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Coach de trading en chef et conférencier BeingTrader, plus de 8 ans d'expérience dans le trading du marché des changes, principalement XAUUSD, EUR/USD, GBP/USD, USD/JPY et pétrole brut. Un trader et analyste confiant qui vise à explorer diverses opportunités et à guider les investisseurs sur le marché. En tant qu'analyste, je cherche à améliorer l'expérience du trader en le soutenant avec suffisamment de données et de signaux.
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HK Non-Essential Consumer Goods Industry
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HK Real Estate Industry
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Les banques européennes, espagnoles et italiennes en tête affichent des résultats en progression au troisième trimestre. Mais des caisses remplies suffiront-elles pour permettre à certaines d'avaler leurs concurrentes ?
Les discussions en cours sur les fusions entre établissements en Europe peinent en effet à se concrétiser.
Le troisième trimestre est "positif" pour les banques européennes, a souligné auprès de l'AFP Matthieu Prieuret, consultant chez Eurogroup Consulting.
La santé des géants bancaires d'Europe du Sud est toujours éclatante, au-delà des attentes des analystes. Ces banques sont avantagées par une meilleure maîtrise des coûts et un marché domestique qui permet une revalorisation plus rapide de leurs stocks de prêts immobiliers, souvent accordés à taux variables.
L'espagnol Banco Santander se paye par exemple le luxe de passer devant BNP Paribas en termes de bénéfice net entre juillet et septembre: 3,25 milliards d'euros (+12%) contre 2,8 milliards d'euros (+5,9%) pour le Français.
Son compatriote BBVA a dégagé 2,63 milliards d'euros de bénéfice net sur la période, une progression de 26% sur un an.
En Italie, le bénéfice net d'Intesa Sanpaolo a augmenté de 26% à 2,4 milliards d'euros quand celui d'Unicredit a grimpé de 8,2%, à 2,5 milliards d'euros.
- Appétits -Si cette bonne santé des banques du sud de l'Europe, en dépit de la baisse des taux amorcée par la Banque centrale européenne (BCE), remplit leurs coffres, elle aiguise aussi leurs appétits.
UniCredit a ainsi fait une entrée significative au capital de l'allemande Commerzbank en septembre, possédant jusqu'à 21% des titres sous réserve des autorisations requises, et son patron Andrea Orcel a, encore mercredi, redit son intérêt pour la banque de Francfort, en laissant toutes les options ouvertes mais en s'accordant toutefois un an pour prendre sa décision.
Commerzbank, qui a publié mercredi un bénéfice net en recul de 6%, à 642 millions d'euros, néanmoins supérieur aux prévisions des analystes, ne fait pas mystère pour sa part de sa volonté de rester indépendante.
Au sein de la BCE, les avis semblent diverger sur la question des fusions bancaires. La présidente de l'institution Christine Lagarde juge "souhaitables" les fusions transfrontalières en Europe, mais la cheffe du conseil de surveillance Claudia Buch est plus mesurée.
"L'histoire montre" que les "avantages ou synergies" espérés dans une fusion "ne se matérialisent pas toujours et qu'il existe des risques, liés par exemple à des systèmes informatiques ou à une complexité de gestion supplémentaires", explique-t-elle dans un entretien donné lundi à quatre quotidiens européens.
Outre le dossier Unicredit-Commerzbank, en Espagne, l'issue de l'offre publique d'achat (OPA) hostile de BBVA sur sa concurrente Sabadell, initiée en mai, reste aussi incertaine.
La banque originaire du Pays Basque attend toujours l'autorisation du gendarme boursier espagnol ainsi que celles des autorités de la concurrence des pays où les deux banques ont des activités, dont l'Espagne.
La fusion de deux acteurs du même pays peut pourtant se voir positivement dans les comptes: UBS, qui a absorbé Credit Suisse, a ainsi publié un bénéfice de 1,4 milliard de dollars au troisième trimestre, très largement supérieur aux attentes.
A la même période un an plus tôt, UBS avait essuyé une perte de 715 millions de dollars en raison des frais de cette intégration en catastrophe quelques mois plus tôt.
- Débat fiscal -Les profits records des banques européennes ces dernières années ont poussé plusieurs gouvernements européens à les faire contribuer davantage aux finances publiques.
En Espagne, le débat fait rage sur l'avenir d'un impôt exceptionnel sur les grands groupes énergétiques et bancaires, initialement instauré pour deux ans, mais que le gouvernement souhaite pérenniser au-delà de 2024.
