La banque japonaise MUFG s'excuse pour les vols de coffres-forts et s'engage à mieux respecter la réglementation

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— Note: Reuters n'a pas vérifié cette histoire et ne se porte pas garant de son exactitude

Les marchés asiatiques sont bien orientés jeudi après la publication des chiffres de l'inflation américaine qui a soutenu Wall Street la veille, Tokyo se réjouissant en outre d'un yen faible, tandis que les places chinoises attendent des indices sur des mesures de relance.

A la Bourse de Tokyo, l'indice vedette Nikkei a gagné 1,21% à 39.849,14 points, dépassant par moments la barre symbolique des 40.000 points pour la première fois depuis mi-octobre.

L'indice élargi Topix a progressé de 0,86% à 2.773,03 points.

Les marchés japonais ont été "soutenus par la hausse des valeurs technologiques américaines et le soulagement de Wall Street après la publication de l'indice CPI des prix à la consommation", a commenté Kosuke Oka dans une note de Monex Securities.

La Bourse de New York avait accueilli favorablement les chiffres de l'inflation américaine, conformes aux prévisions, qui confortent les attentes d'une réduction de taux de la Réserve fédérale américaine (Fed) dès sa réunion de la semaine prochaine.

Côté japonais, les marchés attendaient également une décision de la banque centrale locale en fin de semaine prochaine. Les prévisions des économistes sont cependant disparates selon un sondage de l'agence Bloomberg, un peu plus de la moitié d'entre eux prévoyant que l'institution monétaire attendra janvier pour relever ses taux.

Ce contexte d'incertitude accroît potentiellement l'impact que pourrait avoir sur les marchés financiers la décision de la Banque du Japon (BoJ) dans un sens ou dans l'autre, selon des analystes.

Le yen restait en retrait par rapport au dollar après s'être affaibli la veille dans la foulée d'informations de Bloomberg selon lesquelles la BoJ estimait n'être "pas dans une situation où elle devrait se hâter de relever ses taux", préférant prendre davantage le pouls d'une reprise nippone fragile.

Vers 06H15 GMT, le billet vert s'appréciait de 0,18% contre la devise nippone, à 152,73 yens pour un dollar, et reculait de tout juste 0,1% vis-à-vis de la monnaie commune européenne, à 1,0506 dollar pour un euro.

A la cote, les titres japonais liés aux semiconducteurs ont rebondi après leur plongeon de la veille, comme Advantest (+5,09%), Disco (+1,5%) et Tokyo Electron (+0,59%).

Après une hésitation matinale, les Bourses chinoises progressaient alors que doit se terminer jeudi la Conférence centrale sur le travail économique, en présence du président chinois Xi Jinping, qui doit déterminer les orientations économiques de 2025, dont d'éventuelles mesures accrues de soutien à l'activité.

"Les conclusions pourraient contenir quelques indices sur les priorités politiques et les mesures de relance pour 2025, même si les chiffres exacts sur le déficit budgétaire et les objectifs de croissance ne seront annoncés" que l'an prochain, a souligné Michael Wan dans une note de MUFG.

Vers 06H20 GMT, l'indice Hang Seng à Hong Kong montait de 1,79% à 20.515,03 points. L'indice composite de Shanghai gagnait 0,7% et celui de Shenzhen 0,87%.

A la Bourse de Séoul, l'indice Kospi a accéléré sa progression, terminant à +1,62%. Il avait entrepris une remontée mardi après avoir souffert la semaine dernière sur fond d'incertitude politique suivant la brève déclaration de la loi martiale dans le pays.

La devise sud-coréenne lâchait du lest à 1.431,5 wons pour un dollar (-0,16%).

Les cours du pétrole progressaient toujours, après avoir déjà grimpé la veille à cause des sanctions supplémentaires décidées par l'Union européenne contre la "flotte fantôme" russe, qui pourraient avoir un impact sur les exportations pétrolières du Kremlin.

Vers 06H15 GMT, le prix du baril de WTI avançait de 0,23% à 70,45 dollars, et celui de Brent de la mer du Nord de 0,37% à 73,79 dollars.

