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J'ai 5 ans d'expérience en analyse financière, notamment dans les aspects d'évolution macroéconomique et de jugement de tendances à moyen et long terme. Je me concentre principalement sur l'évolution du Moyen-Orient, des marchés émergents, du charbon, du blé et d'autres produits agricoles.
Coach de trading en chef et conférencier BeingTrader, plus de 8 ans d'expérience dans le trading du marché des changes, principalement XAUUSD, EUR/USD, GBP/USD, USD/JPY et pétrole brut. Un trader et analyste confiant qui vise à explorer diverses opportunités et à guider les investisseurs sur le marché. En tant qu'analyste, je cherche à améliorer l'expérience du trader en le soutenant avec suffisamment de données et de signaux.
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Risk Warning on Trading HK Stocks
Despite Hong Kong's robust legal and regulatory framework, its stock market still faces unique risks and challenges, such as currency fluctuations due to the Hong Kong dollar's peg to the US dollar and the impact of mainland China's policy changes and economic conditions on Hong Kong stocks.
HK Stock Trading Fees and Taxation
Trading costs in the Hong Kong stock market include transaction fees, stamp duty, settlement charges, and currency conversion fees for foreign investors. Additionally, taxes may apply based on local regulations.
HK Non-Essential Consumer Goods Industry
The Hong Kong stock market encompasses non-essential consumption sectors like automotive, education, tourism, catering, and apparel. Of the 643 listed companies, 35% are mainland Chinese, making up 65% of the total market capitalization. Thus, it's heavily influenced by the Chinese economy.
HK Real Estate Industry
In recent years, the real estate and construction sector's share in the Hong Kong stock index has notably decreased. Nevertheless, as of 2022, it retains around 10% market share, covering real estate development, construction engineering, investment, and property management.
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OpenAI est en pourparlers pour lever jusqu'à 40 milliards de dollars dans le cadre d'un tour de table qui valoriserait le champion américain de l'intelligence artificielle (IA) et créateur de ChatGPT à 340 milliards de dollars, d'après un article du Wall Street Journal (WSJ) jeudi.
Le quotidien américain avait déjà rapporté, tout comme le Financial Times, que le géant japonais de l'investissement dans les technologies SoftBank Group pourrait investir entre 15 et 25 milliards de dollars dans OpenAI.
Un tel apport pourrait faire de SoftBank le principal bailleur de fonds de la start-up américaine, selon le quotidien financier britannique, devant Microsoft, qui a investi près de 14 milliards de dollars dans la start-up californienne ces dernières années.
SoftBank et OpenAI sont tous les deux associés au projet "Stargate" d'investissements massifs dans les infrastructures d'IA aux Etats-Unis, dévoilé la semaine dernière par le président américain Donald Trump, et qui vise à déployer au total 500 milliards de dollars sur quatre ans.
OpenAI, devenu un emblème de l'IA générative grâce au succès de ChatGPT dès son lancement fin 2022, avait conclu début octobre une levée de fonds majeure de 6,6 milliards de dollars, qui la valorisait à 157 milliards.
- DeepSeek -L'investissement envisagé par le groupe japonais dans OpenAI viendrait s'ajouter à son engagement immédiat de plus de 15 milliards de dollars dans Stargate, déclare le FT, citant des sources proches des négociations, sans les identifier.
OpenAI va également investir 15 milliards de dollars dans Stargate, et la participation de SoftBank dans la société américaine pourrait couvrir l'engagement de cette dernière dans le projet, précise le quotidien financier.
Sollicité par l'AFP, SoftBank s'est refusé à commenter ces informations.
Vers 05H00 GMT, le titre SoftBank Group reculait de 0,84% à la Bourse de Tokyo, à rebours d'un marché en hausse de 0,28%.
Ces informations du FT surviennent peu après l'onde de choc provoquée par la start-up chinoise DeepSeek, dont le nouveau robot conversationnel --extrêmement puissant mais développé à une fraction du coût de ses rivaux américains-- a semé la panique dans la Silicon Valley et fait dévisser les valeurs tech à Wall Street.
