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Coach de trading en chef et conférencier BeingTrader, plus de 8 ans d'expérience dans le trading du marché des changes, principalement XAUUSD, EUR/USD, GBP/USD, USD/JPY et pétrole brut. Un trader et analyste confiant qui vise à explorer diverses opportunités et à guider les investisseurs sur le marché. En tant qu'analyste, je cherche à améliorer l'expérience du trader en le soutenant avec suffisamment de données et de signaux.
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Risk Warning on Trading HK Stocks
Despite Hong Kong's robust legal and regulatory framework, its stock market still faces unique risks and challenges, such as currency fluctuations due to the Hong Kong dollar's peg to the US dollar and the impact of mainland China's policy changes and economic conditions on Hong Kong stocks.
HK Stock Trading Fees and Taxation
Trading costs in the Hong Kong stock market include transaction fees, stamp duty, settlement charges, and currency conversion fees for foreign investors. Additionally, taxes may apply based on local regulations.
HK Non-Essential Consumer Goods Industry
The Hong Kong stock market encompasses non-essential consumption sectors like automotive, education, tourism, catering, and apparel. Of the 643 listed companies, 35% are mainland Chinese, making up 65% of the total market capitalization. Thus, it's heavily influenced by the Chinese economy.
HK Real Estate Industry
In recent years, the real estate and construction sector's share in the Hong Kong stock index has notably decreased. Nevertheless, as of 2022, it retains around 10% market share, covering real estate development, construction engineering, investment, and property management.
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Arcadium Lithium a déclaré lundi que ses actionnaires avaient voté en faveur d'une vente de 6,7 milliards de dollars (link) au géant minier australien Rio Tinto .
Les actions d'Arcadium Lithium ont augmenté de plus de 2% dans les échanges prolongés.
L'opération, qui devrait être finalisée à la mi-2025, catapultera Rio Tinto au troisième rang mondial des mineurs de lithium, juste derrière Albemarle et SQM .
Arcadium est confrontée à des obstacles juridiques, car certains actionnaires ont intenté des actions en justice contre elle en alléguant des déclarations inexactes, des dissimulations et des négligences concernant l'opération de rachat, a révélé la société dans un document réglementaire déposé au début du mois.
Au début de l'année, Rio Tinto a déclaré qu'il paierait 5,85 dollars par action en espèces pour Arcadium, soit une prime de près de 90 % par rapport au cours de clôture de l'action le 4 octobre, jour où Reuters a rapporté en exclusivité (link) un accord potentiel.
Le mineur australien aura accès aux mines de lithium, aux installations de traitement et aux gisements d'Arcadium en Argentine, en Australie, au Canada et aux États-Unis, ainsi qu'à des clients tels que Tesla , BMW et General Motors .
Le S&P 500 et le Nasdaq Composite ont augmenté lundi dans les échanges de vacances après qu'un projet de loi de financement gouvernemental provisoire ait évité une fermeture du gouvernement américain, aidés par les gains de plusieurs des soi-disant Sept Magnifiques valeurs technologiques.
Les actions des mégacapitalisations ayant une influence considérable sur les marchés, leur performance au cours d'une semaine pendant laquelle de nombreux investisseurs prennent congé sera encore plus prononcée.
Meta Platforms , Nvidia et Tesla ont tous progressé de plus de 2,5 %. Alphabet , la société mère de Google, et Amazon.com ont également progressé.
Si les gains des indices de référence se maintiennent, la séance de lundi marquerait la troisième hausse consécutive pour le Nasdaq Composite et une deuxième progression en trois séances pour le S&P 500 . Les actions ont chuté mercredi dernier dans un mouvement de repli déclenché par la Réserve fédérale américaine qui a annoncé un ralentissement du rythme des baisses de taux l'année prochaine.
Après un parcours solide depuis l'élection présidentielle de novembre, le rallye de Wall Street a connu un coup d'arrêt ce mois-ci, notamment après que la Réserve fédérale américaine a prévu seulement deux réductions de taux de 25 points de base pour 2025 - par rapport à sa prévision de septembre de quatre réductions - et a revu à la hausse ses perspectives d'inflation annuelle.
Un rapport sur l'inflation plus froid que prévu (link) vendredi a permis aux actions américaines de récupérer quelques pertes. Toutefois, le sentiment général du marché est resté prudent, a déclaré Thierry Wizman, stratège chez Macquarie.
