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Coach de trading en chef et conférencier BeingTrader, plus de 8 ans d'expérience dans le trading du marché des changes, principalement XAUUSD, EUR/USD, GBP/USD, USD/JPY et pétrole brut. Un trader et analyste confiant qui vise à explorer diverses opportunités et à guider les investisseurs sur le marché. En tant qu'analyste, je cherche à améliorer l'expérience du trader en le soutenant avec suffisamment de données et de signaux.
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Risk Warning on Trading HK Stocks
Despite Hong Kong's robust legal and regulatory framework, its stock market still faces unique risks and challenges, such as currency fluctuations due to the Hong Kong dollar's peg to the US dollar and the impact of mainland China's policy changes and economic conditions on Hong Kong stocks.
HK Stock Trading Fees and Taxation
Trading costs in the Hong Kong stock market include transaction fees, stamp duty, settlement charges, and currency conversion fees for foreign investors. Additionally, taxes may apply based on local regulations.
HK Non-Essential Consumer Goods Industry
The Hong Kong stock market encompasses non-essential consumption sectors like automotive, education, tourism, catering, and apparel. Of the 643 listed companies, 35% are mainland Chinese, making up 65% of the total market capitalization. Thus, it's heavily influenced by the Chinese economy.
HK Real Estate Industry
In recent years, the real estate and construction sector's share in the Hong Kong stock index has notably decreased. Nevertheless, as of 2022, it retains around 10% market share, covering real estate development, construction engineering, investment, and property management.
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La Bourse de New York a fini en très nette baisse, les investisseurs redoutant les effets des annonces de Donald Trump sur les droits de douane infligés au Canada et au Mexique.
L'indice Dow Jones a cédé 1,48%, ou 649,67 points, à 43.191,24 points.
Le Standard & Poor's 500 , plus large, a perdu -104,78 points, soit -1,76% à 5.849,72 points.
Le Nasdaq Composite a reculé de son côté de -497,09 points, soit -2,64% à 18.350,191 points.
Donald Trump a annoncé lundi que ni le Mexique ni le Canada de pourraient échapper à l'instauration des droits de douane, faisant vaciller les marchés d'actions.
Cette annonce est venue s'ajouter à la publication de l'indice ISM qui a montré que l'activité manufacturière avait ralenti en février aux Etats-Unis.
La Bourse de New York a terminé en forte baisse lundi, minée par les dernières déclarations de Donald Trump sur les droits de douane, le président américain ayant entre autres annoncé que les surtaxes visant le Canada, le Mexique et la Chine "entreront en vigueur" mardi.
Le Dow Jones a reculé de 1,48%, l'indice Nasdaq a chuté de 2,64% et l'indice élargi S&P 500 a perdu 1,76%.
Le président américain, Donald Trump, a déclaré lundi qu'il n'y avait aucune chance pour le Mexique ou le Canada d'échapper à l'entrée en vigueur de droits de douane de 25% dès ce mardi, faisant vaciller les marchés financiers soucieux des effets des nouvelles barrières économiques en Amérique du Nord.
"Ils vont devoir subir des droits de douane. Ce qu'ils doivent faire, c'est construire leurs usines automobiles et d'autres choses aux États-Unis et dans ce cas, ils n'auront pas de droits de douane", a déclaré Donald Trump à la Maison Blanche. Il a ajouté qu'il n'y avait "plus de place" pour un accord qui permettrait d'éviter les droits de douane, par exemple en réduisant les flux de fentanyl vers les États-Unis.
Donald Trump a également indiqué que des droits de douane réciproques entreraient en vigueur le 2 avril pour les pays qui imposent des droits de douane sur les produits américains.
Les chefs d'entreprise et les économistes estiment que cette mesure, qui porte sur plus de 900 milliards de dollars d'importations annuelles des États-Unis en provenance de leurs voisins du Sud et du Nord, constituerait un sérieux revers pour l'économie nord-américaine, qui est fortement intégrée.
Les droits de douane devraient entrer en vigueur mardi à 0h01 (5h01 GMT), date à laquelle le Canada et le Mexique se verront imposer des droits de douane de 25%, dont 10% pour l'énergie canadienne. Les autorités mexicaines n'ont pas immédiatement répondu aux demandes de commentaires.
La ministre canadienne des affaires étrangères, Mélanie Joly, a déclaré aux journalistes qu'Ottawa serait prêt à réagir. "Il y a un certain niveau d'imprévisibilité et de chaos qui émane du Bureau ovale, et nous y ferons face", a-t-elle déclaré.
