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Coach de trading en chef et conférencier BeingTrader, plus de 8 ans d'expérience dans le trading du marché des changes, principalement XAUUSD, EUR/USD, GBP/USD, USD/JPY et pétrole brut. Un trader et analyste confiant qui vise à explorer diverses opportunités et à guider les investisseurs sur le marché. En tant qu'analyste, je cherche à améliorer l'expérience du trader en le soutenant avec suffisamment de données et de signaux.
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Risk Warning on Trading HK Stocks
Despite Hong Kong's robust legal and regulatory framework, its stock market still faces unique risks and challenges, such as currency fluctuations due to the Hong Kong dollar's peg to the US dollar and the impact of mainland China's policy changes and economic conditions on Hong Kong stocks.
HK Stock Trading Fees and Taxation
Trading costs in the Hong Kong stock market include transaction fees, stamp duty, settlement charges, and currency conversion fees for foreign investors. Additionally, taxes may apply based on local regulations.
HK Non-Essential Consumer Goods Industry
The Hong Kong stock market encompasses non-essential consumption sectors like automotive, education, tourism, catering, and apparel. Of the 643 listed companies, 35% are mainland Chinese, making up 65% of the total market capitalization. Thus, it's heavily influenced by the Chinese economy.
HK Real Estate Industry
In recent years, the real estate and construction sector's share in the Hong Kong stock index has notably decreased. Nevertheless, as of 2022, it retains around 10% market share, covering real estate development, construction engineering, investment, and property management.
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L'envolée du dollar et des rendements obligataires américains provoquée par l'élection de Donald Trump, a entraîné un recul de l'or sur la semaine, tout comme d'autres métaux précieux.
Ces deux valeurs refuges s'étaient appréciées ces dernières semaines avec la perspective d'un retour à la Maison Blanche du candidat républicain, dont les politiques sont considérées comme inflationnistes.
Ces hausses n'avaient cependant pas entravé l'attrait pour l'or, qui avait atteint un record de 2.790,10 dollars l'once fin octobre, malgré la concurrence entre ces trois placements considérés comme sûrs.
Mais "l'ampleur de l'appréciation" du dollar et des rendements obligataires s'est révélée "trop forte pour être ignorée" cette semaine, relève Carsten Fritsch, analyste chez Commerzbank.
Par ailleurs, "la victoire de Trump a levé une partie de l'incertitude politique" qui soutenait jusqu'ici le cours du lingot, selon les analystes d'UBS. Ils constatent que les spéculateurs ont quitté l'or pour les actions, liquidant pour certains leurs positions sur le métal jaune.
Cette baisse reflète aussi en partie "une correction" de la fièvre acheteuse des dernières semaines, estime Barbara Lambrecht, de Commerzbank.
Vendredi, vers 15H00 GMT (16H00 à Paris), l'once d'or s'échange à 2.691,67 dollars, contre 2.736,53 dollars sept jours plus tôt.
Les autres métaux précieux ont également pâti des résultats du scrutin américain, le nouveau président républicain étant susceptible d'instaurer de nouveaux droits de douane qui pourraient "entraver le commerce extérieur et ainsi peser sur la demande", relève M. Fritsch.
C'est le cas du palladium, utilisé dans l'industrie, qui a perdu plus de 9% sur la semaine. Son prix a même chuté d'environ 20% si l'on part d'un sommet atteint fin octobre, notamment en raison des mesures de relance économique en Chine, jugées décevantes.
L'argent, crucial pour le photovoltaïque ou les voitures électriques, pourrait par ailleurs souffrir d'un ralentissement du processus décarbonation de l'économie avec Donald Trump, selon Commerzbank.
- Le cuivre en courant alternatif -Le cuivre a reculé au cours d'une semaine marquée par des variations en dents de scie du marché des métaux de base après l'élection de Donald Trump.
Mercredi, les prix du cuivre ont dégringolé dans la foulée de l'annonce de sa victoire, en raison de "l'appréciation du dollar, combinée à la crainte d'une guerre commerciale avec la Chine", affirme Barbara Lambrecht de Commerzbank.
