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L’argent fait tourner le monde et la monnaie est une marchandise permanente. Le marché des changes est plein de surprises et d'attentes.
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J'ai 5 ans d'expérience en analyse financière, notamment dans les aspects d'évolution macroéconomique et de jugement de tendances à moyen et long terme. Je me concentre principalement sur l'évolution du Moyen-Orient, des marchés émergents, du charbon, du blé et d'autres produits agricoles.
Coach de trading en chef et conférencier BeingTrader, plus de 8 ans d'expérience dans le trading du marché des changes, principalement XAUUSD, EUR/USD, GBP/USD, USD/JPY et pétrole brut. Un trader et analyste confiant qui vise à explorer diverses opportunités et à guider les investisseurs sur le marché. En tant qu'analyste, je cherche à améliorer l'expérience du trader en le soutenant avec suffisamment de données et de signaux.
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Risk Warning on Trading HK Stocks
Despite Hong Kong's robust legal and regulatory framework, its stock market still faces unique risks and challenges, such as currency fluctuations due to the Hong Kong dollar's peg to the US dollar and the impact of mainland China's policy changes and economic conditions on Hong Kong stocks.
HK Stock Trading Fees and Taxation
Trading costs in the Hong Kong stock market include transaction fees, stamp duty, settlement charges, and currency conversion fees for foreign investors. Additionally, taxes may apply based on local regulations.
HK Non-Essential Consumer Goods Industry
The Hong Kong stock market encompasses non-essential consumption sectors like automotive, education, tourism, catering, and apparel. Of the 643 listed companies, 35% are mainland Chinese, making up 65% of the total market capitalization. Thus, it's heavily influenced by the Chinese economy.
HK Real Estate Industry
In recent years, the real estate and construction sector's share in the Hong Kong stock index has notably decreased. Nevertheless, as of 2022, it retains around 10% market share, covering real estate development, construction engineering, investment, and property management.
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La Bourse de Paris a terminé en baisse de 0,30% lundi, lestée par les craintes d'un rebond de l'inflation américaine, notamment alimentée par la hausse des prix des matières premières.
L'indice vedette de la Bourse de Paris, le CAC 40, a lâché 22,40 points pour s'établir à 7.408,64 points à la clôture. Vendredi, il avait reculé de 0,79%.
Selon Amélie Derambure, gérante multi-asset d'Amundi, la séance a été marquée par le pétrole américain (WTI) "qui s'apprécie significativement avec les perspectives de nouvelles sanctions de la Russie".
Le prix du baril de Brent de la mer du Nord prenait 1,87% à 81,25 dollars vers 17H15 GMT et celui du WTI bondissait de 3,08% à 78,93 dollars.
Les conséquences de cette hausse "sont pires pour l'Europe que pour les Etats-Unis parce qu'on est importateur", a expliqué Amélie Derambure.
"Mais c'est aussi une épine dans le pied de Donald Trump, qui espère en partie compenser les hausses des droits de douane qu'il veut mettre en place par des prix de matières premières plus bas pour limiter l'impact" de sa politique commerciale "sur le pouvoir d'achat des ménages" américains, a poursuivi la gérante.
La baisse de l'euro face au dollar a été "l'autre élément notable de la séance", a-t-elle observé.
Sur le marché des changes, la monnaie unique européenne reculait de 0,27% face au billet vert, à 1,0216 dollar pour un euro.
"Si la baisse de l'euro pourrait être un facteur positif pour la compétitivité des entreprises de la zone euro, l'impact inflationniste de cette baisse compense tout bénéfice: cela amène des hausses des prix sur l'importation et potentiellement moins de baisses des taux de la Banque centrale européenne" (BCE), a souligné la gérante.
Enfin, et surtout, le marché fait face à un "changement d'anticipation sur les politiques des banques centrales qui est très fort, ce qui met sous pression les marchés actions, qui jusqu'alors résistaient bien", a-t-elle relevé.
"Il y a encore quelques semaines et quelques mois, le marché anticipait trois baisses des taux de la banque centrale américaine (Fed) pour 2025, porté par l'idée que le mouvement de désinflation le permettrait", a-t-elle noté.
