Citations
Nouvelles
Analyse
Utilisateur
24/7
Calendrier économique
Education
Données
- Des noms
- Dernier
- Précédent
A:--
F: --
A:--
F: --
A:--
F: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
Pas de données correspondantes
Graphiques Gratuit pour toujours
Chat F&Q avec des Experts Filtres Calendrier économique Données OutilFastBull VIP FonctionnalitésTendances du marché
Principaux indicateurs
Dernières vues
Dernières vues
Sujets d'actualité
L’argent fait tourner le monde et la monnaie est une marchandise permanente. Le marché des changes est plein de surprises et d'attentes.
Sur les marchés financiers mondiaux, la bourse sert de baromètre économique et a toujours été au centre de l'attention des investisseurs. Son ascension et sa chute ont un impact profond sur l’économie de divers pays.
Les marchés financiers restent stables mais affichent un sentiment d'anticipation nerveuse alors que la nouvelle semaine commence. Les conflits entre Israël et le Hamas continuent d’occuper le devant de la scène, avec des inquiétudes croissantes quant au risque que la violence engloutisse l’ensemble de la région.
Le marché obligataire est le marché financier le plus ancien, mature, non innovant mais indispensable, tandis que la dette est un ancien vortex commun, discret mais redoutable.
Les meilleurs chroniqueurs
Salut! Êtes-vous prêt à vous impliquer dans le monde financier ?
Les dernières nouvelles et les événements financiers mondiaux.
J'ai 5 ans d'expérience en analyse financière, notamment dans les aspects d'évolution macroéconomique et de jugement de tendances à moyen et long terme. Je me concentre principalement sur l'évolution du Moyen-Orient, des marchés émergents, du charbon, du blé et d'autres produits agricoles.
Coach de trading en chef et conférencier BeingTrader, plus de 8 ans d'expérience dans le trading du marché des changes, principalement XAUUSD, EUR/USD, GBP/USD, USD/JPY et pétrole brut. Un trader et analyste confiant qui vise à explorer diverses opportunités et à guider les investisseurs sur le marché. En tant qu'analyste, je cherche à améliorer l'expérience du trader en le soutenant avec suffisamment de données et de signaux.
Dernière mise à jour
Risk Warning on Trading HK Stocks
Despite Hong Kong's robust legal and regulatory framework, its stock market still faces unique risks and challenges, such as currency fluctuations due to the Hong Kong dollar's peg to the US dollar and the impact of mainland China's policy changes and economic conditions on Hong Kong stocks.
HK Stock Trading Fees and Taxation
Trading costs in the Hong Kong stock market include transaction fees, stamp duty, settlement charges, and currency conversion fees for foreign investors. Additionally, taxes may apply based on local regulations.
HK Non-Essential Consumer Goods Industry
The Hong Kong stock market encompasses non-essential consumption sectors like automotive, education, tourism, catering, and apparel. Of the 643 listed companies, 35% are mainland Chinese, making up 65% of the total market capitalization. Thus, it's heavily influenced by the Chinese economy.
HK Real Estate Industry
In recent years, the real estate and construction sector's share in the Hong Kong stock index has notably decreased. Nevertheless, as of 2022, it retains around 10% market share, covering real estate development, construction engineering, investment, and property management.
Hong Kong, Chine
Ho Chi Minh, Vietnam
Dubaï, Émirats arabes unis
Lagos, Nigeria
Le Caire, Égypte
Marque blanche
API de données
Plug-ins Web
Programme d'affiliation
Tout voir
Pas de données
Non connecté
Se connecter pour accéder à d'autres fonctionnalités
FastBull VIP
Pas encore
Acheter
Se connecter
S'inscrire
Hong Kong, Chine
Ho Chi Minh, Vietnam
Dubaï, Émirats arabes unis
Lagos, Nigeria
Le Caire, Égypte
Marque blanche
API de données
Plug-ins Web
Programme d'affiliation
La cryptomonnaie XRP refait parler d’elle malgré le fait que le réseau Lightning Network (Bitcoin) l’ait rendu depuis longtemps tout à fait inutile…
XRP, toujours la même rengaine
Géré par la fondation XRPL, le XRP (ripple) est une énième cryptomonnaie ayant fait son beurre en se prévalant d’un débit de transactions beaucoup plus important que celui du bitcoin.
Réaliser des transactions moins chères et plus rapides est depuis toujours le principal argument de vente des milliers de cryptos qui se créent tous les ans. La propagande est bien ficelée et va jusqu’à faire croire à certains que le bitcoin serait une technologie « dépassée ».
