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Coach de trading en chef et conférencier BeingTrader, plus de 8 ans d'expérience dans le trading du marché des changes, principalement XAUUSD, EUR/USD, GBP/USD, USD/JPY et pétrole brut. Un trader et analyste confiant qui vise à explorer diverses opportunités et à guider les investisseurs sur le marché. En tant qu'analyste, je cherche à améliorer l'expérience du trader en le soutenant avec suffisamment de données et de signaux.
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HK Non-Essential Consumer Goods Industry
The Hong Kong stock market encompasses non-essential consumption sectors like automotive, education, tourism, catering, and apparel. Of the 643 listed companies, 35% are mainland Chinese, making up 65% of the total market capitalization. Thus, it's heavily influenced by the Chinese economy.
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Frénésie autour de l'intelligence artificielle d'un côté, droits de douane américains de l'autre: le Salon mondial du mobile (MWC) a ouvert lundi à Barcelone dans un contexte d'incertitude généralisée pour le secteur de la "tech", qui cherche des réponses face aux risques de guerre commerciale.
Selon les organisateurs, quelque 100.000 professionnels vont participer durant quatre jours à cette grand-messe annuelle l'industrie des smartphones et des services connectés, qui débute la veille de l'entrée en vigueur des nouveaux droits de douane américains sur les produits chinois.
Lundi à l'aube, une foule dense se pressait déjà entre les stands et les écrans lumineux du salon pour venir decouvrir les derniers modèles et innovations présentés par les fabricants ou pour participer aux débats sur l'avenir de la filière, frappée par les hausses de droits de douane décidées par Donald Trump.
Déjà relevées de 10% depuis l'entrée en fonction du président américain, ces taxes à l'importation doivent être à nouveau augmentées de 10% mardi. Le président américain a par ailleurs incité le Mexique et le Canada à appliquer des droits de douane similaires sur les produits chinois.
Ces mesures tarifaires - que Trump menace d'étendre à d'autres partenaires, dont l'Union européenne - pourraient avoir des conséquences sur l'ensemble du marché de la tech et des smartphones, certains composants tels que les semi-conducteurs étant en grande partie importés de Chine.
Jusqu'où ira cette guerre commerciale et quel sera son impact sur la tech et sur les télécoms? "Une guerre commerciale ne serait dans l'intérêt de personne" mais "personne ne sait vraiment ce qu'il va se passer", a jugé le PDG de l'équipementier finlandais Nokia, Pekka Lundmark, lors d'un événement en amont du salon dimanche.
"Il y a une incertitude persistante" qui inquiète aussi bien "l'Europe" que "les entreprises chinoises", abonde auprès de l'AFP Ben Wood, directeur de la recherche de CCS Insight, pour qui "la situation géopolitique sera un sujet brûlant" de cette 19e édition du MWC.
- De l'IA "très concrète" -La question des droits de douanes constitue un "défi" mais les participants "vont essayer d'oublier" ce sujet pour se concentrer sur l'IA et ses promesses, estime pour sa part Cédric Foray, responsable du secteur des télécoms chez EY, qui fait part de son "optimisme" pour la filière.
Présentes en force au MWC aux côtés d'autres poids lourds mondiaux des télécoms, les marques chinoises ont, de fait, concentré leurs présentations organisées en amont du salon sur les nouveautés de l'année et leurs annonces d'investissement.
Le fabricant de smartphones Honor a ainsi annoncé entrer dans une nouvelle phase de son développement avec une stratégie axée sur l'IA, baptisée "Honor Alpha Plan", en détaillant un partenariat avec deux géants américains, Google cloud et Qualcomm.
Le géant Xiaomi, troisième fabricant mondial derrière Apple et Samsung, a lui dévoilé une nouvelle gamme de smartphones, Xiaomi 15, représentative du développement croissant sur le marché de modèles premium et de l'intégration massive d'outils d'IA.
