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Coach de trading en chef et conférencier BeingTrader, plus de 8 ans d'expérience dans le trading du marché des changes, principalement XAUUSD, EUR/USD, GBP/USD, USD/JPY et pétrole brut. Un trader et analyste confiant qui vise à explorer diverses opportunités et à guider les investisseurs sur le marché. En tant qu'analyste, je cherche à améliorer l'expérience du trader en le soutenant avec suffisamment de données et de signaux.
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Despite Hong Kong's robust legal and regulatory framework, its stock market still faces unique risks and challenges, such as currency fluctuations due to the Hong Kong dollar's peg to the US dollar and the impact of mainland China's policy changes and economic conditions on Hong Kong stocks.
HK Stock Trading Fees and Taxation
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HK Non-Essential Consumer Goods Industry
The Hong Kong stock market encompasses non-essential consumption sectors like automotive, education, tourism, catering, and apparel. Of the 643 listed companies, 35% are mainland Chinese, making up 65% of the total market capitalization. Thus, it's heavily influenced by the Chinese economy.
HK Real Estate Industry
In recent years, the real estate and construction sector's share in the Hong Kong stock index has notably decreased. Nevertheless, as of 2022, it retains around 10% market share, covering real estate development, construction engineering, investment, and property management.
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Wall Street est attendue stable à l'ouverture mardi tandis que les Bourses européennes ont clôturé en légère hausse, les investisseurs attendant la trêve des confiseurs à l'issue de séances écourtées.
Les futures sur indices new-yorkais suggèrent une ouverture de Wall Street stable, le Dow Jones s'affichant en baisse de 0,03%, tandis que le Standard & Poor's 500 progresse de 0,1% et le Nasdaq avance de 0,2%.
À Paris, le CAC 40 a clôturé en hausse de 0,14% à 7282,69 points. Le Dax à Francfort a abandonné 0,18%, tandis que le FTSE à Londres CURRENCYCOM:UK100 a progressé de 0,42%.
L'indice paneuropéen FTSEurofirst 300 (.FTEU3) a pris 0,25%, l'EuroStoxx 50 a gagné 0,1% et le Stoxx 600 crû de 0,2%.
Les investisseurs n'ont pas de réels catalyseurs à l'approche de la trêve des confiseurs qui débutera à l'issue d'une séance écourtée à Wall Street.
Après une semaine chargée en termes de déclarations de responsables monétaires et d'indicateurs financiers, les marchés digèrent les perspectives de ralentissement monétaire de la Réserve fédérale (Fed) en 2025 et les conséquences économiques d'un deuxième mandat de Donald Trump à la Maison Blanche.
L'assouplissement monétaire de la Fed devrait ainsi être plus lent que précedemment anticipé outre-Atlantique alors que les dernières données ont soulagé les investisseurs tout comme l'accord trouvé pour éviter un 'shutdown' en début d'année.
Les volumes d'échange s'annoncent toutefois très bas lors d'une séance écourtée pour cause de fête de Noël.
En Europe, les indices sont restés dans le vert au cours de la demi-séance qui a aussi été très calme, les investisseurs n'ayant pas été inquiétés par la composition du nouveau gouvernement de François Bayrou en France.
Les révélations d'un nouveau plan de relance d'ampleur de Pékin pour stimuler son économie moribonde n'ont pas tiré outre mesure les indices européens alors que de telles mesures semblaient attendues par le marché.
LES VALEURS À SUIVRE À WALL STREET
American Airlines a suspendu pendant plus d'une heure l'ensemble de ses vols aux Etats-Unis mardi, menaçant les projets de vacances de nombreux voyageurs pour les fêtes de Noël, avant d'indiquer que l'incident avait pris fin.
TAUX
Les rendements obligataires américains sont soutenus par les perspectives pour 2025 après une semaine chargée en déclarations de responsables de politique monétaire et de publications d'indicateurs.
Le rendement du Treasury à dix ans prend 0,8 pb à 4,6068%, tandis que le rendement du titre à deux ans (US2YT=RR) progresse de 0,3 pb à 4,353%.
Le rendement du dix ans allemand (DE10YT=RR) recule de 0,4 pb à 2,325%, celui du taux à deux ans (DE2YT=RR) perd 0,7 pb à 2,066%.
CHANGES
Le dollar reste à un plus haut de deux ans ce mardi grâce aux perspectives de baisse de taux de la Fed en 2025.
