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J'ai 5 ans d'expérience en analyse financière, notamment dans les aspects d'évolution macroéconomique et de jugement de tendances à moyen et long terme. Je me concentre principalement sur l'évolution du Moyen-Orient, des marchés émergents, du charbon, du blé et d'autres produits agricoles.
Coach de trading en chef et conférencier BeingTrader, plus de 8 ans d'expérience dans le trading du marché des changes, principalement XAUUSD, EUR/USD, GBP/USD, USD/JPY et pétrole brut. Un trader et analyste confiant qui vise à explorer diverses opportunités et à guider les investisseurs sur le marché. En tant qu'analyste, je cherche à améliorer l'expérience du trader en le soutenant avec suffisamment de données et de signaux.
Dernière mise à jour
Risk Warning on Trading HK Stocks
Despite Hong Kong's robust legal and regulatory framework, its stock market still faces unique risks and challenges, such as currency fluctuations due to the Hong Kong dollar's peg to the US dollar and the impact of mainland China's policy changes and economic conditions on Hong Kong stocks.
HK Stock Trading Fees and Taxation
Trading costs in the Hong Kong stock market include transaction fees, stamp duty, settlement charges, and currency conversion fees for foreign investors. Additionally, taxes may apply based on local regulations.
HK Non-Essential Consumer Goods Industry
The Hong Kong stock market encompasses non-essential consumption sectors like automotive, education, tourism, catering, and apparel. Of the 643 listed companies, 35% are mainland Chinese, making up 65% of the total market capitalization. Thus, it's heavily influenced by the Chinese economy.
HK Real Estate Industry
In recent years, the real estate and construction sector's share in the Hong Kong stock index has notably decreased. Nevertheless, as of 2022, it retains around 10% market share, covering real estate development, construction engineering, investment, and property management.
Hong Kong, Chine
Ho Chi Minh, Vietnam
Dubaï, Émirats arabes unis
Lagos, Nigeria
Le Caire, Égypte
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Investissements et promesses d'innovations à tout-va: le Salon mondial du mobile (MWC) fait son retour lundi à Barcelone dans un contexte d'euphorie mais aussi de tensions autour de l'intelligence artificielle (IA), dont l'essor chamboule le secteur de la "tech".
Durant quatre jours, quelque 100.000 professionnels vont arpenter les allées de cette grand-messe annuelle du smartphone et des services connectés, selon l'Association mondiale des opérateurs télécoms (GSMA), qui organise l'événement depuis 2006 dans la capitale catalane.
D'après le GSMA, 2.700 exposants ont prévu cette année de faire le déplacement, aux côtés de 1.200 intervenants - que le public pourra écouter, dans certains cas, via une traduction simultanée réalisée grâce à l'IA, en espagnol, en français, en coréen ou en chinois.
La plupart des poids lourds des télécoms seront présents, à l'image de Samsung, Huawei, Nokia, Orange et Xiaomi. Les grands noms de la tech (Google, Amazon, Meta, Microsoft...) seront aussi de la partie, le MWC ayant élargi ces dernières années son audience au-delà de la téléphonie.
Parmi les intervenants annoncés figurent le cofondateur d'Apple Steve Wozniak, l'ex-ingénieur de Google et futurologue Ray Kurzweil, la vice-présidente de la Commission européenne Teresa Ribera et l'informaticien allemand Jürgen Schmidhuber, considéré comme un des pères de l'IA moderne.
Cette 19e édition survient alors que le marché mondial des smartphones, en perte de vitesse depuis quelques années, est sorti de l'ornière en 2024, grâce à une politique commerciale dynamique portée par le lancement de nouveaux produits, notamment de la part des fabricants chinois.
Selon le cabinet spécialisé IDC, 1,24 milliard d'appareils ont été vendus dans le monde l'an dernier, soit 6,3% de plus qu'en 2023. Et les fabricants restent optimistes pour 2025, en dépit des risques liés à la hausse des tarifs douaniers engagée par le président américain Donald Trump.
"La forte croissance de 2024 prouve la résilience du marché des smartphones car elle s'est produite malgré des défis macroéconomiques persistants", souligne Nabila Popal, directrice de la recherche chez IDC, qui insiste sur le dynamisme du secteur dans les pays émergents.
- "De l'IA partout" -Tables rondes, lancement de nouveaux produits... Cette année, "il y aura de l'IA partout", pronostique Thomas Husson, vice-président du cabinet Forrester, qui rappelle que les télécoms jouent un rôle-clé dans l'essor de cette technologie, du fait de leur place centrale dans l'écosystème numérique.