Depuis l'arrivée de ChatGPT et le développement de l'intelligence artificielle générative, cette technologie s'est largement invitée chez les fabricants et sera cette année à nouveau au coeur des innovations mises en avant pendant le MWC.
"L'IA était déjà présente l'année dernière. Mais la grande différence est que cette année elle sera très concrète", souligne Cédric Foray, qui s'attend à de nombreuses annonces concernant les réseaux de télécommunications, mais aussi les terminaux.
Un défi pour les entreprises de la tech et des télécommunications, lancées dans un course à l'innovation pour mettre au point des usages concrets de l'IA, comme des "agents" capables d'exécuter des tâches du quotidien, afin de doper leurs ventes.
Après deux années compliquées, le secteur des smartphones a renoué l'an dernier avec la croissance: selon le cabinet spécialisé IDC, 1,24 milliard d'appareils ont ainsi été vendus dans le monde l'an dernier, soit 6,3% de plus qu'en 2023.
Et les fabricants restent optimistes pour 2025, dans l'attente de précisions sur les droits de douane américains.
"La forte croissance de 2024 prouve la résilience du marché des smartphones car elle s'est produite malgré des défis macroéconomiques persistants", souligne Nabila Popal, directrice de la recherche chez IDC, qui insiste sur le dynamisme du secteur dans les pays émergents.
Frénésie autour de l'intelligence artificielle (IA) d'un côté, droits de douane américains de l'autre: le Salon mondial du mobile (MWC) ouvre lundi à Barcelone pour une édition marquée par les vives tensions commerciales générées par la politique de Donald Trump.
La grand-messe de l'industrie des smartphones et des services connectés, où vont se presser quelque 100.000 professionnels, débute à la veille de l'entrée en vigueur des nouveaux droits de douane américains sur les produits chinois, présents comme chaque année dans les allées du Salon.
Déjà relevées de 10% depuis l'entrée en fonction de Donald Trump, ces taxes à l'importation doivent être à nouveau augmentées de 10% mardi. Le président américain a par ailleurs incité le Mexique et le Canada à appliquer des droits de douane similaires sur les produits chinois.
Ces mesures tarifaires - que Trump menace d'étendre à d'autres partenaires, dont l'Union européenne - pourraient avoir des conséquences sur l'ensemble du marché de la tech et des smartphones, certains composants tels que les semi-conducteurs étant en grande partie importés de Chine.
"Personne ne sait vraiment ce qu'il va se passer", a commenté le PDG de l'équipementier finlandais Nokia, Pekka Lundmark, lors d'un événement en amont du salon dimanche.
"Évidemment, une guerre commerciale ne serait dans l'intérêt de personne", a-t-il complété, ajoutant que son groupe travaillait à partir de "différents scénarios" pour s'adapter aux changements de politique commerciale américaine.
Selon Ben Wood, directeur de la recherche de CCS Insight, "la situation géopolitique sera un sujet brûlant" de cette édition. "Il y a une incertitude persistante" qui inquiète aussi bien "l'Europe" que "les entreprises chinoises", insiste-t-il auprès de l'AFP.
- "L'IA sera omniprésente" -Présentes en force au MWC aux côtés d'autres poids lourds mondiaux des télécoms, les marques chinoises ont concentré dimanche leurs présentations, organisées en amont du salon, sur les nouveautés de l'année et les annonces d'investissement.
Le fabricant de smartphones Honor a ainsi annoncé entrer dans une nouvelle phase de son développement avec une stratégie axée sur l'IA, baptisée "Honor Alpha Plan", en détaillant un partenariat avec deux géants américain, Google cloud et Qualcomm.
La marque, qui travaille au développement d'un smartphone "intelligent", a présenté devant la presse un nouvel outil d'IA destiné à être intégré à ses produits.
Le géant Xiaomi, troisième fabricant mondial derrière Apple et Samsung, a lui dévoilé une nouvelle gamme de smartphones, Xiaomi 15, représentative du développement croissant sur le marché de modèles premium et de l'intégration massive d'outils d'IA.
