L'Europe termine sur une note prudente avant le discours de Powell

Les Bourses mondiales progressent jeudi, après des indicateurs économiques jugés encourageants pour la dynamique économique de la zone euro et des Etats-Unis, mais les investisseurs restent prudents avant des prises de parole de banquiers centraux.

Wall Street a ouvert en hausse, un peu soutenue par des chiffres conformes aux attentes concernant les nouvelles demandes hebdomadaires d'allocations chômage aux Etats-Unis.

Le Nasdaq prenait 0,29%, le S&P 500 0,17% et le Dow Jones oscillait autour de l'équilibre (-0,05%) vers 13H50 GMT.

En Europe, les indices ont trouvé un léger élan avec la publication des indicateurs d'activité PMI en zone Euro. La Bourse de Paris avançait de 0,25% vers 13H50 GMT, Francfort de 0,41%, tandis que Londres (+0,08%) et Milan (+0,10%) évoluaient proches de l'équilibre.

"Les chiffres PMI de la zone euro pour le mois d'août affichent une hausse surprise, probablement due à l'engouement pour les Jeux olympiques de Paris", mais cette dynamique française pourrait ne pas durer, a commenté Christophe Boucher, directeur des investissements chez ABN AMRO Investment Solutions.

La prudence domine sur les marchés qui attendent surtout d'en savoir plus sur la trajectoire de la politique monétaire de la puissante Réserve fédérale (Fed), alors que s'ouvre la grand-messe des banquiers centraux jeudi, la conférence de Jackson Hole aux Etats-Unis.

Jerome Powell, le président de la Fed, doit s'exprimer vendredi à 14H00 GMT (16H00 à Paris) et pourrait donner des indications sur les intentions de l'institution en vue de sa réunion de septembre.

L'immense majorité des analystes tablent sur une première baisse des taux de 0,25 point de pourcentage à ce moment-là, puis des baisses régulières lors des deux réunions suivantes avant la fin de l'année, selon l'outil de suivi FedWatch du groupe CME.

Mercredi, la publication du compte-rendu de la dernière réunion de juillet du comité de politique monétaire de la Fed a conforté le scénario du marché et "a contribué à renforcer les attentes de baisse des taux assez rapidement au cours des prochains mois", commentent les analystes de Deutsche Bank.

Sur le marché obligataire, les taux d'intérêt des dettes souveraines, qui évoluent en sens inverse du prix des obligations, étaient en hausse aux Etats-Unis comme en Europe.

Le taux d'intérêt des emprunts à dix ans des Etats-Unis s'établissait à 3,84% vers 13H45 GMT, contre 3,80% mercredi.

Sur le marché des changes, la perspective de baisses des taux de la Fed pèse sur le dollar et a permis à l'euro de toucher la veille un plus haut depuis plus d'un an face au billet vert, à 1,1174 dollar. Jeudi, vers 13H45 GMT, l'euro relâchait 0,20% à 1,1128 dollar.

Microsoft a revu à la baisse mercredi ses prévisions de revenus pour son activité de cloud, qui comprend notamment sa plateforme Azure, et à la hausse celles de sa branche de "productivité", qui comprend notamment ses logiciels de bureautique.

Le géant américain de l'informatique a déplacé des produits d'une activité à l'autre, entraînant mécaniquement un changement de leurs perspectives financières. Son titre n'en était pas pénalisé et grappillait 0,24% à New York.

Les prix du pétrole hésitaient sur la direction à prendre jeudi, pris entre les inquiétudes économiques notamment en Chine et aux Etats-Unis, et les espoirs d'une trêve qui s'amenuisent à Gaza, renforçant le risque géopolitique.

Vers 13H45 GMT, le prix du baril de Brent de la mer du Nord prenait 0,29% à 76,27 dollars.

Son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate (WTI) gagnait 0,22%, à 72,09 dollars.

Si les deux références mondiales du brut évoluaient sans direction claire, elles restaient toutes deux à des niveaux proches de leurs plus bas de l'année.