La demande pour le métal, utilisé dans les éoliennes et les batteries de voitures électriques, pourrait en outre chuter car Donald Trump envisage de remettre en cause les politiques actuelles de décarbonation aux Etats-Unis. Un "fardeau supplémentaire" pour la transition écologique selon l'analyste.
"L'augmentation en octobre des importations chinoises de cuivre constitue toutefois un contrepoint positif", ajoute-t-elle.
Le cours a rattrapé ses pertes jeudi, ce qui s'explique selon Ole Hansen, analyste chez Saxobank, par le fait que les droits de douane de 60% promis par Donald Trump sur les produits chinois --dont ceux fabriqués à base de cuivre-- mettront des mois à être mis en place, comme ce fut le cas pour lors de son précédent mandat.
La valeur du métal a cependant chuté à nouveau vendredi, après des annonces de Pékin pour relancer l'économie, considérées par les marchés "comme un moyen d'éviter une crise financière en Chine" plutôt qu'"un moyen de stimuler la consommation", explique Kathleen Brooks, analyste chez XTB.
Sur le LME, la tonne de cuivre coûtait 9.480 dollars, contre 9.570,50 dollars sept jours plus tôt à la clôture.
- Le cacao grimpe -Les cours du cacao ont augmenté cette semaine, avec des estimations de production revues à la baisse et une perspective de hausse du prix des fèves en Afrique de l'Ouest.
"Le Ghana estime désormais la production de cette année à 650.000 tonnes, contre 700.000 précédemment", explique Jack Scoville, analyste chez Price Futures Group, renforçant la pression sur l'offre.
"Le climat a été très humide en Afrique de l'Ouest ces derniers temps", remarque l'analyste, ce qui fait craindre le développement d'une maladie des cacaoyer, qui se manifeste par des taches brunes puis noires sur ses fruits, les cabosses.
Pour améliorer les revenus des agriculteurs, le Ghana a par ailleurs augmenté de près de 45% le prix fixe d'achat des fèves de cacao pour la saison 2024/2025 qui a débuté en septembre.
Cette décision, qui lui permet de se rapprocher du prix pratiqué en Côte d'Ivoire (1.800 francs CFA par kilogramme), devrait avoir une répercussion sur les prix, selon les investisseurs.
La Côte d'Ivoire et le Ghana fournissent à eux deux plus de la moitié de la production mondiale de cacao, respectivement 39% et 16% selon l'Organisation internationale de cacao (ICCO). Les informations de la région influencent fortement les cours.
La tonne de cacao pour livraison en mars vaut 5.667 livres vendredi à Londres, contre 5.435 livres une semaine plus tôt.
A New York, la tonne pour livraison en décembre s'échange à 7.127 dollars (5.510 livres), contre 6.950 dollars vendredi dernier à la clôture.
La nouvelle ère de déréglementation financière attendue par Wall Street avec le deuxième mandat de Donald Trump complique un peu plus la tâche des banques européennes pour combler leur écart de bénéfices par rapport à leurs rivales américaines.
Depuis la crise financière mondiale de 2008-2009, les prêteurs de la zone euro et de Grande-Bretagne ont été entravés par une faible rentabilité et des économies affaiblies tandis que les banques américaines ont pris de la valeur, grignotant notamment des parts de marché en banque d’investissement à leurs homologues européennes.
Certaines banques avaient commencé à regagner le terrain perdu cette année, les actions européennes étant jusqu'ici plus performantes que les américaines (.DJUSBK). D'autant que l'espoir que les États-Unis adoptent certains éléments de la réglementation de Bâle III, qui exige que les banques américaines détiennent plus de capital, s'était accru, contribuant ainsi à uniformiser les règles du jeu.
La victoire de Donald Trump à l'élection présidentielle cette semaine a changé la donne. Les actions de JPMorgan , Goldman Sachs et Morgan Stanley ont toutes grimpé en flèche, tandis que l'indice STOXX Europe 600 Banks (.SX7P) est en baisse de plus de 1 % pour la semaine.
