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J'ai 5 ans d'expérience en analyse financière, notamment dans les aspects d'évolution macroéconomique et de jugement de tendances à moyen et long terme. Je me concentre principalement sur l'évolution du Moyen-Orient, des marchés émergents, du charbon, du blé et d'autres produits agricoles.
Coach de trading en chef et conférencier BeingTrader, plus de 8 ans d'expérience dans le trading du marché des changes, principalement XAUUSD, EUR/USD, GBP/USD, USD/JPY et pétrole brut. Un trader et analyste confiant qui vise à explorer diverses opportunités et à guider les investisseurs sur le marché. En tant qu'analyste, je cherche à améliorer l'expérience du trader en le soutenant avec suffisamment de données et de signaux.
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Despite Hong Kong's robust legal and regulatory framework, its stock market still faces unique risks and challenges, such as currency fluctuations due to the Hong Kong dollar's peg to the US dollar and the impact of mainland China's policy changes and economic conditions on Hong Kong stocks.
HK Stock Trading Fees and Taxation
Trading costs in the Hong Kong stock market include transaction fees, stamp duty, settlement charges, and currency conversion fees for foreign investors. Additionally, taxes may apply based on local regulations.
HK Non-Essential Consumer Goods Industry
The Hong Kong stock market encompasses non-essential consumption sectors like automotive, education, tourism, catering, and apparel. Of the 643 listed companies, 35% are mainland Chinese, making up 65% of the total market capitalization. Thus, it's heavily influenced by the Chinese economy.
HK Real Estate Industry
In recent years, the real estate and construction sector's share in the Hong Kong stock index has notably decreased. Nevertheless, as of 2022, it retains around 10% market share, covering real estate development, construction engineering, investment, and property management.
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Les marchés boursiers restent focalisés vendredi sur les déclarations politiques et commerciales du président américain Donald Trump, à l'issue d'une semaine rythmée par ses annonces sur les droits de douane.
A Wall Street, vers 17H00 GMT, le Nasdaq avançait de 0,41%, le S&P 500 prenait 0,47% et le Dow Jones 0,38%. Les trois indices s'acheminaient toutefois vers un bilan hebdomadaire, mais aussi mensuel, négatif.
"Cette semaine les marchés ont été submergés par la vague de déclarations de Donald Trump sur les droits de douane", résume Nathalie Benatia, macroéconomiste chez BNP Paribas AM.
Le président américain a relevé de 10% les droits de douane sur les produits chinois, promis 25% pour ceux en provenance du Canada et du Mexique, cible aussi des blocs comme l'Union européenne (UE) et des secteurs spécifiques comme l'acier, l'aluminium, les automobiles, ou les médicaments.
Jeudi, il a annoncé que les taxes sur les importations chinoises seraient encore plus élevées à compter du 4 mars, et que les droits de douane promis au Canada et au Mexique entreraient également en vigueur à cette date.
La président américain a annoncé le même jour que les Etats-Unis et le Royaume-Uni allaient conclure un "très bon accord commercial", lors d'une visite du Premier ministre britannique Keir Starmer à la Maison Blanche.
En Europe, seule la Bourse de Londres a véritablement gagné du terrain vendredi (+0,61%). Francfort a terminé parfaitement stable (+0,00%) après avoir passé toute la séance en territoire négatif, tout comme Paris, qui grappille de justesse 0,11% à la clôture.
Enfin, si les investisseurs ont salué le ralentissement de l'inflation aux Etats-Unis en janvier, relevée par l'indice PCE, ils soulignent aussi que les dépenses des ménages ont reculé sur un mois, alors même que leurs revenus ont progressé.
Par ailleurs, en février, deux indicateurs évaluant la confiance des consommateurs ont aussi inquiété les marchés, "portant leur attention davantage sur la croissance de l'économie américaine que sur l'inflation", poursuit Nathalie Benatia.
La semaine prochaine, "le discours du président américain Trump au Congrès, ainsi que le début potentiel des droits de douane proposés sur les produits chinois, canadiens et mexicains mardi seront les principaux événements à suivre", écrivent les économistes de Deutsche Bank.
