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Coach de trading en chef et conférencier BeingTrader, plus de 8 ans d'expérience dans le trading du marché des changes, principalement XAUUSD, EUR/USD, GBP/USD, USD/JPY et pétrole brut. Un trader et analyste confiant qui vise à explorer diverses opportunités et à guider les investisseurs sur le marché. En tant qu'analyste, je cherche à améliorer l'expérience du trader en le soutenant avec suffisamment de données et de signaux.
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HK Stock Trading Fees and Taxation
Trading costs in the Hong Kong stock market include transaction fees, stamp duty, settlement charges, and currency conversion fees for foreign investors. Additionally, taxes may apply based on local regulations.
HK Non-Essential Consumer Goods Industry
The Hong Kong stock market encompasses non-essential consumption sectors like automotive, education, tourism, catering, and apparel. Of the 643 listed companies, 35% are mainland Chinese, making up 65% of the total market capitalization. Thus, it's heavily influenced by the Chinese economy.
HK Real Estate Industry
In recent years, the real estate and construction sector's share in the Hong Kong stock index has notably decreased. Nevertheless, as of 2022, it retains around 10% market share, covering real estate development, construction engineering, investment, and property management.
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Les marchés sont bien orientés lundi en Asie, soulagés par le ralentissement d'un indicateur d'inflation scruté par la Réserve fédérale américaine (Fed), après les inquiétudes provoquées par les attitudes monétaires opposées aux Etats-Unis et au Japon qui ont fait chuter le yen.
Apaisement des craintes sur l'inflation américaineA la Bourse de Tokyo, l'indice vedette Nikkei a clôturé en hausse pour la première fois en sept séances, montant de 1,19% à 39.161,34 points. L'indice élargi Topix a gagné 0,92% à 2.726,74 points.
Les marchés japonais ont rebondi "dans le prolongement de la progression des indices américains" vendredi, ont souligné des analystes de Monex Securities.
Wall Street a été rassérénée avant le week-end par la publication de l'indice des prix à la consommation PCE aux Etats-Unis, en progression de 0,1% sur un mois en novembre, soit moins que le mois précédent et que les attentes du marché, atténuant les craintes sur une inflation tenace.
"Il s'agit d'une excellente nouvelle, qui vient couronner une semaine au cours de laquelle la Fed a réduit de moitié ses prévisions de réduction de taux pour 2025 par rapport à ses projections de septembre", a rappelé Stephen Innes de SPI Asset Management.
Les bookmakers de la BoJ perplexesLe yen, toujours sous pression, reculait (-0,2%) face au dollar: vers 06H45 GMT, le billet vert s'échangeait pour 156,64 yens contre 156,31 yens vendredi à 21H00 GMT.
La prudence affichée par la Fed la semaine dernière quant à son assouplissement monétaire, conjuguée à la pause prolongée jeudi par la Banque du Japon (BoJ) sur la voie de ses resserrements, avait fait chuter la devise nippone au plus bas en cinq mois.
Les intentions de la BoJ continuent cependant d'intriguer: alors que les opérateurs pariaient il y a quelques jours encore sur une hausse de taux dès décembre, beaucoup estiment désormais que la Banque pourrait s'abstenir également en janvier et préférer attendre mars.
"La conférence de presse du gouverneur (Kazuo) Ueda a surpris", ont noté les économistes de UBS Masamichi Adachi et Go Kurihara.
"Son message général était que la BoJ souhaite avoir davantage de confiance dans les négociations salariales du printemps et dans l'effet des politiques américaines sur l'économie japonaise et l'inflation avant de relever les taux d'intérêt. A première vue, il est difficile de croire qu'il a l'intention de relever le taux en janvier", ont-ils ajouté.
Ce scénario est toutefois encore possible, selon eux, car "une nouvelle dépréciation du yen par rapport au dollar n'est pas à exclure et que la pression publique (et politique) devrait s'intensifier si cette tendance se poursuit."
Nissan et Honda discutent de fiançaillesDu côté des actions, le géant nippon de l'automobile Honda a grimpé de 3,82%. Il doit tenir lundi après-midi une conférence de presse avec ses compatriotes Nissan (+1,58%) et Mitsubishi Motors (+5,25%), où les trois constructeurs annonceront, selon des médias locaux, des discussions en vue d'une fusion, susceptible de donner naissance au numéro trois mondial du secteur.
