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Trading costs in the Hong Kong stock market include transaction fees, stamp duty, settlement charges, and currency conversion fees for foreign investors. Additionally, taxes may apply based on local regulations.
HK Non-Essential Consumer Goods Industry
The Hong Kong stock market encompasses non-essential consumption sectors like automotive, education, tourism, catering, and apparel. Of the 643 listed companies, 35% are mainland Chinese, making up 65% of the total market capitalization. Thus, it's heavily influenced by the Chinese economy.
HK Real Estate Industry
In recent years, the real estate and construction sector's share in the Hong Kong stock index has notably decreased. Nevertheless, as of 2022, it retains around 10% market share, covering real estate development, construction engineering, investment, and property management.
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5 thèmes clés pour un portefeuille obligataire en 2025
Résumé:
Alors que nous entrons dans une nouvelle ère de domination budgétaire, le marché obligataire est sur le point de vivre une année 2025 très différente par rapport aux années précédentes.
As we navigate a new era of fiscal dominance, the bond market is poised for a very different year in 2025 compared to years past.nbsp;\r\n
nbsp;
\r\nFor a long time, fixed income investors have viewed central banks as a primary driver of markets — whether it was the ultra-low rates of the 2010s aimed at boosting economic growth and combating persistently low inflation, crisis interventions to stabilize markets and the economy during the COVID-19 pandemic, or the subsequent moves to sharply raise interest rates in response to soaring inflation. Overall, central bank actions and their forward-looking guidance have been front and center as a leading indicator for economic growth, inflation and ultimately markets.nbsp;
\r\nnbsp;
\r\nI believe 2025 will be different. Instead of being a principal driver of markets, I see the U.S. Federal Reserve taking a back seat and responding to market events after they occur. Investors will likely hear the Fed maintain a refrain of “data dependence” and “economic uncertainty” and a “meeting-by-meeting” approach. With U.S. economic growth expected to remain above 2% and inflation back within range of the Fed’s 2% target, the Fed can afford to take a more patient approach.nbsp;
\r\nnbsp;
\r\nAs the Fed’s stance becomes less influential, markets will instead be taking their cues from the other dominant macro force: governments. Fiscal spending and policies — on everything from trade and immigration to taxes and regulation — are all highly important to the future path of growth and inflation. With U.S. policies in flux, I believe market volatility will remain elevated, leading to both higher risk and greater opportunity for investors and active managers that can successfully navigate this period of fiscal dominance.
\r\nnbsp;
\r\nAgainst this backdrop, here are five themes that I anticipate will drive core bond portfolios in 2025:nbsp;
\r\n"}}">Les investisseurs obligataires ont longtemps considéré les banques centrales comme l’un des principaux moteurs des marchés, qu’il s’agisse des taux extrêmement bas des années 2010 visant à stimuler la croissance économique et à lutter contre une inflation durablement basse, des interventions de crise visant à stabiliser les marchés et l’économie pendant la pandémie de COVID-19 ou des mesures ultérieures visant à relever fortement les taux d’intérêt en réponse à une inflation galopante. Dans l’ensemble, les mesures prises par les banques centrales et leurs orientations prospectives ont été au cœur des préoccupations en tant qu’indicateurs avancés de la croissance économique, de l’inflation et, en fin de compte, des marchés.
Je pense que 2025 sera différent. Au lieu d’être le principal moteur des marchés, je vois la Réserve fédérale américaine se mettre en retrait et réagir aux événements de marché après qu’ils se soient produits. Les investisseurs entendront probablement la Fed maintenir un refrain de « dépendance aux données » et d’« incertitude économique » et une approche « réunion par réunion ». La croissance économique américaine devant rester supérieure à 2 % et l’inflation de retour dans la fourchette de 2 % de la Fed, la Fed peut se permettre d’adopter une approche plus patiente.
La position de la Fed devenant moins influente, les marchés vont plutôt s'inspirer de l'autre force macroéconomique dominante : les gouvernements. Les dépenses budgétaires et les politiques – dans tous les domaines, du commerce et de l'immigration à la fiscalité et à la réglementation – sont toutes très importantes pour l'évolution future de la croissance et de l'inflation. Avec les politiques américaines en constante évolution, je pense que la volatilité des marchés restera élevée, ce qui entraînera à la fois des risques plus élevés et de plus grandes opportunités pour les investisseurs et les gestionnaires actifs qui sauront traverser avec succès cette période de domination budgétaire.
