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J'ai 5 ans d'expérience en analyse financière, notamment dans les aspects d'évolution macroéconomique et de jugement de tendances à moyen et long terme. Je me concentre principalement sur l'évolution du Moyen-Orient, des marchés émergents, du charbon, du blé et d'autres produits agricoles.
Coach de trading en chef et conférencier BeingTrader, plus de 8 ans d'expérience dans le trading du marché des changes, principalement XAUUSD, EUR/USD, GBP/USD, USD/JPY et pétrole brut. Un trader et analyste confiant qui vise à explorer diverses opportunités et à guider les investisseurs sur le marché. En tant qu'analyste, je cherche à améliorer l'expérience du trader en le soutenant avec suffisamment de données et de signaux.
Dernière mise à jour
Risk Warning on Trading HK Stocks
Despite Hong Kong's robust legal and regulatory framework, its stock market still faces unique risks and challenges, such as currency fluctuations due to the Hong Kong dollar's peg to the US dollar and the impact of mainland China's policy changes and economic conditions on Hong Kong stocks.
HK Stock Trading Fees and Taxation
Trading costs in the Hong Kong stock market include transaction fees, stamp duty, settlement charges, and currency conversion fees for foreign investors. Additionally, taxes may apply based on local regulations.
HK Non-Essential Consumer Goods Industry
The Hong Kong stock market encompasses non-essential consumption sectors like automotive, education, tourism, catering, and apparel. Of the 643 listed companies, 35% are mainland Chinese, making up 65% of the total market capitalization. Thus, it's heavily influenced by the Chinese economy.
HK Real Estate Industry
In recent years, the real estate and construction sector's share in the Hong Kong stock index has notably decreased. Nevertheless, as of 2022, it retains around 10% market share, covering real estate development, construction engineering, investment, and property management.
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La Guyane a exporté un total de 225 cargaisons de pétrole brut en 2024, a déclaré mardi le ministre de l'énergie Vickram Bharrat, alors qu'un consortium dirigé par la major américaine Exxon Mobil a poursuivi la montée en puissance de la production et achevé une mise à jour de ses installations.
M. Bharrat a également indiqué que la licence d'exploration accordée aux sociétés canadiennes Frontera Energy et CGX Energy ne peut être prolongée une nouvelle fois après le délai supplémentaire accordé pour achever l'évaluation du bloc offshore, de sorte que les sociétés devront présenter une nouvelle demande de licence.
Les cours du pétrole sont stables mardi, conservant la hausse des sessions précédentes liées aux sanctions contre la Russie, l'attention se tournant désormais vers la prise de fonction de Donald Trump lundi prochain.
Vers 10H25 GMT (11H15 à Paris), le prix du baril de Brent de la mer du Nord, pour livraison en mars, perd 0,46% à 80,64 dollars.
Son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate, pour livraison en février, chute de 0,42% à 78,49 dollars.
"Le marché continue d'évaluer les implications des sanctions américaines de vendredi dernier et la position de la prochaine administration américaine à cet égard", expliquent Helge André Martinsen et Tobias Ingebrigtsen, analystes chez DNB Markets.
Le département du Trésor américain a annoncé vendredi des sanctions contre plus de 180 navires ainsi que les grandes compagnies pétrolières russes Gazprom Neft et Surgutneftegas, respectant ainsi "l'engagement du G7 de diminuer les revenus russes issus de l'énergie". Londres a aussi sanctionné ces deux entreprises.
Selon Bjarne Schieldrop, analyste chez SEB, la question est de savoir "combien de temps Donald Trump laissera les sanctions opérationnelles", alors que celles-ci pourraient constituer un levier pour les négociations de paix en Ukraine.
Le président élu américain prend ses fonctions à la Maison Blanche lundi prochain.
Par ailleurs, selon une publication de l'OIES (Oxford Institute for Energy Studies), "l'incertitude sur le marché pétrolier est forte à cause de facteurs à la fois sur la demande et sur l'offre" pour l'année 2025.
Les risques de guerres commerciales, une nouvelle détérioration des relations entre les États-Unis et la Chine et la révision des attentes concernant la rapidité de la baisse des taux d'intérêt devraient avoir un impact négatif sur la demande de pétrole, estiment les économistes Bassam Fattouh et Andreas Economou de l'OIES.
Cependant, ces effets pourraient être compensés par la relance de la Chine, premier importateur mondial d'or noir, et une croissance plus faible que prévue de la production de pétrole au Brésil, ce qui ferait plutôt augmenter les prix.
D'ailleurs, "le Brent s'est renforcé bien avant les nouvelles sanctions", rappelle Bjarne Schieldrop, indiquant que la hausse actuelle n'est pas nécessairement passagère.