"En ce qui concerne les données macroéconomiques, l'accent sera mis sur le rapport sur l'emploi et les indices ISM aux États-Unis, ainsi que sur les indices PMI en Chine. En Europe, une décision de la Banque centrale européenne sur ses taux est attendue jeudi, le même jour qu'un sommet spécial de l'UE sur la défense et l'Ukraine", ont-ils poursuivi.
Clariant prudent pour 2025Le groupe suisse de chimie Clariant s'est montré prudent dans ses prévisions pour 2025 au vu des incertitudes macroéconomiques et des tensions dans les échanges commerciaux, faisant chuter son action vendredi à la Bourse suisse(-5,44% à Zurich).
Le bitcoin a perdu 25% depuis son recordVers 17H00 GMT, le baril de WTI américain cédait 0,90% à 69,71 dollars et celui de Brent de la mer du Nord 1,18% à 73,17 dollars.
Si les tarifs douaniers et les sanctions peuvent soutenir les prix du pétrole à court terme, "lorsqu'ils freinent la croissance, ils affectent également la demande de pétrole" et donc les prix, explique Arne Lohmann Rasmussen, analyste de Global Risk Management, dans une note.
La guerre commerciale mondiale qui se dessine a ainsi "mis les prix du pétrole sur la voie de leur premier recul mensuel depuis novembre", mois de l'élection de Donald Trump, souligne Han Tan à l'AFP, analyste à Exinity.
Sur le marché des changes, la monnaie unique grappillait 0,10% face au billet vert, à 1,0400 euro pour un dollar.
La chute du bitcoin se poursuivait, à 84.512 dollars (-2,85%). La plus capitalisée des cryptomonnaies a perdu plus de 25% depuis son dernier record, quand elle avait tutoyé les 110.000 dollars quelques heures avant l'investiture de Donald Trump le 20 janvier.
Malgré des signaux de ralentissement de l'inflation américaine vendredi, les bourses mondiales restent freinées par les annonces de Donald Trump sur des hausses de droits de douane à l'encontre des produits européens, chinois, canadiens et mexicains.
A Wall Street, vers 14H55 GMT, le Nasdaq reculait de 0,38%, tandis que le S&P 500 était stable (+0,04%) et que le Dow Jones prenait 0,34%.
En Europe, la Bourse de Londres avançait de 0,49%, mais Paris cédait 0,19%, Francfort 0,39% et Milan 0,14%.
Les investisseurs se sont tournés vers la publication d'un indice d'inflation important aux Etats-Unis.
"L'inflation PCE sort parfaitement [conforme aux] attentes, qu'il s'agisse des variations mensuelle ou annuelle et qu'il s'agisse de l'inflation totale ou de l'inflation sous-jacente", qui exclut les prix volatils de l'énergie et de l'alimentation, résume Bastien Drut, responsable de la stratégie et des études économiques de CPR AM.
Après plusieurs accélérations consécutives, l'inflation globale s'est ralentie aux États-Unis en janvier, à +2,5% sur un an contre 2,6% un mois plus tôt.
"L'inflation sous-jacente, soit le +core PCE+, est la mesure d'inflation la plus suivie par la banque centrale américaine (Fed)" et elle "baisse enfin en passant à 2,6% en janvier, soit son plus bas niveau depuis mars 2021", poursuit l'économiste.
"Pour la Fed, qui était dans l'attente de nouveaux progrès en termes de désinflation, c'est une bonne nouvelle. Toutefois, elle devrait continuer à porter son attention sur les politiques de la nouvelle administration Trump, en particulier sur les droits de douane", conclut M. Drut.
Dans un énième revirement, le président américain Donald Trump a annoncé jeudi soir que les États-Unis imposeraient des tarifs douaniers supplémentaires de 10% sur les produits chinois à compter du 4 mars.
Or la Chine avait déjà été visée début février par une première hausse de 10% des droits de douane. Pékin a aussitôt promis vendredi de prendre "toutes les contre-mesures nécessaires".
Le président américain a également assuré que des taxes de 25% visant le Canada et le Mexique entreraient en vigueur le même jour.
"Ces droits de douane, s'ils étaient maintenus, impliqueraient un ralentissement significatif de la croissance aux États-Unis et en Chine, et très certainement aussi au Mexique et au Canada", prévient Michael Wan, de la banque MUFG.
Ces annonces interviennent au lendemain d'une menace du président américain de faire grimper de 25% les taxes sur les produits en provenance de l'Union européenne.