Dans ce contexte, voici cinq thèmes qui, selon moi, guideront les portefeuilles obligataires de base en 2025 :
1. The macro backdrop may be favorable, with healthy growth and contained inflation\r\n"}}">
1. Le contexte macroéconomique pourrait être favorable, avec une croissance saine et une inflation contenue
As president-elect Donald Trump prepares to take office and enact policy changes, I anticipate that U.S. growth may be stronger than previously expected. I see the economy benefiting from a more business-friendly climate defined by potential deregulation and tax cuts. I also anticipate that inflation may be stickier than previously estimated, with tariffs and immigration policies potentially affecting the pace of price increases.nbsp;\r\n"}}">
Alors que le président élu Donald Trump se prépare à prendre ses fonctions et à mettre en œuvre des changements de politique, je m’attends à ce que la croissance américaine soit plus forte que prévu. Je pense que l’économie bénéficiera d’un climat plus favorable aux entreprises, défini par une déréglementation potentielle et des réductions d’impôts. Je m’attends également à ce que l’inflation soit plus stable que prévu, les droits de douane et les politiques d’immigration pouvant affecter le rythme de la hausse des prix.
L'économie américaine repose sur des bases solides et les prévisions de croissance sont bonnes
Still, I’m not overly concerned about a sustained spike in inflation. I see a variety of factors that may help offset the impact of potentially inflationary fiscal policies, including a decline in shelter inflation being gradually reflected in the consumer price index (CPI), the deflationary effect of a strong U.S. dollar, and the prior Trump administration’s track record of enacting tariffs without igniting inflation.nbsp;\r\n"}}">
Je ne suis pas pour autant particulièrement préoccupé par une hausse durable de l'inflation. Je vois plusieurs facteurs susceptibles de contribuer à compenser l'impact de politiques budgétaires potentiellement inflationnistes, notamment une baisse de l'inflation du logement qui se reflète progressivement dans l'indice des prix à la consommation (IPC), l'effet déflationniste d'un dollar américain fort et le bilan de l'administration Trump qui a mis en place des tarifs douaniers sans déclencher d'inflation.
2. Elevated interest rates and rate volatility may offer opportunities\r\n"}}">
2. Les taux d’intérêt élevés et la volatilité des taux peuvent offrir des opportunités
With U.S. economic growth at or above 2%, inflation stubbornly above target, and financial asset prices at or near record levels, I believe it will be hard for the Fed to argue that monetary policy is currently restrictive. I expect the Fed will take a measured approach to further reducing interest rates in 2025, with perhaps only one to two 25-basis-point cuts, as it takes its time to assess the impact of fiscal policy on the outlook for growth and inflation. In this environment, I anticipate the 10-year Treasury yield will remain range-bound, potentially trading between 4% and 5%. It’s also my view that rate volatility, which has been elevated over the past few years, will remain so in the near term.\r\n
nbsp;
\r\nIn this environment, yield curve and duration positioning may present opportunities to play both offense and defense. Risks to taking duration exposure appear better balanced and could be appealing over the medium term, while swings in interest rates higher and lower may offer opportunities to lean against potential market overreactions.
\r\nnbsp;
\r\n"}}">Alors que la croissance économique américaine est supérieure ou égale à 2 %, que l’inflation est obstinément supérieure à l’objectif et que les prix des actifs financiers sont proches de niveaux records, je pense qu’il sera difficile pour la Fed de prétendre que la politique monétaire est actuellement restrictive. Je m’attends à ce que la Fed adopte une approche mesurée pour réduire encore les taux d’intérêt en 2025, avec peut-être seulement une ou deux baisses de 25 points de base, car elle prend son temps pour évaluer l’impact de la politique budgétaire sur les perspectives de croissance et d’inflation. Dans ce contexte, je prévois que le rendement des bons du Trésor à 10 ans restera dans une fourchette étroite, se négociant potentiellement entre 4 et 5 %. Je pense également que la volatilité des taux, qui a été élevée au cours des dernières années, le restera à court terme.
Dans ce contexte, la courbe des taux et le positionnement en termes de duration peuvent offrir des opportunités de jouer à la fois en attaque et en défense. Les risques liés à une exposition à la duration semblent mieux équilibrés et pourraient être intéressants à moyen terme, tandis que les fluctuations des taux d'intérêt à la hausse ou à la baisse peuvent offrir des opportunités de se prémunir contre d'éventuelles réactions excessives du marché.