Bien évidemment que non. Pour le comprendre, il faut parler en deux mots du fameux trilemme de la blockchain et ensuite du Lightning Network.
Ce trilemme fait référence à l’impossibilité de maximiser en même temps les trois aspects essentiels de la technologie blockchain : sécurité, décentralisation et débit de transactions. En clair, l’optimisation d’un aspect se fait aux dépens des autres.
Le bitcoin privilégie la décentralisation au prix d’un débit de transactions relativement faible de sept transactions par seconde. C’est 1500 transactions par seconde pour XRP.
La décentralisation se mesure par le nombre de nœuds. Elle est directement proportionnelle à la taille de la blockchain (630 Go actuellement) dont la croissance surenchérit le coût d’installation d’un nœud (disque dur, ram, bande passante, etc.).
S’assurer que le réseau reste décentralisé nécessite de petits blocs et donc une limitation du nombre de transactions qu’ils contiennent. La limite de 1 Mo par bloc est la pierre angulaire de cette conception.
Cette limite fut farouchement défendue lors de la « Blocksize War ». À l’époque (2017), certains voulaient sacrifier la décentralisation sur l’autel du débit de transactions, sans succès. Les réticences débouchèrent sur fork du bitcoin : Bitcoin Cash (BCH).
L’échec patent du BCH montre que l’attrait principal du Bitcoin est d’être une réserve de valeur véritablement décentralisée et sécurisée plutôt qu’un moyen de paiement. Cela dit, la création du Lightning Network permet d’avoir les deux.
Payer son café en bitcoin
Le Lightning Network (LN) décuple le débit de transactions tout en préservant la sécurité du réseau Bitcoin. Il est un réseau secondaire fermement arrimé au réseau Bitcoin via l’ouverture de « canaux » qui s’ouvrent grâce à ce que l’on appelle des HTLC (Hash Time Lock Contract).
Les transactions y sont plus rapides, moins chères et plus confidentielles. Le LN est parfait pour les petits paiements pouvant être aussi petits qu’un satoshi, soit 0,00000001 BTC (0.001 euro). Cela permet par exemple de distribuer des micro-pourboires en ligne, payer pour quelques secondes d’utilisation d’un service internet (streaming) sans avoir besoin d’abonnement.
Et tout ça de manière instantanée. Si le réseau Bitcoin propage des blocs à intervalle de dix minutes environ, le Lightning Network réalise les transactions dans l’instant. Une fois les BTC arrimés dans un canal (via une transaction « on-chain »), il est possible de réaliser des paiements en temps réel et quasiment gratuitement.
Le LN peut théoriquement gérer des millions de transactions par seconde. Les frais y sont nettement inférieurs à ceux des transactions on-chain qui peuvent grimper en flèche en cas d’encombrement du réseau. Les frais se calculent milli-satoshis. C’est-à-dire un millième de satoshi.
Mais le satoshi n’est-il pas déjà la plus petite unité ? Tout à fait, mais le LN fonctionne avec des unités encore plus petites. Le montant est arrondi au satoshi inférieur lorsque le canal est fermé via une seconde transaction on-chain.
Tout comme le réseau Bitcoin, le Lightning Network fonctionne aussi via un réseau décentralisé de nœuds pouvant acheminer des paiements pour engranger des frais de routage. Le routage est par ailleurs dynamique, ce qui garantit que les chemins les moins chers sont choisis pour acheminer les paiements aux quatre coins d’internet.
Un réseau qui grandit lentement mais sûrement
Depuis son lancement en 2018, le Lightning Network a connu une croissance exponentielle qui semble toutefois se tasser depuis deux ans. Fin 2024, le réseau hébergeait une quinzaine de milliers de nœuds. Il existe une cinquantaine de milliers de canaux actifs affichant collectivement une capacité de 5 000 BTC, soit l’équivalent de 500 millions de dollars.
Le réseau LN est un projet open-source avec plusieurs implémentations interopérables telles que LND, Core Lightning ou Eclair. Elles se coordonnent grâce à un ensemble de standards décrits dans BOLT (Basics of Lightning Technology) dont la philosophie est la même qu’avec le réseau Bitcoin.
Les wallets LN les plus populaires sont le français Phoenix ou encore Breez. Plusieurs plateformes d’échange comme Bitfinex, OKX, Binance ou Kraken l’ont intégré. Cela permet à leurs clients de déposer et de retirer des BTC via les canaux Lightning et d’éviter de payer des frais importants lors des périodes d’encombrement.
