Le groupe britannique M&C Saatchi affiche des bénéfices en hausse grâce à l'augmentation des dépenses publicitaires de ses clients

Les principales Bourses européennes sont attendues sur une note prudente mercredi avant les annonces de la Réserve fédérale américaine (Fed) et la publication des indicateurs d'inflation en zone euro et en Grande-Bretagne.

D'après les premières indications disponibles, le CAC 40 parisien devrait perdre 0,16% à l'ouverture. Le Dax à Francfort pourrait reculer de 0,20%, tandis que le FTSE 100 CURRENCYCOM:UK100 à Londres devrait abandonner 0,27%. L'indice EuroStoxx 50 est attendu en repli de 0,16% et le Stoxx 600 en baisse de 0,14%.

Sauf énorme surprise, la Fed va amorcer ce mercredi sa première baisse des taux depuis le resserrement monétaire entamé en mars 2022, mais la principale inconnue porte sur l'ampleur de cette baisse, le marché étant partagé entre une réduction de 25 ou de 50 points de base.

Les investisseurs redoutent par ailleurs que si la Fed opte pour une réduction agressive du coût du crédit aux Etats-Unis, ce ne soit le signe d'une probable récession à venir. Le marché table sur une baisse totale des taux aux Etats-Unis de 120 points d'ici la fin de l'année.

En Europe, où la Banque centrale européenne (BCE) a décidé la semaine dernière de réduire ses taux directeurs, on prendra connaissance à 09h00 GMT des chiffres définitifs de l'inflation dans le bloc monétaire.

Avant cela, les données sur l'inflation britannique seront publiées à 06h00 GMT et seront sans doute scrutées par la Banque d'Angleterre (BoE) qui rend jeudi sa décision de politique monétaire. La banque centrale de Norvège se réunit également jeudi.

A WALL STREET

La Bourse de New York a clôturé sans grand changement mardi, malgré des gains engrangés en début de séance après la publication de données rassurantes sur la solidité de l'économie américaine.

Le S&P 500 a terminé en petite hausse de 0,03%, à 5.634,58 points, après avoir établi un record en séance à 5.670,81 points, les investisseurs saluant la hausse inattendue (+0,1%) des ventes au détail et de la production industrielle le mois dernier.

L'indice a ainsi effacé les dernières traces de son plongeon de la fin juillet provoqué par une poussée du chômage et la crainte d'une récession due à des taux restrictifs.

Le Dow Jones a cédé 15,90 points, ou 0,04%, à 41.606,18 points et le Nasdaq Composite a pris 35,93 points ou 0,20% à 17.628,06.

Du côté des valeurs, Microsoft a affiché la plus forte hausse du S&P (+0,88%) après avoir approuvé un nouveau programme de rachat d'actions, tandis qu'Intel (+2,68%) a profité de la signature par la société d'un contrat avec Amazon .

EN ASIE

A la Bourse de Tokyo, l'indice Nikkei est pratiquement inchangé (-0,07% à 36.177,17 points) au lendemain d'une glissade de plus de 1% sur fond d'affermissement du yen. Le Topix , plus large, cède 0,42% à 2.545,02 points.

L'indice MSCI regroupant les valeurs d'Asie et du Pacifique (hors Japon) (.MIAPJ0000PUS) perd 0,05%.

En Chine, les marchés financiers ont rouvert après une pause depuis vendredi liée aux célébrations de la fête de la Lune. Le SSE Composite de Shanghai est pratiquement stable (-0,05%), tandis que le CSI 300 3 progresse de 0,18%, tiré notamment par le compartiment financier 3 (+0,71%) alors que celui de la consommation 0 (-1,58%) pèse.

LES VALEURS A SUIVRE EN EUROPE:

CHANGES/TAUX

Le dollar recule de 0,04% face à un panier de devises de référence , le billet vert suivant la trajectoire des rendements obligataires américains dans la perspective d'une baisse des taux de la Fed.