Le bitcoin, qui avait grimpé de près de 5% la veille dans la foulée des chiffres de l'inflation américaine, se maintenait au-dessus des 100.000 dollars, se négociant vers 06H30 GMT pour 100.623 dollars.

Les marchés asiatiques sont bien orientés jeudi après la publication des chiffres de l'inflation américaine qui a soutenu Wall Street la veille, Tokyo se réjouissant en outre d'un yen faible, tandis que les places chinoises attendent des indices sur des mesures de relance.

Vers 02H15 GMT à la Bourse de Tokyo, l'indice vedette Nikkei gagnait 1,33% à 39.895,22 points, après avoir passé en matinée la barre symbolique des 40.000 points pour la première fois depuis mi-octobre.

L'indice élargi Topix progressait de 1,06% à 2.778,38 points.

Les marchés japonais devraient être "soutenus par la hausse des valeurs technologiques américaines et par le soulagement de Wall Street après la publication de l'indice CPI des prix à la consommation", a commenté Kosuke Oka dans une note de Monex Securities.

La Bourse de New York a accueilli favorablement ces chiffres de l'inflation américaine conformes aux prévisions, qui confortent les attentes d'une réduction de taux de la Réserve fédérale américaine (Fed) dès sa réunion de la semaine prochaine.

Côté japonais, les marchés attendaient également une décision de la Banque centrale locale en fin de semaine prochaine. Les pronostics des économistes sont cependant divisés selon un sondage de l'agence Bloomberg, un peu plus de la moitié d'entre eux prévoyant que l'institution attendra janvier pour relever ses taux.

Ce contexte d'incertitude accroît potentiellement l'impact que pourrait avoir sur les marchés financiers la décision de la Banque du Japon (BoJ) dans un sens ou dans l'autre, prédisent des analystes.

Le yen restait faible face au dollar après s'être affaibli la veille dans la foulée d'informations de Bloomberg selon lesquelles la BoJ estimait n'être "pas dans une situation où elle devrait se hâter de relever ses taux", préférant prendre davantage le pouls d'une reprise nippone fragile.

Vers 02H30 GMT, le billet vert se dépréciait légèrement de 0,17% face à la devise nippone, à 152,19 yens pour un dollar, et reculait de tout juste 0,08% face à la monnaie commune européenne, à 1,0504 dollar pour un euro.

A la cote, les titres japonais liés aux semiconducteurs étaient en rebond après leur plongeon de la veille, comme Advantest (+4,11%), Disco (+0,8%) et Tokyo Electron (+0,6%).

Les Bourses chinoises étaient en hausse modérée alors que doit se terminer jeudi la cruciale Conférence centrale sur le travail économique, en présence du président chinois Xi Jinping, qui doit déterminer les orientations économiques de 2025, dont d'éventuelles mesures accrues de soutien à l'activité.

"Les conclusions pourraient contenir quelques indices sur les priorités politiques et les mesures de relance pour 2025, même si les chiffres exacts sur le déficit budgétaire et les objectifs de croissance ne seront annoncés" que l'an prochain, a souligné Michael Wan dans une note de MUFG.

Vers 02H30 GMT, l'indice Hang Seng à Hong Kong montait de 0,24% à 20.203,70 points. L'indice composite de Shanghai gagnait 0,18% et celui de Shenzhen grappillait 0,06%.

A la Bourse de Séoul, l'indice Kospi poursuivait sa progression, gagnant 0,6% vers 02H30 GMT. Il avait entrepris une remontée mardi après avoir souffert la semaine dernière sur fond d'incertitude politique suivant la brève déclaration de la loi martiale dans le pays.

La devise sud-coréenne continuait elle-aussi de se ressaisir, à 1.433 wons pour un dollar (+0,27%).

Les cours du pétrole se stabilisaient, après avoir grimpé la veille face aux sanctions supplémentaires décidées par l'Union européenne contre la "flotte fantôme" russe, qui pourraient avoir un impact sur les exportations pétrolières du Kremlin.