"La situation est simple : la déréglementation et les réductions d'impôts aux États-Unis contrastent avec la surveillance stricte et les faibles taux d'intérêt en Europe", a déclaré David Materazzi, dirigeant de la plateforme de négociation automatisée Galileo FX, basée en Italie.
"Si les banques américaines reçoivent le soutien politique attendu, elles pourraient augmenter les volumes de prêts et optimiser le capital d'une manière que les banques européennes ne peuvent tout simplement pas égaler à l'heure actuelle", a-t-il ajouté.
Depuis le début de l'année 2010, les actions des banques européennes ont chuté de 10%, tandis que celles des banques américaines ont plus que triplé.
La Banque centrale européenne (BCE) a estimé que le rendement des capitaux propres des banques de la zone euro fluctuait autour de 5%, contre 10% aux États-Unis. Cela s'explique par des revenus de commissions plus élevés outre-Atlantique et des prêts non performants hérités du passé avec lesquels les banques européennes sont toujours aux prises.
UN LEVIER POUR FAIRE DU LOBBYING ?
Certains signes indiquent déjà que les responsables politiques européens se préparent à un nouveau paradigme : la ministre suisse des Finances, Karin Keller-Sutter, a déclaré jeudi qu'elle avait discuté avec son homologue britannique, Rachel Reeves, des perspectives de la réglementation bancaire américaine.
"Il a été dit à l'avance qu'une vague de déréglementation allait arriver aux États-Unis", a-t-elle déclaré à Reuters, ajoutant que les deux parties étaient d'accord pour dire qu'il était important de trouver un équilibre entre la compétitivité et la stabilité.
Une vague de déréglementation devrait permettre aux banques européennes de faire pression en faveur d'un assouplissement des règles en Europe, a déclaré un cadre bancaire à Reuters.
Michael Ashley Schulman, directeur des investissements chez Running Point Capital Advisors, pense que Donald Trump pourrait également revenir sur certains pans de la loi de réforme financière Dodd-Frank de 2010 qui a renforcé la réglementation des banques afin d'éviter une nouvelle implosion du type de celle de 2008.
"En outre, une augmentation des fusions et acquisitions d'entreprises attendues avec une autorité de la concurrence (Federal Trade Commission) moins restrictive devrait entraîner une augmentation des commissions en banque d'investissement", a-t-il déclaré à Reuters.
"Nous pouvons également nous attendre à une augmentation des fusions de banques régionales. Avec une autorité plus restrictive, les banques européennes n'auront pas les mêmes armes.
La ministre suisse des Finances, Karin Keller-Sutter, a déclaré avoir discuté jeudi des perspectives de la réglementation bancaire aux Etats-Unis avec son homologue britannique, Rachel Reeves, suite à la victoire de Donald Trump à l'élection présidentielle cette semaine.
S'exprimant après une réunion avec Mme Reeves à Londres, Mme Keller-Sutter a déclaré que les deux fonctionnaires avaient parlé des efforts visant à adopter un accord sur les services financiers entre la Suisse et le Royaume-Uni conclu à la fin de l'année dernière, avant qu'elle ne se tourne vers la victoire de M. Trump lors de l'élection américaine de mardi.
"Nous avons également discuté de ce que l'élection du nouveau président américain, Donald Trump, pourrait signifier en ce qui concerne la réglementation bancaire", a déclaré Mme Keller-Sutter à Reuters lors d'un entretien téléphonique.
"Nous avons également convenu que nous suivrions cela ensemble. Il a été dit au préalable qu'une vague de déréglementation était à venir aux États-Unis."
En ce qui concerne la réglementation, les deux parties ont convenu qu'il était important de trouver un équilibre entre la compétitivité et la stabilité, a-t-elle ajouté.