Le yen progresse de 0,73% à 141,36 pour un dollar. La monnaie japonaise est en hausse de plus de 12% depuis juillet, la Banque du Japon (BoJ) ayant décidé de relever ses taux directeurs au moment où la Fed se prépare à abaisser les siens.

L'euro avance de 0,05%, à 1,112 dollar, tandis que la livre sterling abandonne 0,02%, à 1,3158%, avant les chiffres de l'inflation britannique.

Le rendement des bons du Trésor américain à dix ans est inchangé, à 3,6418%, après être tombé la veille en séance à 3,599%, son niveau le plus bas depuis mai 2023.

PÉTROLE

Le marché pétrolier est en repli après deux séances consécutives de gains, les investisseurs étant désormais dans l'attente des décisions de la Fed.

Le Brent reflue de 0,54% à 73,3 dollars le baril et le brut léger américain (West Texas Intermediate, WTI) abandonne 0,60% à 70,76 dollars .

PRINCIPAUX INDICATEURS ÉCONOMIQUES À L'AGENDA DU 18 SEPTEMBRE:

*première estimation

Amazon.com a nommé mercredi Samir Kumar, un vétéran de 25 ans, à la tête de l'Inde, en remplacement de Manish Tiwary (link) qui a démissionné le mois dernier après huit ans de service.

Kumar, qui a fait partie de l'équipe qui a lancé Amazon Inde en 2013, prendra la relève de Tiwary le 1er octobre, en plus de ses fonctions actuelles de directeur des activités grand public d'Amazon au Moyen-Orient, en Afrique du Sud et en Turquie.

Amazon avait précédemment déclaré que M. Tiwary avait démissionné pour saisir une opportunité en dehors de l'entreprise, sans donner plus de détails.

Ce changement de direction intervient alors qu'Amazon se développe rapidement en Inde, où il prévoit d'investir 26 milliards de dollars d'ici à 2030, mais est également confronté à un environnement réglementaire strict qui l'oblige à ne gérer qu'une place de marché.

"L'Inde reste une priorité importante pour Amazon, et je suis très enthousiaste à l'idée de saisir les opportunités qui s'offrent à nous", a déclaré Amit Agarwal, vice-président senior pour les marchés émergents chez Amazon.

La Bourse de New York a terminé en ordre dispersé et proche de l'équilibre mardi, les investisseurs faisant preuve de prudence avant la décision encore incertaine de la banque centrale américaine (Fed), mercredi.

Le Dow Jones (-0,04%) et l'indice élargi S&P 500 (+0,03%) ont fini proches de l'équilibre, tandis que l'indice Nasdaq a pris 0,20%.

La séance aura été volatile, les grands indices démarrant nettement dans le vert, avant de prendre la direction opposée, puis de revenir autour de leur niveau de la veille.

La place new-yorkaise a fermé les écoutilles avant la journée de mercredi, qui verra la Fed annoncer sa décision de politique monétaire.

Une nouvelle salve d'indicateurs a incité nombre d'économistes à plaider pour une baisse d'un quart de point de pourcentage du taux directeur de la Réserve fédérale.

Les ventes de détail ont augmenté de 0,1% sur un mois en août aux Etats-Unis, alors qu'une contraction de 0,2% était anticipée.

Par ailleurs, la production industrielle a augmenté de 0,8% sur un mois, en août également, son rythme le plus rapide depuis février, sensiblement au-dessus des 0,2% anticipés.

"Ce rapport ne donne aucune raison à la Fed de baisser son taux d'un demi-point", a réagi High Frequency Economics au sujet de la production industrielle.

Le marché obligataire semble en avoir tiré les mêmes conclusions, car le rendement des emprunts d'Etat américains à 2 ans est remonté jusqu'à 3,61%, contre 3,55% lundi en clôture.