L’adoption du Lightning Network par les commerçants continue de faire des progrès. Notons par exemple Bitrefill, un important détaillant de cartes-cadeaux en bitcoin. Ou encore OpenNode, un processeur de paiement qui permet à la plus de 500 000 commerçants (par ex : Shopify) d’accepter les paiements LN.
Cerise sur le gâteau, le fait que les transactions LN sont très confidentielles. Leur voyage par de nombreux canaux avant d’atteindre leur destination les rend intrinsèquement privées. C’est la grande différence avec le réseau Bitcoin où toutes les transactions sont publiques.
Les paiements Lightning ne révèlent l’expéditeur et le destinataire qu’aux parties directement concernées. Ainsi, plutôt que de passer par un Coinjoin, réaliser de nombreuses transactions à soi-même sur le LN permet d’effacer ses traces.
Dit autrement, le LN rend les cryptomonnaies au débit de transactions élevé inutiles, mais aussi ceux qui, comme Monero (XMR), misent sur la confidentialité pour se démarquer. À ce titre, notons pour finir que la police finlandaise est parvenue à retracer des transactions en Monero…
Bref, le Lightning a réduit à néant la raison d’être des milliers de cryptomonnaies qui ne servent plus qu’à enrichir leurs créateurs. Ceux de XRP se sont par exemple alloués pas moins de 100 % des XRP qu’ils revendent petit à petit aux amateurs de pump & dumps…
Le gestionnaire d’investissement BlackRock a acheté pour 1 milliard de dollars de Bitcoin la semaine dernière, portant la valeur totale de marché de ses investissements en BTC à 60,6 milliards de dollars.
L’achat de Bitcoin de BlackRock du 22 janvier constitue sa plus grande acquisition de la petite pièce orange en ce début 2025.
L’achat de Bitcoin à 1 milliard de dollars par BlackRock
Selon la plateforme d’intelligence blockchain Arkham Intelligence, les avoirs totaux de BlackRock s’élèvent désormais à 572 616 BTC.
« ILS DÉTIENNENT MAINTENANT 2,7 % DE L’OFFRE TOTALE DE BTC, » a posté Arkham sur X.
La nouvelle de la plateforme tombe après que le géant de l’investissement a acquis pour 600 millions de dollars de BTC le 22 janvier, marquant son plus grand achat en date cette année.
En parallèle, l’ETF iShares Bitcoin (IBIT) de BlackRock domine toujours le secteur des fonds négociés en bourse (ETF) sur Bitcoin. Après avoir enregistré quelques sorties record ce mois-ci, l’IBIT a affiché une forte reprise le 24 janvier, dépassant 1 milliard de dollars de volume de transactions en l’espace de deux heures.
En effet, selon les dernières données de SoSo Value, le 24 janvier, IBIT a enregistré un afflux net de 155,69 millions de dollars, avec des afflux cumulatifs atteignant 39,73 milliards de dollars. L’ETF a également échangé des volumes d’une valeur de 2,78 milliards de dollars le même jour.
Ainsi, il n’est pas surprenant que IBIT soit devenu l’ETF à la croissance la plus rapide de tous les temps. De plus, il a dominé le top 20 des lancements d’ETF aux États-Unis en 2024, selon l’analyste de Bloomberg James Seyffart.
Aujourd’hui, en 2025, il semblerait que l’entreprise ait les mêmes ambitions. Dans une récente interview avec Bloomberg, Robert Mitchnick, responsable des actifs numériques chez BlackRock, a souligné le succès d’IBIT et l’adoption plus généralisée de Bitcoin.
Il a ainsi souligné que bien que 2024 ait été une année exceptionnelle pour l’ETF, l’adoption de Bitcoin n’en est encore qu’à ses débuts.
« Alors que nous entrons maintenant dans la deuxième année, nous nous concentrons sur beaucoup des mêmes choses que nous faisions la première année. Nous en sommes encore aux premiers jours en termes d’adoption par les conseillers en gestion de patrimoine et le segment institutionnel, a expliqué Mitchnick. »
Il est intéressant de noter que le PDG de BlackRock, Larry Fink, a également prédit qu’une adoption généralisée pourrait propulser le cours de Bitcoin à des niveaux sans précédent, allant de 500 000 à 700 000 dollars par BTC.
Malgré les mouvements audacieux de BlackRock, Bitcoin a connu un début de semaine difficile, son cours ayant brièvement chuté sous la barre des 100 000 dollars. Au moment de la rédaction de cet article, la plus grande crypto-monnaie se négociait à 99 090 dollars, soit en baisse de 5,6 % au cours des dernières 24 heures.