Masayoshi Son, le flamboyant fondateur et patron de SoftBank, est connu pour avoir fait des paris colossaux, risqués et finalement très rémunérateurs, sur Yahoo! et sur le géant chinois du commerce électronique Alibaba dans les années 1990.
Mais certains de ses autres investissements se sont révélés de cuisants échecs.
Masayoshi Son a récemment réorienté ses priorités vers l'intelligence artificielle --notamment avec la société Arm, détenue majoritairement par SoftBank, un concepteur britannique de puces dont la technologie est présente dans 99% des smartphones.
Outre OpenAI et SoftBank, le projet Stargate associe également le spécialiste du cloud (informatique à distance) Oracle et le fonds d'investissement MGX, adossé aux Émirats arabes unis.
Elon Musk, patron de Tesla et nommé par M. Trump à la tête d'une mission extra-gouvernementale, a ouvertement critiqué Stargate sur son réseau X, estimant que les participants "n'ont pas l'argent" nécessaire pour le financer. Ce que Sam Altman, patron d'OpenAI, avait aussitôt démenti.
Certains analystes avaient de leur côté estimé que SoftBank pourrait réduire sa participation dans Arm pour garantir ses financements dans Stargate.
OpenAI est en pourparlers pour un tour d'investissement visant à lever près de 40 milliards de dollars, ce qui valoriserait la startup d'IA à 340 milliards de dollars, a rapporté le Wall Street Journal jeudi.
OpenAI n'a pas répondu immédiatement à une demande de commentaire de Reuters sur ce rapport.
SoftBank pourrait investir 15 à 25 milliards de dollars (link) directement dans OpenAI, soutenue par Microsoft , dont une partie pourrait être utilisée pour payer l'engagement d'OpenAI envers Stargate, a rapporté Reuters mercredi, citant une personne familière avec le sujet.
Stargate, une joint-venture entre Oracle >, OpenAI et SoftBank, prévoit d'investir jusqu'à 500 milliards de dollars pour aider les États-Unis à devancer la Chine et d'autres rivaux dans la course mondiale à l'IA.
L'investissement de SoftBank viendrait s'ajouter aux 15 milliards de dollars qu'elle a déjà engagés dans Stargate, a précisé cette personne, ajoutant que les discussions n'en étaient qu'à leur début.
OpenAI, la société à l'origine de ChatGPT, a été évaluée à 157 milliards de dollars (link) lors de son dernier tour de table, confirmant ainsi son statut d'entreprise privée la plus précieuse au monde.
La Bourse de Paris a terminé la séance en hausse jeudi, après la baisse des taux annoncée par la Banque centrale européenne (BCE) à l'issue de sa réunion de politique monétaire.
Le CAC 40 a pris 0,88% à 7.941,64 points, en hausse de 69,16 points. La veille, l'indice vedette parisien avait reculé de 0,32%.
Sur le marché obligataire, le rendement des obligations françaises à dix ans a reculé à 3,26%, contre 3,32% la veille en clôture. Son équivalent allemand, référence en Europe, était à 2,51%, contre 2,58%.
La BCE a abaissé jeudi son principal taux d'intérêt directeur de 0,25 point de pourcentage après sa réunion de politique monétaire. Cette cinquième baisse depuis juin fait passer à 2,75% le taux de dépôt, qui sert de référence, contre 3% auparavant.
"Le communiqué et la conférence de presse qui ont suivi ont renforcé l'idée que la BCE est globalement satisfaite de l'évolution de l'inflation et des perspectives de voir l'inflation se rapprocher de son objectif de 2%", a relevé Raphael Thuin, directeur des stratégies de marchés chez Tikehau Capital.
Pour la suite, "les marchés s'attendent à d'autres baisses de taux", a estimé Bénédicte Kukla, chargée d'investissement chez Indosuez. Il est "trop tôt" pour envisager "à quel moment nous devons arrêter" de baisser les taux, a prévenu Christine Lagarde.
