l'intelligence artificielle (IA) en France, rapporte la Tribune dimanche.
Selon le journal, Brookfield envisagerait d'investir 15 milliards d'euros dans le développement de centres de données (data centers) - dont l'un de 1 gigawatt de puissance de calcul - et 5 milliards d'euros dans des infrastructures nécessaires au transfert de données, aux puces de stockage et à la production d'énergie renouvelable.
Ces projets devraient s'étaler jusqu'en 2030, précise la Tribune dimanche.
Le journal indique également que Mistral AI, le spécialiste français de l'IA, s'associerait à un projet lancé par HPC Capital.
Paris accueille les 10 et 11 février le Sommet pour l'action sur l'intelligence artificielle, un événement destiné à discuter d'un développement sûr de l'IA et réunissant des représentants de près de 100 pays, ainsi que les dirigeants des géants technologiques.
Marque blanche
API de données
Plug-ins Web
Créateur d'affiches
Programme d'affiliation
Le risque de perte dans la négociation d'instruments financiers tels que les actions, les devises, les matières premières, les contrats à terme, les obligations, les ETF et les crypto-monnaies peut être substantiel. Vous pouvez subir une perte totale des fonds que vous déposez auprès de votre courtier. Par conséquent, vous devez examiner attentivement si ce type de négociation vous convient, compte tenu de votre situation et de vos ressources financières.
Aucune décision d'investissement ne doit être prise sans avoir procédé soi-même à une vérification préalable approfondie ou sans avoir consulté ses conseillers financiers. Le contenu de notre site peut ne pas vous convenir car nous ne connaissons pas votre situation financière et vos besoins en matière d'investissement. Nos informations financières peuvent avoir un temps de latence ou contenir des inexactitudes, de sorte que vous devez être entièrement responsable de vos décisions en matière de négociation et d'investissement. La société ne sera pas responsable de vos pertes en capital.
Sans l'autorisation du site web, vous n'êtes pas autorisé à copier les graphiques, les textes ou les marques du site web. Les droits de propriété intellectuelle sur le contenu ou les données incorporées dans ce site web appartiennent à ses fournisseurs et marchands d'échange.