Citations
Nouvelles
Analyse
Utilisateur
24/7
Calendrier économique
Education
Données
- Des noms
- Dernier
- Précédent
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
A:--
F: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
Pas de données correspondantes
Graphiques Gratuit pour toujours
Chat F&Q avec des Experts Filtres Calendrier économique Données OutilFastBull VIP FonctionnalitésTendances du marché
Principaux indicateurs
Dernières vues
Dernières vues
Sujets d'actualité
L’argent fait tourner le monde et la monnaie est une marchandise permanente. Le marché des changes est plein de surprises et d'attentes.
Sur les marchés financiers mondiaux, la bourse sert de baromètre économique et a toujours été au centre de l'attention des investisseurs. Son ascension et sa chute ont un impact profond sur l’économie de divers pays.
Les marchés financiers restent stables mais affichent un sentiment d'anticipation nerveuse alors que la nouvelle semaine commence. Les conflits entre Israël et le Hamas continuent d’occuper le devant de la scène, avec des inquiétudes croissantes quant au risque que la violence engloutisse l’ensemble de la région.
Le marché obligataire est le marché financier le plus ancien, mature, non innovant mais indispensable, tandis que la dette est un ancien vortex commun, discret mais redoutable.
Les meilleurs chroniqueurs
Salut! Êtes-vous prêt à vous impliquer dans le monde financier ?
Les dernières nouvelles et les événements financiers mondiaux.
J'ai 5 ans d'expérience en analyse financière, notamment dans les aspects d'évolution macroéconomique et de jugement de tendances à moyen et long terme. Je me concentre principalement sur l'évolution du Moyen-Orient, des marchés émergents, du charbon, du blé et d'autres produits agricoles.
Coach de trading en chef et conférencier BeingTrader, plus de 8 ans d'expérience dans le trading du marché des changes, principalement XAUUSD, EUR/USD, GBP/USD, USD/JPY et pétrole brut. Un trader et analyste confiant qui vise à explorer diverses opportunités et à guider les investisseurs sur le marché. En tant qu'analyste, je cherche à améliorer l'expérience du trader en le soutenant avec suffisamment de données et de signaux.
Dernière mise à jour
Risk Warning on Trading HK Stocks
Despite Hong Kong's robust legal and regulatory framework, its stock market still faces unique risks and challenges, such as currency fluctuations due to the Hong Kong dollar's peg to the US dollar and the impact of mainland China's policy changes and economic conditions on Hong Kong stocks.
HK Stock Trading Fees and Taxation
Trading costs in the Hong Kong stock market include transaction fees, stamp duty, settlement charges, and currency conversion fees for foreign investors. Additionally, taxes may apply based on local regulations.
HK Non-Essential Consumer Goods Industry
The Hong Kong stock market encompasses non-essential consumption sectors like automotive, education, tourism, catering, and apparel. Of the 643 listed companies, 35% are mainland Chinese, making up 65% of the total market capitalization. Thus, it's heavily influenced by the Chinese economy.
HK Real Estate Industry
In recent years, the real estate and construction sector's share in the Hong Kong stock index has notably decreased. Nevertheless, as of 2022, it retains around 10% market share, covering real estate development, construction engineering, investment, and property management.
Hong Kong, Chine
Ho Chi Minh, Vietnam
Dubaï, Émirats arabes unis
Lagos, Nigeria
Le Caire, Égypte
Marque blanche
API de données
Plug-ins Web
Programme d'affiliation
Tout voir
Pas de données
Non connecté
Se connecter pour accéder à d'autres fonctionnalités
FastBull VIP
Pas encore
Acheter
Se connecter
S'inscrire
Hong Kong, Chine
Ho Chi Minh, Vietnam
Dubaï, Émirats arabes unis
Lagos, Nigeria
Le Caire, Égypte
Marque blanche
API de données
Plug-ins Web
Programme d'affiliation
L'or a frôlé les 3.000 dollars l'once en début de semaine, dans un climat d'incertitudes alimenté par les annonces erratiques de Donald Trump, avant de glisser de son sommet les jours suivants.
Après avoir atteint lundi un nouveau record à 2.956,19 dollars l'once, le cours du métal jaune a subi une correction d'environ 3,5%.
Ce reflux s'explique notamment par des "prises de bénéfices après la forte hausse du métal précieux depuis décembre", note Han Tan, analyste chez Exinity, dans une note partagée avec l'AFP.