La croissance va toutefois "rester faible" dans la zone euro, a-t-elle ajouté, alors que le PIB a fait du surplace au quatrième trimestre, à cause de mauvaises performances en Allemagne et en France, selon des chiffres publiés jeudi.
La France a connu une contraction de 0,1% de son PIB au quatrième trimestre, subissant le contrecoup des Jeux olympiques et paralympiques de Paris, a indiqué jeudi l'Insee, mais il a progressé de 1,1% en 2024, conformément à sa prévision.
Cette décision entérine la divergence entre la politique de la BCE et celle de la banque centrale américaine (Fed) qui a laissé ses taux inchangés mercredi aux États-Unis, où la croissance est toujours solide.
STMicroelectronics sanctionnéLe fabricant franco-italien de composants électroniques STMicroelectronics a vu son titre chuter de 10,68% à 21,24 euros, le marché sanctionnant les anticipations économiques moroses du groupe pour le premier trimestre 2025. A l'occasion de la publication de ses résultats annuels, STMicroelectronics, qui fournit des puces à Apple et à Tesla notamment, a dit prévoir un chiffre d'affaires en baisse de 27,6% pour le premier trimestre 2025, à 2,51 milliards de dollars (2,41 milliards d'euros).
Sanofi saluéL'entreprise pharmaceutique Sanofi prenait 1,73% à 103,62 euros après avoir accru ses bénéfices en 2024, année qui a vu son produit phare Dupixent dépasser son objectif de ventes et marquée par le succès commercial de son traitement préventif de la bronchiolite Beyfortus.
Eurofins déçoitLe groupe des laboratoires d'analyses Eurofins a perdu 5,64% à 52,22 euros malgré l'annonce d'un bond de ses bénéfices annuels, dont l'ampleur reste toutefois inférieure aux attentes des investisseurs.
Les marchés boursiers européens ont accueilli positivement la baisse des taux annoncée jeudi par la Banque centrale européenne (BCE), qui fait reculer les rendements obligataires en zone euro, tandis que Wall Street digère sereinement une pluie de résultats.
Francfort a terminé en hausse de 0,41%, Paris 0,88% et Milan 0,16%. Londres a gagné 1,04%.
Sur le marché obligataire, vers 16H50 GMT, le taux d'intérêt des obligations allemandes à dix ans, référence en Europe, reculaient elles à 2,51%, après 2,58% la veille.
La Banque centrale européenne (BCE) a abaissé jeudi son principal taux d'intérêt directeur de 0,25 point de pourcentage après sa réunion de politique monétaire. Cette cinquième baisse depuis juin fait passer à 2,75% le taux de dépôt, qui sert de référence, contre 3% auparavant.
Lors de son discours, sa présidente Christine Lagarde "a paru particulièrement confiante sur le fait que l'inflation allait continuer à reculer en zone euro", a fait remarquer Bénédicte Kukla, chargée d'investissement chez Indosuez.
Pour la suite, "les marchés s'attendent à d'autres baisses de taux de cette ampleur", a-t-elle ajouté. Il est "trop tôt" pour envisager "à quel moment nous devons arrêter" de baisser les taux, a en effet prévenu Christine Lagarde.
La croissance va toutefois "rester faible" dans la zone euro, a-t-elle ajouté, alors que le PIB a fait du surplace au quatrième trimestre, à cause de mauvaises performances en Allemagne et en France, selon des chiffres publiés jeudi.
Cette décision entérine la divergence entre la politique de la BCE et celle de la banque centrale américaine (Fed) qui a laissé ses taux inchangés mercredi aux États-Unis, où la croissance est toujours solide.
Sur le marché des changes, l'euro restait stable. Vers 16H50 GMT, la monnaie unique perdait 0,02% au billet vert, à 1,0418 dollar pour un euro.