Plusieurs fabricants et opérateurs ont déjà promis des annonces lors du salon, à l'image du chinois Honor, qui dévoilera un outil de détection des "deepfakes" (contenus modifiés grâce à l'IA, NDLR) ou de l'espagnol Telefonica, qui présentera des applications liées à la santé.
"L'IA sera omniprésente" mais les observateurs "ressentent une fatigue croissante" sur ce sujet, prévient toutefois Ben Wood, directeur de la recherche de CCS Insight, qui pointe auprès de l'AFP la difficulté à repérer des innovations "révolutionnaires" en la matière.
Depuis l'émergence de ChatGPT fin 2022, l'IA est devenue "la pierre angulaire de la plupart des annonces de produits" mais "il est souvent difficile d'appréhender les avantages tangibles" pour les consommateurs, insiste-t-il.
Au-delà des questions d'innovation, le salon sera l'occasion pour les industriels de remettre sur la table la question du financement des réseaux face à l'explosion du trafic de données et de discuter des tensions commerciales relancées par l'arrivée au pouvoir de Donald Trump.
"Il y a une incertitude persistante concernant les droits de douanes et les sanctions américaines" qui inquiètent aussi bien "l'Europe" que "les entreprises chinoises", explique Ben Wood, pour qui "la situation géopolitique sera un sujet brûlant" de cette édition.
Un sujet d'autant plus brûlant que ces tensions se sont étendues ces dernières semaines... au terrain de l'intelligence artificielle, avec l'irruption du robot conversationnel du chinois DeepSeek, qui a stupéfié la Silicon Valley et rebattu les cartes de la course à l'IA.
Ce lancement "a démontré qu'avec très peu de ressources, on pouvait créer quelque chose de très puissant. Cela donne de l'espoir, notamment pour l'Europe", a jugé dans un entretien accordé au quotidien El Pais le directeur général du GSMA, Mats Granryd.
La Bourse de New York a terminé en forte baisse jeudi, les résultats du géant Nvidia laissant les investisseurs sur leur faim, alors que les incertitudes sur la politique commerciale américaine continuent de miner le marché.
Le Dow Jones a perdu 0,45%, l'indice Nasdaq a plongé de 2,78% et l'indice élargi S&P 500 a reculé de 1,59%.
La deuxième capitalisation boursière mondiale Nvidia a lâché 8,48% et a perdu plus de 250 milliards de capitalisation boursière au lendemain de la publication de ses résultats, tirant le Nasdaq vers le bas.
"Les résultats de Nvidia étaient très attendus hier (...) et ils étaient solides", a commenté auprès de l'AFP Victoria Fernandez, de Crossmark Global Investments.
"Mais ce n'était pas un rapport +fantastique+, les investisseurs ont peut-être placé leurs attentes un peu trop haut", selon l'analyste.
Le groupe de Santa Clara (Californie) a dégagé un bénéfice net de 22,1 milliards de dollars, pour les trois mois allant de novembre à janvier, en hausse de 80%. Il s'est aussi montré encourageant quant à la demande de semi-conducteurs.
Mais Wall Street s'inquiète ces dernières semaines des perspectives de croissance des secteurs liés au développement de l'intelligence artificielle (IA).
Ces craintes se sont accentuées avec le lancement, fin janvier, de l'interface d'IA générative de la start-up chinoise DeepSeek, développée sans le microprocesseur vedette de Nvidia, le H100, et uniquement avec des puces moins performantes.
Dans le sillage de Nvidia, l'ensemble du secteur des semiconducteurs a terminé dans le rouge, à l'instar de Broadcom (-7,11%), Qualcomm (-4,73%), AMD (-4,96%), Micron (-6,03%) ou Intel (-1,83%).
Les capitalisations géantes du secteur technologique ont aussi reculé, comme Apple (-1,19%), Microsoft (-1,80%) ou Alphabet (-2,57%).
"Dans un environnement comme celui-ci, où (les acteurs du marché) sont très inquiets au sujet de la croissance, des droits de douane (...) et où il y a beaucoup d'incertitude, je ne suis pas surprise de voir le marché réagir comme il l'a fait", a souligné Victoria Fernandez.
Les investisseurs et les entreprises "veulent pouvoir prendre des décisions en sachant ce qui les attend afin de se positionner au mieux, mais ils ne peuvent pas le faire pour le moment", a ajouté l'analyste, notamment face aux nombreux rebondissements sur les droits de douane.