Les marchés monétaires s'attendent à environ deux réductions de 25 points de base en 2025, ce qui porterait le taux de référence à une fourchette de 3,75 % à 4,0 %, contre une fourchette d'environ 3,50 % à 3,75 % il y a deux semaines.
"C'est un lundi avec très peu de catalyseurs pour conduire (le sentiment général du marché), et nous allons avoir un faible volume, probablement des échanges volatils alors que nous terminons cette année", a déclaré Art Hogan, stratégiste en chef du marché chez B. Riley Wealth.
Les volumes de transactions devraient être faibles, les marchés boursiers américains fermant tôt mardi et fermant pour Noël mercredi.
Le Congrès des États-Unis a adopté la loi de finances (link) tôt samedi, quelques minutes après l'expiration du financement, ce qui aurait pu perturber toutes les activités, des forces de l'ordre aux parcs nationaux, avant la saison des voyages de Noël, très chargée.
À 13 h 44 HNE, le S&P 500 a gagné 29,82 points, ou 0,50 %, pour atteindre 5 960,67, tandis que le Nasdaq Composite a augmenté de 163,03 points, ou 0,83 %, pour atteindre 19 735,63. Le Dow Jones Industrial Average a perdu 16,82 points, soit 0,04%, à 42.823,44.
La majorité des secteurs de l'indice S&P ont également progressé, menés par le gain de 1,3% des services de communication .
Les marchés entrent également dans une période historiquement forte pour les actions américaines. Depuis 1969, les cinq derniers jours de bourse de l'année, combinés aux deux premiers de l'année suivante, ont permis au S&P 500 de gagner en moyenne 1,3 % - une période connue sous le nom de "Santa Claus Rally" (link), selon le Stock Trader's Almanac.
Les actions de Qualcomm ont augmenté de 3,3 % après qu'un jury a estimé que ses processeurs centraux étaient correctement licenciés dans le cadre d'un accord avec la société britannique Arm Holdings . Les actions d'Arm, qui a promis de demander un nouveau procès, ont chuté d'environ 3,8 %.
Walmart a chuté de 2,2 % après que l'organisme américain de surveillance du crédit à la consommation a accusé (link) le géant de la distribution et la société de paiement Branch Messenger d'avoir forcé plus d'un million de livreurs à utiliser des comptes qui leur ont coûté plus de 10 millions de dollars en frais inutiles.
Eli Lilly a gagné (link) 2,8% après que la Food and Drug Administration américaine a approuvé le traitement de perte de poids du fabricant, Zepbound, pour l'apnée obstructive du sommeil. Les actions des fabricants d'appareils pour l'apnée du sommeil ResMed et Inspire Medical ont chuté respectivement de 3,7 % et de 1,8 %.
Les actions de Nordstrom ont chuté de 1,8 % après que la famille fondatrice de la chaîne de grands magasins et le distributeur mexicain El Puerto de Liverpool se sont mis d'accord pour privatiser la société (link).
Le géant japonais de l'automobile Honda et son compatriote en difficulté Nissan ont décidé lundi d'ouvrir des négociations en vue d'une fusion qui donnerait naissance en 2026 au troisième constructeur mondial.
Leur objectif est d'associer leurs forces pour négocier le virage stratégique de l'électrique,dominé par l'américain Tesla et les groupes chinois, BYD en tête.
A l'instar de l'allemand Volkswagen, les deux groupes nippons ont vu leurs ventes dégringoler en Chine, premier marché mondial dont ils sont très dépendants.
Honda et Nissan, deuxième et troisième constructeurs japonais derrière Toyota, souhaitent conclure "un accord définitif" d'ici juin 2025, selon le protocole signé lundi. Leur objectif: se réunir sous une "holding unique", qu'ils projettent d'introduire en Bourse en août 2026, en conservant leurs marques actuelles.
Ce mariage permettrait de partager les coûts élevés et risques du développement de modèles électriques, logiciels et batteries, en sécurisant les chaînes d'approvisionnement et gagnant en compétitivité via des économies d'échelle.
Mitsubishi Motors, dont Nissan est le principal actionnaire, déterminera d'ici "fin janvier" s'il entend intégrer cette alliance, où chacun pourrait assembler ses véhicules dans les usines des partenaires.