Côté Wall Street, vers 16H50 GMT, le Dow Jones prenait 0,30%, le S&P 500 0,22% et le Nasdaq restait à l'équilibre (-0,10%).
Résultats dans la "tech" américaineLes investisseurs américains digèrent les résultats des mastodontes de la "tech", avec "des chiffres mitigés", a résumé Ipek Ozkardeskaya, analyste de Swissquote Bank.
Le géant de l'informatique Microsoft (-6,22% vers 16H50 GMT) a dégagé 24 milliards de dollars de profits trimestriels, mais son activité de "cloud" a déçu le marché.
Pour Meta (+1,82%) les investisseurs sont positifs après que le groupe a dépassé les attentes. Quant à Tesla (+2,49%), le groupe d'Elon Musk n'a pas répondu aux attentes, mais a dit anticiper une année 2025 "majeure".
A suivre après la fermeture de Wall Street: les résultats d'Apple et d'Intel.
Le groupe de livraison de colis UPS dévissait de 17,37%, après avoir dit s'attendre à voir ses revenus décliner en 2025. Le pétrochimiste Dow chutait de 6,33% après avoir annoncé jeudi un plan de réduction de coûts d'un milliard de dollars suite à des résultats moins bons qu'attendu au quatrième trimestre.
Pluie de publications en EuropeEn Europe aussi, les marchés ont pu réagir à une pluie de résultats.
Côtés perdants, Deutsche Bank (-3,12% à Francfort) a publié un bénéfice net en recul en 2024, du fait d'importants frais de litiges.
L'action du géant suédois de l'habillement H&M a reculé de 3,44% à Stockholm, à cause du recul de son chiffre d'affaires annuel et malgré un bond de 33% de son bénéfice net sur son exercice décalé. A Paris, le spécialiste des semi-conducteurs STMicroelectronics a dévissé de 10,68%, le marché sanctionnant les anticipations économiques moroses du groupe pour le premier trimestre 2025
Côté gagnants, l'équipementier de télécommunications Nokia a bondi de 6,82% à Helsinki après avoir enregistré une hausse de 89% de son bénéfice net en 2024.
American Airlines en baisseLe titre d'American Airlines perdait 2,39% à Wall Street après l'accident grave impliquant l'un de ses avions, avec 64 personnes à bord, entré en collision avec un hélicoptère militaire mercredi soir au-dessus de Washington.
Le pétrole en hausseeLes cours du pétrole sont en hausse: vers 16H40 GMT, le baril de WTI américain s'échangeait à 73,18 dollars (+0,80%) et celui de Brent de la mer du Nord à 77,19 dollars (+0,79%).
Le bitcoin s'échangeait à 105.824 dollars (+0,99%).
Les Bourses européennes ont terminé dans le vert jeudi, les investisseurs saluant la dernière baisse de taux de la Banque centrale européenne, l'activité demeurant atone en zone euro.
À Paris, le CAC 40 a progressé de 0,88% à 7.941,64 points, tandis que le Dax allemand s'est hissé de 0,43% et le Footsie britannique CURRENCYCOM:UK100s'est renforcé de 1,04%.
L'indice EuroStoxx 50 a terminé la séance sur une hausse de 1,03%, tandis que le FTSEurofirst 300 (.FTEU3) inscrivait un gain de 0,86% et que le Stoxx 600 prenait 0,9%.
La BCE a abaissé jeudi son taux de dépôt de 25 points de base à 2,75%.
"La BCE doit toujours composer avec un contexte de stagnation économique en Europe (croissance à l'arrêt au quatrième trimestre 2024), l’incitant à ramener rapidement le taux directeur à un niveau neutre, voire accommodant", commente Raphaël Thuin, directeur des stratégies de marchés de capitaux chez Tikehau Capital.
Les chiffres de la croissance économique en zone euro, en Allemagne et en France, publiés jeudi, ont de fait surpris à la baisse au quatrième trimestre.