Sur le marché des changes, la monnaie unique grappillait 0,09% face au billet vert, à 1,0408 euro pour un dollar, vers 14H55 GMT.
Sur le marché obligataire, le taux d'intérêt de l'emprunt à dix ans américain s'inscrivait à 4,24%, contre 4,26% la veille.
Les équipementiers automobiles chutentA Paris, Valeo chutait de 12,43% et Forvia de 20,59%, tous deux après la publication de leurs résultats annuels de 2024, dans un contexte de ralentissement du marché automobile et de menaces de forte hausse des droits de douane américains.
Valeo a vu son chiffre d'affaires se replier légèrement (-3%) en 2024 et a dégagé un bénéfice net toujours très faible, conformément à ses prévisions. L'équipementier Forvia a quant à lui publié une perte nette de 185 millions d'euros en 2024 et ne versera pas de dividende à ses actionnaires.
Pétrole en berneVers 14H55 GMT, le baril de WTI américain cédait 1,35% à 69,40 dollars et celui de Brent de la mer du Nord 1,27% à 73,10 dollars.
Si les tarifs douaniers et les sanctions peuvent soutenir les prix du pétrole à court terme, "lorsqu'ils freinent la croissance, ils affectentt également la demande de pétrole" et donc les prix, explique Arne Lohmann Rasmussen, analyste de Global Risk Management, dans une note.
La guerre commerciale mondiale qui se dessine a ainsi "mis les prix du pétrole sur la voie de leur premier recul mensuel depuis novembre", mois de l'élection de Donald Trump, souligne Han Tan à l'AFP, analyste à Exinity.
La chute du bitcoin se poursuivait, à 82.167 dollars (-5,54%).
Les Bourses évoluent sans conviction vendredi, après de nouvelles menaces douanières de Donald Trump, ayant provoqué un plongeon du bitcoin, actif risqué délaissé en période d'incertitudes.
Vers 11H20 GMT, Paris cédait 0,26%, Francfort 0,30% et Milan restait stable (-0,02%). Seule Londres était dans le vert (+0,31%).
En Asie, les indices ont dégringolé: l'indice vedette Nikkei a clôturé sur un repli de 2,88%. Hong Kong a reculé de 3,28%, Shanghai de 1,98% et Shenzhen de 2,89%.
"La politique commerciale extérieure américaine est de plus en plus imprévisible, ce qui complique la vie des investisseurs", résume Andreas Lipkow, analyste indépendant.
Dans un énième revirement, le président américain Donald Trump a annoncé jeudi soir que les États-Unis imposeraient des droits de douane supplémentaires de 10% sur les produits chinois à compter du 4 mars.
Or la Chine avait déjà été visée début février par une première hausse de 10% des droits de douane. Pékin a aussitôt promis vendredi de prendre "toutes les contre-mesures nécessaires".
Le président américain a également assuré que des taxes de 25% visant le Canada et le Mexique entreraient en vigueur le même jour.
"Ces droits de douane, s'ils étaient maintenus, impliqueraient un ralentissement significatif de la croissance aux États-Unis et en Chine, et très certainement aussi au Mexique et au Canada", prévient Michael Wan, de la banque MUFG.
Ces annonces interviennent au lendemain d'une menace du président américain de faire grimper de 25% les taxes sur les produits venant de l'Union européenne.
"Pendant des semaines, la Bourse a négligé l'impact de la guerre commerciale. Il fallait bien, tôt ou tard, que le sujet revienne sur le devant de la scène", relève Christopher Dembik, conseiller en investissement chez Pictet AM.
Reste que "les choses peuvent encore changer (...) les efforts diplomatiques pourraient faire évoluer la position de Donald Trump au cours du week-end", tempère Kathleen Brooks, analyste pour XTB.
Les valeurs les plus risquées, comme le bitcoin, dévissaient. La plus célèbre des cryptomonnaies est descendue vendredi matin sous la barre des 80.000 dollars pour la première fois depuis le 11 novembre, avant de légèrement remonter.
Vers 11H20 GMT, il était à 80.278 dollars, restant en recul de 7,71% par rapport à la veille.
