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Coach de trading en chef et conférencier BeingTrader, plus de 8 ans d'expérience dans le trading du marché des changes, principalement XAUUSD, EUR/USD, GBP/USD, USD/JPY et pétrole brut. Un trader et analyste confiant qui vise à explorer diverses opportunités et à guider les investisseurs sur le marché. En tant qu'analyste, je cherche à améliorer l'expérience du trader en le soutenant avec suffisamment de données et de signaux.
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Despite Hong Kong's robust legal and regulatory framework, its stock market still faces unique risks and challenges, such as currency fluctuations due to the Hong Kong dollar's peg to the US dollar and the impact of mainland China's policy changes and economic conditions on Hong Kong stocks.
HK Stock Trading Fees and Taxation
Trading costs in the Hong Kong stock market include transaction fees, stamp duty, settlement charges, and currency conversion fees for foreign investors. Additionally, taxes may apply based on local regulations.
HK Non-Essential Consumer Goods Industry
The Hong Kong stock market encompasses non-essential consumption sectors like automotive, education, tourism, catering, and apparel. Of the 643 listed companies, 35% are mainland Chinese, making up 65% of the total market capitalization. Thus, it's heavily influenced by the Chinese economy.
HK Real Estate Industry
In recent years, the real estate and construction sector's share in the Hong Kong stock index has notably decreased. Nevertheless, as of 2022, it retains around 10% market share, covering real estate development, construction engineering, investment, and property management.
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Les acteurs du marché londonien de l'or se précipitent pour emprunter de l'or aux banques centrales, qui stockent l'or à Londres, à la suite d'une augmentation des livraisons d'or aux États-Unis en raison des spéculations sur d'éventuels droits de douane à l'importation dans ce pays, ont déclaré deux sources familières avec le sujet.
Le temps d'attente minimum pour charger de l'or de la Banque d'Angleterre, qui stocke de l'or pour les banques centrales, a atteint quatre semaines, a déclaré l'une des sources. En temps normal, le délai est de quelques jours ou d'une semaine.
La BoE n'a pas souhaité faire de commentaire lorsqu'elle a été interrogée sur la file d'attente.
Le président américain Donald Trump n'a pas mentionné les métaux précieux dans ses projets de droits de douane, mais le risque a suffi à stimuler les livraisons d'or à New York, une partie du marché cherchant à couvrir ses positions sur la bourse américaine COMEX et l'autre à profiter d'un bond de la prime de prix (link) des contrats à terme COMEX par rapport aux prix au comptant londoniens .
Londres abrite le plus grand centre mondial de négoce d'or de gré à gré, où les acteurs du marché négocient directement entre eux plutôt que par l'intermédiaire d'une bourse.
"La BoE n'est pas une chambre forte commerciale et n'est donc pas préparée à gérer l'avalanche d'emprunts d'or que les banques demandent aux banques centrales", a déclaré Robert Gottlieb, expert du secteur et ancien responsable des métaux précieux chez Koch Supply and Trading.
La taille de ce que l'on appelle le "Loco London free float", c'est-à-dire la quantité d'or facilement disponible pour le marché de gré à gré de Londres et stockée à Londres, a chuté après l'augmentation des livraisons à New York.
Au cours des deux derniers mois, 12,2 millions d'onces troy d'or ont été livrées aux entrepôts agréés par le COMEX (GC-STX-COMEX), augmentant les stocks de 70% à 29,8 millions d'onces, le plus haut niveau depuis août 2022.
Les rapports sur le flux d'or vers New York ont attiré l'attention de la commission du Trésor du parlement britannique, dont l'un des membres a demandé mercredi au gouverneur de la BoE, Andrew Bailey, s'il voyait des risques dans cette évolution.
"Nous ne sommes plus dans l'étalon-or, cela n'a pas d'importance pour la politique dans ce sens", a répondu M. Bailey, faisant référence à un système monétaire disparu dans lequel l'or garantissait la valeur d'une monnaie.