Venture Global vise une valorisation de 110,38 milliards de dollars pour son introduction en bourse aux États-Unis, a déclaré lundi l'exportateur de gaz naturel liquéfié, préparant ainsi le terrain pour la première introduction en bourse à grand spectacle de 2025.
La société basée à Arlington, en Virginie, cherche à lever jusqu'à 2,30 milliards de dollars en offrant 50 millions d'actions dont le prix est compris entre 40 et 46 dollars chacune.
Reuters a rapporté en exclusivité samedi que Venture Global s'apprêtait à présenter officiellement aux investisseurs (link) l'introduction en bourse très attendue cette semaine.
L'introduction en bourse intervient dans un contexte de croissance de la demande mondiale de GNL, les pays cherchant une alternative plus propre au charbon et au pétrole, alors que le monde s'oriente progressivement vers les énergies renouvelables.
Venture Global sera cotée à la Bourse de New York sous le symbole "VG".
Goldman Sachs, J.P. Morgan et BofA Securities sont les principaux souscripteurs de l'offre.
Venture Global vise à lever jusqu'à 2,30 milliards de dollars lors de son introduction en bourse aux États-Unis, a déclaré lundi l'exportateur de gaz naturel liquéfié.
Les groupes Nippon Steel et US Steel ont annoncé dimanche avoir obtenu de Washington un sursis courant jusqu'en juin pour formellement abandonner leur projet de rachat du sidérurgiste américain par son concurrent japonais.
Dans un communiqué commun, les deux groupes, dont le rapprochement a été interdit par l'administration du président américain Joe Biden, ont indiqué que la date butoir pour abandonner de façon "totale et définitive" le projet avait été reportée du 2 février au 18 juin.
Nippon Steel et US Steel se sont dits "satisfaits" de ce sursis et ont souligné continuer à vouloir "réaliser la transaction, qui offre les meilleures garanties d'avenir pour l'industrie sidérurgique américaine et pour tous les actionnaires".
A quelques jours de son départ de la Maison-Blanche, M. Biden a bloqué le 3 janvier cette vente d'un montant de 14,9 milliards de dollars, invoquant des raisons de "sécurité nationale".
Nippon Steel et US Steel ont déposé un recours en justice contre cette décision, la jugeant "illégale".
Ce veto a jeté un froid dans les relations entre les alliés japonais et américain, le Premier ministre nippon Shigeru Ishiba appelant Washington à "expliquer clairement" ce qui le justifie.
Dimanche, le ministre des Affaires étrangères japonais, Takeshi Iwaya, a souligné l'importance de "gérer ce dossier" de façon à ne pas miner "l'alliance entre le Japon et les Etats-Unis".
Le président élu américain Donald Trump a annoncé son hostilité à cette acquisition, qui avait été initialement annoncée en décembre 2023.
Le ministère américain de l'Agriculture (USDA) a revu en baisse vendredi ses estimations de production de maïs et de soja aux Etats-Unis, à cause notamment d'une baisse des rendements.
"Les surprises viennent encore une fois des productions américaines de maïs et de soja", a commenté auprès de l'AFP Damien Vercambre, courtier du cabinet Inter-Courtages.
Côté maïs, l'USDA prévoit désormais une récolte de 377,63 millions de tonnes de grain jaune pour la campagne américaine 2024-25, soit environ 7 millions de moins qu'annoncé lors de sa précédente projection publiée en décembre, selon le rapport mensuel WASDE (World agricultural supply and demand estimates).
Ce repli est notamment dû à la "baisse des rendements aux Etats-Unis" (-1,61% par rapport à l'estimation de décembre), a détaillé Gautier Le Molgat, PDG d'Argus Media France.
Ce coup de rabot sur les estimations de production de maïs a participé à la réduction des stocks attendus en fin de période aux Etats-Unis (-5,03 millions de tonnes).
En outre, "il n'y a eu aucun changement sur l'Argentine ou le Brésil, malgré les conditions séches", a relevé M. Le Molgat, selon qui ce sont bien "les Etats-Unis (qui) font bouger les lignes sur le marché mondial du maïs".
Dans le même temps, les estimations de production de soja américain ont aussi été révisées en baisse, de 2,58 millions de tonnes, ce qui vient peser sur la production à l'échelle mondiale.
Là encore, ce repli est notamment dû à une baisse des rendements aux Etats-Unis (-1,93%), et provoque une contraction de stocks attendus en fin de période aux Etats-Unis (-2,46 millions).
Selon l'USDA, cette baisse de la production américaine de soja émane principalement de "l'Indiana, du Kansas, du Dakota du Sud, de l'Illinois, de l'Iowa et de l'Ohio".
Dans la foulée de la publication du rapport, les cours du maïs et du soja ont bondi, prenant respectivement 2,91% pour le premier, et 2,43% pour le second vers 18H15 GMT.
