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Coach de trading en chef et conférencier BeingTrader, plus de 8 ans d'expérience dans le trading du marché des changes, principalement XAUUSD, EUR/USD, GBP/USD, USD/JPY et pétrole brut. Un trader et analyste confiant qui vise à explorer diverses opportunités et à guider les investisseurs sur le marché. En tant qu'analyste, je cherche à améliorer l'expérience du trader en le soutenant avec suffisamment de données et de signaux.
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HK Stock Trading Fees and Taxation
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HK Non-Essential Consumer Goods Industry
The Hong Kong stock market encompasses non-essential consumption sectors like automotive, education, tourism, catering, and apparel. Of the 643 listed companies, 35% are mainland Chinese, making up 65% of the total market capitalization. Thus, it's heavily influenced by the Chinese economy.
HK Real Estate Industry
In recent years, the real estate and construction sector's share in the Hong Kong stock index has notably decreased. Nevertheless, as of 2022, it retains around 10% market share, covering real estate development, construction engineering, investment, and property management.
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Les compagnies de transport par conteneurs telles que Maersk , CMA CGM et COSCO ont commandé des centaines de nouveaux navires ces dernières années afin d'aider leur industrie à réduire les émissions de gaz à effet de serre (GHG) pour répondre à la demande croissante des clients et des autorités de régulation dans le monde entier.
Leurs carnets de commandes reflètent toutefois l'incertitude quant à savoir lequel des nombreux carburants dits verts deviendra la norme dans les décennies à venir, et si les approvisionnements seront suffisamment bon marché et abondants pour permettre à leurs flottes de rester en mouvement.
La décarbonisation du transport maritime (link) est importante pour les efforts mondiaux de lutte contre le changement climatique, car elle représente environ 3 % des gaz à effet de serre, mais elle sera difficile et coûteuse, car elle nécessitera des milliards de dollars d'investissements dans de nouveaux navires et dans la production de carburants.
L'Organisation maritime internationale des Nations unies s'est fixé pour objectif de réduire à zéro les émissions du secteur du transport maritime (link) d'ici à 2050, mais les décideurs politiques n'ont jusqu'à présent apporté que peu de soutien ou de conseils sur la manière dont les entreprises devraient s'y prendre, ce qui laisse planer un mystère sur l'avenir du marché.
"Aucun carburant ni aucune technologie ne domine", a déclaré Knut Orbeck-Nilssen, directeur général de Maritime chez DNV, un organisme norvégien de certification des navires.
Face à cette réalité, les opérateurs de ces navires imposants qui transportent des milliers de boîtes d'expédition remplies de meubles, de télévisions, de chaussures et de jouets destinés à des entreprises telles que Walmart , Amazon , IKEA et Nike se protègent en augmentant leurs commandes de moteurs hybrides conçus pour différents types de carburants verts, mais qui leur permettent également de se rabattre sur le pétrole si ces carburants verts ne sont pas disponibles ou sont trop coûteux.
Selon les données de DNV, les compagnies de transport de conteneurs avaient en attente des commandes pour 522 nouveaux navires à double carburant au 31 octobre. Parmi ceux-ci, 303 sont conçus pour fonctionner au gaz naturel liquéfié (LNG ), 216 sont destinés à brûler du méthanol, deux utiliseraient de l'hydrogène et un serait équipé pour utiliser de l'ammoniac, selon les données.
Rebecca Galanopoulos, analyste principale du contenu chez le fournisseur de logiciels et de services maritimes Veson Nautical, a déclaré que 65 % des commandes de porte-conteneurs en 2024 concernaient des moteurs à double carburant, contre seulement 4 % en 2018.
"Les principaux acteurs du transport maritime préparent l'avenir de leur flotte", a-t-elle déclaré.
OBJECTIF: REMPLACER 2,5 MILLIARDS DE BARILS DE PÉTROLE
Chaque année, le secteur maritime brûle environ 2,5 milliards de barils de fioul lourd, produit à partir des résidus bon marché de la production d'essence, de diesel et de carburéacteur.
Selon la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement ((link)), la décarbonisation de l'ensemble du secteur maritime pourrait coûter plus de 100 milliards de dollars par an et doubler les prix du carburant.
