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Coach de trading en chef et conférencier BeingTrader, plus de 8 ans d'expérience dans le trading du marché des changes, principalement XAUUSD, EUR/USD, GBP/USD, USD/JPY et pétrole brut. Un trader et analyste confiant qui vise à explorer diverses opportunités et à guider les investisseurs sur le marché. En tant qu'analyste, je cherche à améliorer l'expérience du trader en le soutenant avec suffisamment de données et de signaux.
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Risk Warning on Trading HK Stocks
Despite Hong Kong's robust legal and regulatory framework, its stock market still faces unique risks and challenges, such as currency fluctuations due to the Hong Kong dollar's peg to the US dollar and the impact of mainland China's policy changes and economic conditions on Hong Kong stocks.
HK Stock Trading Fees and Taxation
Trading costs in the Hong Kong stock market include transaction fees, stamp duty, settlement charges, and currency conversion fees for foreign investors. Additionally, taxes may apply based on local regulations.
HK Non-Essential Consumer Goods Industry
The Hong Kong stock market encompasses non-essential consumption sectors like automotive, education, tourism, catering, and apparel. Of the 643 listed companies, 35% are mainland Chinese, making up 65% of the total market capitalization. Thus, it's heavily influenced by the Chinese economy.
HK Real Estate Industry
In recent years, the real estate and construction sector's share in the Hong Kong stock index has notably decreased. Nevertheless, as of 2022, it retains around 10% market share, covering real estate development, construction engineering, investment, and property management.
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Des scientifiques russes ont critiqué mercredi la réponse des autorités à la marée noire provoquée par le naufrage de pétroliers entre la Russie et la Crimée annexée, affirmant que les sauveteurs n'avaient pas de matériel approprié.
Le 15 décembre, deux pétroliers russes, le Volgoneft-212 et le Volgoneft-239, se sont échoués au cours d'une tempête dans le détroit de Kertch. Il sépare la Russie de la péninsule ukrainienne de Crimée qu'elle a annexée en 2014.
Les navires transportaient 9.200 tonnes de mazout, dont environ 40% pourrait s'être déversés en mer, selon les autorités russes.
Des milliers de volontaires se sont mobilisés pour nettoyer les plages du sud-ouest de la Russie, région touristique qui a vu son sable maculé de mazout gluant.
Mais, selon des scientifiques, leur équipement n'est pas suffisant.
"Il n'y a pas de bulldozers sur place, pas de camions. Pratiquement aucun équipement technique", a affirmé lors d'une conférence de presse l'hydrologue Viktor Danilov-Danilian, directeur scientifique de l'Institut des problèmes d'eau de l'Académie russe des sciences.
Les volontaires n'ont que "des pelles et des sacs en plastique inutiles qui éclatent", a dénoncé M. Danilov-Danilian.
"En attendant que ces sacs soient enfin récupérés, la tempête arrive et ils se retrouvent de nouveau dans la mer. C'est impensable!", a-t-il dit.
Toute critique publique des autorités est rare en Russie, le régime de Vladimir Poutine ne la tolérant pas.
La marée noire pourrait polluer jusqu'à 200.000 tonnes de sols, a indiqué lundi le ministre russe des Ressources naturelles.
Près de 30.000 tonnes de sols contaminés ont déjà été collectées, a indiqué mercredi le gouverneur de la région russe de Krasnodar, Véniamine Kondratiev.
Le président Vladimir Poutine a reconnu la semaine dernière qu'il s'agissait d'une "catastrophe écologique".
Sergueï Ostakh, professeur de l'Académie russe des sciences naturelles et spécialiste en écologie industrielle a estimé lors de la même conférence de presse que la pollution pourrait bientôt atteindre la Crimée.
"Il ne faut pas avoir d'illusions qu'elle (la Crimée - ndlr) restera propre", a-t-il dit, en appelant à "agir au plus vite".
Cette marée noire pourrait avoir tué 21 dauphins, a estimé mercredi le centre spécialisé Delfa, précisant que des analyses étaient nécessaires pour confirmer la cause de leur mort.
Les cours du pétrole ont terminé en hausse mardi, poussé par les nouvelles annonces de relance en Chine, Pékin souhaitant la mise en place d'une politique budgétaire "encore plus active" pour 2025.
Le prix du baril de Brent de la mer du Nord, pour livraison en février, a pris 1,31% à 73,58 dollars.
Son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate (WTI), pour livraison le même mois, a gagné 1,24% à 70,10 dollars.
Ces deux marchés ont fermé plus tôt exceptionnellement mardi à la veille des jours fériés de Noël.