En Italie, le gouvernement de Giorgia Meloni a fait appel aux banques pour financer le projet de budget 2025: elles contribueront pour environ 2,5 milliards d'euros, en acceptant de reporter des crédits d'impôt prévus en 2025, afin de fournir des liquidités à l'Etat italien - qui devrait les rembourser ultérieurement.
La France va-t-elle suivre?
"C'est quand même une priorité collective pour nous (...) de contribuer un peu plus pour participer (au) redressement" des finances publiques, a estimé mercredi le directeur général du Crédit Agricole Philippe Brassac, en écho aux discussions sur le sujet dans le budget de l'Etat l'an prochain.
Le tribunal de l'UE a confirmé mercredi l'infraction à la libre concurrence dont se sont rendues coupables il y a une dizaine d'années trois banques, dont le Crédit Suisse (désormais UBS) et le Crédit agricole, et a maintenu le montant des amendes infligées en 2021.
Cette année-là, la Commission européenne avait infligé un total de plus de 28 millions d'euros d'amende à l'américaine Bank of America (12,6 millions), au Crédit Suisse (11,9) et au Crédit agricole (3,9), trois établissements accusés de s'être entendus pour fausser la concurrence sur le marché obligataire.
La Deutsche Bank était également concernée par l'entente constatée entre 2010 et 2015. Mais elle avait révélé l'affaire aux autorités européennes et n'avait pas été sanctionnée.
Saisi d'un recours du Credit suisse et du Crédit agricole exigeant l'annulation de la décision de Bruxelles, le tribunal de l'UE a globalement balayé leurs arguments, et estimé que la Commission n'avait pas commis d'erreurs d'appréciation.
La juridiction établie à Luxembourg a très légèrement réduit la période infractionnelle retenue par la Commission contre le Crédit agricole, mais sans que cela n'affecte le montant de l'amende infligée à la banque française, selon un communiqué.
Les amendes sont également confirmées pour les autres banques pour des infractions à la libre concurrence commises par leurs traders à partir de 2010 et jusqu'en mars 2015, via notamment des forums de discussions sur internet.
Le tribunal juge que "les comportements adoptés par les traders des banques concernées s'inscrivaient dans un plan d'ensemble poursuivant un objectif anticoncurrentiel unique même si, après février 2013, ces échanges entre traders ont été moins fréquents".
"Ceux-ci ont poursuivi leurs discussions à caractère anticoncurrentiel de façon récurrente, en échangeant librement des informations sur leurs activités de négociation en cours", poursuit la juridiction.
La décision peut être contestée via un pourvoi devant la Cour de justice de l'UE limité aux questions de droit.
Les Bourses européennes sont orientées à la baisse jeudi, digérant de nombreux résultats d'entreprises et une inflation qui a surpris en zone euro, avant de nouveaux chiffres d'inflation et sur l'emploi aux Etats-Unis.
En Europe, la Bourse de Paris reculait nettement de 1,03% vers 11H50 GMT, celle de Francfort 0,57%, Milan 0,51% et Londres 0,78%.
L'inflation en zone euro a augmenté plus que prévu en octobre, à 2% sur un an, tirée par les tarifs de l'alimentation, après avoir atteint le mois précédent son plus bas niveau en trois ans et demi, selon des chiffres publiés par Eurostat.
La hausse des prix à la consommation se maintient au niveau de l'objectif fixé par la Banque centrale européenne (BCE). Elle est cependant un peu plus prononcée que prévu, alors que les analystes de Factset et Bloomberg tablaient en moyenne sur une progression à 1,9%.
"Dans l'ensemble, cela ne modifie pas la trajectoire attendue de la politique monétaire. La Banque centrale européenne a déjà prévu une reprise temporaire de l'inflation lors de sa réunion d'octobre, et la croissance est toujours orientée à la baisse car elle a été soutenue par des éléments ponctuels au troisième trimestre", explique Christophe Boucher, directeur des investissements chez ABN Amro IS.
"À l'approche de la fin de la semaine, des données économiques clés sont attendues, notamment la mesure de l'inflation préférée de la Fed", l'indice PCE, et le rapport sur l'emploi du mois d'octobre demain", commente Ricardo Evangelista, analyste d'ActivTrades.
Par ailleurs, les résultats des géants technologiques américains sont scrutés par les investisseurs.
La veille, Meta, maison mère de Facebook, d'Instagram et de WhatsApp, et Microsoft ont tous deux publié des résultats qui ont surpassé les attentes du marché au troisième trimestre, mais dont les perspectives ont déçu.