Bien que les 6 643 navires de l'industrie du transport maritime par conteneurs ne représentent qu'une petite fraction de la flotte mondiale, ils ont un impact considérable sur le climat parce qu'ils voyagent plus vite et consomment plus de carburant que les autres navires, selon les experts du transport maritime.
Les compagnies de transport de conteneurs sont aujourd'hui à l'avant-garde de la poussée écologique, ayant commandé plus de deux fois le nombre de navires à carburant alternatif que tout autre secteur de fret, comme les pétroliers ou les vraquiers, selon DNV.
Entre-temps, la plupart des navires qui utilisent des combustibles fossiles conventionnels peuvent également fonctionner avec du biodiesel fabriqué à partir d'huiles de cuisson usagées et d'autres produits. Mais on prévoit que les approvisionnements seront bien inférieurs aux besoins de l'industrie maritime.
CMA CGM, qui compte Walmart parmi ses principaux clients, fait partie de ceux qui ont réussi à s'approvisionner. La compagnie a réduit de 50 % les émissions de dioxyde de carbone par conteneur en utilisant du biodiesel, a déclaré Heather Wood, vice-présidente du développement durable du transporteur français.
Dans le même temps, la compagnie ajoute du biométhane (link), également connu sous le nom de gaz naturel renouvelable, à son mélange de carburants.
"Nous allons dans la bonne direction. Il s'agira simplement d'un portefeuille d'options", a déclaré M. Wood, qui a ajouté que CMA CGM investit 15 milliards de dollars dans de nouveaux navires pouvant fonctionner avec une variété de carburants plus propres.
PLUS DE GAZ
Les navires bicombustibles fonctionnant au GNL constituent désormais l'essentiel des commandes de porte-conteneurs. Bien qu'il s'agisse d'un combustible fossile, le GNL peut réduire les émissions de gaz à effet de serre de 23 %, car sa combustion est plus propre que celle des combustibles traditionnels, selon DNV.
Les écologistes et les climatologues sont toutefois beaucoup moins enthousiastes, car la production, le transport et l'utilisation du GNL peuvent entraîner des fuites de méthane, un puissant gaz qui réchauffe la planète, dans l'atmosphère. Il en va de même pour le gaz naturel renouvelable, issu de la décomposition de déchets animaux et végétaux.
La société suisse MSC, leader du secteur avec une flotte de plus de 800 navires en propriété ou affrétés, affirme que le GNL bénéficie d'une chaîne d'approvisionnement relativement sûre et fiable par rapport à d'autres carburants de transport maritime à faible teneur en carbone. Et, comme la plupart de ses homologues, elle a commandé des navires à double carburant GNL.
L'allemand Hapag-Lloyd a remporté en début d'année un contrat de deux ans pour fournir des navires alimentés au biométhane à partir de déchets à la Zero Emission Maritime Buyers Alliance (link) qui comprend des chargeurs importants tels qu'Amazon, IKEA et Nike.
Jo Friedmann, vice-président de la recherche sur la chaîne d'approvisionnement chez Rystad Energy, a déclaré que les carburants de transition comme le GNL pourraient "jouer un rôle assez important jusqu'en 2035 ou 2040"
LES TRANSPORTEURS S'ENGAGENT
Entre-temps, les dirigeants réclament des réglementations mondiales (link) qui créeraient plus de certitude et encourageraient les investissements dans le marché des carburants verts pour les décennies à venir.
Ils veulent des échéances mondiales pour l'élimination progressive des carburants polluants, des incitations gouvernementales pour la production et l'utilisation de carburants à faible teneur en carbone, et des pénalités pour les retardataires qui adoptent des carburants plus propres.
Par ailleurs, plusieurs entreprises investissent dans d'autres carburants alternatifs comme le méthanol vert et l'ammoniac, des carburants à base d'hydrogène produits à partir de sources d'énergie renouvelables comme le solaire et l'éolien.
CMA CGM (link), le danois Maersk (link), le taïwanais Evergreen et le chinois COSCO achètent des navires qui peuvent fonctionner au méthanol vert.
COSCO et CMA CGM, quant à elles, travaillent sur un projet d'achat, d'approvisionnement et de livraison de méthanol vert dans les principaux ports de Chine. (link) Et MSC équipe une partie non divulguée de ses nouveaux navires GNL avec des réservoirs compatibles avec l'ammoniac.
vincent Clerc, directeur général de Maersk, a déclaré au début de l'année lors de la cérémonie de baptême de l'un de ses navires au méthanol vert, l'Alette Maersk, à Los Angeles: "Nous pouvons rester les bras croisés et voir ce qui arrivera en premier, ou nous pouvons nous pencher" sur les investissements dans les carburants verts.