Cependant, Londres reste un marché de l'or important et "si vous voulez participer à ce marché et si vous voulez échanger et utiliser votre or, vous devez vraiment l'avoir à Londres", a ajouté M. Bailey.
Les livraisons aux États-Unis ont laissé moins de métal flottant dans les coffres londoniens, c'est-à-dire le métal qui n'est pas détenu par les banques centrales ou les fonds négociés en bourse adossés physiquement à l'or. Cette situation a stimulé la demande des acteurs londoniens qui sont prêts à louer leur or et à le mettre à la disposition du marché de gré à gré.
Selon Alexander Zumpfe, négociant en métaux précieux chez Heraeus Metals, les problèmes de liquidité dans les autres grands centres d'échanges sont moins prononcés qu'à Londres, mais se font sentir dans le monde entier.
"Les difficultés logistiques liées au transport de grandes quantités d'or, en particulier de l'Europe vers les États-Unis, amplifient ces tensions. L'Asie a également connu des répercussions, en particulier sur des marchés comme Singapour et Hong Kong", a ajouté M. Zumpfe.
La Bourse de New York évoluait en ordre dispersé mercredi, se montrant attentiste avant la fin de la réunion de politique monétaire de la Banque centrale américaine (Fed) et les résultats trimestriels de géants de la "tech".
Vers 15H50 GMT, le Dow Jones prenait 0,14%, l'indice Nasdaq lâchait 0,52% et le S&P 500 perdait 0,25%.
La réunion du comité de politique monétaire de la Fed (FOMC) a débuté mardi à Washington et la décision sera publiée mercredi à 19H00 GMT, avant une conférence de presse du président de l'institution Jerome Powell à 19H30 GMT.
Si la Fed a systématiquement abaissé ses taux lors de des trois dernières réunions, pour un total d'un point de pourcentage, les marchés financiers jugent peu probable qu'une nouvelle baisse intervienne avant mars, au plus tôt, selon l'outil de veille du groupe CME, FedWatch.
Face à une inflation toujours au-delà de la cible de 2%, les taux devraient donc rester inchangés, dans la fourchette de 4,25 à 4,50%.
"Cela ne veut pas dire que ce ne sera pas une réunion très importante", assure auprès de l'AFP Steve Sosnick, d'Interactive Brokers.
Les investisseurs "seront à l'écoute d'indices, non pas sur la décision du jour, mais sur la façon dont la Fed a l'intention d'aborder la trajectoire des réductions de taux pour le reste de l'année", estime l'analyste, ajoutant que "si le marché a besoin de cette clarté, il n'est pas certain que la Fed puisse l'offrir".
Les responsables de la Fed naviguent à vue en attendant que les promesses de campagne de Donald Trump soient - ou non - mises en place et de pouvoir jauger leur incidence sur la vie des Américains.
Si lors de sa conférence de presse Jerome Powell ne devrait pas manquer d'être interrogé sur les récentes déclarations de Donald Trump, sur les droits de douane ou la nécessité d'une baisse de taux, "il est très peu probable" que le président de l'institution "morde à l'hameçon", a anticipé dans une note Patrick O'Hare de Briefing.com.
Selon l'analyste, il faut donc "s'attendre à ce que ce soient les résultats d'entreprises qui jouent le rôle de catalyseurs" de la séance.
Microsoft, Meta et Tesla publieront leurs résultats trimestriels après clôture mercredi, puis Apple jeudi.
Les groupes technologiques américains sont attendus au tournant, après le choc provoqué en début de semaine par l'arrivée du modèle chinois d'IA DeepSeek. Ses capacités ont inquiété le secteur car elles ont été obtenues pour un faible coût, provoquant une chute des groupes américains en Bourse lundi.
Sur le marché obligataire, vers 15H40 GMT, le rendement des emprunts d'État américains à dix ans s'établissait à 4,53%, stable par rapport à la veille.