Mais des indicateurs économiques "plus forts que prévu, la hausse des prix du pétrole et des signaux sur l'inflation plus élevée qu'attendu conduisent les marché à n'attendre plus qu'une seule baisse en 2025", a ajouté la gérante.
Cet environnement marqué par "les craintes d'inflation, les déficits du secteur public et l'incertitude autour de la politique économique poussent tous les rendements à la hausse" sur les marchés obligataires, a signalé de son côté Kathleen Brooks, directrice de la recherche chez XTB.
"Ces crispations sur les taux longs affectent de façon plus marquée les taux souverains en proie à des difficultés, tels que le Royaume-Uni, sur fond de craintes concernant la trajectoire budgétaire, et la France, dont le vote du budget 2025 reste en suspens", a remarqué Anis Bensaidani, économiste chez BNP Paribas.
Au Royaume-Uni, le rendement de l'emprunt à 10 ans atteignait 4,88%, contre 4,84% vendredi. L'équivalent français était à 3,46% contre 3,43%.
L'environnement de taux élevés a pesé sur le secteur immobilier notamment.
Unibail-Rodamco-Westfield affiche le pire repli du CAC 40, cédant 3,33% à 71,32 euros. Ailleurs à la cote, Nexity a abandonné 4,10% à 11,92 euros, Icade 2,96% à 21,66 euros et Klepierre 1,08% à 27,56 euros.
LES PRINCIPAUX INDICES AMÉRICAINS SONT MITIGÉS, DANS L'ATTENTE DES RAPPORTS SUR L'INFLATION ET LES BÉNÉFICES
Les principaux indices américains ont tous ouvert en baisse lundi, les rendements ayant bondi après la publication vendredi dernier de chiffres robustes sur l'emploi qui ont renforcé les attentes selon lesquelles la Réserve fédérale maintiendra une position hawkish pendant la majeure partie de l'année 2025.
Le Nasdaq est en tête des baisses avec une perte de plus de 1%, tandis que l'indice S&P 500 perd environ 0,6%. Cela dit, le Dow est rapidement revenu en territoire positif.
La majorité des secteurs du S&P 500 sont maintenant en hausse sur la journée, l'énergie , en hausse de plus de 2%, affichant la plus forte hausse. Ceci alors que les contrats à terme sur le pétrole brut NYMEX gagnent (link) sur les sanctions américaines plus importantes sur le pétrole russe et les effets attendus sur les exportations vers les principaux acheteurs que sont l'Inde et la Chine.
Les secteurs des services publics et de la technologie sont les plus touchés.
A noter que le RoundHill Magnificent Seven ETF est désormais en baisse de plus de 8% par rapport à son pic de clôture de mi-décembre.
Entre-temps, les marchés attendent l'indice des prix à la consommation de décembre, mardi, et l'indice des prix à la consommation de décembre, mercredi, pour obtenir davantage d'indices sur le potentiel de réduction des taux d'intérêt à l'horizon 2025.
En outre, les marchés se préparent également au coup d'envoi officieux de la saison des rapports du quatrième trimestre mercredi et un certain nombre de grandes banques doivent publier leurs résultats cette semaine, notamment JP Morgan , Citibank , Wells Fargo et Goldman Sachs .
Voici un ENQUÊTE des premiers échanges vers 10 h 15 (heure de l'Est):
(Terence Gabriel)
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POUR LES POSTS PRÉCÉDENTS DE LUNDI SUR LES MARCHÉS EN DIRECT:
INDICE S&P 500: LES DOMMAGES GRAPHIQUES S'INTENSIFIENT, LES TRADERS CHERCHENT UN SUPPORT - CLIQUEZ ICI (link)
LE RETOUR DU "KANGABULL" - CLIQUEZ ICI (link)
LES INVESTISSEURS AMÉRICAINS S'INTÉRESSENT DE PRÈS À L'AÉROSPATIALE ET À LA DÉFENSE EUROPÉENNES - BOFA - CLIQUEZ ICI (link)
DES RENDEMENTS PLUS ÉLEVÉS SONT UNE MAUVAISE NOUVELLE POUR LES PETITES ET MOYENNES CAPITALISATIONS EUROPÉENNES - CLIQUEZ ICI (link)
COMMENT LES ÉLECTIONS ALLEMANDES PEUVENT AFFECTER LES MARCHÉS FINANCIERS - CLIQUEZ ICI (link)
L'EUROPE AVANT LA CLOCHE: LES CONTRATS À TERME SONT EN BAISSE, LES TRADERS S'INTÉRESSENT À LA VIGUEUR DE L'ÉCONOMIE AMÉRICAINE - CLIQUEZ ICI (link)
OUBLIEZ L'ATTERRISSAGE EN DOUCEUR, CONTINUEZ À VOLER - CLIQUEZ ICI (link)
Les Bourses mondiales reculent lundi à mesure que les investisseurs révisent en baisse leurs anticipations de diminution des taux d'intérêt de la banque centrale américaine (Fed) en 2025.