Morale de l’histoire : Si les particuliers n’achètent pas Bitcoin, les institutions s’en chargeront.
L'enlèvement du cofondateur de la startup Ledger a démontré l'attrait des cryptomonnaies pour les réseaux criminels. Elles sont aussi un moyen de plus en plus utilisé par les narcotrafiquants pour blanchir les gigantesques sommes d'argent provenant du trafic, selon magistrats et policiers spécialisés.
Une enquête illustre cette place prise par les cryptos dans le blanchiment de l'argent de la drogue.
Ouverte en 2021 à Paris, à la suite du démantèlement de la messagerie cryptée prisée des criminels "SkyECC", elle est "à la fois énorme et représentative", explique à l'AFP Magali Caillat, sous-directrice chargée de la lutte contre la criminalité financière à la police judiciaire.
Dans ce dossier, les enquêteurs de l'Office central pour la répression de la grande délinquance financière (OCRGDF) soupçonnent "Dark Bank", un citoyen américain de 41 ans, d'être un courtier, ou "broker" en anglais.
L'homme est accusé d'avoir, d'un côté, transformé en cryptoactifs le cash des narcotrafiquants de plusieurs pays recueilli via des collecteurs qui récupéraient les billets de 10, 20 ou 50 euros au pied des points de deal.
Et de l'autre, de convertir en espèces des cryptoactifs obtenus par des hackeurs, en majorité russophones, après des attaques cyber, détaillent à l'AFP Eric Serfass, chef de la Junalco (Juridiction de lutte contre la criminalité organisée) et Johanna Brousse, cheffe de la section cybercriminalité de la Junalco.
"Bien établi" aux Émirats arabes unis, il avait accès à ces deux types de criminels, nombreux à se réfugier là-bas, ajoutent les magistrats.
Les sommes en jeu sont colossales: des messages retrouvés suggèrent qu'au moins un milliard d'euros a été blanchi par des cryptomonnaies et l'enquête en France a établi que 300 millions de dollars ont été blanchis, en 18 mois.
Le banquier occulte a été arrêté à Dallas en août 2024 et une audience sur son extradition en France est prévue le 11 février.
- Post-it -Les cryptomonnaies ne sont plus une "monnaie de niche" chez les criminels, poursuit Mme Caillat. "Aujourd'hui, on en retrouve même chez des objectifs intermédiaires, plus seulement chez les big boss".
Sur le terrain, les enquêteurs habitués à trouver des espèces dissimulées dans des murs ou des placards, tombent désormais sur les signes d'une activité crypto : une "seed-phrase", suite de mots clés permettant de récupérer son "wallet" (portefeuille de crypto), inscrite sur un post-it caché derrière un frigo. Ou, dans une autre affaire, au dos d'une photo de la mère décédée d'un mis en cause.
Le phénomène monte en puissance depuis la crise sanitaire liée au Covid.
L'équivalent de 28 millions d'euros crypto ont été saisis par la police et la gendarmerie, toutes infractions confondues, en 2023, selon les derniers chiffres de l'Agence de gestion et de recouvrement des avoirs saisis et confisqués (Agrasc).
Des chiffres qui restent "décevants" pour les sénateurs auteurs de la proposition de loi sur le narcotrafic, discutée à partir de mardi au Sénat.
Alors que l'argent généré par le trafic de stupéfiants est estimé entre 3,5 et 6 milliards d'euros par an en France, seuls 117 millions d'avoirs liés au narcotrafic ont été saisis en 2023, et seulement 2,3 millions en cryptoactifs, selon les parlementaires.
- Traces -Pour les narcotrafiquants ayant besoin de faire rentrer dans l'économie légale des masses de billets, les cryptoactifs possèdent de sérieux atouts: "facilité et rapidité de la transaction, pour d'importants montants et avec une anonymisation complète", liste le capitaine Olivier Fribourg, chef de la section de la preuve numérique, à la sous-direction de lutte contre la criminalité financière (SDLCF).
L'enlèvement la semaine dernière de David Balland, cofondateur de Ledger, spécialisée dans la sécurisation des cryptoactifs, et de sa compagne, contre une demande d'une importante rançon en cryptomonnaie, témoigne de l'attrait de ces actifs sur les malfaiteurs.