Les inquiétudes des investisseurs persistent notamment sur les dépenses de ces géants technologiques, faramineuses dans l'intelligence artificielle (IA).
Apple et Amazon seront à l'honneur jeudi soir à Wall Street.
Selon les contrats à terme des trois principaux indices américains, la Bourse de New York s'achemine vers une ouverture en baisse.
Par ailleurs, les investisseurs "deviennent de plus en plus nerveux avant (...) les élections américaines", commente John Plassard, spécialiste de l'investissement pour Mirabaud.
Les marges des pétrolières à la peineLe secteur pétrolier a vu deux de ses géants européens publier leurs résultats, souffrant chacun de la baisse des marges de raffinage et des prix du pétrole.
Le britannique Shell a dévoilé un bénéfice net en fort repli au troisième trimestre, mais le titre gagne toutefois 1,49% à Londres, ses difficultés sur la période étant en partie compensées par la baisse des charges d'exploitation et la hausse des volumes de l'activité gazière.
D'autant plus que la chute de son bénéfice net reste mesurée en comparaison de celle de l'autre "major" britannique du secteur, BP (-0,27%), qui a annoncé mardi 206 millions de dollars de profits, contre 4,9 milliards un an plus tôt.
Le français TotalEnergies (-3,04%) a lui aussi vu son bénéfice net s'effondrer au troisième trimestre, à 2,1 milliards d'euros (-65% par rapport au 3e trimestre 2023).
Les bancaires scrutéesLa banque française Société Générale voit son action bondir de plus de 9% à Paris, portée par la publication de résultats meilleurs qu'attendu par le marché au troisième trimestre. A l'inverse, sa concurrente BNP Paribas dévisse de 5,66%, après des résultats jugés mitigés sur la même période.
Le pétrole légèrement en hausseLes prix du pétrole tâtonnent, plutôt à la hausse, avec des données économiques favorables à la demande en provenance des Etats-Unis.
Vers 11H45 GTM, le prix du baril de Brent de la mer du Nord prend 0,39% à 72,84 dollars et son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate (WTI) 0,48%, à 68,94 dollars.
Sur le marché des changes, le dollar cède 0,08% face à l'euro, à 1,0864 dollar.
Le bitcoin relâchait 0,55% à 72.428 dollars.
Une pluie de résultats d'entreprises s'abat jeudi sur des Bourses mondiales moroses, dans un marché de plus en plus nerveux à l'approche de l'élection présidentielle américaine, dont le résultat se jouera selon les sondages dans un mouchoir de poche.
En Europe, la Bourse de Paris perdait 0,62% à 08H40 GMT, celle de Francfort 0,54%, Milan 0,43% et Londres 0,58%.
En Asie, la Bourse de Tokyo a terminé en repli de 0,50% et dans les derniers échanges, Hong Kong cède 0,31%.
"C'est une grosse journée aujourd'hui avec l'inflation américaine PCE", qui est la jauge d'inflation préférée de la banque centrale américaine (Fed), "de nouveaux chiffres d'inflation en zone euro et les résultats trimestriels d'Apple et d'Amazon après la clôture" à Wall Street, résume Jim Reid, économiste de Deutsche Bank.
Mercredi soir, les investisseurs ont scruté les résultats de Meta et de Microsoft, et ils "ont renforcé la pression qui pèse sur le secteur de la technologie", poursuit l'économiste.
Meta, maison mère de Facebook, d'Instagram et de WhatsApp, et Microsoft ont tous deux publié des résultats qui ont surpassé les attentes du marché au troisième trimestre, mais dont les perspectives ont déçu. Les inquiétudes des investisseurs persistent notamment sur les dépenses de ces géants technologiques, faramineuses dans l'intelligence artificielle (IA).
Par ailleurs, les investisseurs, "deviennent de plus en plus nerveux avant (...) les élections américaines", commente John Plassard, spécialiste de l'investissement pour Mirabaud.
La veille, le groupe Trump Media a chuté de plus de 22% à Wall Street "en partie en raison des nouveaux sondages de CNN" qui ont permis "de réduire la probabilité d'une victoire de Trump à 51%, contre 54% la veille", a rapporté Jim Reid dans une note.
Sur les autres marchés, le bitcoin lâchait 0,89% à 72.189 dollars à 08H40 GMT. Du côté des changes, le dollar est sans changement (0,01%) face à l'euro, à 1.0856 dollar.