Vers 14H45 GMT en Europe, la Bourse de Paris perdait 0,32%, Francfort 0,43%, Londres 0,34% et Milan 0,92%.
A Wall Street, l'indice Nasdaq, à forte coloration technologique, abandonnait 1,39% et le S&P 500 lâchait 0,71%. Seul le Dow Jones grappillait 0,29%.
Cette semaine, les investisseurs devraient se concentrer sur la publication mardi de l'indice des prix à la production PPI pour décembre aux Etats-Unis, qui mesure l'inflation côté producteurs.
Vendredi, les chiffres de l'emploi américain de décembre, meilleurs que prévu, ont jeté un froid sur les marchés.
"Combinés à la hausse des attentes d'inflation, ces chiffres plaident en faveur d'une pause dans les baisses des taux d'intérêt de la Réserve fédérale" américaine (Fed), ont commenté Sebastian Paris Horvitz et Xavier Chapard, experts de LBP AM.
Les marchés n'attendent désormais plus qu'une seule baisse de taux de la Fed sur l'année, bien que le président de l'institution, Jerome Powell, ait indiqué en décembre que l'institution envisageait deux baisses en 2025, de 0,25 point de pourcentage chacune.
"La fonte des anticipations de baisse des taux de la Fed a entamé l'appétit pour le risque", lestant les marchés d'actions, a souligné Ipek Ozkardeskaya, analyste chez Swissquote.
En parallèle, "le mouvement de vente a accéléré sur le marché obligataire au cours des premiers jours de la nouvelle année", a rappelé Kathleen Brooks, directrice de la recherche chez XTB.
Elle a évoqué de multiples facteurs pour expliquer ce phénomène: "les craintes d'inflation, les déficits du secteur public et l'incertitude autour de la politique économique, qui poussent tous les rendements à la hausse et drainent le sentiment de risque sur les marchés financiers".
Le rendement des emprunts d'Etat américain à dix ans ressortait à 4,78% vers 14H45 GMT, contre 4,76% à la clôture de vendredi.
"Ces crispations sur les taux longs affectent de façon plus marquée les taux souverains en proie à des difficultés, tels que le Royaume-Uni, sur fond de craintes concernant la trajectoire budgétaire, et la France, dont le vote du budget 2025 reste en suspens", a souligné Anis Bensaidani, économiste chez BNP Paribas.
Au Royaume-Uni, le rendement de l'emprunt à 10 ans atteignait 4,86%, contre 4,84% vendredi, près des sommets atteints la semaine dernière, quand il avait enregistré un record depuis 2008. L'équivalent français était à 3,45% contre 3,43%.
Côté devises, le dollar profitait encore des chiffres sur l'emploi américain, gagnant 0,37% face à l'euro à 1.0207 dollar pour un euro vers 14H45 GMT, peu après que la monnaie unique a chuté à son plus faible niveau depuis novembre 2022 face au billet vert.
La tech en repliLes incertitudes économiques pèsent en particulier sur le secteur technologique, chèrement valorisé aux Etats-Unis.
A Wall Street, Nvidia reculait de 3,41%, Tesla de 2,04%, Alphabet (maison mère de Google) de 1,72% et Apple de 2,36%.
En Europe, STMicroelectronics lâchait 2,85%, ASML 2,50% et BE Semiconductor Industries 2,64%.