Le dollar gagne 0,08% face à un panier de devises de référence , l'euro s'érode de 0,05% à 1,04 dollar, et la livre sterling se raffermit de 0,16% à 1,2553 dollar.
PÉTROLE
Le baril évolue à la hausse mardi, soutenu par les perspectives plutôt positives aux Etats-Unis après de récentes données jugées rassurantes et la volonté de Pékin, premier importateur mondial, de relancer son économie.
Le Brent progresse de 0,51% à 73 dollars le baril, le brut léger américain (West Texas Intermediate, WTI) se renchérit de 0,53% à 69,61 dollars.
AUCUN INDICATEUR MAJEUR A L'AGENDA DU MARDI 24 DECEMBRE:
Les principales Bourses européennes sont attendues en hausse mardi à l'ouverture avant la trêve des confiseurs et pour une demi-séance sur Euronext.
Les contrats à terme suggèrent une ouverture en progression de 0,4% pour le CAC 40 parisien , contre une hausse de 0,5% pour le FTSE à Londres CURRENCYCOM:UK100, un déclin de 0,2% pour le Dax à Francfort , et une revalorisation de 0,04% pour l'EuroStoxx 50 .
Les investisseurs profitent de derniers catalyseurs lors d'une demi-séance qui s'annonce très calme en raison des fêtes de Noël et sera marquée par peu de volumes d'échanges sur les principales Bourses européennes.
Les marchés profitent toutefois de la clôture positive à Wall Street hier, tirée par les méga-capitalisations, après une séance marquée lundi par de faibles pertes et les commentaires de Christine Lagarde, présidente de la Banque centrale européenne (BCE), selon laquelle l'institution est "très proche" d'atteindre son objectif d'inflation à moyen terme.
Les investisseurs devraient aussi bien accueillir la composition du gouvernement Bayrou annoncée lundi soir, avec notamment la nomination d'Eric Lombard, jusqu'ici directeur général de la Caisse des dépôts et consignations (CDC), au poste de ministre de l'Economie et des Finances.
Ailleurs dans le monde, après un calendrier chargé en termes de publications de données et de prises de parole de responsables de politique monétaire, les prochaines séances s'annoncent calmes outre-Atlantique.
C'est du côté de la Chine que les investisseurs européens devraient trouver des signaux positifs, le ministre des Finances ayant déclaré mardi que Pékin voulait augmenter son déficit budgétaire et ses dépenses fiscales et globales en 2025 pour stabiliser la croissance.
LES VALEURS A SUIVRE :
A WALL STREET
La Bourse de New York a fini en hausse lundi, portée par les Sept Magnifiques du secteur de la tech, dans une semaine raccourcie par les fêtes de fin d'année.
L'indice Dow Jones a gagné 0,16%, ou 66,69 points, à 42.906,95 points.
Le Standard & Poor's 500 , plus large, a pris 43,22 points, soit 0,73% à 5.974,07 points.
Le Nasdaq Composite a avancé de son côté de 192,29 points, soit 0,98% à 19.764,885 points.
Meta Platforms , Nvidia , Tesla et Alphabet (GOOGLE.O), la maison mère de Google, ont tous terminé en hausse, entre 2,3% et 3,7%.
EN ASIE
La Bourse de Tokyo a terminé en baisse après plusieurs séances de gains tandis que les actions chinoises sont portées par les valeurs bancaires.
La Bourse de Tokyo a terminé en baisse de 0,32%.
L'indice hongkongais Hang Seng progresse de 1,08%, le SSE Composite de Shanghai se renforce de 0,81%, le CSI 300 3 inscrit une hausse de 0,84%.
TAUX
Les rendements obligataires américains sont légèrement à la baisse mardi, les investisseurs digérant les perspectives monétaires après les dernières déclarations de responsables et dernières données.
Le rendement du Treasury à dix ans décline de 0,6 pb à 4,5927%, tandis que le rendement du titre à deux ans (US2YT=RR) abandonne 0,7 pb à 4,3427%.
CHANGES
Le billet vert se maintient à près d'un plus haut de deux ans aidé par les rendements élevés du Trésor américain, les investisseurs se préparant à moins de réductions de taux de la Réserve fédérale en 2025.
Le dollar gagne 0,07% face à un panier de devises de référence , l'euro s'érode de 0,13% à 1,0391 dollar, et la livre sterling est stable à 1,2533 dollar.