Dans un énième revirement, le président américain Donald Trump a annoncé jeudi que les Etats-Unis imposeraient des droits de douane supplémentaires de 10% sur les produits chinois à compter du 4 mars, et affirmé que les surtaxes visant le Canada et le Mexique entreraient également en vigueur à cette date.
Côté indicateurs, les investisseurs ont en ligne de mire la publication vendredi de l'indice des prix PCE, privilégié par la banque centrale américaine (Fed).
L'indice PCE "sera un élément clé et (...) le marché réagira probablement si nous obtenons un chiffre très éloigné du consensus", a observé Mme Fernandez.
Cet indice sera d'autant plus scruté que les investisseurs s'inquiètent de la croissance américaine.
L'indice de confiance du Conference Board de février a fortement reculé mardi, tandis que vendredi déjà, une autre publication de l'université du Michigan témoignait également de l'inquiétude accrue des consommateurs américains.
Sur le marché obligataire, le rendement des emprunts d'Etat américains à dix ans est resté stable par rapport à la veille, à 4,26%.
Ailleurs, à la cote, le groupe de médias Warner Bros Discovery a gagné 4,76% après avoir annoncé le gain de 6,4 millions d'abonnés au quatrième trimestre, un nombre supérieur aux attentes. Le groupe dispose d'une base d'abonnés de plus de 116 millions et a prévu de franchir la barre des 150 millions en 2026.
Le site de ventes en ligne eBay a plongé (-8,19%), malgré des résultats supérieurs aux attentes, car ses prévisions ne convainquent pas les investisseurs. Pour le trimestre en cours, l'entreprise table sur un chiffre d'affaires de 2,54 milliards de dollars, contre 2,59 milliards attendus par le consensus réalisé par FactSet.
Les principaux indices de Wall Street ont été mitigés jeudi, les actions de Nvidia ayant subi des pertes après que les investisseurs se soient concentrés sur les signes d'une augmentation des dépenses d'intelligence artificielle dans l'industrie, et que les données aient indiqué un ralentissement de l'économie américaine.
À 13 h 30 HNE, l'indice Dow Jones Industrial Average était en hausse de 0,66 % à 43 719,11. Le S&P 500 était en hausse de 0,06 % à 5 959,73, et le Nasdaq Composite était en baisse de 0,46 % à 18 987,16.
Les trois premiers gains en pourcentage du S&P 500 (.PG.INX): ** Warner Bros Discovery Inc , en hausse de 12,0%** Invitation Homes Inc , +5,7%** Walgreens Boots Alliance Inc , +4,2%
Les trois principaux perdants du S&P 500 (.PL.INX) en pourcentage: ** Teleflex Inc , en baisse de 21,6%** Viatris Inc , en baisse de 14,1** Super Micro Computer Inc , en baisse de 11,0%
Les trois premiers gains en pourcentage du NYSE (.PG.N): ** Montrose Environmental Group Inc , en hausse de 30,6 % * Stoneridge Inc** Stoneridge Inc , en hausse de 23,6%** Aris Water Solutions Inc , + 21,7 %
Les trois principaux perdants du NYSE (.PL.N) en pourcentage: ** Ibotta Inc , en baisse de 44,0%** Teleflex Inc , en baisse de 21,6%** Cars.com Inc , en baisse de 18,8%
Les trois premiers gains en pourcentage du Nasdaq (.PG.O): ** Binah Capital Group Inc , en hausse de 103,2%** Urgent.ly Inc , en hausse de 46,6%** ESGL Holdings Ltd , + 40,0 %
Les trois principaux perdants du Nasdaq (.PL.O) en pourcentage: ** Sunation Energy Inc , en baisse de 61,7 %** Sacks Parente Golf Inc , en baisse de 43,3 %** Digimarc Corp , en baisse de 37,8
** Snowflake Inc :BUZZ - Survol des prévisions optimistes de revenus pour 2026
** Beyond Meat Inc :BUZZ - Chute des résultats et des prévisions qui ne sont pas à la hauteur des attentes
** Intuitive Machines Inc :BUZZ - Hausse grâce à la deuxième mission sur la lune avec l'atterrisseur Athena
** Moderna Inc :BUZZ - Chute après que l'administration Trump ait envisagé de supprimer le financement de son vaccin contre la grippe aviaire
** Newmont Corp :** Barrick Gold Corp :** Gold Fields Ltd :** AngloGold Ashanti Ltd :BUZZ - Les mineurs d'or chutent alors que les prix des lingots atteignent leur plus bas niveau depuis plus de deux semaines en raison de la force du dollar américain
** Omnicom Group Inc :** Interpublic Group of