Les trois constructeurs réunis constitueraient le troisième groupe automobile mondial, avec quelque huit millions de véhicules écoulés l'an dernier, derrière Toyota et Volkswagen.
-Nissan "en mode panique"-Un rapprochement providentiel pour Nissan: fortement endetté, il a essuyé une perte inattendue au dernier trimestre et sa marge opérationnelle a quasi-totalement fondu.
Sur ses deux marchés-clés, ses ventes ont plongé: aux Etats-Unis, faute de commercialiser des hybrides rechargeables face à une forte demande, et en Chine, en raison de la domination des marques locales sur le tout-électrique.
Début novembre, Nissan a annoncé supprimer 9.000 postes dans ses effectifs mondiaux et tailler dans ses capacités. Signe de sa vulnérabilité: le géant taïwanais de l'assemblage électronique Foxconn (Hon Hai) l'a récemment approché pour acquérir une participation majoritaire selon la presse japonaise, précipitant l'ouverture de négociations avec Honda.
Miné par les "luttes de pouvoir" internes, Nissan "s'est marginalisé" et se retrouve "en mode panique, suppliant son ennemi de toujours" Honda, a raillé lundi l'ex-patron déchu du constructeur Carlos Ghosn, depuis le Liban où il a fui en 2019 alors qu'il était poursuivi au Japon pour des malversations financières.
Honda, lui, profiterait d'une entité élargie pour lancer efficacement des voitures 100% électriques, après l'échec d'un projet commun avec l'américain General Motors.
Les groupes nippons se sont longtemps concentrés sur les hybrides (combinant motorisations thermique et électrique), négligeant l'essor mondial du tout-électrique. La Chine a ainsi dépassé le Japon comme premier pays exportateur de véhicules en 2023.
Alarmés, Nissan et Honda avaient dévoilé en mars un "partenariat stratégique" dans les logiciels et équipements pour véhicules électriques. Initiative rejointe en août par Mitsubishi.
-"Préparer l'avenir"-"Si le rapprochement vise à préparer l'avenir, à développer les composants des futures voitures électriques qu'on ne produit quasi-pas aujourd'hui, ça fait sens", mais "une fusion opérationnelle ne résoudra pas les problèmes urgents de Nissan", indique à l'AFP une source proche du dossier.
"Il ne s'agit pas de porter secours" à Nissan, a confirmé devant la presse Toshihiro Mibe, patron de Honda, qui pose comme préalable la concrétisation par Nissan de son plan pour réduire ses coûts et relancer ses ventes.
Le PDG de Nissan, Makoto Uchida, a reconnu que son groupe avait "des problèmes" à surmonter, mais mise sur les "synergies" avec Honda, dont il salue "l'agilité".
Face aux mutations d'une industrie automobile où s'imposent informatique et tech, "nous ne pourrons progresser qu'en ayant le courage de changer nous-mêmes", a-t-il estimé.
Reflétant des situations inégales, alors que Honda est valorisé en Bourse quatre fois davantage que Nissan pour des volumes de vente comparables, Honda pourra sélectionner les principaux dirigeants de la future holding.
"Honda n'a aucune expérience en termes d'alliances, de fusions, ça ne marchera pas" et "d'un point de vue industriel, il y a des doublons partout", les deux constructeurs commercialisant des modèles voisins "avec les mêmes forces et faiblesses", a cinglé M. Ghosn.
Au risque de restructurations douloureuses donc. Une fusion générerait des bénéfices après 2030, a simplement assuré M. Mibe.
L'opération contribuerait à estomper davantage l'alliance historique, nouée par Carlos Ghosn, de Nissan avec Renault: le français réduit progressivement sa présence au capital du groupe nippon après des années d'une relation orageuse Mais il contrôle encore quelque 35%, lui garantissant une voix décisive, et devrait chercher à préserver les projets communs qu'il conserve avec Nissan.
Nissan et Honda ont annoncé lundi la signature d'un protocole d'accord en vue d'une fusion qui donnerait naissance au troisième constructeur automobile mondial et marquerait un changement radical dans un secteur en plein bouleversement.
Les deux constructeurs automobiles japonais, qui ont dit vouloir conclure leurs négociations autour de juin 2025 et se regrouper dans une holding d'ici août 2026, visent un chiffre d'affaires combiné de 30.000 milliards de yens (183,4 milliards d'euros) et un bénéfice d'exploitation de plus de 3.000 milliards de yens.