Le Japon veut investir 61 milliards d'euros de fonds publics dans l'intelligence artificielle (IA) et les semi-conducteurs d'ici 2030 pour récupérer son statut de puissance technologique, un moyen aussi d'accompagner son vieillissement démographique et de se préparer à une éventuelle crise taïwanaise, selon les experts.
A la suite d'annonces du Premier ministre Shigeru Ishiba, le gouvernement doit approuver cette semaine un plan de 10.000 milliards de yens d'aides publiques aux technologies de pointe d'ici la fin de la décennie, pour appuyer le projet Rapidus de production de semi-conducteurs de la prochaine génération.
D'ores et déjà, les projets se multiplient.
Le conglomérat nippon SoftBank a annoncé la semaine dernière vouloir développer un superordinateur utilisant des puces de pointe de l'américain Nvidia, et transformer ses infrastructures télécoms en "réseau IA" de mini-centres de données à travers le Japon, par exemple pour rendre les usines plus efficaces ou guider les voitures autonomes.
L'américain Microsoft, partenaire d'OpenAI (créateur de ChatGPT), et ses compatriotes Amazon et Google ont tous annoncé courant 2024 des investissements dans l'IA au Japon.
Ce regain d'appétit pour le Japon intervient à l'heure où le pays, qui avait dominé la scène technologique dans les années 1980, s'efforce désormais de rattraper son retard, selon Kelly Forbes, président de l'AI Asia Pacific Institute.
"Pendant une période assez longue, le Japon a vu passer en observateur une grande partie de l'innovation, en particulier l'intelligence artificielle. Mais ces deux ou trois dernières années, le Japon a pris conscience du potentiel" de ces technologies, explique-t-elle à l'AFP.
Mais, avertit-elle, si ses voisins d'Asie du Sud-est investissent eux-aussi dans l'IA, l'archipel nippon a "davantage de problèmes urgents" à résoudre, entre croissance atone, déclin démographiques et vives tensions géopolitiques régionales.
-Défi énergétique-Or, l'automatisation par l'IA peut aider le Japon vieillissant, observe Seth Hays, auteur de la publication spécialisée Asia AI Policy Monitor. "Le pays doit utiliser l'IA pour obtenir les gains de productivité qui lui permettront de continuer à vivre".
De même, Tokyo anticipe le scénario-catastrophe d'une invasion ou d'un blocus, par la Chine populaire, de l'île de Taïwan où sont produites l'essentiel des semi-conducteurs les plus sophistiqués.
L'incontournable mastodonte taïwanais sur ce créneau, TSMC, a ouvert en février une nouvelle usine à 8,6 milliards de dollars dans le sud du Japon, et prévoit la construction d'un deuxième site, un investissement évalué cette fois à 20 milliards de dollars, pour la fabrication des puces les plus avancées.
Entre-temps, le Japon a déjà dépensé 3.900 milliards de yens (24 milliards d'euros) en subventions publiques dans le secteur des semi-conducteurs ces trois dernières années, soit une part plus importante de son PIB que les aides équivalentes aux Etats-Unis et en Allemagne.
L'investissement japonais dans les semi-conducteurs, composants "au coeur de l'innovation en matière d'IA", vise à "rester compétitif" mais aussi à "se préparer à cette tension géopolitique croissante", résume Mme Forbes.
Autre défi, l'archipel, très dépendant de ses importations d'hydrocarbures pour alimenter ses centrales électriques, pourrait avoir du mal à trouver les énormes volumes d'énergie nécessaires pour ses ambitieux projets liés à l'IA, alors même qu'il commence tout juste à relancer le nucléaire, avertit Seth Hays.
"La fabrication de puces peut être très énergivore, tout comme les centres de données", souligne-t-il, notant qu'à Taïwan, TSMC utilise 8% des ressources en électricité dans l'île.
-Souplesse réglementaire-La route s'annonce longue: dans le classement mondial de la compétitivité numérique établi par l'école de gestion suisse IMD, le Japon n'occupe que le 31e rang cette année (contre le 32e en 2023).