Par ailleurs, "la hausse des prix précédente était presque exclusivement motivée par une demande plus forte d'or en tant que valeur refuge" face aux incertitudes en matière commerciale et géopolitique, un besoin qui "devrait désormais être largement couvert", estime Carsten Fritsch, analyste chez Commerzbank.
Dans un énième revirement, Donald Trump a annoncé jeudi soir que les États-Unis imposeraient des droits de douane supplémentaires de 10% sur les produits chinois à compter du 4 mars, déjà visés début février par une première hausse de 10%.
Le président américain a également assuré que des taxes de 25% visant le Canada et le Mexique entreraient en vigueur à cette même date en mars.
Donald Trump doit par ailleurs recevoir son homologue Volodymyr Zelensky vendredi pour signer un accord sur l'accès aux minerais ukrainiens, présenté par le milliardaire américain comme une compensation des dépenses engagées par Washington pour soutenir Kiev.
Cette rencontre fait suite aux discussions entre les Etats-Unis et la Russie qui font miroiter l'espoir d'un cessez-le-feu en Ukraine.
"Étant donné que le risque géopolitique accru a été un facteur majeur de la force de l'or, une fin des hostilités entre la Russie et l'Ukraine pourrait supprimer un soutien aux métaux précieux", fait valoir Frank Watson, analyste chez Kinesis.
Vendredi, vers 15H05 GMT (16H05 à Paris), l'once d'or se négocie à 2.839,28 dollars, contre 2.936,05 dollars sept jours plus tôt à la clôture.
- Le cuivre plombé -Le prix du cuivre a baissé cette semaine sur le LME, le marché se montrant pessimiste face aux menaces douanières renouvelées de la part de Donald Trump.
Fortement utilisé dans l'industrie, notamment pour la confection de circuits électriques, le cuivre est aussi un instrument reflétant l'état de santé de l'économie mondiale.
Or, avec la guerre commerciale déclenchée par les Etats-Unis, "les risques sur la croissance économique et l'inflation reviennent hanter les investisseurs", estime Kathleen Brooks, analyste chez XTB.
Le président américain a également signé mardi un décret autorisant son secrétaire au Commerce, Howard Lutnick, à déterminer si des droits de douane étaient nécessaires sur les importations de cuivre, arguant d'un risque pour la sécurité nationale.
"Je vais lancer une enquête sur la nécessité de mettre en place de potentiels droits de douane. Les industries américaines dépendent du cuivre et doivent pouvoir en disposer provenant des Etats-Unis, sans exception", a déclaré Howard Lutnick.
Aux Etats-Unis, les spéculations sur l'imposition de droits de douane sur le cuivre ont "déjà entraîné de graves distorsions du marché ces dernières semaines, avec des prix sur le New York Comex divergeant fortement de ceux du LME", explique Barbara Lambrecht de Commerzbank.
Les acheteurs américains anticipant les taxes à l'importation se prémunissent en achetant des réserves de cuivre, ce qui soutient les prix à New York, à contrecourant des autres marchés mondiaux.
L'analyste souligne que "l'écart est actuellement de 600 dollars par tonne" entre Londres et New York, et sur le LME environ "40% des stocks ont ainsi été enregistrés pour livraison dans un délai très court".
Sur le LME, une tonne de cuivre coûte 9.338,50 dollars vendredi, contre 9.559 dollars sept jours plus tôt à la clôture.
- Chute du sucre -Les cours du sucre sont tombés cette semaine, avec un niveau du real brésilien face au dollar favorable à la vente pour les producteurs et des attentes d'une production record en provenance du géant sud américain.
"Les prix du sucre ont chuté jeudi" après que le real brésilien a atteint "un creux de trois semaines par rapport au dollar", explique Rich Asplund, analyste pour le site Barchart.
Un real plus faible encourage les exportations par les producteurs de sucre du Brésil, celui-ci étant échangé en dollars, "incitant à la liquidation des positions longues sur les contrats à terme sur le sucre", précise M. Asplund.
Selon le ministère américain de l'Agriculture (USDA), le Brésil est le premier producteur mondial de sucre, avec près de 25% de la production mondiale sur la saison 2023/2024.
Le prix de cette matière première est donc particulièrement sensible aux nouvelles en provenance du pays.
Par ailleurs, la faiblesse du prix du pétrole brut pèse sur les prix de l'éthanol et pourrait inciter les sucreries mondiales à orienter davantage de broyage de canne vers la production de sucre plutôt que d'éthanol, augmentant ainsi les stocks de sucre, souligne M. Asplund.
