Citations
Nouvelles
Analyse
Utilisateur
24/7
Calendrier économique
Education
Données
- Des noms
- Dernier
- Précédent
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
A:--
F: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
Pas de données correspondantes
Graphiques Gratuit pour toujours
Chat F&Q avec des Experts Filtres Calendrier économique Données OutilFastBull VIP FonctionnalitésTendances du marché
Principaux indicateurs
Dernières vues
Dernières vues
Sujets d'actualité
L’argent fait tourner le monde et la monnaie est une marchandise permanente. Le marché des changes est plein de surprises et d'attentes.
Sur les marchés financiers mondiaux, la bourse sert de baromètre économique et a toujours été au centre de l'attention des investisseurs. Son ascension et sa chute ont un impact profond sur l’économie de divers pays.
Les marchés financiers restent stables mais affichent un sentiment d'anticipation nerveuse alors que la nouvelle semaine commence. Les conflits entre Israël et le Hamas continuent d’occuper le devant de la scène, avec des inquiétudes croissantes quant au risque que la violence engloutisse l’ensemble de la région.
Le marché obligataire est le marché financier le plus ancien, mature, non innovant mais indispensable, tandis que la dette est un ancien vortex commun, discret mais redoutable.
Les meilleurs chroniqueurs
Salut! Êtes-vous prêt à vous impliquer dans le monde financier ?
Les dernières nouvelles et les événements financiers mondiaux.
J'ai 5 ans d'expérience en analyse financière, notamment dans les aspects d'évolution macroéconomique et de jugement de tendances à moyen et long terme. Je me concentre principalement sur l'évolution du Moyen-Orient, des marchés émergents, du charbon, du blé et d'autres produits agricoles.
Coach de trading en chef et conférencier BeingTrader, plus de 8 ans d'expérience dans le trading du marché des changes, principalement XAUUSD, EUR/USD, GBP/USD, USD/JPY et pétrole brut. Un trader et analyste confiant qui vise à explorer diverses opportunités et à guider les investisseurs sur le marché. En tant qu'analyste, je cherche à améliorer l'expérience du trader en le soutenant avec suffisamment de données et de signaux.
Dernière mise à jour
Risk Warning on Trading HK Stocks
Despite Hong Kong's robust legal and regulatory framework, its stock market still faces unique risks and challenges, such as currency fluctuations due to the Hong Kong dollar's peg to the US dollar and the impact of mainland China's policy changes and economic conditions on Hong Kong stocks.
HK Stock Trading Fees and Taxation
Trading costs in the Hong Kong stock market include transaction fees, stamp duty, settlement charges, and currency conversion fees for foreign investors. Additionally, taxes may apply based on local regulations.
HK Non-Essential Consumer Goods Industry
The Hong Kong stock market encompasses non-essential consumption sectors like automotive, education, tourism, catering, and apparel. Of the 643 listed companies, 35% are mainland Chinese, making up 65% of the total market capitalization. Thus, it's heavily influenced by the Chinese economy.
HK Real Estate Industry
In recent years, the real estate and construction sector's share in the Hong Kong stock index has notably decreased. Nevertheless, as of 2022, it retains around 10% market share, covering real estate development, construction engineering, investment, and property management.
Hong Kong, Chine
Ho Chi Minh, Vietnam
Dubaï, Émirats arabes unis
Lagos, Nigeria
Le Caire, Égypte
Marque blanche
API de données
Plug-ins Web
Programme d'affiliation
Tout voir
Pas de données
Non connecté
Se connecter pour accéder à d'autres fonctionnalités
FastBull VIP
Pas encore
Acheter
Se connecter
S'inscrire
Hong Kong, Chine
Ho Chi Minh, Vietnam
Dubaï, Émirats arabes unis
Lagos, Nigeria
Le Caire, Égypte
Marque blanche
API de données
Plug-ins Web
Programme d'affiliation
La banque d'affaires franco-américaine Lazard a publié jeudi un bénéfice net de 280 millions de dollars pour 2024, après une perte nette l'année précédente, porté par le conseil financier, son activité phare.
Son chiffre d'affaires a grimpé de 21% sur un an en 2024, à 3,05 milliards de dollars.