Le prêt-à-porter américain en vitrineL'enseigne américaine de prêt-à-porter Abercrombie & Fitch dévissait de 15,52% à New York après avoir annoncé des prévisions de ventes annuelles pour son exercice 2024-2025 inférieures aux attentes du marché.
La chaîne de magasins de vêtements de sport Lululemon, connue pour ses pantalons de yoga, gagnait quant à elle 1,89% vers 14H45 GMT, après avoir relevé les objectifs financiers de son quatrième trimestre.
Le pétrole grimpeLes cours du brut continuent de grimper en réaction aux sanctions prises principalement à l'encontre du secteur énergétique russe par les gouvernements américain et britannique vendredi.
Vers 14H45 GMT, le prix du baril de Brent de la mer du Nord prenait 1,04% à 80,59 dollars et celui de son équivalent américain, le WTI, gagnait 1,39% à 77,63 dollars.
Le bitcoin reculait de 4,33% à 90.235 dollars.
Les actions américaines ont chuté lundi, l'indice de référence S&P 500 étant à son plus bas niveau depuis deux mois, alors que les rendements obligataires ont augmenté après la publication des chiffres de l'emploi la semaine dernière, renforçant les attentes selon lesquelles la Réserve fédérale maintiendra une position hawkish pour la majeure partie decette année.
A 09h50, le Dow Jones Industrial Average a augmenté de 105,06 points, soit 0,25%, à 42 043,51, le S&P 500 a perdu 40,79 points, soit 0,70%, à 5 786,25, et le Nasdaq Composite a perdu 274,13 points, soit 1,43%, à 18 887,50.
L'indicateur de la peur à Wall Street a augmenté de 1,60 point pour atteindre son plus haut niveau depuis plus de trois semaines.
L'indice Russell 2000 , sensible à la conjoncture intérieure, a reculé de 1% pour atteindre son plus bas niveau depuis septembre 2024, prolongeant la baisse de vendredi, qui l'a vu entrer en territoire de correction après avoir chuté de plus de 10% par rapport à son record intrajournalier de novembre.
Les rendements des obligations du Trésor à plus long terme , (US30YT=RR), qui pèsent sur les actions, sont bloqués à des plus hauts plurimensuels.
Selon les données compilées par LSEG (link), les traders ne prévoyaient plus qu'une seule baisse des taux de la Fed cette année , contre 43 points de base avant les chiffres de l'emploi de vendredi. Les paris reflètent actuellement les attentes d'un assouplissement de 27 points de base lors de la réunion de décembre de la Fed.
"Dans les premières phases de recalibrage de la politique monétaire, les investisseurs ont tendance à prendre un peu de risque", a déclaré Art Hogan, stratégiste en chef du marché chez B Riley Wealth.
"Mais ce qui a changé depuis le début de l'année, c'est que les données économiques positives à la fin de la journée seront probablement un élément positif pour les bénéfices des entreprises et pour les marchés
Cinq des 11 secteurs du S&P 500 ont reculé, menés par une baisse de 1,8% des valeurs technologiques . Les grandes capitalisations ont baissé, Tesla perdant 2 %, Apple chutant de 2,7 % et Alphabet perdant 1,5 %.
Les principaux indices ont enregistré leur deuxième semaine consécutive de baisse lors de la session précédente après que de nombreux rapports (link) aient fait état d'une activité économique meilleure que prévu, suscitant des inquiétudes quant à la possibilité d'une inflation élevée.
Les investisseurs ont également intégré la probabilité que les politiques de la nouvelle administration de Donald Trump - telles que les tarifs douaniers et la répression de l'immigration illégale - puissent menacer le commerce mondial et alimenter les pressions sur les prix, alors que la Fed a également indiqué que les perspectives de politique monétaire étaient floues. M. Trump devrait prendre ses fonctions le 20 janvier.
Leschiffres de l' indice des prix à la consommation et le livre beige de la banque centrale sur l'activité économique, tous deux attendus mercredi, pourraient aider les investisseurs à évaluer les perspectives de la politique de la Fed .
Les titres de puces tels que Nvidia ont chuté de 3,3 % et Advanced Micro Devices a baissé de 1 %après que le gouvernement américain a déclaré (link) qu' il restreindrait davantage les exportations de puces et de technologies d'intelligence artificielle.
