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Coach de trading en chef et conférencier BeingTrader, plus de 8 ans d'expérience dans le trading du marché des changes, principalement XAUUSD, EUR/USD, GBP/USD, USD/JPY et pétrole brut. Un trader et analyste confiant qui vise à explorer diverses opportunités et à guider les investisseurs sur le marché. En tant qu'analyste, je cherche à améliorer l'expérience du trader en le soutenant avec suffisamment de données et de signaux.
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Risk Warning on Trading HK Stocks
Despite Hong Kong's robust legal and regulatory framework, its stock market still faces unique risks and challenges, such as currency fluctuations due to the Hong Kong dollar's peg to the US dollar and the impact of mainland China's policy changes and economic conditions on Hong Kong stocks.
HK Stock Trading Fees and Taxation
Trading costs in the Hong Kong stock market include transaction fees, stamp duty, settlement charges, and currency conversion fees for foreign investors. Additionally, taxes may apply based on local regulations.
HK Non-Essential Consumer Goods Industry
The Hong Kong stock market encompasses non-essential consumption sectors like automotive, education, tourism, catering, and apparel. Of the 643 listed companies, 35% are mainland Chinese, making up 65% of the total market capitalization. Thus, it's heavily influenced by the Chinese economy.
HK Real Estate Industry
In recent years, the real estate and construction sector's share in the Hong Kong stock index has notably decreased. Nevertheless, as of 2022, it retains around 10% market share, covering real estate development, construction engineering, investment, and property management.
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Firefly Aerospace a levé 175 millions de dollars lors d'un tour de table dirigé par RPM Ventures, ce qui valorise la startup spatiale à plus de 2 milliards de dollars, a-t-on appris mardi.
Les sociétés de capital-risque ont fortement investi (link) dans les fabricants de fusées et de satellites, ce qui marque un changement dans la tendance des investissements pour ces entreprises à forte intensité de capital, a indiqué Seraphim Space dans un rapport publié le mois dernier.
Firefly, basée au Texas, fabrique des lanceurs de petite et moyenne taille pour des lancements commerciaux vers l'orbite terrestre. Elle propose également des services en orbite grâce à sa gamme de véhicules orbitaux Elytra, offrant des missions d'hébergement, de covoiturage, de livraison et d'entretien.
La startup prépare sa première mission sur la lune, baptisée Blue Ghost, dans le cadre de l'initiative Commercial Lunar Payload Service de la Nasa, qui se déroulera plus tard dans l'année.
Le cycle de financement de série D de Firefly comprend des investisseurs existants ainsi que de nouvelles entités, dont GiantLeap Capital et Human Element.
Firefly a l'intention d'utiliser ces nouveaux capitaux pour accroître la portée commerciale de son vaisseau spatial Elytra, passer à la production à grande échelle de sa fusée Alpha et accélérer la qualification du matériel pour les nouveaux véhicules en cours de développement.
La société a déclaré qu'elle préparait simultanément plusieurs lancements de la fusée Alpha dans le cadre de contrats avec Lockheed Martin , L3Harris et la Nasa, entre autres, tout en collaborant avec Northrop Grumman pour développer un véhicule de lancement de taille moyenne.
La Bourse de New York a terminé en hausse lundi, toujours portée par le retour annoncé de Donald Trump à la Maison Blanche qui a une nouvelle fois propulsé les indices vedettes de Wall Street à de nouveaux records.
Le Dow Jones a progressé de 0,69% à 44.293 points, l'indice Nasdaq a pris 0,06% à 19.298 points et l'indice élargi S&P 500 a gagné 0,10% à 6.001 points. Des records historiques régulièrement battus depuis la victoire de Donald Trump.
Le marché est "enthousiaste" à propos de "la fin de l'incertitude électorale", ce qui "propulse les actions de manière générale", a commenté auprès de l'AFP Sam Stovall, de CFRA.
La perspective de plus en plus probable d'un contrôle total du Congrès américain par le camp républicain n'a fait que renforcer le mouvement haussier de la place américaine.
"Plusieurs groupes profitent du +Trump Trade+", c'est-à-dire de l'anticipation des investisseurs selon laquelle une nouvelle présidence Trump sera positive pour le marché des actions, a noté M. Stovall.