Côté macroéconomique, les investisseurs prendront aussi connaissance vendredi à 13H30 GMT de l'indice des prix PCE en janvier aux États-Unis, mesure préférée de l'inflation de la Réserve fédérale américaine (Fed).
Ces publications seront scrutées, dans la mesure où les investisseurs s'inquiètent de plus en plus de l'impact de la politique douanière de Donald Trump sur l'inflation et sur la confiance des ménages dans la première économie mondiale.
Sur le plan des devises, le dollar restait stable par rapport à l'euro (-0,02%), à 1,0399 dollar pour un euro.
Côté obligataire, le taux d'intérêt de l'emprunt à dix ans américain s'inscrivait à 4,25%, contre 4,26% la veille.
A Wall Street, les contrats d'avant séance laissaient présager d'une ouverture en hausse.
Valeo et Nexity s'effondrent à ParisL'équipementier français Valeo dévissait de plus de 12% sur le SBF120 à Paris, vers 11H20 GMT. L'entreprise a vu son chiffre d'affaires se replier légèrement (-3%) en 2024 et a dégagé un bénéfice net toujours très faible, notamment à cause du ralentissement du marché des voitures électriques, selon des résultats publiés jeudi soir.
Le premier promoteur immobilier français Nexity perdait lui plus de 20%. Le groupe, qui a taillé dans ses effectifs et son offre en 2024 pour s'adapter à la crise de l'immobilier neuf, a affiché un chiffre d'affaires en baisse de 17%, toutefois conforme aux objectifs.
Le pétrole en berne, craintes sur la demandeLes cours du pétrole s'étiolent vendredi, les investisseurs portant leur attention sur les menaces douanières de Trump.
Vers 11H20 GMT, le baril de WTI américain cédait 1,39% à 69,37 dollars et celui de Brent de la mer du Nord 1,37% à 73,02 dollars.
Les Bourses asiatiques ont dégringolé vendredi, plombées par les inquiétudes sur la conjoncture mondiales face aux menaces douanières réitérées par Donald Trump, et par un plongeon des titres liés aux semi-conducteurs dans le sillage de Nvidia.
Le bitcoin, actif à risque, a aussi trébuché lourdement, ayant cédé désormais 25% depuis son sommet historique il y a six semaines. Et l'assombrissement des perspectives économiques pénalisait durement les cours du pétrole.
Tokyo, Séoul et Hong Kong plongent de 3%, le risque de guerre douanière affole"Une tempête macroéconomique se prépare, avec un déluge d'indicateurs à fort enjeu sur fond d'escalade des tensions commerciales, mettant les marchés à rude épreuve", commente Stephen Innes, analyste de SPI Asset Management.
Les places asiatiques ont emboîté le pas à la Bourse de New York, qui a terminé jeudi en forte baisse, minée par les incertitudes sur la politique commerciale américaine.
Le président américain Donald Trump a annoncé jeudi que les Etats-Unis imposeraient des surtaxes de 10% sur les produits chinois à compter du 4 mars, et affirmé que les droits de douane visant le Canada et le Mexique entreraient en vigueur le même jour.
De quoi aviver le spectre d'une guerre commerciale généralisée.
A la Bourse de Tokyo, l'indice vedette Nikkei a clôturé en repli de 2,88% à 37.155,50 points. A Séoul, l'indice Kospi a chuté de 3,39%. Sydney s'est replié de 1,16%.
Les places chinoises ont également souffert, après avoir été portées ces dernières semaines par un boom des valeurs technologiques.
A Hong Kong, l'indice Hang Seng a plongé de 3,35%. L'indice composite de Shanghai a perdu 1,98%, celui de Shenzhen 3,17%.
"Ces droits de douane impliqueraient un ralentissement significatif de la croissance aux États-Unis et en Chine, et très certainement au Mexique et au Canada, ce qui aurait un impact plus large sur les économies asiatiques tournées vers l'exportation" et sur les chaînes de production dans la région, prévient Michael Wan, de la banque MUFG.
Le secteur de l'automobile a été particulièrement attaqué, Toyota sombrant de 3,41% et Nissan de 3,52%.
La monnaie japonaise cédait 0,40% à 150,41 yens pour un dollar vers 08H00 GMT, face à un billet vert raffermi par le risque de tensions inflationnistes accrues aux Etats-Unis en raison des droits de douane envisagés.