"La stratégie de croissance pour 2030 produit des résultats plus tôt que prévu", a salué lors d'une conférence de presse téléphonique le patron de Lazard, Peter Orszag.
Il avait annoncé en septembre 2023, peu avant sa prise de fonction, l'objectif de doubler le chiffre d'affaires de la banque d'ici à 2030.
En 2023, Lazard avait perdu 75 millions de dollars, sa première perte sur une année civile depuis 2009, pour un chiffre d'affaires de 2,52 milliards de dollars.
Le conseil financier est redevenu l'an dernier le moteur du groupe, avec 1,73 milliard de dollars de chiffre d'affaires, soit une croissance de 28% par rapport à l'exercice précédent.
Lazard est notamment intervenu dernièrement dans la scission de Vivendi en plusieurs entités, l'acquisition par TotalEnergies de l'allemand VSB et l'entrée en Bourse du spécialiste français du crédit à la consommation Younited.
L'activité de conseil est par essence volatile, avec des périodes plus ou moins porteuses pour les fusions-acquisitions.
La gestion d'actifs, l'autre métier principal de Lazard, a bien résisté en 2024, avec un chiffre d'affaires en hausse de 3% sur un an, à 1,1 milliard de dollars.
La banque d'affaires a cependant ralenti au quatrième trimestre par rapport au précédent: son résultat net s'élève à 86 millions de dollars d'octobre à décembre, contre 108 millions de juillet à septembre.
Interrogé sur le retour à la Maison-Blanche du républicain Donald Trump, M. Orszag, ex-directeur du budget du président démocrate Barack Obama, a jugé "encourageant" les signaux pro-business du nouveau gouvernement et l'ambition affichée de générer de la croissance aux Etats-Unis.
Cotée à New York et dirigée par un américain, Lazard a affiché l'an dernier ses ambitions dans le capital-risque via un accord avec la société de gestion Elaia Partners et essuyé plusieurs départs de son bureau parisien.
La compagnie nationale d'énergie du Kazakhstan, KazMunayGaz, prévoit d'exporter environ 250 000 tonnes (5 400 barils par jour) de pétrole du champ pétrolifère de Kashagan via l'oléoduc Bakou-Tbilissi-Ceyhan en 2025, a-t-elle déclaré mercredi, cherchant ainsi à contourner la Russie.
Le gisement offshore de Kashagan, l'une des plus grandes découvertes mondiales de ces dernières décennies, est développé par Eni , Shell , TotalEnergies , ExxonMobil , KazMunayGaz 4, Inpex et CNPC (CNPC.UL).
Le champ a produit environ 378 500 barils par jour (bpd) en 2024, ce qui est inférieur à sa capacité initialement prévue de 400 000 bpd.
TOTALENERGIES FOURNIRA 1,5 TWH À STMICROELECTRONICS EN FRANCE SUR UNE PÉRIODE DE 15 ANS
VISE UN APPROVISIONNEMENT EN ÉNERGIE 100 % RENOUVELABLE D’ICI 2027
2 FERMES SOLAIRE ET ÉOLIENNE D’UNE PUISSANCE DE 75 MW, RÉCEMMENT MISES EN PRODUCTION ET OPÉRÉES PAR TOTALENERGIES
Texte original
Pour plus de détails, cliquez sur
Le Kazakhstan, pays d'Asie centrale regorgeant de ressources naturelles, a annoncé mardi qu'il produirait cette année du pétrole de schiste, sur fond de croissance "insuffisante" de l'économie, encore dépendante de la Russie malgré une diversification de ses partenariats avec l'Occident et la Chine.
"La première production de pétrole de schiste au Kazakhstan est attendue pour cette année", a déclaré le Premier ministre Oljas Bektenov lors d'une réunion gouvernementale.
"Il est nécessaire d'intégrer dans l'économie les gisements pétroliers technologiquement complexes, ainsi que les importantes réserves existantes de pétrole de schiste", a poursuivi le président kazakh Kassym-Jomart Tokaïev.
L'extraction du pétrole de schiste, dont les Etats-Unis sont le premier producteur mondial, est complexe et interdite dans certains pays comme la France en raison de la dangerosité pour l'environnement et les populations du procédé utilisé.