Vendredi soir, nouvel épisode, quatre personnes ont été interpellées dans le département de l'Aube, soupçonnées d'avoir séquestré dans un pavillon un opérateur de cryptomonnaies pour lui réclamer une forte somme d'argent.
Le système a cependant des faiblesses: la "crypto va toujours laisser des traces, même une fois partie entre d'autres mains", explique Magali Caillat. "Tout ce qui est fait en crypto est en open source et traçable", poursuit le capitaine Fribourg, "donc, même si on ne récupère pas les fonds, on peut, à partir du wallet d'un mis en cause, faire une démonstration de blanchiment".
Encore faut-il être en mesure de mettre la main sur ces traces d'activité cryptos. Magali Caillat insiste sur l'importance de former les policiers de terrain à la détection, comme c'est le cas depuis "un à deux ans".
Ils "doivent pouvoir reconnaître une +seed phrase+ inscrite sur un bout de papier", détaille-t-elle. Ou "identifier sur le téléphone d'un gardé à vue l'application montrant qu'il détient un wallet".
- L'inspecteur Maigret augmenté -Ensuite, pour remonter ces circuits, les policiers spécialisés ont "besoin d'être accompagnés par des outils juridiques et budgétaires", notamment pour "doter les services de logiciels" coûteux, poursuit la policière.
Les cryptos "ne peuvent pas être tracés par le simple flair, flingue et stylo de l'inspecteur Maigret", illustre-t-elle.
Les magistrats doivent aussi intégrer la place prise par ces nouveaux actifs, note Johanna Brousse. Aujourd'hui, les narcotrafiquants sont "largement digitalisés" et les magistrats n'ont pas toujours le réflexe "d'envoyer des réquisitions" à toutes les plateformes d'échanges de cryptos, comme Binance ou Coinbase, pour "voir si ces trafiquants ont des cryptomonnaies".
Le magistrat Eric Serfass souhaite "une régulation", pour que ces acteurs aient "un agrément, une habilitation ou un contrôle effectif" par l'Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (APCR, adossée à la Banque de France) et l'Autorité des marchés financiers (AMF) "pour rendre plus transparents ces établissements".
Ces plateformes doivent avoir "des obligations clairement contrôlées de KYC (Know your customer) et se sentir obligées comme d'autres banques de vérifier l'honorabilité de leurs clients", ajoute-t-il.
L'APCR a indiqué à l'AFP mener des contrôles "avec un focus particulier sur la connaissance de la clientèle (...) et la surveillance des opérations (non seulement l'origine et la destination des fonds, mais aussi la cohérence des opérations avec le profil client)".
La proposition de loi narcotrafic envisage l'interdiction du recours à des "mixeurs" de crypto, qui visent à "rendre intraçable l'origine des cryptoactifs". Ils sont "utilisés de manière croissante dans les circuits de blanchiment, en particulier s'agissant de revenus issus du narcotrafic", selon les sénateurs.
Bitcoin a chuté sous la barre des 100 000 dollars pour la première fois depuis le 20 janvier, date de l’entrée en fonction du président américain Donald Trump. Cette baisse s'explique par la concurrence accrue dans le secteur de l’intelligence artificielle et par des politiques monétaires en mutation.
La plus grande cryptomonnaie au monde en termes de capitalisation boursière a atteint un creux de 98 046 dollars le 27 janvier.
Une grande partie de cette volatilité est attribuée à l’essor fulgurant de l’application chinoise d’IA DeepSeek, qui a pris la première place des classements de l’App Store aux États-Unis, reléguant ChatGPT à la troisième position, seulement une semaine après son lancement.
« L’engouement autour de DeepSeek et la volatilité accrue du marché américain de l’IA ont effrayé les investisseurs, les incitant à privilégier des actifs plus sûrs », a déclaré Alvin Kan, directeur des opérations chez Bitget Wallet, dans un communiqué partagé avec Cointelegraph.
« À l’approche de la prochaine réunion de la Réserve fédérale et avec des attentes de maintien des taux, le marché anticipe une politique plus restrictive, ce qui alimente un climat de prudence » a ajouté Kan
Le modèle d’IA DeepSeek, développé avec un budget annoncé de 6 millions de dollars, suscite des craintes d’une escalade dans la course mondiale à l’intelligence artificielle. Son succès a eu des répercussions sur les marchés financiers internationaux.
Nvidia, dont la position dominante dans l’essor de l’IA avait porté sa valorisation à 3 490 milliards de dollars, a vu son cours baisser de 3,12 % à la clôture du 24 janvier.