Les semi-conducteurs dévissent après NvidiaLes Bourses asiatiques ont également pâti d'un plongeon des titres liés aux semiconducteurs.
A Wall Street jeudi, les résultats trimestriels du champion américain des puces, Nvidia, avaient déçu: son action avait lâché environ 9%, entraînant le secteur tech dans son sillage.
La contagion a atteint l'Asie: "sur le marché japonais, les actions liées aux semi-conducteurs, qui contribuent largement à l'indice Nikkei, ont subi dès l'ouverture des mouvement de ventes généralisées", indiquent les analystes du courtier IwaiCosmo.
A Tokyo, Advantest a finalement dévissé de 8,77%, Disco Corp de 10,33% et Tokyo Electron de 4,44%. Le géant des investissements tech SoftBank a perdu 6,07%.
A Séoul, Samsung Electronics (-2,84%) et SK Hynix (-4,52%), poids-lourds de la cote, ont aussi plongé.
"Les chouchous de l'IA qui ont tiré Wall Street ces deux dernières années semblent soudainement vulnérables face aux vents contraires" de la conjoncture, observe M. Innes, voyant dans le décrochage soudain de Nvidia "un signal d'alarme".
Le bitcoin sous 80.000 dollars, repli de 25% en six semainesLe bitcoin est descendu vendredi sous la barre des 80.000 dollars pour la première fois depuis le 11 novembre. Vers 08H00 GMT, la plus importante devise numérique plongeait de 6% à 79.224 dollars.
Il a dégringolé de plus de 25% depuis son record historique à quelque 109.000 dollars le 20 janvier, jour de l'investiture à la Maison Blanche de Donald Trump, aux positions très favorables aux cryptoactifs.
Le risque d'emballement d'une guerre commerciale tous azimuts a assombri ces dernières semaines l'humeur des investisseurs, les incitant à se débarrasser des actifs spéculatifs.
"Vu l'environnement macroéconomique, il n'est pas surprenant de voir où nous en sommes", d'autant que les investisseurs attendent toujours en vain des mesures concrètes de l'administration Trump en faveur des cryptoactifs, observe Stefan von Haenisch, de la société Bitgo, cité par Bloomberg.
Pétrole en berne, craintes sur la demandeLe marché du pétrole n'était pas épargné par le regain d'inquiétudes sur la conjoncture, qui avivait les craintes sur la solidité de la demande mondiale de brut.
Vers 08H00 GMT, le baril de WTI américain cédait 1% à 69,65 dollars et celui de Brent de la mer du Nord 0,86% à 73,40 dollars.
La Chine a dénoncé vendredi un "chantage" et promis de prendre "toutes les contre-mesures nécessaires" après que le président américain Donald Trump a déclaré qu'il imposerait des droits de douane supplémentaires de 10% sur les importations chinoises.
Les droits de douane sont au coeur de la politique économique et diplomatique du locataire de la Maison-Blanche.
Il a déjà relevé de 10% ceux sur les produits chinois, promis 25% pour ceux en provenance du Canada et du Mexique, cible aussi des blocs comme l'Union européenne (UE) et des secteurs spécifiques comme l'acier, l'aluminium, les automobiles, ou les médicaments.
Jeudi, il a annoncé que les taxes sur les importations chinoises seraient encore plus élevées à compter du 4 mars, et que les droits de douane promis au Canada et au Mexique entreraient également en vigueur à cette date.
Le président accuse les trois pays de favoriser l'entrée du fentanyl aux États-Unis, ses voisins qui ne sécurisent pas assez la frontière selon lui, et la Chine qui héberge la production de précurseurs chimiques de cet opioïde de synthèse qui fait des ravages sur le sol américain.
"Tant que ce fléau continuera ou ne sera pas sérieusement endigué, les droits de douane annoncés (à l'encontre du Canada et du Mexique) entreront en vigueur le 4 mars" et "la Chine se verra également imposer un droit de douane supplémentaire de 10% à cette date", a-t-il assuré sur son réseau Truth Social jeudi.
Pour le Canada et le Mexique, cela implique des droits de douane de 25% sur leurs exportations vers les États-Unis. Washington prévoit de moins taxer le secteur énergétique canadien, à hauteur de 10%. Le Canada représente à lui seul 60% des importations de pétrole brut des États-Unis.