Vers 01H50 GMT, le prix du baril de WTI reculait de 0,17% à 70,17 dollars, et celui de Brent de la mer du Nord abandonnait 0,1% à 73,45 dollars.

Le bitcoin, qui avait grimpé de près de 5% la veille dans la foulée des chiffres de l'inflation américaine, se maintenait au-dessus des 100.000 dollars, se négociant vers 02H00 GMT pour 100.760 dollars.

Les marchés asiatiques ont hésité mercredi, tiraillés entre la perspective de mesures de relance économique en Chine et l'attentisme avant la publication de l'inflation aux Etats-Unis, de nature à livrer des indices sur l'orientation de la politique monétaire américaine.

A la Bourse de Tokyo, l'indice vedette Nikkei a terminé à l'équilibre (+0,01% à 39.372,23 points), et l'indice élargi Topix a grappillé 0,29% à 2.749,31 points, effaçant ses pertes du début de séance.

"Le marché connaît une dynamique terne, dans le sillage d'une nouvelle baisse à Wall Street. Dans ce contexte, (la Bourse de Tokyo) reste dans l'expectative avant le chiffre de l'inflation aux Etats-Unis, les opérateurs devraient manquer de direction", observe Kosuke Oka, du courtier Monex.

Les investisseurs sont suspendus à la publication, plus tard mercredi, de l'indice CPI des prix à la consommation américains pour le mois de novembre, guettant un possible rebond de l'inflation aux Etats-Unis.

Ces données donneront des indications sur la suite de la politique monétaire de la Banque fédérale américaine (Fed), dont la prochaine réunion se tiendra les 17 et 18 décembre et à l'issue de laquelle une réduction du taux directeur est anticipée.

Les titres-phares japonais liés aux semiconducteurs, comme Sumco (-1,86%), Disco (-3,64%) et Tokyo Electron (-0,48%), ont plongé à l'unisson du repli, la veille, des valeurs du secteur à Wall Street.

Le mastodonte des puces les plus sophistiquées, le taïwanais TSMC, n'était pas épargné, reculant de 1,88% à la Bourse de Taipei vers 06H30 GMT, malgré l'annonce d'un bond de 34% de ses ventes en novembre.

A la Bourse de Séoul, l'indice Kospi a continué de se reprendre, finissant en hausse de 1,02% à 2.442,51 points.

Il avait vigoureusement rebondi de presque 2,5% mardi après une semaine de repli continu, sur fond d'incertitude politique suivant la brève déclaration de la loi martiale dans le pays.

La devise sud-coréenne continuait elle-aussi de se ressaisir, à 1.431,34 wons pour un dollar (+0,14%).

Vers 06H30 GMT, le billet vert se dépréciait de 0,20% face à la devise nippone, à 151,66 yens pour un dollar, mais restait stable face à l'euro (-0,04%).

Là encore, le marché des changes reste "relativement calme, dans l'attente des chiffres de l'inflation américaine", mais aussi parce que tous les regards se tournent vers une conférence économique cruciale en Chine, explique Lloyd Chan, analyste de MUFG.

La Conférence centrale sur le travail économique, à laquelle participe le président chinois Xi Jinping, débute mercredi. Elle doit déterminer les orientations économiques de 2025 dont d'éventuelles mesures accrues de soutien à l'activité.

"L'adoption par les dirigeants chinois d'un positionnement politique davantage favorable à la croissance renforcerait le soutien à court terme pour le yuan, même si cet impact positif sera limité par la menace des taxes douanières américaines" que promet le président élu Donald Trump, souligne M. Chan.

Pékin a déjà annoncé lundi vouloir "assouplir" l'an prochain sa politique monétaire et promis une "politique budgétaire plus proactive" pour "stabiliser" marchés immobiliers et financiers.

De quoi aviver la perspective de mesures de relance et faire grimper la monnaie chinoise: mardi en fin d'échanges américains, le yuan "onshore", échangé en Chine continentale, gagnait 0,34% face à l'euro.