Sur le marché des cryptomonnaies, environ 864 millions de dollars de positions ont été liquidés, dont 250 millions provenant des positions longues sur le bitcoin , selon les données de CoinGlass.
« Certains investisseurs en dérivés, qui avaient misé sur des positions haussières avec effet de levier, ont été liquidés », a expliqué à Cointelegraph Justin d’Anethan, responsable des ventes chez Liquifi, une société de conseil en lancement de tokens.
Ce dernier a notamment ajouté : « La recherche de protections à la baisse montre que les traders se préparent à une volatilité accrue. En l’absence de catalyseurs majeurs avant la réunion du FOMC cette semaine, le marché devrait rester dans cette fourchette en attendant des indications politiques. »
La première décision de politique monétaire de la Réserve fédérale sous la présidence Trump est prévue les 28 et 29 janvier. Elle devrait maintenir les taux d’intérêt entre 4,25 % et 4,5 %, selon l’outil CME FedWatch.
Malgré le pessimisme ambiant, les analystes de Matrixport présentent un scénario optimiste. Ils mettent en avant les célébrations du Nouvel An chinois et lunaire en Asie cette semaine, qu’ils qualifient de « période statistiquement la plus favorable de 20 jours pour le bitcoin ».
Cet article ne contient pas de conseils en investissement ou de recommandations. Chaque investissement et mouvement de trading implique un risque, et les lecteurs doivent faire leur propre recherche avant de prendre une décision.
L’univers des cryptos a connu un bouleversement majeur, marqué par la spectaculaire progression du XRP, le token de Ripple. Habituellement dominée par le bitcoin et Ethereum, l’attention du marché s’est tournée en cette fin d’année 2024 vers cette crypto qui a vu sa capitalisation bondir de 246 % en seulement trois mois. Ce résultat important reflète une adoption institutionnelle croissante, mais également les avancées technologiques du réseau XRP Ledger, qui favorise l’expansion des secteurs des NFTs et de la finance décentralisée. Ainsi, cette ascension interpelle sur le rôle futur du XRP dans l’écosystème crypto et sur sa capacité à maintenir cet élan exceptionnel.
Une ascension hors du commun pour le XRP
Au quatrième trimestre 2024, le XRP s’est imposé comme un acteur incontournable des cryptos grâce à une croissance exceptionnelle. Sa capitalisation a atteint 119,5 milliards de dollars, et surpasse largement les performances combinées du bitcoin, Ethereum et Solana, qui ont enregistré une hausse modeste de 44 %. Matt Kreiser, analyste chez Messari, explique que cette progression spectaculaire de 246 % s’est accompagnée d’une augmentation de 241 % du prix du jeton, en dépit d’une légère hausse de son offre en circulation (+1,6 %).
Cette montée en puissance résulte de plusieurs initiatives stratégiques. Des acteurs majeurs tels que WisdomTree et 21Shares ont lancé des ETF liés à XRP, ce qui ouvre ainsi la voie à une adoption institutionnelle accrue. Parallèlement, des plateformes influentes comme Robinhood et Grayscale ont intégré XRP dans leurs offres, ce qui marque un tournant dans la reconnaissance de cette crypto par les institutions financières traditionnelles.
Les performances du XRP Ledger (XRPL) renforcent également cet essor. Une baisse de la réserve minimale, désormais fixée à 1 XRP contre 10 auparavant, a facilité l’accès au réseau, ce qui entraîne une augmentation massive des nouvelles adresses, avec une croissance de 382 % pour atteindre 507 000 en fin d’année. Ce succès s’explique par la stabilité et l’efficacité du réseau, soutenues par un mécanisme unique de brûlage des frais de transaction, ayant permis d’éliminer à ce jour plus de 13,3 millions de tokens. Ainsi, ces éléments illustrent une adoption croissante et confirment le rôle central du XRP dans l’écosystème crypto.
L’expansion de l’écosystème XRP
Au-delà de sa performance financière spectaculaire, le XRP s’est positionné comme un écosystème innovant, capable de s’imposer dans des secteurs clés comme les NFT et la DeFi. Les transactions NFT sur le réseau XRPL ont connu une hausse vertigineuse de 460 %, rendue possible grâce au standard XLS-20. Ce dernier a facilité la création et l’échange de plus de 7,5 millions de tokens non fongibles, ce qui marque une avancée significative dans l’intégration des NFT dans l’écosystème du XRP. Parallèlement, le lancement de RLUSD, un stablecoin adossé au dollar, a considérablement amélioré la liquidité du réseau en vue d’offrir aux utilisateurs de nouvelles opportunités d’échange.