Les Bourses européennes sont en légère hausse jeudi, après des indicateurs économiques encourageants pour l'économie du Vieux continent, mais restent prudentes avant un discours du président de la banque centrale américaine (Fed) vendredi.

En Europe, la Bourse de Londres avance légèrement de 0,15% vers 11H30 GMT, la Bourse de Paris de 0,21%, Francfort de 0,26%, tandis que Milan oscillait autour de son point d'équilibre (-0,02%).

"Les chiffres PMI de la zone euro pour le mois d'août affichent une hausse surprise, probablement due à l'engouement pour les Jeux olympiques de Paris", mais cette dynamique française pourrait ne pas durer, commente Christophe Boucher, directeur des investissements chez ABN AMRO Investment Solutions.

L'indice PMI d'activité, calculé sur la base de sondages d'entreprises, est remonté à 51,2 contre 50,1 en juillet, et atteint son plus haut niveau depuis trois mois, mais le niveau des nouvelles commandes a continué à baisser. Un chiffre situé au-dessus de 50 signale une croissance de l'activité, tandis qu'un chiffre en deçà reflète une contraction.

Les PMI américains seront publiés à 13H45 GMT, peu après l'ouverture de la Bourse de New York.

A Wall Street, les contrats à terme des trois principaux indices avançaient de 0,10% à 0,30%, laissant présager d'une ouverture en légère hausse.

La prudence domine les marchés qui attendent surtout d'en savoir plus sur la trajectoire de la politique monétaire de la puissante Réserve fédérale (Fed), alors que s'ouvre la grand-messe des banquiers centraux jeudi, la conférence de Jackson Hole aux Etats-Unis.

Jerome Powell, le président de la Fed, s'exprimera vendredi à 14H00 GMT (16H00 à Paris) et pourrait donner des indications sur les intentions de l'institution en vue de sa réunion de septembre.

L'immense majorité des analystes tablent sur une première baisse des taux de 0,25 point de pourcentage à ce moment-là, puis des baisses régulières lors des deux réunions suivantes avant la fin de l'année, selon l'outil de suivi FedWatch du groupe CME.

La veille, la publication du compte-rendu de la dernière réunion de juillet du comité monétaire de la Fed a conforté le scénario du marché et "a contribué à renforcer les attentes de baisse des taux assez rapidement au cours des prochains mois", commentent les analystes de Deutsche Bank.

Sur le marché obligataire, les taux d'intérêt, qui évoluent en sens inverse du prix des obligations, étaient en hausse aux Etats-Unis comme en Europe.

Sur le marché des changes, la perspective de baisses des taux de la Fed a permis à l'euro de toucher la veille un plus haut depuis plus d'un an face au billet vert, à 1,1174 dollar. Jeudi, vers 11H30 GMT, l'euro relâchait 0,13% à 1,1136 dollar.

La chaîne de vêtements de sport JD Sports Fashion s'envolait de 8,62% à Londres, les investisseurs saluant une hausse de son chiffre d'affaires et une baisse plus faible qu'attendu de ses marges au premier semestre, dans un contexte de demande en baisse dans le secteur.

Le géant suisse de la réassurance Swiss Re (+3,52% à Zurich) a annoncé un bénéfice net de près de 2,1 milliards de dollars pour le premier semestre, et a confirmé ses prévisions pour l'ensemble de 2024.

Les prix du pétrole hésitaient sur la direction à prendre jeudi, pris entre les inquiétudes économiques notamment en Chine et aux Etats-Unis, et les espoirs d'une trêve qui s'amenuisent à Gaza, renforçant le risque géopolitique.

Vers 11H30 GMT, le prix du baril de Brent de la mer du Nord prenait 0,51% à 76,44 dollars.

Son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate (WTI) gagnait 0,36%, à 72,19 dollars.

Si les deux références mondiales du brut évoluaient sans direction claire, elles restaient toutes deux à des niveaux proches de leurs plus bas de l'année.