Les marges des pétrolières à la peineLe secteur pétrolier a vu deux de ses géants européens publier leurs résultats, souffrant chacun de la baisse des marges de raffinage et des prix du pétrole.
Le britannique Shell a dévoilé un bénéfice net en fort repli au troisième trimestre, mais le titre gagne toutefois 0,82% à Londres, ses difficultés sur la période étant en partie compensées par la baisse des charges d'exploitation et la hausse des volumes de l'activité gazière.
D'autant plus que la chute de son bénéfice net reste mesurée en comparaison de celle de l'autre "major" britannique du secteur, BP (-0,23%), qui a annoncé mardi 206 millions de dollars de profits, contre 4,9 milliards un an plus tôt.
Le français TotalEnergies (-2,40%) a lui aussi vu son bénéfice net s'effondrer au troisième trimestre, à 2,1 milliards d'euros (-65% par rapport au 3e trimestre 2023).
Les cours du pétrole restent stables jeudi: le baril de Brent de la mer du Nord (+0,04%) s'échangeait à 72,58 dollars vers 08H25 GMT et celui de West Texas Intermediate (WTI) américain (+0,04% également) à 68,64 dollars.
Les bancaires scrutéesLa banque française Société Générale voit son action bondir de plus de 8% à Paris, portée par la publication de résultats meilleurs qu'attendu par le marché au troisième trimestre. A l'inverse, sa concurrente BNP Paribas dévisse de 6,17%, après des résultats jugés mitigés sur la même période.
A Madrid, le géant bancaire espagnol BBVA lâche 0,70% après avoir publié un bénéfice en forte hausse au troisième trimestre grâce à de bons résultats au Mexique et en Espagne.
Les semi-conducteurs pèsentLes titres liés à l'industrie des semi-conducteurs sont en baisse dans la foulée de la dégringolade du secteur la veille à Wall Street, où le groupe AMD s'était effondré de 10%.
A Tokyo, Tokyo Electron a lâché 1,67%, le fabricant nippon de puces Renesas 3,74%.
A contrario, le fabricant d'équipements pour la production de semi-conducteurs Advantest (+7,10%) se distinguait, ayant relevé ses prévisions et annoncé un massif rachat d'actions.
En Europe, ASM recule de 3,08%, ASML lâche 0,76% et BE Semiconductor Industries 1,72%.
Le géant bancaire espagnol BBVA a dégagé un bénéfice en forte hausse au troisième trimestre grâce à de bons résultats au Mexique et en Espagne, en pleine OPA sur sa concurrente Sabadell, qu'il espère conclure dans les prochains mois.
La deuxième banque espagnole a dégagé au total 2,63 milliards d'euros de bénéfice net entre juillet et septembre, soit 26% de plus que les 2,08 milliards du troisième trimestre 2023.
Ce chiffre est supérieur aux prévisions des analystes interrogés par le service d'information financière Factset, qui tablaient en moyenne sur un bénéfice de 2,37 milliards d'euros.
Pour la période allant de janvier à septembre, la banque espagnole a engrangé 7,62 milliards d'euros de bénéfice, soit 28% de plus que le chiffre de la même période de l'an dernier.
La banque explique cette forte progression par une hausse de l'octroi de crédits à sa clientèle (+11% sur un an) et de ses marges d'intérêts, soutenue par l'arrivée de près de 8,5 millions de nouveaux clients en neuf mois.
"Nous restons en tête des quinze plus grandes banques européennes" en termes de "rentabilité", a souligné dans un communiqué le directeur général de BBVA, Onur Genç, en insistant sur les bons résultats en Espagne et au Mexique.
Le Mexique, son premier marché mondial, a pesé au cours de cette période pour 50,1% de son résultat net, contre 34,3% pour l'Espagne et 5,2% la Turquie - où le groupe est implanté via sa filiale Garanti BBVA.
Ces résultats surviennent alors que le groupe originaire du Pays basque a lancé le 9 mai une offre publique d'achat (OPA) hostile sur sa concurrente Sabadell, dont l'issue reste très incertaine, au vu des obstacles qui se dressent sur son chemin.
BBVA, qui a validé une augmentation de capital, première étape indispensable au lancement de l'opération, a obtenu début septembre le feu de la Banque Centrale Européenne (BCE).
Mais il lui reste à décrocher l'autorisation du gendarme boursier espagnol (CNMV) ainsi que celles des autorités de la concurrence des pays où les deux banques ont des activités, dont l'Espagne.
