Le studio Promise, soutenu par Andreessen Horowitz, va commencer à produire des films et des séries en utilisant l'IA

— Lien source: https://tinyurl.com/3ajdtshj

— Note: Reuters n'a pas vérifié cette histoire et ne se porte pas garant de son exactitude

** Les actions de la société de logiciels d'IA C3.ai ont augmenté de 18% à 31,30 $, un plus haut de plus de quatre mois

** La société annonce (link) un accord avec Microsoft pour accélérer l'adoption de l'IA d'entreprise sur Microsoft Azure

** "L'accord positionne Microsoft comme le fournisseur de cloud privilégié pour les offres de C3.ai et établit C3.ai comme fournisseur privilégié de logiciels d'application d'IA sur Microsoft Azure" - C3.ai

** Depuis leur première alliance en 2018, MSFT et C3.ai se sont associés pour fournir des solutions d'IA d'entreprise à des sociétés telles que Dow, Shell et Nucor, entre autres

** En incluant le mouvement de la séance, l'IA est en hausse d'environ 9 % depuis le début de l'année

Microsoft a conçu deux puces d'infrastructure supplémentaires pour ses centres de données qui permettront d'accélérer les opérations d'intelligence artificielle et d'accroître la sécurité des données, a-t-il déclaré mardi lors de sa conférence Ignite.

Microsoft a consacré d'importantes ressources au développement d'un silicium maison pour les applications générales et l'intelligence artificielle. À l'instar de ses rivaux Amazon.com et Google , les ingénieurs de Microsoft affirment que la conception de puces adaptées à leurs besoins présente des avantages en termes de performances et de prix.

La conception de puces personnalisées peut réduire la dépendance de Microsoft à l'égard des processeurs fabriqués par Intel et Nvidia .

Les deux nouvelles puces de Microsoft sont conçues pour être installées au cœur de l'infrastructure du centre de données de l'entreprise. L'une des puces est conçue pour renforcer la sécurité et l'autre pour le traitement des données.

L'entreprise fait l'effort de concevoir un ensemble de processeurs de centre de données parce qu'elle vise à "optimiser chaque couche de l'infrastructure" et à garantir que les centres de données de Microsoft traitent les informations à la vitesse requise par l'intelligence artificielle, a déclaré Rani Borkar, vice-président de l'entreprise, Azure Hardware Systems and Infrastructure

Les ingénieurs installeront la nouvelle puce de sécurité appelée Azure Integrated HSM dans chaque nouveau serveur destiné à un centre de données à partir de l'année prochaine. La puce a pour but de conserver les données de chiffrement cruciales et les autres données de sécurité à l'intérieur du module de sécurité.

L'unité de traitement des données, ou DPU, a pour but de déplacer plusieurs composants d'un serveur dans une seule puce qui se concentre sur les données de stockage dans le nuage. L'entreprise a déclaré qu'elle pouvait exécuter ces tâches spécifiques en consommant trois fois moins d'énergie et en offrant des performances quatre fois supérieures à celles de son matériel actuel.

Microsoft a également annoncé une nouvelle version d'un système de refroidissement pour les serveurs de centres de données qui s'appuie sur un liquide pour réduire la température des composants situés à proximité. L'unité de refroidissement peut être utilisée pour soutenir les systèmes d'intelligence artificielle à grande échelle.

La startup d-Matrix de la Silicon Valley a déclaré mardi qu'elle expédiait sa première puce d'intelligence artificielle destinée à fournir des services tels que les chatbots et les générateurs vidéo.

D-Matrix, qui a levé plus de 160 millions de dollars de fonds à ce jour, notamment auprès de la branche de capital-risque de Microsoft (link), a déclaré que les premiers clients testaient des échantillons de puces, les livraisons complètes devant commencer l'année prochaine.

La société de Santa Clara, en Californie, n'a pas nommé de clients spécifiques, mais a indiqué que Super Micro Computer vendrait des serveurs pouvant contenir des puces d-Matrix.

D-Matrix vise à compléter les géants des puces d'IA tels que Nvidia , dont les puces sont utilisées pour entraîner les systèmes d'IA sur d'énormes quantités de données. Une fois les systèmes entraînés, les puces d-Matrix visent à traiter un grand nombre de demandes émanant des utilisateurs finaux des systèmes, dans une étape appelée inférence.

La puce de D-Matrix est spécialement conçue pour aider à traiter les demandes d'un grand nombre d'utilisateurs en même temps sur une seule puce, même si ces utilisateurs continuent à demander au système d'IA de nouvelles réponses ou des ajustements à une vidéo qu'ils ont demandé au système de générer.

nous sommes très intéressés par les cas d'utilisation vidéo où les clients viennent nous voir et nous disent: "Hé, écoutez, nous voulons générer des vidéos, et nous voulons une collection d'utilisateurs, chacun interagissant avec sa propre vidéo"", a déclaré Sid Sheth, directeur général de d-Martix.

Le gouvernement américain va demander à un juge d'obliger Google à céder son navigateur Chrome, selon Bloomberg. Une telle sanction contre le géant des technologies, reconnu coupable de pratiques anticoncurrentielles dans la gestion de son célèbre moteur de recherche, serait historique.