La victoire électorale de M. Trump, un républicain, a dopé les actions (link) des banques et d'autres entreprises mercredi, les investisseurs pariant sur une baisse de l'impôt sur les sociétés et une déréglementation lorsqu'il reprendra ses fonctions.
Mme Keller-Sutter, qui assumera également l'année prochaine la présidence tournante de la Suisse, supervise les efforts visant à renforcer les réglementations bancaires dans le pays à la suite de l'effondrement de 2023 et du rachat ultérieur de Credit Suisse par son rival de longue date, UBS.
Ce processus politique est toujours en cours.
Lorsqu'on lui a demandé si la victoire de M. Trump signifiait que l'Europe devait être plus indulgente à l'égard du secteur bancaire pour lui permettre de rester compétitif, la ministre a refusé de se prononcer, notant qu'il était trop tôt pour le dire et qu'elle observait l'évolution de la situation.
Les banques européennes, espagnoles et italiennes en tête affichent des résultats en progression au troisième trimestre. Mais des caisses remplies suffiront-elles pour permettre à certaines d'avaler leurs concurrentes ?
Les discussions en cours sur les fusions entre établissements en Europe peinent en effet à se concrétiser.
Le troisième trimestre est "positif" pour les banques européennes, a souligné auprès de l'AFP Matthieu Prieuret, consultant chez Eurogroup Consulting.
La santé des géants bancaires d'Europe du Sud est toujours éclatante, au-delà des attentes des analystes. Ces banques sont avantagées par une meilleure maîtrise des coûts et un marché domestique qui permet une revalorisation plus rapide de leurs stocks de prêts immobiliers, souvent accordés à taux variables.
L'espagnol Banco Santander se paye par exemple le luxe de passer devant BNP Paribas en termes de bénéfice net entre juillet et septembre: 3,25 milliards d'euros (+12%) contre 2,8 milliards d'euros (+5,9%) pour le Français.
Son compatriote BBVA a dégagé 2,63 milliards d'euros de bénéfice net sur la période, une progression de 26% sur un an.
En Italie, le bénéfice net d'Intesa Sanpaolo a augmenté de 26% à 2,4 milliards d'euros quand celui d'Unicredit a grimpé de 8,2%, à 2,5 milliards d'euros.
- Appétits -Si cette bonne santé des banques du sud de l'Europe, en dépit de la baisse des taux amorcée par la Banque centrale européenne (BCE), remplit leurs coffres, elle aiguise aussi leurs appétits.
UniCredit a ainsi fait une entrée significative au capital de l'allemande Commerzbank en septembre, possédant jusqu'à 21% des titres sous réserve des autorisations requises, et son patron Andrea Orcel a, encore mercredi, redit son intérêt pour la banque de Francfort, en laissant toutes les options ouvertes mais en s'accordant toutefois un an pour prendre sa décision.
Commerzbank, qui a publié mercredi un bénéfice net en recul de 6%, à 642 millions d'euros, néanmoins supérieur aux prévisions des analystes, ne fait pas mystère pour sa part de sa volonté de rester indépendante.
Au sein de la BCE, les avis semblent diverger sur la question des fusions bancaires. La présidente de l'institution Christine Lagarde juge "souhaitables" les fusions transfrontalières en Europe, mais la cheffe du conseil de surveillance Claudia Buch est plus mesurée.
"L'histoire montre" que les "avantages ou synergies" espérés dans une fusion "ne se matérialisent pas toujours et qu'il existe des risques, liés par exemple à des systèmes informatiques ou à une complexité de gestion supplémentaires", explique-t-elle dans un entretien donné lundi à quatre quotidiens européens.
Outre le dossier Unicredit-Commerzbank, en Espagne, l'issue de l'offre publique d'achat (OPA) hostile de BBVA sur sa concurrente Sabadell, initiée en mai, reste aussi incertaine.
La banque originaire du Pays Basque attend toujours l'autorisation du gendarme boursier espagnol ainsi que celles des autorités de la concurrence des pays où les deux banques ont des activités, dont l'Espagne.