La volatilité des taux a augmenté en raison des mesures prises par la Fed et reste élevée
While yield curves have finally begun normalizing from their deeply inverted levels of 2024, I believe this process still has room to run. Yield curves remain relatively flat against the backdrop of a more normalized growth and inflation environment. Moreover, there is the potential for additional steepening if the new administration’s policies prove more inflationary than expected or if government deficits and Treasury supply remain high. Positioning for a steeper yield curve may also have the benefit of providing a measure of downside protection to core bond portfolios in case economic growth expectations fall or an unexpected shock surprises the market.\r\n"}}">
Si les courbes de rendement ont enfin commencé à se normaliser par rapport à leurs niveaux profondément inversés de 2024, je pense que ce processus a encore de la marge. Les courbes de rendement restent relativement plates dans un contexte de croissance et d’inflation plus normalisées. En outre, il existe un potentiel de pentification supplémentaire si les politiques de la nouvelle administration s’avèrent plus inflationnistes que prévu ou si les déficits publics et l’offre de bons du Trésor restent élevés. Se positionner pour une courbe de rendement plus pentue peut également avoir l’avantage de fournir une mesure de protection à la baisse aux portefeuilles obligataires de base au cas où les attentes de croissance économique chuteraient ou qu’un choc inattendu surprendrait le marché.
3. Higher quality bonds offer better value\r\n"}}">
3. Les obligations de meilleure qualité offrent une meilleure valeur
Spread compression has been sweeping in its depth and breadth. The differential between higher and lower quality opportunities has narrowed, with compensation for risk falling to historically low levels. This dynamic has played out across markets, from structured products to investment-grade (BBB/Baa and above) corporates to high yield, as well as within each market, such as between higher and lower rated corporate credit.nbsp;\r\n"}}">
La compression des spreads a été massive et généralisée. L’écart entre les opportunités de qualité supérieure et inférieure s’est réduit, la rémunération du risque tombant à des niveaux historiquement bas. Cette dynamique s’est manifestée sur tous les marchés, des produits structurés aux obligations d’entreprises de qualité investment grade (BBB/Baa et plus) en passant par les obligations à haut rendement, ainsi qu’au sein de chaque marché, par exemple entre les obligations d’entreprises de qualité supérieure et inférieure.
Les primes de spread pour la détention de dettes plus risquées sont globalement comprimées
Les faibles spreads supplémentaires ne compensent pas suffisamment les risques accrus pour les investisseurs obligataires de base. Les spreads de l'indice Bloomberg US Corporate Investment Grade ont atteint des niveaux historiquement bas fin 2024 et ont atteint 80 pb au 31 décembre 2024. Ces spreads serrés suggèrent une asymétrie défavorable, car un choc relativement faible peut potentiellement anéantir les rendements supplémentaires. Par exemple, un élargissement de seulement 10 à 12 pb des spreads des obligations de qualité investissement pourrait potentiellement générer une baisse de prix suffisante, sur la base de la durée moyenne de l'indice d'environ sept ans, pour effacer une année de portage excédentaire sur ces avoirs.
Dans un contexte économique favorable, certains investisseurs pourraient être tentés de rechercher du rendement et de prendre davantage de risques. Mais, pour les investisseurs obligataires de base en particulier, je pense que ce serait une erreur. Se tourner vers des titres de dette de moindre qualité aux valorisations actuelles pourrait grever le budget de risque des investisseurs en augmentant le risque tout en n'apportant que peu ou pas de rendement supplémentaire.
Selon moi, cette compression des valorisations crée une opportunité rare pour les investisseurs obligataires de base de monter en qualité sans sacrifier le rendement, et peut-être même d’augmenter le rendement. Le passage à des obligations de meilleure qualité peut signifier monter dans l’échelle de notation, par exemple passer de BBB à A pour les obligations d’entreprises, ou améliorer la qualité dans d’autres dimensions. Par exemple, les obligations titrisées de haute qualité, comme leur nom l’indique, sont garanties par nature, contrairement au profil non garanti d’une obligation d’entreprise classique. Certaines parties du marché du crédit structuré et des titres adossés à des créances hypothécaires (MBS) d’agences reflètent les obligations notées AAA avec un risque de crédit minimal et une forte liquidité. Elles ont des rendements nominaux et des spreads qui rivalisent ou dépassent ceux de nombreuses obligations d’entreprises moins bien notées, offrant un potentiel de rendement attrayant pour les investisseurs en attendant un point d’entrée plus intéressant dans le crédit aux entreprises.