Une partie des opérateurs refusaient cependant de rendre les armes et, sur le marché à terme, la probabilité attribuée à l'hypothèse d'une baisse d'un demi-point l'emportait toujours nettement (63%).

Pour autant, Jack Ablin, de Cresset Capital a vu dans la stabilisation de fin de séance un signe.

"Les investisseurs commencent à revoir leurs projections", affirme-t-il. "Je pense qu'il y a eu un peu trop d'optimisme autour d'une importante baisse de taux" dès mercredi, ce qui pourrait limiter la réaction du marché à la décision de la Fed, mercredi, selon lui.

A la cote, ordinairement à la traîne de ses concurrents à Wall Street, Intel a brillé (+2,68%) après une série d'annonces lundi, après Bourse.

Le groupe de Santa Clara (Californie) a notamment repoussé de deux ans ses projets d'usine en Allemagne et en Pologne. Il va aussi loger ses activités de fabrication de puces pour d'autres sociétés dans une filiale dédiée.

Outre Intel, le Nasdaq a pu compter sur Microsoft (+0,88%) qui a dévoilé un dividende en hausse et un nouveau programme de rachat d'actions à hauteur de 60 milliards de dollars.

Le géant des logiciels et de l'informatique à distance menace désormais de détrôner une nouvelle fois Apple (+0,22%) au sommet des capitalisations boursières mondiales.

Amazon a aussi été recherché (+1,08%), le rapport sur les ventes de détail mettant en évidence le dynamisme du commerce en ligne.

Meta a avancé (+0,57%) après avoir présenté une nouvelle version d'Instagram pour les adolescents, qui comporte de nombreuses restrictions visant à protéger les jeunes utilisateurs de contenus nocifs ou de contacts non désirés.

Hewlett Packard Enterprise (HPE) a été favorisé (+5,63%) par un relèvement de recommandation des analystes de Bank of America, qui entrevoient des synergies importantes avec l'équipementier en télécommunications Juniper Networks, en cours de rachat.

En difficulté depuis des années, le fabricant américain des célèbres conteneurs alimentaires en plastique Tupperware a vu le cours de son action suspendu mardi, après que l'agence Bloomberg a fait état d'un possible dépôt de bilan.

Lundi, le titre avait perdu 57,51% en une séance après la publication de cette information, selon laquelle le groupe d'Orlando (Floride) pourrait se déclarer en cessation de paiement dès cette semaine.

Le ministère américain des Transports a donné mardi son feu vert sous condition au rachat de la compagnie Hawaiian Airlines (+3,93%) par sa concurrente Alaska Airlines (-0,87%), pour 1,9 milliard de dollars.

La Bourse de New York a clôturé sans grand changement mardi, veille de la décision de la Réserve fédérale sur les taux, malgré des gains engrangés en début de séance après la publication de données rassurantes sur la solidité de l'économie américaine.

Le S&P 500 a terminé en petite hausse de 0,03%, à 5.634,58 points, après avoir établi un record en séance à 5.670,81 points, les investisseurs saluant la hausse inattendue (+0,1%) des ventes au détail et de la production industrielle le mois dernier.

L'indice a ainsi effacé les dernières traces de son plongeon de la fin juillet provoqué par une poussée du chômage et la crainte d'une récession due à des taux restrictifs.

Le Dow Jones a cédé 15,90 points, ou 0,04%, à 41.606,18 points et le Nasdaq Composite a pris 35,93 points ou 0,20% à 17.628,06.

L'augmentation des ventes au détail en août suggère que l'économie américaine a bien résisté pendant une bonne partie du troisième trimestre mais pour Jim Baird, gérant d'investissement à Plante Moran Financial Advisors, dans le Michigan, elle témoigne tout de même d'un net ralentissement des dépenses de consommation, après une hausse de 1% en juillet, ce qui conforte la possibilité d'une baisse de 50 points de base des taux de la banque centrale américaine.