En Asie, le yen recule de 0,11% à 156,99 yens pour un dollar, le dollar australien cède 0,14% à 0,6237 dollar.
PÉTROLE
Le pétrole évolue en hausse mardi matin soutenu par les perspectives plutôt positives aux Etats-Unis après de récentes données jugées rassurantes.
Le Brent progresse de 0,45% à 72,96 dollars le baril, le brut léger américain (West Texas Intermediate, WTI) se renchérit de 0,42% à 69,53 dollars.
PAS D'INDICATEURS MAJEURS A L'AGENDA DU 24 DÉCEMBRE
Les actions asiatiques ont légèrement augmenté mardi, bien que les mouvements aient été modérés dans une semaine de vacances, tandis que le billet vert s'est maintenu près d'un plus haut de deux ans, aidé par les rendements élevés du Trésor américain, les investisseurs se préparant à moins de réductions de taux de la Réserve fédérale en 2025.
En Chine, les actions ont légèrement augmenté leurs gains suite à l'annonce d'un soutien accru de Pékin pour soutenir la reprise économique du pays qui s'essouffle.
L'indice des valeurs vedettes CSI300 3 et l'indice composite de Shanghai ont progressé de 0,9% chacun. L'indice Hang Seng de Hong Kong a progressé de 1,08%.
Deux sources ont déclaré à Reuters que les autorités chinoises avaient convenu d'émettre (link) 3 000 milliards de yuans (411 milliards de dollars) d'obligations spéciales du Trésor l'année prochaine, ce qui serait le montant le plus élevé jamais enregistré.
Les rendements des obligations d'État chinoises ont augmenté en réaction, le rendement à 10 ans (CN240011=) gagnant deux points de base à 1,7125%.
La nouvelle est arrivée peu après que le ministère des finances du pays ait déclaré que les autorités augmenteraient le soutien fiscal à la consommation (link) l'année prochaine en augmentant les pensions et les subventions d'assurance médicale pour les résidents ainsi qu'en élargissant les échanges de biens de consommation.
Les investisseurs restent toutefois prudents quant aux perspectives de la deuxième économie mondiale, d'autant plus qu'elle est confrontée à la menace de tarifs douaniers élevés de la part du président élu des États-Unis, Donald Trump.
"La Chine est confrontée à d'importants défis à l'aube de 2025. La crise immobilière actuelle a ébranlé la confiance des consommateurs, tandis qu'une guerre commerciale potentielle avec les États-Unis pourrait déclencher le pire ralentissement de la croissance depuis des décennies", a déclaré Ronald Temple, stratège en chef du marché chez Lazard.
"Les attentes des investisseurs ont été plus d'une fois revues à la hausse et à la baisse en Chine ces dernières années, et l'année 2025 pourrait bien être la même. Les perspectives de l'économie et du marché chinois pourraient dépendre en grande partie de la vitesse et de l'ampleur des réformes gouvernementales
Ailleurs, l'indice MSCI des actions de l'Asie-Pacifique hors Japon (.MIAPJ0000PUS) a augmenté de 0,44%, suivant le gain de Wall Street (link) dans la nuit.
Les contrats à terme sur l'EUROSTOXX 50 ont augmenté de 0,04%, tandis que les contrats à terme sur le FTSE ont progressé de 0,46%. Les contrats à terme sur le S&P 500 et le Nasdaq ont perdu chacun 0,05%.
Le Nikkei japonais a baissé de 0,24%.
L'offre de 15 milliards de dollars de Nippon Steel sur U.S. Steel a été renvoyée à (link) Le président américain Joe Biden, a déclaré un porte-parole de la Maison Blanche, ce qui donne au président 15 jours pour se prononcer sur un rapprochement auquel il s'est déjà dit opposé.
Les actions de Nippon Steel se sont échangées pour la dernière fois en hausse de 1,2 %.
FOCUS SUR LA FED
Après une récente série de décisions des banques centrales, cette semaine est beaucoup plus calme, laissant le thème des taux d'intérêt être le principal moteur des mouvements du marché, la force continue du dollar étant un fardeau pour les matières premières et l'or.
