Citations
Nouvelles
Analyse
Utilisateur
24/7
Calendrier économique
Education
Données
- Des noms
- Dernier
- Précédent
A:--
F: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
A:--
F: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
A:--
F: --
A:--
F: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
A:--
F: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
A:--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
P: --
--
F: --
--
F: --
Pas de données correspondantes
Graphiques Gratuit pour toujours
Chat F&Q avec des Experts Filtres Calendrier économique Données OutilFastBull VIP FonctionnalitésTendances du marché
Principaux indicateurs
Dernières vues
Dernières vues
Sujets d'actualité
L’argent fait tourner le monde et la monnaie est une marchandise permanente. Le marché des changes est plein de surprises et d'attentes.
Sur les marchés financiers mondiaux, la bourse sert de baromètre économique et a toujours été au centre de l'attention des investisseurs. Son ascension et sa chute ont un impact profond sur l’économie de divers pays.
Les marchés financiers restent stables mais affichent un sentiment d'anticipation nerveuse alors que la nouvelle semaine commence. Les conflits entre Israël et le Hamas continuent d’occuper le devant de la scène, avec des inquiétudes croissantes quant au risque que la violence engloutisse l’ensemble de la région.
Le marché obligataire est le marché financier le plus ancien, mature, non innovant mais indispensable, tandis que la dette est un ancien vortex commun, discret mais redoutable.
Les meilleurs chroniqueurs
Salut! Êtes-vous prêt à vous impliquer dans le monde financier ?
Les dernières nouvelles et les événements financiers mondiaux.
J'ai 5 ans d'expérience en analyse financière, notamment dans les aspects d'évolution macroéconomique et de jugement de tendances à moyen et long terme. Je me concentre principalement sur l'évolution du Moyen-Orient, des marchés émergents, du charbon, du blé et d'autres produits agricoles.
Coach de trading en chef et conférencier BeingTrader, plus de 8 ans d'expérience dans le trading du marché des changes, principalement XAUUSD, EUR/USD, GBP/USD, USD/JPY et pétrole brut. Un trader et analyste confiant qui vise à explorer diverses opportunités et à guider les investisseurs sur le marché. En tant qu'analyste, je cherche à améliorer l'expérience du trader en le soutenant avec suffisamment de données et de signaux.
Dernière mise à jour
Risk Warning on Trading HK Stocks
Despite Hong Kong's robust legal and regulatory framework, its stock market still faces unique risks and challenges, such as currency fluctuations due to the Hong Kong dollar's peg to the US dollar and the impact of mainland China's policy changes and economic conditions on Hong Kong stocks.
HK Stock Trading Fees and Taxation
Trading costs in the Hong Kong stock market include transaction fees, stamp duty, settlement charges, and currency conversion fees for foreign investors. Additionally, taxes may apply based on local regulations.
HK Non-Essential Consumer Goods Industry
The Hong Kong stock market encompasses non-essential consumption sectors like automotive, education, tourism, catering, and apparel. Of the 643 listed companies, 35% are mainland Chinese, making up 65% of the total market capitalization. Thus, it's heavily influenced by the Chinese economy.
HK Real Estate Industry
In recent years, the real estate and construction sector's share in the Hong Kong stock index has notably decreased. Nevertheless, as of 2022, it retains around 10% market share, covering real estate development, construction engineering, investment, and property management.
Hong Kong, Chine
Ho Chi Minh, Vietnam
Dubaï, Émirats arabes unis
Lagos, Nigeria
Le Caire, Égypte
Marque blanche
API de données
Plug-ins Web
Programme d'affiliation
Tout voir
Pas de données
Non connecté
Se connecter pour accéder à d'autres fonctionnalités
FastBull VIP
Pas encore
Acheter
Se connecter
S'inscrire
Hong Kong, Chine
Ho Chi Minh, Vietnam
Dubaï, Émirats arabes unis
Lagos, Nigeria
Le Caire, Égypte
Marque blanche
API de données
Plug-ins Web
Programme d'affiliation
Les marchés asiatiques restent dans l'ensemble atones mardi, dans des échanges sans grand volume avant la trêve de Noël, Tokyo se distinguant cependant par l'envolée du constructeur Honda après l'annonce d'un rachat d'actions massif.