M. Tokaïev a par ailleurs regretté que l'économie kazakhe se développe "insuffisamment", avec 4,8% de croissance l'an passé, mais avec une inflation toujours forte (8,6% après avoir dépassé les 20% en 2022-2023) et une monnaie locale, le tenge, qui recule par rapport au dollar.
L'activité économique kazakhe a notamment été touchée par la chute des prix du pétrole et par sa dépendance à l'économie russe, subissant indirectement les sanctions contre la Russie pour son invasion de l'Ukraine.
"Les conflits tarifaires et la confrontation via des sanctions deviennent la nouvelle réalité de l'économie mondiale, une tendance lourde de conséquences", a noté M. Tokaïev, dirigeant proche de Moscou et Pékin mais multipliant les liens avec les partenaires occidentaux.
Il a également martelé le besoin d'attirer les investissements étrangers dans le secteur gazo-pétrolier et des métaux rares, tout en appelant à renégocier les contrats de partage de production à des conditions "favorables" au Kazakhstan.
"Le partage de production sur les grands gisements a permis au Kazakhstan de devenir un fournisseur fiable de ressources énergétiques sur le marché mondial", a déclaré Kassym-Jomart Tokaïev, alors que son pays exporte aussi vers l'Union européenne.
Depuis la chute de l'URSS, de nombreuses entreprises occidentales du secteur énergétique (Total, Eni, ExxonMobil, Orano ou encore Shell) se sont implantées dans ce pays grand comme cinq fois la France.
"Ces projets contribuent grandement au développement socio-économique du pays", a-t-il ajouté, alors que le secteur représente environ 20% du PIB kazakh.
Le président kazakh Kassym-Jomart Tokayev a ordonné mardi au gouvernement d'intensifier les négociations avec les grandes compagnies pétrolières internationales en vue d'étendre les accords de partage de la production existants (PSA) à de "meilleures conditions".
Le pays d'Asie centrale est l'un des dix premiers producteurs de pétrole au monde et a connu une histoire mouvementée dans ses relations avec les compagnies pétrolières internationales, déposant des plaintes de plusieurs milliards de dollars à leur encontre.
Les entreprises étrangères affirment que le gouvernement cherche simplement à augmenter ses parts dans des projets pétroliers et gaziers clés, ce qui s'apparente à un "nationalisme des ressources".
Les autorités kazakhes ont rejeté ces critiques en affirmant que leur objectif était de maîtriser les coûts gonflés par les majors occidentales.
"Les grands investissements nécessitent une planification à long terme. Par conséquent, le gouvernement devra intensifier les négociations concernant l'extension des contrats PSA dans des conditions actualisées et favorables au pays", a déclaré M. Tokayev.
Le Kazakhstan tire l'essentiel de sa production pétrolière des gisements de Tengiz, Karachaganak et Kashagan, qui ont été exploités avec l'aide des grandes compagnies pétrolières internationales.
En 2023, le Kazakhstan a déposé des plaintes contre les groupes qui exploitent les gisements de Kashagan et de Karachaganak pour un montant de plus de 13 milliards de dollars et de 3,5 milliards de dollars, respectivement, en raison de coûts contestés.
Le gisement offshore de Kashagan, l'une des plus grandes découvertes de ces dernières décennies, est exploité par Eni , Shell , TotalEnergies , ExxonMobil , KazMunayGaz 4, Inpex et CNPC (CNPC.UL).
Le consortium, appelé North Caspian Operating Company (NCOC), a investi quelque 50 milliards de dollars dans le projet.
Eni, Shell et KazMunayGaz sont également partenaires de Karachaganak, aux côtés de Chevron et du russe Lukoil , avec des investissements de plus de 27 milliards de dollars.
Tengizchevroil, la plus grande entreprise de production pétrolière du Kazakhstan, implique Chevron, ExxonMobil, Lukoil et KazMunayGaz.
"Je ne suis pas protégé": à Davos, le patron de TotalEnergies Patrick Pouyanné a appelé jeudi l'Union Européenne qui vise la neutralité carbone en 2050 à mieux protéger son industrie verte face à la concurrence, notamment chinoise.
Le PDG entendait souligner les contradictions du Pacte vert de l'UE, la stratégie européenne de croissance verte pour atteindre la neutralité carbone en 2050: elle suppose de mobiliser massivement les énergies renouvelables, alors que ce secteur est fragilisé en Europe par une concurrence rude jugée déloyale par des industriels.