Depuis l'arrivée de ChatGPT et le développement de l'intelligence artificielle générative, cette technologie s'est largement invitée chez les fabricants et sera cette année à nouveau au coeur des innovations mises en avant pendant les quatre jours du MWC.
"L'IA sera omniprésente" mais les observateurs "ressentent une fatigue croissante" sur ce sujet, juge toutefois Ben Wood, qui pointe la difficulté à repérer des innovations "révolutionnaires" en la matière.
Si l'IA est devenue "la pierre angulaire de la plupart des annonces de produits", "il est souvent difficile d'appréhender les avantages tangibles" pour les consommateurs, insiste-t-il.
Un défi pour les entreprises de la tech et des télécommunications qui cherchent à présenter des usages concrets de l'IA, avec notamment des "agents" capables d'exécuter des tâches du quotidien, pour doper leurs ventes.
Signe que cette politique porte ses fruits: le secteur des smartphones, dont les ventes avaient reculé pendant deux années consécutives, a renoué l'an dernier avec la croissance.
Selon le cabinet spécialisé IDC, 1,24 milliard d'appareils ont été vendus dans le monde l'an dernier, soit 6,3% de plus qu'en 2023. Et les fabricants restent optimistes pour 2025.
"La forte croissance de 2024 prouve la résilience du marché des smartphones car elle s'est produite malgré des défis macroéconomiques persistants", souligne Nabila Popal, directrice de la recherche chez IDC, qui insiste sur le dynamisme du secteur dans les pays émergents.
Frénésie autour de l'intelligence artificielle (IA) d'un côté, droits de douane américains de l'autre: le Salon mondial du mobile (MWC) ouvre lundi à Barcelone pour une édition marquée par les vives tensions commerciales générées par la politique de Donald Trump.
La grand-messe de l'industrie des smartphones et des services connectés, où vont se presser quelque 100.000 professionnels, débute à la veille de l'entrée en vigueur des nouveaux droits de douane américains sur les produits chinois, présents comme chaque année dans les allées du Salon.
Déjà relevées de 10% depuis l'entrée en fonction de Donald Trump, ces taxes à l'importation doivent être à nouveau augmentées de 10% mardi. Le président américain a par ailleurs incité le Mexique et le Canada à appliquer des droits de douane similaires sur les produits chinois.
Ces mesures tarifaires - que Trump menace d'étendre à d'autres partenaires, dont l'Union européenne - pourraient avoir des conséquences sur l'ensemble du marché de la tech et des smartphones, certains composants tels que les semi-conducteurs étant en grande partie importés de Chine.
"Personne ne sait vraiment ce qu'il va se passer", a commenté le PDG de l'équipementier finlandais Nokia, Pekka Lundmark, lors d'un événement en amont du salon dimanche.
"Évidemment, une guerre commerciale ne serait dans l'intérêt de personne", a-t-il complété, ajoutant que son groupe travaillait à partir de "différents scénarios" pour s'adapter aux changements de politique commerciale américaine.
Selon Ben Wood, directeur de la recherche de CCS Insight, "la situation géopolitique sera un sujet brûlant" de cette édition. "Il y a une incertitude persistante" qui inquiète aussi bien "l'Europe" que "les entreprises chinoises", insiste-t-il auprès de l'AFP.
- "L'IA sera omniprésente" -Présentes en force au MWC aux côtés d'autres poids lourds mondiaux des télécoms, les marques chinoises ont concentré dimanche leurs présentations, organisées en amont du salon, sur les nouveautés de l'année et les annonces d'investissement.
Le fabricant de smartphones Honor a ainsi annoncé entrer dans une nouvelle phase de son développement avec une stratégie axée sur l'IA, baptisée "Honor Alpha Plan", en détaillant un partenariat avec deux géants américain, Google cloud et Qualcomm.