Pour autant, l'archipel pourrait indirectement bénéficier des importants assouplissements réglementaires attendus dans le secteur avec le retour à la Maison blanche de Donald Trump.
Et même s'il s'efforce de promouvoir à l'international une intelligence artificielle sûre et sécurisée dans le monde entier, Tokyo se montre plutôt accommodant en matière de réglementation de l'IA sur son sol.
"Aucun système d'IA ne sera bâti sans que les données franchissent les frontières, et le Japon a vraiment pris les devants en s'assurant que cela puisse être le cas avec des partenaires de confiance", indiqué M. Hays.
De plus, ajoute-t-il, "la loi japonaise sur les droits d'auteur est l'une des plus favorables à l'IA dans le monde: elle permet aux entreprises de s'entraîner sur des données protégées par le droit d'auteur, même à des fins lucratives".
L'objectif pour les Japonais est d'attirer des entreprises et de s'imposer comme une nation favorable à l'IA. Mais, avertit M. Hays, "ils veulent aussi en tirer un retour sur investissement".
Les analystes financiers de Wall Street ont révisé vendredi leurs notations et leurs objectifs de prix sur plusieurs sociétés cotées en bourse aux États-Unis, dont Applied Materials, Disney et Walmart.
FAITS MARQUANTS
* Applied Materials Inc : Jefferies réduit son objectif de cours de 210 à 180 dollars
* Cava Group Inc : Piper Sandler relève son objectif de cours à 142$ contre 100
* Disney : Piper Sandler relève le cours cible de 95 à 115 dollars
* Nvidia Corp : Jefferies relève l'objectif de cours de 150 à 185 dollars
* Walmart : Jefferies relève l'objectif de cours à 100 $ contre 90 $ auparavant
Voici un résumé des actions de recherche sur les sociétés américaines rapportées par Reuters vendredi. Les titres sont classés par ordre alphabétique.
* Advance Auto Parts Inc : Jefferies ramène le cours cible de 85 à 65 dollars
* Advance Auto Parts Inc : JP Morgan réduit l'objectif de cours à 41$ contre 43
* Advance Auto Parts Inc : RBC augmente le prix cible à 50$ de 46
* Akoya Biosciences Inc : Canaccord Genuity réduit le prix cible de 6 $ à 3,50 $
* Amphenol Corp : Jefferies augmente le prix cible de 70 $ à 75 $
* Applied Materials Inc : Jefferies réduit le prix cible à 180 $ contre 210 $
* Applied Materials Inc : TD Cowen réduit le prix cible à 230 $, contre 250 $ auparavant
* Ascendis Pharma A/S : JP Morgan abaisse le cours cible à 165 $, contre 174 $ auparavant
* Biogen : Baird relève l'objectif de cours à 300 $ contre 294 $ auparavant
* Bitcoin Depot Inc : H.C. Wainwright relève l'objectif de cours de 3,50 $ à 4 $
* BJ's Wholesale Club Holdings Inc : Jefferies relève le prix cible à 105 $ contre 95 $
* Bloom Energy : JP Morgan relève l'objectif de cours à 14 $ contre 12 $ auparavant
* Bluebird Bio Inc : JP Morgan ramène le cours de l'action de neutre à sous-pondéré
* Braze Inc : Raymond James réduit l'objectif de cours à 42 $ contre 55 $
* Bristol-Myers Squibb : HSBC relève l'objectif de cours de 50 à 58 dollars
* Brixmor Property Group Inc : Truist Securities relève le prix cible de 28 $ à 31 $
* Cava Group Inc : Piper Sandler augmente le prix cible de 100 $ à 142 $
* Celcuity Inc : Leerink Partners réduit l'objectif de cours à 28$ contre 29
* Chipotle Mexican Grill : RBC prend en charge la couverture avec une note de surperformance; PT 70
* Clear Secure Inc : JP Morgan relève le prix cible à 27 $, contre 24 $ auparavant
* CVS Health Corp : RBC réduit le cours cible de 68 $ à 58 $
* Disney : JP Morgan relève le cours cible à 128 $ contre 125 $ auparavant
* Disney : Piper Sandler augmente le prix cible à 115$ de 95