- "Rejeter la faute" -Quant aux produits chinois, tous sont déjà visés depuis début février par 10% de droits de douane additionnels, auxquels Pékin a répondu par des surtaxes ciblées sur les exportations américaines.
"C'est typiquement ce qu'on appelle vouloir rejeter la faute sur autrui et fuir ses responsabilités", a répliqué vendredi un porte-parole du ministère chinois du Commerce dans un communiqué, en réaction à l'argument de Donald Trump sur le fentanyl.
"La Chine est l'un des pays dont la politique de lutte contre les stupéfiants est la plus stricte et la plus complète au monde" et elle coopère activement "avec les États-Unis et d'autres pays du monde" à ce sujet, a-t-il souligné.
"Si les États-Unis s'obstinent à aller dans cette voie, la Chine prendra toutes les contre-mesures nécessaires pour défendre ses droits et intérêts légitimes."
Peu après la publication de ce communiqué, le ministère chinois des Affaires étrangères a, de son côté, accusé Washington de "chantage" et averti que les nouveaux droits de douane auraient "un grave impact sur le dialogue" bilatéral antidrogue.
"La pression, la coercition et les menaces ne sont pas la bonne façon de traiter avec la Chine. Le respect mutuel est le principe de base", a déclaré devant la presse Lin Jian, un porte-parole du ministère.
- "Jour et nuit" -Les futures barrières douanières à l'égard du Canada et du Mexique, théoriquement protégés par un accord de libre-échange, devaient initialement entrer en vigueur début février.
Donald Trump avait fait volte-face quelques heures avant l'échéance, après des engagements de ses voisins sur la sécurisation des frontières, face aux trafiquants comme aux clandestins. Il leur avait accordé un sursis de 30 jours, jusqu'au 4 mars.
Le Canada "travaille jour et nuit" pour éviter ces droits de douane, a déclaré jeudi le Premier ministre canadien Justin Trudeau, promettant une "réponse forte, immédiate et certaine" dans le cas contraire.
"Nous espérons pouvoir parler avec le président Trump" pour le faire changer d'avis, a réagi la présidente mexicaine Claudia Sheinbaum, alors que 80% des exportations mexicaines partent vers les États-Unis.
Donald Trump a reçu à la Maison Blanche jeudi le Premier ministre britannique, Keir Starmer. Devant les journalistes, il a plaisanté en disant que ce dernier avait "travaillé dur" pour tenter de le convaincre de ne pas imposer de nouveaux droits de douane à son pays.
Et estimé que les deux pays pourraient "plutôt rapidement" aboutir à un "très bon accord commercial" avec lequel "les droits de douane ne seraient pas nécessaires".
Le ton est différent avec l'Union européenne. Le président américain a menacé la veille d'infliger 25% de droits de douane au bloc européen, estimant que sa raison d'être était d'"entuber" les États-Unis.
L'UE devra répliquer pour "protéger nos intérêts" et "même si c'est défavorable à l'intérêt général", a affirmé jeudi à l'AFP le ministre français de l'Économie Eric Lombard.
Les Bourses asiatiques ont dégringolé vendredi à la suite de Wall Street, plombées par les menaces douanières réitérées par Donald Trump et par un plongeon des titres liés aux semi-conducteurs dans le sillage de l'américain Nvidia.
Le bitcoin, actif à risque, a aussi trébuché lourdement face au regain d'incertitudes, ayant cédé désormais 25% depuis son sommet historique il y a six semaines. Et l'assombrissement de la conjoncture pénalisait durement les cours du pétrole.
Tokyo, Séoul et Hong Kong plongent de 3%, les droits de douane affolentLes places asiatiques ont emboîté le pas à la Bourse de New York, qui a terminé jeudi en forte baisse, minée par une dégringolade des valeurs technologiques et par les incertitudes sur la politique commerciale américaine.
Dans un énième revirement, le président américain Donald Trump a annoncé que les Etats-Unis imposeraient des droits de douane supplémentaires de 10% sur les produits chinois à compter du 4 mars, et affirmé que les surtaxes visant le Canada et le Mexique entreraient en vigueur le même jour.
A la Bourse de Tokyo, l'indice vedette Nikkei a clôturé sur un repli de 2,88% à 37.155,50 points, et l'indice élargi Topix a abandonné 1,98%.