"On est passé de ce qui semblait être l'opinion prédominante d'une baisse de 25 points de base à l'hypothèse d'une baisse plus marquée des taux", rappelle-t-il.

Mardi en fin de journée, les marchés monétaires estimaient probable à 65% une baisse de 50 points de base mercredi à l'issue de la réunion de deux jours du Comité de politique monétaire (FOMC) alors que cette probabilité plafonnait à 34% la semaine dernière.

"Un retour rapide au taux neutre se justifie, et le président (de la Fed Jerome) Powell devrait plaider pour une baisse de 50 points de base, mais la question est de savoir si les autres membres du conseil des gouverneurs partagent son point de vue", observait cependant James Knightley, économiste chez ING, au cours de la séance.

Du côté des valeurs, Microsoft affiche la plus forte hausse du S&P (+0,88%) après avoir approuvé un nouveau programme de rachat d'actions d'un montant de 60 milliards de dollars et annoncé un relèvement de 10% de son dividende trimestriel.

Le titre Intel (+2,68%) a profité de la signature par la société d'un contrat avec Amazon pour la fourniture de puces destinées à l'intelligence artificielle.

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• Indices S&P
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• (XDIV) Prévisions pour le Dow Jones et le S&P
• (STXUS)

Amazon.com Inc devient de plus en plus le magasin de référence pour les articles du quotidien comme le liquide vaisselle et les essuie-tout, grâce à la commodité de la livraison le jour même ou le lendemain.

Alors que de plus en plus de consommateurs se tournent vers Amazon pour leurs produits de première nécessité, ce changement peut sembler être une victoire pour l’entreprise, mais les investisseurs pourraient ne pas être aussi enthousiastes, du moins à court terme.

Bien que la possibilité de faire des achats à domicile et de bénéficier d’une livraison garantie dans les 24 heures soit attrayante pour les consommateurs, cela n’est pas aussi prometteur pour les résultats d’Amazon à court terme.

La raison ? L’exécution des commandes de biens à bas prix, comme les produits ménagers de première nécessité, exerce une pression sur la rentabilité de l’entreprise, ce qui pourrait peser sur le cours de son action.

L’action d’Amazon est déjà en baisse d’environ 8 % par rapport à son plus haut niveau de l’année, atteint début juillet, ce qui reflète ces inquiétudes.

Les défis de rentabilité à court terme pour Amazon

Dans son rapport sur les résultats du deuxième trimestre en août, Amazon a annoncé un chiffre d’affaires de 147,98 milliards de dollars, légèrement inférieur aux 148,56 milliards de dollars attendus par les analystes.

Une partie de ce déficit peut être due à l’accent accru mis par l’entreprise sur l’élargissement de son offre d’articles de tous les jours à bas prix.

Bien que cette stratégie stimule la croissance de l’acquisition de clients et du volume des ventes, elle s’accompagne également de marges bénéficiaires plus serrées.

Cependant, Amazon a une longue histoire de sacrifice des profits à court terme au profit d’une croissance à long terme.

L’entreprise est connue pour sa capacité à recentrer son attention sur la rentabilité une fois qu’elle a établi une position dominante sur de nouveaux marchés.

Jeff Marks, directeur de l’analyse de portefeuille au CNBC Investing Club, estime que cette stratégie sera payante à long terme.

« Si les gens achètent des produits de première nécessité sur Amazon, ils sont plus susceptibles d’acheter également des produits à marge plus élevée. Cela peut nuire aux marges maintenant, mais Amazon trouvera probablement un moyen de remédier à cela à l’avenir », explique Marks.

En d’autres termes, l’accent actuel mis par Amazon sur la conquête de parts de portefeuille pourrait éventuellement se traduire par des gains à long terme pour l’action.

L’action Amazon pourrait atteindre 210 $

Malgré les inquiétudes concernant la rentabilité à court terme de son activité de vente au détail, Amazon présente toujours un potentiel de hausse substantiel.