* Dollar General Corp : Jefferies ramène l'objectif de cours à 90 $ contre 110 $
* Draftkings Inc : Berenberg augmente le prix cible à 41,30 $ à partir de 37,60 $
* Eagle Point Credit Company Inc : KBW réduit le PT à 9,50 $ de 10
* Electrocore Inc : H.C. Wainwright augmente le prix cible de 15 $ à 22 $
* Ezcorp Inc : Stephens relève le cours cible de 13,50 $ à 13 $
* Flutter Entertainment Plc : Berenberg relève le PT à 23200p de 20300p
* Fortinet Inc : Jefferies relève l'objectif de cours à 95$ contre 85
* Helmerich and Payne Inc : Atb Capital Markets relève le prix cible à 39 $ contre 37 $ auparavant
* Helmerich and Payne Inc : RBC réduit le prix cible de 44 $ à 41 $
* Hippo Holdings Inc : KBW relève l'objectif de cours à 24 $ contre 21 $ auparavant
* Hookipa pharma Inc : RBC réduit le prix cible à 48 $ contre 50 $
* Inovio Pharmaceuticals Inc : RBC réduit le prix cible de 7 $ à 6 $
* Intuitive Machines Inc : Canaccord Genuity augmente le prix cible de 11 $ à 12,50 $
* J & J Snack Foods Corp : Jefferies réduit le prix cible de 183 $ à 175 $
* Mastercard : Piper Sandler augmente le prix cible de 565 $ à 575 $
* Mastercard : TD Cowen augmente le prix cible à 567 $ contre 533 $
* M. Cooper Group Inc : Jefferies relève le cours cible de 87 $ à 100 $
* Nvidia Corp : Jefferies relève le cours cible de 150 $ à 185 $
* Omega Therapeutics Inc : Piper Sandler réduit l'objectif de cours à 4$ contre 9
* Onewater Marine Inc : KeyBanc réduit le prix cible de 29 $ à 27 $
* Ovintiv Inc : La Banque Nationale du Canada augmente le prix cible à 59$ de 57
* Ovintiv Inc : TD Cowen augmente le prix cible de 55 $ à 70 $
* Sally Beauty Holdings Inc : D.A. Davidson relève le PT à 13$ contre 12
* Sally Beauty Holdings Inc : Piper Sandler relève le PT à 17$ contre 13
* Scpharmaceuticals Inc : Leerink Partners réduit le PT à 17$ de 20
* Sensata Technologies Holding Plc : Jefferies réduit le prix cible de 36 $ à 35 $
* Sow Good Inc : Craig-Hallum ramène le cours de l'action de "acheter" à "conserver" et le PT de 25 $ à 4,50 $
* Starbucks : RBC prend en charge la couverture avec une note de surperformance; PT 115 $
* Sun Communities Inc : Jefferies réduit le prix cible de 160 $ à 145 $
* Tarsus Pharmaceuticals Inc : H.C. Wainwright augmente le prix cible de 61 $ à 73 $
* TJX Companies Inc : TD Cowen augmente le prix cible de 125 $ à 130 $
* Treehouse Foods Inc : Jefferies réduit le prix cible de 43 $ à 37 $
* Vistra Corp : Jefferies augmente le prix cible à 167 $ de 143 $
* Walmart : Jefferies relève le cours cible à 100 $, contre 90 $ auparavant
Amazon.com et IKEA, en alliance avec environ trois douzaines d'autres entreprises qui dépendent du fret maritime, inviteront pour la première fois les sociétés de transport maritime à soumissionner pour un contrat en janvier afin de transporter leur cargaison sur des navires alimentés par des carburants électroniques à émissions quasi nulles, tels que l'e-méthanol.
Le groupe connu sous le nom de Zero Emissions Maritime Buyers Alliance souhaite utiliser le poids combiné de ses membres, qui ont leurs propres objectifs climatiques à atteindre, pour créer une demande de carburants électriques fabriqués à partir d'électricité renouvelable et de dioxyde de carbone. Ces carburants sont très rares.
L'alliance souhaite accélérer l'évolution du secteur du transport maritime vers des émissions nettes de gaz à effet de serre d'ici à 2050 (link), alors même que le président élu des États-Unis, Donald Trump (link), devrait se retirer des engagements internationaux en matière de lutte contre le réchauffement climatique.