En outre, "à l'approche des fêtes de fin d'année, les volumes sur les marchés à terme sont plutôt faibles", a observé auprès de l'AFP Andy Lipow, de Lipow Oil Associates.
L'analyste a toutefois noté que le marché avait "réagi positivement" à "l'annonce faite par la Chine (mardi) d'émettre plus de 400 milliards de dollars d'obligations l'année prochaine afin de stimuler l'économie".
La Chine a annoncé mardi la mise en place d'une politique budgétaire "encore plus active" pour 2025, notamment pour soutenir une consommation toujours fragile, ouvrant la voie à une "augmentation" de son déficit budgétaire.
Cette accélération des dépenses publiques fait partie d'un "arsenal" de cinq mesures annoncé par le ministère des Finances au terme d'une conférence nationale de deux jours débutée lundi.
La deuxième économie mondiale fait face à une consommation interne en berne, à des finances locales fragilisées par un endettement élevé et la crise de l'immobilier et à des incertitudes en matière de commerce international, notamment avec la possibilité de droits de douanes supplémentaires aux Etats-Unis sur les produits chinois voulus par le président élu Donald Trump.
En stimulant la consommation, "cela contribuerait également à soutenir la demande de pétrole", selon M. Lipow, la Chine étant le premier importateur mondial d'or noir.
Sur le long terme néanmoins, "les perspectives (du marché) restent défavorables en raison (...) de l'augmentation de la production aux États-Unis, au Canada, au Brésil, en Guyane et en Argentine".
L'Agence internationale de l'énergie (AIE) prévoit un "excédent d'offre de 950.000 barils par jour" en 2025.
Au début du mois, l'Organisation des pays exportateurs de pétrole et ses alliés (Opep+) avait d'ailleurs reconduit ses réductions de production d'or noir et étalé le calendrier du retour des barils afin de soutenir les cours.
Les prix du pétrole remontent légèrement mardi, emportés par un léger optimisme précédant les fêtes de Noël, période d'échanges réduits sur les marchés.
Vers 11H25 GMT (12H25 à Paris), le prix du baril de Brent de la mer du Nord, pour livraison en février, prend 0,96% à 73,33 dollars.
Son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate (WTI), pour livraison le même mois, monte de 0,97% à 69,91 dollars.
Ces deux échanges fermeront plus tôt exceptionnellement mardi à la veille des jours fériés de Noël.
Les cours du brut rebondissent "faisant fi des pertes antérieures au cours d'une séance d'avant-fêtes peu chargée", note Matt Britzman, d'Hargreaves Lansdown, s'appuyant sur des données économiques américaines qui "ont suscité l'optimisme quant à une fin d'année solide pour le plus grand consommateur mondial".
La force de l'économie américaine a cependant renforcé le dollar, ce qui renchérit le baril pour les acheteurs disposant de devises étrangères.
Sur le long terme par ailleurs, "les craintes d'une offre excédentaire l'année prochaine ont limité les gains supplémentaires", note l'analyste.
Au début du mois, l'Organisation des pays exportateurs de pétrole et ses alliés (Opep+) avait d'ailleurs reconduit ses réductions de production d'or noir et étalé le calendrier du retour des barils afin de soutenir les cours.
Concernant le gaz, le contrat à terme du TTF néerlandais, considéré comme la référence européenne du gaz naturel, s'affiche vers 11H25 GMT à 46,06 euros le mégawattheure (MWh), en hausse d'1,14%.
Les analystes de DNB expliquent cette progression des prix par l'expiration prochaine, le 1er janvier, d'un contrat régissant les flux par le gazoduc entre la Russie et l'Ukraine, crucial pour l'alimentation de l'Europe centrale.
Le président américain Joe Biden, qui a déjà fait part par le passé de son opposition au rachat de U.S. Steel par le Japonais Nippon Steel, a désormais quinze jours pour prendre une décision après que le panel chargé d'évaluer la prise de contrôle n'est pas arrivé à un consensus, écrit lundi le Washington Post.
"Le panel étant dans l'impasse, la décision finale revient maintenant au président, qui est légalement tenu d'agir dans un délai de 15 jours", écrit le Washington Post.
La commission chargée d'évaluer les conséquences sur la sécurité nationale des Etats-Unis de rachats d'entreprises américaines par des groupes étrangers (CFIUS) a rendu lundi son évaluation finale sans trouver un consensus en son sein sur la position à adopter, croit savoir le journal citant deux sources sous le couvert de l'anonymat.
"Permettre au géant industriel japonais de racheter l'entreprise américaine autrefois emblématique pourrait entraîner une réduction de la production nationale d'acier et représenterait +un risque pour la sécurité nationale+", selon la CFIUS, écrit Le Washington Post.