Rachat d'actions de Honda avant une possible fusion avec NissanLe géant japonais de l'automobile Honda voit son titre s'envoler de plus de 16% vers 02H30 GMT à la Bourse de Tokyo, après avoir annoncé qu'il allait massivement racheter ses propres actions.
Le constructeur va racheter, à partir de début janvier, jusqu'à 23,7% des actions précédemment émises par le groupe pour un montant maximal de 1.100 milliards de yens (6,72 milliards d'euros)
Cette annonce intervient alors que le groupe a ouvert lundi des négociations avec son rival en difficulté Nissan en vue de fusionner et de donner naissance au numéro trois mondial du secteur, dont la cotation débuterait en août 2026.
Le rachat d'actions "a été très bien accueilli" par les investisseurs, car il est susceptible "de renforcer leurs rendements", via la revalorisation du cours de Bourse et des dividendes par titre mécaniquement gonflés avec la réduction du nombre d'actions en circulation, a commenté le quotidien financier Nikkei.
A la même heure, Nissan était en quasi-équilibre (+0,18%) après avoir brièvement plongé de 7%: Honda a assuré lundi qu'il ne s'agissait pas pour lui de "venir à la rescousse" de son compatriote en difficultés et très endetté, et fait de son rétablissement un préalable à leur fusion.
Mitsubishi Motors, constructeur nippon plus petit dont Nissan est le premier actionnaire et qui pourrait également rejoindre la future entité fusionnée, voyait son titre grimper de 0,38%.
Tokyo en léger repli, échanges sans éclatA l'image des places de Séoul (-0,20%), Sydney (+0,13%) ou encore Jakarta (+0,09%) la Bourse de Tokyo évoluait dans une fourchette étroite, avec des volumes d'échanges limités.
Vers 02H30 GMT, l'indice vedette Nikkei reculait de 0,29% à 39.048,35 points, et l'indice élargi Topix était exactement à l'équilibre, à 2.726,76 points.
"Le 24 décembre, veille de Noël, Wall Street aura des heures d'ouverture réduits. Et on s'attend, par anticipation, à ce qu'il y ait peu de participants étrangers sur le marché de Tokyo" et une présence réduite des investisseurs institutionnels (banques...), soulignait le média financier Nikkei.
Selon lui, à l'exception du cas de Honda, "comme il est difficile d'observer une quelconque activité à l'achat, l'indice (de la Bourse de Tokyo) pourrait s'installer en baisse, suspendu aux opérations de vente des investisseurs individuels présents", soucieux de déboucler leurs positions avant la fin de l'année.
"C'est la période de l'année où il y a beaucoup d'agitation (en termes d'infomations) mais peu ou pas de signaux orientant les prix", confirme Kyle Rodda, analyste de Capital.com citée par Bloomberg.
Elle décrit "une journée plutôt calme" en Asie avant "un reste de la semaine sans histoire, car une grande partie des marchés se déconnectent pour les fêtes de fin d'année".
Dans ce contexte, la monnaie nippone était d'une absolue stabilité (-0,01%) à 157,14 yens pour un dollar vers 02H30 GMT.
Fermeture anticipée à Hong Kong, le pétrole rebonditLa Bourse de Hong Kong s'apprêtait à interrompre les échanges à la mi-journée avant deux jours de fermeture pour la trêve de Noël: vers 02H30 GMT, il prenait 1,03% à 20.088,60 points/
Sans direction, les places de Chine continentale reprenaient leur souffle: l'indice composite à Shanghai gagnait 0,79% à 3.377,29 points, et celui de Shenzhen progressait de 0,57% à 2.006,54 points.
Les cours du pétrole rebondissaient mardi dans les échanges asiatiques, après avoir trébuché la veille en raison d'un dollar fort qui pesait sur les achats de brut.
De fait, les risques géopolitiques, susceptibles de perturber l'offre d'or noir, continuent d'alimenter la nervosité des opérateurs et donc de soutenir le marché.
Vers 02H30 GMT, le baril de WTI américain grimpait de 0,51% à 69,59 dollars et celui de Brent de la mer du Nord de 0,52% à 73,01 dollars.