La marque, qui travaille au développement d'un smartphone "intelligent", a présenté devant la presse un nouvel outil d'IA destiné à être intégré à ses produits.
Le géant Xiaomi, troisième fabricant mondial derrière Apple et Samsung, a lui dévoilé une nouvelle gamme de smartphones, Xiaomi 15, représentative du développement croissant sur le marché de modèles premium et de l'intégration massive d'outils d'IA.
Depuis l'arrivée de ChatGPT et le développement de l'intelligence artificielle générative, cette technologie s'est largement invitée chez les fabricants et sera cette année à nouveau au coeur des innovations mises en avant pendant les quatre jours du MWC.
"L'IA sera omniprésente" mais les observateurs "ressentent une fatigue croissante" sur ce sujet, juge toutefois Ben Wood, qui pointe la difficulté à repérer des innovations "révolutionnaires" en la matière.
Si l'IA est devenue "la pierre angulaire de la plupart des annonces de produits", "il est souvent difficile d'appréhender les avantages tangibles" pour les consommateurs, insiste-t-il.
Un défi pour les entreprises de la tech et des télécommunications qui cherchent à présenter des usages concrets de l'IA, avec notamment des "agents" capables d'exécuter des tâches du quotidien, pour doper leurs ventes.
Signe que cette politique porte ses fruits: le secteur des smartphones, dont les ventes avaient reculé pendant deux années consécutives, a renoué l'an dernier avec la croissance.
Selon le cabinet spécialisé IDC, 1,24 milliard d'appareils ont été vendus dans le monde l'an dernier, soit 6,3% de plus qu'en 2023. Et les fabricants restent optimistes pour 2025.
"La forte croissance de 2024 prouve la résilience du marché des smartphones car elle s'est produite malgré des défis macroéconomiques persistants", souligne Nabila Popal, directrice de la recherche chez IDC, qui insiste sur le dynamisme du secteur dans les pays émergents.
Wall Street a grimpé dans un marché agité vendredi, avec Broadcom en baisse et d'autres valeurs technologiques en hausse après une réunion entre le président américain Donald Trump et son homologue ukrainien Volodimir Zelensky qui s'est terminée en désastre.
M. Zelensky et M. Trump se sont échangé des coups verbaux (link) à la Maison Blanche, devant les médias du monde entier, au sujet de la guerre entre l'Ukraine et la Russie. Cela a ajouté une nouvelle incertitude pour les investisseurs déjà inquiets de l'inflation américaine et de la tiédeur de l'économie.
Les actions américaines ont baissé immédiatement après l'affrontement, puis se sont redressées et ont progressé.
M. Zelensky a quitté la Maison-Blanche sans avoir signé un accord très attendu entre l'Ukraine et les États-Unis sur le développement conjoint des ressources naturelles.
"Les nouvelles, si vous les avez regardées en direct, étaient plutôt inquiétantes. Les esprits se sont échauffés, et Zelensky est considéré comme un allié des États-Unis", a déclaré Adam Sarhan, directeur général de 50 Park Investments. "C'est la raison pour laquelle le marché s'est effondré, mais les esprits se sont calmés. Soit Zelensky va conclure un accord, soit il ne le fera pas"
Le fabricant de puces Broadcom était en baisse de 1,1 %, ce qui a pesé sur le S&P 500, tandis que Nvidia >, Apple et Tesla ont progressé.
Le S&P 500 était en hausse de 0,38% à 5 883,68 points.
Le Nasdaq a gagné 0,29% à 18 598,86 points, tandis que le Dow Jones Industrial Average était en hausse de 0,38% à 43 403,08 points.
Sur les 11 indices sectoriels du S&P 500, 11 ont progressé, menés par les financières , en hausse de 0,94%, suivies d'un gain de 0,84% pour l'énergie .