"Le blé est, encore une fois, mineur dans ce marché" et "un petit peu suiveur du maïs", a observé M. Vercambre
Pour les Etats-Unis, l'USDA prévoit "une légère augmentation de l'offre et de la consommation domestique, des exportations inchangées et des stocks de fin de campagne légèrement plus élevés."
L'or a conclu une nouvelle semaine de hausse, porté en ce début d'année par des incertitudes sur l'inflation et sur les tarifs douaniers aux Etats-Unis, à dix jours de l'arrivée au pouvoir de Donald Trump.
"La hausse de l'or, en tandem avec le dollar américain, témoigne de la montée des valeurs refuges, dans un contexte de craintes de retour de l'inflation et de tensions géopolitiques cette année", avance Han Tan, analyste chez Exinity, dans une note destinée à l'AFP.
Aux Etats-Unis, le président élu Donald Trump menace de rehausser les droits de douane sur les importations à compter de son investiture le 20 janvier, une mesure qui devrait alimenter la hausse des prix dans le pays.
Cette perspective, combinée à un marché de l'emploi plus vigoureux que prévu aux Etats-Unis, a retardé la date à laquelle le marché attend la première baisse de taux de la Réserve fédérale (Fed) cette année, faisant flamber le dollar et les marchés obligataires.
En temps normal, l'appréciation du dollar et des rendements des obligations a tendance à peser sur d'autres valeurs refuge comme le métal jaune, qui ne rapportent pas d'intérêts.
L'attrait paradoxal pour l'or peut ici s'expliquer par le fait que "certains investisseurs recherchent une couverture au cas où le billet vert baisse", avance David Morrison, analyste chez Trade Nation.
D'autant que comme le pointe Barbara Lambrecht, de Commerzbank, "une partie de l'incertitude mondiale" qui fait monter la devise américaine "provient des États-Unis" eux-mêmes.
Vendredi, vers 16H10 GMT (17H10 à Paris), l'once d'or se négocie à 2.689,23 dollars, contre 2.640,22 dollars sept jours plus tôt à la clôture.
- Le sucre fond -Le prix du sucre a fondu sur la semaine, face à des meilleures perspectives de production au Brésil, à la faveur d'une météo plus clémente.
Avec "une reprise des récoltes asiatiques au cours de la saison 2024/25", les cours devraient continuer de baisser compte tenu aussi "de la récolte décente attendue l'année prochaine" au Brésil, premier producteur mondial de sucre, grâce à de bonnes précipitations, commentent les courtiers d'ED&F Man.
Ils soulignent que la production brésilienne en décembre s'est déjà révélée meilleure que prévu, à 8,8 millions de tonnes, selon les chiffres de l'association industrielle nationale brésilienne Unica.
En Inde cependant, la production a été freinée "en raison d'un détournement plus important du sucre vers l'éthanol cette année", notent les analystes d'ED&F Man, les producteurs transformant une partie de leur récolte en carburant.
S'y ajoute le "démarrage tardif" du processus de production dans certaines régions indiennes comme le Maharashtra et le Karnataka.
Vendredi, à New York, la livre de sucre brut valait 19,18 cents, contre 19,61 cents sept jours auparavant.
A Londres, la tonne de sucre blanc pour livraison en octobre valait 502,20 dollars contre 512,10 dollars le vendredi précédent à la clôture.
- Le cuivre étincelle -Le prix du cuivre a continué de progresser cette semaine, avec un optimisme du marché quant au regain d'allant de l'industrie manufacturière dans le monde cette année.
Les prix du cuivre devraient "augmenter parallèlement à une reprise manufacturière mondiale", expliquent Dominic Schnider et Wayne Gordon d'UBS Global Wealth Management.
Fortement utilisé dans l'industrie, notamment pour la confection de circuits électriques, le cuivre est aussi un instrument reflétant l'état de santé de l'économie mondiale, d'où son surnom de Docteur Cuivre ("Dr Copper").
Le cuivre est donc très sensible à l'activité des grands pays consommateurs de métaux, à l'instar de la Chine et des Etats-Unis.
L'annonce de mesures budgétaires en Chine visant à soutenir une consommation fragile avait déjà fait remonter les cours du métal rouge fin décembre.
Néanmoins, "l'incertitude entourant la politique tarifaire du président américain élu Trump favorise une approche attentiste" sur le marché des métaux de base dans leur ensemble, note Barbara Lambrecht, analyste chez Commerzbank, expliquant ainsi les mouvements modérés des prix des métaux en ce début d'année.
Sur le LME, la tonne de cuivre coûtait 9.098,50 dollars, contre 8.893,50 dollars sept jours plus tôt à la clôture.
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