La Bourse de New York a terminé dans le vert lundi, arrimée à quelques valeurs phares du secteur technologique mais sans enthousiasme, au début d'une semaine de fêtes qui s'annonce calme.
Le Dow Jones a emmagasiné 0,16%, l'indice Nasdaq 0,98% et l'indice élargi S&P 500 0,73%.
Après avoir démarré dans le rouge, le marché s'est repris progressivement au fil de la journée.
"Je ne tirerais pas de conclusion" de cette séance, a prévenu Steve Sosnick, d'Interactive Brokers, notamment parce qu'elle a été marquée par un volume d'échanges faible.
Nombre d'intervenants ont déjà déserté le marché, avant une séance de mardi qui sera amputée de trois heures et un jour férié, Noël, mercredi.
"On cherchait une direction au départ, puis les valeurs technologiques ont pris la main", a expliqué Steve Sosnick.
Les fleurons des semi-conducteurs Broadcom (+5,52%) et Nvidia (+3,69%) ont ainsi été aux avant-postes, de même que Tesla (+2,27%).
Pour Steve Sosnick, le fait que ces trois titres aient été particulièrement recherchés tient au fait que leur poids a été revu en baisse au sein de l'indice Nasdaq 100, un ajustement technique consécutif à la forte appréciation de leur valeur.
La place new-yorkaise est montée malgré un nouveau coup de chaud des taux obligataires. Le rendement des emprunts d'Etat américains à 10 ans a grimpé jusqu'à 4,60%, une première depuis près de sept mois, contre 4,52% vendredi soir en clôture.
Les investisseurs ont aussi ignoré les deux indicateurs du jour, à savoir la baisse plus nette que prévu des commandes de biens durables en novembre et le repli inattendu de l'indice de confiance des consommateurs de l'association professionnelle Conference Board.
"On dit souvent qu'il ne faut pas parier contre un marché sans entrain, donc personne n'est allé contre", a fait valoir Steve Sosnick.
Le Dow Jones n'a dû de finir en positif qu'à quelques-uns de ses membres, notamment, outre Nvidia, les financières comme Goldman Sachs (+0,83%) et JPMorgan Chase (+0,33%).
Les banques étaient stimulées par l'environnement de taux élevés ainsi que par une annonce de la banque centrale américaine (Fed), qui a présenté lundi des aménagements dans ses tests de résistance (stress tests), destinés à mesurer leur capacité à surmonter une crise financière.
Toujours au rebond après la très mauvaise passe qui a suivi le meurtre du patron de sa branche d'assurance santé, Unitedhealth Group (+1,24%) a aussi donné un coup de main.
Au rayon semi-conducteur, Qualcomm a aussi été de la fête (+3,50%), soutenu par la décision d'un jury fédéral du Delaware, qui a donné raison à la société de San Diego (Californie) dans son contentieux avec le concepteur de puces informatiques Arm (-4,00%).
La plateforme de vidéos en ligne Rumble, prisée des conservateurs, s'est envolée (+81,22%) après que iFinex, la société qui contrôle le "stablecoin" Tether (monnaie numérique arrimée à une devise classique en l'occurence le dollar), s'est engagée à investir 775 millions de dollars dans la start-up.
L'enseigne de grands magasins Nordstrom se repliait (-1,47%) après l'annonce de son retrait de la cote par les héritiers de la famille fondatrice associés au groupe mexicain de distribution El Puerto de Liverpool.
L'offre des deux partenaires valorise le groupe 6,25 milliards de dollars.
Les Bourses européennes ont fini quasi stable lundi, avec un volume de transactions faible à l'approche de Noël et des investisseurs toujours prudents, tandis que Wall Street s'est élevée grâce au secteur technologique.
Paris a terminé stable (-0,03%), tout comme Milan (-0,08%), tandis que Londres a clos en légère hausse (+0,22%) et Francfort en légère baisse (-0,18%).
A New York, Le Dow Jones a emmagasiné 0,16%, l'indice Nasdaq 0,98% et l'indice élargi S&P 500 0,73%.
Après avoir démarré dans le rouge, le marché américain s'est repris progressivement au fil de la journée.
"Je ne tirerais pas de conclusion" de cette séance, a prévenu Steve Sosnick, d'Interactive Brokers, notamment parce qu'elle a été marquée par un volume d'échanges faible.