"En revanche, la résilience de l'inflation interpelle (en hausse trois mois d'affilée), et les perspectives de tensions commerciales avec ses principaux partenaires incitent à temporiser", ajoute le gérant.
La faiblesse de l'euro face au dollar pourrait également contraindre la BCE et limiter l'ampleur de ses prochaines baisses de taux.
Les marchés réagissent aussi aux nombreux résultats publiés ces dernières heures.
Les chiffres de Meta et Tesla , deux des "sept magnifiques", ces sept entreprises de la technologie dont les performances ont contribué pour une large part à la croissance des actions américaines, ont été bien accueillis par les investisseurs.
Microsoft a toutefois déçu, ainsi que Cigna et UPS. Les chiffres d'Apple sont attendus après la clôture jeudi.
La prudence de la Réserve fédérale américaine face à la persistance de l'inflation a par ailleurs pesé sur les actifs américains.
VALEURS
Le secteur de l'immobilier (.SX86P) a progressé de 2%, en tête des secteurs du Stoxx 600, soutenu par les anticipations de taux de la BCE.
STMicroelectronics s'est effondré de 11% après avoir annoncé anticiper un chiffre d’affaires net de 2,51 milliards de dollars (2,41 milliards d'euros) au premier trimestre 2025, un objectif en nette baisse par rapport aux prévisions de l'année dernière.
Mersen a pris 16% après avoir annoncé mercredi s'attendre à une marge opérationnelle courante annuelle dans le haut de la fourchette de ses prévisions précédentes.
Eurofins a fait état jeudi d'une hausse de son chiffre d'affaires annuel, à un niveau record, et a bondit de 4,8%.
Nokia s'est octroyé 6,8% après avoir annoncé jeudi une hausse de 38% de son bénéfice d'exploitation ajusté au quatrième trimestre, le groupe finlandais étant par ailleurs optimiste sur son exercice 2025.
Electrolux a enregistré jeudi un bénéfice d'exploitation supérieur aux attentes pour le dernier trimestre 2024, mais le fabricant d'appareils électroménagers a chuté de 3,2% après avoir averti que d'éventuels droits de douane américains pourraient ajouter de l'incertitude.
A WALL STREET
Wall Street hésite à mi-séance, réagissant aux derniers résultats des grands groupes de la technologie.
A l'heure de la clôture en Europe, les échanges à la Bourse de New York indiquaient une progression de 0,19% pour le Dow Jones , contre 0,15% pour le Standard & Poor's 500 , et un repli de 0,23% pour le Nasdaq Composite .
CHANGES
Le dollar s'affaiblit après la dernière réunion de la Fed et un chiffre du PIB moins bon qu'attendu.
Le dollar recule de 0,15% face à un panier de devises de référence , l'euro se hisse de 0,03% à 1,0423 dollar, et la livre sterling se raffermit de 0,12% à 1,2462 dollar.
TAUX
Les rendements ont terminé en net repli en zone euro après une salve de données économiques décevantes.
Le rendement du dix ans allemand (DE10YT=RR) a perdu 5,7 pb à 2,516%, celui du taux à deux ans (DE2YT=RR) a cédé 8 pb à 2,194%.
A l'heure de la clôture en Europe, le rendement du Treasury à dix ans décline de 3,1 pb à 4,5244%, tandis que le rendement du titre à deux ans (US2YT=RR) abandonne 1,2 pb à 4,2135%.
PÉTROLE
Le baril se renchérit, les sanctions américaines sur le pétrole russe limitant les exportations depuis les ports occidentaux de la Russie.
Le Brent progresse de 0,84% à 77,22 dollars le baril, le brut léger américain (West Texas Intermediate, WTI) se renchérit de 0,78% à 73,19 dollars.
A SUIVRE VENDREDI :
Alibaba Group Holding Ltd monte ce matin alors que les investisseurs continuent de saluer le lancement d’un nouveau modèle d’IA qu’elle affirme être plus puissant qu’OpenAI et DeepSeek.