Déjà associés dans un "partenariat stratégique", Nissan et Honda entendent finaliser un accord d'ici juin 2025, rapporte la chaîne de télévision publique NHK.
Les places chinoises attendent l'activité manufacturièreA la Bourse de Hong Kong, l'indice Hang Seng montait de 0,67% à 19.852,20 points vers 06H45 GMT.
En Chine continentale, l'indice composite de Shanghai reculait de 0,39% et celui de Shenzhen perdait 2,14%.
Après une accalmie sur le front des indicateurs économiques, les investisseurs attendent désormais les chiffres de l'activité manufacturière en décembre, qui doivent être annoncés la semaine prochaine.
"Le PMI manufacturier chinois (devrait montrer) une production et des commandes en hausse, selon les prévisions de Moody's Analytics.
En effet, les commandes risquent d'affluer "avant l'investiture de Donald Trump à la présidence des Etats-Unis le 20 janvier, le président élu ayant annoncé une augmentation des droits de douane".
"Les autorités chinoises ayant proposé des mesures de relance plus importantes, la production battra son plein jusqu'au début des vacances du Nouvel An lunaire, le 28 janvier".
Les cours du pétrole étaient dans le vert: vers 06H40 GMT, le baril de West Texas Intermediate (WTI) américain gagnait 0,48% à 69,79 dollars, et celui de Brent de la mer du Nord avançait de 0,41% à 73,24 dollars.
Honda et Nissan devraient annoncer ce lundi le début de discussions destinées à rapprocher leurs activités, ont déclaré deux sources informées de la question, alors que les deux constructeurs automobiles japonais éprouvent des difficultés à faire face aux évolutions du secteur.
Selon les sources, les deux groupes ont prévu de réunir leurs conseils d'administration puis de tenir une conférence de presse commune à laquelle des représentants de Mitsubishi Motors , partenaire de Nissan, devraient aussi prendre part.
Nissan, dont le groupe Renault est le principal actionnaire, et Honda ont pour objectif de boucler leurs négociations d'ici juin prochain, a rapporté la chaîne de télévision TBS, citant une source. La nouvelle entité sera introduite en bourse tandis que Honda et Nissan seront retirés de la cotation en août 2026, d'après la même source.
Alors que les deux constructeurs vont étudier la possibilité d'une fusion, comme l'a rapporté Reuters la semaine dernière, il est attendu que Honda nomme le dirigeant et décide de l'identité de la plupart des membres du conseil d'administration de la future holding, a rapporté lundi la chaîne de télévision publique NHK.
Les marchés progressent lundi en Asie, soulagés par le recul d'un indicateur d'inflation privilégié par la Réserve fédérale américaine (Fed), après les inquiétudes provoquées par les attitudes monétaires opposées aux Etats-Unis et au Japon, qui ont fait chuter le yen.
Apaisement des craintes sur l'inflation américaineVers 02H20 GMT à la Bourse de Tokyo, l'indice vedette Nikkei gagnait 0,9% à 39.051,15 points et l'indice élargi Topix progressait de 0,75% à 2.722,28 points.
"Les marchés japonais devraient démarrer sur un rebond dans le prolongement de la progression des indices américains" vendredi, ont noté des analystes de Monex Securities.
Wall Street a été rassérénée avant le week-end par la publication de l'indice des prix à la consommation PCE aux Etats-Unis, en progression de 0,1% sur un mois en novembre, soit moins que le mois précédent et que les attentes du marché, atténuant les craintes sur une inflation tenace.
"Il s'agit d'une excellente nouvelle, qui vient couronner une semaine au cours de laquelle la Fed a réduit de moitié ses prévisions de réduction de taux pour 2025 par rapport à ses projections de septembre", a rappelé Stephen Innes de SPI Asset Management.
Les bookmakers de la BoJ perplexesLe yen, toujours sous pression, résistait face au dollar: vers 02H30 GMT, le billet vert s'échangeait pour 156,37 yens contre 156,31 yens vendredi à 21H00 GMT.
La prudence affichée par la Fed la semaine dernière quant à son assouplissement monétaire, conjuguée à la pause prolongée jeudi par la Banque du Japon (BoJ) sur la voie de ses resserrements, avait fait chuter la devise nippone au plus bas en cinq mois.