Companies Inc :BUZZ - Les entreprises américaines de publicité sont en baisse après les faibles résultats de leur rival londonien WPP
** Teladoc Health Inc :BUZZ - La société a baissé après une perte plus importante et des prévisions de revenus décevantes
** Nvidia Corp :** STMicroelectronics NV :BUZZ - Les valeurs européennes des puces chutent suite aux résultats de Nvidia et à la menace de Trump de mettre en place des tarifs douaniers
** Ormat Technologies Inc :BUZZ - Remontée après la publication d'un bénéfice supérieur à celui du 4ème trimestre
** Goldman Sachs Group Inc :BUZZ - KBW rétrograde Goldman Sachs à 'market perform' sur fond d'incertitudes économiques
** LifeStance Health Group Inc :
BUZZ - Hausse après des prévisions de revenus supérieures aux attentes pour 2025
** Norwegian Cruise Line Holdings Inc :BUZZ - Baisse après avoir prévu un bénéfice annuel inférieur aux estimations
** Keurig Dr Pepper Inc :BUZZ - chute après la vente d'actions de JAB à un prix inférieur à l'estimation
** Teleflex Inc :BUZZ - La pire journée de son histoire après des prévisions de bénéfices pour 2025 inférieures aux estimations
** Warner Bros Discovery Inc :BUZZ - prévoit que son unité de streaming atteindra 150 millions d'abonnés d'ici 2026; actions en hausse
** B. Riley Financial Inc :BUZZ - Le prêt d'Oaktree aide à rembourser la dette de Nomura
** Bath & Body Works Inc :BUZZ - Chute sur des prévisions de ventes et de bénéfices annuels faibles
** PENN Entertainment Inc :BUZZ - Les actions chutent après une perte plus importante que prévu au quatrième trimestre et des revenus manquants
** Viatris Inc :BUZZ - Les actions chutent après des prévisions de bénéfices plus faibles que prévu
** Triumph Financial Inc :BUZZ - KBW reclasse Triumph Financial après l'acquisition de Greenscreens.ai
** Joby Aviation Inc :BUZZ - La société progresse après avoir fait état de ses progrès en matière de certification
** Urban Outfitters Inc :BUZZ - Montée en puissance après la publication d'un bénéfice trimestriel supérieur à la moyenne
** Vistra Corp :BUZZ - Remontée des bénéfices au 4ème trimestre
** Walgreens Boots Alliance Inc :BUZZ - Remontée après l'annonce d'un projet de scission de Sycamore après le rachat
** American Woodmark Corp :BUZZ - Chute après la publication d'un rapport sur les résultats du 3ème trimestre
** Dell Technologies Inc :** Vertiv Holdings Co :** Oklo Inc :** Broadcom Inc :BUZZ - Les puces, les actions liées à l'IA augmentent après les prévisions de revenus optimistes de Nvidia
** Tandem Diabetes Care Inc :BUZZ - Le cours de Tandem Diabetes Care Inc touche son plus bas niveau depuis un an après que les courtiers aient réduit leurs prévisions de cours
** Vital Farms Inc :BUZZ - Augmente grâce à de solides prévisions de revenus annuels
** Novavax Inc :BUZZ - Remontée après une perte trimestrielle plus faible
** IonQ Inc :BUZZ - Glisse après l'annonce d'une augmentation de capital planifiée et d'un nouveau directeur général
** Ecovyst Inc :BUZZ - Chute après l'annonce d'un bénéfice annuel inférieur aux prévisions
** Amazon.com Inc :BUZZ - Remontée après l'avis positif de Morgan Stanley sur Alexa+
** Hilton Grand Vacations Inc :BUZZ - Remontée après le chiffre d'affaires battu au 4ème trimestre
** Cronos Group Inc :BUZZ - Remontée après un résultat net positif au 4ème trimestre
BUZZ - baisse après un résultat négatif au 4ème trimestre et une mise à jour sur les incendies de forêt
BUZZ - La sortie potentielle du Venezuela pèsera sur les raffineurs de la côte américaine du Golfe du Mexique, selon TD Cowen
BUZZ - Baisse des prévisions de ventes pour 2025
BUZZ - chute suite à une baisse du bénéfice trimestriel
BUZZ - chute après une prévision de chiffre d'affaires 2025 en baisse
BUZZ - Atteint son plus haut niveau depuis 2 ans suite à une amélioration au 4ème trimestre et à un rachat d'actions
BUZZ - Le reste des Sept Magnifiques recule après les résultats de Nvidia
** Exxon Mobil Corp :** Devon Energy Corp :
** ConocoPhillips :** Schlumberger NV :
BUZZ - Les sociétés pétrolières progressent après l'annulation par Trump de la licence de Chevron au Venezuela