Les marchés tablent désormais sur un assouplissement d'environ 35 points de base pour 2025, ce qui a fait bondir les rendements du Trésor américain et a propulsé le dollar vers de nouveaux sommets. (0#USDIRPR)
Le rendement du Trésor à deux ans (US2YT=RR) s'est établi pour la dernière fois à 4,3427 %, tandis que le rendement de référence à 10 ans s'est maintenu près d'un plus haut de sept mois à 4,5907 %.
"Comme les marchés, la Fed devra tenir compte des politiques américaines en matière de droits de douane et d'immigration dans ses perspectives d'inflation et de croissance. Nous pensons que le ralentissement subtil du marché du travail américain restera la principale préoccupation de la Fed", ont déclaré les analystes de Citi Wealth.
"Bien que toujours incertaine, notre prévision de base pour un taux directeur de 3,75 % reste inchangée. C'est loin de la moyenne de 1,7 % des taux directeurs américains des 20 dernières années."
Avant le retour de M. Trump à la Maison Blanche en janvier, les banques centrales du monde entier ont appelé à la prudence (link) en ce qui concerne leurs taux d'intérêt en raison de l'incertitude quant à la manière dont les tarifs douaniers, les baisses d'impôts et les restrictions à l'immigration prévus par M. Trump pourraient affecter la politique.
Les données de lundi ont montré que la confiance des consommateurs américains s'est affaiblie de manière inattendue (link) en décembre, alors que l'euphorie post-électorale s'est évanouie et que des inquiétudes sur les conditions commerciales futures sont apparues.
En ce qui concerne les devises, l'indice du dollar s'est maintenu près d'un plus haut de deux ans à 108,14, ayant grimpé de plus de 2% pour le mois jusqu'à présent.
L'euro a reculé de 0,09% à 1,03955 dollar, tandis que le yen est resté proche de son plus bas niveau depuis cinq mois, à 156,99 pour un dollar.
Le ministre japonais des Finances, Katsunobu Kato, a réitéré mardi (link) le malaise de Tokyo face aux mouvements de change excessifs et a fait savoir aux spéculateurs que les autorités étaient prêtes à agir pour stabiliser un yen chancelant.
La force du dollar, combinée à des rendements obligataires élevés, a pesé sur l'or, qui s'est établi à 2 618,10 $ l'once après avoir glissé de 1 % la semaine dernière.
Les prix du pétrole ont légèrement augmenté, les contrats à terme sur le brut Brent augmentant de 0,5% à 72,99 dollars le baril, tandis que le brut américain a gagné 0,46% à 69,56 dollars le baril.
L'indice mondial des actions a augmenté lundi avec l'aide des poids lourds de Wall Street et les rendements du Trésor américain ont grimpé alors que les données ont montré une détérioration de la confiance des consommateurs américains et que les investisseurs se sont préparés à moins de réductions de taux en 2025.
En ce qui concerne les actions américaines, le Nasdaq et le S&P 500 ont été stimulés principalement par des hausses dans les grandes capitalisations telles que Nvidia Corp et Broadcom Inc .
Plus tôt, le Conference Board a déclaré que son indice de confiance des consommateurs américains (link) s'est affaibli en décembre à 104,7 contre les attentes des économistes pour une augmentation à 113,3 et la révision à la hausse de 112,8 en novembre sur les préoccupations concernant les conditions commerciales futures.
Alors que les nouvelles commandes des principaux biens d'équipement américains (link) ont augmenté en novembre en raison de la forte demande de machines, les commandes de biens durables - allant des grille-pains aux avions - ont chuté de 1,1 % après avoir augmenté de 0,8 % en octobre, les baisses reflétant principalement la faiblesse des commandes d'avions commerciaux.
Robert Phipps, directeur chez Per Stirling Capital Management à Austin, au Texas, a souligné que la faiblesse de la confiance des consommateurs était un facteur négatif pour les actions lundi et que le rendement du Trésor à 10 ans avait atteint son niveau le plus élevé depuis la fin du mois de mai.
"Il est important pour les investisseurs en actions que le niveau de 4,6 % se maintienne pour les rendements du Trésor à 10 ans et si nous le dépassons, il y a un risque que le marché aille de l'avant et teste les 5 %", a-t-il déclaré, soulignant que le ralentissement des réductions de taux de la Réserve fédérale en était la raison.
"Le marché s'adapte à une politique moins dovish de la Fed", a déclaré M. Phipps, notant que les indices américains semblaient plus faibles sous le capot lundi. "Il s'agit d'un marché faussement fort, car si l'on retirait une dizaine d'actions de grande capitalisation qui sont en train de gagner du terrain, le marché serait nettement plus bas."