Moderna a chuté de 22 % et se retrouve en queue de peloton du S&P 500 après avoir réduit de 1 milliard de dollars ses prévisions de ventes pour 2025 (link) .
UnitedHealth Group , composante du Dow, a gagné 3,6 %, CVS Health a augmenté de 4,1 % et Humana a grimpé de 5,9 % après que le gouvernement américain a proposé des taux de remboursement pour 2026 (link) pour les plans Medicare Advantage gérés par des assureurs privés, ce qui se traduira par une augmentation de 2,2 % des paiements.
Les grands prêteurs JPMorgan Chase & Co et Wells Fargo doivent publier leurs résultats mercredi.
Les titres en baisse ont été plus nombreux que les titres en hausse dans une proportion de 1,96 contre 1 sur le NYSE et de 2,57 contre 1 sur le Nasdaq.
Le S&P 500 a enregistré un nouveau plus haut sur 52 semaines et 22 nouveaux plus bas, tandis que le Nasdaq Composite a enregistré 11 nouveaux plus hauts et 149 nouveaux plus bas.
Wall Street est attendue en baisse lundi à l'instar des Bourses européennes qui reculent à mi-séance, fléchissant à mesure que les investisseurs abandonnent l'espoir d'une baisse des taux de la Réserve fédérale en 2025.
Les futures sur indices new-yorkais signalent une ouverture de Wall Street en baisse, indiquant un recul de 0,29% pour le Dow Jones , de 0,8% pour le Standard & Poor's-500 et de 1,2% pour le Nasdaq.
À Paris, le CAC 40 perd 0,78% à 7.372,91 points vers 11h48 GMT. À Francfort, le Dax recule de 0,70% et à Londres, le FTSE 100 CURRENCYCOM:UK100 cède 0,36%.
L'indice EuroStoxx 50 est en baisse de 0,95%, le FTSEurofirst 300 (.FTEU3) de 0,82% et le Stoxx 600 de 0,83%.
Après la publication, vendredi, d'un rapport sur l'emploi aux États-Unis bien au-dessus des attentes, les marchés ne prennent même plus en compte la possibilité d'une unique baisse des taux de la Réserve fédérale en 2025.
"Après un très bon rapport sur l'emploi, nous estimons que le cycle de réductions est terminé, a déclaré Aditya Bhave, économiste en chef adjoint pour les États-Unis chez BofA.
"Le débat devrait se tourner vers une hausse des taux, qui pourraient être à l'ordre du jour si l'indice "core PCE" dépasse les 3% et que les attentes quant à l'inflation sont déstabilisées", a-t-il ajouté, alors que l'indice des prix à la consommation est attendu ce mercredi.
La récente correction des marchés d'emprunts d'État à travers le monde a par ailleurs permis au dollar de se renforcer à nouveau et aux rendements à long terme des deux côtés de l'Atlantique d'atteindre des sommets.
Les "gilts" britanniques ont été particulièrement affectés, le taux à 30 ans (GB30YT=RR) atteignant un plus haut depuis 1998 sur fond d'inquiétudes quant à la possibilité que Londres doive recourir à de nouveaux emprunts afin de remplir ses obligations budgétaires.
LES VALEURS À SUIVRE À WALL STREET
Le SECTEUR DE L'ÉNERGIE américain grimpe dans les échanges avant-Bourse dans le sillage des prix du pétrole, renforcés par le dernier train de sanctions imposé sur le pétrole russe. Exxon Mobil prend 0,9%, Chevron 0,7% et Occidental Petroleum 1,7%.
VALEURS EN EUROPE
À Paris, Biomerieux gagne 4,2% après l'annonce d'un accord pour acquérir la start-up norvégienne SpinChip Diagnostics tandis qu'Eurazeo (+2%) est porté par un relèvement du conseil de Goldman Sachs à l'"achat".
À Londres, Entain gagne 2,24% après avoir précisé ses perspectives annuelles, s'attendant à présent à un bénéfice de base dans le haut de la fourchette de ses prévisions.