** Intellia Therapeutics Inc :
BUZZ - Hausse des revenus de collaboration supérieurs aux attentes au 4ème trimestre
BUZZ - Augmentation du chiffre d'affaires trimestriel
BUZZ - chute après avoir manqué les estimations de bénéfices pour le quatrième trimestre
BUZZ - S'envole après avoir battu les prévisions de bénéfices du 4ème trimestre
BUZZ - Les actions atteignent un niveau record après des résultats trimestriels supérieurs aux estimations
BUZZ - Hausse suite à l'accord de vente de son bon d'examen prioritaire de la FDA pour 150 millions de dollars
BUZZ - baisse suite à des prévisions négatives pour le premier trimestre
BUZZ - atteint son plus bas niveau depuis plus de trois mois suite à l'abaissement de ses prévisions de chiffre d'affaires pour 2025
BUZZ - S'envole après avoir enregistré des bénéfices au 4ème trimestre
Indice RIC | Nom de l'indice | Variation en pourcentage % |
S&P 500 | 0.06 | |
S&P 500 Technologies de l'information | -0.77 | |
S&P 500 Services publics | -1.57 | |
S&P 500 Consommation discrétionnaire | 0.07 | |
S&P 500 Matériaux | 0.29 | |
S&P 500 Industrie | 0.57 | |
S&P 500 Services de communication (Secteur) | -0.31 | |
S&P 500 Services financiers | 1.42 | |
S&P 500 Immobilier | 0.7 | |
S&P 500 Soins de santé | 0.19 | |
S&P 500 Biens de consommation de base | 0.49 | |
S&P 500 Énergie | 1.44 |
Les actions de Salesforce ont chuté de plus de 4 % jeudi après des prévisions de chiffre d'affaires et de bénéfices annuels en baisse qui ont soulevé des questions sur la date à laquelle la société d'informatique dématérialisée commencerait à afficher des rendements significatifs sur ses importants paris en matière d'intelligence artificielle.
Le patron de Salesforce, Marc Benioff, s'est efforcé ces dernières années de faire évoluer l'entreprise au-delà de l'informatique dématérialisée traditionnelle vers l'apprentissage automatique basé sur les données et l'IA générative, afin de tirer parti de l'évolution rapide du paysage technologique.
Mais les faibles perspectives de revenus annuels de l'entreprise (link) sèment le doute sur le rythme de monétisation d'Agentforce - sa plateforme de création d'agents IA - car ses nuages commerciaux et ses revenus d'abonnement sont à la traîne en raison du ralentissement des dépenses des entreprises clientes.
"Malheureusement pour Salesforce, la focalisation (sur Agentforce) se fait au détriment du reste de l'entreprise, qui continue à ralentir", a déclaré Gil Luria, directeur général chez D.A. Davidson.
"Étant donné qu'Agentforce pourrait ne pas devenir un contributeur important avant au moins un an ou deux, cela signifie que Salesforce connaîtra une croissance encore plus lente cette année."
La directrice financière sortante Amy Weaver a déclaré mercredi que le cycle d'adoption d'Agentforce était précoce et que l'entreprise se concentrait sur le déploiement du logiciel chez les clients, mais qu'elle prévoyait une "contribution significative au cours de l'exercice 2027".
"Pour Salesforce, les perspectives plutôt sombres pourraient rapidement s'inverser, mais les investisseurs se méfient des sommes énormes qui ont été dépensées pour poursuivre le rêve de l'IA, et l'entreprise devra livrer rapidement car la concurrence est féroce", a déclaré Danni Hewson, responsable de l'analyse financière chez AJ Bell.
Les investisseurs attendent avec impatience que les grandes entreprises technologiques, dont Microsoft et Meta , rentabilisent les milliards d'euros investis dans l'IA.
Le nuage de données de Salesforce, qui connaît une croissance rapide, reste un point positif, car il est la force motrice de ses agents.
Les revenus récurrents annuels du nuage de données et de l'IA ont augmenté de 120 % l'année dernière, ce qui, selon les analystes, pourrait jeter les bases d'une accélération de la croissance.
Le ratio cours/bénéfice prévisionnel à 12 mois de Salesforce est de 27,07, contre 162,52 pour Snowflake et 55,23 pour ServiceNow.
Si les pertes actuelles se maintiennent, l'entreprise devrait perdre plus de 12 milliards de dollars de sa valeur de marché.