Nombre d'intervenants ont déjà déserté le marché, avant une séance de mardi qui sera amputée de trois heures et un jour férié, Noël, mercredi.
"On cherchait une direction au départ, puis les valeurs technologiques ont pris la main", a expliqué Steve Sosnick.
Les fleurons des semi-conducteurs Broadcom (+5,52%) et Nvidia (+3,69%) ont ainsi été aux avant-postes, de même que Tesla (+2,27%).
Pour Steve Sosnick, le fait que ces trois titres aient été particulièrement recherchés tient au fait que leur poids a été revu en baisse au sein de l'indice Nasdaq 100, un ajustement technique consécutif à la forte appréciation de leur valeur.
La place new-yorkaise est montée malgré un nouveau coup de chaud des taux obligataires. Le rendement des emprunts d'Etat américains à 10 ans a grimpé jusqu'à 4,60%, une première depus près de sept mois, contre 4,52% vendredi soir en clôture.
Les investisseurs ont aussi ignoré les deux indicateurs du jour, à savoir la baisse plus nette que prévu des commandes de biens durables en novembre et le repli inattendu de l'indice de confiance des consommateurs de l'association professionnelle Conference Board.
"On dit souvent qu'il ne faut pas parier contre un marché sans entrain, donc personne n'est allé contre", a fait valoir Steve Sosnick.
Le dollar a profité de l'accléréation des taux obligataires et du vote d'une loi aux Etats-Unis qui assure le financement de l'Etat fédéral jusqu'à mi-mars.
Le risque de "shutdown" du gouvernement américain est donc évité.
Le dollar reprenanti a repris 0,22%, à 1,0407 dollar pour un euro vers 21H40 GMT.
Comme à Wall Street, la plupart des marchés européens fermeront plus tôt mardi et n'ouvriront ni mercredi, jour de Noël, ni jeudi pour certains.
Le pétrole dans le rougeLe cours du pétrole ont hésité lundi, avant de clôturer en baisse, à la fois plombés par un dollar fort qui pèse sur les achats de brut, mais aussi contenus par l'actualité géopolitique.
Le prix du baril de Brent de la mer du Nord, pour livraison en février, a perdu 0,43% à 72,63 dollars.
Son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate (WTI), pour livraison le même mois, a lâché 0,32% à 69,24 dollars.
Novo Nordisk rebonditLe géant pharmaceutique danois Novo Nordisk, parmi les premières capitalisations européennes, a repris du terrain lundi (+5,67%), après s'être effondré vendredi à la Bourse de Copenhague du fait d'essais cliniques pour un médicament contre le surpoids qui avaient déçu.
Son titre avait perdu plus d'un cinquième de sa valeur vendredi.
tiques Arm.
Le rachat de Direct Line se confirmeL'accord pour le rachat de l'assureur britannique Direct Line Insurance par son concurrent et compatriote Aviva a été scellé, ont annoncé les deux groupes lundi dans un communiqué conjoint, une opération à environ 3,7 milliards de livres (4,4 milliards d'euros).
A Londres, l'action de Direct Line Insurance a gagné 3,87% à la clôture et celle d'Aviva gagnait 0,94%.
Volkswagen taille dans ses effectifsLe premier constructeur automobile européen Volkswagen (-1,77% à Francfort) va supprimer plus de 35.000 emplois en Allemagne d'ici 2030 et réduire sa production dans le pays, tout en évitant fermetures d'usines et licenciements dans le cadre d'un accord scellé vendredi pour tenter de sauver le groupe en crise.
Ce plan d'économies prévoit aussi des réductions d'environ 10% des rémunérations de près de 4.000 cadres pour les années 2025 et 2026, a rapporté ce week-end la Süddeutsche Zeitung.
Dans son sillage, les constructeurs automobiles allemands Porsche (-1,47%) et Mercedes-Benz (-1,35%) ont également clos dans le rouge lundi à Francfort.
La Bourse de New York a fini en hausse lundi, portée par les Sept Magnifiques du secteur de la tech, dans une semaine raccourcie par les fêtes de fin d'année.
L'indice Dow Jones a gagné 0,16%, ou 66,69 points, à 42.906,95 points.