Le journal indique que Nippon Steel a notamment proposé de nommer des citoyens américains à des postes clé sans convaincre l'ensemble du panel que la mesure était suffisante.
Le président du syndicat des sidérurgistes United Steelworkers (USW) David McCall, qui s'oppose au rachat, a estimé dans une déclaration envoyée à l'AFP: "Il appartient maintenant au président Biden de déterminer la meilleure voie à suivre. Nous continuons de penser que cela signifie que U.S. Steel doit rester une entreprise nationale".
"Le projet de transaction (...) n'est rien d'autre que de la cupidité d'entreprise, qui trahit les travailleurs américains et met en péril l'avenir à long terme de l'industrie sidérurgique nationale et notre sécurité nationale".
Le président Biden, tout comme le président élu républicain Donald Trump, ont déjà fait part à maintes reprises de leur opposition à ce mariage de près de quinze milliards de dollars annoncé en décembre 2023.
Le président estime que l'industrie sidérurgique revêt un caractère stratégique pour les Etats-Unis, qui sont le premier importateur mondial d'acier.
Le Washington Post écrit que les avocats de deux entreprises ont écrit dans une lettre datée du 17 décembre au panel assurant que l'avis de celui-ci était "truffé d'inexactitudes et d'omissions factuelles, de déclarations trompeuses et incomplètes, de conjectures et d'hypothèses qui ne reposent sur aucun fait et sont manifestement illogiques"
Il y a quelques semaines, Nippon Steel avait souligné que le projet "soutiendra la sécurité économique des Etats-Unis en contrant les menaces posées par la Chine".
"Il est inapproprié que la politique continue de l'emporter sur les véritables intérêts de sécurité nationale" américains, indiquait alors le groupe dans une déclaration à l'AFP.
Wall Street a été soulagée vendredi par des signes de modération de l'inflation aux Etats-Unis, qui ont relativisé les réserves exprimées par la banque centrale américaine (Fed), tandis que l'Europe a consolidé.
A New York, le Dow Jones a engrangé 1,18%, l'indice Nasdaq 1,03% et l'indice élargi S&P 500, 1,09%.
"Le marché s'est réveillé de très mauvaise humeur du fait d'un +shutdown+ inattendu du gouvernement et d'une Fed (banque centrale américaine) plus dure que prévue, mais des données d'inflation moins élevées que prévu l'ont adouci", a observé Chris Zaccarelli, de Northlight Asset Management.
L'indice des prix à la consommation PCE n'a progressé que de 0,1% sur un mois en novembre, soit moins que le mois précédent (0,2%) et en-deçà des projections des économistes.
Ce petit rayon de soleil sur le front de l'inflation a détendu les taux obligataires. Le rendement des emprunts d'Etat américains à 10 ans est retombé à 5,42%, contre 5,46% la veille en clôture.
La séquence a fragilisé le billet vert et vers 21H50 GMT, il abandonnait 0,62% face à la monnaie unique, à 1,0428 dollar pour un euro.
Le bon indicateur américain de prix a permis aux indices boursiers de rebondir, après avoir démarré dans le rouge, d'autant qu'il a été accompagné par une amélioration de la confiance des consommateurs, selon l'enquête mensuelle de l'université du Michigan.
Les données macroéconomiques américaines ont permis aux places européennes de limiter leurs pertes, après des débuts difficiles.
Paris a perdu 0,27%, Francfort 0,43% et Londres 0,26% à la clôture.
"Les valorisations sont élevées, le marché s'est un peu emballé, une consolidation fait sens d'ici la fin de l'année", estime Angelo Kourkafas, d'Edward Jones, même si Wall Street est traditionnellement habituée à un dernier coup de rein durant les fêtes.
La communication de la Fed, qui a évoqué mercredi une forte incertitude liée, pour partie, aux mesures du futur gouvernement Trump, a, en partie, tempéré la vision idyllique du marché, euphorique depuis l'élection présidentielle.
La place new-yorkaise a fait peu de cas de la nouvelle crise politique au Congrès, qui ne parvient pas à voter une loi de financement évitant l'arrêt d'une partie des activités de l'Etat, le "shutdown".
A quelques heures de la limite fixée à minuit vendredi, la majorité républicaine n'était pas encore parvenue à un accord lui assurant suffisamment de voix.
"On a déjà vécu ça et, même s'il y a un +shutdown+, nous ne nous attendons pas à ce que cela laisse des traces durables", a expliqué Angelo Kourkafas, "que ce soit sur l'économie ou sur les marchés."
Novo Nordisk dévisseLe géant pharmaceutique danois Novo Nordisk, connu pour ses best-sellers Ozempic et Wegovy, traitements pour le diabète et la perte de poids, a chuté de 20,72% après les résultats décevants d'une nouvelle étude sur un autre médicament.