A 14h52, le Dow Jones Industrial Average perdait 46,08 points, soit 0,11%, à 42 794,18, le S&P 500 progressait de 25,44 points, soit 0,43%, à 5 956,29 et le Nasdaq Composite augmentait de 147,08 points, soit 0,75%, à 19 719,67
L'indice MSCI des valeurs mondiales EURONEXT:IACWI a progressé de 3,87 points, soit 0,46%, à 848,10 alors que plus tôt, l'indice européen STOXX 600 a clôturé en hausse de 0,14%.
Avant le raccourcissement de la journée de mardi et la fermeture du marché mercredi pour Noël, Tim Ghriskey, stratégiste principal de portefeuille chez Ingalls & Snyder, a déclaré que les investisseurs avaient encore à l'esprit la forte liquidation de mercredi dernier après que la Fed ait clairement indiqué qu'elle réduirait ses taux d'intérêt l'année prochaine.
"L'économie suscite des inquiétudes. Il y a l'inquiétude que la Fed fasse une erreur et il y a la grande inconnue de ce que Trump va réellement faire", a déclaré M. Ghriskey, faisant référence à l'investiture du président américain élu Donald Trump le 20 janvier.
En ce qui concerne les bons du Trésor américain (link), les rendements ont augmenté avant la vente de lundi de bons du Trésor à deux ans, mais ont peu changé juste après l'adjudication.
Le rendement des obligations américaines de référence à 10 ans a augmenté de 7,3 points de base à 4,597%, contre 4,524% vendredi soir, tandis que le rendement des obligations à 30 ans (US30YT=RR) a augmenté de 6,7 points de base à 4,7832%.
Le rendement de l'obligation à deux ans (US2YT=RR), qui évolue généralement en fonction des prévisions de taux d'intérêt de la Réserve fédérale, a augmenté de 3,5 points de base à 4,347%, contre 4,312% vendredi soir.
En ce qui concerne les devises (link), le dollar a progressé après une baisse lors de la session précédente, tandis que l'euro a chuté, les récentes réunions des banques centrales mondiales ayant établi des attentes divergentes en matière de réduction des taux d'intérêt en 2025.
L'indice du dollar , mesurant la monnaie américaine par rapport à un panier de devises majeures, a augmenté de 0,25% à 108,06.
L'euro a baissé de 0,2% à 1,0408 $ tandis que face au yen japonais , le dollar s'est renforcé de 0,44% à 157,1.
La livre sterling s'est affaiblie de 0,31% à 1,253 dollar et le peso mexicain s'est affaibli de 0,66% par rapport au dollar à 20,221.
Les prix du pétrole (link) ont légèrement baissé dans des échanges limités avant les vacances de Noël sur les préoccupations concernant un surplus d'offre l'année prochaine et un renforcement du dollar.
Le pétrole brut américain a baissé de 0,32%, soit 22 cents, à 69,24 dollars le baril et le Brent a chuté à 72,63 dollars le baril, en baisse de 0,43%, soit 31 cents sur la journée.
Les prix de l'or (link) ont légèrement baissé dans un contexte d'incertitude pour les fêtes de fin d'année, en raison de la vigueur du dollar et du niveau élevé des rendements du Trésor américain.
L'or au comptant a baissé de 0,42% à 2 609,73 dollars l'once. Les contrats à terme sur l'or américain (GCc1) ont baissé de 0,67% à 2 611,10 dollars l'once.
L'indice mondial des actions MSCI a légèrement augmenté lundi et les rendements du Trésor américain ont grimpé avec le dollar après que les données publiées au début d'une courte semaine d'échanges aient montré une détérioration de la confiance des consommateurs américains mélangée à une augmentation des commandes de biens d'équipement.
Le Conference Board a déclaré que son indice de confiance des consommateurs américains (link) s'est affaibli de manière inattendue en décembre pour atteindre 104,7, alors que les économistes s'attendaient à une augmentation à 113,3 et que l'indice de novembre avait été révisé à la hausse à 112,8, en raison des inquiétudes concernant les conditions commerciales futures.
Les nouvelles commandes de biens d'équipement américains (link) ont augmenté en novembre en raison d'une forte demande de machines, mais les commandes de biens durables, allant des grille-pains aux avions, ont chuté de 1,1 % après avoir augmenté de 0,8 % en octobre, les baisses reflétant principalement la faiblesse des commandes d'avions commerciaux.