Plus tôt, un rapport du Département du Commerce (link) a montré que l'inflation a augmenté conformément aux attentes au cours du mois précédent. Cependant, les dépenses de consommation, qui représentent plus des deux tiers de l'économie, ont chuté de 0,2 % après une augmentation révisée à la hausse de 0,8 % en décembre. Cela pourrait compliquer les délibérations de la Réserve fédérale sur la politique monétaire.
"Les dépenses ont été inférieures à ce que nous attendions... je l'attribue en grande partie à un refroidissement de l'économie, ce qui pose un dilemme à la Fed dans la mesure où il y a toujours de l'inflation et que l'économie est en train de ralentir. Si vous les ajoutez l'un à l'autre, cela équivaut à la stagflation", a déclaré Peter Cardillo, économiste de marché en chef chez Spartan Capital Securities.
Le rapport de vendredi est important pour les investisseurs qui tentent d'évaluer la prochaine action de la banque centrale après que les décideurs politiques ont réitéré leur position hawkish. Les investisseurs craignent que les politiques de Trump , en particulier les restrictions commerciales, n'exacerbent l' inflation américaine.
"Les discussions sur les tarifs douaniers ont certainement un effet négatif sur le marché boursier, et cela va probablement freiner les avancées du marché boursier jusqu'à ce qu'il y ait plus de clarté à ce sujet", a déclaré Sam Stovall, stratège en chef des investissements chez CFRA Research.
Selon les données compilées par LSEG, les opérateurs prévoient que la Fed abaissera les coûts d'emprunt à deux reprises d'ici décembre, ce qui représente un changement minime par rapport à ce qui était prévu avant la publication du rapport. Les investisseurs évalueront les commentaires du président de la Fed de Chicago, Austan Goolsbee, plus tard dans la journée.
L'indice de volatilité CBOE , également connu sous le nom de jauge de la peur à Wall Street, a atteint son plus haut niveau en un mois et était en dernière position à 21,26 points.
Les signes d'une tiédeur de l'économie et les craintes que Microsoft et d'autres poids lourds de la technologie ne dépensent trop pour des infrastructures d'intelligence artificielle ont mis les principaux indices de Wall Street sur la voie d'une baisse mensuelle.
Le S&P 500 est en passe de connaître sa plus forte baisse mensuelle depuis avril 2024. Le Nasdaq , à forte composante technologique, est en baisse d'environ 8 % par rapport à son record de clôture de décembre dernier et se dirige vers sa plus forte chute en un mois depuis septembre 2023.
Dell a perdu 6,1%après que le fabricant de PC ait prévu une baisse (link) de son taux de marge brute ajustée pour l'exercice 2026.
Son homologue HP Inc a chuté de 8,9% après que ses prévisions de bénéfices trimestriels (link) aient manqué les attentes.
La Bourse de New York a ouvert en ordre dispersé vendredi, les investisseurs accueillant avec soulagement un indicateur d'inflation clé conforme aux attentes, tandis que le secteur de la "tech" restait quelque peu à la peine.
Vers 15H00 GMT, l'indice Dow Jones prenait 0,50%, le Nasdaq reculait de 0,10% et l'indice élargi S&P 500 prenait 0,25%.
La place américaine accueillait vendredi la publication de l'indice des prix PCE, privilégié par la banque centrale américaine (Fed), qui a été plutôt "neutre" et qui n'a pas réservé de "surprises", selon Sam Stovall, de CFRA.
L'inflation a ralenti en janvier aux États-Unis, à +2,5% sur un an contre 2,6% un mois plus tôt, dans la lignée des attentes et après plusieurs accélérations consécutives.
Sur un mois, la hausse des prix est restée inchangée, à +0,3%, selon cet indice publié par le ministère du Commerce.
Ce ralentissement - sur un an et sur un mois - était attendu par les analystes, d'après le consensus publié par MarketWatch.com.
Sur le marché obligataire, le rendement des emprunts d'Etat américains à dix ans s'est détendu, à 4,23% contre 4,26% la veille en clôture.