Vendredi, à New York, la livre de sucre brut valait 18,59 cents, contre 19,92 cents sept jours auparavant.
A Londres, la tonne de sucre blanc pour livraison en octobre valait 534,90 dollars contre 560,20 dollars le vendredi précédent à la clôture.
Quatre syndicats français ont exprimé vendredi leur "profonde inquiétude" face au projet de directive européenne visant à simplifier les règles du Pacte vert pour les entreprises.
"Sous couvert de simplification" ce texte "répond plus à un objectif de déréglementation frénétique guidée par la compétitivité", affirment les deux premiers syndicats, la CFDT et la CGT, ainsi que le syndicat de l'encadrement CFE-CGC et l'Unsa dans un communiqué commun.
"Ce texte affaiblirait la responsabilité des entreprises et leur obligation d'agir au sujet de l'impact de leurs activités sur l'environnement et les droits humains, tout au long de la chaîne de sous-traitance", expliquent-ils.
"Limiter le devoir de vigilance aux filiales et aux partenaires de rang un dont l'effectif est supérieur à 500 salariés permettrait le contournement de ses dispositions par le recours systématique à des intermédiaires et exclurait les fournisseurs de la chaîne d'approvisionnement les plus sujets aux violations des droits humains et environnementaux", expliquent les syndicats.
Ces organisations dénoncent en outre "l'absence de respect du processus démocratique lors de l'élaboration de ce texte" qui fait, selon elles, "l'objet d'une consultation partielle et partiale", de nombreuses ONG favorables au Pacte vert n'ayant pas été consultées.
Lundi, une vingtaine de ces ONG s'en étaient émues dans une lettre ouverte à Stéphane Séjourné, vice-président de la Commission européenne.
Le projet de directive présenté mercredi par la Commission européenne entend simplifier la directive sur le devoir de vigilance (CSDDD), la directive sur la publication de données de durabilité (CSRD), la taxonomie européenne et le mécanisme d'ajustement carbone aux frontières (CBAM).
Le communiqué syndical regrette enfin "la disparition de la perspective d'extension de la directive au secteur financier".
La simplification des textes du Pacte vert avait été demandée en janvier par deux lobbies patronaux, l'Afep qui représente en France plus d'une centaine de grands groupes privés, et le Deutsches Aktieninstitut (DAI), qui regroupe plus de 200 sociétés par action représentant environ 90% de la capitalisation boursière des sociétés allemandes.
Un consortium dirigé par la major américaine Exxon Mobil en Guyane avait récupéré fin janvier 33,9 milliards de dollars sur les 41,1 milliards de dollars qu'il a dépensés sur son énorme bloc offshore Stabroek, a déclaré à Reuters le vice-président du pays, Bharrat Jagdeo.
Depuis qu'il a découvert du pétrole en Guyane il y a dix ans, le groupe dirigé par Exxon a rapidement développé les ressources dans le petit pays d'Amérique du Sud, inaugurant la production de brut en 2019 pour dépasser les 600 000 barils par jour (bpd) l'année dernière.
Le consortium, qui contrôle toute la production du pays, peut prendre et exporter jusqu'à 75 % du brut qu'il produit en tant que "pétrole à prix coûtant", conformément au mécanisme de recouvrement des coûts inclus dans son accord de partage de la production. Le gouvernement guyanais a droit à la moitié des barils restants.
Le chiffre expliqué par le vice-président comprend les dépenses du consortium pour l'exploration de plus de 30 puits dans le bloc et le développement de six projets pétroliers et gaziers approuvés par le gouvernement.
La Guyane examine ces dépenses, mais plusieurs audits n'ont pas encore été réalisés.
À mesure que le consortium progresse vers l'approbation et le développement de nouveaux projets - il planifie actuellement son huitième projet, Longtail - d'autres coûts s'ajouteront à l'ensemble du bloc. Mais les entreprises se remettent plus rapidement chaque année en raison de la rapidité de l'augmentation de la production.
Le gouvernement guyanais s'attend à ce que sa part des bénéfices pétroliers augmente dans les années à venir, ont déclaré des représentants du gouvernement.
La société de transport intermédiaire MPLX a déclaré vendredi qu'elle achèterait la participation restante de 55 % dans le gazoduc BANGL aux filiales de WhiteWater et Diamondback Energy pour 715 millions de dollars, alors qu'elle cherche à accroître sa présence dans la région du Permien.