Ailleurs à la cote, le groupe de médias de Donald Trump, Trump Media & Technology Group, bondissait (+6,39%) après avoir annoncé qu'il allait étendre ses activités aux services financiers, y compris aux cryptomonnaies et aux produits de placement (ETF).
La compagnie aérienne américaine à bas coûts Spirit Airlines, qui a déposé le bilan en novembre, s'envolait de plus de 34% après que sa concurrente Frontier Airlines (+4,63%) a annoncé lui avoir de nouveau proposé une fusion.
Un projet similaire avait été initié en 2022, pour un montant de 2,9 milliards de dollars avant d'être stoppé par une offre de rachat supérieure du groupe JetBlue, ce qui aurait permis de former le cinquième acteur du transport aérien aux Etats-Unis.
Toutefois, en mars de la même année, JetBlue a annoncé qu'elle renonçait à cette acquisition, quelques semaines après une décision de justice défavorable, le ministère américain de la Justice ayant obtenu d'un juge fédéral qu'il bloque l'opération.
L'opérateur T-Mobile grimpait franchement (+8,85%) après avoir annoncé des résultats trimestriels meilleurs qu'attendu, notamment un bénéfice net de 2,98 milliards de dollars pour les trois derniers mois de 2024.
L'opérateur boursier CME a déclaré mercredi qu'il s'était associé à Robinhood Markets pour élargir les options de transactions de contrats à terme disponibles pour les utilisateurs du courtier en ligne.
La Bourse de New York évoluait en ordre dispersé lundi, après une ouverture en forte baisse, les investisseurs remettant en question la domination des géants technologiques américains face à la start-up chinoise DeepSeek, qui a dévoilé la semaine dernière un modèle d'intelligence artificielle (IA) à moindre coût.
Vers 18H10 GMT, l'indice Nasdaq plongeait de 3,45%, l'indice élargi S&P 500 reculait de 1,94%. Le Dow Jones se retournait, prenant 0,11%, après une ouverture en baisse de 0,41%.
La place américaine était prise de court lundi par des informations selon lesquelles l'agent conversationnel de la start-up chinoise DeepSeek serait performant tout en fonctionnant sur des puces à capacité réduite, au risque de bousculer la domination des groupes américains du secteur.
"DeepSeek, qui semble être plus rentable que les alternatives américaines, alimente une ambiance d'aversion au risque", a souligné dans une note Patrick O'Hare, de Briefing.com.
Nvidia, géant américain des semi-conducteurs et première capitalisation mondiale, dévissait de 16,56% à 118,98 dollars, un plongeon entamé dès les tout premiers échanges, avec plus de 500 milliards de dollars de capitalisation envolés.
"Les investisseurs sont déconcertés par cette nouvelle tournure des événements et par (la crainte) que les entreprises américaines spécialisées dans l'IA deviennent moins influentes", a observé auprès de l'AFP Sam Stovall, de CFRA.
Analystes et investisseurs pensaient que l'avance des Etats-Unis dans le secteur des semi-conducteurs, ainsi que leur capacité à limiter l'accès à la Chine à cette technologie, garantirait leur domination en matière d'IA.
Toutefois, DeepSeek, qui vient de détrôner l'outil d'OpenIA, ChatGPT, en termes de téléchargements sur l'App Store (boutique d'applications mobiles d'Apple), a déclaré n'avoir dépensé que 5,6 millions de dollars pour développer son modèle, une somme dérisoire comparée aux milliards investis par les géants américains.
DeepSeek a par ailleurs fait savoir lundi qu'elle subissait une cyberattaque "malveillante à grande échelle" et devait en conséquence limiter temporairement les inscriptions d'utilisateurs.
Elle a précisé que les personnes ayant déjà un compte pourront se connecter comme d'habitude.