Les intentions de la BoJ continuent cependant d'intriguer: alors que les opérateurs pariaient il y a quelques jours encore sur une hausse de taux dès décembre, beaucoup estiment désormais que la Banque pourrait s'abstenir également en janvier et préférer attendre mars.
"La conférence de presse du gouverneur (Kazuo) Ueda a surpris", ont noté les économistes de UBS Masamichi Adachi et Go Kurihara.
"Son message général était que la BoJ souhaite avoir davantage de confiance dans les négociations salariales du printemps et dans l'effet des politiques américaines sur l'économie japonaise et l'inflation avant de relever les taux d'intérêt. A première vue, il est difficile de croire qu'il a l'intention de relever le taux en janvier", ont-ils ajouté.
Ce scénario est toutefois encore possible selon eux car "une nouvelle dépréciation du yen par rapport au dollar n'est pas à exclure et que la pression publique (et politique) devrait s'intensifier si cette tendance se poursuit."
Nissan et Honda discutent de fiançaillesDu côté des actions, le géant nippon de l'automobile Honda gagnait 2,11%. Selon la presse locale, il doit annoncer lundi des discussions avec son compatriote Nissan (-0,74%) en vue d'une fusion susceptible de donner naissance au numéro trois mondial du secteur, pour se renforcer dans l'électrique.
Déjà associés dans un "partenariat stratégique", Nissan et Honda entendent finaliser un accord d'ici juin 2025, rapporte la chaîne de télévision publique NHK.
Les places chinoises attendent l'activité manufacturièreA la Bourse de Hong Kong, l'indice Hang Seng montait de 0,3% à 19.778,96 points vers 02H15 GMT.
En Chine continentale, l'indice composite de Shanghai était parfaitement stable et celui de Shenzhen reculait de 0,97%.
Après une accalmie sur le front des indicateurs économiques, les investisseurs attendent désormais les chiffres de l'activité manufacturière en décembre, qui doivent être annoncés la semaine prochaine.
"Le PMI manufacturier chinois (devrait montrer) une production et des commandes en hausse, selon les prévisions de Moody's Analytics.
En effet, les commandes risquent d'affluer "avant l'investiture de Donald Trump à la présidence des Etats-Unis le 20 janvier, le président élu ayant annoncé une augmentation des droits de douane".
"Les autorités chinoises ayant proposé des mesures de relance plus importantes, la production battra son plein jusqu'au début des vacances du Nouvel An lunaire, le 28 janvier".
Les cours du pétrole étaient dans le vert: vers 02H10 GMT, le baril de West Texas Intermediate (WTI) américain gagnait 0,52% à 69,82 dollars, et celui de Brent de la mer du Nord avançait de 0,47% à 73,28 dollars.
Le géant japonais de l'automobile Honda et son compatriote en difficulté Nissan devraient annoncer lundi l'ouverture de négociations en vue d'une fusion susceptible de donner naissance au numéro trois mondial pour se renforcer dans l'électrique, selon la presse nippone.
Ce projet intervient alors que les constructeurs traditionnels sont laminés par l'essoufflement du marché et l'onéreuse transition dans l'électrique, virage technologique dominé par l'américain Tesla et les groupes chinois, BYD en tête.
Honda et Nissan ont par ailleurs vu leurs ventes dégringoler en Chine, premier marché mondial dont ils sont très dépendants.
Selon la télévision japonaise NHK, les deux constructeurs réuniront lundi leurs conseils d'administration respectifs, avant une conférence de presse commune dans l'après-midi, heure de Tokyo.
Déjà associés dans un "partenariat stratégique", Nissan et Honda entendent finaliser un accord d'ici juin 2025, précise NHK.
Mitsubishi Motors, dont Nissan est le principal actionnaire, serait associé "début 2025" aux pourparlers pour rejoindre la nouvelle entité, précise l'agence Kyodo.
Honda et Nissan, respectivement les deuxième et troisième constructeurs japonais derrière Toyota, souhaitent se réunir sous une holding commune et établir une alliance industrielle dans laquelle chacun pourra assembler ses véhicules dans les usines du partenaire, selon Kyodo.
Un rapprochement providentiel pour Nissan: fortement endetté, il a essuyé une perte nette inattendue au dernier trimestre et abaissé drastiquement ses prévisions annuelles, sa marge opérationnelle ayant presque totalement fondu.