Les transactions dans le secteur des gazoducs se sont accélérées, certaines entreprises cherchant à réduire leurs coûts ou à gagner en envergure et à accéder à des régions productrices de pétrole et de gaz attrayantes et à des installations d'exportation sur la côte américaine du Golfe du Mexique.
L'oléoduc BANGL, d'une longueur de 425 milles, transporte des liquides de gaz naturel depuis le bassin permien du Texas jusqu'aux marchés de fractionnement de la côte du golfe du Mexique. Il permettra aux liquides d'atteindre le complexe de fractionnement de MPLX sur la côte du golfe du Mexique, dont la mise en service est prévue pour 2028.
Les liquides de gaz naturel comprennent un groupe d'hydrocarbures extraits du gaz naturel dans une usine de traitement et sont utilisés comme matières premières dans les usines pétrochimiques, pour le chauffage, la cuisine et diverses autres applications.
Le gazoduc BANGL transporte actuellement 250 000 barils de liquides de gaz naturel par jour. Au début du mois, une extension de l'oléoduc a été approuvée afin de porter sa capacité à 300 000 barils par jour, ce qui devrait être mis en service au cours du second semestre de l'année prochaine.
MPLX, l'exploitant du gazoduc, détiendra BANGL en tant que filiale si l'opération est conclue d'ici au mois de juillet de cette année.
La Chine a dénoncé vendredi un "chantage" et promis de prendre "toutes les contre-mesures nécessaires" après que le président américain Donald Trump a déclaré qu'il imposerait des droits de douane supplémentaires de 10% sur les importations chinoises.
Les droits de douane sont au coeur de la politique économique et diplomatique du locataire de la Maison-Blanche.
Il a déjà relevé de 10% ceux sur les produits chinois, promis 25% pour ceux en provenance du Canada et du Mexique, cible aussi des blocs comme l'Union européenne (UE) et des secteurs spécifiques comme l'acier, l'aluminium, les automobiles, ou les médicaments.
Jeudi, il a annoncé que les taxes sur les importations chinoises seraient encore plus élevées à compter du 4 mars, et que les droits de douane promis au Canada et au Mexique entreraient également en vigueur à cette date.
Le président accuse les trois pays de favoriser l'entrée du fentanyl aux États-Unis, ses voisins qui ne sécurisent pas assez la frontière selon lui, et la Chine qui héberge la production de précurseurs chimiques de cet opioïde de synthèse qui fait des ravages sur le sol américain.
"Tant que ce fléau continuera ou ne sera pas sérieusement endigué, les droits de douane annoncés (à l'encontre du Canada et du Mexique) entreront en vigueur le 4 mars" et "la Chine se verra également imposer un droit de douane supplémentaire de 10% à cette date", a-t-il assuré sur son réseau Truth Social jeudi.
Pour le Canada et le Mexique, cela implique des droits de douane de 25% sur leurs exportations vers les États-Unis. Washington prévoit de moins taxer le secteur énergétique canadien, à hauteur de 10%. Le Canada représente à lui seul 60% des importations de pétrole brut des États-Unis.
- "Rejeter la faute" -Quant aux produits chinois, tous sont déjà visés depuis début février par 10% de droits de douane additionnels, auxquels Pékin a répondu par des surtaxes ciblées sur les exportations américaines.
"C'est typiquement ce qu'on appelle vouloir rejeter la faute sur autrui et fuir ses responsabilités", a répliqué vendredi un porte-parole du ministère chinois du Commerce dans un communiqué, en réaction à l'argument de Donald Trump sur le fentanyl.
"La Chine est l'un des pays dont la politique de lutte contre les stupéfiants est la plus stricte et la plus complète au monde" et elle coopère activement "avec les États-Unis et d'autres pays du monde" à ce sujet, a-t-il souligné.
"Si les États-Unis s'obstinent à aller dans cette voie, la Chine prendra toutes les contre-mesures nécessaires pour défendre ses droits et intérêts légitimes."
Peu après la publication de ce communiqué, le ministère chinois des Affaires étrangères a, de son côté, accusé Washington de "chantage" et averti que les nouveaux droits de douane auraient "un grave impact sur le dialogue" bilatéral antidrogue.
"La pression, la coercition et les menaces ne sont pas la bonne façon de traiter avec la Chine. Le respect mutuel est le principe de base", a déclaré devant la presse Lin Jian, un porte-parole du ministère.
- "Jour et nuit" -Les futures barrières douanières à l'égard du Canada et du Mexique, théoriquement protégés par un accord de libre-échange, devaient initialement entrer en vigueur début février.