TAUX
Les rendements obligataires des deux côtés de l'Atlantique continuent leur flambée après le rapport sur l'emploi américain et sur fond d'inquiétudes quant à la reprise de l'inflation après l'arrivée au pouvoir de Donald Trump.
Le rendement des Treasuries à dix ans gagne 0,8 point de base (pb) à 4,7820% et le deux ans (US2YT=RR) 1,5 pb à 4,4109%.
Le rendement du Bund allemand à dix ans (DE10YT=RR) prend 1,8 pb à 2,5860%, le deux ans (DE10YT=RR) 0,8 pb à 2,2870%.
Le rendement du Gilt britannique à trente ans (GB30YT=RR), qui a atteint un record depuis 1998 en début de séance, cède 2,1 pb à 5,43%.
CHANGES
Le dollar grimpe à nouveau lundi tandis que les autres devises fléchissent largement après la statistique sur l'emploi américaine.
Le billet vert gagne 0,34% face à un panier de devises de référence .
La livre sterling, plombée également par les inquiétudes autour des finances du gouvernement britannique, cède 0,63% face au dollar, tandis que l'euro perd 0,49% à 1,0194 dollar .
PÉTROLE
Les prix du pétrole avancent pour la troisième séance consécutive ce lundi après l'imposition de nouvelles sanctions sur le pétrole russe, le Brent étant même susceptible de dépasser les 85 dollars à court terme selon une note publiée par Goldman Sachs dimanche.
Le Brent gagne 1,79% à 81,19 dollars le baril et le brut léger américain (West Texas Intermediate, WTI) 2,06% à 78,15 dollars.
PAS D'INDICATEURS ÉCONOMIQUES À L'AGENDA DU 13 JANVIER
LA SITUATION SUR LES MARCHÉS
(Certaines données peuvent accuser un léger décalage)
** Le S&P 500 chute de 1,9% alors que les données sur l'emploi alimentent les craintes d'inflation
** En effet, le Père Noël a déçu, et la joie du nouvel an s'est évanouie (link); l'indice de référence teste le support (link)
** Le Dow chute de 1,9 % et le Nasdaq Composite perd 2,3 %
** Et le marché dans son ensemble a été battu. Dans ce contexte, certaines balises ont commencé à s'éclairer (link), avant de s'assombrir à nouveau à la fin de la semaine
** Le rendement du Trésor américain à 10 ans a bondi à 4,79 %, son niveau le plus élevé depuis novembre 2023 (link), après un rapport sur (link) l'emploi très positif
** La grande majorité des secteurs vacillent; l'immobilier et la technologie baissent le plus, tandis que la santé et l'énergie bénéficient des plus fortes hausses
** Tech recule de 3,1%. Les fabricants de puces (link) ont progressé le lundi alors que Microsoft prévoit un investissement de 80 milliards de dollars dans les centres de données d'intelligence artificielle, avant le discours du directeur général de Nvidia , Jensen Huang, au salon annuel CES (link)
Micron augmente ses gains sur le mardi alors qu'il va fournir de la mémoire (link) pour les puces de jeu de NVDA
Mais le groupe subit une deuxième session consécutive de pertes le mercredi alors que des rendements plus élevés (link) pèsent sur l'espace technologique en général, et NVDA le vendredi glisse après le rapport (link) Biden planifiant de nouvelles restrictions sur les exportations de puces d'intelligence artificielle
L'indice des semi-conducteurs perd 2,4% sur la semaine
*l'indice des semi-conducteurs perd 2,4% sur la semaine * Les financières perdent 2,7%. Les assureurs chutent alors que les incendies de LA (link) seront les plus coûteux de l'histoire de la Californie
** Consommation discrétionnaire en baisse de 2,3%. Bien qu'eBay bondisse alors que ses annonces s'affichent (link) sur Facebook Marketplace dans le cadre du test Meta Platforms , les services publics baissent de 2,7 %
** Les services publics perdent 2%. Les actions d'Edison International dégringolent alors que les incendies de Californie (link) font rage, et prolongent la chute (link) le vendredi. EIX chute de ~19%
En revanche, Constellation Energy bondit de 21% suite à un accord de 27 milliards de dollars (link) pour l'acquisition de Calpine