A l'issue de la création de la holding, les actions des deux groupes seront retirées de la cote, selon une source.
Un rapprochement entre Nissan et Honda permettrait de créer le troisième groupe automobile mondial en termes de véhicules vendus, derrière Toyota et Volkswagen .
"L'essor des constructeurs automobiles chinois et de nouveaux acteurs a considérablement changé le secteur automobile", a souligné le directeur général de Honda, Toshihiro Mibe, lors de la conférence de presse des deux groupes.
"Nous devons renforcer nos capacités pour les combattre d'ici 2030, sinon nous serons défaits", a-t-il ajouté.
Les constructeurs automobiles traditionnels souffrent en effet de la concurrence d'acteurs comme Tesla et des groupes chinois comme BYD .
Honda, le deuxième constructeur automobile japonais derrière Toyota, dispose d'une capitalisation boursière d'environ 40 milliards de dollars, tandis que Nissan, qui occupe le troisième rang, est valorisé en Bourse à environ 10 milliards de dollars.
Dans le cadre du protocole d'accord, Honda nommera la majorité des membres du conseil d'administration de la future holding.
CONSOLIDATION
Un rapprochement des deux marques historiques japonaises marquerait la plus importante consolidation du secteur depuis la fusion en 2021 entre Fiat Chrysler Automobiles et PSA qui a donné naissance à Stellantis dans le cadre d'une opération de 52 milliards de dollars.
En intégrant Mitsubishi Motors , partenaire de Nissan, les ventes mondiales du nouvel ensemble grimperaient à plus de 8 millions de véhicules. Le troisième groupe automobile mondial est actuellement le sud-coréen Hyundai et son affilié Kia .
Renault , premier actionnaire de Nissan, a déclaré à Reuters qu'il étudiait les implications d'un rapprochement entre les deux constructeurs japonais.
"Les discussions entre Nissan et Honda sont encore au début. En tant qu'actionnaire principal de Nissan, Renault Group discutera avec Nissan et envisagera toutes les options possibles dans le meilleur intérêt de Renault Group et de ses parties prenantes", a dit le groupe au losange.
Avant l'annonce de Nissan et Honda, des sources avaient rapporté à Reuters que les deux groupes avaient prévu de réunir ce lundi leurs conseils d'administration puis de tenir une conférence de presse commune à laquelle des représentants de Mitsubishi Motors devraient aussi prendre part.
Lors d'une conférence de presse en ligne depuis le Liban où il est désormais réfugié, l'ancien PDG de Nissan, Carlos Ghosn, s'est montré critique sur la viabilité d'une éventuelle fusion entre Honda et Nissan, estimant que ce projet "n'avait pas de sens".
A la Bourse de Tokyo, l'action Honda a fini lundi sur un gain de 3,82%, tandis le titre Nissan a avancé de 1,58% et celui de Mitsubishi Motors de 5,25%, contre une hausse de 1,19% pour l'indice Nikkei .
A Paris, vers 09h00 GMT, l'action Renault recule de 0,66% avec un repli de 0,20% pour l'indice CAC 40 et une baisse de 0,61% pour le compartiment de l'automobile (.SXAP) en Europe.
Les Bourses européennes évoluaient dans le rouge lundi, tandis que les places asiatiques montraient des signes de reprise, soulagées par des chiffres de l'inflation américaine après une semaine plombée par la prudence de la Fed.
A 08H50 GMT, les principaux indices boursiers européens s'inscrivaient en légère baisse, avec Paris en recul de 0,19%, Francfort de 0,15%, Londres de 0,19% et Milan de 0,24%.
En ce début de semaine de Noël grignotée par des fermetures des places boursières, "les investisseurs continueront à agir avec beaucoup de prudence et de sélectivité", note l'analyste indépendant Andreas Lipkow.
Cela va se sentir car "le volume des transactions devrait encore diminuer, notamment avant et entre les fêtes à venir", ajoute-t-il.
En Asie, l'indice Nikkei, vedette de la Bourse de Tokyo, a terminé en hausse pour la première fois en sept séances, montant de 1,19% à 39.161,34 points.
La Bourse de Hong Kong gagnait 0,82% celle de Shanghai perdait 0,50%.