Il se stabilisait mercredi en milieu d'échanges asiatiques, à 7,6295 yuans pour un euro (+0,03%) et 7,2478 yuans pour un dollar (+0,01%).

Dans l'attente des résultats de la conférence économique en cours, les Bourses chinoises divergeaient dans un marché volatil.

Vers 06H30 GMT, l'indice Hang Seng à Hong Kong cédait 0,50% à 20.209,12 points, effaçant totalement ses gains du début de séance.

L'indice composite de Shanghai gagnait 0,27% et celui de Shenzhen 0,74%.

Les cours du pétrole confortent mercredi les gains enregistrés avec la chute du régime de Bachar al-Assad puis l'annonce d'un soutien accru à l'économie en Chine - premier pays importateur de brut.

Vers 06H30 GMT, le prix du baril de WTI grimpait de 0,64% à 69,03 dollars, et celui de Brent de la mer du Nord de 0,60% à 72,62 dollars.

Les marchés asiatiques hésitent mercredi, tiraillés entre la perspective de mesures de relance économique en Chine et l'attentisme avant la publication de l'inflation aux Etats-Unis, de nature à livrer des indices sur l'orientation de la politique monétaire américaine.

Vers 02H30 GMT à la Bourse de Tokyo, l'indice vedette Nikkei reculait de 0,65% à 39.112,80 points, et l'indice élargi Topix de 0,24% à 2.734,84 points.

"Le marché connaît une dynamique terne, dans le sillage d'une nouvelle baisse à Wall Street. Dans ce contexte, (la Bourse de Tokyo) devrait rester dans l'expectative avant le chiffre de l'inflation aux Etats-Unis, les opérateurs devraient manquer de direction", observe Kosuke Oka, du courtier Monex.

Les investisseurs sont suspendus à la publication, plus tard mercredi, de l'indice CPI des prix à la consommation américains pour le mois de novembre, guettant un possible rebond de l'inflation aux Etats-Unis.

Ces données donneront des indications sur la suite de la politique monétaire de la Banque fédérale américaine (Fed), dont la prochaine réunion se tiendra les 17 et 18 décembre et à l'issue de laquelle une réduction du taux directeur est anticipée.

Les titres-phares japonais liés aux semiconducteurs, comme Advantest (-2,63%), Disco (-2,83%) et Tokyo Electron (-0,69%), plongeaient à l'unisson du repli, la veille, des valeurs du secteur à Wall Street.

Le mastodonte des puces les plus sophistiquées, le taïwanais TSMC, n'était pas épargné, reculant à la même heure de 1,40% à la Bourse de Taipei, malgré l'annonce d'un bond de 34% de ses ventes en novembre.

A la Bourse de Séoul, l'indice Kospi continuait pour sa part de se reprendre vers 02H30 GMT, en hausse de 0,64% à 2.434,37 points.

Il avait vigoureusement rebondi de presque 2,5% mardi après une semaine de repli continu, sur fond d'incertitude politique suivant la brève déclaration de la loi martiale dans le pays.

La devise sud-coréenne continuait elle-aussi de se ressaisir, à 1.429,84 wons pour un dollar (+0,25%).

Vers 02H30 GMT, le billet vert se dépréciait de 0,28% face à la devise nippone, à 151,52 yens pour un dollar, et reculait légèrement de 0,09% face à la monnaie commune européenne, à 1,0536 dollar pour un euro.

Là encore, cependant, le marché des changes reste "relativement calme, dans l'attente des chiffres de l'inflation américaine", mais aussi parce que tous les regards se tournent vers une conférence économique cruciale en Chine, explique Lloyd Chan, analyste de MUFG.

La Conférence centrale sur le travail économique, à laquelle participe le président chinois Xi Jinping, débute mercredi. Elle doit déterminer les orientations économiques du pays en 2025 dont d'éventuelles mesures accrues de soutien à l'activité.