** Les valeurs de consommation de base ont perdu 1,9%. Cependant, Walgreens progresse de 24% après que le bénéfice du 1er trimestre fiscal ait dépassé le consensus (link), bénéficiant des efforts de redressement du directeur général
** Industrials en baisse de 1%. Bien que Delta Air Lines monte en flèche en prévoyant que (link) 2025 sera l'année la plus rentable de ses 100 ans d'histoire, elle soulève ses pairs
** Communication Services en baisse de 0,7%. Le propriétaire de Facebook/Instagram, Meta, abandonne (link) la politique de vérification des faits avant la seconde administration Trump, et META gagne sur le vendredi alors que la Cour suprême (link) signale son scepticisme sur la tentative de TikTok de bloquer l'interdiction
** Soins de santé en hausse de 0,5%. Le fabricant de vaccins Moderna progresse mardi sur fond d'inquiétudes croissantes concernant la grippe aviaire (link)
** Energie en hausse de 0,9%. Exxon Mobil en baisse le mercredi après avoir annoncé des performances plus faibles (link) au 4ème trimestre, bien que le groupe augmente le vendredi sur fond de nouvelles sanctions (link) contre la Russie
** Pendant ce temps, en ce qui concerne les baisses de taux de la Fed en 2025, cela pourrait-il être (link) une fois pour toutes? Et pour les investisseurs individuels (link) les baissiers s'élargissent, les haussiers s'éloignent
** La performance du SPX depuis le début de l'année:
La Bourse de Paris recule lundi, dans le sillage des autres places européennes, les marchés d'actions souffrant du probable report des baisses de taux de la Réserve fédérale américaine (Fed).
Vers 09H40, l'indice CAC 40 perdait 0,58%, soit 43,10 points, à 7.387,94 points. Vendredi, l'indice vedette de la Bourse de Paris avait reculé de 0,79%.
"Le sentiment s'est quelque peu dégradé en raison du regain de discussion sur les taux d'intérêt aux États-Unis", observe Andreas Lipkow, analyste indépendant.
Les marchés n'attendent désormais qu'une seule baisse de taux de la Réserve fédérale américaine sur l'année, après la publication des chiffres sur l'emploi américain de décembre.
"De nombreuses grandes banques d'investissement ont ajusté leur position par rapport à la politique monétaire et des taux de la Réserve fédérale américaine. Certaines prévoient même de potentielles hausses de taux aux États-Unis", affirme même M. Lipkow.
Sur le dernier mois de l'année 2024, 256.000 emplois ont été créés, soit davantage que le mois précédent, dont les chiffres ont en revanche été révisés en légère baisse, ramenant le chômage à 4,1% (-0,1 point), selon les données du département américain du Travail.
"Cette dynamique (...) offre à la Fed de solides arguments pour maintenir une politique monétaire restrictive" et "donc réorienter ses priorités vers une lutte plus agressive contre l'inflation", notent les analystes de Natixis.
Les chiffres sur l'emploi américain ont par ailleurs fait grimper les taux souverains en flèche, en particulier celui des bons du Trésor américain à dix ans, "mettant à rude épreuve" les marchés d'actions, relève Stephen Innes, analyste chez SPI AM.
"La hausse rapide du rendement (...) a transformé les bonnes nouvelles en mauvaises nouvelles", poursuit M. Innes, "retournant ce qui devrait être des signaux économiques positifs en sources d'anxiété pour les investisseurs et de turbulences sur les marchés".
TotalEnergies monte avec le pétroleLe groupe pétrogazier TotalEnergies signait lundi la plus forte hausse du CAC 40, prenant 1,32% à 55,98 euros vers 09H40, poussé par la hausse des prix du brut.
Le Brent de la mer du Nord, la référence mondiale du pétrole, évolue au-dessus de la barre symbolique des 80 dollars, poussé par de nouvelles sanctions occidentales contre la Russie.
Le département du Trésor américain a annoncé vendredi des sanctions contre plus de 180 navires ainsi que les grandes compagnies pétrolières russes Gazprom Neft et Surgutneftegas, respectant ainsi "l'engagement du G7 de diminuer les revenus russes issus de l'énergie".
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