La fusion de deux acteurs du même pays peut pourtant se voir positivement dans les comptes: UBS, qui a absorbé Credit Suisse, a ainsi publié un bénéfice de 1,4 milliard de dollars au troisième trimestre, très largement supérieur aux attentes.
A la même période un an plus tôt, UBS avait essuyé une perte de 715 millions de dollars en raison des frais de cette intégration en catastrophe quelques mois plus tôt.
- Débat fiscal -Les profits records des banques européennes ces dernières années ont poussé plusieurs gouvernements européens à les faire contribuer davantage aux finances publiques.
En Espagne, le débat fait rage sur l'avenir d'un impôt exceptionnel sur les grands groupes énergétiques et bancaires, initialement instauré pour deux ans, mais que le gouvernement souhaite pérenniser au-delà de 2024.
En Italie, le gouvernement de Giorgia Meloni a fait appel aux banques pour financer le projet de budget 2025: elles contribueront pour environ 2,5 milliards d'euros, en acceptant de reporter des crédits d'impôt prévus en 2025, afin de fournir des liquidités à l'Etat italien - qui devrait les rembourser ultérieurement.
La France va-t-elle suivre?
"C'est quand même une priorité collective pour nous (...) de contribuer un peu plus pour participer (au) redressement" des finances publiques, a estimé mercredi le directeur général du Crédit Agricole Philippe Brassac, en écho aux discussions sur le sujet dans le budget de l'Etat l'an prochain.
Le tribunal de l'UE a confirmé mercredi l'infraction à la libre concurrence dont se sont rendues coupables il y a une dizaine d'années trois banques, dont le Crédit Suisse (désormais UBS) et le Crédit agricole, et a maintenu le montant des amendes infligées en 2021.
Cette année-là, la Commission européenne avait infligé un total de plus de 28 millions d'euros d'amende à l'américaine Bank of America (12,6 millions), au Crédit Suisse (11,9) et au Crédit agricole (3,9), trois établissements accusés de s'être entendus pour fausser la concurrence sur le marché obligataire.
La Deutsche Bank était également concernée par l'entente constatée entre 2010 et 2015. Mais elle avait révélé l'affaire aux autorités européennes et n'avait pas été sanctionnée.
Saisi d'un recours du Credit suisse et du Crédit agricole exigeant l'annulation de la décision de Bruxelles, le tribunal de l'UE a globalement balayé leurs arguments, et estimé que la Commission n'avait pas commis d'erreurs d'appréciation.
La juridiction établie à Luxembourg a très légèrement réduit la période infractionnelle retenue par la Commission contre le Crédit agricole, mais sans que cela n'affecte le montant de l'amende infligée à la banque française, selon un communiqué.
Les amendes sont également confirmées pour les autres banques pour des infractions à la libre concurrence commises par leurs traders à partir de 2010 et jusqu'en mars 2015, via notamment des forums de discussions sur internet.
Le tribunal juge que "les comportements adoptés par les traders des banques concernées s'inscrivaient dans un plan d'ensemble poursuivant un objectif anticoncurrentiel unique même si, après février 2013, ces échanges entre traders ont été moins fréquents".
"Ceux-ci ont poursuivi leurs discussions à caractère anticoncurrentiel de façon récurrente, en échangeant librement des informations sur leurs activités de négociation en cours", poursuit la juridiction.
La décision peut être contestée via un pourvoi devant la Cour de justice de l'UE limité aux questions de droit.
Le géant bancaire UBS a publié mercredi des résultats trimestriels très largement supérieurs aux attentes grâce à la bonne tenue des marchés qui a soutenu sa banque d'investissement, mais se montre prudent à l'approche des élections américaines.
Durant le troisième trimestre, la banque suisse a également avancé dans l'intégration de Credit Suisse en amorçant le processus de transfert de clients. L'an passé, UBS avait racheté dans l'urgence son ex-rivale, au bord de la faillite, sous la pression des autorités suisses.