Avant le raccourcissement de la journée de mardi et la fermeture du marché pour Noël mercredi, Tim Ghriskey, stratégiste principal de portefeuille chez Ingalls & Snyder, a déclaré que les investisseurs avaient encore à l'esprit la forte liquidation de mercredi après le signal de la Réserve fédérale de réduire les taux d'intérêt en 2025.
"L'économie suscite des inquiétudes. Il y a des inquiétudes sur l'économie, sur la possibilité que la Fed fasse une erreur et il y a la grande inconnue de ce que Trump va réellement faire", a déclaré M. Ghriskey, en pensant à l'investiture du président américain élu Donald Trump le 20 janvier.
Bien que les indices de Wall Street soient en hausse depuis le début de l'année, le S&P 500 a perdu près de 2 % la semaine dernière et le Nasdaq a perdu 1,8 %.
Lundi à 11h29, le Dow Jones Industrial Average a perdu 200,20 points, soit 0,47%, à 42 640,06, le S&P 500 a augmenté de 1,39 points, soit 0,03%, à 5 932,34 et le Nasdaq Composite a augmenté de 75,36 points, soit 0,39%, à 19 647,96.
L'indice MSCI des valeurs mondiales EURONEXT:IACWI a gagné 1,17 point, soit 0,14%, à 845,40, tandis que l'indice européen STOXX 600 a progressé de 0,07%.
Dans les bons du Trésor américain (link), les rendements ont augmenté avant la vente lundi de 69 milliards de dollars de bons du Trésor à deux ans, avec des volumes qui devraient être faibles cette semaine alors que de nombreux traders sont absents avant les vacances de Noël de mercredi.
Le rendement des obligations américaines de référence à 10 ans a augmenté de 4,2 points de base à 4,566%, contre 4,524% vendredi soir, tandis que le rendement des obligations à 30 ans (US30YT=RR) a augmenté de 4,2 points de base à 4,7578%.
Le rendement de l'obligation à deux ans (US2YT=RR), qui évolue généralement en fonction des attentes concernant la politique de taux d'intérêt de la Fed, a augmenté de 3,5 points de base à 4,347%, contre 4,312% vendredi soir.
Dans les devises (link), le dollar a progressé après une baisse dans la session précédente, tandis que l'euro a chuté, les mouvements du marché étant dictés par les récentes réunions des banques centrales mondiales qui ont établi des attentes pour des trajectoires divergentes de réduction des taux l'année prochaine.
L'indice du dollar , qui mesure le billet vert par rapport à un panier de devises, y compris le yen et l'euro,
a augmenté de 0,37% à 108,19.
L'euro était en baisse de 0,31% à 1,0397 $ tandis que contre le yen japonais , le dollar s'est renforcé de 0,49% à 17
157.17. La livre sterling s'est affaiblie de 0,43% à 1,2515 dollar.
Les prix du pétrole (link) ont prolongé les pertes de la semaine dernière alors que l'inflation américaine plus faible que prévu la semaine dernière a compensé les craintes d'un surplus d'offre l'année prochaine
Le pétrole brut américain a baissé de 1,02% à 68,75 dollars le baril et le Brent a baissé à 72,11 dollars le baril, soit une baisse de 1,14% sur la journée.
Les prix de l'or (link) ont légèrement baissé dans un marché calme de la saison des vacances, plombé par un dollar robuste et des rendements élevés du Trésor américain.
L'or au comptant a baissé de 0,34% à 2 611,99 dollars l'once. Les contrats à terme sur l'or américain (GCc1) ont baissé de 0,49% à 2 615,70 dollars l'once.
Les Bourses européennes ont terminé en baisse lundi avant une semaine qui s'annonce particulièrement calme alors que les Bourses mondiales seront soit ouvertes pour une demi-séance, soit fermées jusqu'à jeudi en cette période de fêtes.
À Paris, le CAC 40 a terminé en baisse de 0,07% à 7.269,47 points. A Francfort, le Dax recule de 0,23% et à Londres, le FTSE 100 CURRENCYCOM:UK100 monte de 0,15%.
L'indice EuroStoxx 50 est en baisse de 0,25%, le FTSEurofirst 300 (.FTEU3) est en hausse de 0,09% et le Stoxx 600 en hausse de 0,07%.