S'exprimant sur CNN, le secrétaire américain au commerce, Howard Lutnick, a déclaré que les deux pays avaient fait des progrès en matière de sécurité frontalière, mais qu'ils devaient faire davantage pour réduire les flux de fentanyl vers les États-Unis afin de réduire le nombre de décès dus à cette drogue opioïde.
Mardi, Donald Trump devrait également augmenter les droits de douane sur les importations chinoises liées au fentanyl, qui passeront de 10% à 20%, à moins que Pékin ne mette un terme au trafic de fentanyl vers les États-Unis.
Les droits de douane sur les produits canadiens et mexicains promis par Donald Trump devraient devenir une réalité dans la nuit de lundi à mardi, à moins que les trois pays ne s'entendent pour interrompre le flux de fentanyl, un puissant opioïde vers les Etats-Unis.
Le président américain reproche au Canada et au Mexique, ainsi qu'à la Chine, de ne pas lutter efficacement contre le trafic de ce puissant opioïde, responsable de dizaines de milliers de morts par an aux Etats-Unis.
Afin de les forcer à agir, il a imposé début février 25% de droits de douane sur l'ensemble des produits canadiens et mexicains, pourtant théoriquement protégés par un accord de libre-échange signé durant le premier mandat de Donald Trump, avant de les suspendre pour un mois, satisfait des premiers gestes consentis par Ottawa et Mexico.
Dans le même temps, la Chine s'est vu imposer 10% de droits de douane, qui viennent s'ajouter à ceux déjà existants, sans suspension cette fois.
Une décision présentée comme de "la politique intérieure" par le secrétaire au Commerce, Howard Lutnick, lors de son audition de confirmation devant le Sénat fin janvier. Si le Canada et le Mexique agissent, "il n'y aura pas de droit de douane", avait-il ajouté.
"Ces droits de douane ont été mis en place car la frontière était grande ouverte et nous voulons que nos partenaires commerciaux la ferme. Le partenaire le plus important pour le Mexique et le Canada, ce sont les Etats-Unis. Ils devraient faire preuve de plus de respect à notre égard", a-t-il affirmé lundi sur CNN.
Pour Ryan Majerus, ancien responsable américain au Commerce, désormais avocat, "il ne fait aucun doute que le gouvernement tente de régler les problèmes liés au fentanyl et à l'immigration, et ces taxes lui ont donné du poids face au Canada et au Mexique, comme l'ont montré leur réaction".
Dans la foulée de l'annonce des droits de douane, Mexico s'était engagé à envoyer 10.000 soldats supplémentaires à sa frontière, et Ottawa avait accéléré la mise en place d'une unité spécialisée dans la lutte contre le trafic frontalier.
- Risque économique -Donald Trump avait souligné durant sa campagne électorale, que les droits de douane étaient "ses mots favoris". Il avait dit souhaiter les utiliser pour rééquilibrer la balance commerciale américaine, financer en partie sa promesse de baisser les impôts, mais aussi imposer "le respect" aux partenaires des Etats-Unis.
Le président américain a d'ores et déjà annoncé son intention de taxer l'acier et l'aluminium et le lancement d'une enquête en vue d'en faire autant pour les produits issus de la sylviculture.
Lundi, les produits agricoles se sont ajoutés à la liste, M. Trump assurant qu'ils seront aussi taxés à compter du 2 avril.
Dans un message posté sur son réseau social Truth Social, le président américain invite "les grands agriculteurs des Etats-Unis" à se préparer à "produire beaucoup plus de produits agricoles pour les vendre à l'intérieur des Etats-Unis". "Des produits importés seront taxés le 2 avril", avertit-il.
Il pourrait toutefois hésiter quand il faudra formaliser. Car la perspective des droits de douane commence à inquiéter les Américains, tant les consommateurs que les entreprises.
Fin février, deux indices de confiance des consommateurs ont plongé, plombés par la crainte d'un rebond de l'inflation. Celle-ci peine à revenir vers les 2% visés par la Réserve fédérale (Fed) et a même progressé légèrement fin 2024.
Une donnée essentielle, alors que le président américain doit principalement sa victoire à sa promesse de faire baisser les prix et d'améliorer le pouvoir d'achat des ménages.
Lundi, la publication de l'indice ISM de la production industrielle s'est accompagnée de commentaires pointant la crainte, dans un certain nombre d'industries, de voir les droits de douane devenir une nouvelle réalité.
"Les hausses de prix se sont accélérées en raison des droits de douane, ce qui a entraîné des retards pour passer de nouvelles commandes, des arrêts de livraison de la part des fournisseurs et des répercussions sur les inventaires", a notamment souligné Timothy Fiore, un responsable de l'ISM.
Industriels de la chimie, des transports, des machines outils ou encore de l'agroalimentaire... Tous commencent à mentionner de plus en plus ouvertement l'impact des droits de douane sur leur activité.