Sur ses deux marchés-clés, il a vu ses ventes plonger aux Etats-Unis, faute d'hybrides rechargeables face à une forte demande, et s'effondrer en Chine, minées par la domination des marques locales sur le tout-électrique.
Début novembre, Nissan a annoncé supprimer 9.000 postes dans ses effectifs mondiaux et tailler dans ses capacités.
Honda, lui, profiterait d'une entité élargie pour lancer plus efficacement des voitures entièrement électriques, après l'échec du développement d'un véhicule commun avec l'américain General Motors. Le groupe vise 100% de véhicules électriques d'ici 2040.
Un mariage permettrait de partager les coûts onéreux et risques du développement de modèles électriques et de batteries, de sécuriser les chaînes d'approvisionnement et de gagner en compétitivité via des économies d'échelle.
Les groupes japonais se sont longtemps concentrés sur les véhicules hybrides (combinant motorisations thermique et électrique), très populaires au Japon, où ils représentaient 40% des ventes en 2022... mais négligeant l'essor mondial du tout électrique.
Ce qui a permis à la Chine de dépasser le Japon comme premier pays exportateur de véhicules en 2023.
Une fusion contribuerait à estomper davantage l'alliance historique de Nissan avec Renault, qui réduit progressivement sa présence au capital du groupe japonais, après des années d'une relation orageuse.
Honda et Nissan envisagent de mutualiser une partie de leur production dans le cadre de leur projet de rapprochement, rapporte samedi l'agence de presse Kyodo qui ne cite pas ses sources.
La dépêche précise que Honda envisage également de fournir des véhicules hybrides à Nissan dans le cadre de ce projet qui pourrait aboutir à une fusion.
"Comme annoncé en mars et en août, notre entreprise, Nissan et Mitsubishi Motors sont en train d'unir leurs forces et d'explorer des formes potentielles de coopération, mais rien n'a encore été décidé", a commenté samedi un porte-parole de Honda auprès de Reuters.
Nissan n'a pas immédiatement répondu à une demande de commentaire.
Le constructeur automobile japonais étudie la possibilité d'une fusion avec son compatriote Honda, et notamment une éventuelle fusion, alors que les deux constructeurs font face à une concurrence accrue à l'échelle mondiale de la part des constructeurs de véhicules électriques.
Le groupe Renault , principal actionnaire de Nissan, s'est dit ouvert sur le principe à un rapprochement et examinera toutes les conséquences d'une telle opération.
Les dirigeants de Credit Suisse sont responsables du naufrage de la banque mais le gendarme suisse des marchés financier s'est montré "inefficace" pour empêcher la débâcle qui a failli déclencher une crise financière mondiale en 2023.
Ce sont deux des principales conclusions d'une commission d'enquête parlementaire, qui a publié vendredi un rapport très attendu dans lequel elle évalue la façon dont les autorités suisses ont géré le sauvetage de l'ex-deuxième banque du pays alpin, rachetée dans l'urgence par sa concurrente UBS en 2023 pour éviter sa faillite.
Dans ce document de 500 pages, la commission explique n'avoir trouvé "aucun comportement fautif" de la part des autorités suisses, qui ont même permis "d'éviter une crise financière internationale". Elle a néanmoins émis de sévères critiques, en particulier à l'égard de la Finma, l'autorité de surveillance du secteur bancaire.
La commission "a pu constater des manquements et proposer des améliorations", a déclaré sa présidente, la sénatrice Isabelle Chassot, à l'AFP en marge d'une conférence de presse à Berne.
Mais "c'est la banque elle-même et ses responsables qui portent la responsabilité de la chute du Credit Suisse", a-t-elle insisté.
Selon le rapport, le conseil d'administration et les dirigeants sont les "responsables de la perte de confiance" dans cette banque qui avait accumulé les scandales et "dû débourser environ 15 milliards de francs pour des amendes, des règlements ou des indemnités" entre 2010 et 2022.
- Réticences de la banque -Dans son rapport, cette commission dit ne pas comprendre que la Finma ait accordé en 2017 "de vastes allègements de fonds propres", sans lesquels la banque aurait "déjà eu de la peine à satisfaire aux exigences réglementaires" quatre ans plus tard, en 2021, et "en aurait été absolument incapable dès 2022".