"Nous avons besoin de réconcilier l'objectif" du Pacte vert et de "l'industrie verte", a déclaré le dirigeant lors d'une conférence sur l'électricité européenne à laquelle prenait part Maros Sefcovic, Commissaire européen au Commerce et à la Sécurité économique.
Le dirigeant a cité deux exemples: le SAF, le carburant durable d'aviation, et les panneaux solaires. "Aujourd'hui j'investis dans des usines en Europe (...) pour produire du SAF, mais je vois des importations de SAF venant de Chine qui est à un coût bien inférieur à ce que je peux produire en Europe. Je ne suis pas protégé", a déclaré Patrick Pouyanné.
Pour le PDG du groupe pétro-gazier français qui se diversifie et consacre un tiers de ses investissements aux énergies renouvelables, "l'agenda [vert de l'UE] ne protège clairement pas les industries européennes", alors que les États-Unis "l'ont fait sous (Joe) Biden", à travers le méga-plan de soutien à l'industrie verte américaine IRA (Inflation Reduction Act).
"Je suis un gros investisseur dans le solaire aux États-Unis (...). Si je veux avoir une incitation fiscale, je suis obligé de prendre des fabricants de panneaux solaires aux USA", a-t-il expliqué.
Il reconnaît que produire ces technologies plus propres "coûte plus cher en Europe", mais "nous devons trouver un moyen de protéger" l'industrie, et "cela signifie donner une préférence aux produits européens".
Le PDG du groupe français, qui se présente comme le principal exportateur de gaz liquéfié (GNL) des États-Unis, est un des patrons qui interrogeront Donald Trump durant sa visioconférence au Forum de Davos jeudi prévue à 16H00 GMT.
Les actions de Venture Global (VG.N) ont été indiquées pour ouvrir jusqu'à 6% au-dessus de leur prix d'offre lors de leurs débuts à la Bourse de New York vendredi, donnant à l'exportateur de GNL une évaluation potentielle de 64,11 milliards de dollars.
La société a fortement revu à la baisse l'évaluation de son introduction en bourse (link) par rapport à un objectif initial de 110 milliards de dollars , après que les investisseurs et les analystes l'aient qualifiée de "élevée" (link), en raison de doutes sur les bénéfices à long terme estimés de la liquéfaction du gaz pour l'exportation et des batailles juridiques en cours.
L'entreprise devrait toutefois rester l'une des plus grandes sociétés énergétiques cotées aux États-Unis.
Elle a vendu 70 millions d'actions pour lever 1,75 milliard de dollars jeudi, en vendant les actions à 25 dollars, alors que son prix d'offre était compris entre 23 et 27 dollars, ce qui est loin de son plan initial qui prévoyait de lever jusqu'à 2,3 milliards de dollars en vendant les actions à un prix compris entre 40 et 46 dollars.
L'entrée sur le marché servira de premier grand test pour les entreprises énergétiques sous une administration dirigée par le président Donald Trump, qui a donné la priorité à l'augmentation de la production d'énergie américaine et à l'annulation des politiques climatiques de son prédécesseur.
"Un point moins évoqué de l'opération est le flottant extrêmement faible... qui est très inhabituel et présente un facteur de risque important en raison du surplomb à terme", a déclaré Josef Schuster, directeur général des indices d'investissement axés sur les introductions en bourse, IPOX.
Venture Global a commencé à générer des revenus en 2022 lorsque sa première installation, Calcasieu Pass, a commencé à produire du gaz super réfrigéré.
Mais elle n'a pas encore été mise en service en raison de litiges contractuels avec des clients tels que BP , Shell et Edison en raison de la non-réception de cargaisons due à un long processus d'essai et d'optimisation avant l'exploitation commerciale.
Venture Global a déclaré qu'étant donné que l'installation de Calcasieu était encore en phase de mise en service, la société n'était pas encore obligée d'honorer les contrats à long terme.
"Venture opère dans un secteur complexe qui pourrait intéresser un plus petit groupe d'investisseurs que certaines grandes introductions en bourse", a déclaré Nicholas Einhorn, directeur de la recherche chez Renaissance Capital, une société spécialisée dans les introductions en bourse.