Une large partie du secteur des semi-conducteurs était plombée par l'essor de l'outil chinois: Broadcoam plongeait de 18,27%, AMD lâchait 6,37%, Micron décrochait de 12,76% et Marvell Technology glissait de 17,98%.
Les titres du secteur énergétique s'effondraient également à New York, DeepSeek remettant en question les besoins en énergie pour le développement de l'IA. Constellation Energy (-19,36%), Vistra Corp (-28,16%), Talen Energy (-21,88%) et GE Vernova (-21,69%) sombraient.
D'autres géants de la tech, qui ont réalisé d'immenses investissements pour faire leur place dans le secteur de l'IA, étaient aussi en berne, à l'image d'Alphabet (Google) qui lâchait 3,36% ou de Microsoft (-3,37%).
"Les investisseurs essaient de déterminer la manière dont le paysage (...) de l'IA pourrait évoluer, et s'ils doivent réévaluer les valorisations", a commenté M. Stovall. "Ils vont procéder à un examen approfondi de leurs portefeuilles pour vérifier s'ils ne sont pas trop impliqués dans le secteur technologique", a-t-il ajouté.
L'indice VIX - dit "indice de la peur" - qui mesure la nervosité des investisseurs, était en hausse de plus de 26%.
Cet épisode intervient à quelques jours de la publication des résultats de quatre des "Sept Magnifiques", avec Microsoft, Meta et Tesla mercredi, puis Apple jeudi.
Les résultats de cette semaine seront donc suivis de près, a résumé M. Stovall, selon qui le marché portera une attention particulière à Apple qui a "beaucoup été déclassé" par les analystes récemment.
Autre sujet scruté par les investisseurs, la prochaine réunion de la banque centrale américaine (Fed), prévue mardi et mercredi.
La grande majorité des acteurs du marché prévoient un maintien des taux à leur niveau actuel, compris entre 4,25% et 4,50%, selon les données rassemblées par l'outil de veille du groupe CME, FedWatch.
Mais Donald Trump a "exigé" jeudi que les "taux d'intérêt baissent immédiatement" lors d'une allocution en ligne devant un parterre de patrons au Forum économique mondial de Davos, en Suisse.
"Le plus intéressant" lors de la réunion, sera de savoir "ce que le président de la Fed, Jerome Powell, dira en réponse (...) au président Trump et à sa demande de baisse des taux d'intérêt."
Sur le marché obligataire, le rendement des emprunts d'Etat américains à dix ans se détendait nettement, à 4,55% contre 4,62% vendredi en clôture.
La Bourse de New York a ouvert en forte baisse lundi, les investisseurs remettant en question la domination des géants technologiques américains face à la start-up chinoise DeepSeek, qui a dévoilé la semaine dernière un modèle d'intelligence artificielle (IA) à moindre coût.
Vers 16H15 GMT, l'indice Nasdaq chutait de 2,90%, l'indice élargi S&P 500 reculait de 1,72%. Le Dow Jones s'approchait de l'équilibre ne cédant plus que 0,07% après une ouverture en baisse de 0,41%.
La place américaine était prise de court lundi par des informations selon lesquelles l'agent conversationnel de la start-up chinoise DeepSeek serait performant tout en fonctionnant sur des puces à capacité réduite, au risque de bousculer la domination des groupes américains du secteur.
"DeepSeek, qui semble être plus rentable que les alternatives américaines, alimente une ambiance d'aversion au risque", a souligné dans une note Patrick O'Hare, de Briefing.com.
Nvidia, géant américain des semi-conducteurs et première capitalisation mondiale, dévissait de 13,79% à 122,88 dollars, un plongeon entamé dès les tout premiers échanges, avec plus de 400 milliards de dollars de capitalisation envolés.
"Les investisseurs sont déconcertés par cette nouvelle tournure des événements et par (la crainte) que les entreprises américaines spécialisées dans l'IA deviennent moins influentes", a observé auprès de l'AFP Sam Stovall, de CFRA.