Or l'opération se heurte à l'opposition frontale des dirigeants de Sabadell et est rejetée par le gouvernement espagnol, qui a promis d'avoir "le dernier mot" dans ce dossier.
"Nous sommes convaincus que la transaction avec Banco Sabadell se concrétisera dans les prochains mois", assure néanmoins Onur Genç dans le communiqué.
EUROPE AVANT LA CLOCHE: LA TECHNOLOGIE ET LES RESULTATS DES BANQUES
Les marchés boursiers européens ont commencé en baisse jeudi, les résultats des poids lourds de la technologie Microsoft et Meta n'ayant pas enthousiasmé Wall Street, la prudence des investisseurs augmentant à l'approche de l'élection présidentielle américaine de la semaine prochaine.
Microsoft a prédit un ralentissement de la croissance de l'informatique dématérialisée l'année prochaine et le propriétaire de Facebook a mis en garde contre une accélération significative des dépenses d'infrastructure liées à l'intelligence artificielle.
Leurs actions ont chuté respectivement de 5 % et de 3 % sur (link) Francfort, les contrats à terme du Nasdaq ayant baissé de 1 % en conséquence. Les contrats sur les indices EuroSTOXX50 et FTSE étaient en baisse de 0,6 et 0,4 %.
La journée a également été riche en résultats européens.
Parmi les faits marquants, le fabricant de puces STMicro a déclaré que son chiffre d'affaires annuel se situerait dans le bas de la fourchette de ses prévisions. Il s'agit de la troisième réduction de ses perspectives cette année en raison de la faible demande des clients industriels (link).
En France, le plus grand banque de la zone euro, BNP Paribas , a déclaré que l'augmentation de l'activité commerciale l'a aidé à atteindre ses prévisions de bénéfices (link), après que ses activités de crédit à la consommation et de crédit-bail automobile aient déçu.
Toujours dans le secteur bancaire, ING a annoncé un rachat d'actions et des dividendes (link) pour un montant total de 2,5 milliards d'euros, et a relevé ses perspectives de revenu total pour 2024 pour le deuxième trimestre consécutif.
Danske Bank et les banques espagnoles BBVA et Sabadell ont également publié des chiffres.
Shell (link) , qui a annoncé des bénéfices de 6 milliards de dollars au troisième trimestre, dépassant les prévisions, car les résultats plus faibles du raffinage et du commerce du pétrole ont été compensés par des ventes de gaz plus importantes, est également sur la liste de surveillance.
(Danilo Masoni (link))
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Le groupe bancaire Caixabank a vu son bénéfice progresser de 4% au premier semestre grâce à de meilleures marges opérationnelles, portées par une hausse de l'octroi de crédits à sa clientèle, selon les résultats publiés jeudi par le groupe.
La troisième banque espagnole derrière Santander et BBVA a dégagé au total 1,58 milliard d'euros de bénéfice net entre juillet et septembre, contre 1,52 milliard d'euros sur la même période de 2023.
Ce résultat, qui fait suite à un premier semestre solide (2,67 milliards de bénéfice net), est légèrement supérieur aux prévisions des analystes interrogés par Factset, qui tablaient en moyenne sur 1,52 milliard de profits.
Sur les neuf premiers mois de l'année, le bénéfice de Caixabank s'établit à 4,25 milliards d'euros, soit 16% de plus que l'an dernier, précise la banque espagnole dans un communiqué.
Le troisième trimestre "a suivi la tendance positive des six premiers mois de l'année, avec une activité commerciale intense", souligne dans un communiqué le directeur général de CaixaBank, Gonzalo Gortázar.
CaixaBank, qui revendique 20,2 millions de clients en Espagne et au Portugal, a ainsi porté les dépôts de sa clientèle à 43,5 milliards d'euros, en profitant de bonnes performances de ses produits d'épargne à long terme.
La banque a également bénéficié des synergies issues de fusion avec Bankia, conclue en 2021, qui a donné naissance à la première banque d'Espagne en termes d'actifs - CaixaBank restant devancée par Santander et BBVA en terme de présence internationale.
Le bénéfice des neuf premiers mois aurait été encore plus élevé sans l'impôt sur les grands groupes financiers mis en place par le gouvernement espagnol afin financer des mesures de soutien au pouvoir d'achat des ménages.
Cet impôt temporaire, que l'exécutif souhaite pérenniser, devrait rapporter à l'Etat 1,5 milliard d'euros en 2023 comme en 2024. Il a poussé CaixaBank à provisionner 493 millions d'euros pour 2024, après 373 millions en 2023.
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