La flotte mondiale transporte plus de 80 % du commerce mondial et contribue à environ 3 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre. Les biocarburants sont essentiels à la décarbonisation complète du transport maritime, car ils ont le potentiel à long terme de concurrencer les combustibles fossiles en termes de coûts et d'approvisionnement, a déclaré l'alliance.
"C'est ainsi que l'on peut se mettre sur la voie d'un transport net zéro", a déclaré Carl Berger, membre de l'alliance, qui dirige les opérations de durabilité et d'exportation pour Amazon Global Logistics .
Les contrats de trois à cinq ans du groupe pour le transport de carburant électronique devraient commencer en 2027.
Les marchandises transportées dans le cadre de ce contrat sont estimées à au moins 1,4 million de conteneurs de 20 pieds (6,1 mètres) transportés de Shanghai à Los Angeles. Cela permettrait aux membres de réduire d'environ 470 000 tonnes les émissions de gaz à effet de serre qui réchauffent la planète et nuisent à la santé humaine, selon le groupe, qui est administré par l'Aspen Institute, un groupe de réflexion basé aux États-Unis.
Des transporteurs tels que Maersk (link) , Evergreen et Ocean Network Express ont commandé des navires pouvant fonctionner à l'e-méthanol et s'efforcent de s'approvisionner à l'adresse (link).
Les membres de l'alliance espèrent que leur action collective permettra de réduire le coût des carburants électriques, mais ils s'attendent à payer une prime, dont le montant n'a pas été révélé, pour compenser le coût plus élevé des carburants fossiles.
"Une fois que ce marché aura démarré, nous commencerons à voir ces coûts baisser", a déclaré Ingrid Irigoyen, directeur général de l'alliance, à propos des carburants électroniques.
L'effort pourrait être stimulé par les réglementations mondiales visant à apporter plus de certitude aux entreprises qui effectuent la transition vers des carburants plus écologiques.
Le comité de protection du milieu marin de l'Organisation maritime internationale doit établir en avril une structure réglementaire mondiale visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre dans le secteur maritime.
Il s'agira notamment de réglementer la réduction progressive de l'intensité des émissions de GES des combustibles marins et d'introduire un mécanisme de tarification des GES qui, entre autres, incitera à l'utilisation de combustibles sans émissions et imposera une redevance pour chaque tonne métrique de dioxyde de carbone émise.
Amazon.com et IKEA, en alliance avec environ trois douzaines d'autres entreprises qui dépendent du fret maritime, inviteront pour la première fois les sociétés de transport maritime à soumissionner pour un contrat en janvier afin de transporter leur cargaison sur des navires propulsés par des carburants électriques à émissions quasi nulles, comme le méthanol électrique.
Le groupe connu sous le nom de Zero Emissions Maritime Buyers Alliance souhaite utiliser le poids combiné de ses membres, qui ont leurs propres objectifs climatiques à atteindre, pour créer une demande de carburants électriques fabriqués à partir d'électricité renouvelable et de dioxyde de carbone. Ces carburants sont très rares.
L'alliance souhaite accélérer l'évolution du secteur du transport maritime vers des émissions nettes de gaz à effet de serre (GHG) d'ici à 2050 (link), alors même que le président élu des États-Unis, Donald Trump (link), devrait se retirer des engagements internationaux en matière de lutte contre le réchauffement climatique.
La flotte mondiale transporte plus de 80 % du commerce mondial et contribue à environ 3 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre. Les biocarburants sont essentiels à la décarbonisation complète du transport maritime, car ils ont le potentiel à long terme de concurrencer les combustibles fossiles en termes de coûts et d'approvisionnement, a déclaré l'alliance.
"C'est ainsi que l'on peut se mettre sur la voie d'un transport net zéro", a déclaré Carl Berger, membre de l'alliance, qui dirige les opérations de durabilité et d'exportation pour Amazon Global Logistics .
Les contrats de trois à cinq ans du groupe pour le transport de carburant électronique devraient commencer en 2027.
La cargaison transportée dans le cadre du contrat est estimée à l'équivalent d'au moins 1,4 million de conteneurs de 20 pieds transportés de Shanghai à Los Angeles. Cela permettrait aux membres de réduire d'environ 470 000 tonnes métriques les émissions de gaz à effet de serre qui réchauffent la planète et nuisent à la santé humaine, selon le groupe.