Analystes et investisseurs pensaient que l'avance des Etats-Unis dans le secteur des semi-conducteurs, ainsi que leur capacité à limiter l'accès à la Chine à cette technologie, garantirait leur domination en matière d'IA.
Toutefois, DeepSeek a déclaré n'avoir dépensé que 5,6 millions de dollars pour développer son modèle, une somme dérisoire comparée aux milliards investis par les géants américains.
Wall Street craint par ailleurs que le "chatbot" de DeepSeek soit capable de concurrencer le mastodonte ChatGPT de l'américaine OpenAI.
Une large partie du secteur des semi-conducteurs était plombée par ces informations: Broadcoam plongeait de 14,68%, AMD lâchait 5,31%, Micron décrochait de 10,35% et Marvell Technology sombrait de 16,05%.
Les titres du secteur énergétique s'effondraient également à New York, DeepSeek remettant en question les besoins en énergie pour le développement de l'IA. Constellation Energy (-18,60%), Vistra Corp (-26,73%), Talen Energy (-22,01%) et GE Vernova (-19,06%) glissaient franchement.
D'autres géants de la tech, qui ont réalisé d'immenses investissements pour faire leur place dans le secteur de l'IA, étaient aussi en berne, à l'image d'Alphabet (Google) qui lâchait 2,43% ou de Microsoft (-3,32%).
"Les investisseurs essaient de déterminer la manière dont le paysage (...) de l'IA pourrait évoluer, et s'ils doivent réévaluer les valorisations", a commenté M. Stovall. "Ils vont procéder à un examen approfondi de leurs portefeuilles pour vérifier s'ils ne sont pas trop impliqués dans le secteur technologique", a-t-il ajouté.
L'indice VIX - dit "indice de la peur" - qui mesure la nervosité des investisseurs, était en hausse de plus de 24%.
Cet épisode intervient à quelques jours de la publication des résultats de quatre des "Sept Magnifiques", avec Microsoft, Meta et Tesla mercredi, puis Apple jeudi.
Les résultats de cette semaine seront donc suivis de près, a résumé M. Stovall, selon qui le marché portera une attention particulière à Apple qui a "beaucoup été déclassé" par les analystes récemment.
Autre sujet scruté par les investisseurs, la prochaine réunion de la banque centrale américaine (Fed), prévue mardi et mercredi.
La grande majorité des acteurs du marché prévoient un maintien des taux à leur niveau actuel, compris entre 4,25% et 4,50%, selon les données rassemblées par l'outil de veille du groupe CME, FedWatch.
Mais Donald Trump a "exigé" jeudi que les "taux d'intérêt baissent immédiatement" lors d'une allocution en ligne devant un parterre de patrons au Forum économique mondial de Davos, en Suisse.
"Le plus intéressant" lors de la réunion, sera de savoir "ce que le président de la Fed, Jerome Powell, dira en réponse (...) au président Trump et à sa demande de baisse des taux d'intérêt."
Sur le marché obligataire, le rendement des emprunts d'Etat américains à dix ans se détendait nettement, à 4,55% contre 4,62% vendredi en clôture.
La Bourse de New York a terminé dans le vert jeudi, satisfaite de la première vague de résultats trimestriels, l'indice élargi S&P 500 atteignant un nouveau record en clôture.
Le Dow Jones a gagné 0,92% et l'indice Nasdaq, à coloration technologique, a grappillé 0,22%.
L'indice élargi S&P 500 a lui progressé de 0,53% pour culminer à 6.118,71, son record en clôture. Au cours de la journée, il avait aussi établi un nouveau plus haut en séance.
"Moins d'un quart des entreprises de l'indice ont publié leurs résultats mais il est encourageant de constater que jusqu'à présent le message a été celui d'une consommation toujours forte et d'une amélioration des marges", notamment dans le secteur financier, note auprès de l'AFP Angelo Kourkafas, d'Edward Jones.