Au coeur de vastes manoeuvres depuis l'entrée à son capital du groupe saoudien STC, le géant espagnol Telefonica a promis jeudi d'accélérer son virage stratégique après avoir vu ses résultats plombés en 2024 par d'importantes dépréciations d'actifs en Amérique latine.
L'opérateur téléphonique, qui a engagé ces dernières années un recentrage sur ses principaux marchés (Espagne, Allemagne, Royaume-Uni et Brésil), a essuyé l'an dernier 49 millions d'euros de perte nette, selon ses résultats publiés jeudi.
Ce résultat est meilleur que celui de 2023, marqué par une perte de 892 millions d'euros liée au coût de son plan de restructuration et à une révision de la valeur de sa filiale britannique Virgin Media O2. Mais il confirme les difficultés auxquelles fait face le groupe depuis des années.
Selon Telefonica, le résultat de 2024 s'explique par la dépréciation de ses actifs dans plusieurs pays d'Amérique latine, principalement en Argentine (-1,27 milliard d'euros), au Chili (-397 millions) et au Pérou (-108 millions).
En excluant ces "effets extraordinaires", Telefónica aurait obtenu un bénéfice net ajusté de "2,3 milliards d'euros", insiste le groupe dans un communiqué, qui met en avant ses bons résultats opérationnels sur ses principaux marchés, notamment en Espagne.
En 2024, l'opérateur a ainsi vu son chiffre d'affaires progresser de 1,6%, à 41,31 milliards d'euros. Ce niveau est supérieur aux objectifs fixés par le groupe, qui prévoyait une hausse de 1%, et dépasse les attentes des analystes interrogés par Factset, qui tablaient sur 40,96 milliards d'euros.
"Ce sont des résultats très positifs", a insisté lors d'une conférence de presse la directrice financière du groupe, Laura Abasolo, qui a dit prévoir une nouvelle hausse du chiffre d'affaires de l'opérateur en 2025, malgré un environnement économique "complexe".
Cette annonce a été accueillie avec prudence à la bourse de Madrid, où le titre Telefonica perdait 0,2% à 13H15, à 4,32 euros.
- Vente de filiales -La publication de ces résultats survient un peu plus d'un mois après la nomination à la tête du groupe de Marc Murtra, jusqu'alors président de l'entreprise de défense et de technologie Indra, en remplacement de José María Álvarez-Pallete, en poste depuis 2016.
Présent jeudi lors de la conférence de presse, M. Murtra a indiqué que Telefonica ferait l'objet au cours des prochaines semaines d'une "révision stratégique", dont les résultats seront annoncé lors du second semestre 2025, pour améliorer sa rentabilité.
Les priorités resteront de "maintenir l'accent sur nos marchés clés" et d'encourager "la consolidation (du secteur) en Europe", a souligné le président de Telefonica, qui s'est engagé à "maintenir la discipline financière" pour réduire la dette de l'entreprise.
Sous l'impulsion de José María Álvarez-Pallete, cette dernière a déjà fortement reculé, passant de 50 milliards d'euros en 2016 à 27,16 milliards fin 2024. Mais elle reste trop élevée pour le groupe, qui cherche à faire des économies pour financer ses investissements, notamment dans la 5G.
Telefonica, qui souhaite réduire sa présence en Amérique latine, où il fait face à une forte concurrence et à un environnement juridique jugé imprévisible, a déjà vendu ses activités au Guatemala et au Costa Rica et engagé la cession de sa branche colombienne.
Décidé à accélérer ce désengagement, il a annoncé lundi la vente de sa filiale argentine pour 1,2 milliard d'euros à Telecom Argentina, contrôlé par le groupe de medias Clarin. Le président argentin Javier Milei a toutefois menacé de s'y opposer, disant vouloir éviter un "monopole".
Et d'autres cessions pourraient suivre, notamment au Pérou, au Chili et au Mexique. "Nous sommes ouverts à toute opportunité de désinvestissement" si "cela créé de la valeur pour l'actionnaire", a indiqué à ce propos Laura Abasolo, tout en refusant de "commenter les rumeurs de marché".
Ce recentrage survient à un moment charnière pour le géant des télécoms, au coeur de vastes manoeuvres actionnariales depuis l'entrée surprise de la compagnie saoudienne STC, qui a acquis 9,9% du capital de l'entreprise en septembre 2023.
Cette opération a conduit l'Etat espagnol à prendre une participation de 10% dans l'entreprise via le fonds public SEPI. Le groupe bancaire espagnol La Caixa a quant à lui porté sa participation dans l'entreprise de 2,69% à 9,9%, disant vouloir apporter de la "stabilité" à l'opérateur.