L’essor des échanges décentralisés (DEX) et l’engouement croissant pour les memecoins ont également contribué à renforcer l’attractivité de l’écosystème XRP. Ces tendances se traduisent par une augmentation rapide de 176 % de la capitalisation des tokens émis sur le réseau, qui atteint désormais 264 millions de dollars. De telles avancées démontrent que le XRP dépasse largement son statut de jeton spéculatif pour devenir un acteur clé dans des applications pratiques, diversifiées et prometteuses.
Alors que Ripple continue d’appliquer une stratégie déflationniste rigoureuse, qui combine mécanismes d’escrow et destruction de tokens, des interrogations émergent quant à la durabilité de cette croissance. La montée en puissance du XRP pourrait déclencher un intérêt accru des régulateurs, ce qui pourrait influencer son développement futur. Dans ce contexte, les prochaines étapes de Ripple seront scrutées avec attention, car elles pourraient bien définir son rôle dans l’évolution des cryptos et sa capacité à maintenir son élan.
L’année 2024 a constitué un virage décisif pour le XRP, porté par des stratégies audacieuses et des innovations technologiques majeures. Ce succès témoigne de la solidité de son écosystème et de son potentiel à redéfinir les usages des cryptos. Toutefois, cette ascension rapide devra être soutenue par une capacité à relever les défis d’une concurrence accrue et à répondre aux éventuelles pressions réglementaires. Le futur du XRP repose désormais sur sa capacité à consolider ses acquis afin de s’adapter à un environnement en constante évolution.
Une acquisition de 10 107 BTC en une semaine
Michael Saylor⚡️@saylorJan 27, 2025MicroStrategy has acquired 10,107 BTC for ~$1.1 billion at ~$105,596 per bitcoin and has achieved BTC Yield of 2.90% YTD 2025. As of 1/26/2025, we hodl 471,107 $BTC acquired for ~$30.4 billion at ~$64,511 per bitcoin. $MSTR https://t.co/UM5dGUS9Ma
MicroStrategy continue d'affirmer son rôle de leader dans l’accumulation de Bitcoin avec l’acquisition récente de 10 107 BTC, portant son total à un impressionnant 471 107 BTC. Cet achat, réalisé à un prix moyen de 105 596 $ par bitcoin, a augmenté le coût moyen d’acquisition global de la société à 64 511 $ par BTC. Michael Saylor, président exécutif de l’entreprise, a partagé cette nouvelle sur les réseaux sociaux, réitérant son engagement indéfectible envers la vision à long terme de Bitcoin.
Une offre d’actions privilégiées pour soutenir l’accumulation
Pour poursuivre son expansion stratégique dans le domaine des actifs numériques, MicroStrategy a annoncé une offre de 2,5 millions d’actions privilégiées de série A perpétuelles. Ces actions, désignées sous le symbole STRK, offrent une préférence de liquidation fixée à 100 $ par action, accompagnée de dividendes cumulatifs. Cette initiative financière s'inscrit dans une stratégie plus large de diversification des sources de financement, visant à maximiser la capacité de l’entreprise à acquérir des bitcoins.
Des outils financiers renforcés par une expansion de capital
Le 21 janvier, les actionnaires de MicroStrategy ont approuvé une augmentation significative du nombre d’actions ordinaires de catégorie A autorisées, passant de 330 millions à 10,3 milliards. En parallèle, l’entreprise a déposé une déclaration d’enregistrement mixte, incluant désormais divers instruments financiers tels que des titres de créance, des actions privilégiées, des bons de souscription et des actions déposées. Ce cadre élargi offre à MicroStrategy une flexibilité accrue pour lever des fonds et soutenir ses ambitions dans le secteur des actifs numériques.
Une stratégie audacieuse portée par Michael Saylor
Michael Saylor, connu pour son rôle de pionnier dans la promotion de Bitcoin auprès des institutions, a une nouvelle fois misé sur une communication inspirante ce dimanche en partageant un message optimiste : "Don't stop thinking about tomorrow.
Michael Saylor⚡️@saylorJan 27, 2025MicroStrategy has acquired 10,107 BTC for ~$1.1 billion at ~$105,596 per bitcoin and has achieved BTC Yield of 2.90% YTD 2025. As of 1/26/2025, we hodl 471,107 $BTC acquired for ~$30.4 billion at ~$64,511 per bitcoin. $MSTR https://t.co/UM5dGUS9Ma
Les récentes initiatives financières de l’entreprise témoignent d’un engagement à long terme, mais aussi d’une volonté de consolider sa position dominante dans un marché marqué par des fluctuations importantes. Cette stratégie, bien que risquée, est une déclaration forte de confiance envers Bitcoin comme réserve de valeur et actif stratégique.