La séance n'a pas permis aux actions européennes de récupérer les pertes accusées au début de la séance, le trading ayant été particulièrement calme.
Le Stoxx 600 est plombé par le secteur des voyages et des loisirs (.SXTP) dans le sillage du groupe suédois de jeux en ligne Evolution , une chute qui n'a pu être compensée par la forte hausse de Novo Nordisk (NOVOg.CO).
Côté macroéconomique, les investisseurs ont pu digérer les derniers commentaires de Christine Lagarde publiés lundi dans le Financial Times, dans lequel elle s'oppose à la possibilité de représailles en cas d'imposition de droits de douane par Donald Trump et indique que la zone euro est "très proche" de la barre des 2% d'inflation.
VALEURS
Novo Nordisk gagne 5,67%, recouvrant une partie des partes accusées en fin de semaine dernière après des résultats cliniques décevants de CagriSema, son nouveau médicament contre l'obésité.
Evolution perd 10,14%, lanterne rouge du Stoxx 600, après que la Commission britannique des jeux de hasard a lancé un audit de sa licence d'exploitation.
À Paris, Vusiongroup s'est envolé de 14,32% après avoir annoncé la signature d'un accord avec Walmart aux États-Unis.
A WALL STREET
Outre-Atlantique, les marchés se montrent également hésitants, fluctuant à peine à l'approche des fêtes.
A l'heure de la clôture en Europe, le Dow Jones cède 0,53%, le Standard & Poor's 500 est quasi stable à 0,05% tandis que le Nasdaq Composite avance de 0,28%.
LES INDICATEURS DU JOUR
L'économie britannique n'a pas évolué lors des trois mois qui se sont écoulés depuis l'arrivée au pouvoir du Premier ministre Keir Starmer en juillet dernier, ont montré les données officielles publiées ce lundi.
De l'autre côté de l'Atlantique, la confiance des consommateurs a reculé de manière inattendue, s'établissant à 104,7 après 112,8 en novembre, alors que les analystes interrogés par Reuters tablaient sur un chiffre de 113,3.
CHANGES
Le marché des changes évolue au gré des déclarations des différentes banques centrales mondiales ce lundi, voyant le dollar se renforcer par rapport à l'euro sur fond de paris quant à la politique monétaire que la Réserve fédérale adoptera en 2025.
Le billet vert gagne 0,58% face à un panier de devises de référence .
En conséquence, la monnaie unique perd 0,39% à 1,0388 dollar .
Plombée par les dernières données macroéconomiques britanniques, la livre sterling cède quant à elle 0,46% face au dollar.
TAUX
À l'instar du dollar, les rendements obligataires américains grimpent ce lundi dans l'attente d'indications plus claires sur le nombre de baisse des taux en 2025.
Le rendement des Treasuries à dix ans avance de 4,2 points de base à 4,5664% et le deux ans (US2YT=RR) de 3,2 points de base à 4,3443%.
Les rendements européens profitent également des derniers commentaires de Christine Lagarde dans le Financial Times.
Le rendement du Bund allemand à dix ans (DE10YT=RR) gagne 3,1 points de base à 2,3160% et le deux ans (DE10YT=RR) affiche 2,2 points de base à 2,0620%.
PÉTROLE
Les prix du pétrole reculent lundi après que les dernières données sur l'inflation américaine ont levé les inquiétudes quant à la possibilité d'un excédent d'offre l'année prochaine.
Le Brent recule de 0,95% à 72,25 dollars le baril et le brut léger américain (West Texas Intermediate, WTI) de 0,84% à 68,88 dollars.
A SUIVRE MARDI :
Les marchés Euronext et Wall Street n'ouvriront que pour une demi-séance le mardi 24 décembre.
LA SITUATION SUR LES MARCHÉS
(Certaines données peuvent accuser un léger décalage)
Les contrats à terme sur les actions américaines ont augmenté lundi, indiquant un début optimiste à Wall Street à la suite d'une lecture de l'inflation américaine (link) la semaine dernière qui a offert un certain espoir pour un nouvel assouplissement de la politique l'année prochaine, ainsi que le soulagement que Washington ait évité une fermeture du gouvernement (link).
Après une récente avalanche de décisions de la part des banques centrales, cette semaine, seuls les procès-verbaux de quelques-unes de ces réunions seront publiés, tandis qu'il n'y aura pas de discours de la Réserve fédérale et que les données américaines seront secondaires.