— Lien source: https://tinyurl.com/2a5dao6x

— Note: Reuters n'a pas vérifié cette histoire et ne se porte pas garant de son exactitude

Deutsche Bank a annoncé jeudi avoir signé un accord avec environ 60% des anciens actionnaires de Postbank qui estimaient avoir été lésés par le géant bancaire allemand lors du rachat de la banque de détail en 2010.

Si cet accord permet à Deutsche Bank de tourner la page, un certain nombre de cas restent en suspens alors que des anciens actionnaires de Postbank n'ont toujours pas obtenu gain de cause.

Jan Bayer, avocat de certains des plaignants qui ont rejeté une proposition de règlement à l'amiable la semaine dernière, a déclaré que cette annonce n'avait que peu d'incidence sur ses clients.

"Quel que soit l'accord conclu, il n'a aucun effet sur la décision d'un autre plaignant et n'est donc pas pertinent pour la suite", a-t-il déclaré.

Deutsche Bank a également indiqué qu'elle réduirait de 430 millions d'euros les provisions qu'elle avait constituées pour le règlement des litiges, ce qui aura un impact positif sur son bénéfice au troisième trimestre.

La banque s'est déclarée satisfaite des règlements et a laissé entendre qu'un rachat d'actions, qui avait été suspendu, pourrait éventuellement être remis à l'ordre du jour.

"Dans le contexte de cette amélioration de notre plan de capital, nous allons revoir nos plans de distribution et en discuter avec nos régulateurs dans le cadre de notre dialogue permanent", a déclaré Deutsche Bank mercredi.

Selon les termes de l'accord, Deutsche Bank versera 31 euros par action aux anciens actionnaires de Postbank, en plus des 25 euros réglés en 2010 lors du rachat.

Wall Street est attendue en hausse modérée jeudi à l'ouverture, avant le début du symposium de Jackson Hole, tandis que l'Europe avance à mi-séance après une salve d'indicateurs d'activité meilleurs que prévu.

Les futures sur indices new-yorkais suggèrent une ouverture de Wall Street dans le vert, le Dow Jones s'affichant en hausse de 0,08%, tandis que le Standard & Poor's 500 progresse de 0,06% et le Nasdaq avance de 0,05%.

À Paris, le CAC 40 se hisse de 0,33% à 7549,39 points vers 10h13 GMT. Le Dax à Francfort se renforce de 0,27%, tandis que le FTSE à Londres CURRENCYCOM:UK100 progresse de 0,19%.

L'indice paneuropéen FTSEurofirst 300 (.FTEU3) prend 0,49%, l'EuroStoxx 50 gagne 0,32% et le Stoxx 600 croît de 0,52%.

L'actualité économique américaine accaparera les investisseurs en cette fin de semaine, ce alors que la trajectoire des taux de la première économie du monde continue d'interroger sur fond de marchés du travail mitigés.

Le symposium de Jackson Hole, au Wyoming, consacré aux marchés de l'emploi, pourrait donner davantage d'indications sur les prochaines décisions de la Réserve fédérale: le président de l'institution, Jerome Powell, s'exprimera vendredi.

Le risque principal pour les actifs risqués tient en la divergence entre le positionnement de la banque centrale, qui favorisera probablement des baisses régulières de 25 points de base, et celui des marchés qui tablent sur au moins une baisse de 50 points de base cette année. (FEDWATCH)

De fait, les investisseurs s'inquiètent du ralentissement des marchés du travail: la révision des chiffres de l'emploi, publiée mercredi, a montré que le nombre de postes créés cette année a été moins important qu'initialement annoncé.

La publication à 12h30 GMT des inscriptions hebdomadaires au chômage, habituellement un indicateur de second ordre, sera donc attendue pour les indications qu'elle pourrait fournir sur la demande en main d'œuvre.

Les marchés européens, s'ils seront également attentifs aux développements outre-Atlantique, digèrent à mi-séance les indicateurs PMI publiés jeudi.