Comme ses concurrentes américaines, UBS a bénéficié durant le trimestre d'un contexte de marché "porteur", bien que "sujet à des phases de forte volatilité", ce qui a dopé les transactions de ses clients, a-t-elle indiqué dans un communiqué.
Grâce à la bonne tenue des marchés, ses revenus ont grimpé de 4% dans ses activités de gestion de fortune et de 22% dans sa banque d'investissement. Son chiffre d'affaires pour l'ensemble du groupe a progressé de 5% à 12,3 milliards dollars (11,3 milliards d'euros), dépassant nettement les prévisions des analystes interrogés par l'agence suisse AWP qui l'attendaient en moyenne à 11,5 milliards de dollars.
Son bénéfice net a quant à lui pulvérisé les prévisions, à 1,4 milliard de dollars, contre 758 millions escompté par les analystes.
A la même période un an plus tôt, UBS avait essuyé une perte de 715 millions de dollars en raison des frais d'intégration de Credit Suisse.
A 15H15 GMT, l'action perdait 4,29% à 27,25 francs suisses, pesant sur le SMI, l'indice phare de la Bourse suisse, en repli 1%. En début de séance, elle avait toutefois gagné plus de 3%, revenant à un niveau qu'elle n'avait plus connu depuis 2008.
Les analystes financiers ont pourtant salué ses progrès rapides dans l'intégration de Credit Suisse. UBS a franchi une nouvelle étape en procédant à "la première vague" de migration de comptes de clients au Luxembourg et à Hong-Kong, avec d'autres transferts prévus à Singapour et au Japon pour "la fin de l'année" et en Suisse en 2025.
- Fusion en avance sur le calendrier -Après avoir bouclé les étapes légales de cette fusion hors norme, un nouveau chantier s'ouvre avec le transfert "des données de 1,3 million de clients", a rappelé Andreas Venditti, analyste chez Vontobel. Dans un commentaire boursier, il se félicite toutefois de voir que cette première vague a été bouclée "avec succès" et que la banque est "jusqu'à présent" en avance sur le calendrier d'intégration qu'elle s'est fixé.
Michael Klien, analyste à la banque cantonale de Zurich, note pour sa part qu'UBS "semble avoir une longueur d'avance dans ses projets de réduction des coûts", avec 800 millions d'économies supplémentaires réalisées au troisième trimestre. UBS a ainsi pu légèrement relever son objectif de réduction des coûts d'ici fin 2024, à 7,5 milliards de dollars (contre 7 milliards auparavant), même si l'objectif de 13 milliards pour 2026 est resté inchangé, écrit-il dans une note de marché.
Dans le communiqué, UBS a par ailleurs évoqué ses projets dans l'intelligence artificielle (IA), notamment avec un algorithme développé pour sa banque d'affaires pour répertorier des cibles potentielles de fusions et acquisitions.
L'IA va apporter "des gains d'efficience", a déclaré Sergio Ermotti, le patron d'UBS, lors d'une conférence téléphonique, même si "cela ne va pas se produire du jour au lendemain", a-t-il nuancé.
Pour la dernière partie de l'année, la banque se montre prudente. Elle s'attend à un fléchissement des revenus générés par les opérations d'intérêts compte tenu de l'assouplissement des politique monétaires et brosse un portrait en demi-teinte de l'économie mondiale.
Les prévisions d'atterrissage en douceur de l'économie américaine devraient soutenir les marchés, mais les perspectives sont "plus sombres dans le reste du monde", selon elle. S'y ajoutent les incertitudes géopolitiques et élections américaines qui "pourraient affecter le comportement des investisseurs".
L'issue de ces élections est "très complexe" et force les investisseurs à soupeser différents scénarios, observe M. Ermotti. Elles risquent donc d'être une source de "volatilité" pour les marchés, prévient-il.
Le géant bancaire UBS a publié mercredi résultats trimestriels très largement supérieurs aux attentes grâce à la bonne tenue des marchés qui a soutenu sa banque d'investissement, mais se montre prudent à l'approche des élections américaines.