Les profils de volatilité varient considérablement selon les secteurs et le spectre des notations
Higher quality investment-grade bonds may deliver results similar to their lower quality peers while providing much greater downside protection potential. Drawing on my observations from market cycles across my career, I fully expect dispersion across credit quality to increase again in the coming years and reward a more defensive posture.\r\n
nbsp;
\r\nInstead of playing offense, I will increasingly use security selection to play defense in portfolios. High-quality issuers in industries ranging from pharmaceuticals to utilities and top-tier financials can be attractive in a risk-off environment given their more defensive profile. And security selection within both securitized credit and the large variety of agency MBS coupons offer compelling opportunities with very attractive yields and minimal credit risk.
\r\n"}}">Les obligations de qualité supérieure peuvent générer des résultats similaires à ceux de leurs homologues de moindre qualité tout en offrant un potentiel de protection bien plus important contre les baisses. En m’appuyant sur mes observations des cycles de marché tout au long de ma carrière, je m’attends à ce que la dispersion entre les différentes catégories de crédit augmente à nouveau dans les années à venir et récompense une posture plus défensive.
Au lieu de jouer l’offensive, je vais de plus en plus privilégier la sélection de titres pour jouer la carte de la défense dans les portefeuilles. Les émetteurs de grande qualité dans des secteurs allant des produits pharmaceutiques aux services publics en passant par les institutions financières de premier plan peuvent être attractifs dans un environnement d’aversion au risque en raison de leur profil plus défensif. Et la sélection de titres au sein du crédit titrisé et de la grande variété de coupons MBS d’agences offrent des opportunités intéressantes avec des rendements très attractifs et un risque de crédit minimal.
4. Correlations are likely to revert to historical normsnbsp;\r\n"}}">
4. Les corrélations sont susceptibles de revenir aux normes historiques
The Fed’s aggressive rate-hiking campaign, aimed at taming inflation, upended the traditional relationship between stocks and bonds. When CPI peaked at 9.1% in 2022, it was the first year in decades that bonds fell alongside stocks. High inflation forced the central bank into a policy of sacrificing future growth to fight inflation. In this environment, rather than using rate cuts to offset weaker growth, the Fed actively pursued slower growth by hiking interest rates. This led to negative results for both asset classes.\r\n
nbsp;
\r\nInflation has since dropped significantly, with CPI reaching 2.7% in November. With inflation much closer to the Fed’s target, the Fed is no longer trying to engineer slower growth and is instead looking to maintain the current level of growth with stable inflation. This pivot is incredibly important to bond investors because it is the key factor that may allow the stock/bond correlation to revert to historical norms. In response to the next growth shock that negatively impacts equity valuations, the Fed now has the ability to cut interest rates to bolster economic growth, leading yields to fall and bond prices to rise. High-quality bonds may once again provide diversification to equities and other risk assets in potentially adverse market environments.
\r\nnbsp;
\r\nImportantly, the potential diversification benefit for core bond investors is higher than it’s been in decades. Given the current high level of the federal funds rate, the Fed can meaningfully cut rates if needed to support growth, potentially pushing bond returns into double-digit territory in the event of a negative economic surprise.
\r\nnbsp;
\r\nMulti-asset portfolios that incorporate high-quality bonds may achieve superior risk-adjusted returns, with the tradeoff that bonds should enhance returns if the equity market wobbles and dampen returns if equities continue to reach new highs.nbsp;
\r\n"}}">La campagne agressive de hausse des taux de la Fed, visant à maîtriser l'inflation, a bouleversé la relation traditionnelle entre les actions et les obligations. Lorsque l'IPC a culminé à 9,1 % en 2022, c'était la première année depuis des décennies où les obligations ont chuté aux côtés des actions. La forte inflation a contraint la banque centrale à adopter une politique de sacrifice de la croissance future pour lutter contre l'inflation. Dans ce contexte, plutôt que d'utiliser des baisses de taux pour compenser une croissance plus faible, la Fed a activement poursuivi une croissance plus lente en augmentant les taux d'intérêt. Cela a conduit à des résultats négatifs pour les deux classes d'actifs.
Inflation has since dropped significantly, with CPI reaching 2.7% in November. With inflation much closer to the Fed’s target, the Fed is no longer trying to engineer slower growth and is instead looking to maintain the current level of growth with stable inflation. This pivot is incredibly important to bond investors because it is the key factor that may allow the stock/bond correlation to revert to historical norms. In response to the next growth shock that negatively impacts equity valuations, the Fed now has the ability to cut interest rates to bolster economic growth, leading yields to fall and bond prices to rise. High-quality bonds may once again provide diversification to equities and other risk assets in potentially adverse market environments.