L'activité en zone euro a ainsi surpris à la hausse, le secteur des services en particulier croissant plus qu'attendu.

En revanche, l'activité allemande a déçu, le secteur privé s'affichant en contraction pour le deuxième mois consécutif, ravivant les craintes de récession dans la première économie du bloc.

"L'élan provient en grande partie d'une poussée de l'activité des services en France, l'indice d'activité des entreprises ayant bondi de près de cinq points, ce qui est probablement lié aux Jeux olympiques de Paris", nuance Christophe Boucher, directeur des investissements chez ABN AMRO Investment Solutions, qui juge les fondamentaux "incertains".

Toutefois, "les pressions sur les prix dans le secteur des services se sont relâchées, ce qui plaide en faveur d'une baisse des taux de la BCE en septembre", ajoute le responsable.

LES VALEURS A SUIVRE A WALL STREET

Microsoft a abaissé ses prévisions de chiffre d'affaires pour sa division Azure au premier trimestre, visant désormais entre 23,80 et 24,10 milliards de dollars, contre 28,6 et 28,9 milliards de dollars précédemment.

Zoom Video Communications a relevé mercredi ses prévisions de chiffre d'affaires annuel, profitant d'une forte demande pour ses outils de collaboration basés sur l'Intelligence artificielle (IA).

LES VALEURS A SUIVRE EN EUROPE

L'assureur néerlandais Aegon a fait état jeudi d'une baisse au premier semestre de son indicateur de génération de capital, et recule de 5,54%.

Deutsche Bank progresse de 3,04% après avoir annoncé mercredi la conclusion d'accords avec plus de la moitié des plaignants ayant accusé la banque allemande de les avoir sous-payés lors de l'acquisition de Postbank il y a plusieurs années.

Swiss Re a fait état jeudi de résultats conformes aux attentes, rapportant une hausse de 17% de son bénéfice sur les six premiers mois de l'année, et gagne 3,16%.

Le revendeur britannique de vêtements de sport JD Sports Fashion a fait état jeudi d'une hausse de 2,4% de ses ventes sous-jacentes au deuxième trimestre et bondit de 6,43%.

Biomérieux grimpe de 4,78% après qu'UBS a entamé le suivi de la valeur et recommandé "acheter".

Bavarian Nordic s'envole de 11,3%, le groupe ayant fait état de résultats au second trimestre meilleurs qu'attendu par le consensus.

TAUX

Les rendements américains progressent avant la publication des chiffres hebdomadaires du chômage et l'ouverture du symposium de Jackson Hole, à l'occasion duquel Jerome Powell s'exprimera.

Le rendement du Treasury à dix ans prend 4,4 points de base à 3,8199%, tandis que le rendement du titre à deux ans (US2YT=RR) progresse de 3,7 points de base à 3,9593%.

Le rendement du dix ans allemand (DE10YT=RR) se renforce de 1,9 point de base à 2,221%, celui du taux à deux ans (DE2YT=RR) est stable à 2,376%.

CHANGES

L'euro recule légèrement face au dollar, sous la pression d'indicateurs PMI moins bons que prévu en Allemagne, bien que les bons chiffres d'activité en zone euro contribuent à limiter l'ampleur du repli.

Le dollar gagne 0,19% face à un panier de devises de référence , l'euro s'érode de 0,11% à 1,1138 dollar, et la livre sterling se raffermit de 0,26% à 1,3126 dollar.

PETROLE

Le baril est en progression, les chiffres publiés mercredi par l'Energy Information Administration américaine suggèrant que la consommation de pétrole reste soutenue aux États-Unis, où les stocks de brut ont reculé de 4,6 millions de barils la semaine dernière.

Le Brent progresse de 0,53% à 76,45 dollars le baril, le brut léger américain (West Texas Intermediate, WTI) se renchérit de 0,38% à 72,2 dollars.