Donald Trump avait fait volte-face quelques heures avant l'échéance, après des engagements de ses voisins sur la sécurisation des frontières, face aux trafiquants comme aux clandestins. Il leur avait accordé un sursis de 30 jours, jusqu'au 4 mars.
Le Canada "travaille jour et nuit" pour éviter ces droits de douane, a déclaré jeudi le Premier ministre canadien Justin Trudeau, promettant une "réponse forte, immédiate et certaine" dans le cas contraire.
"Nous espérons pouvoir parler avec le président Trump" pour le faire changer d'avis, a réagi la présidente mexicaine Claudia Sheinbaum, alors que 80% des exportations mexicaines partent vers les États-Unis.
Donald Trump a reçu à la Maison Blanche jeudi le Premier ministre britannique, Keir Starmer. Devant les journalistes, il a plaisanté en disant que ce dernier avait "travaillé dur" pour tenter de le convaincre de ne pas imposer de nouveaux droits de douane à son pays.
Et estimé que les deux pays pourraient "plutôt rapidement" aboutir à un "très bon accord commercial" avec lequel "les droits de douane ne seraient pas nécessaires".
Le ton est différent avec l'Union européenne. Le président américain a menacé la veille d'infliger 25% de droits de douane au bloc européen, estimant que sa raison d'être était d'"entuber" les États-Unis.
L'UE devra répliquer pour "protéger nos intérêts" et "même si c'est défavorable à l'intérêt général", a affirmé jeudi à l'AFP le ministre français de l'Économie Eric Lombard.
Le spécialiste néerlandais des données géologiques Fugro a déclaré que son chiffre d'affaires du quatrième trimestre avait été affecté par les incertitudes politiques aux États-Unis, et qu'il prévoyait d'autres revers au cours de l'année à venir.
Fugro, qui fournit des services géotechniques, d'étude, sous-marins et géoscientifiques, a enregistré un chiffre d'affaires de 587,8 millions d'euros au quatrième trimestre (610,37 millions de dollars), légèrement inférieur aux attentes du marché (589 millions d'euros), car il a été confronté à des vents contraires dans les Amériques, au Moyen-Orient et en Inde.
Dans les Amériques, qui représentent 22% du chiffre d'affaires du groupe, les ventes ont baissé de 11,5% organiquement au quatrième trimestre, à 137,8 millions d'euros, en raison de l'incertitude liée aux élections américaines et aux changements potentiels de politique, ce qui a eu un impact sur la ligne d'activité géophysique en particulier.
"En outre, le lent redémarrage de l'activité GNL en Amérique du Nord continue d'avoir un impact sur l'activité côtière dans le Golfe du Mexique et aux États-Unis", a déclaré le groupe dans un communiqué.
En novembre, (link), Fugro a fait état de résultats mitigés dans les régions des Amériques et du Moyen-Orient, citant le report de projets aux États-Unis.
Le directeur général Mark Heine avait alors déclaré qu'il s'attendait à ce que les élections présidentielles américaines débloquent de nombreux projets qui avaient été mis en attente.
Fugro s'attend à ce que la marge de son bénéfice avant intérêts et impôts pour 2025 (Ebit) se situe dans une fourchette de 11 à 15 %. Le groupe s'attend à ce que les revers subis par le marché américain pèsent sur la croissance du chiffre d'affaires, en particulier au premier semestre.
L'Ebit ajusté s'est élevé à 71,8 millions d'euros au quatrième trimestre, ce qui est supérieur au consensus de 54 millions d'euros établi par la société.
Le groupe a également indiqué qu'il proposerait un dividende de 0,75 euro par action, soit une augmentation de 87,5 % par rapport à l'année précédente.
(1 dollar = 0,9630 euro)
Donald Trump a annoncé jeudi que les États-Unis relèveraient leurs taxes sur les produits chinois dès mardi et suggéré que Londres pourrait échapper à ses foudres douanières.
Les droits de douane sont au coeur de la politique économique et diplomatique du président américain: il a déjà relevé de 10% ceux sur les produits chinois, promis 25% pour ceux en provenance du Canada et du Mexique, cible aussi des blocs comme l'Union européenne (UE) et des secteurs spécifiques comme l'acier, l'aluminium, les automobiles, ou les médicaments.
Jeudi matin, il a annoncé que les taxes sur les importations chinoises seraient encore plus élevées à compter du 4 mars, et que les droits de douane promis au Canada et au Mexique entreraient également en vigueur à cette date.