Le Standard & Poor's 500 , plus large, a pris 43,22 points, soit 0,73% à 5.974,07 points.
Le Nasdaq Composite a avancé de son côté de 192,29 points, soit 0,98% à 19.764,885 points.
Meta Platforms , Nvidia , Tesla et Alphabet (GOOGLE.O), la maison mère de Google ont tous terminé en hausse, entre 2,3% et 3,7%.
Les marchés américains entrent dans une période traditionnellement faste, enregistrant des résultats positifs lors des fêtes de fin d'année.
Aux valeurs, Eli Lilly a gagné 3,7%, le fabricant américain de médicaments ayant vu son traitement amaigrissant Zepbound approuvé par l'agence américaine du médicament (FDA) pour traiter l'apnée du sommeil modérée à sévère.
Qualcomm a remporté vendredi une victoire importante dans le cadre de son procès contre ARM HOLDINGS O9Ty.F, le jury ayant tranché que l'accord de licence entre les deux parties était aux normes. Le titre a grimpé de 3,5%, tandis que les actions d'Arm Holdings listées aux États-Unis cèdent 4%.
Le S&P 500 et le Dow Jones ont chuté lundi dans le cadre d'une transactions devacances après qu'un projet de loi de financement du gouvernement ait évité une fermeture du gouvernement américain et que les investisseurs se soient préparés à un ralentissement du rythme des réductions de taux d'intérêt de la Réserve fédérale l'année prochaine.
Après un parcours solide depuis l'élection présidentielle de novembre, le rallye de Wall Street a connu un coup d'arrêt ce mois-ci, notamment après que la Réserve fédérale américaine a prévu seulement deux réductions de taux de 25 points de base pour 2025 - en baisse par rapport à son opinion de septembre qui prévoyait quatre réductions - et a revu à la hausse ses perspectives d'inflation annuelle.
Un rapport sur l'inflation plus froid que prévu vendredi a permis aux actions américaines de récupérer quelques pertes. Toutefois, le sentiment général du marché est resté prudent, a déclaré Thierry Wizman, stratège chez Macquarie.
Les marchés monétaires s'attendent à environ deux réductions de 25 points de base en 2025, ce qui porterait le taux de référence à une fourchette de 3,75 % à 4,0 %, contre une fourchette de 3,50 % à 3,75 % il y a deux semaines.
"C'est un lundi avec très peu de catalyseurs pour conduire (le sentiment général du marché), et nous allons avoir un faible volume, probablement des échanges volatils alors que nous terminons cette année", a déclaré Art Hogan, stratégiste en chef du marché, B Riley Wealth.
Les volumes d'échanges devraient être faibles, les marchés boursiers américains fermant tôt mardi et fermant pour Noël mercredi.
Le Congrès des États-Unis a adopté la loi de finances (link) tôt samedi, quelques minutes après l'expiration du financement, ce qui aurait pu perturber toutes les activités, des forces de l'ordre aux parcs nationaux, avant la saison des voyages de Noël, très chargée.
À 11 h 07 , le Dow Jones Industrial Average a perdu 247,19 points, soit 0,58 %, à 42 593,07 et le S&P 500 a perdu 5,47 points, soit 0,09 %, à 5 925,38.
Le Nasdaq Composite a gagné 52,79 points, soit 0,27%, à 19.625,38, porté par les gains des fabricants de puces et des grandes capitalisations.
Nvidia a gagné 1,6% et Meta Platforms a augmenté de 1,4%.
La capitalisation boursière d'Apple s'est établie à 3,84 billions de dollars, l'entreprise la plus précieuse du monde se rapprochant de la barre des 4 billions de dollars.
Les marchés entrent également dans une période historiquement forte pour les actions américaines. Depuis 1969, les cinq derniers jours de bourse de l'année, combinés aux deux premiers de l'année suivante, ont permis au S&P 500 de réaliser un gain moyen de 1,3 % - une période connue sous le nom de "Santa Claus Rally" (link), selon le Stock Trader's Almanac.
Les actions de Qualcomm ont augmenté de 1,7 % après qu'un jury a estimé que ses processeurs centraux étaient correctement licenciés dans le cadre d'un accord avec la société britannique Arm Holdings . Les actions d'Arm, qui a promis de demander un nouveau procès, ont chuté d'environ 5 %.