Le secteur financier, en raison de "l'assouplissement de la réglementation" promis par le républicain, fait partie des secteurs bénéficiaires, selon l'analyste. JPMorgan Chase (+0,97%), Goldman Sachs (+2,22%), Bank of America (+2,11%) et Wells Fargo (+3,60%) ont tous terminé dans le vert.
Egalement soutenus par ces perspectives, les acteurs des cryptomonnaies comme Coinbase (+19,76%), Robinhood (+7,40%) ou Riot Platforms (+16,86%) ont brillé.
Le fournisseur de services Bitcoin, MicroStrategy Incorporated, s'est envolé (+25,73%), alors que la monnaie numérique atteignait de nouveaux sommets lundi. Vers 21H45 GMT, le bitcoin continuait sa folle ascension, à 88,149.04 dollars.
Autres grandes gagnantes du résultats de l'élection américaine, les valeurs industrielles ont gagné du terrain, telles que Lockheed Martin (+1,07%), Honeywell (+2,62%) ou Caterpillar (+0,81%).
Tesla a poursuivi son ascension. Le groupe du milliardaire Elon Musk, qui a affiché son soutien à Donald Trump durant sa campagne, a gagné 8,76%.
"La faiblesse des semi-conducteurs et des grandes capitalisations ont pesé sur les principaux indices", a observé Patrick O'Hare, de Briefing.com, dans une note.
Le géant taïwanais des semi-conducteurs TSMC, coté à Taïwan et New York, a reculé (-3,55%) après que plusieurs médias ont affirmé que le gouvernement américain lui avait ordonné de cesser les livraisons de ses puces les plus avancées au marché chinois.
Nvidia (-1,61%), Intel (-4,39%), Apple (-1,20%), Microsoft (-1,07%), Broadcom (-2,58%), ou AMD (-0,41%) ont clôturé en berne.
Côté indicateurs, les investisseurs attendent la publication de l'indice de prix à la consommation CPI, mercredi, de l'indice PPI des prix à la production, jeudi, mais aussi des ventes de détail et de la production industrielle, vendredi.
Le marché obligataire était fermé lundi pour cause de jour férié (Veterans Day).
Ailleurs au tableau des valeurs, le laboratoire pharmaceutique Abbvie a dégringolé (-12,57%) après des informations du Wall Street Journal selon lesquelles un médicament développé par le groupe contre la schizophrénie n'a pas atteint les objectifs attendus lors d'essais cliniques.
L'assureur santé Cigna a décollé (+7,28%) après avoir annoncé dans un communiqué de presse que le groupe renonçait à l'acquisition de son concurrent Humana (-1,97%).
La Suède a choisi le C-390 Millennium d'Embraer comme prochain avion cargo militaire, tandis que le Brésil a l'intention d'acheter davantage d'avions de combat Gripen à la société de défense suédoise Saab (SAABa.ST), a déclaré le gouvernement du pays européen.
La lettre d'intention signée samedi intervient après de longues discussions (link) entre les deux pays pour que le Brésil augmente ses commandes de Gripen et que la Suède utilise l'avion d'Embraer pour remplacer sa flotte vieillissante de C-130 de Lockheed Martin .
En 2010, le Brésil a signé un contrat avec Saab pour l'achat de 36 avions de combat JAS 39 Gripen. Il prévoit maintenant d'étendre le contrat de 25 %, a déclaré le gouvernement suédois.
En retour, la Suède a choisi le C-390 Millennium d'Embraer ((link)) comme nouvel avion cargo militaire et va entamer le processus d'achat.
"La Suède a effectué une analyse très approfondie, évalué plusieurs concurrents et s'est entretenue avec les opérateurs et les clients actuels du C-390. Nous sommes très heureux", a déclaré Bosco da Costa Junior, responsable de la défense chez Embraer, lors d'une interview accordée à Reuters.
Le pays nordique n'a pas immédiatement révélé le nombre de C-390 qu'il achèterait ni la date à laquelle une commande ferme serait passée. M. Costa a déclaré que la Suède avait une certaine urgence et qu'il espérait qu'elle commencerait à ajouter les avions "dès que possible".
La Suède est le sixième pays européen à choisir l'appareil d'Embraer, rejoignant ainsi la République tchèque, la Hongrie, les Pays-Bas et le Portugal, membres de l'Otan, ainsi que l'Autriche, pays non membre de l'Otan. Le Brésil et la Corée du Sud ont également acheté le C-390.