La demande mondiale de GNL a augmenté ces dernières années dans le contexte d'une évolution vers des énergies plus propres, les États-Unis devenant l'un des principaux fournisseurs des pays européens et asiatiques.
Après son investiture en début de semaine, Donald Trump a ordonné la reprise du traitement des demandes de permis d'exportation pour les nouveaux projets de GNL.
"Nous allons forer, bébé, forer", a-t-il déclaré, exposant un plan (link) visant à maximiser la production américaine de pétrole et de gaz en déclarant une urgence énergétique nationale, en supprimant les réglementations excessives et en retirant les États-Unis d'un accord mondial sur le changement climatique.
Avec une valorisation réduite à 60,5 milliards de dollars, Venture Global se place dans le peloton de tête des entreprises énergétiques américaines, éclipsant des noms prestigieux comme Occidental Petroleum , Marathon Petroleum et Schlumberger .
Les actions de la société seront cotées à la bourse de New York.
LA PLUS IMPORTANTE INTRODUCTION EN BOURSE DE GNL DE L'HISTOIRE
Selon les données de Dealogic, la vente des actions de Venture Global constitue la plus importante introduction en bourse jamais réalisée par une société de GNL au niveau mondial. Il s'agit de la troisième plus grande introduction en bourse dans le secteur de l'énergie et des services publics aux États-Unis depuis 1995.
"La capitalisation boursière élevée reflète les plans de développement ambitieux de la société", a déclaré Einhorn de Renaissance Capital. "La société aura certainement besoin de lever davantage de capitaux au fil du temps, à la fois sous forme d'actions et de dettes, pour financer ses plans de croissance."
Si l'action se comporte bien lors de ses débuts, elle dépassera largement son rival Cheniere Energy , le plus grand exportateur de GNL au monde, qui affiche une valorisation de 52,4 milliards de dollars à la Bourse de New York.
Outre Cheniere, Venture Global est en concurrence avec Freeport LNG, TotalEnergies , Chevron , ExxonMobil , Petronas, entre autres, pour une part du marché lucratif.
La hausse des prix des matières premières et l'optimisme quant aux politiques favorables au secteur de l'énergie sous la nouvelle administration républicaine devraient également entraîner une reprise des introductions en bourse dans le secteur de l'énergie en 2025. Ce secteur à forte intensité de capital a été l'un des moins actifs en matière d'introduction en bourse aux États-Unis l'année dernière.
Il n'y a eu que six introductions en bourse dans le secteur de l'énergie en 2024, levant près de 800 millions de dollars - une petite fraction du marché plus large où 150 sociétés ont collectivement levé 29,6 milliards de dollars, selon les données de Renaissance Capital.
"Pour les entreprises du secteur de l'énergie et du GNL, comme nous le voyons avec Venture Global, atteindre ces primes très élevées lors de l'introduction en bourse s'avère plus difficile, en particulier lorsqu'elles sont mesurées par rapport aux pairs du marché public établi ", a déclaré Schuster d'IPOX.
Marque blanche
API de données
Plug-ins Web
Créateur d'affiches
Programme d'affiliation
Le risque de perte dans la négociation d'instruments financiers tels que les actions, les devises, les matières premières, les contrats à terme, les obligations, les ETF et les crypto-monnaies peut être substantiel. Vous pouvez subir une perte totale des fonds que vous déposez auprès de votre courtier. Par conséquent, vous devez examiner attentivement si ce type de négociation vous convient, compte tenu de votre situation et de vos ressources financières.
Aucune décision d'investissement ne doit être prise sans avoir procédé soi-même à une vérification préalable approfondie ou sans avoir consulté ses conseillers financiers. Le contenu de notre site peut ne pas vous convenir car nous ne connaissons pas votre situation financière et vos besoins en matière d'investissement. Nos informations financières peuvent avoir un temps de latence ou contenir des inexactitudes, de sorte que vous devez être entièrement responsable de vos décisions en matière de négociation et d'investissement. La société ne sera pas responsable de vos pertes en capital.
Sans l'autorisation du site web, vous n'êtes pas autorisé à copier les graphiques, les textes ou les marques du site web. Les droits de propriété intellectuelle sur le contenu ou les données incorporées dans ce site web appartiennent à ses fournisseurs et marchands d'échange.