La Securities and Exchange Commission des États-Unis a fait des vagues sur (link) le secteur de la gestion d'actifs lorsqu'elle a publié de nouvelles orientations sur la manière dont les grandes sociétés de gestion de fonds déclarent leurs avoirs.
Mais les deux plus grandes sociétés, BlackRock et Vanguard, pourraient être les plus touchées, comme le montre une nouvelle étude. Pour en savoir plus, lisez mon article de cette semaine, dont le lien figure ci-dessous.
À l'approche de la saison des procurations, j'ai également inclus des liens vers d'autres articles consacrés à l'engagement des actionnaires. Vous constaterez que les investisseurs d'Apple et de Deere ont ignoré les efforts déployés contre l'IDE , mais que PepsiCo a procédé à un changement avant son assemblée générale.
N'hésitez pas à me suivre sur LinkedIn (link) et/ou Bluesky (link). Ou contactez-moi via ross.kerber@thomsonreuters.com
Les nouvelles directives de la SEC frappent les deux grands, BlackRock et Vanguard
Les nouvelles restrictions imposées aux gestionnaires d'actifs américains toucheront principalement les leaders du secteur, BlackRock et Vanguard, selon une nouvelle analyse.
Ces deux sociétés gèrent ensemble près de 22 000 milliards de dollars, ce qui témoigne du succès de leurs fonds passifs à faible coût. Mais leur taille a suscité des critiques à travers le spectre politique, y compris, le 11 février, de nouvelles directives de dépôt pour les gestionnaires de fonds qui font pression sur les entreprises sur les questions environnementales, sociales ou de gouvernance (ESG)
Une étude réalisée par Matt Moscardi, directeur général de la société d'analyse des administrateurs Free Float Analytics, a révélé que BlackRock et Vanguard étaient de loin à l'origine du plus grand nombre de déclarations susceptibles d'être affectées. Vous pouvez prendre connaissance de ses conclusions en cliquant ici: (link).
Nouvelles des entreprises - édition DEI
Apple fait face à la pression de deux camps importants. Mercredi, le président américain Donald Trump a exhorté l'entreprise à supprimer ses politiques de diversité, d'équité et d'inclusion (DEI), juste un jour après que les actionnaires du fabricant de l'iPhone ont voté à une écrasante majorité en faveur de leur maintien. Pour en savoir plus, cliquez sur (link).
Le résultat a été similaire chez Deere , où seulement 1,3 % des votes exprimés mercredi étaient en faveur d'une résolution visant à restructurer les efforts de DEI (link).
PepsiCo , pour sa part, a déclaré le 20 février qu'elle mettrait fin à ses objectifs de représentation de la main-d'œuvre et qu'elle modifierait le rôle (link) de son responsable de l'IED. En outre, elle a déclaré qu'elle mettrait fin aux mesures de représentation (link) pour ses programmes de rémunération des cadres, un changement qui, selon le National Legal and Policy Center, l'a amenée à retirer une proposition d'actionnaire allant dans le même sens (link).
Enfin, le principal gestionnaire de fonds communs de placement, Vanguard, a déclaré que ses 13 candidats au conseil d'administration avaient obtenu une large majorité de soutien (link). Bien que ce résultat ne soit pas une surprise, il montre que l'entreprise de Pennsylvanie a surmonté un obstacle politique (link) de la part des trésoriers d'État républicains qui s'inquiétaient de la composition idéologique du conseil d'administration.
Sur mon radar
Après que les régulateurs américains ont facilité (link) le blocage des propositions d'actionnaires par les entreprises, un groupe d'investisseurs activistes a défendu ces éléments et "leur rôle dans la création d'une plateforme publique puissante (link) pour remettre en question et améliorer les politiques des entreprises"
Les gestionnaires d'actifs ont tenté de répondre aux critiques concernant leurs votes par procuration en cédant leurs pouvoirs de vote à leurs clients. Dans une récente mise à jour (link), BlackRock a déclaré que sur les 3,1 billions de dollars d'actifs indiciels éligibles, les clients détenant 679,3 milliards de dollars d'actifs avaient utilisé ce choix - un taux relativement élevé reflétant la base de clientèle institutionnelle de la société.
Terminons par quelques mots de Warren Buffett, directeur général de Berkshire Hathaway. Dans sa lettre annuelle aux actionnaires ((link)), Buffett a conseillé à Washington de dépenser l'argent avec sagesse et de s'occuper de ceux qui ont la "courte paille" dans la vie
Au coeur de vastes manoeuvres depuis l'entrée du groupe saoudien STC à son capital, le géant espagnol Telefonica a vu ses résultats plombés l'an dernier par des dépréciations d'actifs dans plusieurs pays d'Amérique latine, où le groupe souhaite se désengager.