Le ministère de la Justice compte également exiger des mesures concernant les nouveaux outils d'intelligence artificielle (IA) générative et son système d'exploitation mobile Android, d'après des sources proches du dossier anonymes citées lundi par l'agence de presse.

Google a été jugé coupable l'été dernier de pratiques illégales pour établir et maintenir son monopole dans la recherche en ligne par Amit Mehta, un juge fédéral de Washington.

Ce dernier pourrait se prononcer sur la peine en août 2025, après avoir reçu la requête officielle des autorités en novembre et entendu les deux parties lors d'une audition spéciale en avril.

La possibilité d'exiger une scission de Google marque un changement profond de la part des autorités américaines de la concurrence qui ont largement laissé tranquilles les géants des technologies depuis leur échec à démanteler Microsoft il y a vingt ans.

Le ministère veut que Google se sépare de Chrome, le navigateur internet le plus utilisé au monde, parce qu'il constitue un point d'accès majeur au moteur de recherche, sapant ainsi les chances de potentiels concurrents.

Selon le site StatCounter, Google pesait, en septembre, 90% du marché mondial de la recherche en ligne et même 94% sur les smartphones.

Les autorités antitrust devraient en outre proposer que Google dissocie Android de ses autres produits, notamment le moteur de recherche et la boutique d'applications mobiles Google Play, selon Bloomberg.

Le gouvernement veut également agir sur les résultats de recherche formulés par l'IA générative, les "AI Overviews" qui répondent directement aux questions des utilisateurs, sans avoir à cliquer sur des liens.

De nombreux sites internet se plaignent d'une baisse de trafic et les rivaux de Google dans la recherche en ligne estiment que ce nouveau format ne leur laisse aucune chance d'émerger.

Les dix semaines de procès avaient permis de révéler les sommes mirobolantes versées par la filiale d'Alphabet pour s'assurer de l'installation par défaut de Google Search, notamment sur les smartphones fabriqués par Apple et Samsung.

Les poursuites avaient été lancées sous l'administration de Donald Trump et continuées sous la présidence de Joe Biden.

Si le juge retient les propositions des autorités, celles-ci pourraient remodeler le marché de la recherche en ligne et l'industrie de l'IA générative en pleine expansion.

Mais les changements, s'ils ont lieu, prendront sans doute des années, Google ayant prévu de faire appel.

Sollicité par l'AFP lundi, le département de la Justice n'a pas fait de commentaire.

Le gouvernement américain va demander à un juge d'obliger Google à céder son navigateur Chrome, selon Bloomberg. Une telle sanction contre le géant des technologies, reconnu coupable de pratiques anticoncurrentielles dans la gestion de son célèbre moteur de recherche, serait historique.

Le ministère de la Justice compte également exiger des mesures concernant les nouveaux outils d'intelligence artificielle (IA) générative et son système d'exploitation mobile Android, d'après des sources proches du dossier anonymes citées lundi par l'agence de presse.

Google a été jugé coupable l'été dernier de pratiques illégales pour établir et maintenir son monopole dans la recherche en ligne par Amit Mehta, un juge fédéral de Washington.

Ce dernier pourrait se prononcer sur la peine en août 2025, après avoir reçu la requête officielle des autorités en novembre et entendu les deux parties lors d'une audition spéciale en avril.

La possibilité d'exiger une scission de Google marque un changement profond de la part des autorités américaines de la concurrence qui ont largement laissé tranquilles les géants des technologies depuis leur échec à démanteler Microsoft il y a vingt ans.

Le ministère veut que Google se sépare de Chrome, le navigateur internet le plus utilisé au monde, parce qu'il constitue un point d'accès majeur au moteur de recherche, sapant ainsi les chances de potentiels concurrents.

Selon le site StatCounter, Google pesait, en septembre, 90% du marché mondial de la recherche en ligne et même 94% sur les smartphones.

Les autorités antitrust devraient en outre proposer que Google dissocie Android de ses autres produits, notamment le moteur de recherche et la boutique d'applications mobiles Google Play, selon Bloomberg.

Le gouvernement veut également agir sur les résultats de recherche formulés par l'IA générative, les "AI Overviews" qui répondent directement aux questions des utilisateurs, sans avoir à cliquer sur des liens.

De nombreux sites internet se plaignent d'une baisse de trafic et les rivaux de Google dans la recherche en ligne estiment que ce nouveau format ne leur laisse aucune chance d'émerger.

Les dix semaines de procès avaient permis de révéler les sommes mirobolantes versées par la filiale d'Alphabet pour s'assurer de l'installation par défaut de Google Search, notamment sur les smartphones fabriqués par Apple et Samsung.

Les poursuites avaient été lancées sous l'administration de Donald Trump et continuées sous la présidence de Joe Biden.

Si le juge retient les propositions des autorités, celles-ci pourraient remodeler le marché de la recherche en ligne et l'industrie de l'IA générative en pleine expansion.

Mais les changements, s'ils ont lieu, prendront sans doute des années, Google ayant prévu de faire appel.

Sollicité par l'AFP lundi, le département de la Justice n'a pas fait de commentaire.