La lettre d'intention a été signée par le ministre suédois de la défense, Pal Jonson (link), et son homologue brésilien, Jose Mucio, à Natal, au Brésil, où le pays sud-américain a organisé un exercice multinational de formation opérationnelle.
Reuters a rapporté en 2023 que le Brésil envisageait (link) d'acheter d'autres chasseurs Gripen et que M. Mucio s'était rendu en Suède pour négocier un accord (link) qui inclurait également l'achat du C-390 par le pays européen.
"C'est bien sûr une très bonne nouvelle pour Saab et la Suède. Nous savons que le Brésil est très satisfait de son avion de combat JAS. Nous sommes maintenant impatients de poursuivre les discussions avec le Brésil concernant d'autres commandes", a déclaré un porte-parole de Saab, ajoutant qu'aucun contrat n'avait été signé.
Saab et Embraer disposent d'une ligne de production commune pour les Gripens au Brésil depuis l'année dernière. La radio suédoise a rapporté mardi, en citant des sources anonymes, que la Colombie achèterait à (link) une flotte d'avions de combat JAS Gripen.
La Bourse de New York a poursuivi sa course aux records vendredi, toujours portée par le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche, ses trois indices vedettes atteignant de nouveaux sommets.
Le Dow Jones a progressé de 0,59%, l'indice Nasdaq a pris 0,09% et l'indice élargi S&P 500 a gagné 0,38%.
La place américaine a continué de saluer vendredi l'arrivée de Donald Trump au pouvoir, qui "va promouvoir des taux d'imposition plus bas pour les entreprises et moins de réglementation", a commenté auprès de l'AFP Patrick O'Hare, analyste de Briefing.com.
"On assiste à la poursuite de la dynamique post-électorale (...), et les investisseurs craignent de passer à côté de gains supplémentaires", a-t-il ajouté.
Pour la première fois, en séance, le S&P 500 a dépassé les 6.000 points et le Dow Jones a franchi les 44.000 points.
Dans le même temps, les investisseurs étaient toujours séduits par la nouvelle baisse de taux annoncée jeudi par la banque centrale américaine (Fed) et par l'image d'une bonne santé économique aux Etats-Unis.
La publication en cours de séance d'un indice de la confiance des consommateurs américains, au plus haut en novembre depuis six mois, a également porté vendredi les indices à New York.
"L'optimisme des consommateurs à l'égard de l'amélioration des revenus" a notamment "contribué à la hausse du résultat global", a souligné Jose Torres, analyste d'Interactive Brokers, dans une note.
Sur le marché obligataire, le taux d'intérêt des emprunts de l'Etat américain à 10 ans est ressorti à 4,30%, contre 4,33% la veille en clôture.
A la cote, les valeurs industrielles ont été recherchées: GE Aerospace (+3,33%), Lockheed Martin (+2,31%) ou Honeywell (+0,91%) ont tous avancé.
Après avoir fléchi la veille, les valeurs financières ont repris des couleurs, à l'image de Goldman Sachs (+1,22%), American Express (+0,27%), JPMorgan Chase (+0,40%) ou Wells Fargo (+0,89%).
Telsa a décollé de 8,19%. L'action du constructeur automobile, propriété d'Elon Musk, a été portée par le soutien affiché par le milliardaire à Donald Trump durant sa campagne.
Les grandes capitalisations du secteur technologique ont chuté, dont les géants des semi-conducteurs. Qualcomm (-1,16%), Micron (-1,33%), Broadcom (-0,09%) et AMD (-1,24%) ont tous fini dans le rouge.
Nvidia - qui a fait son entrée vendredi dans l'indice Dow Jones, en remplacement de son concurrent Intel (-0,11%) - a abandonné 0,84%.
Les valeurs chinoises cotées à la Bourse de New York ont perdu du terrain, lestées par les mesures annoncées par le gouvernement chinois pour relancer l'économie du pays, considérées comme décevantes.
Les géants du commerce en ligne PDD (-6,40%), Alibaba (-5,94%) et JD.com (-6,99%) ont décroché.
La plateforme de réservation de voyages Expedia s'est distinguée (+3,81%) après avoir relevé ses prévisions annuelles et publié un bénéfice trimestriel supérieur aux attentes, tiré par une accélération du tourisme international.