Walmart a chuté de 3,3 % après que l'organisme américain de surveillance du crédit à la consommation a accusé (link) le géant de la vente au détail et la société de paiement Branch Messenger d'avoir forcé plus d'un million de livreurs à utiliser des comptes qui leur ont coûté plus de 10 millions de dollars en frais inutiles.
Eli Lilly a gagné (link) 1,7% après que la Food and Drug Administration américaine a approuvé le traitement de perte de poids du fabricant, Zepbound, pour l'apnée obstructive du sommeil. Les actions des fabricants d'appareils pour l'apnée du sommeil ResMed et Inspire Medical ont chuté d'environ 4% chacune.
Les titres en baisse ont été plus nombreux que les titres en hausse dans un rapport de 2,56 contre 1 sur le NYSE et de 1,91 contre 1 sur le Nasdaq.
Le S&P 500 a enregistré deux nouveaux records sur 52 semaines et 11 nouveaux records à la baisse, tandis que le Nasdaq Composite a enregistré 35 nouveaux records à la hausse et 86 nouveaux records à la baisse.
La Bourse de New York évoluait en baisse lundi peu après l'ouverture, en manque de conviction et pénalisée par le niveau élevé des taux obligataires, à l'orée d'une semaine tronquée par la fête de Noël.
Vers 15H15 GMT, le Dow Jones cédait 0,67%, l'indice Nasdaq 0,12% et l'indice élargi S&P 500 0,32%.
"Cette période marque généralement un élan pour les fêtes", rappelle, dans une note, Patrick O'Hare, de Briefing.com. "Mais la séance d'aujourd'hui ne correspond pas à ce scénario."
Dans le vert une heure avant l'ouverture, les contrats à terme sur les indices ont ainsi piqué du nez à l'approche de la cloche.
Le rebond technique de vendredi, enclenché par la publication d'un indice de prix à la consommation PCE plus faible qu'attendu, aura fait long feu.
"Je m'attends à une séance mitigée, avec une possible accélération en fin de journée", a expliqué Peter Cardillo. "Le vent de face continue de souffler, avec le dollar fort et les rendements obligataires, ce qui pourrait mettre sous pression les secteurs sensibles aux taux."
Le rendement des emprunts d'Etat américains à 10 ans remontait à 4,56%, contre 4,52% vendredi en clôture.
"Il n'y a pas grand-chose à se mettre sous la dent cette semaine", rélève Peter Cardillo. "On aura quelques indicateurs macroéconomiques, mais rien qui ne devrait influer sur le marché de façon significative."
Parmi les quelques jalons à suivre, l'indice de confiance des consommateurs et les commandes de biens durables, lundi.
La place new-yorkaise n'était pas inspirée par la résolution, in extremis, de la crise politique qui menaçait de geler certaines activités du gouvernement fédéral faute d'accord budgétaire.
Un texte a finalement été voté vendredi soir, permettant un financement à court terme, dans l'attente de discussions sur le fond, en début d'année prochaine.
La séance de mardi sera amputée de trois heures, tandis que le marché sera fermé mercredi, jour de Noël. Une séquence qui devrait se traduire par de faibles volumes d'échanges tout au long de la semaine, selon Peter Cardillo.
A la cote, les semi-conducteurs reprenaient la direction des opérations, à l'instar de Nvidia (+1,04%), Broadcom (+4,20%) ou AMD (+4,30%).
Qualcomm était aussi de la fête (+1,93%), soutenu par la décision d'un jury fédéral du Delaware, qui a donné raison à la société de San Diego (Californie) dans son contentieux avec le concepteur de puces informatiques Arm (-5,34%).
La plateforme de vidéos en ligne Rumble, prisée des conservateurs, s'envolait (+70,25%) après que iFinex, la société qui contrôle le "stablecoin" Tether (monnaie numérique arrimée à une devise classique en l'occurence le dollar), s'est engagée à investir 775 millions de dollars dans la start-up.
L'enseigne de grands magasins Nordstrom se repliait (-1,24%) après l'annonce de son retrait de la cote par les héritiers de la famille fondatrice associés au groupe mexicain de distribution El Puerto de Liverpool.