Le DeepSeek sell-off ne frappe pas uniquement les géants de la tech américaine. Le marché crypto en fait également les frais, avec un Bitcoin qui a brièvement replongé sous le seuil symbolique des 100 000 $ avant de finalement rebondir.
DeepSeek, l’ennemi de tout le monde
Le Bitcoin et l’ensemble du marché crypto subissent une pression vendeuse importante, dans un contexte de correction généralisée sur tous les projets du secteur. La cause de ce mouvement brutal ? Le fameux “DeepSeek sell-off”, déclenché par la chute des actions tech américaines après l’annonce du modèle d’intelligence artificielle open source “R1” de la startup chinoise DeepSeek. Ce modèle, beaucoup moins gourmand en ressources que les solutions américaines, a semé la panique sur les marchés. Nvidia enregistre ainsi une chute de 15 % en pré-ouverture, après avoir déjà perdu 3 % vendredi 24 janvier.
Dans ce climat tendu, le Bitcoin est descendu jusqu’à 99 019 $, avant de se stabiliser aux alentours de 100 522 $ au moment de la rédaction. Sur les dernières 24 heures, la reine des cryptos accuse une baisse de 4,22 %, tandis qu’Ethereum perd 5,59 % et que le XRP passe sous la barre des 3 $, enregistrant une chute de 6,92 %. Mais les plus gros dégâts sont du côté des projets liés à l’intelligence artificielle, avec FET en baisse de 9,14 %, Virtual Protocol qui lâche 14 %, et des plongeons spectaculaires pour Griffain (-22 %) et Render Token (-14,41 %).
La communauté crypto toujours confiante pour le Bitcoin
Malgré la correction actuelle, les experts de l’analyse technique sont optimistes pour l’avenir du Bitcoin. L’analyste Jelle met en avant la résilience du marché, notant que la crypto a réussi à clôturer trois fois au-dessus des 100 000 $, malgré une brève incursion sous ce niveau clé. Selon lui, tant que la zone de support entre 98 000 $ et 100 000 $ est maintenue, la tendance haussière reste en place, ouvrant la voie à une nouvelle jambe de hausse.
Pour l’expert Crypto Ceasar, cette correction constitue une opportunité en or, anticipant un retournement majeur à court terme. Selon lui, les niveaux actuels offrent une excellente occasion de renforcer ses positions avant une reprise haussière attendue.
Pendant que certains paniquent, d’autres continuent d’accumuler. MicroStrategy a annoncé, ce matin avoir d’acquis 10 107 BTC pour environ 1,1 milliard de dollars, à un prix moyen de 105 596 $ par unité. Avec cette nouvelle acquisition, la firme détient désormais un impressionnant total de 471 107 BTC, achetés pour environ 30,4 milliards de dollars, à un prix moyen de 64 511 $ par Bitcoin.
Morale de l’histoire : Quand Wall Street éternue, le Bitcoin attrape la grippe… mais MicroStrategy sort les mouchoirs pour en acheter plus !
Marque blanche
API de données
Plug-ins Web
Créateur d'affiches
Programme d'affiliation
Le risque de perte dans la négociation d'instruments financiers tels que les actions, les devises, les matières premières, les contrats à terme, les obligations, les ETF et les crypto-monnaies peut être substantiel. Vous pouvez subir une perte totale des fonds que vous déposez auprès de votre courtier. Par conséquent, vous devez examiner attentivement si ce type de négociation vous convient, compte tenu de votre situation et de vos ressources financières.
Aucune décision d'investissement ne doit être prise sans avoir procédé soi-même à une vérification préalable approfondie ou sans avoir consulté ses conseillers financiers. Le contenu de notre site peut ne pas vous convenir car nous ne connaissons pas votre situation financière et vos besoins en matière d'investissement. Nos informations financières peuvent avoir un temps de latence ou contenir des inexactitudes, de sorte que vous devez être entièrement responsable de vos décisions en matière de négociation et d'investissement. La société ne sera pas responsable de vos pertes en capital.
Sans l'autorisation du site web, vous n'êtes pas autorisé à copier les graphiques, les textes ou les marques du site web. Les droits de propriété intellectuelle sur le contenu ou les données incorporées dans ce site web appartiennent à ses fournisseurs et marchands d'échange.