Le réseau social Pinterest a dégringolé (-14,00%), toujours plombé par des résultats au troisième trimestre en deçà des attentes.
Le site de location immobilière de courte durée Airbnb a été sanctionné (-8,66%), mal orienté par un bénéfice net légèrement inférieur aux attentes.
Le rêve d'Elon Musk d'envoyer des humains sur Mars va devenir une priorité nationale sous la présidence de Donald Trump, a-t-on appris de sources proches du président élu, selon lesquelles le programme lunaire de la Nasa va être profondément remodelé pour faire la part belle aux ambitions de SpaceX.
Le programme Artemis de la Nasa, qui vise à utiliser la fusée Starship de SpaceX pour envoyer des humains sur la Lune avant d'éventuelles missions sur Mars, devrait se focaliser dans les prochaines années sur l'envoi de vaisseaux sans équipage jusqu'à la planète rouge, selon quatre personnes au courant du programme de politique spatiale de Trump.
Vouloir aller sur Mars avec des engins spatiaux conçus pour des astronautes est beaucoup plus ambitieux que retourner sur la Lune, mais c'est aussi un projet plus risqué et potentiellement beaucoup plus coûteux.
Elon Musk portait un t-shirt "Occupy Mars" lorsqu'il a rejoint Donald Trump sur la scène d'un meeting électoral en octobre. Le patron de SpaceX a dépensé 119 millions de dollars pour soutenir le candidat républicain, mettant la politique spatiale au coeur de la campagne.
En septembre, peu après avoir officialisé son soutien à Donald Trump, Elon Musk avait déclaré à des journalistes que les vols vers la Lune n'étaient qu'une "rampe de lancement" pour la conquête de Mars.
"Il y au minimum un plan concret visant à aller sur Mars, ça va devenir un objectif", estime Doug Loverro, consultant pour l'industrie spatiale qui a travaillé pour la Nasa sous la première présidence Trump.
SpaceX, Elon Musk et l'équipe de campagne de Donald Trump n'ont pas immédiatement répondu aux sollicitations de Reuters à ce sujet. Une porte-parole de la Nasa a déclaré qu'il "ne serait pas approprié de spéculer sur d'éventuels changements" sous la future administration Trump.
Les sources ont elles-mêmes indiqué que les contours du futur programme spatial des Etats-Unis n'étaient pas encore totalement définis.
Le programme Artemis a été lancé par Donald Trump en 2019, lors de son premier mandat. C'est un des rares programmes à avoir été conservé par l'administration Biden, mais selon les sources, l'entourage du président républicain élu considère que cette ambition spatiale a été négligée pendant les quatre dernières années.
MUSK TROP AMBITIEUX ?
Elon Musk, également patron du constructeur de véhicules électriques Tesla et de la start-up de neurotechnologie et de transhumanisme Neuralink, a présenté la réduction des réglementations gouvernementales et de la bureaucratie comme un autre fondement de son soutien à Donald Trump.
Dans le domaine de la conquête spatiale, les sources pensent que la déréglementation voulue par Elon Musk pourrait réduire le poids de la Federal Aviation Administration (FAA), chargée de la supervision des lancements de fusées privées et accusée par Elon Musk d'avoir ralenti le développement du Starship de SpaceX.
Selon ces mêmes sources, la Nasa devrait privilégier sous la présidence Trump des contrats à prix fixe, qui font reposer le poids des dépassements budgétaires sur les entreprises privées et pourraient ainsi éviter la flambée des coûts qui ont grevé le budget du programme Artemis.
Ce changement de système de facturation pourrait mettre en difficulté la seule fusée que possède la Nasa, Space Launch System (SLS), dont le développement sous la direction de Boeing et Northrop Grumman a coûté environ 24 milliards de dollars depuis 2011. L'annulation pure et simple de ce programme coûterait cependant des milliers d'emplois et rendrait les États-Unis encore plus dépendants de SpaceX.
Boeing et Northrop n'ont pas immédiatement répondu à une demande de commentaires.
Elon Musk, dont les prédictions se sont parfois révélées trop optimistes, a déclaré en septembre que SpaceX ferait atterrir Starship sur Mars en 2026 et qu'une mission habitée suivrait dans quatre ans.