L'opérateur téléphonique, qui a engagé voilà quelques années un virage stratégique pour se recentrer sur ses principaux marchés (Espagne, Allemagne, Royaume-Uni et Brésil), a essuyé 49 millions d'euros de perte nette sur un an, selon les résultats publiés jeudi par l'entreprise.
Ce résultat est meilleur que celui de 2023, marqué par une perte de 892 millions d'euros liée au coût de son plan de restructuration et d'une dépréciation de la valeur de sa filiale britannique Virgin Media O2. Mais il confirme les difficultés auxquelles est confronté le géant espagnol depuis plusieurs années.
Selon Telefonica, le résultats de 2024 s'explique par la dépréciation de plusieurs actifs en Amérique latine, où le groupe est confronté à une situation compliquée. Cette dépréciation a atteint 1,27 milliard d'euros en Argentine, 397 millions d'euros au Chili et 108 millions d'euros au Pérou.
Le bénéfice ajusté de 2024, qui ne tient pas compte de ces "effets extraordinaires", s'est pour sa part élevé à 2,3 milliards d'euros, insiste le groupe, qui met en avant dans son communiqué ses bons résultats opérationnels sur ses principaux marchés, notamment en Espagne et en Allemagne,
L'opérateur téléphonique a ainsi vu son chiffre d'affaires progresser de 1,6% sur un an, à 41,31 milliards d'euros. Ce niveau est supérieur aux objectifs fixés par le groupe, qui prévoyait une hausse de 1%. Il dépasse également les attentes des analystes interrogés par Factset, qui tablaient sur 40,96 milliards de chiffre d'affaires.
"Nous avons atteint nos objectifs financiers tout en continuant de renforcer notre position concurrentielle", grâce à un fort "élan sur nos marchés clés: Espagne, Brésil, Allemagne et Royaume-Uni", se félicité l'opérateur, qui revendique 390 millions de clients dans le monde.
- "Nouvelle étape" -La publication de ces résultats survient un peu plus d'un mois après la nomination à la tête du groupe de Marc Murtra, jusqu'alors président de l'entreprise de défense et de technologie Indra, dont l'Etat espagnol est l'actionnaire de contrôle.
M. Murtra a remplacé José María Álvarez-Pallete, en poste depuis 2016 et dont le mandat arrivait à échéance cette année. Le conseil d'administration de Telefonica a justifié ce changement par la volonté "de certains actionnaires" d'engager "une nouvelle étape".
Le groupe, qui opère dans 12 pays, a initié voilà quelques années un important virage stratégique, avec un vaste plan social en Espagne et un désengagement progressif en Amérique latine, où il est confronté à une forte concurrence. L'objectif affiché est de renforcer sa rentabilité et réduire sa lourde dette.
Sous l'impulsion de José María Álvarez-Pallete, cette dernière a déjà fortement reculé, passant de 50 milliards d'euros en 2016 à 27,16 milliards fin 2024. Mais elle reste trop élevée pour le groupe, qui cherche à faire des économies pour financer ses investissements, notamment dans la 5G.
L'opérateur, qui a déjà vendu ses filiales au Guatemala et au Costa Rica et engagé la cession de sa branche colombienne, a ainsi annoncé lundi un accord pour vendre ses activités en Argentine pour 1,2 milliard d'euros à Telecom Argentina, entreprise contrôlée par le groupe de medias Clarin.
Et d'autres cessions pourraient suivre, notamment au Pérou et au Chili, selon des médias espagnols. Dans cette région, la marge d'exploitation est "de 18,1% contre 31,8% pour l'ensemble du groupe", souligne dans une note Bankinter, pour qui "les fonds obtenus" pourraient être réinvestis dans des activités à forte croissance.
Ce recentrage survient à un moment charnière pour le géant des télécoms, au coeur de vastes manoeuvres actionnariales depuis l'entrée surprise de la compagnie saoudienne STC, qui a acquis 9,9% du capital de l'entreprise en septembre 2023.
Cette opération a conduit l'Etat espagnol à prendre une participation de 10% dans l'entreprise via le fonds public SEPI. Le groupe bancaire espagnol La Caixa a quant à lui porté sa participation dans l'entreprise de 2,69% à 9,9%, disant vouloir apporter de la "stabilité" à l'opérateur.
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