A la Bourse de Séoul, l'indice Kospi a terminé en chute de 3,39%, et la Bourse de Sydney s'est repliée de 1,16%.
Les places chinoises souffraient également, après avoir été vigoureusement soutenues la veille par un net rebond des valeurs technologiques --à la suite d'un boom du secteur tech depuis janvier.
A Hong Kong vers 06H30 GMT, l'indice Hang Seng plongeait de 3,06% à 22.993,32 points. L'indice composite de Shanghai perdait 1,60% et celui de Shenzhen 2,57%.
"Ces droits de douane, s'ils étaient maintenus, impliqueraient un ralentissement significatif de la croissance aux États-Unis et en Chine, et très certainement aussi au Mexique et au Canada, ce qui aurait un impact plus large sur les économies asiatiques tournées vers l'exportation", prévient Michael Wan, de la banque MUFG.
Outre des pressions inflationnistes ravivées aux Etats-Unis, faute de substituts aux importations visées, les chaînes d'approvisionnement à travers l'Asie seront déstabilisées, souligne-t-il.
La monnaie japonaise cédait 0,11% à 149,98 yens pour un dollar, face à un billet vert raffermi par le risque de tensions inflationnistes accrues aux Etats-Unis en raison des droits de douane envisagés. La devise commune européenne reculait également de 0,14% à 1,0384 dollar pour un euro.
Les semi-conducteurs dévissent après NvidiaOutre les inquiétudes généralisées sur les tensions douanières, les Bourses étaient tirées vers le bas par un plongeon des titres liés aux semiconducteurs.
A Wall Street jeudi, les investisseurs s'étaient montrés particulièrement déçus des résultats trimestriels et perspectives du champion américain des puces, Nvidia: le titre avait lâché près de 9%, entraînant les valeurs tech dans son sillage.
"Suite au dévissage de l'action Nvidia (...) l'inquiétude se propage aux actions sur le marché japonais", soulignait Kosuke Oka, du courtier Monex Securities.
Ainsi, à Tokyo, Advantest a dégringolé de 8,77%, Disco Corp de 10,33%, Renesas de 4,32% et Tokyo Electron de 4,44%.
A Séoul, Samsung Electronics (-2,84%) et SK Hynix (-4,52%), poids-lourds de la cote, ont tiré le marché vers le bas.
Le bitcoin sous 80.000 dollars, repli de 25% en six semainesLe bitcoin est descendu vendredi sous la barre des 80.000 dollars pour la première fois depuis le 11 novembre. Vers 06H30 GMT, la plus importante devise numérique plongeait de 5,82% à 79.366 dollars.
Il a dégringolé de plus de 25% depuis son record historique à quelque 109.000 dollars le 20 janvier, jour de l'investiture à la Maison Blanche de Donald Trump, aux positions très favorables aux cryptoactifs.
Mais le risque d'emballement d'une guerre commerciale tous azimuts a assombri ces dernières semaines l'humeur des investisseurs, les incitant à se débarrasser de leurs actifs spéculatifs.
"Vu l'environnement macroéconomique, il n'est pas surprenant de voir où nous en sommes", d'autant que les investisseurs attendent toujours en vain des mesures concrètes de l'administration Trump en faveur des cryptoactifs, observe Stefan von Haenisch, de la société Bitgo, cité par Bloomberg.
Le pétrole en berne, craintes sur la demandeLe marché du pétrole n'était pas épargné par le regain d'inquiétudes sur la conjoncture, dans la crainte de voir affectée la demande mondiale de brut.
Vers 06H30 GMT, le baril de WTI américain cédait 0,72% à 69,81 dollars et celui de Brent de la mer du Nord 0,68% à 73,54 dollars.
Les Bourses asiatiques ont dégringolé vendredi à la suite de Wall Street, plombées par les menaces douanières réitérées par Donald Trump contre la Chine, le Canada et le Mexique, et par un plongeon des titres liés aux semi-conducteurs dans le sillage de l'américain Nvidia.
Le bitcoin, actif à risque, a lui aussi trébuché lourdement face au regain d'incertitudes, ayant cédé désormais 25% depuis son sommet historique il y a six semaines.