Parmi les valeurs en hausse, le groupe GE Aerospace, né de la scission début avril du conglomérat General Electric, a bondi (+6,71%), profitant de la publication jeudi de résultats au-dessus des attentes pour le quatrième trimestre 2024, grâce à la maintenance et aux pièces détachées, et de commandes en forte hausse.
D'octobre à décembre, le chiffre d'affaires du groupe a progressé de 14% à 10,81 milliards de dollars. Le bénéfice net a lui bondi de 37% à 2,29 milliards de dollars, là encore dépassant les attentes des analystes.
Les investisseurs restent aussi en positions d'attente "avant deux catalyseurs susceptibles de déterminer la direction du marché la semaine prochaine", estime Angelo Kourkafas.
Quatre des "Sept Magnifiques", le surnom donné aux grands noms du secteur technologique, publieront notamment leurs résultats, mercredi pour Meta, Tesla et Microsoft, et jeudi pour Apple.
De plus, les 28 et 29 janvier prochains, se tiendra une nouvelle réunion de la Banque centrale américaine (Fed).
La grande majorité des acteurs du marché prévoient un maintien des taux à leur niveau actuel, compris entre 4,25% et 4,50%, selon les données rassemblées par l'outil de veille du groupe CME, FedWatch.
Jeudi, Donald Trump a réitéré ses menaces envers les grands partenaires commerciaux de hausses des droits de douane et d'un protectionnisme accru. Il a également appelé l'Arabie Saoudite et l'Opep à réduire les prix du pétrole.
"Les marchés (d'actions) n'ont pas vraiment évolué à la suite de toutes ces déclarations", souligne Angleo Kourkafas. Selon l'analyste, "il y a aussi un certain soulagement que nous n'ayons pas vu d'annonces sur les droits de douane dès le premier jour", qui représentent pour le moment "plus une menace qu'un acte".
Sur le marché obligataire, le rendement des emprunts d'Etat américains à dix ans s'établissait à 4,64% contre 4,61% la veille en clôture.
Ailleurs à la cote, la compagnie aérienne American Airlines a chuté (-8,01%) après avoir publié des résultats supérieurs aux attentes pour le quatrième trimestre 2024, mais les investisseurs ont retenu ses prévisions, jugées décevantes.
Entre octobre et décembre, le groupe a réalisé un chiffre d'affaires de 13,66 milliards de dollars (+4,6% sur un an) et un bénéfice net de 590 millions, contre 19 millions un an plus tôt.
L'éditeur de jeux vidéos Electronic Arts suivait la même tendance (-16,70%), plombé par la réduction de ses perspectives et des ventes en berne pour son titre phare EA SPORTS FC 2025.
Moderna (+10,10%) profite encore de l'engouement suscité par l'attribution de 590 millions de dollars de financements par le ministère de la santé américain (HHS) pour développer des vaccins à ARN messager (ARNm) contre les pandémies de grippe, alors que les craintes autour de la grippe aviaire s'accentuent.
La Bourse de New York a ouvert sans direction claire jeudi, plombée par le recul des valeurs technologiques et par des prises de bénéfices, les investisseurs adoptant aussi une posture attentiste avant la prise de parole de Donald Trump au Forum économique mondial de Davos.
Vers 15H15 GMT, le Dow Jones grappillait 0,25%, l'indice Nasdaq lâchait 0,39% et l'indice élargi S&P 500 était proche de l'équilibre (-0,05%).
L'ouverture mitigée de la place américaine est principalement dû "au manque de nouvelles et à des prises de bénéfices" après le mouvement haussier de la veille, a commenté auprès de l'AFP Christopher Low, de FHN Financial.
Mercredi, le S&P 500 a atteint un nouveau record en séance, à 6.100,81 points.
Les investisseurs vont suivre jeudi avec attention la prise de parole de Donald Trump au Forum économique mondial de Davos (Suisse), à 16H00 GMT, guettant de nouvelles déclarations sur la future politique commerciale des Etats-Unis.