D'autant qu'existe le risque de voir le Canada et le Mexique répliquer.
"S'il y a des droits de douane, nous aurons une réponse forte, sans équivoque et proportionnée", a ainsi prévenu le Premier ministre canadien, Justin Trudeau.
"Quelle que soit la décision, nous avons un plan. Nous avons un plan A, un plan B, un plan C et un plan D", a de son côté assuré la présidente mexicaine, Claudia Sheinbaum.
Les industries américaines sont en train d'affronter "le premier choc opérationnel" résultant de la mise en place de nouvelles taxes sur les importations, selon un indice publié lundi montrant des inquiétudes grandissantes vis-à-vis des prix et de la demande.
Le président américain Donald Trump menace d'imposer dès mardi des droits de douane de 25% sur les produits importés du Canada et du Mexique. Il doit aussi relever le même jour les droits de douane sur les importations chinoises, qu'il a déjà augmentés de 10% début février.
D'autres taxes sur les importations américaines sont dans les tuyaux, notamment sur l'acier et l'aluminium.
Face à cette vague de nouvelles barrières douanières, l'économie américaine commence à être affectée.
Un indicateur évaluant la santé de l'industrie américaine, publié lundi, a continué à progresser en février (50,3%), mais à un rythme moins élevé que le mois précédent (50,9%).
Les analystes s'attendaient à un moindre ralentissement, d'après le consensus publié par MarketWatch.
Au cours de l'enquête, menée par la fédération professionnelle ISM, les cadres du secteur industriel ont rapporté un surcroît de difficultés et d'inquiétudes.
"La demande a diminué, la production s'est stabilisée et la réduction des effectifs s'est poursuivie alors que les entreprises sondées subissent le premier choc opérationnel de la politique en matière de droits de douane" du nouveau gouvernement Trump, relève le responsable de l'enquête, Timothy Fiore, cité dans le communiqué.
"Les hausses de prix se sont accélérées en raison des droits de douane, ce qui a entraîné des retards dans la passation de nouvelles commandes, des arrêts de livraison de la part des fournisseurs et des répercussions sur les inventaires", décrit-il.
- Volumes en berne -Industriels de la chimie, des transports, des machines-outils, des appareils électriques ou encore de l'agroalimentaire... Tous commencent à mentionner de plus en plus ouvertement, dans le rapport d'ISM, l'impact des droits de douane sur leur activité.
"Les consommateurs suspendent leurs projets d'achats en raison de l'incertitude liée aux droits de douane", a ainsi témoigné un cadre d'une entreprise du secteur des transports, qui inclut l'industrie automobile.
"Nous constatons que les prix ont un impact sur les volumes, avec des consommateurs qui achètent moins et cherchent des options alternatives", a relevé un autre responsable, travaillant dans le secteur regroupant agroalimentaire et tabac.
Le sous-indice des prix a bondi de 7,5 points, "le rythme de progression le plus rapide depuis mi-2022", remarque dans une note Matthew Martin, économiste chez Oxford Economics, estimant que cela donne une idée "de l'impact potentiel des droits de douane sur les prix des biens, alors même que l'essentiel des politiques du président Trump n'a pas encore été mis en oeuvre".
"Si les droits de douane promis sont effectivement mis en place, l'activité de l'industrie américaine chutera d'un coup, et on n'aura pas besoin d'attendre jusqu'à la prochaine publication de l'indice ISM pour s'en rendre compte", écrivent les économistes de HFE dans une note.
"S'ils sont repoussés ou annulés, l'activité pourrait toujours ralentir, mais pas aussi fort", anticipent-ils.
Les marchés boursiers américains, après une ouverture dans le vert, se sont retournés après la publication.
Ils ont déjà dû digérer ces derniers semaines plusieurs indices interprétés comme de mauvais augures.
Le baromètre de l'inflation PCE, publié le 28 février, avait donné un peu d'air en montrant que les hausses de prix s'étaient poursuivies en janvier, mais à un rythme un peu moins élevé. Les observateurs ont toutefois surtout retenu que les dépenses des ménages ont reculé de 0,2% sur un mois.
Un modèle développé par la Réserve fédérale (Fed) d'Atlanta, qui digère au jour le jour les indicateurs pour estimer le futur PIB (GDPNow), anticipe lundi une contraction très forte de celui-ci au premier trimestre: -2,8% en rythme annualisé, contre une précédente estimation de -1,5%.
Les Etats-Unis ont connu une croissance forte, de 2,8%, l'an dernier.
La Bourse de Paris a terminé en nette hausse lundi, poussée par l'envol des valeurs de défense, les investisseurs anticipant une hausse des dépenses liées au secteur avec l'effervescence diplomatique autour de l'Ukraine.