"L'adoption par les dirigeants chinois d'un positionnement politique davantage favorable à la croissance renforcerait le soutien à court terme pour le yuan, même si cet impact positif sera limité par la menace des taxes douanières américaines" que promet le président élu Donald Trump, souligne M. Chan.

Pékin a déjà annoncé lundi vouloir "assouplir" l'an prochain sa politique monétaire et promis une "politique budgétaire plus proactive" pour "stabiliser" marchés immobiliers et financiers.

De quoi aviver la perspective de mesures de relance et faire grimper la monnaie chinoise: mardi en fin d'échanges américains, le yuan "onshore", échangé en Chine continentale, gagnait 0,34% face à l'euro.

Il se stabilisait mercredi en milieu d'échanges asiatiques, à 7,6315 yuans pour un euro (+0,01%) et 7,2446 yuans pour un dollar (+0,06%).

Dans l'attente des résultats de la conférence économique en cours, les Bourses chinoises grimpent prudemment.

Vers 02H30 GMT, l'indice Hang Seng à Hong Kong montait de 0,38% à 20.387,45 points. L'indice composite de Shanghai gagnait 0,24% et celui de Shenzhen 0,48%.

Les cours du pétrole confortent mercredi les gains enregistrés avec la chute du régime de Bachar al-Assad puis l'annonce d'un soutien accru à l'économie en Chine - premier pays importateur de brut.

Vers 02H30 GMT, le prix du baril de WTI grimpait de 0,60% à 68,99 dollars, et celui de Brent de la mer du Nord de 0,57% à 72,60 dollars.

Le yuan s'est renforcé mardi, soutenu par l'annonce de Pékin d'un assouplissement monétaire en 2025, près d'une semaine après avoir atteint son niveau le plus bas face au dollar.

Vers 19H00 GMT, le yuan "onshore", échangé en Chine continentale, gagnait 0,34% face à l'euro, à 7,6309 yuans pour un euro.

Il prenait 0,07% contre le billet vert, à 7,2498 yuans pour un dollar.

Les dirigeants chinois ont annoncé, lundi, vouloir "assouplir" l'an prochain leur politique monétaire et promis une "politique budgétaire plus proactive" pour "stabiliser" marchés immobiliers et financiers.

"Cela a permis de compenser les craintes sur la croissance économique" de la Chine, confrontée depuis plusieurs mois à un ralentissement et menacée par la guerre économique avec les Etats-Unis promise par Donald Trump pour son second mandat, explique Lee Hardman, analyste chez MUFG.

À l'approche de la très attendue Conférence centrale sur le travail économique (CEWC) de la Chine, "les observateurs du marché sont très attentifs à l'ampleur des mesures de relance" prévues pour l'année prochaine, explique Stephen Innes, analyste de SPI Asset Management.

"Toutefois, la politique monétaire n'est pas vraiment le problème en Chine et les taux d'intérêt sont de toutes les façons bas", ajoute Kathleen Brooks, analyste chez XTB.

Les investisseurs attendent des "mesures fiscales en soutien à la consommation", pour relancer la demande interne du pays, explique M. Innes.

Le marché se demande "jusqu'à quel point la Banque centrale de Chine (PBoC) permettra au yuan de se renforcer. En particulier avec de potentiels droits de douane à venir", a commenté lundi auprès de l'AFP Christopher Vecchio, de Tastylive.

Par ailleurs, la livre britannique a atteint son plus haut niveau face à l'euro depuis avril 2022 à 0,8251 pences pour un euro.

Ce niveau élevé correspond à un signe clair que le marché "attend davantage de réductions des taux d'intérêt de la part de la Banque centrale européenne que de celle de la Banque d'Angleterre", affirme Kathleen Brooks, précisant que le marché mise sur six réductions de taux pour la BCE contre trois pour la BoE.

Cours de mardi Cours de lundi

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20H30 GMT 22H00 GMT

EUR/USD 1,0529 1,0554

EUR/JPY 159,89 159,58

EUR/CHF 0,9292 0,9275

EUR/GBP 0,8242 0,8273

USD/JPY 151,84 151,21

USD/CHF 0,8825 0,8789