Importantly, the potential diversification benefit for core bond investors is higher than it’s been in decades. Given the current high level of the federal funds rate, the Fed can meaningfully cut rates if needed to support growth, potentially pushing bond returns into double-digit territory in the event of a negative economic surprise.
Multi-asset portfolios that incorporate high-quality bonds may achieve superior risk-adjusted returns, with the tradeoff that bonds should enhance returns if the equity market wobbles and dampen returns if equities continue to reach new highs.
Bonds appear to have resumed their ability to provide diversification during equity sell-offs
5. Technical factors may be supportive of fixed income\r\n"}}">
5. Technical factors may be supportive of fixed income
Following a strong year for inflows to bond funds in 2024, I believe structural allocations to fixed income will continue to grow. With yields on the Bloomberg U.S. Aggregate Index of about 5%, investors can capture significantly more income potential versus the index’s 10-year average of about 2.9%. Higher starting yields have historically meant higher forward returns. And core bond investors could also receive the potential for double-digit returns if growth expectations falter. This combination of higher return potential with compelling downside protection potential could lead to higher fixed income allocations in 2025.\r\n
nbsp;
\r\nIn addition, with equity and many other asset classes at or near record-high valuations, investors may increasingly seek to preserve their significant gains and compound them through elevated bond yields. Even rebalancing back to investors’ neutral equity/bond allocation — as portfolios are likely skewed toward stocks given the strength of recent equity market gains — would likely lead to significant fixed income demand, further supporting demand for the asset class.nbsp;
\r\n"}}">Following a strong year for inflows to bond funds in 2024, I believe structural allocations to fixed income will continue to grow. With yields on the Bloomberg U.S. Aggregate Index of about 5%, investors can capture significantly more income potential versus the index’s 10-year average of about 2.9%. Higher starting yields have historically meant higher forward returns. And core bond investors could also receive the potential for double-digit returns if growth expectations falter. This combination of higher return potential with compelling downside protection potential could lead to higher fixed income allocations in 2025.
In addition, with equity and many other asset classes at or near record-high valuations, investors may increasingly seek to preserve their significant gains and compound them through elevated bond yields. Even rebalancing back to investors’ neutral equity/bond allocation — as portfolios are likely skewed toward stocks given the strength of recent equity market gains — would likely lead to significant fixed income demand, further supporting demand for the asset class.
Relatively high starting yields suggest strong return potential for core bonds
The bottom line for bond investorsnbsp;\r\n"}}">
The bottom line for bond investors
With healthy U.S. economic growth, high starting yields and inflation more in check, core bonds are poised to deliver positive returns in 2025.\r\n
nbsp;
\r\nThe current landscape offers a chance to construct a high-quality, high-yielding portfolio that may provide attractive return potential and a measure of downside protection across various scenarios. If 10-year Treasury yields remain range bound at 4% to 5%, carry will be an important component of total return and price appreciation less so. However, the Fed now has ample room to cut rates in the case of a negative economic shock, leading to a very attractive risk/reward profile for high-quality fixed income. Amid an era of fiscal dominance, I see greater opportunities in store for investors and active managers who can successfully navigate this new landscape. Demand for core fixed income is expected to remain very strong in 2025, with core bonds once again poised to diversify portfolios while generating meaningful total returns.
\r\n"}}">With healthy U.S. economic growth, high starting yields and inflation more in check, core bonds are poised to deliver positive returns in 2025.
Le contexte actuel offre la possibilité de construire un portefeuille de haute qualité et à haut rendement, susceptible d’offrir un potentiel de rendement intéressant et une certaine protection contre les baisses dans divers scénarios. Si les rendements des bons du Trésor à 10 ans restent dans une fourchette de 4 à 5 %, le portage constituera une composante importante du rendement total et l’appréciation des prix le sera moins. Cependant, la Fed dispose désormais d’une marge de manœuvre suffisante pour réduire ses taux en cas de choc économique négatif, ce qui se traduit par un profil risque/rendement très attractif pour les titres à revenu fixe de haute qualité. Dans une ère de domination budgétaire, je vois de plus grandes opportunités s’ouvrir aux investisseurs et aux gestionnaires actifs qui sauront naviguer avec succès dans ce nouveau paysage. La demande pour les titres à revenu fixe de base devrait rester très forte en 2025, les obligations de base étant à nouveau prêtes à diversifier les portefeuilles tout en générant des rendements totaux significatifs.
Source : Capitalgroup
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