De nombreux experts du secteur jugent ce calendrier trop ambitieux.
"Est-il possible pour Elon d'envoyer un vaisseau spatial sur Mars pour une mission sans retour d'ici la fin du mandat de Trump ? Absolument, il peut certainement le faire", a déclaré Scott Pace, qui dirigeait la politique spatiale sous le premier mandat de Donald Trump.
"Est-ce qu'il pourrait y avoir une mission habitée sur Mars ? Non", a-t-il ajouté. "Il faut apprendre à marcher avant de courir."
Le Vietnam est confronté à la volatilité commerciale avec une nouvelle présidence Trump, ont déclaré à Reuters des fonctionnaires et des experts de la chaîne d'approvisionnement, car le pays pourrait bénéficier de l'augmentation des tensions commerciales entre les États-Unis et la Chine, mais pourrait également devenir un "dommage collatéral" des mesures protectionnistes américaines.
Le centre industriel de l'Asie du Sud-Est est un exportateur majeur vers les États-Unis et avait un excédent commercial de 90 milliards de dollars avec Washington en septembre, soit le quatrième plus important après la Chine, l'Union européenne et le Mexique.
Le pays dirigé par les communistes a été l'un des principaux bénéficiaires d'une hausse des droits de douane américains sur la Chine, que Donald Trump a entamée lors de sa première présidence.
Donald Trump a menacé d'imposer des droits de douane de 60 % sur les importations américaines de produits chinois au cours de son second mandat, ce qui ferait peser des risques majeurs sur la croissance de la deuxième économie mondiale.
À l'approche des élections américaines, les responsables vietnamiens ont déclaré qu'ils préféraient maintenir le statu quo en matière de politique commerciale, auquel ils se seraient attendus sous un autre président démocrate, plutôt que l'imprévisibilité de Trump, ont déclaré deux hauts fonctionnaires.
La principale raison de s'inquiéter, selon les fonctionnaires, est l'important excédent commercial avec Washington, qui est en partie le résultat de l'utilisation du Vietnam comme site d'assemblage pour des composants encore largement fabriqués en Chine - ce qui a parfois conduit à des sanctions américaines pour transbordement illégal.
M. Trump a également menacé d'imposer des droits de douane allant jusqu'à 20 % sur toutes les importations.
Le Vietnam "pourrait facilement être la cible de telles mesures protectionnistes et devenir un dommage collatéral", a déclaré Leif Schneider, directeur du cabinet d'avocats international Luther au Vietnam.
Toutefois, un protectionnisme accru pourrait accélérer le déplacement des chaînes d'approvisionnement de la Chine vers d'autres marchés, le Viêt Nam restant probablement une destination privilégiée pour les entreprises qui délocalisent leur production en dehors de la Chine, a ajouté M. Schneider.
Le principal marché boursier du Viêt Nam a augmenté mercredi à la suite de l'annonce d'une possible victoire de Trump, grâce aux actions des parcs industriels, et a prolongé ses gains jeudi matin.
Le chef du parti, le président et le premier ministre du pays ont adressé jeudi leurs félicitations à M. Trump, soulignant le soutien important de ce dernier lors de son précédent mandat et espérant que les relations entre les deux pays continueraient à s'épanouir.
LNG, AVIONS, DIPLOMATIE DU GOLF?
L'important excédent commercial pourrait être réduit pour apaiser les tensions grâce à l'achat d'articles américains de grande valeur, a fait remarquer un diplomate de haut rang basé à Hanoï, évoquant les importations de gaz naturel liquéfié (LNG) et l'achat éventuel d'avions de transport militaire Lockheed Martin C-130 Hercules (link).
Le fait que la Trump Organization se soit récemment associée à une entreprise vietnamienne pour développer un projet de terrain de golf et d'hôtel de 1,5 milliard de dollars au Viêt Nam pourrait également aider, a déclaré un investisseur étranger basé au Viêt Nam.
Cependant, l'incertitude prévaut, car la nouvelle administration Trump "présente à la fois des opportunités et des défis pour le Vietnam", a déclaré Koen Soenens, directeur marketing des parcs industriels DEEP C dans le nord du Vietnam.
"Alors qu'une deuxième présidence Trump devrait recalibrer la politique commerciale américaine, l'impact réel sur le Vietnam dépendrait fortement de la portée et des cibles spécifiques de ces changements politiques", a déclaré Dan Martin, conseiller commercial basé à Hanoï au sein du cabinet de conseil en investissement Dezan Shira & Associates.