L'offre des deux partenaires valorisent le groupe 6,25 milliards de dollars.
Signe de la réticence des investisseurs à s'exposer à quelques jours de la fin de l'année, les valeurs les plus volatiles étaient en berne, du croisiériste Carnival Corporation (-4,20%) à Snap (-2,63%), maison mère du réseau social Snapchat, en passant par le "mineur" (créateur de cryptomonnaies) MARA Holdings.
La confiance des consommateurs aux Etats-Unis a reculé en décembre, prenant à revers les marchés qui anticipaient plutôt une nouvelle hausse de l'indice, les Américains montrant en particulier des signes d'inquiétudes pour l'avenir.
L'indice mesurant cette confiance a reculé à 104,7 points, contre 112,8 points un mois plus tôt - données révisées en légère hausse -, selon l'enquête mensuelle du Conference Board publiée lundi.
C'est une surprise pour les analystes, qui anticipaient au contraire une nouvelle hausse de l'indice, qu'ils attendaient à 113,5 points, selon le consensus publié par briefing.com.
L'indice à 100 correspond au niveau de confiance de 1985.
"Si la perception des consommateurs sur la situation actuelle a contribué à la baisse, les attentes ont connu une chute marquée", a souligné la cheffe économiste du Conference Board, citée dans le communiqué.
Dans le détail, le sous-indice relatif à la situation économique actuelle est effectivement en léger recul de 1,2 point mais les anticipation sur l'évolution de l'économie américaine chutent de 12,6 points, pour retomber à 81,1 points, juste au-dessus de la limite de 80 points qui est vue comme un signal de risque de récession.
"Comparé au mois dernier, les consommateurs sont nettement moins optimistes quant au climat des affaires à venir et sur l'évolution de leurs revenus. De plus, le pessimisme concerne les futures conditions d'emploi, alors qu'un léger optimisme prévalait en octobre et novembre", a détaillé Mme Peterson.
Parmi les raisons invoquées par les consommateurs interrogés, le résultat de l'élection présidentielle du 5 novembre, et plus largement le climat politique, est en progression.
Les droits de douane suscite également des inquiétudes, près de la moitié des répondants s'attendant à voir une application de ces taxes entraîner une hausse du coût de la vie. A l'inverse, 21% espèrent qu'ils permettront de créer plus d'emplois.
Malgré tout, les anticipations d'un risque de récession sont proches de leurs niveaux le plus faible et celles relatives à l'inflation ont atteint leur point le plus bas depuis mars 2020.
D'un point de vue démographique, la confiance a particulièrement baissé parmi les plus de 35 ans, les jeunes restant plus optimistes.
De même, la confiance se concentre en particulier sur les ménages ayant un revenu compris entre 25.000 et 100.000 dollars par an, alors que la confiance du premier et des derniers déciles (tranche représentant 1/10e de la population en matière de revenus) reste plutôt stable.
Marque blanche
API de données
Plug-ins Web
Créateur d'affiches
Programme d'affiliation
Le risque de perte dans la négociation d'instruments financiers tels que les actions, les devises, les matières premières, les contrats à terme, les obligations, les ETF et les crypto-monnaies peut être substantiel. Vous pouvez subir une perte totale des fonds que vous déposez auprès de votre courtier. Par conséquent, vous devez examiner attentivement si ce type de négociation vous convient, compte tenu de votre situation et de vos ressources financières.
Aucune décision d'investissement ne doit être prise sans avoir procédé soi-même à une vérification préalable approfondie ou sans avoir consulté ses conseillers financiers. Le contenu de notre site peut ne pas vous convenir car nous ne connaissons pas votre situation financière et vos besoins en matière d'investissement. Nos informations financières peuvent avoir un temps de latence ou contenir des inexactitudes, de sorte que vous devez être entièrement responsable de vos décisions en matière de négociation et d'investissement. La société ne sera pas responsable de vos pertes en capital.
Sans l'autorisation du site web, vous n'êtes pas autorisé à copier les graphiques, les textes ou les marques du site web. Les droits de propriété intellectuelle sur le contenu ou les données incorporées dans ce site web appartiennent à ses fournisseurs et marchands d'échange.