PRINCIPAUX INDICATEURS ÉCONOMIQUES À L'AGENDA DU 22 AOÛT :

La Bourse de Paris avance avec prudence jeudi, tournée vers les Etats-Unis où est attendu le discours du président de la banque centrale américaine (Fed) vendredi, alors que les investisseurs s'attendent à ce qu'un cycle de baisse des taux débute prochainement aux Etats-Unis.

L'indice vedette de la Bourse de Paris CAC 40 a ouvert stable et grappillait 0,22% vers 09H50. Mercredi, il a terminé en hausse de 0,52%, reprenant sa marche en avant, après avoir rompu mardi un cycle de cinq séances positives.

"Le compte-rendu de la réunion de juillet du comité monétaire de la Fed" publié la veille, "a contribué à renforcer les attentes de baisse des taux de la Fed assez rapidement au cours des prochains mois", commentent les analystes de Deutsche Bank.

Lors de la dernière réunion de la Fed les 30 et 31 juillet, "plusieurs membres ont souligné que les récents progrès dans la lutte contre l'inflation et la hausse du chômage plaidaient en faveur d'une baisse de 25 points de base" dès la prochaine réunion de l'institution monétaire en septembre, selon ce rapport.

Le président de la Fed, Jerome Powell, devrait donner davantage d'indications aux marchés quant à la trajectoire de sa politique monétaire, lors d'un discours vendredi lors de la réunion annuelle des banquiers centraux à Jackson Hole (Wyoming).

"La question est maintenant de savoir" si les déclarations de Jerome Powell "auront le même ton" que celui du compte-rendu publié, estime John Plassard, spécialiste de l'investissement pour Mirabaud.

Les marchés attendent que la Fed enclenche un cycle de baisse des taux depuis le deuxième trimestre de cette année. Si un léger rebond de l'inflation américaine début 2024 a repoussé cet assouplissement, les investisseurs estiment désormais qu'il est imminent.

L'immense majorité des analystes table sur une première baisse des taux de 0,25 point de pourcentage en septembre, puis des baisses régulières lors des deux réunions suivantes avant la fin de l'année, selon l'outil de suivi FedWatch du groupe CME.

"En termes de classes d'actifs, les marchés d'actions devraient réagir positivement à toute confirmation d'un assouplissement de la politique monétaire américaine, en particulier les valeurs dites défensives, abondantes dans les secteurs de la santé, de la consommation de base ou de l'immobilier", commente Kevin Thozet, membre du comité d'investissement de Carmignac.

Pour patienter avant la grand-messe des banquiers centraux, le marché se tournera jeudi vers les indicateurs d'activité PMI pour août en Europe et aux Etats-Unis.

La France a ouvert le bal des publications. Selon l'indice PMI Flash, l'activité du secteur privé français est repartie à la hausse en août pour la première fois depuis avril, mais entièrement grâce aux services, tandis que l'industrie manufacturière est en berne.

L'indice s'est établi à 52,7 contre 49,1 en juillet, un plus haut de 17 mois. Un indice supérieur à 50 indique une expansion de l'activité, et une valeur en dessous de ce seuil, une contraction.

Depuis lundi, la baisse des prix du pétrole a contribué au repli des entreprises du secteur énergétique sur les marchés d'actions.

Le baril de Brent de la mer du Nord a cédé 4,54% et valait 76,06 dollars vers 09H45 GMT.

Le baril du West Texas Intermediate (WTI) américain abandonnait quant à lui reculé de plus de 6% depuis le début de la semaine, s'échangeant jeudi autour de 72 dollars.

A Paris le géant pétrolier TotalEnergies abandonnait 0,80% à 61,65 euros. Depuis le début de la semaine, son action a reculé de plus de 1%.

Viridien (ex-CGG) abandonnait 1,01% à 36,15 euros, Vallourec 0,38% à 36,16 euros, Technip Energies 0,77% à 20,58 euros et Maurel & Prom 2,04% à 5,28 euros.