Mais la commission, qui recommande de renforcer les pouvoirs de l'autorité de surveillance, souligne que la Finma avait également lancé de nombreuses procédures, avertissements et critiques concernant les rémunérations de ses cadres dirigeants durant les années précédant la crise.
Elle s'est toutefois "heurtée aux réticences de la banque, et c'est une façon polie de le dire", a déclaré le député Roger Nordmann, un quatorze membres de la commission, lors de la conférence de presse au Parlement.
Cette commission, qui a auditionné 79 personnes et analysé plus de 30.000 pages de documents durant ses près de 18 mois d'enquête, a aussi fustigé la mise en oeuvre "hésitante" des règles applicables aux banques considérées comme trop grosses pour faire faillite.
Si la Suisse était en avance par rapport à d'autres pays jusqu'en 2015, la tendance s'est ensuite infléchie "afin de préserver la compétitivité des grandes banques suisses", note le rapport, qui regrette que le gouvernement ai fait des "concessions" aux grandes banques qui leur ont permis d'obtenir de délais dans la mise en oeuvre des nouvelles normes internationales pour les banques dites d'importance systémique.
- Travaux dès 2022 -Les autorités suisses avaient par précaution déjà amorcé des travaux dès octobre 2022 lorsque la situation de la banque s'est dégradée. Mais elles ont été prises par surprise lorsqu'un mouvement de panique s'est emparé des marchés en mars 2023 suite à la mise en faillite de trois banques américaines.
"À ce moment-là, elles n'avaient pas encore terminé leurs analyses des différents scénarios", retrace le rapport qui note que ces travaux ont permis de réagir rapidement. Le document déplore cependant des écueils dans la communication entre les autorités durant ces préparatifs.
Pour cette commission, il faut "impérativement" tirer les enseignements de cette crise non seulement parce que l'Etat avait déjà dû venir en aide à UBS lors de la crise financière de 2008 mais aussi parce que la Suisse "ne compte désormais plus qu'une seule banque d'importance systémique mondiale".
Elle a formulé 20 recommandations, suggérant de renforcer les pouvoirs de la Finma, notamment en lui permettant d'infliger des amendes.
Dans un communiqué séparé, la Finma dit pouvoir "comprendre les critiques" mais salue aussi les recommandations concernant les "compétences supplémentaires", a réagi le groupe dans un communiqué.
UBS, devenu un colosse bancaire avec ce rachat, a pour sa part jugé que "ce rapport confirme que l'effondrement de Credit Suisse a été entraîné par des années d'erreurs stratégiques".
Mais le géant bancaire demande à ce que les règles soient ajustées de manière "ciblée" pour préserver la compétitivité de la place financière suisse.
L'Etat français suit "avec attention" les discussions en cours autour d'une évolution possible de l'actionnariat de Nissan et Renault , premier actionnaire du constructeur automobile japonais, sera un acteur clé des possibles décisions à venir, a dit vendredi à Reuters une source au fait du dossier.
Le constructeur automobile japonais étudie la possibilité d'une fusion avec son compatriote Honda , et notamment une éventuelle fusion, alors que les deux constructeurs font face à une concurrence accrue à l'échelle mondiale de la part des constructeurs de véhicules électriques.
L'Etat français détient une participation de 15% dans Renault.
"Le cadre de coopération entre Renault et Nissan est aujourd'hui, depuis la refondation de l'Alliance, solidement établi autour de projets opérationnels et de coopération partagés qui n'ont pas de raison d'être remis en cause par une évolution de l'actionnariat de Nissan", a ajouté la source, qui a refusé d'être identifiée en raison du caractère sensible de l'affaire.
"L'Etat sera attentif à la préservation de ces projets, et soutiendra Renault dans sa recherche d'une valorisation optimale de sa participation financière dans Nissan", a-t-elle dit.
L'agence Bloomberg a rapporté vendredi que le fabricant taïwanais de composants électroniques Foxconn avait mis en pause son projet de rachat d'une participation dans Nissan à Renault alors que le constructeur nippon explore une fusion potentielle avec Honda.
La décision de Foxconn intervient après l'envoi en France d'une délégation pour rencontrer Renault, ajoute Bloomberg, qui cite des sources au fait du dossier.
Contacté par Reuters, Renault s'est refusé à tout commentaire.
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