Selon Laura Martin, analyste chez Needham, les investisseurs négligent largement le segment du commerce électronique d’Amazon, considérant l’entreprise davantage comme un fournisseur de services que comme un géant de la vente au détail.

Martin a attribué une note « achat » à l’action, avec un objectif de cours de 210 $, ce qui suggère un gain potentiel de près de 15 % par rapport à ses niveaux actuels.

Martin est également optimiste quant à l’avenir d’Amazon, grâce à son potentiel à capitaliser sur l’essor de l’intelligence artificielle (IA).

Alors que l’IA devient un élément de plus en plus important des activités de services d’Amazon, elle pourrait servir de moteur de croissance majeur, tandis que le commerce électronique reste un bonus précieux.

« Les capacités d’IA d’Amazon agiront comme un vent arrière, faisant de ses actions un investissement solide », a-t-elle noté dans un récent rapport de recherche.

L’analyste de marché Ritesh A. partage ce sentiment, soulignant les solides perspectives à long terme d’Amazon. « Les perspectives à long et à très long terme d’Amazon restent solides », a-t-il écrit dans un rapport récent.

L’expansion d’Amazon dans les produits essentiels du quotidien peut constituer un défi pour la rentabilité à court terme, mais sa stratégie à long terme d’acquisition de clients et de croissance reste solide.

Forte de son expérience dans la gestion des obstacles à court terme, l’entreprise est bien placée pour renouer avec la rentabilité et bénéficier d’autres voies de croissance comme l’IA.

Les investisseurs ayant une perspective à long terme pourraient trouver dans l’action Amazon, avec son potentiel d’atteindre 210 $, un investissement intéressant, même dans les conditions de marché incertaines d’aujourd’hui.

La pop star Miley Cyrus a copié le tube "When I Was Your Man" de son compatriote Bruno Mars dans son single numéro un "Flowers", selon une plainte pour violation des droits d'auteur déposée devant un tribunal fédéral de Californie.

La plainte, déposée lundi (link) par le propriétaire des droits musicaux Tempo Music Investments, affirme que "Flowers" reproduit "de nombreux éléments mélodiques, harmoniques et lyriques" de la chanson de Mars, qui s'est hissée en tête du Billboard Hot 100 en 2013.

Les porte-parole du label de Cyrus, Sony Music , et les avocats et porte-parole de Tempo n'ont pas immédiatement répondu à une demande de commentaire sur le procès mardi.

Mars n'est pas partie au procès et les porte-parole de son label, Warner Music Group's Atlantic Records, se sont refusés à tout commentaire. Tempo a déclaré dans la plainte qu'il avait acheté sa part de "When I Was Your Man" au coauteur de la chanson, Philip Lawrence, en 2020.

La plainte accuse également les propriétaires de services de streaming, dont Apple et Amazon , et les détaillants, dont Target et Walmart , d'avoir violé les droits d'auteur de Tempo en distribuant la chanson de Cyrus. Les porte-parole de ces entreprises n'ont pas répondu immédiatement aux demandes de commentaires.

Cyrus a publié "Flowers" sur son album "Endless Summer Vacation" en 2023 "Flowers a été écoutée plus d'un milliard de fois sur Spotify et a remporté le Grammy Award de la chanson de l'année en 2024.

L'action en justice de Tempo indique que "Flowers" présente des "similitudes frappantes" avec "When I Was Your Man", notamment au niveau des mélodies, des lignes de basse, des progressions d'accords et des éléments lyriques. Elle cite également un article de Billboard datant de 2023, selon lequel "n'importe quel auditeur peut détecter que [la chanson de Mars] possède un refrain qui est l'inverse de ce que Cyrus chante sur 'Flowers'"

Tempo a demandé au tribunal un montant non spécifié de dommages-intérêts et une ordonnance bloquant la contrefaçon présumée.