Des transporteurs tels que Maersk (link) , Evergreen et Ocean Network Express (ONE) ont commandé des navires pouvant fonctionner à l'e-méthanol et s'efforcent d'obtenir des approvisionnements (link) de ce carburant.
Les membres de l'alliance espèrent que leur action collective permettra de réduire le coût des carburants électriques, mais ils s'attendent à payer une prime, dont le montant n'a pas été révélé, pour compenser le coût plus élevé des carburants fossiles.
"Une fois que le marché aura démarré, nous commencerons à voir ces coûts baisser", a déclaré Ingrid Irigoyen, directeur général de l'alliance, à propos des carburants électroniques.
Taiwan Semiconductor Manufacturing Co a suspendu ses livraisons à un client après avoir découvert qu'une de ses puces fournies à ce dernier s'était retrouvée dans un produit Huawei, selon un responsable taïwanais au fait de la situation.
Il y a environ deux semaines, TSMC a suspendu ses livraisons au client et a entamé une enquête détaillée, a déclaré le fonctionnaire chargé du commerce et de l'économie, sous couvert d'anonymat en raison du caractère sensible de la situation.
La société a informé les gouvernements américain et taïwanais, a déclaré le fonctionnaire, car il s'agissait d'un "événement d'alerte important" au sein de TSMC, qui peut, au plus tôt, être retracé jusqu'au 11 octobre.
Le fonctionnaire n'a pas identifié le client que TSMC avait coupé. TSMC s'est refusé à tout commentaire.
TSMC avait alerté (link) les autorités américaines après que la société de recherche TechInsights eut démonté un produit Huawei et trouvé l'une des puces de TSMC, a rapporté Reuters mardi, dans une possible violation des restrictions américaines à l'exportation.
Les États-Unis ont restreint les exportations de puces d'intelligence artificielle de pointe vers la Chine il y a deux ans, en invoquant la nécessité de limiter les capacités de l'armée chinoise.
Huawei a été l'une des principales cibles des efforts déployés par le gouvernement américain pour intensifier l'utilisation des contrôles à l'exportation afin d'empêcher les entreprises chinoises d'obtenir, de concevoir ou de fabriquer des semi-conducteurs avancés.
Pourtant, des entités chinoises ont essayé de contourner les restrictions et ont utilisé des services en nuage fournis par des sociétés comme Amazon pour accéder à des puces américaines avancées et à des capacités d'IA, a rapporté Reuters (link) au début de l'année.
Le gouvernement taïwanais, qui se méfie de son voisin géant en raison de menaces militaires et autres répétées, dispose de son propre contrôle des exportations pour empêcher la fabrication de puces avancées en Chine, et les responsables taïwanais affirment qu'ils prennent au sérieux le respect des règles américaines.
** Les actions de Nvidia NVDA grimpent de 2 % à 1 244 $ dans les échanges de pré-marché
** NVDA a atteint des records mercredi, avec une valorisation dépassant (link) les 3 000 milliards de dollars, dépassant Apple AAPL pour devenir la deuxième société la plus précieuse au monde; les actions AAPL sont restées stables avant le marché
** Microsoft MSFT reste l'entreprise la plus précieuse au monde avec 3,15 billions de dollars
** La différence de capitalisation boursière entre MSFT et NVDA est d'environ 139 milliards de dollars
** NVDA se prépare à diviser ses actions par 10, à partir de vendredi, ce qui pourrait augmenter son attrait pour les investisseurs individuels
** Autres actions de puces Advanced Micro Devices AMD, actions cotées aux Etats-Unis de Taiwan Semiconductor Manufacturing Co 2330 et Micron Technology MU en hausse de 0,9 % à 1,7 %
** Environ 60 % du rendement total de ~12 % du S&P 500 SPX depuis le début de l'année est dû à cinq cos - NVDA, MSFT, Meta META, Alphabet GOOG et Amazon.com AMZN - données de S&P Dow Jones Indices (link)
** Stimulées par la demande pour ses processeurs haut de gamme, les actions de NVDA ont augmenté de 147 % depuis le début de l'année, contre une hausse de 13 % pour MSFT et de 2 % pour AAPL
** NVDA est le deuxième plus gros gain en pourcentage sur un an du S&P 500 et le plus gros gain de l'indice Philadelphia SE Semiconductor SOX, qui est en hausse de 28% depuis le début de l'année
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