L’assistant d’intelligence artificielle que l’entreprise appelle Qwen 2.5-Max surpasse tous les grands modèles de langage renommés dans presque tous les domaines.
L’analyste de Goldman Sachs Ronald Keung a réitéré aujourd’hui sa note d’achat sur les actions BABA.
Notez qu’Alibaba a déjà gagné environ 24 % au cours des trois dernières semaines.
Que signifie le nouveau modèle d’IA Qwen 2.5 Max pour l’action BABA ?
Ronald Keung recommande d’acheter des actions Alibaba aux niveaux actuels, car elles pourraient poursuivre leur hausse jusqu’à 117 $ d’ici la fin de 2025. Son objectif de prix indique un potentiel de hausse supplémentaire de 20 %.
L’analyste de Goldman Sachs est convaincu que les LLM moins coûteux et super adaptables pourraient ouvrir de nouveaux cas d’utilisation de l’intelligence artificielle.
De plus, ces modèles pourraient aider les entreprises chinoises d’IA dans leur engagement plus large à l’expansion mondiale.
Les actions BABA versent actuellement un rendement de dividende sain de 2,02 %, ce qui les rend encore plus attrayantes à posséder pour les investisseurs à la recherche d’une source de revenus passive supplémentaire.
Les mauvaises nouvelles sont déjà intégrées aux actions BABA
Goldman Sachs est particulièrement optimiste quant à l’activité cloud du géant chinois, surtout après le lancement d’un service de frais de logiciels en 2024.
Des mises à niveau récentes de la technologie publicitaire pourraient également aider les actions de BABA à grimper davantage dans les mois à venir, a déclaré jeudi l’analyste Ronald Keung à ses clients dans une note de recherche.
Il est convaincu que les initiatives susmentionnées stabiliseront les taux de transaction et commenceront à améliorer les bénéfices dès le trimestre en cours.
Selon la société d’investissement, les actions du géant chinois cotées à New York, à moins de 100 dollars, prennent déjà en compte les défis, notamment la concurrence croissante dans le commerce électronique.
Malgré la récente hausse, le cours de l’action d’Alibaba est actuellement en baisse de près de 70 % par rapport à son sommet atteint au plus fort de la pandémie fin 2020.
Alibaba a publié des résultats mitigés pour le troisième trimestre
La note haussière de Keung sur les actions Alibaba est arrivée quelques mois après que la société ait publié ses résultats du troisième trimestre, qui étaient au mieux mitigés.
La société basée à Hangzhou, en Chine, a enregistré une baisse de 4,0 % de ses bénéfices ajustés par action à 15,06 RMB (2,15 $) au cours de son troisième trimestre fiscal, sur une augmentation de 5,0 % d’année en année de son chiffre d’affaires à 236,5 milliards de RMB.
Les analystes, en comparaison, s’attendaient à un BPA ajusté plus faible de 14,79 RMB mais à un chiffre d’affaires plus élevé de 240 RMB. À l’époque, le directeur général Eddie Wu a déclaré aux investisseurs :
Ce trimestre, nous avons continué à investir dans l’expérience utilisateur et à renforcer notre offre de produits pour servir nos consommateurs. Nous sommes plus confiants que jamais dans nos activités principales et continuerons à investir dans le soutien à la croissance à long terme.
L'Union européenne a lancé jeudi une vaste concertation avec les constructeurs automobiles européens, en difficulté, leur promettant des mesures d'urgence pour passer le cap de l'électrification des véhicules face à la concurrence chinoise.
Un plan d'action sera dévoilé le 5 mars, a annoncé la présidente de la Commission Ursula von der Leyen. "L'industrie automobile européenne se trouve à un moment charnière", "nous agissons rapidement", a-t-elle assuré.
Bruxelles doit composer entre ses ambitions environnementales et les appels à l'aide des marques européennes. En plein tournant pro-business, la Commission avait promis dès mercredi à la filière des "solutions immédiates" et des "flexibilités".