Le républicain a agité en début de semaine la menace d'un relèvement drastique des droits de douane pour le Mexique, le Canada dès février, mais aussi pour l'Union européenne et la Chine.
Son intervention devrait durer 45 minutes et inclut une session de questions-réponses avec des grands patrons.
Le Nasdaq, à forte coloration technologique, était plombé par le recul de certaines valeurs liées à l'intelligence artificielle (IA). Ces dernières ont bondi la veille, portées par l'annonce par Donald Trump d'un nouveau projet d'intelligence artificielle (IA), baptisé "Stargate", comprenant des investissements d'"au moins 500 milliards de dollars" dans des infrastructures d'IA aux Etats-Unis.
Nvidia, géant des semi-conducteurs et première capitalisation mondiale, lâchait ainsi 1,34%. Microsoft évoluait également dans le rouge (-0,65%).
Côté indicateurs, la place américaine a gardé un oeil sur les chiffres hebdomadaire du chômage aux Etats-Unis, qui étaient en hausse par rapport à la semaine précédente, et légèrement au-dessus des attentes du marché.
"Le principal facteur de la nouvelle hausse des premières inscriptions au chômages" a été "les incendies en Californie" qui se sont déclarés le 7 janvier, a observé Samuel Tombs, chef-économiste de Pantheon Macroeconomics.
Les investisseurs ne s'attendent pas à beaucoup de nouvelles macroéconomiques dans les prochains jours.
En outre, "la Banque centrale américaine (Fed) est en période de réserve avant une nouvelle réunion la semaine prochaine (les 28 et 29 janvier, ndlr)", mais "rien n'y est attendu", a noté M. Low.
La grande majorité des acteurs du marché prévoient un maintien des taux à leur niveau actuel, compris entre 4,25% et 4,50%, selon les données rassemblées par l'outil de veille du groupe CME, FedWatch.
L'humeur morose de Wall Street découle aussi de "la hausse des rendements des bons du Trésor", a avancé dans une note Patrick O'Hare, de Briefing.com.
Sur le marché obligataire, le rendement des emprunts d'Etat américains à dix ans s'établissait à 4,64% contre 4,61% la veille en clôture, "ce qui est encore bien inférieur à son taux élevé (4,80%) de la semaine dernière", a souligné M. O'Hare.
Ailleurs, à la cote, la saison des résultats bat encore son plein, avec de nouvelles entreprises ayant publié leurs résultats avant l'ouverture.
La compagnie aérienne American Airlines chutait (-8,87%) après avoir publié des résultats supérieurs aux attentes pour le quatrième trimestre 2024, mais les investisseurs ont retenu ses prévisions, jugées décevantes.
Entre octobre et décembre, le groupe a réalisé un chiffre d'affaires de 13,66 milliards de dollars (+4,6% sur un an) et un bénéfice net de 590 millions, contre 19 millions un an plus tôt.
Mais la compagnie a annoncé jeudi s'attendre à une perte nette proforma comprise entre 20 et 40 cents par action au premier trimestre 2025, soit plus qu'attendu par les analystes.
Le groupe GE Aerospace, né de la scission début avril du conglomérat General Electric, bondissait (+8,46%), profitant de la publication jeudi de résultats au-dessus des attentes pour le quatrième trimestre 2024, grâce à la maintenance et aux pièces détachées, et de commandes en forte hausse.
D'octobre à décembre, le chiffre d'affaires du groupe a progressé de 14% à 10,81 milliards de dollars. Le bénéfice net a lui bondi de 37% à 2,29 milliards de dollars, là encore dépassant les attentes des analystes.
La compagnie à bas coûts Alaska Airlines était recherchée (+4,95%) après avoir revu à la hausse ses prévisions pour le premier trimestre de 2025, et avoir globalement dépassé les attentes pour le quatrième trimestre de 2024.
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