Les principaux thèmes du marché restent largement les mêmes, le dollar étant soutenu par une économie relativement forte et des rendements obligataires plus élevés, ce qui pèse sur les matières premières et l'or.
Les contrats à terme du S&P 500 ont augmenté de 0,1 %, tandis que les contrats à terme du Nasdaq ont progressé de 0,4 %. Le S&P 500 a chuté de près de 2 % la semaine dernière et le Nasdaq de 1,8 %, bien que ce dernier soit toujours en hausse de 30 % sur l'année.
Les marchés européens, quant à eux, se sont retrouvés sous le feu des critiques ces dernières semaines, les investisseurs ayant renforcé leurs positions sur les actions américaines et le dollar.
Le STOXX 600 , qui a progressé de 0,4 % ce jour-là, devrait encore chuter de 4 % ce trimestre, sa pire performance trimestrielle depuis deux ans et demi, contre un gain de 3 % pour le S&P 500 .
L'euro a atteint ses plus bas niveaux depuis deux ans ces dernières semaines et se dirige également vers sa plus faible performance trimestrielle face au dollar depuis le deuxième trimestre 2022, en baisse de 6,5%.
Les investisseurs sont devenus plus sombres quant aux perspectives de l'économie de la zone euro, en particulier à la lumière de la menace du président élu américain Donald Trump d'imposer des tarifs douaniers élevés sur les exportations régionales vers son pays.
"Nous avons ajusté notre trajectoire pour l'euro/dollar un peu plus bas pour l'année prochaine, tandis que les risques restent orientés vers un dollar encore plus fort, car la plupart des sujets à l'ordre du jour de Trump - y compris la baisse des impôts et de la réglementation, la guerre commerciale, les déportations massives et une attitude controversée par rapport aux tensions géopolitiques - ont le potentiel de stimuler le dollar", a déclaré Jan von Gerich, stratège chez Nordea.
Les troubles politiques dans deux des principaux moteurs de croissance de la zone euro - l'Allemagne et la France -ont pesé sur la confiance des investisseurs en Europe, tandis que l'économie américaine n'a montré aucun signe réel de faiblesse, avec une croissance de l'emploi, une baisse progressive de l'inflation et une activité commerciale robuste, ce qui a poussé le S&P 500 à des niveaux record cette année.
"Aux États-Unis, l'économie se montre toujours résiliente mais avec des tendances de plus en plus divergentes en raison de l'effet de l'élection de Donald Trump", ont indiqué dans une note les stratèges du gestionnaire d'actifs Edmond de Rothschild.
STRONG STOCKS
En Asie , le Nikkei a gagné 1,2%, tandis que l'indice Topix des constructeurs automobiles a grimpé de 1,3%, aidé par des signes de progrès dans une fusion potentielle entre Honda et Nissan (link).
L'indice MSCI All-World EURONEXT:IACWI, qui a gagné 16% cette année, était en hausse de 0,2% sur la journée.
Les contrats à terme américains laissent entendre qu'environ deux réductions d'un quart de point sont prévues pour l'année prochaine, ce qui porterait le taux de référence dans une fourchette de 3,75 à 4,0 %. Il y a deux semaines à peine, cette prévision était plus proche d'une fourchette de 3,50-3,75 %.
En conséquence, les rendements des bons du Trésor à 10 ans ont fortement augmenté, bondissant de près de 42 points de base en deux semaines pour atteindre environ 4,54 %, ce qui constitue la plus forte hausse depuis avril 2022.
Sur les marchés des devises, l'indice du dollar a augmenté de 0,35 % pour s'échanger près de ses plus hauts niveaux en deux ans (-USD), après avoir gagné environ 2 % ce mois-ci. L'euro a baissé de 0,4 % à 1,039 $, après avoir frôlé des plus bas de deux ans la semaine dernière.
Face au yen, le dollar a progressé de 0,3% à 156,98 .
Les prix du pétrole ont baissé, sous la pression d'un dollar plus fort et des inquiétudes sur la demande chinoise suite à la faiblesse des ventes au détail la semaine dernière
Les contrats à terme sur le pétrole Brent ont inversé un gain antérieur pour s'échanger 0,3 % de moins sur la journée à 72,71 $ le baril, tandis que le pétrole brut américain a baissé de 0,29 % pour s'échanger à 69,25 $.
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