Tokyo et Séoul plongent de 3%, les droits de douane affolentLes places asiatiques emboîtaient le pas à la Bourse de New York, qui a terminé jeudi en forte baisse, minée par une dégringolade des valeurs technologiques et par les incertitudes sur la politique commerciale américaine.
Dans un énième revirement, le président américain Donald Trump a annoncé que les Etats-Unis imposeraient des droits de douane supplémentaires de 10% sur les produits chinois à compter du 4 mars, et affirmé que les surtaxes visant le Canada et le Mexique entreraient en vigueur le même jour.
A la Bourse de Tokyo vers 03H30, l'indice vedette Nikkei sombrait de 3,49% à 36.920 points, et l'indice élargi Topix abandonnait 2,28%.
A la Bourse de Séoul, l'indice Kospi chutait de 3,12%, tandis que la Bourse de Sydney se repliait de 1,13%.
Les places chinoises souffraient également, après avoir été vigoureusement soutenues la veille par un net rebond des valeurs technologiques --à la suite d'un boom du secteur tech depuis janvier.
A Hong Kong, l'indice Hang Seng plongeait de 2,20% à 23.195,48 points. L'indice composite de Shanghai perdait 0,82% et celui de Shenzhen 1,58%.
"Ces droits de douane, s'ils étaient maintenus, impliqueraient un ralentissement significatif de la croissance aux États-Unis et en Chine, et très certainement aussi au Mexique et au Canada, ce qui aurait un impact plus large sur les économies asiatiques tournées vers l'exportation", prévient Michael Wan, de la banque MUFG.
Outre des pressions inflationnistes ravivées aux Etats-Unis, faute de substituts aux importations visées, les chaînes d'approvisionnement à travers l'Asie seront déstabilisées, souligne-t-il.
Soutenu par la perspective d'une hausse des taux d'intérêt de la Banque du Japon au printemps, la monnaie japonaise grimpait de 0,18% à 149,55 yens pour un dollar --accroissant la pression sur les titres des groupes exportateurs nippons.
Les semi-conducteurs dévissent après NvidiaOutre les inquiétudes généralisées sur les tensions douanières, les Bourses étaient tirées vers le bas par un plongeon des titres liés aux semiconducteurs.
A Wall Street jeudi, les investisseurs s'étaient montrés particulièrement déçus des résultats trimestriels et perspectives du champion américain des puces, Nvidia: le titre avait lâché près de 9%, entraînant les valeurs tech dans son sillage.
"Suite au dévissage de l'action Nvidia (...) l'inquiétude se propage aux actions sur le marché japonais", soulignait Kosuke Oka, du courtier Monex Securities.
Ainsi, vers 03H30 GMT à Tokyo, Advantest dégringolait de 9,66%, Disco Corp de 10,71%, Renesas de 4,43% et Tokyo Electron de 5,09%.
A la même heure à Séoul, Samsung Electronics (-2,31%) et SK Hynix (-4,77%), poids-lourds de la cote, plongeaient de concert.
Le bitcoin sous 80.000 dollars, repli de 25% en six semainesLe bitcoin est descendu vendredi sous la barre des 80.000 dollars pour la première fois depuis le 11 novembre. Vers 03H30 GMT, la plus importante devise numérique plongeait de 4,24%.
Il a dégringolé de plus de 25% depuis son record historique à quelque 109.000 dollars le 20 janvier, jour de l'investiture à la Maison Blanche de Donald Trump, aux positions très favorables aux cryptoactifs.
Mais le risque d'emballement d'une guerre commerciale tous azimuts a assombri ces dernières semaines l'humeur des investisseurs, les incitant à se débarrasser de leurs actifs spéculatifs.
"Vu l'environnement macroéconomique, il n'est pas surprenant de voir où nous en sommes", d'autant que les investisseurs attendent toujours en vain des mesures concrètes de l'administration Trump en faveur des cryptoactifs, observe Stefan von Haenisch, de la société Bitgo, cité par Bloomberg.
Le pétrole en berne, craintes sur la demandeLe marché du pétrole n'était pas épargné par le regain d'inquiétudes sur la conjoncture, dans la crainte de voir affectée la demande mondiale de brut.
Vers 03H30 GMT, le baril de WTI américain cédait 0,45% à 70,03 dollars et celui de Brent de la mer du Nord 0,47% à 73,69 dollars.
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