Son principal concurrent sur le marché des traitements anti-obésité, à savoir l'américain Eli Lilly (+1,35%), a lui été recherché.
Le bitcoin déchanteLe bitcoin reculait de 1% vendredi, à 96.348 dollars.
Le Salvador envisage de privatiser ou de fermer le portefeuille numérique "Chivo", créé par le président Nayib Bukele pour rendre le bitcoin légal en 2021, après avoir conclu un accord avec le Fonds monétaire international (FMI) pour un prêt, a déclaré jeudi la responsable du programme.
Le pays était devenu le premier au monde à adopter le bitcoin comme monnaie légale, au même titre que le dollar américain.
Les cours du pétrole se sont redressés vendredi à la faveur d'un fléchissement du dollar lié à un indicateur américain, mais restent handicapés par des fondamentaux qui s'annoncent défavorables l'an prochain.
Le prix du baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en février a grignoté 0,08%, à 72,94 dollars.
Le baril de West Texas Intermediate (WTI) américain de même échéance a lui avancé de 0,11%, à 69,46 dollars.
Le géant chilien du cuivre Codelco a produit 125.500 tonnes métriques dece métal en novembre, soit une hausse de 18% par rapport à l'année précédente, mais il est resté en deçà de son objectif pour le mois, selon un document interne obtenu par Reuters vendredi.
La production de l'entreprise minière a été inférieure de 3 % aux prévisions, selon le document, et seules les divisions Radomiro Tomic et El Teniente ont atteint leur objectif.
Codelco n'a pas répondu immédiatement à une demande de commentaire de Reuters.
Northern Oil and Gas a fait une offre d'acquisition pour Granite Ridge Resources , un petit producteur américain qui opère dans des bassins tels que le Permien et l'Eagle Ford, selon des personnes familières avec le sujet.
La société Northern, basée à Minneapolis (Minnesota), a présenté au moins deux offres pour Granite Ridge, ont indiqué les sources, ajoutant que la dernière offre, faite au cours des dernières semaines, représentait une prime d'environ 20 % par rapport au prix de l'action de la cible.
Bien que la direction de Granite Ridge ait repoussé les offres jusqu'à présent, Northern reste intéressée par un accord et pourrait adoucir son offre l'année prochaine, ont déclaré les sources, qui ont requis l'anonymat car les discussions sont confidentielles.
Les actions de Granite Ridge ont bondi de plus de 12 % à l'annonce de la nouvelle vendredi, ce qui donne à la société une valeur de marché de près de 800 millions de dollars. Selon les données de LSEG, la dette nette de l'entreprise s'élevait à environ 136 millions de dollars à la fin du mois de septembre.
Northern, dont la capitalisation boursière est d'environ 3,6 milliards de dollars, a perdu des gains marginaux et se négociait 1,1 % plus bas.
Granite Ridge a refusé tout commentaire. Northern n'a pas répondu à une demande de commentaire.
Granite Ridge est détenue majoritairement par des entités contrôlées par la société de capital-investissement Grey Rock Investment Partners, fondée par Matt Miller et Griffin Perry, qui sont également coprésidents de la société basée à Dallas. L'autre cofondateur de Grey Rock, Kirk Lazarine, siège également au conseil d'administration.
Les actions de la société, qui sont négociées à New York depuis sa fusion en 2022 avec une société d'acquisition de chèques en blanc soutenue par l'ancien président de la Chambre des représentants des États-Unis, Paul Ryan, ontperdu plus de 40 % de leur valeur entre le moment de la cotation et la clôture de jeudi.
Northern et Granite Ridge sont toutes deux spécialisées dans la production non opérationnelle, ce qui signifie qu'elles assument une partie des coûts de forage et d'autres dépenses pour obtenir une part des recettes provenant de la vente d'hydrocarbures, tandis qu'un autre producteur est chargé de l'exploitation quotidienne des puits de pétrole et de gaz.
Northern est l'un des plus grands producteurs non coopératifs de la zone de schiste des États-Unis et s'est développé ces derniers temps grâce à une série d'acquisitions, de partenariats et de coentreprises de moindre envergure.
Si elle parvient à conclure un accord avec Granite Ridge, il s'agira de la plus importante acquisition jamais réalisée par Northern.
Northern et Granite Ridge opèrent dans plusieurs bassins de schiste, notamment le bassin permien situé au Texas et au Nouveau-Mexique, et la formation de Williston dans le Dakota du Nord. Le rachat de Granite Ridge permettrait également à Northern d'être présente dans les bassins d'Eagle Ford, de Haynesville et de Denver-Julesburg.
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