Le président accuse les trois pays de favoriser l'entrée du fentanyl aux Etats-Unis, ses voisins ne sécurisant pas assez la frontière selon lui, et la Chine en hébergeant la production de précurseurs chimiques de cet opioïde de synthèse qui fait des ravages sur le sol américain.
"Tant que ce fléau continuera ou ne sera pas sérieusement endigué, les droits de douane annoncés (à l'encontre du Canada et du Mexique) entreront en vigueur le 4 mars" et "la Chine se verra également imposer un droit de douane supplémentaire de 10% à cette date", a-t-il assuré sur son réseau Truth Social.
Pour le Canada et le Mexique, cela implique des droits de douane de 25% sur leurs exportations vers les États-Unis. Washington prévoit de moins taxer le secteur énergétique canadien, à hauteur de 10%. Le Canada représente à lui seul 60% des importations de pétrole brut des États-Unis.
Quant aux produits chinois, tous sont déjà visés depuis début février par 10% de droits de douane additionnels, auxquels Pékin a répondu par des surtaxes ciblées sur les exportations américaines.
Les différentes vagues d'annonces se cumulent, a expliqué un responsable de la Maison Blanche à l'AFP. Autrement dit, à compter du 4 mars, les produits chinois seront visés par 20% de nouveaux droits de douane.
Se présentant comme l'un des pays les plus intransigeants à l'égard du trafic de drogues, la Chine a récemment reproché au gouvernement américain de se servir du trafic de fentanyl comme d'un "prétexte".
- "Jour et nuit" -Les futures barrières douanières à l'égard du Canada et du Mexique, théoriquement protégés par un accord de libre-échange, devaient initialement entrer en vigueur début février.
Donald Trump avait fait volte-face quelques heures avant l'échéance, après des engagements de ses voisins sur la sécurisation des frontières, face aux trafiquants comme aux clandestins. Il leur avait accordé un sursis de 30 jours, jusqu'au 4 mars.
Le Canada "travaille jour et nuit" pour éviter ces droits de douane, a déclaré jeudi le Premier ministre canadien Justin Trudeau, promettant une "réponse forte, immédiate et certaine" dans le cas contraire.
"Nous espérons pouvoir parler avec le président Trump" pour le faire changer d'avis, a réagi de son côté la présidente mexicaine Claudia Sheinbaum, alors que 80% des exportations mexicaines partent vers les Etats-Unis.
Donald Trump a reçu à la Maison Blanche jeudi le Premier ministre britannique, Keir Starmer. Devant les journalistes, il a plaisanté en disant que ce dernier avait "travaillé dur" pour tenter de le convaincre de ne pas imposer de nouveaux droits de douane à son pays.
Et estimé que les deux pays pourraient "plutôt rapidement" aboutir à un "très bon accord commercial" avec lequel "les droits de douane ne seraient pas nécessaires".
Le ton est différent avec l'Union européenne, dont le Royaume-Uni est sorti il y a cinq ans.
Le président américain a menacé la veille d'infliger 25% de droits de douane au bloc européen, estimant que sa raison d'être était d'"entuber" les États-Unis.
L'UE devra répliquer pour "protéger nos intérêts" et "même si c'est défavorable à l'intérêt général", a affirmé jeudi à l'AFP le ministre français de l'Économie Eric Lombard.
Marque blanche
API de données
Plug-ins Web
Créateur d'affiches
Programme d'affiliation
Le risque de perte dans la négociation d'instruments financiers tels que les actions, les devises, les matières premières, les contrats à terme, les obligations, les ETF et les crypto-monnaies peut être substantiel. Vous pouvez subir une perte totale des fonds que vous déposez auprès de votre courtier. Par conséquent, vous devez examiner attentivement si ce type de négociation vous convient, compte tenu de votre situation et de vos ressources financières.
Aucune décision d'investissement ne doit être prise sans avoir procédé soi-même à une vérification préalable approfondie ou sans avoir consulté ses conseillers financiers. Le contenu de notre site peut ne pas vous convenir car nous ne connaissons pas votre situation financière et vos besoins en matière d'investissement. Nos informations financières peuvent avoir un temps de latence ou contenir des inexactitudes, de sorte que vous devez être entièrement responsable de vos décisions en matière de négociation et d'investissement. La société ne sera pas responsable de vos pertes en capital.
Sans l'autorisation du site web, vous n'êtes pas autorisé à copier les graphiques, les textes ou les marques du site web. Les droits de propriété intellectuelle sur le contenu ou les données incorporées dans ce site web appartiennent à ses fournisseurs et marchands d'échange.