"Les investisseurs poussent un soupir de soulagement parce qu'ils ne voulaient pas finir la semaine sur une mauvaise nouvelle, après en avoir absorbé un certain nombre", commente auprès de l'AFP M. Stovall.
Le marché a connu une semaine riche en rebondissements, au rythme des revirements sur les droits de douane de l'administration Trump.
Le président américain a annoncé jeudi soir que les États-Unis imposeraient des droits de douane supplémentaires de 10% sur les produits chinois à compter du 4 mars.
M. Trump a également assuré que des taxes de 25% visant le Canada et le Mexique entreraient en vigueur le même jour.
"Wall Street a conclu que les discussions sur les taxes douanières relevaient plus de la rhétorique que de la réalité", explique M. Stovall. "Et si elles sont adoptées, elles le seront probablement pour des périodes à très court terme", anticipe l'analyste.
En revanche, "ce que nous ne savons pas, c'est le type de mesures commerciales réciproques qui seront mises en place par d'autres pays", ajoute-t-il.
Côté entreprises, une partie de la "tech" américaine continuait d'évoluer dans le rouge après la lourde chute de l'indice Nasdaq - à forte coloration technologique - la veille.
Après avoir perdu plus de 8% jeudi en clôture, miné par des résultats au-dessus des attentes mais qui ont laissé les investisseurs sur leur faim, Nvidia lâchait 1,34% vendredi.
Le groupe de Santa Clara (Californie) a dégagé un bénéfice net de 22,1 milliards de dollars, pour les trois mois allant de novembre à janvier, en hausse de 80%. Il s'est aussi montré encourageant quant à la demande de semi-conducteurs.
"Les investisseurs espéraient un succès beaucoup plus important, qui ne s'est pas concrétisé", estime M. Stovall.
Le secteur des semiconducteurs évoluait en ordre dispersé, à l'instar de Broadcom (-1,07%), Qualcomm (+0,60%), AMD (+0,55%), ou Micron (-0,27%).
Le fabricant d'ordinateurs et serveurs Dell plongeait de 5,70%, après avoir publié des résultats mitigés. Son concurrent HP (-6,64%) a également été boudé après performances jugées décevantes.
Microsoft lâchait 0,55% après avoir annoncé qu'elle allait fermer, en mai, la plateforme Skype, pionnière des appels par internet au début des années 2000, aujourd'hui dépassée par la généralisation de cette technologie et l'émergence d'autres services tels Zoom, selon un message posté sur X (ex-Twitter).
Fondée par des entrepreneurs scandinaves, Skype avait été racheté en 2011 par le géant américain des logiciels pour 8,5 milliards de dollars.
De Google à Target, de nombreuses grandes entreprises américaines ont abandonné ou envisagé de modifier leurs politiques de diversité, d'équité et d'inclusion (DEI) à la suite du décret du président Donald Trump (link) visant à réduire ces programmes au niveau fédéral et privé.
Même avant l'entrée en fonction de M. Trump, les grandes entreprises subissaient une pression croissante de la part des groupes conservateurs (link) pour réduire ou modifier leurs politiques d'IED visant à stimuler la représentation raciale et ethnique sur le lieu de travail.
Voici quelques-unes des entreprises qui ont déjà supprimé leurs politiques d'intégration des minorités ethniques ou qui subissent des pressions pour modifier la formulation de ces programmes sur leurs sites web et dans leurs documents réglementaires:
Investissements et promesses d'innovations à tout-va: le Salon mondial du mobile (MWC) fait son retour lundi à Barcelone dans un contexte d'euphorie mais aussi de tensions autour de l'intelligence artificielle (IA), dont l'essor chamboule le secteur de la "tech".
Durant quatre jours, quelque 100.000 professionnels vont arpenter les allées de cette grand-messe annuelle du smartphone et des services connectés, selon l'Association mondiale des opérateurs télécoms (GSMA), qui organise l'événement depuis 2006 dans la capitale catalane.