Dans une dynamique similaire aux autres places mondiales, les marchés japonais ont rebondi "dans le prolongement de la progression des indices américains", ont souligné des analystes de Monex Securities.
Au dernier jour d'une semaine morose sur les places financières, Wall Street a retrouvé des couleurs, grâce à la publication de l'indice PCE aux Etats-Unis, l'indicateur d'inflation favori de la Réserve fédérale américaine (Fed), qui a progressé de 0,1% sur un mois en novembre, soit moins que le mois précédent et que les attentes du marché.
"Cela a permis d'atténuer les inquiétudes du marché suscitées par la prévision de la Réserve fédérale d'un (ralentissement de la) réduction des taux d'intérêt en 2025", explique John Plassard, spécialiste de l'investissement pour Mirabaud.
Nissan et Honda discutent de fiançaillesLe géant japonais de l'automobile Honda (+3,82%) et son compatriote en difficulté Nissan (+1,58%) se sont entendus pour ouvrir des négociations en vue d'une fusion susceptible de donner naissance au numéro trois mondial du secteur, a indiqué Nissan dans un communiqué.
Mitsubishi Motors (+5,25%), dont Nissan est le principal actionnaire, pourra se joindre aux discussions pour intégrer la nouvelle alliance industrielle au sein d'une "holding unique" qui pourrait être indtoduite en Bourse en août 2026.
Ce rapprochement vise à se renforcer dans l'électrique, virage technologique dominé par l'américain Tesla et les groupes chinois.
A 08H50 GMT, le français Renault, qui contrôle encore quelque 35% de Nissan (17% en direct, et 18,6% via une fiducie destinés à être graduellement cédés), reculait de 0,58%.
Volkswagen compacteLe premier constructeur automobile européen Volkswagen (1,55% à 08H50 GMT) va supprimer plus de 35.000 emplois en Allemagne d'ici 2030 et réduire sa production dans le pays, tout en évitant fermetures d'usines et licenciements dans le cadre d'un accord scellé vendredi pour tenter de sauver le groupe en crise.
Ce plan d'économies prévoit aussi des réductions d'environ 10% des rémunérations de près de 4.000 cadres pour les années 2025 et 2026, a rapporté ce week-end la Süddeutsche Zeitung.
Airbus cloué au solAirbus perdait 0,72% à 08H40 GMT après que la compagnie aérienne Malaysia Airlines a cloué au sol son nouvel Airbus A330neo quelques jours seulement après son vol inaugural pour des raisons techniques, ont rapporté les médias malaisiens.
Le pétrole dans le vertLes cours du pétrole étaient dans le vert: vers 08H40 GMT, le baril de West Texas Intermediate (WTI) américain gagnait 0,14% à 69,56 dollars, et celui de Brent de la mer du Nord avançait de 0,12% à 73,03 dollars.
Le bitcoin se montrait stable (-0,06%) à 95.049 dollars.
Sur le marché des changes, l'euro perdait 0,19% par rapport à la monnaie américaine, à 0,9606 euro pour un dollar.
Le géant japonais de l'automobile Honda et son compatriote en difficulté Nissan se sont entendus pour ouvrir des négociations en vue d'une fusion susceptible de donner naissance au numéro trois mondial du secteur, a indiqué Nissan dans un communiqué.
Mitsubishi Motors, dont Nissan est le principal actionnaire, pourra se joindre aux discussions pour intégrer la nouvelle alliance industrielle au sein d'une "holding unique". Ce rapprochement vise à se renforcer dans l'électrique, virage technologique dominé par l'américain Tesla et les groupes chinois.
Le géant japonais de l'automobile Honda et son compatriote en difficulté Nissan doivent annoncer lundi l'ouverture de négociations en vue d'une fusion susceptible de donner naissance au numéro trois mondial pour se renforcer dans l'électrique.
Ce projet intervient alors que les constructeurs traditionnels sont laminés par l'essoufflement du marché et l'onéreuse transition dans l'électrique, virage technologique dominé par l'américain Tesla et les groupes chinois, BYD en tête.
A l'instar de l'allemand Volkswagen, Honda et Nissa ont vu leurs ventes dégringoler en Chine, premier marché mondial dont ils sont très dépendants.