"Le potentiel du Viêt Nam à attirer davantage d'entreprises délocalisées de Chine reste fort, mais les droits de douane et les restrictions commerciales pourraient compromettre ces gains", a ajouté M. Schneider.
Le Vietnam est confronté à la volatilité commerciale avec une nouvelle présidence Trump, ont déclaré à Reuters des fonctionnaires et des experts de la chaîne d'approvisionnement, car le pays pourrait bénéficier des tensions commerciales accrues entre les États-Unis et la Chine, mais pourrait également devenir un "dommage collatéral" des mesures protectionnistes américaines.
Le centre industriel de l'Asie du Sud-Est est un exportateur majeur vers les États-Unis et avait un excédent commercial de 90 milliards de dollars avec Washington en septembre, soit le quatrième plus important après la Chine, l'Union européenne et le Mexique.
Le pays dirigé par les communistes a été l'un des principaux bénéficiaires de la hausse des droits de douane américains sur la Chine, que Donald Trump a entamée lors de sa première présidence.
M. Trump a menacé d'imposer des droits de douane de 60 % sur les importations américaines de produits chinois au cours de son second mandat, ce qui ferait peser des risques majeurs sur la croissance de la deuxième économie mondiale.
Toutefois, avant les élections américaines, les responsables vietnamiens ont déclaré qu'ils auraient préféré un statu quo attendu en matière de politique commerciale sous un autre président démocrate, plutôt que l'imprévisibilité de Trump, ont déclaré deux hauts fonctionnaires.
La principale raison de s'inquiéter, selon les fonctionnaires, est l'important excédent commercial avec Washington, qui est en partie le résultat de l'utilisation du Vietnam comme site d'assemblage pour des composants encore largement fabriqués en Chine - ce qui a parfois conduit à des sanctions américaines pour transbordement illégal.
M. Trump a également menacé d'imposer des droits de douane allant jusqu'à 20 % sur toutes les importations.
Le Vietnam "pourrait facilement être la cible de telles mesures protectionnistes et devenir un dommage collatéral", a déclaré Leif Schneider, directeur du cabinet d'avocats international Luther au Vietnam.
Toutefois, un protectionnisme accru pourrait accélérer le déplacement des chaînes d'approvisionnement de la Chine vers d'autres marchés, le Viêt Nam restant probablement une destination privilégiée pour les entreprises qui délocalisent leur production en dehors de la Chine, a ajouté M. Schneider.
Le principal marché boursier du Viêt Nam a augmenté mercredi à la suite de l'annonce d'une possible victoire de Trump, stimulé par les actions des parcs industriels, et a prolongé ses gains jeudi matin.
LNG, AVIONS, DIPLOMATIE DU GOLF?
L'important excédent commercial pourrait être réduit pour apaiser les tensions avec les États-Unis grâce à l'achat de biens de grande valeur aux États-Unis, a noté un diplomate de haut rang basé à Hanoï, soulignant les importations de gaz naturel liquéfié (LNG) et l'achat possible du transport militaire Lockheed Martin C-130 Hercules (link).
Le fait que la Trump Organization se soit récemment associée à une entreprise vietnamienne pour développer un projet de terrain de golf et d'hôtel de 1,5 milliard de dollars au Viêt Nam, a déclaré un investisseur étranger basé au Viêt Nam, pourrait également être utile.
Cependant, l'incertitude prévaut, car la nouvelle administration Trump "présente à la fois des opportunités et des défis pour le Vietnam", a déclaré Koen Soenens, directeur marketing des parcs industriels DEEP C dans le nord du Vietnam.
"Alors qu'une deuxième présidence Trump devrait recalibrer la politique commerciale américaine, l'impact réel sur le Vietnam dépendrait fortement de la portée et des cibles spécifiques de ces changements politiques", a déclaré Dan Martin, conseiller commercial basé à Hanoï au sein du cabinet de conseil en investissement Dezan Shira & Associates.
"Le potentiel du Viêt Nam à attirer davantage d'entreprises délocalisées de Chine reste fort, mais les droits de douane et les restrictions commerciales pourraient compromettre ces gains", a ajouté M. Schneider.
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