D'après le GSMA, 2.700 exposants ont prévu cette année de faire le déplacement, aux côtés de 1.200 intervenants - que le public pourra écouter, dans certains cas, via une traduction simultanée réalisée grâce à l'IA, en espagnol, en français, en coréen ou en chinois.
La plupart des poids lourds des télécoms seront présents, à l'image de Samsung, Huawei, Nokia, Orange et Xiaomi. Les grands noms de la tech (Google, Amazon, Meta, Microsoft...) seront aussi de la partie, le MWC ayant élargi ces dernières années son audience au-delà de la téléphonie.
Parmi les intervenants annoncés figurent le cofondateur d'Apple Steve Wozniak, l'ex-ingénieur de Google et futurologue Ray Kurzweil, la vice-présidente de la Commission européenne Teresa Ribera et l'informaticien allemand Jürgen Schmidhuber, considéré comme un des pères de l'IA moderne.
Cette 19e édition survient alors que le marché mondial des smartphones, en perte de vitesse depuis quelques années, est sorti de l'ornière en 2024, grâce à une politique commerciale dynamique portée par le lancement de nouveaux produits, notamment de la part des fabricants chinois.
Selon le cabinet spécialisé IDC, 1,24 milliard d'appareils ont été vendus dans le monde l'an dernier, soit 6,3% de plus qu'en 2023. Et les fabricants restent optimistes pour 2025, en dépit des risques liés à la hausse des tarifs douaniers engagée par le président américain Donald Trump.
"La forte croissance de 2024 prouve la résilience du marché des smartphones car elle s'est produite malgré des défis macroéconomiques persistants", souligne Nabila Popal, directrice de la recherche chez IDC, qui insiste sur le dynamisme du secteur dans les pays émergents.
- "De l'IA partout" -Tables rondes, lancement de nouveaux produits... Cette année, "il y aura de l'IA partout", pronostique Thomas Husson, vice-président du cabinet Forrester, qui rappelle que les télécoms jouent un rôle-clé dans l'essor de cette technologie, du fait de leur place centrale dans l'écosystème numérique.
Plusieurs fabricants et opérateurs ont déjà promis des annonces lors du salon, à l'image du chinois Honor, qui dévoilera un outil de détection des "deepfakes" (contenus modifiés grâce à l'IA, NDLR) ou de l'espagnol Telefonica, qui présentera des applications liées à la santé.
"L'IA sera omniprésente" mais les observateurs "ressentent une fatigue croissante" sur ce sujet, prévient toutefois Ben Wood, directeur de la recherche de CCS Insight, qui pointe auprès de l'AFP la difficulté à repérer des innovations "révolutionnaires" en la matière.
Depuis l'émergence de ChatGPT fin 2022, l'IA est devenue "la pierre angulaire de la plupart des annonces de produits" mais "il est souvent difficile d'appréhender les avantages tangibles" pour les consommateurs, insiste-t-il.
Au-delà des questions d'innovation, le salon sera l'occasion pour les industriels de remettre sur la table la question du financement des réseaux face à l'explosion du trafic de données et de discuter des tensions commerciales relancées par l'arrivée au pouvoir de Donald Trump.
"Il y a une incertitude persistante concernant les droits de douanes et les sanctions américaines" qui inquiètent aussi bien "l'Europe" que "les entreprises chinoises", explique Ben Wood, pour qui "la situation géopolitique sera un sujet brûlant" de cette édition.
Un sujet d'autant plus brûlant que ces tensions se sont étendues ces dernières semaines... au terrain de l'intelligence artificielle, avec l'irruption du robot conversationnel du chinois DeepSeek, qui a stupéfié la Silicon Valley et rebattu les cartes de la course à l'IA.
Ce lancement "a démontré qu'avec très peu de ressources, on pouvait créer quelque chose de très puissant. Cela donne de l'espoir, notamment pour l'Europe", a jugé dans un entretien accordé au quotidien El Pais le directeur général du GSMA, Mats Granryd.
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