Selon plusieurs médias japonais, les conseils d'administration des deux groupes ont chacun avalisé le début des négociations, avant une conférence de presse convoquée à 08H00 GMT.
Déjà associés dans un "partenariat stratégique", Nissan et Honda, deuxième et troisième constructeurs japonais derrière Toyota, entendent s'accorder d'ici juin 2025, en vue de se réunir sous une holding unique en août 2026, selon le quotidien Nikkei.
Mitsubishi Motors, dont Nissan est le principal actionnaire, est appelé à rejoindre la nouvelle alliance industrielle, où chacun pourrait assembler ses véhicules dans les usines des partenaires.
Les trois constructeurs réunis constitueraient le troisième groupe automobile mondial avec quelque huit millions de véhicules écoulés l'an dernier, derrière Toyota et Volkswagen.
-Nissan "en mode panique"-Un rapprochement providentiel pour Nissan: fortement endetté, il a essuyé une perte nette inattendue au dernier trimestre et sa marge opérationnelle a presque totalement fondu.
Sur ses deux marchés-clés, ses ventes ont plongé: aux Etats-Unis, faute d'hybrides rechargeables face à une forte demande, et en Chine, en raison de la domination des marques locales sur le tout-électrique.
Début novembre, Nissan a annoncé supprimer 9.000 postes dans ses effectifs mondiaux.
Témoin de sa vulnérabilité: le géant taïwanais de l'assemblage électronique Foxconn (Hon Hai), fournisseur d'Apple, a approché Nissan pour acquérir une participation majoritaire, selon la presse japonaise, précipitant l'ouverture de négociations avec Honda.
Miné par les "luttes de pouvoir" internes, Nissan "s'est marginalisé en raison de ses propres erreurs" et se trouve aujourd'hui "en mode panique, suppliant son ennemi de toujours" Honda, a estimé lundi devant la presse l'ex-patron déchu du constructeur, Carlos Ghosn.
Honda, lui, profiterait d'une entité élargie pour lancer efficacement des voitures entièrement électriques, après l'échec d'un projet commun avec l'américain General Motors. Le groupe vise 100% de véhicules électriques d'ici 2040.
Un mariage permettrait de partager les coûts élevés et les risques du développement de modèles électriques et de batteries, de sécuriser les chaînes d'approvisionnement et de gagner en compétitivité via des économies d'échelle.
Les groupes nippons se sont longtemps concentrés sur les hybrides (combinant motorisations thermique et électrique), négligeant l'essor mondial du tout-électrique. La Chine a ainsi dépassé le Japon comme premier pays exportateur de véhicules en 2023.
Alarmés, Nissan et Honda avaient dévoilé en mars un "partenariat stratégique" dans les logiciels et composants pour véhicules électriques. Initiative rejointe en août par Mitsubishi.
"Si le rapprochement Nissan-Honda vise à préparer l'avenir, développer les composants des futures voitures électriques qu'on ne produit quasiment pas aujourd'hui, ça fait sens", indique à l'AFP une source proche du dossier.
Selon Kyodo, Honda exige que Nissan amorce une "reprise en V" de ses performances comme condition à la fusion tout en étant prêt à l'aider à produire des hybrides en Amérique du Nord.
Ce ne serait pas une union entre égaux, Honda étant valorisé en Bourse quatre fois davantage que Nissan, augurant de tractations complexes sur une gouvernance commune.
"Honda n'a aucune expérience en termes d'alliances ou de fusions, c'est une firme d'ingénieurs, ça ne marchera pas (...) Un éventuel groupe fusionné luttera pour sa survie et son positionnement, il aura du mal face aux Chinois, à Tesla et Toyota", a jugé M. Ghosn.
Une fusion contribuerait à estomper davantage l'alliance historique, nouée par Carlos Ghosn, de Nissan avec Renault, qui réduit progressivement sa présence au capital du groupe japonais, après des années d'une relation orageuse.
Le français contrôle encore quelque 35% de Nissan (17% en direct, et 18,6% via une fiducie destinés à être graduellement cédés), lui garantissant une voix décisive dans le sort du groupe nippon.
"Renault a rééquilibré l'alliance, sans la détricoter: c'est dans son intérêt de préserver les projets qu'ils ont encore ensemble" et de veiller en tant qu'actionnaire à la valeur du titre Nissan, insiste la source proche.
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