Durant le troisième trimestre, la banque suisse a également continué d'avancer dans l'intégration de Credit Suisse en amorçant le processus de transfert de clients, un des grands défis qu'elle doit désormais relever après le rachat forcé de son ex-rivale l'an passé.
Comme ses concurrentes américaines, UBS a bénéficié d'un contexte de marché "porteur", bien que "sujet à des phases de forte volatilité", ce qui a dopé les transactions de ses clients, a-t-elle indiqué dans un communiqué.
Ce contexte de marché s'est traduit par une hausse de 4% des revenus dans ses activités de gestion de fortune et de 22% dans sa banque d'investissement. Pour l'ensemble du groupe, son chiffre d'affaires s'est accru de 5% à 12,3 milliards dollars (11,3 milliards d'euros) tandis que son bénéfice net a pulvérisé les prévisions, à 1,4 milliard de dollars.
Par comparaison, les analystes interrogés par l'agence suisse AWP tablaient en moyenne sur un bénéfice de 758 millions de dollars et un chiffre d'affaires de 11,5 milliards.
A la même période un an plus tôt, la banque avait essuyé une perte de 715 millions de dollars, sous le poids des frais d'intégration de Credit Suisse.
A 11H45 GMT, l'action UBS cédait ses gains initiaux, perdant 2,25% à 27,83francs suisses, pesant sur le SMI, l'indice de référence de la Bourse suisse, en repli de 0,82%. En début de séance, le titre avait gagné plus de 3%, revenant ainsi à un niveau qu'il n'avait plus connu depuis 2008.
- Une élection très "complexe" -Au quatrième trimestre, les conditions de marché observées au troisième trimestre devraient continuer de prévaloir "sur fond d'anticipation d'un atterrissage en douceur de l'économie américaine", précise le communiqué de la banque qui estime en revanche que les perspectives macroéconomiques apparaissent "plus sombres dans le reste du monde".
De plus, les incertitudes liées aux confits géopolitiques et à l'élection américaine "pourraient affecter le comportement des investisseurs", prévient-elle.
L'issue des élections américaines est "très complexe", a déclaré Sergio Ermotti, le patron du géant bancaire, lors d'une conférence téléphonique, et pousse les investisseurs à soupeser différents scénarios. Elle risque donc d'être une source de "volatilité".
La banque a par ailleurs dit s'attendre à un fléchissement des revenus des opérations d'intérêts durant le quatrième trimestre alors que les grandes banques centrales ont enclenché un cycle d'assouplissement de leur politique monétaire.
- Intègre plus vite -Durant le troisième trimestre, UBS a franchi une nouvelle étape dans l'intégration de Credit Suisse, en procédant à "la première vague" de migration de comptes de clients au Luxembourg et à Hong-Kong, avec d'autres transferts prévus à Singapour et au Japon pour "la fin de l'année" et en Suisse en 2025, détaille son communiqué.
"Cette migration des données de 1,3 million de clients est le prochain grand défi" qui attend UBS, a rappelé Andreas Venditti, analyste chez Vontobel. Dans un commentaire boursier, l'analyste se félicite toutefois de voir que cette première vague a été bouclée "avec succès" et que la banque est jusqu'à présent "en avance" sur le calendrier d'intégration de Credit Suisse.
En 2023, UBS avait dû racheter son ex-rivale sous la pression des autorités helvétiques pour éviter une faillite de ce qui était alors la deuxième plus grande banque de Suisse.
"UBS semble avoir une longueur d'avance dans ses projets de réduction des coûts", a de son côté réagi Michael Klien, analyste à la banque cantonale de Zurich, dans une note de marché.
La banque a réalisé 800 millions d'économies supplémentaires au troisième trimestre et a légèrement relevé sa prévision de réduction de coûts à 7,5 milliards de dollars d'ici fin 2024, contre 7 milliards auparavant. Le total des économies visées pour 2026 reste toutefois inchangé à 13 milliards de dollars.
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