La Commission semble prête à épargner les constructeurs européens qui risquaient des amendes en cas de non-respect des objectifs de réduction des émissions de CO2 en 2025.
Ola Källenius, le patron de Mercedes et du lobby européen des constructeurs (ACEA), a réitéré son appel à renoncer à ces amendes.
La "seule façon de réussir" la transition vers l'électrique est de prendre en compte le "marché et la demande", a-t-il estimé, alors que les ventes de voitures électriques patinent en Europe.
Au grand dam des ONG environnementales, plusieurs Etats se sont prononcés contre les amendes ces dernières semaines, dont l'Allemagne, la France et l'Italie.
Pour lancer cette concertation, l'UE a réuni jeudi à Bruxelles les constructeurs Volkswagen, BMW, Mercedes, Volvo et Renault, avec des équipementiers, syndicats, ONG et représentants des consommateurs.
Le président de Stellantis, John Elkann, était absent pour des raisons d'agenda selon son groupe, et a échangé par téléphone avec Ursula von der Leyen.
L'automobile emploie quelque 13 millions de personnes au sein de l'UE et représente environ 7% de son PIB.
Mais les annonces de suppression d'emplois se multiplient en Europe, frappée de plein fouet par la concurrence de la Chine. Et l'arrivée au pouvoir de Donald Trump aux Etats-Unis laisse craindre une explosion des droits de douane sur les voitures du Vieux continent.
"Nous sommes dans une situation d'urgence. Si l'on regarde en arrière, on constate que certaines industries lourdes ont complètement disparu d'Europe en raison d'un manque de compétitivité", avertit Patrick Koller, directeur général de l'équipementier Forvia.
Comme un symbole, l'usine Audi de Bruxelles (groupe Volkswagen) s'apprête à cesser sa production fin février. Elle fabriquait un modèle haut de gamme de voiture électrique, mais les ventes de ce SUV sont en baisse et la direction met en avant "des coûts de production élevés" dans la capitale belge.
- "Grande attaque"Le précédent mandat d'Ursula von der Leyen a été marqué par les ambitieuses mesures du Pacte vert (Green Deal), et son emblème: l'interdiction à la vente des véhicules thermiques neufs en 2035.
"Nous voulons maintenir cet objectif", a assuré mercredi la présidente de la Commission tout en promettant d'accompagner les entreprises dans cette "transition très complexe".
Jusqu'ici, le totem de 2035 n'a pas été frontalement remis en cause à Bruxelles. Mais la pression monte du côté des constructeurs et d'une partie de la classe politique.
Au Parlement, la droite européenne demande des aménagements et l'extrême droite appelle à "suspendre le Green Deal".
Les organisations environnementales s'alarment. "L'industrie automobile a lancé une grande attaque contre les normes de CO2 pour les voitures, qui sont la pièce maîtresse du Green Deal européen", prévient William Todts, de Transport et Environnement (T&E).
En Europe, la part des voitures électriques dans les ventes a baissé pour la première fois depuis l'envol du marché en 2020: 13,6% en 2024 contre 14,6% en 2023.
Pendant ce temps, la Chine, pionnière mondiale, a vendu 11 millions de véhicules électriques en 2024, un chiffre en hausse de 40% sur un an.
L'UE a engagé un bras de fer commercial avec Pékin, à qui elle reproche d'avoir artificiellement dopé sa filière électrique à coups de subventions publiques.
Malgré l'hostilité de l'Allemagne, Bruxelles a ainsi décidé fin octobre d'ajouter aux 10% de taxes déjà en place une surtaxe allant jusqu'à 35% sur les voitures à batterie de fabrication chinoise.
Mais en Europe, "l'ampleur des investissements et le rythme de l'innovation sont restés à la traîne", déplore un récent rapport de l'Institut Jacques Delors, particulièrement dans le domaine de la fabrication de batteries.
"La Chine devrait contrôler les deux tiers de la production mondiale de batteries d'ici à 2030", estime cet institut, qui appelle l'UE à "augmenter sa production assez rapidement".
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