L'indice vedette de la place de Paris, le CAC 40, a terminé en nette hausse de 1,09%, soit un gain de 88,08 points, à 8.199,71 points. Depuis le 1er janvier, le CAC 40 affiche un gain de 11,10%.
Le CAC 40 a d'ailleurs frôlé son record en séance (8.259,19 points, le 10 mai 2024), poussant jusqu'à 8.257,88 points.
L'indice a été galvanisé par "une nouvelle frénésie pour les valeurs de la défense", commente Eymane Cherfa, analyste de Myria AM interrogé par l'AFP.
Elle fait suite à un sommet à Londres dimanche, où les dirigeants européens ont serré les rangs pour soutenir Kiev. Ils se sont engagés à dépenser davantage pour la sécurité et à constituer une coalition pour défendre toute trêve en Ukraine.
Plusieurs dirigeants ont plaidé pour que l'Europe se réarme, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, avertissant que le continent devait de toute urgence "se préparer au pire".
"Davantage de pays européens vont augmenter leurs dépenses de défense", a assuré à l'issue de la réunion le secrétaire général de l'Otan, Mark Rutte, saluant une "très bonne nouvelle".
Ce sommet précède un sommet européen extraordinaire sur l'Ukraine prévu le 6 mars à Bruxelles.
Les valeurs de la défense ont ainsi caracolé en tête, Dassault Aviation terminant en forte hausse de 14,77% à 282,80 euros et Thales de 16,04% à 222,40 euros.
Tout roule pour l'automobileLa présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a annoncé lundi un mécanisme de flexibilité pour éviter aux constructeurs automobiles en retard sur les objectifs de réductions des émissions de CO2 de payer des amendes en 2025.
Ce mécanisme consistera à prendre en compte les émissions sur trois ans, de 2025 à 2027, au lieu d'une seule année, ce qui donnera un délai aux retardataires pour se rattraper, sans pénaliser les bons élèves qui disposeront de leur côté d'un crédit d'émissions.
"On vient desserrer les contraintes et c'est assez bien pris par le marché", note Eymane Cherfa.
"Renault est la valeur la plus exposée donc elle en bénéficie le plus", poursuit-il. Le titre de Renault a gagné 1,40% à 50,54 euros.
Eutelsat en orbiteL'opérateur européen de satellites Eutelsat a flambé à la Bourse de Paris, le titre du groupe terminant en hausse faramineuse de 68,14% à 2,02 euros.
Les discussions autour de l'Europe de la défense alimentent les attentes des investisseurs pour une forte demande de satellites OneWeb pour contourner son concurrent en Europe, le mastodonte Starlink dirigé par Elon Musk.
Les industries américaines sont en train d'affronter "le premier choc opérationnel" résultant de la mise en place de nouvelles taxes sur les importations, selon un indice publié lundi montrant des inquiétudes grandissantes vis-à-vis des prix et de la demande.
L'activité manufacturière a continué à progresser en février aux Etats-Unis (50,3%), mais à un rythme moins élevé que le mois précédent (50,9%), selon un indice de la fédération professionnelle ISM.
La publication est légèrement en-dessous des attentes des analystes, d'après le consensus publié par MarketWatch.
Ces deux mois marquent un changement de tendance après "26 mois consécutifs de contraction" de cet indice, selon le communiqué.
L'horizon s'est pourtant obscurci dans le même temps, les secteurs industriels rapportant un surcroît de difficultés et d'inquiétudes.
"La demande a diminué, la production s'est stabilisée et la réduction des effectifs s'est poursuivie alors que les entreprises sondées subissent le premier choc opérationnel de la politique en matière de droits de douane" du nouveau gouvernement Trump, relève le responsable de l'enquête, Timothy Fiore, cité dans le communiqué.
"Les hausses de prix se sont accélérées en raison des droits de douane, ce qui a entraîné des retards dans la passation de nouvelles commandes, des arrêts de livraison de la part des fournisseurs et des répercussions sur les inventaires", poursuit-il.
Industriels de la chimie, des transports, des machines outils, des appareils électriques ou encore de l'agroalimentaire... Tous commencent à mentionner de plus en plus ouvertement l'impact des droits de douane sur leur activité.
"Les consommateurs suspendent leurs projets d'achats en raison de l'incertitude liée aux droits de douane", a ainsi rapporté une entreprise du secteur des transports, qui inclut l'industrie automobile.
"Nous constatons que les prix ont un impact sur les volumes, avec des consommateurs qui achètent moins et cherchent des options alternatives", a relevé une autre entreprise, issue du secteur groupant agroalimentaire et tabac.
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